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decedere+de+foro

  • 1 de

    I praep. cum abl.
    1) с
    decedere de foro Nepуйти с форума (т. е. оставить политическую деятельность)
    de viā lassus Pl (fessus Cs) — усталый (устав) с дороги
    pendĕre de aliquā re O etc. — свисать с чего-л., т. е. висеть на чём-л.
    2) из
    aliquis de ponte J — кто-л. из стоящих на мосту (т. е. нищих)
    signum factum de marmore O — статуя, сделанная из мрамора
    3) от, у
    emere de aliquo Cato — покупать у кого-л.
    quaerere (audire) de aliquo C — спрашивать у кого-л., слышать от кого-л.
    4) о
    loqui de re aliqua C — говорить о чём-л.
    5) по поводу, по вопросу о, касательно
    6) согласно, по
    eā de re, eā de causa C, Cs etc.по этой причине
    de improviso C, Cs — непредвиденным образом, неожиданно
    de integro C — сызнова, заново
    7) в, во время, в течение
    de nocte Ter, C etc.ночью
    de die Pl, Ter, H etc.днём
    II dē-
    приставка, выражающая преим.
    2) устранение, лишение ( dearmare)
    4) недостаток, отсутствие (deesse, dementia)

    Латинско-русский словарь > de

  • 2 forum

    [ABCU]A - fŏrum, fŏri, n.: [st1]1 [-] espace libre, emplacement.    - forum sepulcri, Cic. Leg. 2, 24, 61: vestibule d'un tombeau.    - forum vinarium: bassin du pressoir. [st1]2 [-] place publique, place du marché.    - quid turbae apud forum! Ter.: quel vacarme sur la place!    - forum venalium rerum, Sall.: marché.    - forum boarium (bovarium): marché aux boeufs.    - forum olitorium (holitorium): marché aux légumes.    - forum piscarium (piscatorium): marché aux poissons, halle aux poissons.    - cui multa fora restarent, Cic.: qui avait encore bien des foires à parcourir.    - scisti uti foro, Ter.: tu as su faire tes affaires.    - in foro esse: fréquenter le forum (où se tenaient les audiences judiciaires et les assemblées politiques, où l'on briguait les charges publics). [st1]3 [-] forum (en particulier celui de Rome; un lieu destiné aux assemblées publiques et au règlement des affaires judiciaires ou commerciales); carrière politique, tribunal, cour de justice, barreau, opération de banque.    - in foro turbaque, Cic. Rep. 1, 17: en plein forum, au milieu de la foule.    - in foro dicere, Cic.: faire un discours dans le forum, parler en public.    - verba de foro accipere, Cic.: se servir d'expressions triviales.    - forum attingere, Cic.: se lancer dans les affaires publiques, faire ses débuts au forum.    - forum agere: rendre la justice, tenir audience.    - arripere verba de foro, Cic. Fin. 3, 2, 4: prendre ses mots dans la rue, dans l'usage courant.    - ut forum cum armis conferatis, Cic. Verr. 2: pour que vous compariez les tribunaux et les armes.    - in alieno foro litigare, Mart. 12 praef: plaider devant un tribunal étranger, être désorienté.    - extra suum forum, Cic.: hors de sa juridiction.    - ibi forum agit, Cic.: là, il tient audience.    - in foro versari: s'occuper d'affaires au forum.    - foro decedere, Cic.: ne plus paraître en public, s'éloigner des affaires publiques.    - cedere foro: faire banqueroute.    - provinciae fora: les centres d'assises de la province.    - egomet video rem vorti in meo foro, Plaut. Most.: je vois bien que **ma situation est traitée sur mon propre forum** = que je suis trahi.    - calliditas fori, Tac.: les subtilités de la chicane.    - forum indicere, Virg.: donner des lois, donner une législation.    - foro mersus, Plaut.: abîmé de dettes. [st1]4 [-] bourg indépendant (possédant une juridiction propre). [st1]5 [-] Forum (nom donné à plusieurs villes).    - Forum Alieni, Tac.: ville de la Gaule Transpadane (= Ferrare).    - Forum Appii, Cic.: petite ville du Latium (= S. Donato).    - Forum Aurelium, Cic.: ville située sur la voie Aurélia (= Montalto).    - Forum Julii, Cic.: ville de la Narbonnaise (= Fréjus).    - Forum Cornelii, Cic.: ville de l'Emilie (= Imola).    - Forocorneliensis, e: relatif au Forum Cornelii. [ABCU]B - fŏrum, gén. plur. de foris.
    * * *
    [ABCU]A - fŏrum, fŏri, n.: [st1]1 [-] espace libre, emplacement.    - forum sepulcri, Cic. Leg. 2, 24, 61: vestibule d'un tombeau.    - forum vinarium: bassin du pressoir. [st1]2 [-] place publique, place du marché.    - quid turbae apud forum! Ter.: quel vacarme sur la place!    - forum venalium rerum, Sall.: marché.    - forum boarium (bovarium): marché aux boeufs.    - forum olitorium (holitorium): marché aux légumes.    - forum piscarium (piscatorium): marché aux poissons, halle aux poissons.    - cui multa fora restarent, Cic.: qui avait encore bien des foires à parcourir.    - scisti uti foro, Ter.: tu as su faire tes affaires.    - in foro esse: fréquenter le forum (où se tenaient les audiences judiciaires et les assemblées politiques, où l'on briguait les charges publics). [st1]3 [-] forum (en particulier celui de Rome; un lieu destiné aux assemblées publiques et au règlement des affaires judiciaires ou commerciales); carrière politique, tribunal, cour de justice, barreau, opération de banque.    - in foro turbaque, Cic. Rep. 1, 17: en plein forum, au milieu de la foule.    - in foro dicere, Cic.: faire un discours dans le forum, parler en public.    - verba de foro accipere, Cic.: se servir d'expressions triviales.    - forum attingere, Cic.: se lancer dans les affaires publiques, faire ses débuts au forum.    - forum agere: rendre la justice, tenir audience.    - arripere verba de foro, Cic. Fin. 3, 2, 4: prendre ses mots dans la rue, dans l'usage courant.    - ut forum cum armis conferatis, Cic. Verr. 2: pour que vous compariez les tribunaux et les armes.    - in alieno foro litigare, Mart. 12 praef: plaider devant un tribunal étranger, être désorienté.    - extra suum forum, Cic.: hors de sa juridiction.    - ibi forum agit, Cic.: là, il tient audience.    - in foro versari: s'occuper d'affaires au forum.    - foro decedere, Cic.: ne plus paraître en public, s'éloigner des affaires publiques.    - cedere foro: faire banqueroute.    - provinciae fora: les centres d'assises de la province.    - egomet video rem vorti in meo foro, Plaut. Most.: je vois bien que **ma situation est traitée sur mon propre forum** = que je suis trahi.    - calliditas fori, Tac.: les subtilités de la chicane.    - forum indicere, Virg.: donner des lois, donner une législation.    - foro mersus, Plaut.: abîmé de dettes. [st1]4 [-] bourg indépendant (possédant une juridiction propre). [st1]5 [-] Forum (nom donné à plusieurs villes).    - Forum Alieni, Tac.: ville de la Gaule Transpadane (= Ferrare).    - Forum Appii, Cic.: petite ville du Latium (= S. Donato).    - Forum Aurelium, Cic.: ville située sur la voie Aurélia (= Montalto).    - Forum Julii, Cic.: ville de la Narbonnaise (= Fréjus).    - Forum Cornelii, Cic.: ville de l'Emilie (= Imola).    - Forocorneliensis, e: relatif au Forum Cornelii. [ABCU]B - fŏrum, gén. plur. de foris.
    * * *
        Forum, huius fori. Sallust. Cic. Le lieu public où on tient le marché, Le lieu du marché, L'apport.
    \
        Forum boarium. Liu. Le marché aux boeufs.
    \
        Forum piscarium. Varr. Le lieu où on vend le poisson, La poissonnerie.
    \
        Forum suarium. Varr. Le marché aux porceaux.
    \
        Forum vinarium. Varr. Le marché où on vend le vin, L'estappe.
    \
        Foro vti. Terent. Se gouverner selon le temps, Prendre le temps comme il vient, Temporiser, S'accommoder au temps, Selon le marché faire, Se gouverner selon le cours du marché.
    \
        Forum. Quintil. Cic. Le lieu public où on souloit anciennement tenir les plaids. Fore, ou For. Inde Parisiis le For l'evesque, hoc est Forum episcopi.
    \
        Agere forum. Cic. Exercer acte de judicature, Tenir les plaids, Tenir les assises.
    \
        Forum attingere. Cic. Commencer à vouloir entendre le maniement de la chose publique.

    Dictionarium latinogallicum > forum

  • 3 decedo

    dē-cēdo, cessi, cessum, 3 ( inf. sync. decesse, Ter. Heaut. prol. 32; Cic. Fam. 7, 1, 2; Neue Formenl. 2, 536. The part. perf. decessus perh. only Rutil. Nam. 1, 313), v. n., to go away, depart, withdraw. (For syn. cf.: linquo, relinquo, desero, destituo, deficio, discedo, excedo. Often opp. to accedo, maneo; freq. and class.)—Constr. absol. with de, ex, or merely the abl.; rarely with ab.
    I.
    Lit.
    A.
    In gen.:

    decedamus,

    Plaut. Bac. 1, 1, 74:

    de altera parte (agri) decedere,

    Caes. B. G. 1, 31, 10:

    decedit ex Gallia Romam Naevius,

    Cic. Quint. 4, 16:

    e pastu,

    Verg. G. 1, 381; cf.:

    e pastu decedere campis,

    id. ib. 4, 186:

    ex aequore domum,

    id. ib. 2, 205;

    Italiā,

    Sall. J. 28, 2:

    Numidiā,

    id. ib. 38, 9:

    Africā,

    id. ib. 20, 1;

    23, 1: pugnā,

    Liv. 34, 47:

    praesidio,

    id. 4, 29 (cf.:

    de praesidio,

    Cic. de Sen. 20, 73):

    quae naves paullulum suo cursu decesserint,

    i. e. had gone out of their course, Caes. B. C. 3, 112, 3; so,

    cum luminibus exstinctis decessisset viā,

    had gone out of the way, Suet. Caes. 31:

    pantherae constituisse dicuntur in Cariam ex nostra provincia decedere,

    Cic. Fam. 2, 11, 2.
    B.
    Esp.
    1.
    t. t.
    a.
    In milit. lang., to retire, withdraw from a former position:

    qui nisi decedat atque exercitum deducat ex his regionibus,

    Caes. B. G. 1, 44, 19;

    so,

    absol., id. ib. 1, 44 fin.; Hirt. B. G. 8, 50:

    de colle,

    Caes. B. C. 1, 71, 3:

    de vallo,

    id. B. G. 5, 43, 4:

    inde,

    id. B. C. 1, 71 fin.:

    loco superiore,

    Hirt. B. G. 8, 9; so with abl., Auct. B. Alex. 34; 35 (twice); 70 al.—
    b.
    In official lang.: de provincia, ex provincia, provinciā, or absol. (cf. Cic. Planc. 26, 65), to retire from the province on the expiration of a term of office:

    de provincia decessit,

    Cic. Verr. 2, 2, 20;

    so,

    id. Att. 7, 3, 5; id. Fam. 2, 15 (twice); Liv. 29, 19 Drak.:

    decedens ex Syria,

    Cic. Tusc. 2, 25, 61; so,

    e Cilicia,

    id. Brut. 1:

    ex Africa,

    Nep. Cato, 1, 4:

    ex Asia,

    id. Att. 4, 1:

    ex ea provincia,

    Cic. Div. in Caecil. 1 Zumpt N. cr.:

    ut decedens Considius provinciā,

    Cic. Lig. 1, 2; Liv. 39, 3; 41, 10:

    te antea, quam tibi successum esset, decessurum fuisse,

    Cic. Fam. 3, 6; so absol., id. Planc. 26, 65 al.:

    Albinus Romam decessit,

    Sall. J. 36 fin.; cf.:

    Romam ad triumphum,

    Liv. 8, 13; 9, 16. —Rarely with a:

    cui cum respondissem, me a provincia decedere: etiam mehercule, inquit, ut opinor, ex Africa,

    Cic. Planc. 26 fin.
    2.
    Decedere de viā; also viā, in viā alicui, alicui, or absol., to get out of the way, to give place, make way for one (as a mark of respect or of abhorrence):

    concedite atque abscedite omnes: de via decedite,

    Plaut. Am. 3, 4, 1; cf.:

    decedam ego illi de via, de semita,

    id. Trin. 2, 4, 80 (Cic. Clu. 59. [p. 517] 163; cf. II. B infra); cf.:

    qui fecit servo currenti in viā decesse populum,

    Ter. Heaut. prol. 32:

    censorem L. Plancum via sibi decedere aedilis coegit,

    Suet. Ner. 4; cf. id. Tib. 31:

    sanctis divis, Catul. 62, 268: nocti,

    Verg. Ec. 8, 88:

    peritis,

    Hor. Ep. 2, 2, 216 (cf.:

    cedere nocti,

    Liv. 3, 60, 7).—Also, to get out of the way of, avoid:

    decedere canibus de via,

    Cic. Rep. 1, 43, 67; cf.:

    hi numero impiorum habentur, his omnes decedunt, aditum defugiunt, etc.,

    Caes. B. G. 6, 13, 7.—By zeugma, in the pass.:

    salutari, appeti, decedi, assurgi, deduci, reduci, etc.,

    Cic. de Sen. 18, 63.
    3.
    Pregn., to depart, disappear (cf.: cedo, concedo).
    a.
    Of living beings, to decease, to die:

    si eos, qui jam de vita decesserunt,

    Cic. Rab. Perd. 11:

    vitā,

    Dig. 7, 1, 57, § 1; Vulg. 2 Mac. 6, 31; but commonly absol.:

    pater nobis decessit a. d. VIII. Kal. Dec.,

    id. Att. 1, 6:

    cum paterfamiliae decessit,

    Caes. B. G. 6, 19, 3; Nep. Arist. 3, 2, and 3; id. Cim. 1; id. Ages. 8, 6; Liv. 1, 34; 9, 17; Quint. 3, 6, 96 et saep.:

    cruditate contracta,

    id. 7, 3, 33:

    morbo aquae intercutis,

    Suet. Ner. 5 fin.:

    paralysi,

    id. Vit. 3:

    ex ingratorum hominum conspectu morte decedere,

    Nep. Timol. 1, 6.—
    b.
    Of inanimate things, to depart, go off; to abate, subside, cease:

    corpore febres,

    Lucr. 2, 34:

    febres,

    Nep. Att. 22, 3; Cels. 3, 3; cf.:

    quartana,

    Cic. Att. 7, 2 (opp. accedere):

    decessisse inde aquam,

    run off, fallen, Liv. 30, 38 fin.; cf.:

    decedere aestum,

    id. 26, 45; 9, 26 al.:

    de summa nihil decedet,

    to be wanting, to fail, Ter. Ad. 5, 3, 30; Cic. Clu. 60, 167; cf.:

    quicquid libertati plebis caveretur, id suis decedere opibus credebant,

    Liv. 3, 55:

    decedet jam ira haec, etsi merito iratus est,

    Ter. Hec. 3, 5, 55 (for which ib. 5, 2, 15: cito ab eo haec ira abscedet):

    postquam invidia decesserat,

    Sall. J. 88, 1; Liv. 33, 31 fin.; Tac. A. 15, 16 al.:

    priusquam ea cura decederet patribus,

    Liv. 9, 29; so with dat., id. 2, 31; 23, 26; Tac. A. 15, 20; 44.— Poet.:

    incipit et longo Scyros decedere ponto,

    i. e. seems to flee before them, Stat. Ach. 2, 308.—In the Aug. poets sometimes of the heavenly bodies, to go down, set:

    et sol crescentes decedens duplicat umbras,

    Verg. E. 2, 67; so id. G. 1, 222; Ov. M. 4, 91; hence also of the day, to depart:

    te veniente die, te decedente canebat,

    Verg. G. 4, 466;

    also of the moon,

    to wane, Gell. 20, 8, 7.
    II.
    Trop.
    A.
    De possessione, jure, sententia, fide, etc. (and since the Aug. per. with abl. alone;

    the reading ex jure suo,

    Liv. 3, 33, 10, is very doubtful), to depart from; to give up, resign, forego; to yield, to swerve from one's possession, station, duty, right, opinion, faith, etc.
    (α).
    With de:

    cogere aliquem de suis bonis decedere,

    Cic. Verr. 2, 2, 17 fin.; cf.:

    de hypothecis,

    id. Fam. 13, 56, 2;

    and de possessione,

    id. Agr. 2, 26;

    de suo jure,

    id. Rosc. Am. 27; id. Att. 16, 2:

    qui de civitate decedere quam de sententia maluit,

    id. Balb. 5:

    de officio ac dignitate,

    id. Verr. 1, 10:

    de foro decedere,

    to retire from public life, Nep. Att. 10, 2:

    de scena,

    to retire from the stage, Cic. Fam. 7, 1, 2; cf. impers.:

    de officio decessum,

    Liv. 8, 25 fin.
    (β).
    With abl. alone (so usually in Liv.):

    jure suo,

    Liv. 3, 33 fin.:

    sententiā,

    Tac. A. 14, 49:

    instituto vestro,

    Liv. 37, 54:

    officio (opp. in fide atque officio pristino fore),

    id. 27, 10; 36, 22:

    fide,

    id. 31, 5 fin.; 34, 11; 45, 19 al.:

    poema... si paulum summo decessit, vergit ad imum,

    Hor. A. P. 378.—
    (γ).
    Very rarely with ab:

    cum (senatus) nihil a superioribus continuorum annorum decretis decesserit,

    Cic. Fl. 12.—
    (δ).
    Absol.: si quos equites decedentis nactus sum, supplicio adfeci, Asin. Pol. ap. C. Fam. 10, 32, 5.
    B.
    De via, to depart, deviate from the right way:

    se nulla cupiditate inductum de via decessisse,

    Cic. Cael. 16, 38:

    moleste ferre se de via decessisse,

    id. Clu. 59, 163; so,

    viā dicendi,

    Quint. 4, 5, 3.
    C.
    (acc. to no. I. B. 2) To give way, yield to another (i. e. to his will or superior advantages—very rare):

    vivere si recte nescis, decede peritis,

    Hor. Ep. 2, 2, 213:

    ubi non Hymetto Mella decedunt,

    are not inferior, id. Od. 2, 6, 15.
    D.
    ( poet.) To avoid, shun, escape from (cf. I. B. 2 supra): nec serae meminit decedere nocti, to avoid the late night, i. e. the coldness of night, Varius ap. Macr. S. 6, 2, 20; Verg. Ecl. 8, 88; id. G. 3, 467:

    calori,

    id. ib. 4, 23.
    E.
    To fall short of, degenerate from:

    de generis nobilitate,

    Pall. 3, 25, 2: a rebus gestis ejus et gloriae splendore, Justin. 6, 3, 8.
    * III.
    For the simple verb (v. cedo, no. I. 2), to go off, turn out, result in any manner:

    prospere decedentibus rebus,

    Suet. Caes. 24.

    Lewis & Short latin dictionary > decedo

  • 4 decedo

    dē-cēdo, cessī, cessum, ere, wegtreten = abgehen, fortgehen, abziehen, fortziehen (Ggstz. accedere, herzugehen, manēre, bleiben), absol., od. m. Ang. von wo? durch Advv., durch de od. ex m. Abl., od. durch bl. Abl., m. Ang. wohin? durch Praepp. od. durch bl. Acc., I) eig.: 1) im allg.: a) übh.: α) v. Pers.: decedamus, Plaut.: postulo ut mihi respondeat, iste Verrutius in Sicilia sit an iam decesserit, Cic. – aut decedere nos alicunde cogit aut prohibet accedere, Cic.: dec. de altera parte tertia (agri), das zweite Drittel des G. räumen, Caes.: dec. ex agris Cn. Pompeii decreto, Cic.: relinquere domos ac sedes suas et dec. ex Sicilia, Cic.: dec. ex urbis aestu, Gell.: ex ingratorum hominum conspectu morte decedere, Nep. – dec. Italiā, Sall. – dec. domum (aus der Kurie in Rom), Liv.: dec. ex Gallia Romam, Cic. – dec. ad somnum, Apul. – mit 1. Supin., decedo cacatum, Pompon. com. 130. – m. cum u. Abl., dec. cum eodem Lucullo ex ea provincia, Cic.: dec. cum parte multitudinis patriā, Vell.: dec. cum alqo Romam cupere, Cic. – mit Abl. binnen wann? voce clarā denuntiasse sibi, ut triduo regni sui finibus decederent, Liv. – β) v. Tieren: dec. e pastu u. e pastu campis, Verg. georg. 1, 381, u. 4, 186. – pantherae constituisse dicuntur in Cariam ex nostra provincia decedere, Cic. ep. 2, 11, 2. – γ) vom Fuhrwerk: non ullo ex aequore cernes plura domum tardis decedere plaustra iuvencis, Verg. georg. 2, 205 sq. – b) v. dem, der vom od. aus dem Wege geht, α) vom Wege abgehen, de via dec., Cic. Clu. 163 (s. unten). – u. bes. unabsichtlich, abkommen, cum luminibus exstinctis decessisset viā, Suet. – v. Tieren, iumenta, quae Dareum vehebant, decesserant militari viā et errore delata per quattuor stadia in quadam valle constiterant, Curt. – von Schiffen, naves imprudentiā aut tempestate paulum suo cursu decesserunt, Caes. – im Bilde, se nullā cupiditate inductum de via decessisse, Cic. Cael. 38: si (Ambivius, copo de via Latina) invitaverit, id quod solet, sic hominem accipiemus, ut moleste ferat se de via decessisse, auf Nebenwege gegangen zu sein (eig. [weil die Wirte auf dem Lande auch auf Seitenstraßen Gäste zu sich einzuladen pflegten] u. bildl. [weil Ambivius sich zu falschem Zeugnis hatte gebrauchen lassen]), Cic. Clu. 163: memoriae id maximum est auxilium viā dicendi non decedere, Quint. 4, 5, 3: poëma... si paulum summo decessit, vergit ad imum, wenn es vom Höchsten abweicht, sinkt sehr tief, Hor. de art. poët. 378. – β) aus dem Wege, sowohl um Platz zu machen, beiseite treten, Platz machen, ausweichen, bes. einer Respektsperson aus Achtung, concedite atque abscedite omnes, de via decedite, beiseite! macht alle Platz! weicht auf der Straße aus! Plaut. Amph. 984: si quispiam viso potentissimi nominis atque auctoritatis viro viā decedat, assurgat, caput revelet vehiculoque desiliat, Arnob. 7, 13. – m. Dat. ( wem = vor wem?), sanctis divis, Platz machen, Catull.: alci de via, Plaut.: alci viā, Suet. – m. in u. Abl., alci in via, Ter. heaut. prol. 32. – u. im Passiv. v. der Pers., salutari, appeti, decedi, daß man uns grüßt, uns aufsucht, uns ausweicht, Cic. de sen. 63. – als auch ausweichend, jmdm. aus dem Wege gehen, ausweichen, m. Dat., dec. canibus de via, Cic. de rep. 1, 67: aus Abscheu, his omnes decedunt, Caes. b. G. 6, 13, 7. – und einer Sache aus dem Wege gehen, ausweichen = sie vermeiden, sich ihr entziehen, dec. serae nocti (der späten Nacht = der nächtlichen Kälte), Varius bei Macr. sat. 6, 2, 20. Verg. ecl. 8, 88 u. georg. 3, 467: ebenso calori, Verg. georg. 4, 23: tribunicio furori (durch das Exil), Ps. Cic. prid. cum iret in exs. 13. – c) als milit. t. t., v. Feldherrn, v. Soldaten, von einem Orte, von einem Posten usw. abziehen, abmarschieren, einen Ort, ein Land räumen, decedere atque exercitum deducere ex his regionibus, Caes.: inde dec., Caes. – dec. de colle, de vallo, Caes.: ex matutina statione, Liv.: ex stationibus, Liv. (im Bilde, de praesidio et statione vitae, Cic,): ex Italia, Liv.: ex Cypro ante certam diem, Cic.: praesidio, Liv., iniussu praesidio, Liv.: pugnā, Liv.: dec. agro sociorum ac deducere exercitum finibus Lucanis, Liv.: armis relictis Siciliā dec., Nep. – m. ad u. Akk., legionem sextam decedere ad praemia atque honores accipiendos in Italiam iubet, Auct. b. Alex. 77, 2. – im üblen Sinne, von seinem Posten gehen, seinen Standort verlassen, desertieren, si quos equites decedentes nactus sum, supplicio affeci, Asin. Poll. in Cic. ep. 10, 32, 5. – d) als publiz. t. t., α) v. Magistraten in der Provinz, nach vollendeter Amtsverwaltung von seinem Posten, aus seiner Provinz abgehen, de od. ex (e) provincia, Cic.: provinciā, Cic.: ex provincia Hispania, Liv.: de Sicilia, Cic.: ex Africa, Nep., ex Asia, Cic.: Macedoniā, Suet. – dec. Romam, Sall.: dec. ad consulatum Romam, Liv., ad triumphum Romam, Liv. – dec. ex provincia non ad triumphum, sed ad iudicium, Cic.: dec. ante tempus, Suet.: dec. eā causā maturius, Suet.: te antea quam tibi successum esset decessurum fuisse, Cic. – β) v. Staatsmännern, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, dec. de foro (dem Mittelpunkt des öffentl. Lebens), Nep. Att. 10, 2. – e) v. Schauspielern, dec. de scaena, von der Bühne abtreten (= für immer scheiden), Ggstz. in scaenam redire, Cic. ep. 7, 1, 2.

    2) prägn.: a) v. Sterbenden, aus dem Leben scheiden, dec. de vita, Cic. Rab. perd. 30: dec. vitā, Papin. dig. 7, 1, 57. § 1 u.a.: cum maritus homine decesserit, aus der Welt schied, Solin. 52, 32. – gew. absol., wie unser mit Tode abgehen, scheiden, verscheiden, pater familiae decessit, Caes.: quidam decedens (bei seinem Tode) tres reliquit filias, Phaedr.: si animal od. fetus decesserit, ICt., v. Tieren, decesserat (war krepiert) autem catellus, quem puella in deliciis habuerat, Val. Max. 1, 5, 3. – m. Ang. wie? durch Particc. od. Adii. (als wer?), is qui regnans decessit, Nep.: maior annos sexaginta natus decessit florente regno, Nep.: in morbum implicitus decessit, Nep.: felix decessit, Quint.: admodum pauper decessit, Suet.: puer (als Kn.) decessit, Sen.: alter adulescens (als J.) decessit, alter senex (als Gr.), Sen.: immemor in testando nepotis decessit, Liv.: intestatus decessit, Quint. – od. durch Praepp., decessit sine liberis, Quint. – m. Ang. in welcher Lage? usw. durch in m. Abl., dec. in summa paupertate, Frontin.: in tanta paupertate, ut etc., Nep.: in ipso apparatu belli, Iustin.: in praetura, Capitol.: in incremento rerum, Liv.: od. durch Abl. absol., gravissime ferens, quod decedebat populo Romano superstite, Sen.: hic decessit relictis duobus filiis, Iustin. – m. Ang. wo? durch Adv., od. durch in m. Abl., od. durch Genet. od. Abl. loc., si infans intus (im Mutterleibe) decessit, Cels.: decessit in publicis vinculis, Nep.: decessit Eboraci admodum senex, Eutr. – m. Ang. wodurch? woran? durch Abl., dec. voluntariā morte, Iustin.: morbo, Eutr.: Pyrgis (zu P.) morbo aquae intercutis, Suet. – m. Ang. infolge wessen? durch ab od. ex m. Abl., utraque a partu decessit, Plin. ep. 4, 21, 1: u. illa ex partu decessit, Ascon. in Cic. Pis. p. 4, 22 K. – m. Ang. wann? durch Advv., durch Praepp. od. durch Abl. temp., pater mature decessit, Nep.: cultello percussus intra paucas horas decessit, Vell.: plures post proelium saucii decesserunt, quam cecĭderant in acie, Liv.: die quinto postquam id consilium inierat pridie kal. Apriles Cn. Domitio C. Sosio consulibus decessit, Nep.: decessit paralysi altero die quam correptus est duobus filiis superstitibus, Nep.: decessit vitio stomachi anno aetatis duodetricesimo, Suet. – m. Ang. wem? durch Dat., pater nobis decessit a. d. III. Kal. Decembres, Cic. – b) v. Lebl.: α) v. Wasser, ablaufen, zurücktreten, sich verlieren, ei nuntiatum est aestum decedere, Liv.: Lyco amne decedente ovis relictis in limo generari pisces, qui etc., Plin.: decedentibus fluviis in cavernis aquam habentibus remanere quosdam pisces, Plin.: Nilus si immodicus superfluxit tardeque decessit, Sen. – cum decessisse inde aquam nuntiatum esset, Liv. – β) v. Sonne, Mond, Gestirnen usw., scheiden, sol decedens, Verg.: cum sol decesserit, Lact.: solis lumine decedente, Lact.: Gnossia ardentis decedat stella coronae, Verg.: te veniente die, te decedente canebat, Verg.: decedentia certis tempora momentis, Hor.: im Passiv pers., necdum decessis pelago permittimur umbris, Rutil. Namat. 1, 313. – u. abnehmen, luna decedens (Ggstz. adolescens), Gell. 20, 8, 7. – γ) als mediz. t. t., v. Krankheiten, Schmerz usw., entweichen, sich verlieren, abnehmen, aufhören (Ggstz. incipere, accedere, reverti), decedentis morbi notae, Cels.: subito febris decessit, Nep.: aliae febres cum decedunt sudorem movent, Cels.: intermissio est, cum febris instet, incipiat, augeatur, consistat, decedat, Cels.: alteram quartanam mihi dixit decessisse, alteram leviorem accedere, Cic.: dolor modo decedit, modo revertitur, Cels.: nec calidae citius decedunt corpore febres, Lucr. – δ) v. Geruche, sich verziehen, verduften, et decedet odor nervis inimicus, Hor. serm. 2, 3, 53. – ε) v. Örtlichk., die allmählich, je weiter man sich von ihnen entfernt, zurücktreten, et longo Scyros decedit ponto, Stat. Ach. 2, 308 ed. Queck.

    II) übtr.: 1) im allg.: a) aufgebend, von etw. abgehen, α) von einem Besitze, Rechte = etw. abtreten, aufgeben, auf etw. verzichten, de possessione, Cic.: de suis bonis omnibus, Cic.: de hypothecis, Cic.: de iure suo, Cic.: ex iure suo, Liv. 3, 33, 10. – β) von einer Meinung, einem Beschlusse abgehen, de sententia, Cic.: bl. sententiā, Tac.: instituto suo, Liv.: nihil a superioribus continuorum annorum decretis, Cic. Flacc. 27. – γ) von einer Pflicht usw. abgehen, abweichen, de officio et dignitate, Cic.: propter hominem perditissimum de officio, Cic.: u. (Passiv unpers.), quā stultitiā et temeritate de officio decessum, Liv. – u. bl. officio (Ggstz. in fide atque officio pristino esse), Liv.: fide, Liv.: ne obsidionis quidem metu fide decessisse, Liv. – δ) v. der Art abweichen, de generis nobilitate, ausarten, Pallad. 3, 25, 2. – b) nacheifernd noch abgehen von etw. = zurückbleiben, zurückstehen hinter etw., contendebat, ne a rebus gestis eius et gloriae splendore decederet, Iustin. 6, 3, 8. – c) den Vorrang, Vorzug einräumend weichen = Platz machen, das Feld räumen, m. Dat. wem? vivere si recte nescis, decede peritis, Hor. ep. 2, 2, 213: ubi non Hymetto mella decedunt, Hor. carm. 2, 6, 15.

    2) prägn.: a) vermindernd abgehen (Ggstz. accedere alci rei od. ad alqd), decima pars decedet Col.: de summa nihil decedet, Ter.: an ut de causa periculi nihil decederet, ad causam novum crimen accederet, Cic.: m. bl. Abl., quidquid libertati plebis caveretur, id suis decedere opibus credebant, Liv. 3, 55, 2. – m. Dat. wem? quantum virium Antiocho decessisset, suo id accessurum regno ducebat, Liv. – b) nachlassend, aufhörend, α) v. Zuständen, weichen = sich verlieren, vergehen, verschwinden, decedet iam ira haec, Ter.: postquam ira mente decesserat, Curt.: postquam invidia decesserat, Sall.: cum obtrectationis invidia decesserit, Iustin.: donec cura de Antiocho decessisset, Liv.: non ope humanā, non largitionibus principum decedebat infamia, quin iussum incendium crederetur, Tac. – m. Dat. wem? priusquam ea cura decederet patribus, Liv.: nobis opinio decedat (von uns weiche die M. = die M. halte uns nicht mehr befangen), qualis quisque habeatur, alibi in civium iudicio esse, Tac.: nobis prius decedat timor, quam ultro aliis inferatur, Liv.: adeo repente decessit animis pavor, ut etc., Liv.: nec tibi Vespero surgente decedunt amores, Hor.: audieras illi decedere pravam stultitiam, Hor. – γ) v. Stoffe zu etw. = ausgehen, quaestioni Campanae materia decessit, Liv. 9, 26, 8. – c) so u. so abgehend, v. Ereignissen = ablaufen, von statten gehen, den u. den Erfolg haben, prospere decedentibus rebus, Suet. Caes. 24, 3. – / Infin.Perf. act. synkop. decesse, Ter. heaut. prol. 32. Cic. ep. 7, 1, 2 (Wesenberg decessisse). – Partic. Perf. Pass. decessus bei Rutil. Namat. 1, 313 (s. oben no. I, 2, b, β).

    lateinisch-deutsches > decedo

  • 5 decedo

    dē-cēdo, cessī, cessum, ere, wegtreten = abgehen, fortgehen, abziehen, fortziehen (Ggstz. accedere, herzugehen, manēre, bleiben), absol., od. m. Ang. von wo? durch Advv., durch de od. ex m. Abl., od. durch bl. Abl., m. Ang. wohin? durch Praepp. od. durch bl. Acc., I) eig.: 1) im allg.: a) übh.: α) v. Pers.: decedamus, Plaut.: postulo ut mihi respondeat, iste Verrutius in Sicilia sit an iam decesserit, Cic. – aut decedere nos alicunde cogit aut prohibet accedere, Cic.: dec. de altera parte tertia (agri), das zweite Drittel des G. räumen, Caes.: dec. ex agris Cn. Pompeii decreto, Cic.: relinquere domos ac sedes suas et dec. ex Sicilia, Cic.: dec. ex urbis aestu, Gell.: ex ingratorum hominum conspectu morte decedere, Nep. – dec. Italiā, Sall. – dec. domum (aus der Kurie in Rom), Liv.: dec. ex Gallia Romam, Cic. – dec. ad somnum, Apul. – mit 1. Supin., decedo cacatum, Pompon. com. 130. – m. cum u. Abl., dec. cum eodem Lucullo ex ea provincia, Cic.: dec. cum parte multitudinis patriā, Vell.: dec. cum alqo Romam cupere, Cic. – mit Abl. binnen wann? voce clarā denuntiasse sibi, ut triduo regni sui finibus decederent, Liv. – β) v. Tieren: dec. e pastu u. e pastu campis, Verg. georg. 1, 381, u. 4, 186. – pantherae constituisse dicuntur in Cariam ex nostra provincia decedere, Cic. ep. 2, 11, 2. – γ) vom Fuhrwerk: non ullo ex aequore cernes plura domum
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    tardis decedere plaustra iuvencis, Verg. georg. 2, 205 sq. – b) v. dem, der vom od. aus dem Wege geht, α) vom Wege abgehen, de via dec., Cic. Clu. 163 (s. unten). – u. bes. unabsichtlich, abkommen, cum luminibus exstinctis decessisset viā, Suet. – v. Tieren, iumenta, quae Dareum vehebant, decesserant militari viā et errore delata per quattuor stadia in quadam valle constiterant, Curt. – von Schiffen, naves imprudentiā aut tempestate paulum suo cursu decesserunt, Caes. – im Bilde, se nullā cupiditate inductum de via decessisse, Cic. Cael. 38: si (Ambivius, copo de via Latina) invitaverit, id quod solet, sic hominem accipiemus, ut moleste ferat se de via decessisse, auf Nebenwege gegangen zu sein (eig. [weil die Wirte auf dem Lande auch auf Seitenstraßen Gäste zu sich einzuladen pflegten] u. bildl. [weil Ambivius sich zu falschem Zeugnis hatte gebrauchen lassen]), Cic. Clu. 163: memoriae id maximum est auxilium viā dicendi non decedere, Quint. 4, 5, 3: poëma... si paulum summo decessit, vergit ad imum, wenn es vom Höchsten abweicht, sinkt sehr tief, Hor. de art. poët. 378. – β) aus dem Wege, sowohl um Platz zu machen, beiseite treten, Platz machen, ausweichen, bes. einer Respektsperson aus Achtung, concedite atque abscedite omnes, de via decedite, beiseite! macht alle Platz! weicht auf der Straße aus! Plaut. Amph. 984: si quispiam viso potentissimi nominis
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    atque auctoritatis viro viā decedat, assurgat, caput revelet vehiculoque desiliat, Arnob. 7, 13. – m. Dat. ( wem = vor wem?), sanctis divis, Platz machen, Catull.: alci de via, Plaut.: alci viā, Suet. – m. in u. Abl., alci in via, Ter. heaut. prol. 32. – u. im Passiv. v. der Pers., salutari, appeti, decedi, daß man uns grüßt, uns aufsucht, uns ausweicht, Cic. de sen. 63. – als auch ausweichend, jmdm. aus dem Wege gehen, ausweichen, m. Dat., dec. canibus de via, Cic. de rep. 1, 67: aus Abscheu, his omnes decedunt, Caes. b. G. 6, 13, 7. – und einer Sache aus dem Wege gehen, ausweichen = sie vermeiden, sich ihr entziehen, dec. serae nocti (der späten Nacht = der nächtlichen Kälte), Varius bei Macr. sat. 6, 2, 20. Verg. ecl. 8, 88 u. georg. 3, 467: ebenso calori, Verg. georg. 4, 23: tribunicio furori (durch das Exil), Ps. Cic. prid. cum iret in exs. 13. – c) als milit. t. t., v. Feldherrn, v. Soldaten, von einem Orte, von einem Posten usw. abziehen, abmarschieren, einen Ort, ein Land räumen, decedere atque exercitum deducere ex his regionibus, Caes.: inde dec., Caes. – dec. de colle, de vallo, Caes.: ex matutina statione, Liv.: ex stationibus, Liv. (im Bilde, de praesidio et statione vitae, Cic,): ex Italia, Liv.: ex Cypro ante certam diem, Cic.: praesidio, Liv., iniussu praesidio, Liv.: pugnā, Liv.: dec. agro sociorum ac deducere exercitum finibus Lucanis, Liv.: armis relictis Siciliā dec., Nep. – m. ad u. Akk., legi-
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    onem sextam decedere ad praemia atque honores accipiendos in Italiam iubet, Auct. b. Alex. 77, 2. – im üblen Sinne, von seinem Posten gehen, seinen Standort verlassen, desertieren, si quos equites decedentes nactus sum, supplicio affeci, Asin. Poll. in Cic. ep. 10, 32, 5. – d) als publiz. t. t., α) v. Magistraten in der Provinz, nach vollendeter Amtsverwaltung von seinem Posten, aus seiner Provinz abgehen, de od. ex (e) provincia, Cic.: provinciā, Cic.: ex provincia Hispania, Liv.: de Sicilia, Cic.: ex Africa, Nep., ex Asia, Cic.: Macedoniā, Suet. – dec. Romam, Sall.: dec. ad consulatum Romam, Liv., ad triumphum Romam, Liv. – dec. ex provincia non ad triumphum, sed ad iudicium, Cic.: dec. ante tempus, Suet.: dec. eā causā maturius, Suet.: te antea quam tibi successum esset decessurum fuisse, Cic. – β) v. Staatsmännern, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, dec. de foro (dem Mittelpunkt des öffentl. Lebens), Nep. Att. 10, 2. – e) v. Schauspielern, dec. de scaena, von der Bühne abtreten (= für immer scheiden), Ggstz. in scaenam redire, Cic. ep. 7, 1, 2.
    2) prägn.: a) v. Sterbenden, aus dem Leben scheiden, dec. de vita, Cic. Rab. perd. 30: dec. vitā, Papin. dig. 7, 1, 57. § 1 u.a.: cum maritus homine decesserit, aus der Welt schied, Solin. 52, 32. – gew. absol., wie unser mit Tode abgehen, scheiden, verscheiden, pater familiae decessit, Caes.: quidam decedens (bei
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    seinem Tode) tres reliquit filias, Phaedr.: si animal od. fetus decesserit, ICt., v. Tieren, decesserat (war krepiert) autem catellus, quem puella in deliciis habuerat, Val. Max. 1, 5, 3. – m. Ang. wie? durch Particc. od. Adii. (als wer?), is qui regnans decessit, Nep.: maior annos sexaginta natus decessit florente regno, Nep.: in morbum implicitus decessit, Nep.: felix decessit, Quint.: admodum pauper decessit, Suet.: puer (als Kn.) decessit, Sen.: alter adulescens (als J.) decessit, alter senex (als Gr.), Sen.: immemor in testando nepotis decessit, Liv.: intestatus decessit, Quint. – od. durch Praepp., decessit sine liberis, Quint. – m. Ang. in welcher Lage? usw. durch in m. Abl., dec. in summa paupertate, Frontin.: in tanta paupertate, ut etc., Nep.: in ipso apparatu belli, Iustin.: in praetura, Capitol.: in incremento rerum, Liv.: od. durch Abl. absol., gravissime ferens, quod decedebat populo Romano superstite, Sen.: hic decessit relictis duobus filiis, Iustin. – m. Ang. wo? durch Adv., od. durch in m. Abl., od. durch Genet. od. Abl. loc., si infans intus (im Mutterleibe) decessit, Cels.: decessit in publicis vinculis, Nep.: decessit Eboraci admodum senex, Eutr. – m. Ang. wodurch? woran? durch Abl., dec. voluntariā morte, Iustin.: morbo, Eutr.: Pyrgis (zu P.) morbo aquae intercutis, Suet. – m. Ang. infolge wessen? durch ab od. ex m. Abl., utraque a partu decessit, Plin. ep. 4, 21, 1: u. illa ex partu decessit, Ascon.
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    in Cic. Pis. p. 4, 22 K. – m. Ang. wann? durch Advv., durch Praepp. od. durch Abl. temp., pater mature decessit, Nep.: cultello percussus intra paucas horas decessit, Vell.: plures post proelium saucii decesserunt, quam cecĭderant in acie, Liv.: die quinto postquam id consilium inierat pridie kal. Apriles Cn. Domitio C. Sosio consulibus decessit, Nep.: decessit paralysi altero die quam correptus est duobus filiis superstitibus, Nep.: decessit vitio stomachi anno aetatis duodetricesimo, Suet. – m. Ang. wem? durch Dat., pater nobis decessit a. d. III. Kal. Decembres, Cic. – b) v. Lebl.: α) v. Wasser, ablaufen, zurücktreten, sich verlieren, ei nuntiatum est aestum decedere, Liv.: Lyco amne decedente ovis relictis in limo generari pisces, qui etc., Plin.: decedentibus fluviis in cavernis aquam habentibus remanere quosdam pisces, Plin.: Nilus si immodicus superfluxit tardeque decessit, Sen. – cum decessisse inde aquam nuntiatum esset, Liv. – β) v. Sonne, Mond, Gestirnen usw., scheiden, sol decedens, Verg.: cum sol decesserit, Lact.: solis lumine decedente, Lact.: Gnossia ardentis decedat stella coronae, Verg.: te veniente die, te decedente canebat, Verg.: decedentia certis tempora momentis, Hor.: im Passiv pers., necdum decessis pelago permittimur umbris, Rutil. Namat. 1, 313. – u. abnehmen, luna decedens (Ggstz. adolescens), Gell. 20, 8, 7. – γ) als mediz. t. t., v. Krankheiten, Schmerz
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    usw., entweichen, sich verlieren, abnehmen, aufhören (Ggstz. incipere, accedere, reverti), decedentis morbi notae, Cels.: subito febris decessit, Nep.: aliae febres cum decedunt sudorem movent, Cels.: intermissio est, cum febris instet, incipiat, augeatur, consistat, decedat, Cels.: alteram quartanam mihi dixit decessisse, alteram leviorem accedere, Cic.: dolor modo decedit, modo revertitur, Cels.: nec calidae citius decedunt corpore febres, Lucr. – δ) v. Geruche, sich verziehen, verduften, et decedet odor nervis inimicus, Hor. serm. 2, 3, 53. – ε) v. Örtlichk., die allmählich, je weiter man sich von ihnen entfernt, zurücktreten, et longo Scyros decedit ponto, Stat. Ach. 2, 308 ed. Queck.
    II) übtr.: 1) im allg.: a) aufgebend, von etw. abgehen, α) von einem Besitze, Rechte = etw. abtreten, aufgeben, auf etw. verzichten, de possessione, Cic.: de suis bonis omnibus, Cic.: de hypothecis, Cic.: de iure suo, Cic.: ex iure suo, Liv. 3, 33, 10. – β) von einer Meinung, einem Beschlusse abgehen, de sententia, Cic.: bl. sententiā, Tac.: instituto suo, Liv.: nihil a superioribus continuorum annorum decretis, Cic. Flacc. 27. – γ) von einer Pflicht usw. abgehen, abweichen, de officio et dignitate, Cic.: propter hominem perditissimum de officio, Cic.: u. (Passiv unpers.), quā stultitiā et temeritate de officio decessum, Liv. – u. bl. officio (Ggstz. in fide atque officio pristino esse), Liv.: fide, Liv.: ne obsidionis quidem metu
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    fide decessisse, Liv. – δ) v. der Art abweichen, de generis nobilitate, ausarten, Pallad. 3, 25, 2. – b) nacheifernd noch abgehen von etw. = zurückbleiben, zurückstehen hinter etw., contendebat, ne a rebus gestis eius et gloriae splendore decederet, Iustin. 6, 3, 8. – c) den Vorrang, Vorzug einräumend weichen = Platz machen, das Feld räumen, m. Dat. wem? vivere si recte nescis, decede peritis, Hor. ep. 2, 2, 213: ubi non Hymetto mella decedunt, Hor. carm. 2, 6, 15.
    2) prägn.: a) vermindernd abgehen (Ggstz. accedere alci rei od. ad alqd), decima pars decedet Col.: de summa nihil decedet, Ter.: an ut de causa periculi nihil decederet, ad causam novum crimen accederet, Cic.: m. bl. Abl., quidquid libertati plebis caveretur, id suis decedere opibus credebant, Liv. 3, 55, 2. – m. Dat. wem? quantum virium Antiocho decessisset, suo id accessurum regno ducebat, Liv. – b) nachlassend, aufhörend, α) v. Zuständen, weichen = sich verlieren, vergehen, verschwinden, decedet iam ira haec, Ter.: postquam ira mente decesserat, Curt.: postquam invidia decesserat, Sall.: cum obtrectationis invidia decesserit, Iustin.: donec cura de Antiocho decessisset, Liv.: non ope humanā, non largitionibus principum decedebat infamia, quin iussum incendium crederetur, Tac. – m. Dat. wem? priusquam ea cura decederet patribus, Liv.: nobis opinio decedat (von uns weiche die M. = die M. halte uns nicht mehr befan-
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    gen), qualis quisque habeatur, alibi in civium iudicio esse, Tac.: nobis prius decedat timor, quam ultro aliis inferatur, Liv.: adeo repente decessit animis pavor, ut etc., Liv.: nec tibi Vespero surgente decedunt amores, Hor.: audieras illi decedere pravam stultitiam, Hor. – γ) v. Stoffe zu etw. = ausgehen, quaestioni Campanae materia decessit, Liv. 9, 26, 8. – c) so u. so abgehend, v. Ereignissen = ablaufen, von statten gehen, den u. den Erfolg haben, prospere decedentibus rebus, Suet. Caes. 24, 3. – Infin.Perf. act. synkop. decesse, Ter. heaut. prol. 32. Cic. ep. 7, 1, 2 (Wesenberg decessisse). – Partic. Perf. Pass. decessus bei Rutil. Namat. 1, 313 (s. oben no. I, 2, b, β).

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > decedo

  • 6 forum

    forum, ī, n. (verwandt mit foras u. foris), I) übh. ein »länglich viereckiger freier Raum«, u. zwar: 1) als Vorhof des Grabes, XII tabb. bei Cic. de legg. 2, 61; vgl. Paul. ex Fest. 82, 12. – 2) als Teil der Kelter, wohin man die auszupressenden Trauben (Oliven usw.) legte, Varro r. r. 1, 54, 2. Col. 11, 2, 71. – 3) Plur., fora = fori, die Schiffsgänge, Gell. bei Charis. 71, 30.

    II) insbes.: A) ein längliches Viereck als Marktplatz, Markt, wie sie auch bei den Alten fast in jeder Stadt teils zum Verkehr (Kauf u. Verkauf), teils zu öffentlichen Verhandlungen einer od. mehrere angelegt waren, s. Liv. 23, 19, 18 (Forum zu Präneste), Apul. met. 1, 25 (forum cuppedinis = »Naschmarkt« in Hypata in Thessalien). – ad forum ire, Ter.: rectā per forum redire, Phaedr.: statua Praeneste in foro statuta, Liv.

    Von den Fora in Rom selbst werden am häufigsten erwähnt: 1) als Versammlungsorte übh.: a) das älteste, das forum Rōmānum (Plin. 3, 66. Tac. ann. 12, 24) od. magnum od. vetus, gew. κατ᾽ εξ. bl. forum (Liv. 1, 12, 8; 9, 40, 16. Cic. ad Att. 4, 16, 14 u. sonst oft bei diesen u.a.), eine durch Kunst geebnete Tiefe (154 m lang und 52 m breit), nordwestl. vom Fuße des kapitolin., südl. vom Fuße des palatin. Hügels begrenzt, um das schon Tarquinius Priskus Hallen anlegen ließ (Liv. 1, 35 extr.), zwischen denen dann Kaufleute ihre Buden u. Gewölbe (tabernae), bes. die Wechsler ihre Wechselbuden od. -tische (argentariae od. mensae) aufschlugen; später mit einer Menge öffentlicher Gebäude umbaut u. mit unzähligen Statuen geschmückt, Mittelpunkt des öffentlichen Lebens in Rom, wo der vornehme Römer eine bestimmte Zeit des Tages (vor Tische) zubrachte, um Geld- od. Rechtsgeschäfte abzumachen, an den gerichtlichen Verhandlungen teilzunehmen, Neuigkeiten zu hören u. dgl., aber auch der gemeine Römer sich einfand, um sich von den Vornehmen um seine Stimme angehen zu lassen, bes. aber um den müßigen Zuschauer abzugeben, namentlich gegen Abend, wo Wahrsager u. andere Gaukler auf dem Forum ihr Wesen trieben; vgl. Plaut. Curc. 475 sqq. Macr. sat. 2, 12, 14. Hor. sat. 1, 6, 113 sq. – Nahe an diesem, gleichs. als Erweiterung, lagen, bes. zu gerichtl. Verhandlungen dienend, b) forum Caesaris, von Cäsar angelegt, Suet. Caes. 26, 2. Plin. 16, 236. – u. c) forum Augustī, von Augustus erbaut (Suet. Aug. 29, 1) und mit einer herrlichen Elfenbeinstatue des Apollo geschmückt, Plin. 7, 183. Ov. fast. 5, 552. Ov. ex Pont. 4, 15, 16. Ov. trist. 3, 1, 27 (haec sunt fora Caesaris [sc. Augusti]); bl. forum gen. b. Iuven, 1, 128 (wo Apollo wegen der Gerichtsverhandlungen auf diesem F. iuris peritus heißt). – dah. die Anspielung auf diese drei Fora b. Sen. de ira 2, 9, 4. Mart. 3, 38, 4. Stat. silv. 4, 9, 15. – d) forum Traīanī, von Trajan erbaut, forum, quod (Traianus) aedificavit, Eutr. 8, 5.

    2) als bloße Marktplätze, a) forum bovārium od. boārium, der Rindermarkt, zwischen dem Zirkus Maximus u. dem Tiber, mit einem erbeuteten ehernen Stiere geschmückt (vgl. Ov. fast. 6, 478), for. bov., Varro LL. 5, 146 eod. Goth. Cic. Scaur. 23. Liv. 10, 23, 3; 22, 57, 6 (vgl. Drak. Liv. 35, 40, 8): for. boar., Varro LL. 5, 146 M. Liv. 21, 62, 2. Val. Max. 1, 6, 5 u. 2, 4, 7. Plin. 34, 10. Tac. ann. 12, 24. Paul. ex Fest. 30, 5: vulg. forum bobarium, Not. Tir. 56, 87. – b) forum olitōrium ( holitōrium), der Gemüsemarkt, südl. vom Theater des Marcellus, zwischen dem kapitolin. Hügel u. dem Tiber, wo die columna lactaria stand, an der man die Kinder aussetzte, Varro LL. 5, 146. Liv. 21, 62, 2 u. 4. Tac. ann. 2, 49. Paul. ex Fest. 118, 6. – Dort wohl auch das forum coquīnum, wo die Köche (die zu jedem Gastmahl besonders gemietet wurden) ihre Dienste anboten, Plaut. Pseud. 790. – c) forum piscārium od. piscātōrium, der Fischmarkt, zwischen der basilica Porcia (neben der Kirche di S. Tito) u. dem Vestatempel, Varro LL. 5, 146. Plaut. Curc. 474. Liv. 26, 27, 3 u. 40, 51, 5. Col. 8, 17, 15. – d) forum cuppēdinis, der Naschmarkt, bei den Kornelkirschbäumen (ad corneta) zwischen der sacra via u. dem Macellum, Varro LL. 5, 146 (in einer andern Stadt, Apul. met. 1, 24).

    3) vom Forum (bes. vom Forum Romanum) hergenommene Redensarten, u. zwar a) als Mittelpunkt des öffentl. Lebens: scisti uti foro, du hast gelernt, dich in die Welt zu schicken, Ter.: de foro decedere, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, nicht mehr öffentlich erscheinen, Nep.: verba de foro arripere, die Worte von der Straße aufgreifen (= sich der Worte des gewöhnl. Verkehrs bedienen), Cic. – b) als Geschäfts-, bes. Wechslermarkt: triduum foro operam dare, sich auf dem Forum herumtreiben (Geldgeschäfte halber), Plaut.: iam triginta annos in foro versari, Geschäfte (als Kaufmann od. Wechsler) machen, Cic.: ratio pecuniarum, quae in foro versatur, auf dem Geldmarkt gang u. gäbe ist, Cic.: cedere foro, bankerott werden, Sen.: u. so foro mersus, bankerott, Sen.: fidem de foro tollere, den öffentl. Kredit vernichten, Cic. – c) als Ort für Staatsverhandlungen, bes. Gerichtsgeschäfte: forum attingere, anfangen Staatsgeschäfte zu treiben, bes. als gerichtl. Redner auftreten, Cic.: u. so in foro esse coepisse, Nep.: forum indicit, heißt sie das Forum zum Mittelpunkte ihrer gemeinschaftl. Angelegenheiten (Gerichte u. Verhandlungen) machen, Verg.: fori tabes, die Pest des Forums (d.i. die auf dem F. als Gerichtsort herrschenden niederen Leidenschaften u. dgl.), Tac.: omne forum (Markt = Volk) quem spectat et omne tribunal, Hor. ep. 1, 16, 57. – Sprichw., in alieno foro litigare, weder ein noch aus wissen (wie der, der vor einem fremden Forum prozessiert, dessen Gerichtsgang ihm unbekannt ist), Mart. praef. 12.

    B) übtr.: 1) ein Handelsplatz, Vaga, forum rerum venalium totius regni maxime celebratum, der besuchteste Handels- u. Stapelplatz, Sall. Iug. 47, 1.

    2) die Gerichts- oder Kreisstadt einer Provinz, wo wegen des Zusammenströmens von Menschen Markttage u. Gerichtshöfe waren; dah. (v. Statthalter der Provinz) forum agere, Gerichtstag halten, Recht sprechen, Cic. – u. dav. Name vieler Städte, von denen bei den gelesensten Schriftstellern (sehr viele bei Plin. nat. hist.) vorkommen: a) Forum Appiī, ein vom Zensor Appius Klaudius angelegter Marktflecken in Latium, an der via Appia (s. Appius), nach einigen j. S. Donato, Cic. ad Att. 2, 10. Hor. sat. 1, 5, 3. Plin. 3, 64 u. 14, 60. Anton. itin. 107, 4. Vulg. act. apost. 28, 15. Corp. inscr. Lat. 10, 6824. – b) Forum Aurēlium, tuskischer Flecken an der aurelischen Straße (via Aurelia), von C. Aurelius Kotta kolonisiert, j. Monte Alto, Cic. Catil. 1, 24. – c) Forum Cornēlium, Stadt der Lingones im zispadan. Gallien, vom Diktator Korn. Sulla angelegt. j. Imola, Cic. ep. 12, 5, 2. – d) Forum Gallōrum, Flecken im zispadan. Gallien, j. Casiel Franco, Galba in Cic. ep. 10, 30, 2. e) Forum Iūliī od. Iūlium, Stadt im narbon. Gallien, von Jul. Cäsar kolonisiert, j. Fréjus, Planc. in Cic. ep. 10, 15, 3 u. 17, 1. Tac. ann. 2, 63: dass. oppidum Forōiūliēnse, Tac. ann. 4, 5, u. colōnia Forōiūliēnsis, Tac. hist. 2, 14 u. 3, 42; ebenso Forōiūliēnsium colōnia, Tac. Agr. 4. – f) Forum Vocōniī, Stadt der Salier im narbon. Gallien, j. Le Luc od. Draguignan (in der Provence), Planc. in Cic. ep. 10, 17, 1. Lepid. in Cic. ep. 10, 34, 1.

    lateinisch-deutsches > forum

  • 7 forum

    forum, ī, n. (verwandt mit foras u. foris), I) übh. ein »länglich viereckiger freier Raum«, u. zwar: 1) als Vorhof des Grabes, XII tabb. bei Cic. de legg. 2, 61; vgl. Paul. ex Fest. 82, 12. – 2) als Teil der Kelter, wohin man die auszupressenden Trauben (Oliven usw.) legte, Varro r. r. 1, 54, 2. Col. 11, 2, 71. – 3) Plur., fora = fori, die Schiffsgänge, Gell. bei Charis. 71, 30.
    II) insbes.: A) ein längliches Viereck als Marktplatz, Markt, wie sie auch bei den Alten fast in jeder Stadt teils zum Verkehr (Kauf u. Verkauf), teils zu öffentlichen Verhandlungen einer od. mehrere angelegt waren, s. Liv. 23, 19, 18 (Forum zu Präneste), Apul. met. 1, 25 (forum cuppedinis = »Naschmarkt« in Hypata in Thessalien). – ad forum ire, Ter.: rectā per forum redire, Phaedr.: statua Praeneste in foro statuta, Liv.
    Von den Fora in Rom selbst werden am häufigsten erwähnt: 1) als Versammlungsorte übh.: a) das älteste, das forum Rōmānum (Plin. 3, 66. Tac. ann. 12, 24) od. magnum od. vetus, gew. κατ᾽ εξ. bl. forum (Liv. 1, 12, 8; 9, 40, 16. Cic. ad Att. 4, 16, 14 u. sonst oft bei diesen u.a.), eine durch Kunst geebnete Tiefe (154 m lang und 52 m breit), nordwestl. vom Fuße des kapitolin., südl. vom Fuße des palatin. Hügels begrenzt, um das schon Tarquinius Priskus
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    Hallen anlegen ließ (Liv. 1, 35 extr.), zwischen denen dann Kaufleute ihre Buden u. Gewölbe (tabernae), bes. die Wechsler ihre Wechselbuden od. -tische (argentariae od. mensae) aufschlugen; später mit einer Menge öffentlicher Gebäude umbaut u. mit unzähligen Statuen geschmückt, Mittelpunkt des öffentlichen Lebens in Rom, wo der vornehme Römer eine bestimmte Zeit des Tages (vor Tische) zubrachte, um Geld- od. Rechtsgeschäfte abzumachen, an den gerichtlichen Verhandlungen teilzunehmen, Neuigkeiten zu hören u. dgl., aber auch der gemeine Römer sich einfand, um sich von den Vornehmen um seine Stimme angehen zu lassen, bes. aber um den müßigen Zuschauer abzugeben, namentlich gegen Abend, wo Wahrsager u. andere Gaukler auf dem Forum ihr Wesen trieben; vgl. Plaut. Curc. 475 sqq. Macr. sat. 2, 12, 14. Hor. sat. 1, 6, 113 sq. – Nahe an diesem, gleichs. als Erweiterung, lagen, bes. zu gerichtl. Verhandlungen dienend, b) forum Caesaris, von Cäsar angelegt, Suet. Caes. 26, 2. Plin. 16, 236. – u. c) forum Augustī, von Augustus erbaut (Suet. Aug. 29, 1) und mit einer herrlichen Elfenbeinstatue des Apollo geschmückt, Plin. 7, 183. Ov. fast. 5, 552. Ov. ex Pont. 4, 15, 16. Ov. trist. 3, 1, 27 (haec sunt fora Caesaris [sc. Augusti]); bl. forum gen. b. Iuven, 1, 128 (wo Apollo wegen der Gerichtsverhandlungen auf diesem F. iuris peritus heißt). – dah.
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    die Anspielung auf diese drei Fora b. Sen. de ira 2, 9, 4. Mart. 3, 38, 4. Stat. silv. 4, 9, 15. – d) forum Traīanī, von Trajan erbaut, forum, quod (Traianus) aedificavit, Eutr. 8, 5.
    2) als bloße Marktplätze, a) forum bovārium od. boārium, der Rindermarkt, zwischen dem Zirkus Maximus u. dem Tiber, mit einem erbeuteten ehernen Stiere geschmückt (vgl. Ov. fast. 6, 478), for. bov., Varro LL. 5, 146 eod. Goth. Cic. Scaur. 23. Liv. 10, 23, 3; 22, 57, 6 (vgl. Drak. Liv. 35, 40, 8): for. boar., Varro LL. 5, 146 M. Liv. 21, 62, 2. Val. Max. 1, 6, 5 u. 2, 4, 7. Plin. 34, 10. Tac. ann. 12, 24. Paul. ex Fest. 30, 5: vulg. forum bobarium, Not. Tir. 56, 87. – b) forum olitōrium ( holitōrium), der Gemüsemarkt, südl. vom Theater des Marcellus, zwischen dem kapitolin. Hügel u. dem Tiber, wo die columna lactaria stand, an der man die Kinder aussetzte, Varro LL. 5, 146. Liv. 21, 62, 2 u. 4. Tac. ann. 2, 49. Paul. ex Fest. 118, 6. – Dort wohl auch das forum coquīnum, wo die Köche (die zu jedem Gastmahl besonders gemietet wurden) ihre Dienste anboten, Plaut. Pseud. 790. – c) forum piscārium od. piscātōrium, der Fischmarkt, zwischen der basilica Porcia (neben der Kirche di S. Tito) u. dem Vestatempel, Varro LL. 5, 146. Plaut. Curc. 474. Liv. 26, 27, 3 u. 40, 51, 5. Col. 8, 17, 15. – d) forum cuppēdinis, der Naschmarkt, bei den Kornelkirschbäu-
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    men (ad corneta) zwischen der sacra via u. dem Macellum, Varro LL. 5, 146 (in einer andern Stadt, Apul. met. 1, 24).
    3) vom Forum (bes. vom Forum Romanum) hergenommene Redensarten, u. zwar a) als Mittelpunkt des öffentl. Lebens: scisti uti foro, du hast gelernt, dich in die Welt zu schicken, Ter.: de foro decedere, sich aus dem öffentl. Leben zurückziehen, nicht mehr öffentlich erscheinen, Nep.: verba de foro arripere, die Worte von der Straße aufgreifen (= sich der Worte des gewöhnl. Verkehrs bedienen), Cic. – b) als Geschäfts-, bes. Wechslermarkt: triduum foro operam dare, sich auf dem Forum herumtreiben (Geldgeschäfte halber), Plaut.: iam triginta annos in foro versari, Geschäfte (als Kaufmann od. Wechsler) machen, Cic.: ratio pecuniarum, quae in foro versatur, auf dem Geldmarkt gang u. gäbe ist, Cic.: cedere foro, bankerott werden, Sen.: u. so foro mersus, bankerott, Sen.: fidem de foro tollere, den öffentl. Kredit vernichten, Cic. – c) als Ort für Staatsverhandlungen, bes. Gerichtsgeschäfte: forum attingere, anfangen Staatsgeschäfte zu treiben, bes. als gerichtl. Redner auftreten, Cic.: u. so in foro esse coepisse, Nep.: forum indicit, heißt sie das Forum zum Mittelpunkte ihrer gemeinschaftl. Angelegenheiten (Gerichte u. Verhandlungen) machen, Verg.: fori tabes, die Pest des Forums (d.i. die auf dem F. als Ge-
    ————
    richtsort herrschenden niederen Leidenschaften u. dgl.), Tac.: omne forum (Markt = Volk) quem spectat et omne tribunal, Hor. ep. 1, 16, 57. – Sprichw., in alieno foro litigare, weder ein noch aus wissen (wie der, der vor einem fremden Forum prozessiert, dessen Gerichtsgang ihm unbekannt ist), Mart. praef. 12.
    B) übtr.: 1) ein Handelsplatz, Vaga, forum rerum venalium totius regni maxime celebratum, der besuchteste Handels- u. Stapelplatz, Sall. Iug. 47, 1.
    2) die Gerichts- oder Kreisstadt einer Provinz, wo wegen des Zusammenströmens von Menschen Markttage u. Gerichtshöfe waren; dah. (v. Statthalter der Provinz) forum agere, Gerichtstag halten, Recht sprechen, Cic. – u. dav. Name vieler Städte, von denen bei den gelesensten Schriftstellern (sehr viele bei Plin. nat. hist.) vorkommen: a) Forum Appiī, ein vom Zensor Appius Klaudius angelegter Marktflecken in Latium, an der via Appia (s. Appius), nach einigen j. S. Donato, Cic. ad Att. 2, 10. Hor. sat. 1, 5, 3. Plin. 3, 64 u. 14, 60. Anton. itin. 107, 4. Vulg. act. apost. 28, 15. Corp. inscr. Lat. 10, 6824. – b) Forum Aurēlium, tuskischer Flecken an der aurelischen Straße (via Aurelia), von C. Aurelius Kotta kolonisiert, j. Monte Alto, Cic. Catil. 1, 24. – c) Forum Cornēlium, Stadt der Lingones im zispadan. Gallien, vom Diktator Korn. Sulla angelegt. j.
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    Imola, Cic. ep. 12, 5, 2. – d) Forum Gallōrum, Flecken im zispadan. Gallien, j. Casiel Franco, Galba in Cic. ep. 10, 30, 2. e) Forum Iūliī od. Iūlium, Stadt im narbon. Gallien, von Jul. Cäsar kolonisiert, j. Fréjus, Planc. in Cic. ep. 10, 15, 3 u. 17, 1. Tac. ann. 2, 63: dass. oppidum Forōiūliēnse, Tac. ann. 4, 5, u. colōnia Forōiūliēnsis, Tac. hist. 2, 14 u. 3, 42; ebenso Forōiūliēnsium colōnia, Tac. Agr. 4. – f) Forum Vocōniī, Stadt der Salier im narbon. Gallien, j. Le Luc od. Draguignan (in der Provence), Planc. in Cic. ep. 10, 17, 1. Lepid. in Cic. ep. 10, 34, 1.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > forum

  • 8 forum

    I ī n. [одного корня с foras и foris ]
    1) арх. преддверие гробницы (« vestibulum sepulcri» C) LXIIT
    3) рыночная площадь, городской рынок (f. bovarium или boarium C, L, olitorium L, coquīnum Pl, piscarium или piscatorium Pl, L, cuppedĭnis Vr)
    4)
    а) торжище, центральная площадь, форум (центр общественной, политической, судебной и деловой жизни города)
    f. Romanum PM, T (тж. Magnum или Vetus C, L etc.) — римский форум (на вост. стороне Капитолийского и северной Палатинского холмов; в сев.-вост. его частиcomitium, место народных собраний; к нему примыкали f. Caesăris Su, PM и f. Augusti O, Su, PM, место судопроизводства)
    б) перен.
    in foro versari Cзаниматься торговыми ( или финансовыми) операциями или быть общепринятым на форуме
    f. attingere C (in foro esse coepisse Nep) — заняться государственными (преим. судебными) делами
    f. agere Cчинить суд
    in alieno foro litigare погов. M — выступать в разбирательстве чужого (и незнакомого) дела, т. е. не понимать в чём дело
    5) центральный город провинции, областной центр (civitates in idem f. convenientes C)
    II Forum, ī n.
    1) F. Alieni, город в Цизальпинской Галлии, к юго-зап. от Вероны T
    2) F. Apii, город в Латии, на via Appia C, H, PM
    3) F. Aurelium, город в Этрурии, на via Aurelia C
    4) F. Cornelii, город в Циспаданской Галлии, на via Aemilia, между Бононией и Фавенцией C
    5) F. Gallorum — там же, между Мутиной и Бононией C
    6) F. Julii ( или Julium), тж. oppidum Forojuliense, colonia Forojuliensis, город в Нарбонской Галлии, к сев.-вост. от Массилии (ныне Frejus) T

    Латинско-русский словарь > forum

  • 9 dē-cēdō

        dē-cēdō cessī    (inf. dēcēsse, T.), cessus, ere, to go away, depart, withdraw, retire: de alterā parte (agri), Cs.: de praesidio: ex Galliā Romam: e pastu decedere campis, V.: Africā, S.: praesidio, L.: naves suo cursu, i. e. went out of their course, Cs.—To retire, withdraw, retreat, fall back, abandon a position: nisi decedat atque exercitum deducat, Cs.: inde, Cs.: Italiā. — Of a provincial magistrate, to retire, surrender (office): de provinciā decessit: ex Syriā: provinciā: te decessurum fuisse: Romam, S.: Romam ad triumphum, L.—To give place, make way, retire, yield: servo in viā Decesse populum, T.: serae nocti, i. e. at the approach of, V.: calori, to escape from, V.: canibus de viā, avoid: his omnes decedunt, avoid, Cs. —Fig., to depart, disappear, die: de vitā: ex ingratorum hominum conspectu morte, N.: cum pater familiae decessit, Cs.: in paupertate, N.— To depart, go off, abate, subside, cease: febres, N.: nuntiatum est aestum decedere, L.: De summā nihil decedet, be wanting, T.: de causā periculi nihil: quaestioni materia decessit, L.: Decedet iam ira haec, T.: neque Decedit aeratā triremi cura, H.: postquam invidia decesserat, S.—Poet.: sol decedens, setting, V.: lux, tarde decedere visa, O.: decedentia Tempora, passing seasons, H.—To depart from, give up, resign, forego, yield, swerve: de suis bonis: de meo iure: de sententiā: de foro, to retire from public life, N.: de scenā: de officio decessum, L.: iure suo, L.: poema si paulum summo decessit, has fallen short of, H.: cum (senatus) nihil a decretis decesserit.—To depart, deviate: de viā, i. e. from right: instituto suo, L.: fide, L.— To give way, yield: decede peritis, be guided by, H.: ubi non Hymetto Mella decedunt, are not inferior, H.

    Latin-English dictionary > dē-cēdō

  • 10 de

    1.
    , adv.: of place, down, only in the phrase susque deque, q. v.
    2.
    , prep. [perh. for ded; cf. Oscan dat, old abl. of pronom. stem da; cf. also Lith. praep. da, as far as; and the suffixes, old case-forms, -dam, -dem, -dum, -do, with the locative -de; v. Ribbeck, Beitr. z. L. v. d. Lat. Part. p. 4 sq.] (with abl., denotes the going out, departure, removal, or separating of an object from any fixed point. Accordingly, it occupies a middle place between ab, away from, which denotes a mere external departure, and ex, out of, which signifies from the interior of a thing. Hence verbs compounded with de are constr. not only with de, but quite as freq. with ab and ex; and, on the other hand, those compounded with ab and ex often have the terminus a quo indicated by de), from, away from, down from, out of, etc.
    A.
    In space, lit. and trop. with verbs of motion: animam de corpore mitto, Enn. ap. Non. p. 150, 6 (Ann. v. 216 Vahl.):

    aliquo quom jam sucus de corpore cessit,

    Lucr. 3, 224:

    (quod Ariovistus) de altera parte agri Sequanos decedere juberet,

    to depart, withdraw from, Caes. B. G. 1, 31, 10; cf.:

    civitati persuasit, ut de finibus suis cum omnibus copiis exirent,

    id. ib. 1, 2:

    decedere de provincia,

    Cic. Verr. 2, 2, 20, § 49 ( = ex provincia, id. ib. 2, 2, 65, §

    147): de vita decedere,

    Cic. Rab. Perd. 11:

    exire de vita,

    id. Lael. 4, 15 (cf.:

    excedere e vita,

    id. ib. 3, 12):

    de triclinio, de cubiculo exire,

    id. de Or. 2, 65 fin.:

    hamum de cubiculo ut e navicula jacere,

    Plin. Ep. 9, 7, 4:

    de castris procedere,

    Sall. C. 61, 8 et saep.:

    brassica de capite et de oculis omnia (mala) deducet,

    Cato R. R. 157, 6:

    de digito anulum detraho,

    Ter. Heaut. 4, 1, 38; cf.:

    de matris complexu aliquem avellere atque abstrahere,

    Cic. Font. 17:

    nomen suum de tabula sustulit,

    id. Sest. 33, 72:

    ferrum de manibus extorsimus,

    id. Cat. 2, 1, 2:

    juris utilitas vel a peritis vel de libris depromi potest,

    id. de Or. 1, 59, 252 et saep.:

    ... decido de lecto praeceps,

    Plaut. Casin. 5, 2, 50:

    de muro se deicere,

    Caes. B. C. 1, 18, 3:

    de sella exsilire,

    Cic. Verr. 2, 2, 30 fin.:

    nec ex equo vel de muro, etc., hostem destinare,

    Tert. adv. Jud. 9, p. 192:

    de caelo aliquid demittere,

    Lucr. 2, 1155; cf. Cato R. R. 14, 3 et saep.—
    b.
    In gen., to indicate the person or place from which any thing is taken, etc., with verbs of taking away, depriving, demanding, requesting, inquiring, buying; as capere, sumere, emere, quaerere, discere, trahere, etc., and their compounds; cf.:

    emere de aliquo,

    Cato R. R. 1, 4:

    aliquid mercari de aliquo,

    Cic. Fl. 20 et saep.:

    de aliquo quaerere, quid, etc.,

    Cic. Att. 1, 14, 2:

    saepe hoc audivi de patre,

    id. de Or. 3, 33, 133; cf.:

    de mausoleo exaudita vox est,

    Suet. Ner. 46:

    ut sibi liceret discere id de me,

    Ter. Eun. 2, 2, 31;

    so with petere, of place (class.): de vicino terra petita solo,

    Ov. F. 4, 822;

    so of persons (late Lat.): peto de te,

    Dig. 36, 1, 57, § 2; Apul. M. 6, p. 179, 40.
    2.
    To point out the place from which any thing is brought; and hence, trop., to indicate its origin, derivation, etc.: of, from: de circo astrologi, Enn. ap. Cic. Div. 1, 58; so,

    caupo de via Latina,

    Cic. Clu. 59, 163:

    nescio qui de circo maximo,

    id. Mil. 24, 65:

    declamator aliqui de ludo aut rabula de foro,

    id. Or. 15, 47:

    homo de schola atque a magistro... eruditus,

    id. de Or. 2, 7, 28:

    nautae de navi Alexandrina,

    Suet. Aug. 98:

    aliquis de ponte,

    i. e. a beggar, Juv. 14, 134:

    Libyca de rupe leones,

    Ov. F. 2, 209:

    nostro de rure corona,

    Tib. 1, 1, 15:

    Vaticano fragiles de monte patellas,

    Juv. 6, 344 al.:

    de summo loco Summoque genere eques,

    Plaut. Capt. prol. 30; cf. id. Aul. prol. 28; id. Poen. 3, 1, 13:

    genetrix Priami de gente vetusta,

    Verg. A. 9, 284; cf. id. ib. 10, 350; Stat. S. 5, 3, 126:

    de Numitore sati,

    Ov. F. 5, 41:

    de libris,

    Cic. de Or. 1, 59, 252:

    de Philocteta, id,

    ib. 3, 35, 141 (cf.:

    e Philocteta versus,

    Quint. 3, 1, 14).
    3.
    Transf., to indicate the quarter from which motion proceeds (cf. ab), from, and because motion is so often and naturally downwards, down from:

    haec agebantur in conventu, palam, de sella ac de loco superiore,

    Cic. Verr. 2, 4, 40; cf. ib. 2, 2, 38:

    quem ad se vocari et de tribunali citari jussit,

    id. ib. 2, 5, 7:

    qui nihil ex occulto, nihil de insidiis, agendum putant,

    Cic. Off. 1, 30, 109; cf.

    de tergo plagas dare,

    from behind, Plaut. Asin. 2, 2, 10; Just. 20, 5, 5:

    de paupere mensa dona,

    Tib. 1, 1, 37 et saep.—In jurid. Latin: de plano discutere, interloqui, cognoscere, etc., i. e. on level ground, not on the tribunal (cf. chamothen, opp. pro bêmatos, Dig. 27, 1, 13, § 10), Dig. 1, 4, 1; 1, 16, 9; 14. 3, 11 et saep.; so, de plano, off-hand, without formal consideration, Lucr. 1, 411;

    v. planus.—And with pendeo, etc. (the motion in the eye transferred to the object): deque viri collo dulce pependit onus,

    Ov. F. 2, 760:

    lucerna de camera pendebat,

    Petr. 30, 3; cf.:

    et nova de gravido palmite gemma tumet,

    Ov. F. 1, 152:

    de qua pariens arbore nixa dea est,

    leaning downwards against the tree, id. H. 21, 100.
    B.
    In time.
    1.
    Immediately following a given moment of time, after, directly after (very rare):

    de concursu,

    Lucr. 1, 384 (cf. Munro, ad loc.):

    velim scire hodiene statim de auctione aut quo die venias,

    Cic. Att. 12, 3:

    non bonus somnus est de prandio,

    Plaut. Most. 3, 2, 8:

    de eorum verbis prosilui, etc.,

    id. Trin. 1, 2, 178.—Hence, diem de die, from day to day, day after day, Liv. 5, 48:

    cum is diem de die differret, dum, etc.,

    id. 25, 25; cf.:

    diem de die proferendo,

    Just. 2, 15, 6: de die in diem, from day to day, daily (eccl. Lat.), Vulg. Psa. 60, 8; 2 Pet. 2, 8; Cypr. Ep. 3, 11.
    2.
    De nocte, de vigilia, etc., to designate an act which begins or takes its origin from the night-time, Engl. during or in the course of the night, at night, by night, etc.: De. Rus cras cum filio Cum primo lucu ibo hinc. Mi. Imo de nocte censeo, to-night rather, Ter. Ad. 5, 3, 55: in comitium Milo de nocte venit, in the night (cf. shortly before, Milo media nocte in campum venit), Cic. Att. 4, 3, 4; cf. id. Mur. 33, 69:

    vigilas tu de nocte,

    id. ib. 9, 22; cf.:

    de nocte evigilabat,

    Suet. Vesp. 21:

    ut jugulent homines, surgunt de nocte latrones,

    at night, Hor. Ep. 1, 2, 32;

    and Hannibal surgere de nocte solitus, Frontin Strat. 4, 3, 7 et saep.: ut de nocte multa impigreque exsurrexi,

    late in the night, Plaut. Rud. 4, 2, 10; so,

    multa de nocte,

    Cic. Sest. 35, 75; id. Att. 7, 4 fin. (for which multa nocte, id. Q. Fr. 2, 9); cf.

    also: si de multa nocte (al. de nocte) vigilassent,

    id. Att. 2, 15, 2:

    Caesar mittit complures equitum turmas eo de media nocte,

    Caes. B. G. 7, 45; 7, 88; so,

    media de nocte,

    at midnight, Suet. Calig. 26; Hor. Ep. 1, 18, 91:

    Caesar de tertia vigilia e castris profectus,

    in the third night-watch, Caes. B. G. 1, 12:

    de tertia vigilia,

    id. ib. 1, 21; Liv. 9, 44 Drak.; 40, 4 al.; cf.:

    de quarta vigilia,

    Caes. B. G. 1, 21, 3 al.; v. vigilia. —As in this manner de nocte became adverbially = nocte, so de die was sometimes used for die or per diem:

    de die potare,

    by day, in the daytime, Plaut. Asin. 4, 2, 16:

    epulari de die,

    Liv. 23, 8; Ter. Ad. 5, 9, 8; Catull. 47, 6; Suet. Calig. 37; id. Domit. 21; cf.:

    bibulus media de luce Falerni,

    Hor. Ep. 1, 14, 34;

    and in a lusus verbb. with in diem,

    Cic. Phil. 2, 34 fin. —Less freq., de mense:

    navigare de mense Decembri,

    in December, Cic. Q. Fr. 2, 1 fin. —And once de tempore for tempore: ipse de tempore coenavit, Auct. B. Hisp. 33, 5.
    C.
    In other relations, implying separation, departure from, etc.
    1.
    To designate the whole, from which a part is taken, or of which a part is separately regarded, etc., from among, out of, from:

    hominem certum misi de comitibus meis,

    Cic. Att. 8, 1, 2:

    gladio percussus ab uno de illis,

    id. Mil. 24, 65:

    si quis de nostris hominibus,

    id. Flacc. 4:

    quemvis de iis qui essent idonei,

    id. Div. in Caecil. 4 fin.:

    de tribus et decem fundis tres nobilissimi fundi,

    id. Rosc. Am. 35, 99 et saep.:

    accusator de plebe,

    id. Brut. 34, 131:

    pulsare minimum de plebe Quiritem,

    Ov. Am. 1, 7, 29; cf. Liv. 7, 17:

    malus poëta de populo,

    Cic. Arch. 10, 25 et saep.:

    partem solido demere de die,

    Hor. Od. 1, 1, 20:

    quantum de vita perdiderit,

    Petr. 26:

    praeteriine tuas de tot caelestibus aras,

    Ov. Her. 21, 179; Juv. 1, 138. —
    b.
    Sometimes de with abl. takes the place of the gen. partit. or gen. obj. In the best writers this occurs mainly
    (α).
    to avoid ambiguity where genitives would be multiplied:

    ne expers partis esset de nostris bonis,

    Ter. Heaut. 4, 1, 39:

    ut aliquem partem de istius impudentia reticere possim,

    Cic. Verr. 2, 1, 12, § 32;
    (β).
    for greater precision:

    si quae sunt de eodem genere,

    id. Tusc. 4, 7, 16:

    persona de mimo,

    id. Phil. 2, 27, 65;
    (γ).
    in the poets, metri gratiā:

    aliquid de more vetusto,

    Ov. F. 6, 309; Grat. Cyneg. 17:

    laudes de Caesare,

    Ov. Pont. 4, 13, 23:

    cetera de genere hoc,

    Hor. Sat. 1, 1, 13; Lucr. 4, 746. This circumlocution was freq. [p. 514] in comic writers and in vulgar lang., and became more common in the declining periods of the lang., so that in the Romance tongues de, di, etc., with a case represent the earlier genitive (so, conscius, conscientia, meminisse, mentionem facere, recordari, etc., de aliqua re for alicujus rei, v. h. vv.).
    2.
    To indicate the property from which the costs of any thing are taken:

    obsonat, potat, olet unguenta de meo,

    Ter. Ad. 1, 2, 37; so,

    de tuo,

    Plaut. Bac. 1, 1, 65:

    de suo,

    Cic. Att. 16, 16, A, 5; Suet. Caes. 19:

    de nostro,

    Plaut. Truc. 1, 2, 11:

    de vestro,

    Liv. 6, 15, 10; cf.:

    de vestris,

    Ov. F. 3, 828:

    de alieno,

    Liv. 3, 1, 3; Just. 36, 3 fin.:

    de publico,

    Cic. Verr. 2, 3, 44; Liv. 1, 20; 2, 16; 4, 60. For de tuo, once de te:

    de te largitor puer,

    Ter. Ad. 5, 8, 17.—Also in a trop. sense:

    ad tua praecepta de meo nihil his novum apposivi,

    Plaut. Mil. 3, 3, 31; cf. id. Men. 1. 2, 40; Cic. Fam. 4, 3; Plin. Ep. 4, 13, 8.— Poet., to denote that out of which, or by which, one pays a penalty or suffers punishment:

    has vestro de sanguine poenas datis,

    Luc. 4, 805; cf.:

    cum de visceribus tuis satisfacturus sis quibus debes,

    Cic. Q. Frat. 1, 3, 7.
    3.
    To designate the material of which any thing is made, of, out of, from:

    niveo factum de marmore signum,

    Ov. M. 14, 313; cf. Verg. G. 3, 13:

    verno de flore corona,

    Tib. 2, 1, 59:

    sucus de quinquefolio,

    Plin. 26, 4, 11:

    cinis de fico,

    Pall. 1, 35, 3 et saep.:

    de templo carcerem fleri,

    Cic. Phil. 5, 7; cf. Flor. 2, 6, 32:

    captivum de rege facturi,

    Just. 7, 2, 11; cf.:

    inque deum de bove versus erat,

    Ov. F. 5, 616 et saep.:

    fles de rhetore consul,

    Juv. 7, 197.—Cf. trop. by means of:

    de eodem oleo et opera exaravi nescio quid ad te,

    Cic. Att. 13, 38.—Prov.:

    de nihilo nihilum,

    Pers. 3, 84; cf. Lucr. 1, 157 sq.
    4.
    In mental operations, to indicate the subject-matter or theme on which any mental act (thinking, considering, advising, determining, etc.; discoursing, informing, exhorting, deciding, disputing, doubting, etc.) is founded; of, about, concerning, Gr. peri:

    cogitare de aliqua re, etc. (the most common signification): multa narrare de Laelio,

    Cic. Lael. 1, 1:

    dubitare de re,

    id. Fam. 3, 10, 15:

    de suo adventu docere,

    Suet. Caes. 9:

    de moribus admonere,

    Sall. Cat. 5, 9 et saep.—With this, too, is connected its use,
    5.
    To indicate the producing cause or reason, for, on account of, because of:

    nam id nisi gravi de causa non fecisset,

    Cic. Att. 7, 7, 3; cf. id. de Or. 1, 41, 186; Cael ap. Cic. Fam. 8, 15; Cic. Att. 11, 3:

    de quo nomine ad arbitrum adiisti, de eo ad judicium venisti,

    id. Rosc. Com. 4, 12:

    flebat uterque non de suo supplicio, sed pater de filii morte, de patris filius,

    id. Verr. 2, 1, 30, § 76:

    de labore pectus tundit,

    with pain, Plaut. Casin. 2, 6, 63:

    incessit passu de vulnere tardo,

    Ov. M. 10, 49:

    humus fervet de corpore,

    id. ib. 7, 560:

    facilius de odio creditur,

    Tac. H. 1, 34:

    quod erat de me feliciter Ilia mater,

    through me, Ov. F. 3, 233 et saep.
    6.
    To indicate the thing with reference to which any thing is done, with respect to, concerning:

    de istac re in oculum utrumvis conquiescito,

    Plaut. Ps. 1, 1, 121: nil peccat de savio, Caec. ap. Gell. 2, 23, 11 (v. 161 Ribbeck):

    credere de numero militum,

    Cic. Att. 9, 1, 2:

    de numero dierum fidem servare,

    Caes. B. G. 6, 36; Sall. C. 50, 3:

    de ceteris senatui curae fore,

    id. Jug. 26, 1:

    concessum ab nobilitate de consule plebeio,

    Liv. 6, 42:

    solem de virgine rapta consule,

    Ov. F. 4, 581 et saep.—Ellipt.:

    de argento somnium,

    as for the money, Ter. Ad. 2, 1, 50 (for which id. Heaut. 4, 2, 4: quod de argento sperem, nihil est): Varr. R. R. 1, 59, 1:

    de Dionysio sum admiratus,

    Cic. Att. 9, 12; id. Off. 1, 15, 47:

    de me autem suscipe paullisper meas partes,

    id. Fam. 3, 12, 2; Ter. Hec. 2, 1, 36 et saep.:

    de Samnitibus triumphare,

    concerning, over, Cic. Sen. 16, 55; cf. Hor. 4, 2, 88:

    de Atheniensibus victoria,

    Curt. 8, 1, 33.
    7.
    To indicate the thing in conformity with which any thing is done, according to, after:

    secundum: DE SENATVOS SENTENTIAD, S. C. de Bac.: fecisse dicas de mea sententia,

    Plaut. Bac. 4, 9, 115; cf.:

    de suorum propinquorum sententia atque auctoritate fecisse dicatur,

    Cic. Cael. 29: de consilii sententia Mamertinis se frumentum non imperare pronunciat, id. Verr. 2, 5, 21 al.:

    de ejus consilio velle sese facere,

    Ter. Ph. 3, 1, 17:

    vix de mea voluntate concessum est,

    Cic. Att. 4, 2, 4:

    de exemplo meo ipse aedificato,

    Plaut. Most. 3, 2, 86:

    de more vetusto,

    Verg. A. 11, 142; Ov. M. 7, 606:

    de nomine,

    id. ib. 1, 447:

    patrioque vocat de nomine mensem,

    id. F. 3, 77.
    8.
    With adjectives to form adverbial expressions.
    a.
    De integro, anew ( = ab integro, ex integro; cf.: iterum, rursus, denuo), indidemque eadem aeque oriuntur de integro, atque eodem occidunt, Pac. ap. Varr. L. L. 5, § 17 Müll. (v. 92 Ribb.):

    ratio de integro ineunda est mihi,

    Ter. Heaut. 4, 2, 7; Cic. Verr. 2, 2, 56; id. Att. 13, 27; id. Fam. 12, 30, 2 et saep. (The combination de novo appears only in the contracted form denuo, v. h. v.).—
    b.
    De improviso, unexpectedly:

    ubi de improviso interventum est mulieri,

    Ter. Heaut. 2, 3, 40; id. And. 2, 2, 23; id. Ad. 3, 3, 53; Caes. B. G. 2, 3; 5, 22; 5, 39 et saep.; Cic. Rosc. Am. 52, 151 et saep.—
    c.
    De transverso, unexpectedly:

    ecce autem de transverso L. Caesar ut veniam ad se rogat,

    Cic. Att. 15, 4 fin.; Auct. Her. 4, 10, 14.
    De is often put between an adj.
    or pron. and its substantive; cf.

    above multa de nocte, media de nocte, gravi de causa, etc.: qua de re,

    Ter. Andr. 1, 2, 13; esp. in the judic. formula: qua de re agitur; cf. Varr. R. R. 2, 2, 6; Cic. Brut. 79 fin. Also freq. after a simple relative:

    quo de,

    Cic. Inv. 1, 28, 41; 54, 104; 2, 11, 37:

    qua de,

    id. ib. 2, 23, 70 et saep.
    II.
    In composition the e becomes short before a vowel, as in dĕhisco, dĕhinc, dĕorsum, and coincides with it in the poets by synaeresis; cf.: dehinc, deinde, deinceps, deorsum; sometimes contraction takes place, as in debeo, debilis, dego, demo, from dehabeo, de-habilis, de-ago, de-emo.—
    2.
    Signif.
    a.
    Separation, departure, removal, taking away; off, away, down, out: decedo, demigro, demeto, depromo, descendo, devolvo, derivo, deflecto, etc.; and trop. dedico, denuntio; and in a downward direction, decido, decumbo, deprimo, demergo, delabor, defluo, demitto, desido, desideo, declivis, deculco, degredior, deicio, etc.—
    b.
    Cessation, removal of the fundamental idea ( = un-, de-, dis-): dearmo, deartuo, decresco, dedisco, dedecoro, dedignor, dedoceo, denascor, denormo, desum, etc.; and hence direct negation, as in dedecet, deformis, demens, etc.—
    c.
    With reference to the terminus of the action: defero, defigo, demitto, etc.; hence also trop., with reference to the extent of the action, to the uttermost, to exhaustion, through. out: debacchor, debello, dedolo, delino, delibuo, etc.: defatigo, delaboro, delasso, etc.; hence freq. a mere strengthening of the fundamental idea, = valde, thoroughly, much: demiror, demitigo, etc.—
    d.
    Giving a bad sense to the verb: decipio, delinquo, deludo, derideo, detestor.—
    e.
    Rarely, contraction from a broad into a narrow space, together: deligo, devincio. See also Hand Turs. II. p. 183-229.

    Lewis & Short latin dictionary > de

  • 11 inquam

    inquam (the foll. forms are found: inquam and inquit very freq.; v. infra; first pers., inquio, found in late writers: si igitur, inquio, Jul. ap. Aug. c. Saec. Resp. Jul. 4, 9, is not in good use, but mentioned by Vel. Long. ap. Cassiod. Orthogr. p. 2287; Prisc. 8, 11, 62; cf.

    inquo, Eutych. 2, 12, p. 2182: inquis,

    Cic. Caecin. 13, 37; id. Fam. 2, 12, 3; 9, 26, 1; id. Att. 2, 5, 8; Hor. S. 2, 1, 5; Mart. 2, 93, 1 saep.:

    inquĭmus,

    Hor. S. 1, 3, 66:

    inquitis,

    Arn. 2, 44; Tert. Apol. 9 al.:

    inquiunt,

    Cic. Verr. 2, 4, 14, § 32; id. Or. 50, 169; id. Tusc. 3, 29, 71:

    inquiebat,

    id. Ac. 2, 47, 125; id. Top. 12, 51:

    inquii,

    Cat. 10, 27:

    inquisti,

    Cic. de Or. 2, 64, 259:

    inquies,

    Plaut. Am. 3, 2, 31; Cic. Or. 29, 101; Cat. 24, 7:

    inquiet,

    Cic. Verr. 2, 2, 18, § 45; id. Fin. 4, 25, 71; id. Off. 3, 12, 53:

    inque,

    Plaut. Bacch. 4, 8, 42; Ter. Heaut. 4, 7, 1:

    inquito,

    Plaut. Aul. 4, 10, 58; id. Rud. 5, 2, 55;

    and in eccl. Lat. inquiens,

    Vulg. 1 Par. 22, 18; Marc. 12, 26; Greg. Ep. 8, 12; 12, 8; Tert. Jejun. 2, v. Neue, Formenl. 2, p. 612 sqq.), 3, v. defect. [kindred to Sanscr. khyā, dicere, praedicare, celebrare, appellare; cf. Bopp Gloss. p. 98, 6 sq.], I say, placed after one or more words of a quotation, our say ( said) I, says ( said) he, etc.
    I.
    In citing the words of a person:

    cum respondissem me ex provincia decedere, etiam mehercules, inquit, ut opinor, ex Africa,

    Cic. Planc. 26:

    est vero, inquam, signum quidem notum,

    id. Cat. 3, 5:

    quasi ipsos induxi loquentes, ne inquam et inquit saepius interponeretur,

    id. Lael. 1, 3:

    qui ubi me viderunt, ubi sunt, inquiunt, scyphi?

    id. Verr. 2, 4, 14, § 32; Cat. 10, 14:

    Romulus, Juppiter, inquit, tuis jussus avibus, etc.,

    Liv. 1, 12, 4. —
    (β).
    With dat.:

    tum Quinctius en, inquit mihi, haec ego patior quotidie,

    Cic. Att. 5, 1, 3.—
    B.
    Inquam is frequently placed after a word which the speaker strongly emphasizes, esp. in repetitions:

    libera per terras unde haec animantibus exstat, unde est haec, inquam, fatis avulsa potestas,

    Lucr. 2, 257:

    rex maximo conventu Syracusis, in foro, ne quis, etc., in foro, inquam, Syracusis,

    Cic. Verr. 2, 4, 29, § 67:

    hunc unum diem, hunc unum inquam, hodiernum diem defende si potes,

    id. Phil. 2, 44, 112:

    per mihi, per, inquam, mihi gratum feceris, si,

    id. Att. 1, 20, 7: delector enim: quamquam te non possum, ut ais, corrumpere, delector, inquam, et familia vestra et nomine, id. Fin. 2, 22, 72:

    tuas, tuas, inquam, suspiciones,

    id. Mil. 25, 67; id. Sest. 69, 146:

    haec inquam, de Oppianico constabunt,

    id. Clu. 44, 125.—
    II.
    With an indef. subj.
    1.
    Plur.: inquiunt, they say, it is said:

    noluit, inqui unt, hodie agere Roscius,

    Cic. de Or. 1, 27, 124; id. Or. 50, 168 fin.:

    contra dicuntur haec... natura adfert dolorem, cui quidem Crantor, inquiunt, vester cedendum putat,

    id. Tusc. 3, 29, 71; id. N. D. 1, 41, 144; Sen. Ep. 102, 3; Quint. 1, 10, 3; 9, 2, 85.—
    2.
    Sing., esp. in stating objections to one's own arguments, it is said, one says, reply is made:

    cetera funebria, quibus luctus augetur, duodecim sustulerunt. Homini, inquit (sc. lex), mortuo ne ossa legito, quo post funus faciat,

    Cic. Leg. 2, 24, 60; id. Ac. 2, 18, 60; id. Clu. 34, 92:

    inquit (sc. scriptor litterarum),

    id. Verr. 2, 5, 57, § 248; id. Brut. 83, 287; id. Att. 14, 12, 2: nec magis quisquam eodem tempore et iratus potest esse, et vir bonus, quam aeger et sanus. Non potest, inquit, omnis ex animo ira tolli, nec hominis natura patitur, Sen. de Ira, 2, 12.—
    III.
    In partic.
    1.
    Inquit is sometimes omitted by ellipsis:

    Turpemque aperto pignore errorem probans, En, hic declarat quales sitis judices,

    Phaedr. 5, 5, 38; 1, 30, 7; Ter. Hec. 1, 2, 73; Val. Fl. 1, 692.—
    2.
    It is sometimes inserted pleonastically:

    excepit Demochares: Te, inquit, suspendere,

    Sen. Ira, 23:

    hoc adjunxit: Pater, inquit, meus,

    Nep. Hann. 2, 2. —
    3.
    It is freq. repeated: Crassus. numquidnam, inquit, novi? Nihil sane, inquit Catulus;

    etenim vides esse ludos: sed vel tu nos ineptos, licet [inquit], vel molestos putes, cum ad me in Tusculanum, inquit, heri vesperi venisset Caesar de Tusculano suo, dixit,

    Cic. de Or. 2, 3, 13; id. N. D. 1, 7, 17: dicam equidem, Caesar inquit, quid intellegam;

    sed tu et vos omnes hoc, inquit, mementote,

    id. ib. 2, 74, 298.

    Lewis & Short latin dictionary > inquam

  • 12 consisto

    cōn-sisto, stitī, ere, sich beistellen, d.i. sich hinstellen, I) im allg., sich hinstellen, hintreten, auftreten, 1) eig.: a) v. Fuße u. v. leb. Wesen, ubi (crus) consistit, calx quoque terram non contingit, Cels. – is qui proxime constiterat, der Zunächststehende, Val. Max.: qui constitit intus, Ov.: c. ex diverso, Quint.: eo loci, ubi etc., Val. Max. – c. ad mensam, Cic.: ad aras, Ov.: ad fores Capitolii, Suet.: ante vestibulum regiae, Curt.: ante oculos (auch bildl.), Ov.: apud ripam, Suet.: circa alqm (von mehreren), Curt.: iuxta alqm, Eutr.: in caelo iuxta solium Iovis, Suet.: inter aves albas (v. Raben), Ov.: post (hinter) alqm, Quint.: supra ripam stagni (v. Vögeln), Ov. – in vinea media, Cic.: in limine domus suae, Curt.: in extrema parte theatri, Val. Max.: pontibus crebris (v. Bienen), Verg.: c. in pedes, auf die F. zu stehen kommen, Sen. ep. 121, 8. – calce aliquem super ipsum os debere consistere, mit dem Hacken müsse einer auf den (ausgetretenen) Knochen treten, Cels. 8, 14. – mit Ang. wie? durch Advv., recte et in loco, Cic.; od. (als wer?) durch Adii., hi proximi constitere, Liv.: ne quem paterentur in circo forove nisi positis lacernis togatum consistere, Suet.: consistens inter fratres medius, Suet. – So nun bes.: α) als Betrachter sich hinstellen, hinzutreten, fert animus propius consistere (bildl. = die Sache näher zu besprechen), Ov. art. am. 3, 467. – β) als Zuhörer in einer Versammlung sich einfinden, tota in illa contione Italia constitit, Cic. Sest. 107. – γ) zu einer Leistung, bes. zum Kampf sich hinstellen, auftreten, sich aufstellen, vom Zitharöden, ut constitit, Suet. Ner. 21 2: v. einem Possenreißer, in scaena vero postquam solus constitit, Phaedr. 5, 5, 13. – v. Redner, c. in communibus suggestis, Cic. Tusc. 5, 29. – Aesopus media subito in turba constitit, Phaedr. 4, 5, 29. – v. Schützen (beim Wettschießen), post acer Mnestheus adducto constitit arcu, Verg. Aen. 5, 507. – vom Faustkämpfer, Athleten, Verg. Aen. 5, 426. Plin. 7, 83: v. Zweikämpfern, c. inter duas acies, Liv. 7, 10, 9: vom Gladiator, cum alqo, Petr. 19, 5 (übtr.). – v. Wächter, Schützer, Verteidiger einer Örtl., sich aufstellen, sich postieren, ante fores curiae, Val. Max.: in porta, Caes.: in ponte sublicio, Val. Max.: pari intervallo, Caes. – bes. als milit. t. t., sich aufstellen zum Kampf, Stellung nehmen, antreten, ne saucio quidem eius loci, ubi constiterat, relinquendi facultas dabatur, Caes.: c. iuxta, Caes.: contra, Caes. – c. ad Alliam, Liv.: circa alqm, Liv.: inter primos, Curt.: sub muro, Caes.: pro castris, Sall.: in sinistro cornu propius montes, Liv.: cum equitibus contra pedites, Curt.: in foro cuneatim, Liv.: in sinistra parte acie (in Schlachtordnung), Caes. – m. in u. Akk., in orbem (in einem Kreis, im Kr.), Caes.: acies quadratum consistit in agmen (in einer viereckigen Marschkolonne), Tibull. – sine ducis opera copiae sic ordinatae consistunt, ut etc., Nep.: proximi cornibus constiterunt regii equites, Liv.: naves profectae ex portu nostris adversae constiterunt, Caes. – δ) als gerichtl. t. t., vor Gericht treten, -erscheinen, als Zeuge, loco testis, Val. Max. 8, 5, 6. – gew. als Kläger = seine Sache vor Gericht führen, rechten, prozessieren,ad horam, Quint.: in iure, ICt.: cum matre, Sen.: cum debitoribus, ICt.: adversus dominos, ICt.; vgl. Oehler Tert. de idol. 13 in.

    b) v. lebl. Subjj., und zwar als t. t. des Würfelspiels, v. Wurf, zu stehen kommen = fallen, quadringentis talis centum Venerios non posse casu consistere, Cic. de div. 2, 48.

    2) übtr.: a) sich auf jmds. Seite mit seiner Ansicht stellen, jmdm. beitreten, mit jmd. übereinstimmen (Ggstz. dissidere), videsne igitur Zenonem tuum cum Aristone verbis consistere, re dissidere; cum Aristotele et illis re consentire, verbis discrepare, Cic. de fin. 4, 72 zw. – b) mit jmd. sich in Erörterung über etwas einlassen, mit jmd. disputieren, de alqa re, cum alqo de alqa re, adversus alqd, Eccl.; vgl. Oehler Tert. de idol. 13 in.

    II) insbes., von der Bewegung aus sich hinstellen = stille stehen, stehen bleiben, A) übh., stille stehen, stehen bleiben, haltmachen (Ggstz. ire, progredi, inambulare, moveri u. dgl.), 1) eig.: a) v. leb. Wesen: consistite! Ov.: ubi ad ipsum veni diverticulum, constiti, Ter.: egressi tecta consistimus, Plin. ep.: ire modo ocius, modo consistere, Hor. – constitit hic, Verg.: c. procul, Ov.: c. non eodem loci prae ardore (v. (Redner), Suet. – u. im Bilde, in hoc igitur campo cum liceat oratori vagari libere atque ubicumque constiterit, consistere in suo, Cic.: ipsa mihi veritas manum iniecit et paulisper consistere et commorari cogit, Cic. – c. ante domum, Ov.: c. citra limen foresque, Ov.: neque is consistens in loco (auf der Stelle), sed inambulans atque ascensu ingrediens arduo, Cic.: iumenta, quae Dareum vehebant, in quadam valle constiterant, Curt.: quocumque constiti loco (wo ich gehe und stehe), ibi cogitationes meas tracto, Sen.: c. limine, Ov. – So nun bes.: α) der Unterhaltung wegen stehen bleiben, consistimus, Hor.: viatores etiam invitos consistere cogunt, Caes. – cum hoc consistit, hunc amplexatur, Cic.: in hoc loco cum altero constitit, Plaut. – β) neugierig, betrachtend, bewundernd, staunend usw. stehen bleiben, prohibitis per militem obviis ac viatoribus respicere usquam vel consistere, Suet.: hanc effigiem eius subinde respicere, sub hac consistere, praeter hanc commeare, Plin. ep.: bestiae saepe immanes cantu flectuntur et consistunt, Cic.: Hypsipyle vacuo consistit in thalamo (vor Verwunderung und Schmerz), Prop. – im Passiv unpers., ista quae spectantur, ad quae consistitur, Sen. – γ) mitten im Tanze stille halten, si ludius constitit aut tibicen repente conticuit, Cic. de har. resp. 23 – δ) als milit. t. t., stille stehen, haltmachen, Rast machen, standhalten, sich setzen, sowohl für kurze Zeit, im Kampfe, auf dem Marsche, auf der Flucht, agmen nec progredi nec consistere audet, Curt.: agmen od. signa consistere iubet, Curt. u. Liv.: nemo consistere audet, Caes.: is locus ubi constitissent, ihr jetziger Lagerplatz, Caes.: constitit nusquam prius, quam ad Vada venit, Brut. in Cic. ep. – c. ad medium fere spatium, Caes.: c. paulum ad Rubiconem, Suet.: ad bivia, Liv.: ante oppidum, Hirt. b. Afr.: prope hostem, Caes.: sub castris Afranii, Caes.: signa consistunt in radicibus collium, Liv.: c. in hac urbe diutius quam usquam, Curt.: in locis superioribus u. bl. locis superioribus, Caes.: consistit a fuga Romana acies, Liv. – als auch auf die Dauer, eine feste Stellung einnehmen, sich festsetzen, cum (Pompeius) constiterit et timere desierit, Balb. in Cic. ep.: ego, ne consistere possit in Italia Antonius, dabo operam, Brut. in Cic. ep.: (Antonius) non mehercules horam constitisset, Planc. in Cic. ep. – ε) als Reisender, Flüchtling an einem Orte haltmachen, anhalten, sich aufhalten, v. Seefahrern auch = wo sich vor Anker legen, wo anlegen, sowohl augenblicklich, plura scribam ad te cum constitero; nunc eram plane in medio mari, Cic.: in quibus (oppidis) consistere praetores et conventum agere solebant, Cic.: c. unum diem Veliae, Cic.: Romae vix triduum, Cic.: ad ancoram unā nocte, Cic.: contra Lissum in ancoris (v. Schiffen), Caes.: in portu (v. Schiffen), Liv. – als auch auf die Dauer sich wo aufhalten, sich niederlassen, sich ansässig machen, hic, Sen.: in agris Cadurcorum, Hirt. b. G.: in Aonia, Ov.: in ea sede, Curt.: nec tamen hāc profugum consistere Pelea terrā fata sinunt, Ov. – v. den in einer Provinz sich aufhaltenden, ansässigen röm. Bürgern, ibi negotiandi causā, Caes.: Uticae, Val. Max. – ζ) als Verkäufer wo seinen Stand haben, ausstehen, feil haben, ede, ubi consistas, Iuven. 3, 296: c. in taberna, Varr. LL. 5, 5; in schola, sub theatro Aug. Pompeiano, Corp. inscr. Lat. 6, 9404. – η) als Kollegium wo zusammentreten, in Palatio, Corp. inscr. Lat. 6, 8750: Arelicae, ibid. 5, 4017: Clastidi, ibid. 5, 7357. Vgl. Mommsen im Hermes 7, 309 f.

    b) von lebl. Subjj.: vel concĭdat omne caelum omnisque natura (N. = Schöpfung) consistat necesse est, Cic.: oculus consistit (Ggstz. huc illucve sine ratione movetur), Cels.: Ixionii vento (durch den W. = durch den Stillstand des W.) rota constitit orbis, Verg.: inanes nuces in summo umore consistere (sich halten, verbleiben) et plenas integro fructu ad ima deferri, Petr.: illic et nebulas, illic consistere nubes iussit, sich lagern, Ov. – So nun bes.: α) v. Flüssigkeiten, stillstehen (Ggstz. fluere, profluere, manare), ut, si pluerit, non consistat aqua, Varr.: quin rapidum placidis etiam mare constitit undis, Tibull.: ter frigore constitit Ister, Ov.: v. Blut usw., tandem constitit sanguis, Curt.: neque sanguis ullo potis est pacto profluens consistere, Enn. tr. fr. – v. Most, sich setzen, cum iam perfecte mustum deferbuit et constitit, Col. 12, 21, 3. – u. als mediz. t. t., Konsistenz gewinnen, album ex ovo cnm rosa (Rosenöl) mixtum, adiecto, quo facilius consistat, contritae rosae pulvere, Cels. 4, 27 (20), 1. p. 154, 2 D. – β) v. Magen, Unterleib, von der Ausleerung nach oben od. unten (vom Erbrechen od. Durchfall nachlassen, sich beruhigen, stehen (als mediz. t. t.), stomachus od. ventriculus consistit, Cels.: alvus consistit, Cels. – u. v. den Absonderungen nach oben u. unten selbst, stehen, pituitae cursus (Schleimabsonderung) consistit, Cels.: tanta me διάῤῥοια arripuit, ut hodie primum videatur posse consistere, Cic.

    2) übtr.: a) v. Pers.u. personif. Lebl., α) stehen bleiben, αα) in der Rede bei einem Punkte stehen bleiben, verweilen, um ihn näher zu besprechen, quoniam ille hic constitit paulisper, mihi quoque necesse est paulum commorari, Cic.: ipsa mihi veritas manum iniecit et paulisper consistere et commorari coëgit, Cic. – m. in u. Abl., in uno nomine, Cic.: in singulis, Cic. – ββ) innerhalb der Grenzen eines Faches, einer Methode stehen bleiben, sich halten, m. intra u. Akk., intra professionem suam, Cels.: u. Passiv unpers., intra quietem et unctionem et cibum consistendum est, Cels. – u. übh. innerhalb einer Grenze bei etw. stehen bleiben, es bei etw. bewenden lassen, maledictum, quod intra verba constitit, Ps. Quint. decl. 279. – u. in einem Stande verbleiben, m. in u. Abl., seu fortunā seu voluntate in equestri ordine usque ad Augusti patrem, Suet. Aug. 2, 2. – β) bestehen = existieren, sine agri cultoribus nec consistere mortales nec ali posse manifestum est, Col. 1. praef. 6.

    b) von Zuständen, α) stille stehen übh., teils = weder zu-, noch abnehmen, einen Stillstand eintreten lassen, im Stillstand begriffen sein (Ggstz. augeri, increscere od. decedere, minui), cum febris augeatur, consistat, decedat, Cels.: morbus increscit, consistit, minuitur, Cels. – teils = zum Stillstand kommen, stocken, nachlassen, aufhören, si infinitus forensium rerum labor... aetatis flexu constitisset, Cic.: quā novā re oblatā omnis administratio belli consistit, Caes.: cum ad Trebiam terrestre constitisset bellum, Liv. (vgl. Drak. Liv. 35, 4, 1. Fabri Liv. 21, 49, 1): consistere usura debuit, quae erat in edicto meo, die in m. E. erlaubte Verzinsung mußte aufhören, Cic.: infracta constitit ira, Ov. (s. Bach Ov. met. 6, 627). – β) wo seinen Sitz nehmen, Platz greifen, αα) v. körperl. Übeln, teils übh. wo seinen Sitz nehmen od. haben, morbus consistit in toto corpore od. intra intestina, Cels.: maximi dolores in macerrimis consistunt corporis partibus, Sen.: si (erysipelas) circa cervicem aut caput constitit, Cels. – teils (wie καθίστημι) anhalten, fortdauern, Konsistenz gewinnen, sich festsetzen, si nihilo magis malum constitit, Cels.: dolor constitit cum furore, Scrib. – ββ) v. andern Zuständen, wo Platz greifen, stattfinden, teils = wo zur Anwendung und Geltung kommen, ut unde culpa orta esset, ibi poena consisteret, Liv.: in quo (viro) non modo culpa nulla, sed ne suspicio quidem potuit consistere, Cic.: non in te quoque constitit idem exitus, Ov.: si putabit posse omnia penes unum consistere (könne in der Hand einer Person in Anwendung kommen = sei in einer Person vereinbar), Cornif. rhet.: omni tempore summa studia officii inter nos constiterunt, Cic.: quaestio consistit inter utile atque honestum od. circa res personasque, Quint.: sunt certi denique fines, quos ultra citraque nequit consistere rectum, Hor. – teils = auf etw. beruhen, in etw. bestehen, in etw. seinen Grund haben, auf etw. sich gründen, maior pars victus eorum in lacte, caseo, carne consistit, Caes.: vita omnis in venationibus atque in studiis rei militaris consistit, Caes.: omnium superiorum dimicationum fructum in eo die atque hora consistere, Caes.: cum omnibus Gallicis navibus spes in velis armamentisque consisteret, Caes.: in interitu tuo salus et vita optimi cuiusque, libertas populi Romani dignitasque consistit, Cic.: causa perniciosissimi belli in persona tua constitit, Cic.: ea, in quibus vita beata consistit, Cic. – m. bl. Abl., ita exiguo tempore magnoque casu totius exercitus salus constitit, Caes. – mit ex u. Abl., reliquae (legiones) ex fugitivis consistebant, Auct. b. Hisp.

    B) prägn., zum festen Stande kommen, festen Füß fassen, sich auf den Füßen halten (Ggstz. cadere u. dgl.), 1) eig.: a) v. Pers., si prohibent consistere vires, Ov. met. 7, 573. – ita alte, ut consistere homo ipse non possit, Cels. 8, 15. p. 356, 16 D. – im Kampfe, α) v. Faustkämpfer, Ringer (Ggstz. de gradu deici, cadere), minimeque in lubrico versabitur et, si semel constiterit, numquam cadet (im Bilde v. Redner), Cic.: nec tamen tradidisti te, sed subsiluisti et acrior constitisti (im Bilde von dem, der mit dem Geschicke kämpft), Sen.: attolle animum, adversus formidata consiste, Sen. – β) als milit. t. t. v. Soldaten, in muro, Caes.: in fluctibus, in arido, Caes.: pro opere, Sall. – u. im Bilde (vom Redner), confiteor... me consistere in meo praesidio sic, ut non fugiendi hostis, sed capiendi loci causā cessisse videar, Cic. de or. 2, 294.

    b) v. lebl. Subjj. Halt gewinnen, quales cum vertice celso aëriae quercus... constiterunt, festgewurzelt dastehen, Verg. Aen. 3, 681. – und (im Bilde), nullo in loco, nulla in persona stabilibus nixa radicibus consistunt, fesseln sich bleibend an keinen Ort, an keine Person, Val. Max. 6, 9. ext. 7.

    2) übtr., gleichs. festen Fuß fassen, certa aliqua in sententia, einen bestimmten, festen Entschluß fassen, Cic.: consistit consilium, der Entschluß steht fest, Cic. – So nun bes.: a) im gerichtl. Kampfe, festen od. sichern Stand gewinnen, seinen Platz od. sich behaupten, sich halten, bestehen (Ggstz. cadere, concĭdere, de gradu deici), vom Redner, in hac causa, Cic.: in forensibus causis praeclare, Cic.: contra vos in contione, Cic.: c. in dicendo (seine Rede durchführen), Cic.: Passiv unpers., aut ita consistendum est, ut etc., man muß sich so festsetzen (darauf bestehen), daß usw., Cic. – v. Beklagten, spes est et hunc miserum... aliquando tandem posse consistere, Cic.: verbo quidem me superabis ipso iudice, re autem ne consistes quidem ullo iudice, Cic.: Pisonem consulem nulla in re consistere umquam sum passus, Cic. – v. Prozesse selbst, quia magistratus aliquis reperiebatur, apud quem Alfeni causa consisteret, Cic. Quinct. 71. – b) in Stimme, Gesicht od. Gemüt Fassung (Ruhe) gewinnen od. behalten, sich fassen, sich sammeln, v. Pers., neque mente nec linguā neque ore c., Cic.: u. so c. mente, Cic.: tranquillo animo, quietā mente, Fassung u. Ruhe des Gemüts, des Geistes gewinnen, Cic. – v. der Stimme usw. selbst, neque mens neque vox neque lingua consistit, Cic.: religiones violatae... consistere eius animum sine furore atque amentia non sinunt, Cic.: neque enim patrius consistere mentem passus amor, ihm läßt Vaterliebe nicht ruhig das Herz, Verg. – c) in der öffentlichen Meinung festen Fuß fassen, sich behaupten, Geltung gewinnen, vix singulis aetatibus binos oratores laudabiles constitisse, Cic. Brut. 333. – / consistere mit Akk. ist überall unsichere Lesart; vgl. Lachm. Lucr. 6, 11. Gronov Liv. 27, 17, 11.

    lateinisch-deutsches > consisto

  • 13 de

    , Praep. m. Abl., bezeichnet eine Abtrennung, Abschließung von einem Gegenstande, an dem sich etwas befunden hat, deutsch = von... weg ( während ex den innern Bereich andeutet, aus dem etwas hervorgeht, deutsch = »von... aus«), I) im Raume: 1) von... weg, von... ab, von... her, von... herab, von, zuw. auch deutsch aus, de digito anulum detrahere, vom Finger (weg), Ter. u. Cic.: de manibus effugere, Cic.: de civitate alqm eicere, Cic.: de castris processisse, Sall.: de sella exsilire, Cic.: de muro se deicere, Caes.: de lecto decĭdere, Plaut. – dah. bei den Verben, die ein »Entnehmen« usw. bezeichnen, wie capere, sumere, petere etc. – ebenso emere de alqo, Cato: mercari de alqo, Cic.: quaerere de alqo, Cic.: audire de alqo, von jmd. (aus jmds. Munde), Cic.: discere de alqo, Cic. u.a.

    2) zur Bezeichnung des Punktes, von dem (als an ihm noch haftend) etwas gleichs. sich loslöst, unmittelbar ausgeht, von... aus, an... herab, an, nova de gravido palmite gemma tumet, Ov.: pendēre de collo, de camera, Ov. u. Petron.: de clunibus pinnas habere, Col.: de qua pariens arbore nixa dea est, Ov.

    3) zur Bezeichnung der Richtung, Seite, von der aus etwas geschieht, von... her, von... heraus, von... herab, palam de sella ac tribunali pronuntiaré, Cic.: nihil ex occulto, nihil de insidiis agere, Cic.: de paupere mensa dona, Tibull.: de scripto dicere, de epistula recitare, Cic.: de tergo, vom Rücken her, von hinten (dagegen a tergo, im Rücken), Plaut. (vgl. unten no. II, B, 3 a. E.): de plano (= χαμόθεν), auf ebener Erde, unten (Ggstz. de tribunali, ἀπο βήματος), cognoscere, discutere u. dgl., ICt.

    II) übtr.: A) in der Zeit, 1) zur Angabe, daß etwas noch während der Dauer eines bestimmten Zeitpunktes (wie Nacht, Nachtwache, Tag usw.) seinen Anfang genommen habe, noch im Laufe des ( der) usw., noch mit, noch in od. an (vgl. Matthiä Cic. Mur. 22. Bremi Suet. Aug. 97), de nocte venire, Cic., rus ire, Ter., surgere, Hor. (vgl. Drak. Liv. 8, 23, 15. Oud. Suet. Vesp. 21). – multa de nocte (noch tief in der Nacht) profectum esse, Cic. – de media nocte (noch mitten in der Nacht) mittere complures turmas eo, Caes. – de die, noch am (hellen) Tage, Komik., Hor. u.a. (auch zuw. nach dem griech. ἀφ ἡμέρας = »mit dem Beginn des Tages«, nach Mützell Curt. 5, 7 [22], 2). – media de luce u. de medio die, vom hellen Mittag an, Hor. – de tertia (quarta) vigilia, noch im Laufe der dr. N., mit der dr. N., Caes., Liv. u.a. (s. Drak. Liv. 9, 44, 10). – de mense Decembri (noch im Laufe des D.) navigare, Cic. – aber de tempore (= bl. tempore), zur gewöhnlichen Zeit, cenare, Auct. b. Hisp. 33, 5.

    2) zur Bezeichnung der unmittelbaren Folge in der Zeit, von... weg, unmittelbar nach (s. Lorenz Plaut. most. 682. Brix Plaut. trin. 215), non bonus somnus de prandio, Plaut.: statim de auctione venire, Cic.: oft diem de die, von Tag zu Tag, differre, proferre u. dgl., Liv. u. Iustin.

    B) in andern Verhältnissen, 1) zur Angabe der Herkunft, Abstammung, a) ( wie ἀπο) zur Bezeichnung des Ortes, von dem (als seinem gewöhnl. Aufenthaltsorte) jmd. od. etwas ist, -stammt, von, copo de via Latina, Cic.: rabula de foro (= forensis), Cic.: aliquis de ponte, einer von der Brücke, ein Brückensteher = Bettler, Iuven.: nauta de navi Alexandrina, Suet.: Libyca de rupe leones (poet. = Libyci leones, Ov.: nostro de rure corona, Tibull. – b) des Standes, de summo adulescens loco, Plaut.: de summo loco summoque genere eques, Plaut. – c) des etymologischen Ursprungs, von, nach, dicere alqm de alcis nomine, Ov.: dicta suo de nomine, Ov. 2) zur Angabe des Ganzen, von dem ein Teil, od. der Menge, aus der ein einzelnes Individuum genommen od. gekommen ist, von, aus, unter, partem solido demere de die, Hor.: de praeda mea teruncium nec attigit nec tacturus est quisquam, Cic.: exempta spinis de pluribus una, Hor.: hominem certum misi de comitibus meis, Cic.: illos emi de praeda a quaestoribus, Plaut. – So insbes., a) zur Angabe des Geschlechts, der Klasse, Gesellschaft, Schule, aus der ein Individuum ist, genetrix Priami de gente, Verg.: homo de plebe = aus dem Bürgerstande od. = aus dem gemeinen Volke, ein gemeiner Bürger, Cic., Liv. u.a. (vgl. Drak. Liv. epit. 2. Burm. Ov. am. 1, 7, 29): malus poëta de populo, Cic.: hic de grege illo est, Ter.: homo de schola, Cic. – b) sehr häufig zur Umschreibung des partitiven Genetivs, ut partem aliquam de istius impudentia reticere possim, Cic.: aliquis de dis, Ov.: de duobus honestis utrum honestius, Cic.: quemvis de iis, Cic. – bei Zahlw., nemo de nobis unus excellat, Cic.: unus (una) de multis, de tot milibus, Hor. u. Ov. – bei Superlat., de tribus et decem fundis tres nobilissimos fundos possidere, Cic.: minimus de stirpe virili, Ov.

    3) zur Bezeichnung des Stoffs, woraus od. wovon etwas bereitet wird od. ist, von, aus, niveo factum de marmore signum, Ov.: de eodem oleo et opera exarare alqd, Cic.: verno de flore corona, Ov. – dah. a) zur Bezeichnung eines Gegenstandes, aus dem ein anderer entstanden ist, aus, garum de sucis piscis Hiberi, Hor.: alipedis de stirpe dei versuta propago nascitur Autolycus, Ov.: de nave carcerem facere, Petr.: de templo carcerem fieri, Cic.: captivum de rege facere, Iustin.: in deum de bove verti, Ov. – b) zur Angabe dessen, von dem der Aufwand für etw. bestritten wird, de praeda manubiis spoliisque honorem habetote, Liv. – bes. zur Angabe des Vermögens, von dem die Kosten zu etwas bestritten werden, de meo, de tuo, de suo, de nostro, de vestro, de alieno, von dem Meinigen, Deinigen usw., Komik., Cic., Liv. u.a. (vgl. Drak. Liv. 4, 60, 4. Schwarz Plin. pan. 26, 3. p. 83. Scheffer Phaedr. 4, 19, 26): de publico, aus der Staatskasse, Cic. u.a.: so auch de te, von dir = aus deinem Beutel, de te largitor, Ter. adelph. 940. – c) zur Angabe des Körperteils usw., mit dem man Strafe abbüßt (vgl. Korte Lucan. 4, 805), de tergo (vgl. oben no. I, 3), de visceribus satisfacere, Liv. u. Cic.: de tergo od. (meton.) de se supplicium dare, Plaut.

    4) (spätlat.) zur Angabe des Mittels u. Werkzeugs, mit (s. Rönsch Itala p. 392 sqq.), descobinata de limis, runcinarum levigata de planis, Arnob.: comperies de velamine arcam testimonii, Itala exod. 26, 34: cumque significasset eis de manu, Itala act. apost. 12, 17: de afflatu suo animat, Tert. adv. Valent. 24: de cauda nocere, Tert. scorp. 1.

    5) zur Bezeichnung der veranlassenden Ursache od. des Grundes, von wegen, wegen, um... willen, aus, durch, gravi de causa, Cic.: qua de causa, qua de re, aus dem Grunde, weswegen, deshalb, Cic. u. Nep.: so auch quo de facto, Auct. b. Hisp.: flebat uterque non de suo supplicio, sed etc., Cic.: senatui parendum de salute rei publicae fuit, Cic.: de labore pectus tundit, vor Schmerz, Plaut.: quod erat de me feliciter Ilia mater, durch mich, Ov.: notior est factus Capaneus de fulminis ictu, Ov.

    6) zur Bezeichnung der Gemäßheit, nach de etwas wie nach einer Norm, Richtschnur geschieht, nach, zufolge, gemäß (s. Lorenz Plaut. most. 760. Brix Plaut. Men. 934), de exemplo meo ipse aedificato, Plaut.: de illis verbis cave tibi, Plaut.: de suorum propinquorum sententia atque auctoritate fecisse, Cic.: de eius consilio velle sese facere, Ter.: vix de mea sententia concessum est, Cic.

    7) (wie περί), zur Bezeichnung der Rücksicht oder Hinsicht, in betreff ( was betrifft), in Hinsicht, anlangend ( was anlangt), hinsichtlich, de cena facio gratiam, Plaut.: recte non credis de numero militum, Cic.: de fratre confido, Cic.: diffidens de numero dierum Caesarem fidem servaturum, Caes.: neque id, quod fecerit de oppugnatione castrorum, aut iudicio aut voluntate suā fecisse, Caes.: solem de virgine rapta consule, Ov.: de cetero (am Ende einer Rede), was das übrige (weitere) anlangt, Sen. u. Curt.: so auch de ceteris, Sall.; s. Fabri Sall. Iug. 26, 1. Mützell Curt. 4, 1 (2), 14. – nach Subst., triumphus de alqo, victoria de alqo, s. triumphus, victoria. -u. so häufig nach verbis sentiendi u. declarandi zur Angabe des Objekts, auf das die Betrachtung, Verhandlung usw. sich beschränkt, deutsch über, s. ac-cipio, ago, audio, 1. dico, doceo, ē-doceo, cō-gnōsco, iūdico u. dgl.

    8) bei Adjektiven zur Bildung von Adverbialausdrücken, wie: de improviso, unversehens, unvermutet, Ter., Cic. u.a.: de integro, von neuem, ibid.

    9) (spätlat.) beim Komparat. statt des bloßen Abl., als, si plus de triginta pedibus patuerit, Gromat. vet. 11, 19.

    10) bei subst. gebrauchten Advv., zB. de intus, s. de-intus: de longe, s. dē-longē: de magis, s. dē-magis.

    / In der Zusammensetzung bezeichnet de: a) Entfernung, Trennung, im materiellen und moralischen Sinne = ab-, weg-, fort-, decedere, deferre; übtr., denuntiare. – od. von der Höhe in die Tiefe = nieder-, herab-, hinab-, decĭdere, deicere. – b) ein Abgehen od. Fehlen, deunx, desum, deficio, destituo, demens, deformis u. dgl. – c) eine Vollendung, einen hohen Grad, dient daher auch zur Verstärkung des im einfachen Verbum liegenden Begriffs, völlig, gänzlich, sehr, heftig, defungi, depugnare, devincere. – deamare, demirari u. dgl.

    de wird gern zwischen dem Adjektivum od. dem Pronomen u. dem Substantivum eingeschaltet, vgl. oben multa de nocte, gravi de causa, qua de re. – auch dem bloßen Relativum nachgesetzt, bes. in der jurist. Spr., zB. illud, quo de agitur, id negotium, quo de agitur, worum es sich handelt, Cic. de or. 1, 209 u. de inv. 1, 27: u. so illae oves, qua de re agitur, Varro r. r. 2, 2, 6; vgl. Neue-Wagener Formenl.3 Bd. 2. S. 942 u. 943.

    lateinisch-deutsches > de

  • 14 consisto

    cōn-sisto, stitī, ere, sich beistellen, d.i. sich hinstellen, I) im allg., sich hinstellen, hintreten, auftreten, 1) eig.: a) v. Fuße u. v. leb. Wesen, ubi (crus) consistit, calx quoque terram non contingit, Cels. – is qui proxime constiterat, der Zunächststehende, Val. Max.: qui constitit intus, Ov.: c. ex diverso, Quint.: eo loci, ubi etc., Val. Max. – c. ad mensam, Cic.: ad aras, Ov.: ad fores Capitolii, Suet.: ante vestibulum regiae, Curt.: ante oculos (auch bildl.), Ov.: apud ripam, Suet.: circa alqm (von mehreren), Curt.: iuxta alqm, Eutr.: in caelo iuxta solium Iovis, Suet.: inter aves albas (v. Raben), Ov.: post (hinter) alqm, Quint.: supra ripam stagni (v. Vögeln), Ov. – in vinea media, Cic.: in limine domus suae, Curt.: in extrema parte theatri, Val. Max.: pontibus crebris (v. Bienen), Verg.: c. in pedes, auf die F. zu stehen kommen, Sen. ep. 121, 8. – calce aliquem super ipsum os debere consistere, mit dem Hacken müsse einer auf den (ausgetretenen) Knochen treten, Cels. 8, 14. – mit Ang. wie? durch Advv., recte et in loco, Cic.; od. (als wer?) durch Adii., hi proximi constitere, Liv.: ne quem paterentur in circo forove nisi positis lacernis togatum consistere, Suet.: consistens inter fratres medius, Suet. – So nun bes.: α) als Betrachter sich hinstellen, hinzutreten, fert animus propius consistere (bildl. = die Sache näher zu besprechen), Ov. art.
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    am. 3, 467. – β) als Zuhörer in einer Versammlung sich einfinden, tota in illa contione Italia constitit, Cic. Sest. 107. – γ) zu einer Leistung, bes. zum Kampf sich hinstellen, auftreten, sich aufstellen, vom Zitharöden, ut constitit, Suet. Ner. 21 2: v. einem Possenreißer, in scaena vero postquam solus constitit, Phaedr. 5, 5, 13. – v. Redner, c. in communibus suggestis, Cic. Tusc. 5, 29. – Aesopus media subito in turba constitit, Phaedr. 4, 5, 29. – v. Schützen (beim Wettschießen), post acer Mnestheus adducto constitit arcu, Verg. Aen. 5, 507. – vom Faustkämpfer, Athleten, Verg. Aen. 5, 426. Plin. 7, 83: v. Zweikämpfern, c. inter duas acies, Liv. 7, 10, 9: vom Gladiator, cum alqo, Petr. 19, 5 (übtr.). – v. Wächter, Schützer, Verteidiger einer Örtl., sich aufstellen, sich postieren, ante fores curiae, Val. Max.: in porta, Caes.: in ponte sublicio, Val. Max.: pari intervallo, Caes. – bes. als milit. t. t., sich aufstellen zum Kampf, Stellung nehmen, antreten, ne saucio quidem eius loci, ubi constiterat, relinquendi facultas dabatur, Caes.: c. iuxta, Caes.: contra, Caes. – c. ad Alliam, Liv.: circa alqm, Liv.: inter primos, Curt.: sub muro, Caes.: pro castris, Sall.: in sinistro cornu propius montes, Liv.: cum equitibus contra pedites, Curt.: in foro cuneatim, Liv.: in sinistra parte acie (in Schlachtordnung), Caes. – m. in u. Akk., in orbem (in einem Kreis, im Kr.), Caes.: acies quadratum con-
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    sistit in agmen (in einer viereckigen Marschkolonne), Tibull. – sine ducis opera copiae sic ordinatae consistunt, ut etc., Nep.: proximi cornibus constiterunt regii equites, Liv.: naves profectae ex portu nostris adversae constiterunt, Caes. – δ) als gerichtl. t. t., vor Gericht treten, -erscheinen, als Zeuge, loco testis, Val. Max. 8, 5, 6. – gew. als Kläger = seine Sache vor Gericht führen, rechten, prozessieren,ad horam, Quint.: in iure, ICt.: cum matre, Sen.: cum debitoribus, ICt.: adversus dominos, ICt.; vgl. Oehler Tert. de idol. 13 in.
    b) v. lebl. Subjj., und zwar als t. t. des Würfelspiels, v. Wurf, zu stehen kommen = fallen, quadringentis talis centum Venerios non posse casu consistere, Cic. de div. 2, 48.
    2) übtr.: a) sich auf jmds. Seite mit seiner Ansicht stellen, jmdm. beitreten, mit jmd. übereinstimmen (Ggstz. dissidere), videsne igitur Zenonem tuum cum Aristone verbis consistere, re dissidere; cum Aristotele et illis re consentire, verbis discrepare, Cic. de fin. 4, 72 zw. – b) mit jmd. sich in Erörterung über etwas einlassen, mit jmd. disputieren, de alqa re, cum alqo de alqa re, adversus alqd, Eccl.; vgl. Oehler Tert. de idol. 13 in.
    II) insbes., von der Bewegung aus sich hinstellen = stille stehen, stehen bleiben, A) übh., stille stehen, stehen bleiben, haltmachen (Ggstz. ire, pro-
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    gredi, inambulare, moveri u. dgl.), 1) eig.: a) v. leb. Wesen: consistite! Ov.: ubi ad ipsum veni diverticulum, constiti, Ter.: egressi tecta consistimus, Plin. ep.: ire modo ocius, modo consistere, Hor. – constitit hic, Verg.: c. procul, Ov.: c. non eodem loci prae ardore (v. (Redner), Suet. – u. im Bilde, in hoc igitur campo cum liceat oratori vagari libere atque ubicumque constiterit, consistere in suo, Cic.: ipsa mihi veritas manum iniecit et paulisper consistere et commorari cogit, Cic. – c. ante domum, Ov.: c. citra limen foresque, Ov.: neque is consistens in loco (auf der Stelle), sed inambulans atque ascensu ingrediens arduo, Cic.: iumenta, quae Dareum vehebant, in quadam valle constiterant, Curt.: quocumque constiti loco (wo ich gehe und stehe), ibi cogitationes meas tracto, Sen.: c. limine, Ov. – So nun bes.: α) der Unterhaltung wegen stehen bleiben, consistimus, Hor.: viatores etiam invitos consistere cogunt, Caes. – cum hoc consistit, hunc amplexatur, Cic.: in hoc loco cum altero constitit, Plaut. – β) neugierig, betrachtend, bewundernd, staunend usw. stehen bleiben, prohibitis per militem obviis ac viatoribus respicere usquam vel consistere, Suet.: hanc effigiem eius subinde respicere, sub hac consistere, praeter hanc commeare, Plin. ep.: bestiae saepe immanes cantu flectuntur et consistunt, Cic.: Hypsipyle vacuo consistit in thalamo (vor Verwunderung und Schmerz), Prop. – im Passiv
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    unpers., ista quae spectantur, ad quae consistitur, Sen. – γ) mitten im Tanze stille halten, si ludius constitit aut tibicen repente conticuit, Cic. de har. resp. 23 – δ) als milit. t. t., stille stehen, haltmachen, Rast machen, standhalten, sich setzen, sowohl für kurze Zeit, im Kampfe, auf dem Marsche, auf der Flucht, agmen nec progredi nec consistere audet, Curt.: agmen od. signa consistere iubet, Curt. u. Liv.: nemo consistere audet, Caes.: is locus ubi constitissent, ihr jetziger Lagerplatz, Caes.: constitit nusquam prius, quam ad Vada venit, Brut. in Cic. ep. – c. ad medium fere spatium, Caes.: c. paulum ad Rubiconem, Suet.: ad bivia, Liv.: ante oppidum, Hirt. b. Afr.: prope hostem, Caes.: sub castris Afranii, Caes.: signa consistunt in radicibus collium, Liv.: c. in hac urbe diutius quam usquam, Curt.: in locis superioribus u. bl. locis superioribus, Caes.: consistit a fuga Romana acies, Liv. – als auch auf die Dauer, eine feste Stellung einnehmen, sich festsetzen, cum (Pompeius) constiterit et timere desierit, Balb. in Cic. ep.: ego, ne consistere possit in Italia Antonius, dabo operam, Brut. in Cic. ep.: (Antonius) non mehercules horam constitisset, Planc. in Cic. ep. – ε) als Reisender, Flüchtling an einem Orte haltmachen, anhalten, sich aufhalten, v. Seefahrern auch = wo sich vor Anker legen, wo anlegen, sowohl augenblicklich, plura scribam ad te cum constitero; nunc eram plane
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    in medio mari, Cic.: in quibus (oppidis) consistere praetores et conventum agere solebant, Cic.: c. unum diem Veliae, Cic.: Romae vix triduum, Cic.: ad ancoram unā nocte, Cic.: contra Lissum in ancoris (v. Schiffen), Caes.: in portu (v. Schiffen), Liv. – als auch auf die Dauer sich wo aufhalten, sich niederlassen, sich ansässig machen, hic, Sen.: in agris Cadurcorum, Hirt. b. G.: in Aonia, Ov.: in ea sede, Curt.: nec tamen hāc profugum consistere Pelea terrā fata sinunt, Ov. – v. den in einer Provinz sich aufhaltenden, ansässigen röm. Bürgern, ibi negotiandi causā, Caes.: Uticae, Val. Max. – ζ) als Verkäufer wo seinen Stand haben, ausstehen, feil haben, ede, ubi consistas, Iuven. 3, 296: c. in taberna, Varr. LL. 5, 5; in schola, sub theatro Aug. Pompeiano, Corp. inscr. Lat. 6, 9404. – η) als Kollegium wo zusammentreten, in Palatio, Corp. inscr. Lat. 6, 8750: Arelicae, ibid. 5, 4017: Clastidi, ibid. 5, 7357. Vgl. Mommsen im Hermes 7, 309 f.
    b) von lebl. Subjj.: vel concĭdat omne caelum omnisque natura (N. = Schöpfung) consistat necesse est, Cic.: oculus consistit (Ggstz. huc illucve sine ratione movetur), Cels.: Ixionii vento (durch den W. = durch den Stillstand des W.) rota constitit orbis, Verg.: inanes nuces in summo umore consistere (sich halten, verbleiben) et plenas integro fructu ad ima deferri, Petr.: illic et nebulas, illic consistere nubes iussit,
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    sich lagern, Ov. – So nun bes.: α) v. Flüssigkeiten, stillstehen (Ggstz. fluere, profluere, manare), ut, si pluerit, non consistat aqua, Varr.: quin rapidum placidis etiam mare constitit undis, Tibull.: ter frigore constitit Ister, Ov.: v. Blut usw., tandem constitit sanguis, Curt.: neque sanguis ullo potis est pacto profluens consistere, Enn. tr. fr. – v. Most, sich setzen, cum iam perfecte mustum deferbuit et constitit, Col. 12, 21, 3. – u. als mediz. t. t., Konsistenz gewinnen, album ex ovo cnm rosa (Rosenöl) mixtum, adiecto, quo facilius consistat, contritae rosae pulvere, Cels. 4, 27 (20), 1. p. 154, 2 D. – β) v. Magen, Unterleib, von der Ausleerung nach oben od. unten (vom Erbrechen od. Durchfall nachlassen, sich beruhigen, stehen (als mediz. t. t.), stomachus od. ventriculus consistit, Cels.: alvus consistit, Cels. – u. v. den Absonderungen nach oben u. unten selbst, stehen, pituitae cursus (Schleimabsonderung) consistit, Cels.: tanta me διάῤῥοια arripuit, ut hodie primum videatur posse consistere, Cic.
    2) übtr.: a) v. Pers.u. personif. Lebl., α) stehen bleiben, αα) in der Rede bei einem Punkte stehen bleiben, verweilen, um ihn näher zu besprechen, quoniam ille hic constitit paulisper, mihi quoque necesse est paulum commorari, Cic.: ipsa mihi veritas manum iniecit et paulisper consistere et commorari coëgit, Cic. – m. in u. Abl., in uno nomine, Cic.: in
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    singulis, Cic. – ββ) innerhalb der Grenzen eines Faches, einer Methode stehen bleiben, sich halten, m. intra u. Akk., intra professionem suam, Cels.: u. Passiv unpers., intra quietem et unctionem et cibum consistendum est, Cels. – u. übh. innerhalb einer Grenze bei etw. stehen bleiben, es bei etw. bewenden lassen, maledictum, quod intra verba constitit, Ps. Quint. decl. 279. – u. in einem Stande verbleiben, m. in u. Abl., seu fortunā seu voluntate in equestri ordine usque ad Augusti patrem, Suet. Aug. 2, 2. – β) bestehen = existieren, sine agri cultoribus nec consistere mortales nec ali posse manifestum est, Col. 1. praef. 6.
    b) von Zuständen, α) stille stehen übh., teils = weder zu-, noch abnehmen, einen Stillstand eintreten lassen, im Stillstand begriffen sein (Ggstz. augeri, increscere od. decedere, minui), cum febris augeatur, consistat, decedat, Cels.: morbus increscit, consistit, minuitur, Cels. – teils = zum Stillstand kommen, stocken, nachlassen, aufhören, si infinitus forensium rerum labor... aetatis flexu constitisset, Cic.: quā novā re oblatā omnis administratio belli consistit, Caes.: cum ad Trebiam terrestre constitisset bellum, Liv. (vgl. Drak. Liv. 35, 4, 1. Fabri Liv. 21, 49, 1): consistere usura debuit, quae erat in edicto meo, die in m. E. erlaubte Verzinsung mußte aufhören, Cic.: infracta constitit ira, Ov. (s. Bach Ov. met. 6, 627). –
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    β) wo seinen Sitz nehmen, Platz greifen, αα) v. körperl. Übeln, teils übh. wo seinen Sitz nehmen od. haben, morbus consistit in toto corpore od. intra intestina, Cels.: maximi dolores in macerrimis consistunt corporis partibus, Sen.: si (erysipelas) circa cervicem aut caput constitit, Cels. – teils (wie καθίστημι) anhalten, fortdauern, Konsistenz gewinnen, sich festsetzen, si nihilo magis malum constitit, Cels.: dolor constitit cum furore, Scrib. – ββ) v. andern Zuständen, wo Platz greifen, stattfinden, teils = wo zur Anwendung und Geltung kommen, ut unde culpa orta esset, ibi poena consisteret, Liv.: in quo (viro) non modo culpa nulla, sed ne suspicio quidem potuit consistere, Cic.: non in te quoque constitit idem exitus, Ov.: si putabit posse omnia penes unum consistere (könne in der Hand einer Person in Anwendung kommen = sei in einer Person vereinbar), Cornif. rhet.: omni tempore summa studia officii inter nos constiterunt, Cic.: quaestio consistit inter utile atque honestum od. circa res personasque, Quint.: sunt certi denique fines, quos ultra citraque nequit consistere rectum, Hor. – teils = auf etw. beruhen, in etw. bestehen, in etw. seinen Grund haben, auf etw. sich gründen, maior pars victus eorum in lacte, caseo, carne consistit, Caes.: vita omnis in venationibus atque in studiis rei militaris consistit, Caes.: omnium superiorum dimicationum fructum in eo die atque
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    hora consistere, Caes.: cum omnibus Gallicis navibus spes in velis armamentisque consisteret, Caes.: in interitu tuo salus et vita optimi cuiusque, libertas populi Romani dignitasque consistit, Cic.: causa perniciosissimi belli in persona tua constitit, Cic.: ea, in quibus vita beata consistit, Cic. – m. bl. Abl., ita exiguo tempore magnoque casu totius exercitus salus constitit, Caes. – mit ex u. Abl., reliquae (legiones) ex fugitivis consistebant, Auct. b. Hisp.
    B) prägn., zum festen Stande kommen, festen Füß fassen, sich auf den Füßen halten (Ggstz. cadere u. dgl.), 1) eig.: a) v. Pers., si prohibent consistere vires, Ov. met. 7, 573. – ita alte, ut consistere homo ipse non possit, Cels. 8, 15. p. 356, 16 D. – im Kampfe, α) v. Faustkämpfer, Ringer (Ggstz. de gradu deici, cadere), minimeque in lubrico versabitur et, si semel constiterit, numquam cadet (im Bilde v. Redner), Cic.: nec tamen tradidisti te, sed subsiluisti et acrior constitisti (im Bilde von dem, der mit dem Geschicke kämpft), Sen.: attolle animum, adversus formidata consiste, Sen. – β) als milit. t. t. v. Soldaten, in muro, Caes.: in fluctibus, in arido, Caes.: pro opere, Sall. – u. im Bilde (vom Redner), confiteor... me consistere in meo praesidio sic, ut non fugiendi hostis, sed capiendi loci causā cessisse videar, Cic. de or. 2, 294.
    b) v. lebl. Subjj. Halt gewinnen, quales cum ver-
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    tice celso aëriae quercus... constiterunt, festgewurzelt dastehen, Verg. Aen. 3, 681. – und (im Bilde), nullo in loco, nulla in persona stabilibus nixa radicibus consistunt, fesseln sich bleibend an keinen Ort, an keine Person, Val. Max. 6, 9. ext. 7.
    2) übtr., gleichs. festen Fuß fassen, certa aliqua in sententia, einen bestimmten, festen Entschluß fassen, Cic.: consistit consilium, der Entschluß steht fest, Cic. – So nun bes.: a) im gerichtl. Kampfe, festen od. sichern Stand gewinnen, seinen Platz od. sich behaupten, sich halten, bestehen (Ggstz. cadere, concĭdere, de gradu deici), vom Redner, in hac causa, Cic.: in forensibus causis praeclare, Cic.: contra vos in contione, Cic.: c. in dicendo (seine Rede durchführen), Cic.: Passiv unpers., aut ita consistendum est, ut etc., man muß sich so festsetzen (darauf bestehen), daß usw., Cic. – v. Beklagten, spes est et hunc miserum... aliquando tandem posse consistere, Cic.: verbo quidem me superabis ipso iudice, re autem ne consistes quidem ullo iudice, Cic.: Pisonem consulem nulla in re consistere umquam sum passus, Cic. – v. Prozesse selbst, quia magistratus aliquis reperiebatur, apud quem Alfeni causa consisteret, Cic. Quinct. 71. – b) in Stimme, Gesicht od. Gemüt Fassung (Ruhe) gewinnen od. behalten, sich fassen, sich sammeln, v. Pers., neque mente nec linguā neque ore c., Cic.: u. so c. mente, Cic.: tranquillo animo, quietā
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    mente, Fassung u. Ruhe des Gemüts, des Geistes gewinnen, Cic. – v. der Stimme usw. selbst, neque mens neque vox neque lingua consistit, Cic.: religiones violatae... consistere eius animum sine furore atque amentia non sinunt, Cic.: neque enim patrius consistere mentem passus amor, ihm läßt Vaterliebe nicht ruhig das Herz, Verg. – c) in der öffentlichen Meinung festen Fuß fassen, sich behaupten, Geltung gewinnen, vix singulis aetatibus binos oratores laudabiles constitisse, Cic. Brut. 333. – consistere mit Akk. ist überall unsichere Lesart; vgl. Lachm. Lucr. 6, 11. Gronov Liv. 27, 17, 11.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > consisto

  • 15 de

    , Praep. m. Abl., bezeichnet eine Abtrennung, Abschließung von einem Gegenstande, an dem sich etwas befunden hat, deutsch = von... weg ( während ex den innern Bereich andeutet, aus dem etwas hervorgeht, deutsch = »von... aus«), I) im Raume: 1) von... weg, von... ab, von... her, von... herab, von, zuw. auch deutsch aus, de digito anulum detrahere, vom Finger (weg), Ter. u. Cic.: de manibus effugere, Cic.: de civitate alqm eicere, Cic.: de castris processisse, Sall.: de sella exsilire, Cic.: de muro se deicere, Caes.: de lecto decĭdere, Plaut. – dah. bei den Verben, die ein »Entnehmen« usw. bezeichnen, wie capere, sumere, petere etc. – ebenso emere de alqo, Cato: mercari de alqo, Cic.: quaerere de alqo, Cic.: audire de alqo, von jmd. (aus jmds. Munde), Cic.: discere de alqo, Cic. u.a.
    2) zur Bezeichnung des Punktes, von dem (als an ihm noch haftend) etwas gleichs. sich loslöst, unmittelbar ausgeht, von... aus, an... herab, an, nova de gravido palmite gemma tumet, Ov.: pendēre de collo, de camera, Ov. u. Petron.: de clunibus pinnas habere, Col.: de qua pariens arbore nixa dea est, Ov.
    3) zur Bezeichnung der Richtung, Seite, von der aus etwas geschieht, von... her, von... heraus, von... herab, palam de sella ac tribunali pronuntiaré, Cic.: nihil ex occulto, nihil de insidiis agere, Cic.: de pau-
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    pere mensa dona, Tibull.: de scripto dicere, de epistula recitare, Cic.: de tergo, vom Rücken her, von hinten (dagegen a tergo, im Rücken), Plaut. (vgl. unten no. II, B, 3 a. E.): de plano (= χαμόθεν), auf ebener Erde, unten (Ggstz. de tribunali, ἀπο βήματος), cognoscere, discutere u. dgl., ICt.
    II) übtr.: A) in der Zeit, 1) zur Angabe, daß etwas noch während der Dauer eines bestimmten Zeitpunktes (wie Nacht, Nachtwache, Tag usw.) seinen Anfang genommen habe, noch im Laufe des ( der) usw., noch mit, noch in od. an (vgl. Matthiä Cic. Mur. 22. Bremi Suet. Aug. 97), de nocte venire, Cic., rus ire, Ter., surgere, Hor. (vgl. Drak. Liv. 8, 23, 15. Oud. Suet. Vesp. 21). – multa de nocte (noch tief in der Nacht) profectum esse, Cic. – de media nocte (noch mitten in der Nacht) mittere complures turmas eo, Caes. – de die, noch am (hellen) Tage, Komik., Hor. u.a. (auch zuw. nach dem griech. ἀφ ἡμέρας = »mit dem Beginn des Tages«, nach Mützell Curt. 5, 7 [22], 2). – media de luce u. de medio die, vom hellen Mittag an, Hor. – de tertia (quarta) vigilia, noch im Laufe der dr. N., mit der dr. N., Caes., Liv. u.a. (s. Drak. Liv. 9, 44, 10). – de mense Decembri (noch im Laufe des D.) navigare, Cic. – aber de tempore (= bl. tempore), zur gewöhnlichen Zeit, cenare, Auct. b. Hisp. 33, 5.
    ————
    der Zeit, von... weg, unmittelbar nach (s. Lorenz Plaut. most. 682. Brix Plaut. trin. 215), non bonus somnus de prandio, Plaut.: statim de auctione venire, Cic.: oft diem de die, von Tag zu Tag, differre, proferre u. dgl., Liv. u. Iustin.
    B) in andern Verhältnissen, 1) zur Angabe der Herkunft, Abstammung, a) ( wie ἀπο) zur Bezeichnung des Ortes, von dem (als seinem gewöhnl. Aufenthaltsorte) jmd. od. etwas ist, -stammt, von, copo de via Latina, Cic.: rabula de foro (= forensis), Cic.: aliquis de ponte, einer von der Brücke, ein Brückensteher = Bettler, Iuven.: nauta de navi Alexandrina, Suet.: Libyca de rupe leones (poet. = Libyci leones, Ov.: nostro de rure corona, Tibull. – b) des Standes, de summo adulescens loco, Plaut.: de summo loco summoque genere eques, Plaut. – c) des etymologischen Ursprungs, von, nach, dicere alqm de alcis nomine, Ov.: dicta suo de nomine, Ov. 2) zur Angabe des Ganzen, von dem ein Teil, od. der Menge, aus der ein einzelnes Individuum genommen od. gekommen ist, von, aus, unter, partem solido demere de die, Hor.: de praeda mea teruncium nec attigit nec tacturus est quisquam, Cic.: exempta spinis de pluribus una, Hor.: hominem certum misi de comitibus meis, Cic.: illos emi de praeda a quaestoribus, Plaut. – So insbes., a) zur Angabe des Geschlechts, der Klasse, Gesellschaft, Schule, aus der ein Individuum ist, ge-
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    netrix Priami de gente, Verg.: homo de plebe = aus dem Bürgerstande od. = aus dem gemeinen Volke, ein gemeiner Bürger, Cic., Liv. u.a. (vgl. Drak. Liv. epit. 2. Burm. Ov. am. 1, 7, 29): malus poëta de populo, Cic.: hic de grege illo est, Ter.: homo de schola, Cic. – b) sehr häufig zur Umschreibung des partitiven Genetivs, ut partem aliquam de istius impudentia reticere possim, Cic.: aliquis de dis, Ov.: de duobus honestis utrum honestius, Cic.: quemvis de iis, Cic. – bei Zahlw., nemo de nobis unus excellat, Cic.: unus (una) de multis, de tot milibus, Hor. u. Ov. – bei Superlat., de tribus et decem fundis tres nobilissimos fundos possidere, Cic.: minimus de stirpe virili, Ov.
    3) zur Bezeichnung des Stoffs, woraus od. wovon etwas bereitet wird od. ist, von, aus, niveo factum de marmore signum, Ov.: de eodem oleo et opera exarare alqd, Cic.: verno de flore corona, Ov. – dah. a) zur Bezeichnung eines Gegenstandes, aus dem ein anderer entstanden ist, aus, garum de sucis piscis Hiberi, Hor.: alipedis de stirpe dei versuta propago nascitur Autolycus, Ov.: de nave carcerem facere, Petr.: de templo carcerem fieri, Cic.: captivum de rege facere, Iustin.: in deum de bove verti, Ov. – b) zur Angabe dessen, von dem der Aufwand für etw. bestritten wird, de praeda manubiis spoliisque honorem habetote, Liv. – bes. zur Angabe des Vermögens, von dem die Kosten zu etwas bestritten werden, de meo, de
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    tuo, de suo, de nostro, de vestro, de alieno, von dem Meinigen, Deinigen usw., Komik., Cic., Liv. u.a. (vgl. Drak. Liv. 4, 60, 4. Schwarz Plin. pan. 26, 3. p. 83. Scheffer Phaedr. 4, 19, 26): de publico, aus der Staatskasse, Cic. u.a.: so auch de te, von dir = aus deinem Beutel, de te largitor, Ter. adelph. 940. – c) zur Angabe des Körperteils usw., mit dem man Strafe abbüßt (vgl. Korte Lucan. 4, 805), de tergo (vgl. oben no. I, 3), de visceribus satisfacere, Liv. u. Cic.: de tergo od. (meton.) de se supplicium dare, Plaut.
    4) (spätlat.) zur Angabe des Mittels u. Werkzeugs, mit (s. Rönsch Itala p. 392 sqq.), descobinata de limis, runcinarum levigata de planis, Arnob.: comperies de velamine arcam testimonii, Itala exod. 26, 34: cumque significasset eis de manu, Itala act. apost. 12, 17: de afflatu suo animat, Tert. adv. Valent. 24: de cauda nocere, Tert. scorp. 1.
    5) zur Bezeichnung der veranlassenden Ursache od. des Grundes, von wegen, wegen, um... willen, aus, durch, gravi de causa, Cic.: qua de causa, qua de re, aus dem Grunde, weswegen, deshalb, Cic. u. Nep.: so auch quo de facto, Auct. b. Hisp.: flebat uterque non de suo supplicio, sed etc., Cic.: senatui parendum de salute rei publicae fuit, Cic.: de labore pectus tundit, vor Schmerz, Plaut.: quod erat de me feliciter Ilia mater, durch mich, Ov.: notior est factus Capaneus de fulminis ictu, Ov.
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    6) zur Bezeichnung der Gemäßheit, nach de etwas wie nach einer Norm, Richtschnur geschieht, nach, zufolge, gemäß (s. Lorenz Plaut. most. 760. Brix Plaut. Men. 934), de exemplo meo ipse aedificato, Plaut.: de illis verbis cave tibi, Plaut.: de suorum propinquorum sententia atque auctoritate fecisse, Cic.: de eius consilio velle sese facere, Ter.: vix de mea sententia concessum est, Cic.
    7) (wie περί), zur Bezeichnung der Rücksicht oder Hinsicht, in betreff ( was betrifft), in Hinsicht, anlangend ( was anlangt), hinsichtlich, de cena facio gratiam, Plaut.: recte non credis de numero militum, Cic.: de fratre confido, Cic.: diffidens de numero dierum Caesarem fidem servaturum, Caes.: neque id, quod fecerit de oppugnatione castrorum, aut iudicio aut voluntate suā fecisse, Caes.: solem de virgine rapta consule, Ov.: de cetero (am Ende einer Rede), was das übrige (weitere) anlangt, Sen. u. Curt.: so auch de ceteris, Sall.; s. Fabri Sall. Iug. 26, 1. Mützell Curt. 4, 1 (2), 14. – nach Subst., triumphus de alqo, victoria de alqo, s. triumphus, victoria. -u. so häufig nach verbis sentiendi u. declarandi zur Angabe des Objekts, auf das die Betrachtung, Verhandlung usw. sich beschränkt, deutsch über, s. accipio, ago, audio, dico, doceo, edoceo, cognosco, iudico u. dgl.
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    drücken, wie: de improviso, unversehens, unvermutet, Ter., Cic. u.a.: de integro, von neuem, ibid.
    9) (spätlat.) beim Komparat. statt des bloßen Abl., als, si plus de triginta pedibus patuerit, Gromat. vet. 11, 19.
    10) bei subst. gebrauchten Advv., zB. de intus, s. deintus: de longe, s. delonge: de magis, s. demagis.
    In der Zusammensetzung bezeichnet de: a) Entfernung, Trennung, im materiellen und moralischen Sinne = ab-, weg-, fort-, decedere, deferre; übtr., denuntiare. – od. von der Höhe in die Tiefe = nieder-, herab-, hinab-, decĭdere, deicere. – b) ein Abgehen od. Fehlen, deunx, desum, deficio, destituo, demens, deformis u. dgl. – c) eine Vollendung, einen hohen Grad, dient daher auch zur Verstärkung des im einfachen Verbum liegenden Begriffs, völlig, gänzlich, sehr, heftig, defungi, depugnare, devincere. – deamare, demirari u. dgl.
    de wird gern zwischen dem Adjektivum od. dem Pronomen u. dem Substantivum eingeschaltet, vgl. oben multa de nocte, gravi de causa, qua de re. – auch dem bloßen Relativum nachgesetzt, bes. in der jurist. Spr., zB. illud, quo de agitur, id negotium, quo de agitur, worum es sich handelt, Cic. de or. 1, 209 u. de inv. 1, 27: u. so illae oves, qua de re agitur, Varro r. r. 2, 2, 6; vgl. Neue-Wagener Formenl.3 Bd. 2. S. 942 u. 943.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > de

  • 16 civitas

    cīvĭtas, ātis ( gen. plur. civitatium, Cic. Rep. 1, 34, 51; id. Leg. 2, 4, 9; Caes. B. G. 4, 3; 5, 22; Sall. C. 40, 2; Liv. 1, 17, 4; 2, 6, 5; 33, 20, 11 Drak.; 42, 30, 6; 42, 44, 1; 45, 34, 1; Vell. 2, 42, 2; Quint. 2, 16, 4 N. cr.; Suet. Tit. 8 Oud.; Cornut. ap. Charis. p. 100 P.; cf. Varr. L. L. 8, § 66; Prisc. p. 771 P.; Neue, Formenl. 1, 268), f. [civis].
    I.
    Abstr., the condition or privileges of a ( Roman) citizen, citizenship, freedom of the city (upon its conditions, v. Zimmern, Rechtsgesch. 2, § 123 sq.;

    Dict. of Antiq. p. 260 sqq.): Cato, cum esset Tusculi natus, in populi romani civitatem susceptus est: ita, cum ortu Tusculanus esset, civitate Romanus, etc.,

    Cic. Leg. 2, 2, 5:

    donare aliquem civitate,

    id. Balb. 13, 20; Suet. Caes. 24; 42; 76; id. Aug. 47; id. Tib. 51; id. Ner. 24:

    dare civitatem alicui,

    Cic. Arch. 4, 7; 5, 10; Liv. 1, 28, 7; 8, 14, 8; Suet. Aug. 40; id. Galb. 14: accipere aliquem in civitatem, [p. 347] Cic. Off. 1, 11, 35:

    adsciscere in civitatem,

    Liv. 6, 40, 4:

    ascribere aliquem in civitatem,

    Cic. Arch. 4, 6:

    aliquem foederatis civitatibus ascribere,

    id. ib. 4, 7:

    in aliis civitatibus ascriptus,

    id. ib. 5, 10:

    assequi,

    Tac. A. 11, 23:

    consequi,

    Cic. Balb. 13, 31:

    deponere,

    id. Caecin. 34, 100:

    decedere de civitate,

    id. Balb. 5, 11:

    dicare se civitati,

    id. ib. 11, 28:

    in civitatem,

    id. ib. 12, 30:

    eripere,

    id. Caecin. 34, 99:

    habere,

    id. Balb. 13, 31:

    impertiri civitatem,

    id. Arch. 5, 10:

    furari civitatem,

    id. Balb. 2, 5:

    petere,

    Suet. Caes. 8:

    Romanam assequi,

    Tac. A. 11, 23:

    adipisci,

    Suet. Aug. 40:

    Romanam usurpare,

    id. Calig. 38; id. Claud. 25:

    amittere civitatem,

    Cic. Caecin. 34, 98:

    adimere,

    id. ib.; Suet. Caes. 28:

    petere,

    id. ib. 8:

    negare,

    id. Aug. 40:

    jus civitatis,

    Cic. Caecin. 34, 98; id. Arch. 5, 11:

    recipere aliquem in civitatem,

    id. Caecin. 34, 100; id. Arch. 10,22; id. Balb. 13, 31:

    relinquere,

    id. Caecin. 34, 100:

    retinere civitatem,

    id. Balb. 12, 30:

    retinere aliquem in civitate,

    id. Lig. 11, 33:

    ademptio civitatis,

    id. Dom. 30, 78:

    commemoratio,

    id. Verr. 2, 5, 62, § 162:

    nomen,

    id. ib.:

    ereptor,

    id. Dom. 30, 81.—
    B.
    Trop.:

    ut oratio Romana plane videatur, non civitate donata,

    Quint. 8, 1, 3; cf.:

    civitate Romanā donare agricolationem,

    Col. 1, 1, 12:

    verbum hoc a te civitate donatum,

    naturalized, Gell. 19, 3, 3; Sen. Ep. 120, 4; id. Q. N. 5, 16, 4.—More freq.,
    II.
    Concr., the citizens united in a community, the body - politic, the state, and as this consists of one city and its territory, or of several cities, it differs from urbs, i.e. the compass of the dwellings of the collected citizens;

    but sometimes meton., = urbs, v. B.: concilia coetusque hominum jure sociati, quae civitates appellantur,

    Cic. Rep. 6, 13, 13:

    tum conventicula hominum, quae postea civitates nominatae sunt, tum domicilia conjuncta, quas urbes dicimus, etc.,

    id. Sest. 42, 91; cf.: omnis populus, qui est talis coetus multitudinis, qualem exposui; omnis civitas, quae est constitutio populi;

    omnis res publica, quae populi res est, etc.,

    id. Rep. 1, 26, 41:

    quia sapiens non sum, nec haec urbs nec in eā civitas... non dubitavisset, quin et Roma urbs (esset), et eam civitas incoleret,

    id. Ac. 2, 45, 137:

    aucta civitate magnitudine urbis,

    Liv. 1, 45, 1:

    Orgetorix civitati persuasit, ut de finibus suis cum omnibus copiis exirent,

    Caes. B. G. 1, 2 Oud.; so id. ib. 1, 4; 1, 19; 1, 31; cf. Sisenn. ap. Non. p. 429, 15:

    civitates aut nationes devictae,

    Cic. Off. 1, 11, 35; Sall. C. 31, 1; Liv. 21, 1, 2:

    io triumphe non semel dicemus civitas omnis,

    Hor. C. 4, 2, 51; cf. id. Epod. 16, 36 and 18:

    cum civitas in foro exspectatione erecta staret,

    Liv. 3, 47, 1; so id. 2, 37, 5; 26, 18, 6; 34, 41, 1; Tac. A. 3, 11; Suet. Calig. 6; id. Tib. 17; 42:

    civitates aut condere novas aut conservare jam conditas,

    Cic. Rep. 1, 7, 12; id. Sull. 9, 28; id. Rep. 1, 8, 13; 1, 3, 5:

    omnis civitas Helvetia in quattuor pagos divisa est,

    Caes. B. G. 1, 12:

    quae pars civitatis Helvetiae, etc.,

    id. ib.:

    non longe a Tolosatium finibus, quae civitas est in provinciā,

    id. ib. 1, 10:

    Ubii, quorum fuit civitas ampla atque florens,

    id. ib. 4, 3:

    Rhodiorum civitas, magna atque magnifica,

    Sall. C. 51, 5; cf. id. J. 69, 3:

    Heraclea quae est civitas aequissimo jure ac foedere,

    Cic. Arch. 4, 6 et saep.:

    administrare civitatem,

    id. Off. 1, 25, 88:

    mutari civitatum status,

    id. Leg. 3, 14, 32; so,

    civitatis status,

    Quint. 6, 1, 16; 11, 1, 85:

    (legibus) solutis stare ipsa (civitas) non possit,

    id. 11, 1, 85:

    lege civitatis,

    id. 12, 10, 26; cf. id. 5, 10, 25:

    mos civitatis,

    id. 10, 1, 107; 12, 3, 7; 1, 2, 2.—Of Plato's ideal republic:

    si in illā commenticiā Platonis civitate res ageretur,

    Cic. de Or. 1, 53, 230.—
    2.
    Trop.:

    civitas caelitum,

    Plaut. Rud. prol. 2:

    ut jam universus hic mundus una civitas sit communis deorum atque hominum existimanda,

    Cic. Leg. 1, 7, 23.—
    B.
    Meton., = urbs, a city (rare and mostly post-Aug.; not in Cic. or Cæs.): civitatem incendere, Enn. ap. Non. p. 429, 5 (Trag. 382 Vahl.):

    cum errarem per totam civitatem,

    Petr. 8, 2; cf. id. 8, 141 fin.:

    Lingonum,

    Tac. H. 1, 54; 1, 64:

    ab excidio civitatis,

    id. ib. 1, 63;

    1, 69: circumjectae civitates,

    id. ib. 3, 43:

    muri civitatis,

    id. ib. 4, 65; id. A. 6, 42:

    pererrata nocturnis conversationibus,

    Sen. Ben. 6, 32, 1:

    expugnare civitatem,

    Quint. 8, 3, 67; cf.:

    expugnandae civitates,

    id. 12, 9, 2:

    plurimas per totum orbem civitates, terrae motu aut incendio afflictas restituit in melius,

    Suet. Vesp. 17; cf. id. Tit. 8; id. Tib. 84 fin.; Lact. 2, 7, 19.—
    2.
    Esp., the city, i. e. Rome and its inhabitants, Tac. H. 1, 19; 2, 92; 4, 2.

    Lewis & Short latin dictionary > civitas

См. также в других словарях:

  • perdre — Perdre, Perdere, Disperdere, Amittere. Perdre quelque chose que ce soit, Naufragium facere. Perdre courage, Animos submittere, cerchez le mot Courage. Le Roy perdit toute contenance, Adeo perturbauit ea vox regem, vt non color, non vultus ei… …   Thresor de la langue françoyse

  • passare — [lat. passare, der. di passus us passo ]. ■ v. intr. (aus. essere ) 1. [andare da un punto a un altro muovendosi attraverso uno spazio, spesso con la prep. per : p. per la strada principale ] ▶◀ attraversare (∅), circolare, percorrere (∅),… …   Enciclopedia Italiana

  • temps — Temps, m. Vient du Latin Tempus par syncope de la voyelle u, Tempus, Tempestas, l Espagnol et l Italien s esloignent trop dudit mot Latin, disant le premier Tiempo, et l autre Tempo. Le temps, ou jour, Dies. Le temps soit d un an, d un jour, ou d …   Thresor de la langue françoyse

  • Legio XV Primigenia — Sestercio emitido en Roma en 37 38 con el retrato y titulatura imperial de Calígula, creador de la Legio XV Primigenia Activa Desde 39 hasta 70 …   Wikipedia Español

  • place — Place, f. penac. Est un lieu subdial et à descouvert sans bastimens, et se prend tantost pour le rez de chaussée, Solum. Comme quand on dit, Il n y a que la place, Solum nudum, et sine superficie. Nuda area. Et tantost pour le lieu destiné au… …   Thresor de la langue françoyse

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