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abest

  • 1 ABest

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  • 2 absum

    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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        Absum, abes, priore breui, abfui, abesse. Estre absent.
    \
        Te abfuisse tandiu a nobis doleo. Cic. Que tu as esté si long temps arriere de nous, Hors d'avec nous.
    \
        Abesse a signis, etc. Plin. iun. S'esloigner du camp, de l'enseigne.
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        Non aberit longius. Terent. Il ne s'esloignera pas loing.
    \
        A periculo abesse. Plin. Estre hors des dangers, Estre loing du danger.
    \
        In altercationibus abesse. Cic. Ne se trouver point au debat.
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        Menses tres abest. Terent. Il y a trois mois qu'il est dehors.
    \
        Bidui spatio abest ab eo. Plancus Ciceroni. Il est à deux journees loing de luy.
    \
        Abesse bidui a castris. Cic. Estre à deux journees loing du camp.
    \
        Cuius hyberna aberant ab eo millia passuum XXV. Caes. Sa garnison estoit loing de luy XXV mille pas, ou le lieu de sa garnison.
    \
        Abest non longe a me. Cic. Il n'est pas fort loing de moy, ou de ma maison.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y ait bien loing d'ici?
    \
        Tu propius abes. Cic. Tu n'es pas fort loing.
    \
        Abesse propius a morte. Ci. Estre plus prochain, ou pres de la mort.
    \
        Multum abest ab iis. Cic. Il est beaucoup moindre que ceuls là, Il n'est point si excellent à beaucoup pres, Il n'en approche point, Il est bien loing de ceuls là.
    \
        Ab eo plurimum absum. Cic. Je n'ay garde de faire cela, J'en suis bien loing. \ Vnde longe absum. Cic. Dont je suis bien loing.
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        Abesse, pro Deesse. Plaut. Vnum a Praetura tua abest. Il s'en fault une chose, Il te default une chose.
    \
        Nummus abesse hinc non potest. Plaut. Il ne fault point qu'il s'en faille un tournois.
    \
        Quid ab his tot maleficiis sceleris abesse videtur? Cic. Quelle meschanceté s'en fault il qu'il n'ait faict?
    \
        Mihi animus etiam nunc abest. Plaut. Le courage ne m'est point encore revenu.
    \
        Quid abest huic homini, quod, etc. Cic. Qu'est ce qu'il default à cest homme, etc.
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        Vetustate dentes absunt. Varro. Defaillent, sont cheuts.
    \
        Id abest. Plaut. Il s'en fault cela.
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        Aliud nihil abest. Plaut. Il ne s'en fault que cela.
    \
        Vnus abest. Virgil. Il s'en fault un.
    \
        Ab omni contentione abesse. Cic. S'esloigner de toutes noises et debats.
    \
        Abesse a consilio fugiendi. Cic. N'estre point d'advis ou d'opinion de fuir.
    \
        Abesse a bello. Cic. Se tenir loing de la guerre, N'estre point à la guerre.
    \
        Abesse a bello, per translationem. Cic. N'estre point d'opinion de faire la guerre.
    \
        Abesse a crimine. Cic. N'estre point coulpable de quelque crime.
    \
        A culpa. Cic. Estre innocent de quelque chose.
    \
        A sententia alicuius. Cic. Estre contraire et loing de l'opinion de quelqu'un.
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        A qua suspicione ille aberat plurimum. Cic. Lequel ne povoit aucunement estre souspeconné de cela, Contre lequel on n'avoit matiere d'avoir tel souspecon.
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        Longissime a vero. Cic. Estre bien loing de la verité.
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        A vitiis. Cic. N'estre point entaché de vices.
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        Mea culpa abest. Cic. Ce n'est point ma faulte, On ne m'en peult donner le blasme.
    \
        Auaritiae absit suspicio. Cic. Qu'il n'y ait aucun souspecon d'avarice.
    \
        Procul a nobis absint ista. Plin. Soyent mis arriere.
    \
        Abesse longe a spe Consulatus. Cic. Estre loing d'esperance de povoir parvenir à estre Consul.
    \
        A cogitatione absit res ista. Cic. Qu'on n'y pense point.
    \
        Nunquam ab oculis meis abfuerunt. Cic. Je ne les ay jamais perdu de veue.
    \
        Abfuit virtus ab oculis fori et curiae. Cic. Ils n'ont point eu d'esgard à vertu, Ils n'ont point eu vertu devant les yeuls.
    \
        Longe aberit, vt argumentis credat philosophorum. Cic. Il n'est pas pres de croire, Il n'a garde de croire, Il est bien loing de croire, etc.
    \
        Nec multum abfuit, quin, etc. Liu. Il ne s'en fallut gueres que, etc.
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        Abesse non potest quin. Cic. Il ne peult estre que, etc. Il ne se peult faire que, etc.
    \
        Non aberit quin rideatur. Gell. Il ne s'en fauldra rien, qu'il ne soit mocqué.
    \
        Abesse alicui. Cic. Faillir de secours à aucun, Le laisser à son besoing sans le secourir.
    \
        Absit verbo inuidia. Liu. Que nul ne me scache mauvais gré de ce que je dis.
    \
        Tantum abest, vt meae rei familiaris, etc. Brutus Ciceroni. Tant s'en fault.

    Dictionarium latinogallicum > absum

  • 3 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.

    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-, getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zuletzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art. poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – / statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).

    / Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.: rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    lateinisch-deutsches > absum

  • 4 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a
    ————
    me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.
    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-,
    ————
    getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius
    ————
    obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zu-
    ————
    letzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein
    ————
    od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art.
    ————
    poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).
    Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.:
    ————
    rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > absum

  • 5 absum

    ab-sum, āfui (better than abfui), āfŭtārus (aforem, afore), v. n., in its most general signif., to be away from, be absent.
    I.
    In gen.
    A.
    Absol. without designating the distance (opp. adsum):

    num ab domo absum?

    Plaut. Ep. 5, 2, 16:

    me absente atque insciente,

    id. Trin. 1, 2, 130:

    domini ubi absunt,

    are not at home, not present, Ter. Eun. 3, 5, 53: facile aerumnam ferre possum, si inde abest injuria, Caecil. ap. Non. 430, 18.—
    B.
    With reference to the distance in space or time; which is expressed either by a definite number, or, in gen., by the advs. multum, paulum (not parum, v. below) longe, etc.:

    edixit, ut ab urbe abesset milia pass. ducenta,

    Cic. Sest. 12, 29:

    castra, quae aberant bidui,

    id. Att. 5, 16:

    hic locus aequo fere spatio ab castris Ariovisti et Caesaris aberat,

    Caes. B. G. 1, 43:

    haud longe abesse oportet,

    he ought not to be far hence, Plaut. Am. 1, 1, 166:

    legiones magnum spatium aberant,

    Caes. B. G. 2, 17:

    menses tres abest,

    Ter. Heaut. 1, 1, 66:

    haud permultum a me aberit infortunium,

    Ter. Heaut. 4, 2, 1; Cic. Fam. 2, 7.—With the simple abl. for ab:

    paulumque cum ejus villa abessemus,

    Cic. Ac. 1, 1 Görenz; but, ab ejus villa, B. and K.; cf.:

    nuptā abesse tuā,

    Ov. R. Am. 774.— With inter:

    nec longis inter se passibus absunt,

    Verg. A. 11, 907.—With prope, propius, proxime, to denote a short distance:

    nunc nobis prope abest exitium,

    is not far from, Plaut. Aul. 2, 3, 8;

    so with est: prope est a te Deus, tecum est,

    Sen. Ep. 41:

    loca, quae a Brundisio propius absunt, quam tu, biduum,

    Cic. Att. 8, 14:

    quoniam abes propius,

    since you are nearer, id. ib. 1, 1:

    existat aliquid, quod... absit longissime a vero,

    id. Ac. 2, 11, 36; so id. Deiot. 13; Caes. ap. Cic. Att. 9, 16 al.—Hence the phrase: tantum abest, ut—ut, so far from that, etc. (Zumpt, §

    779), the origin of which is evident from the following examples from Cic. (the first two of which have been unjustly assailed): id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Off. 1, 14 (with which comp. the person. expression: equidem tantum absum ab ista sententia, ut non modo non arbitrer... sed, etc.,

    id. de Or. 1, 60, 255):

    tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne, etc.,

    id. Tusc. 1, 31, 76: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, so far am I from that, id. Phil. 11, 14; sometimes etiam or quoque is added to the second clause, Lentul. ap. Cic. Fam. 12, 15, 2; Suet. Tib. 50; more rarely contra, Liv. 6, 31, 4. Sometimes the second ut is left out:

    tantum afuit, ut inflammares nostros animos: somnum isto loco vix tenebamus,

    Cic. Brut. 80, 278; on the contrary, once in Cic. with a third ut: tantum abest ut nostra miremur, ut usque eo difficiles ac morosi simus, ut nobis non satisfaciat ipse Demosthenes, Or. 29, 104.
    II.
    Hence,
    A.
    To be away from any thing unpleasant, to be freed or free from:

    a multis et magnis molestiis abes,

    Cic. Fam. 4, 3:

    a culpa,

    id. Rosc. Am. 20: a reprehensione temeritatis, Planc. ap. Cic. Fam. 10, 23.
    B.
    To be removed from a thing by will, inclination, etc.; to be disinclined to (syn. abhorreo)' a consilio fugiendi, Cic. Att. 7, 24:

    ab istis studiis,

    id. Planc. 25:

    ceteri a periculis aberant,

    kept aloof from, avoided, Sall. C. 6, 3. toto aberant bello, Caes. B. G. 7, 63.
    C.
    To be removed from a thing in regard to condition or quality, i. e. to be different from, to differ = abhorrere abest a tua virtute et fide, Brut. et Cass. ap. Cic. Fam. 11, 2: istae kolakeiai non longe absunt a scelere, id. Att. 13, 30:

    haec non absunt a consuetudine somniorum,

    id. Divin. 1, 21, [p. 13] 42.—Since improvement, as well as deterioration, may constitute the ground of difference, so absum may, according to its connection, designate the one or the other:

    nullā re longius absumus a naturā ferarum,

    in nothing are we more elevated above the nature of the brute, Cic. Off. 1, 16, 50;

    so also the much-contested passage,

    Cic. Planc. 7, 17: longissime Plancius a te afuit, i. e. valde, plurimis suffragiis, te vicit, was far from you in the number of votes, i. e. had the majority; v. Wunder ad Planc. proleg. p. 83 sq.; on the other hand, to be less, inferior: longe te a pulchris abesse sensisti, Cic. Fragm. ap. Non. 339, 23:

    multum ab eis aberat L. Fufius,

    id. Brut. 62, 222; so Hor. A. P. 370.
    D.
    Not to be suitable, proper, or fit for a thing:

    quae absunt ab forensi contentione,

    Cic. Or. 11, 37:

    ab principis personā,

    Nep. Ep. 1, 2.
    E.
    To be wanting, = desum, Pac. ap. Cic. Fin. 5, 11, 31 (Trag. Rel. p. 122 Rib.):

    unum a praeturā tuā abest,

    one thing is wanting to your praetorship, Plaut. Ep. 1, 1, 25: quaeris id quod habes;

    quod abest non quaeris,

    Ter. Heaut. 5, 4, 16; cf. Lucr. 3, 970 and 1095.—After Cicero, constr. in this signif. with dat.:

    quid huic abesse poterit de maximarum rerum scientiā?

    Cic. de Or. 1, 11, 48:

    abest enim historia litteris nostris,

    history is yet wanting to our literature, id. Leg. 2, 5.—So esp. in the poets:

    donec virenti canities abest morosa,

    Hor. C. 1, 9, 17; 3, 24, 64; Ov. M. 14, 371.—Hence the phrase non multum (neque multum), paulum, non (haud) procul, minimum, nihil abest, quin. not much, little, nothing is wanting that (Zumpt, Gr. § 540); but not parum, since parum in good classical authors does not correspond in meaning with non multum, but with non satis (v. parum):

    neque multum abesse ab eo, quin, etc.,

    Caes. B. G. 5, 2, 2; and absol.:

    neque multum afuit quin,

    id. B. C. 2, 35, 4:

    paulumque afuit quin, ib. § 2: legatos nostros haud procul afuit quin violarent,

    Liv. 5, 4 fin.:

    minimum afuit quin periret,

    was within a little of, Suet. Aug. 14:

    nihil afore credunt quin,

    Verg. A. 8, 147 al.
    F.
    Abesse alicui or ab aliquo, to be wanting to any one, to be of no assistance or service to (opp. adsum):

    ut mirari Torquatus desinat, me, qui Antonio afuerim, Sullam defendere,

    Cic. Sull. 5: facile etiam absentibus nobis ( without our aid) veritas se ipsa defendet, id. Ac. 2, 11, 36:

    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum,

    Caes. B. G. 1, 36. So also Cic. Planc. 5, 13: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, the more I needed your assistance, the more you neglected me, v. Wunder ad h. l.; cf. also Sall. C. 20 fin.
    G.
    Cicero uses abesse to designate his banishment from Rome (which he would never acknowledge as such):

    qui nullā lege abessem,

    Cic. Sest. 34, 37; cf.: discessus. —Hence, absens, entis ( gen. plur. regul. absentium;

    absentum,

    Plaut. Stich. 1, 1, 5), P. a., absent (opp. praesens).
    A.
    In gen.:

    vos et praesentem me curā levatis et absenti magna solatia dedistis,

    Cic. Brut. 3, 11; so id. Off. 3, 33, 121; id. Verr. 2, 2, 17:

    quocirca (amici) et absentes adsunt et egentes abundant,

    id. Lael. 7, 23:

    ut loquerer tecum absens, cum coram id non licet,

    id. Att. 7, 15:

    me absente,

    id. Dom. 3; id. Cael. 50:

    illo absente,

    id. Tull. 17; id. Verr. 2, 60:

    absente accusatore,

    id. ib. 2, 99 al.— Sup.:

    mente absentissimus,

    Aug. Conf. 4, 4.—Of things (not thus in Cic.):

    Romae rus optas, absentem rusticus urbem tollis ad astra,

    Hor. S. 2, 7, 28; so,

    Rhodus,

    id. Ep. 1, 11, 21:

    rogus,

    Mart. 9, 77, 8:

    venti,

    Stat. Th. 5, 87:

    imagines rerum absentium,

    Quint. 6, 2, 29:

    versus,

    Gell. 20, 10.—
    B.
    In partic.
    1.
    In conversat. lang.
    (α).
    Praesens absens, in one's presence or absence:

    postulo ut mihi tua domus te praesente absente pateat,

    Ter. Eun. 5, 8, 29.—
    (β).
    Absente nobis turbatumst, in our absence (so also:

    praesente nobis, v. praesens),

    Ter. Eun. 4, 3, 7; Afran. ap. Non. 76, 19 (Com. Rel. p. 165 Rib.).—
    2.
    In polit. lang., not appearing in public canvassings as a competitor:

    deligere (Scipio) iterum consul absens,

    Cic. Rep. 6, 11; so Liv. 4, 42, 1; 10, 22, 9.—
    3.
    = mortuus, deceased, Plaut. Cas. prol. 20; Vitr. 7, praef. § 8.—
    4.
    Ellipt.: absens in Lucanis, absent in Lucania, i. e. absent and in Lucania, Nep. Hann. 5, 3; so id. Att. 8, 6.

    Lewis & Short latin dictionary > absum

  • 6 ab-sum

        ab-sum āfuī    (not abfuī), āfutūrus (āforem, āfore), abesse, in general, to be away from, be absent: dum abs te absum, T.: qui nullā lege abessem, i. e. since my exile was unlawful: Athenis, N.: hinc abesto, stand off, Ph.: omnia quae absunt, unseen things, Cs.: Unus abest, is missing, V.: nec Teucris addita Iuno Usquam aberit, will ever cease to follow them, V.: barba dum aberat, i. e. until the beard grew, O. —With distance in space or time: ab urbe abesse milia passuum ducenta: longe: procul, S.: cuius aetas a senatoriā gradu longe abesset, was far too young for: a quibus paucorum dierum iter, Cs.: profectus mensīs tris abest, three months ago, T.: nec longis inter se passibus absunt, V.: quod abest longissime, and that is far from the truth: tantum abest ab infamiā, ut, etc.: neque longius abesse quin proximā nocte... exercitum educat, i. e. nor was the time more remote, Cs.—In the phrase: tantum abest ut... ut, so far from... that, etc.: tantum abest ut gratiam quaesisse videar, ut simultates intellegam suscepisse, I am so far from being shown to have courted popularity, that, etc.: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne, etc. — Hence, to be away from, be free from: a culpā: ab eius modi crimine.—To be removed from, be disinclined to: ab istis studiis: tantum aberat a bello, ut, etc., he was so averse to war, that, etc.: ab hoc consilio afuisse, took no part in, Cs.: ceteri a periculis aberant, avoided, S.: paulum a fugā aberant, were almost ready to flee, S.—To be removed from, be different from, differ: qui longissime a te afuit, i. e. had the largest majority: abest virtute Messallae, is far inferior to, H. — To be unsuitable, be inappropriate: scimus musicen abesse ab principis personā, N.—To be wanting: quaeris id quod habes, quod abest non quaeris, T.: nusquam abero, V.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, that most had been negligent, all unsuccessful, Cu.: Donec virenti canities abest Morosa, H.: curtae nescio quid semper abest rei, H.—Hence with a negative or paulum (not parum), followed by quin, not much, little, nothing is wanting that, etc.: neque multum abesse ab eo, quin, etc., Cs.: paulumque afuit quin, Cs.: legatos haud procul afuit quin violarent, they came very near, L.—Abesse alicui or ab aliquo, to be wanting to, fail, not to help: longe alcui, O.: longe iis fraternum nomen populi R. afuturum, Cs.: quo plus intererat, eo plus aberat (tua virtus) a me, i. e. the more it would have helped me, the more it failed me: iussis mora abesto, O.: nec dextrae erranti deus afuit, V.: remo ut luctamen abesset, so that the rowing was without effort, V.

    Latin-English dictionary > ab-sum

  • 7 absum

    ab-sum, āfuī (abfuī), (āfutūrūs), abesse
    1) не быть, не находиться (где-л.), отсутствовать (ab или ex urbe C; ab domo Pl, L; domo et foro C)
    poena metusque aberant O — (в золотом веке) не существовало ни наказаний, ни страха (перед ними)
    aliquem absentem rodere H — бранить кого-л. за глаза
    absit invidia verbo погов. L — не сочтите за обиду, не взыщите на слове или (никому) не в обиду будь сказано
    2) не участвовать, держаться в стороне, не заниматься (bello Cs; publicis consiliis L; a periculis Sl)
    3) недоставать, не хватать (hoc unum illi afuit C; abest quod avemus Lcr)
    a. alicui (ab aliquo) C — не помогать кому-л.
    longe iis fraternum nomen populi Romani afuturum (esse) Cs — (Ариовист заявил, что в таком случае) звание братьев римского народа им нисколько не поможет
    multum abest Pythagorae statuam esse Ap — совсем непохоже, чтобы это была статуя Пифагора
    4)
    а) тж. перен. отстоять, быть далеко, находиться на (большом) расстоянии ( a naturā ferarum C)
    id enimvero hinc nunc abest Terэто дело дальнее (т. е. теперь об этом нечего и думать)
    a. a reprehensione alicujus rei C — не заслуживать упрёка в чём-л.
    б) безл.
    istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quia eos oderim C — я настолько далёк от того, чтобы их восхвалять, что (напротив) не в состоянии их не ненавидеть
    paulum (haud multum) afuit, quin hostes vincerentur Csнеприятели едва не были побеждены
    5) не быть свойственным, не подходить, быть чуждым
    quod certe abest a tua virtute Brutus ap. C — что, конечно, несовместимо с твоей доблестью
    nihil a me abest longius crudelitate C — нет свойства более мне чуждого, чем жестокость

    Латинско-русский словарь > absum

  • 8 abesse

    1) о лицах = absentem esse, не быть налицо, не находиться где-нибудь, отсутствовать (1. 199 D. 50. 16. 1. 24 D. 1, 7. 1. 26 D. 50, 17. 1. 33 § 2 D. 3, 3);

    reipubl. causa abesse (см. res s. 3);

    iusta ex causa abesse (см. iustus s. a);

    inter absentes contrahi (I. 1 § 2 D. 18, 1), в особен. - отн. заключения стипуляции (1. 1 pr. D. 45, 1);

    absentia, отсутствие (1. 140 D. 50, 17). В ближайшем значении слова abesse означ. не присутствовать в суде, не быть в здании суда (1. 4 § 5 D. 39, 2. 1. 51 § 5 D. 40, 5);

    sententiam proferre absentibus illis (1. 1 § 1. D. 2, 12). Далее absentes обозначает: лица, не живущие в одной и той же провинции, именно по отношению к давности, наз. longi temporis praescriptio (1. 12 § 3 C. 7, 33).

    2) о вещах: пропасть, недоставать, abesse per aluquem (1. 40 pr. D. 40, 7);

    res alicui furto abest (1. 14 pr. D. 50, 16);

    pecunia fideiussori abesse intelligitur (1. 26 § 2. 1. 47 pr. D. 17, 1);

    quod alicui abest, что кому-нибудь недостает или чего кто-нибудь лишился или потерял,

    si quid mihi abesset ex negotio, quod is gessisset (1. 31 § 1 D. 12, 1. 1. 24 § 1 D. 19, 1);

    quod ex duplae stipulatione abest (1. 49 D. 10, 2);

    persequi, si quid ei aberit (1. 4 D. 27, 4);

    quoties id, quod tibi debeam, ad te pervenit, et tibi nihil absit, - competit liberatio (1. 61 D. 46, 3).

    3) о фактах, свойствах: не находиться, не быть, недоставать, не иметь места, dolum malum abesse (1. 38 § 13. 1. 83 pr. 1. 121. pr. D. 45, l);

    facinus abest (1. 20 D. 44, 7);

    non multum abest, quin (1. 17 D. 40, 7);

    absit a saeculo nostro (1. 7 C. 1, 11);

    abest servo aliquid (1. 17 § 20 D. 21, 1).

    4) для определения расстояния или разницы, non multum aberat a puberi aetate (1. 14 D. 29, 5);

    quae vis a maleficio non abest (1. 20 D. 44. 7);

    non multum abest a vilico (1. 166. D. 50, 16).

    Латинско-русский словарь к источникам римского права > abesse

  • 9 tantum

    [st1]1 [-] tantum, n. de tantus (pris comme adv.): - [abcl][b]a - autant, tant. - [abcl]b - seulement, ne... que...[/b]    - da mihi alterum tantum: donne-m'en deux fois autant.    - tantum... quantum: autant... que.    - tantum abest ut... ut...: tant s’en faut que... que, au contraire...    - tantum abest ut me amet ut contra me oderit: bien loin de m'aimer, il me hait.    - tantum abest ut scribi contra nos nolimus, ut id etiam maxime optemus, Cic. Tusc. 2, 4: bien loin de vouloir qu'on n'écrive pas contre nous, c'est même ce que nous souhaitons le plus.    - non tantum... sed etiam...: non seulement... mais encore...    - tantum quod: - [abcl]a - à peine, pas tout à fait. - [abcl]b - si ce n'est que, à cela près que.    - tantum quod rure redieram: à peine étais-je revenu de la campagne.    - tantum quod oriente sole, Suet.: presque au lever du soleil.    - tantum non: presque, peu s'en faut, sur le point.    - tantum non cecidit, Ter.: il a failli tomber.    - summissa voce, tantum ut judices audiant: d'une voix baissée, juste pour se faire entendre des juges. [st1]2 [-] tantum, n. de tantus: - [abcl][b]a - une aussi grande quantité de, autant de, tant de. - [abcl]b - autant (et pas davantage), si peu de.[/b]    - tantum aquae quantum vini: autant d'eau que de vin.    - tantum scribo: je n'en écris pas davantage.    - haec mihi tantum dixit: il s'est contenté de me dire cela.    - tantum est (dans la conversation): c'est tout, rien de plus.
    * * *
    [st1]1 [-] tantum, n. de tantus (pris comme adv.): - [abcl][b]a - autant, tant. - [abcl]b - seulement, ne... que...[/b]    - da mihi alterum tantum: donne-m'en deux fois autant.    - tantum... quantum: autant... que.    - tantum abest ut... ut...: tant s’en faut que... que, au contraire...    - tantum abest ut me amet ut contra me oderit: bien loin de m'aimer, il me hait.    - tantum abest ut scribi contra nos nolimus, ut id etiam maxime optemus, Cic. Tusc. 2, 4: bien loin de vouloir qu'on n'écrive pas contre nous, c'est même ce que nous souhaitons le plus.    - non tantum... sed etiam...: non seulement... mais encore...    - tantum quod: - [abcl]a - à peine, pas tout à fait. - [abcl]b - si ce n'est que, à cela près que.    - tantum quod rure redieram: à peine étais-je revenu de la campagne.    - tantum quod oriente sole, Suet.: presque au lever du soleil.    - tantum non: presque, peu s'en faut, sur le point.    - tantum non cecidit, Ter.: il a failli tomber.    - summissa voce, tantum ut judices audiant: d'une voix baissée, juste pour se faire entendre des juges. [st1]2 [-] tantum, n. de tantus: - [abcl][b]a - une aussi grande quantité de, autant de, tant de. - [abcl]b - autant (et pas davantage), si peu de.[/b]    - tantum aquae quantum vini: autant d'eau que de vin.    - tantum scribo: je n'en écris pas davantage.    - haec mihi tantum dixit: il s'est contenté de me dire cela.    - tantum est (dans la conversation): c'est tout, rien de plus.
    * * *
        Tantum, Aduerbium. Plin. Seulement, Tant seulement.
    \
        Tantum opinor, Hortensi, ad hanc causam non accederent. Cic. Je pense que simplement, et de tout en tout ils se deporteroyent de se mesler de ces affaires.
    \
        Non tantum parum commode, sed etiam turpiter. Cicero. Non seulement, etc.
    \
        Tantum interest, quod tu, quum es commotus, acquiescis, assentiris, approbas, etc. Cic. Il y a seulement ceste difference là que, etc.
    \
        Tantum non. Suet. Presque, A peu pres, Il s'en fault tant soit peu.
    \
        Tantum non iam circuibantur a dextro cornu. Liuius. Il ne s'en falloit presque rien qu'ils ne fussent environnez.
    \
        Tantum non statim post a funere ad negotiorum consuetudinem rediit. Suet. Incontinent apres les funerailles.
    \
        Tantum est. Plaut. C'est tout autant, Il n'y a que cela.
    \
        Tantum, ad numerum. Plautus, Tantum debuit? Debvoit il autant?
    \
        Non hercle verbis Parmeno dici potest Tantum quam re ipsa nauigare incommodum est. Terent. Il n'est pas possible de dire la grandeur de la peine que c'est de, etc.
    \
        Tantum mihi confido. Plancus ad Ciceronem. Tant me fie en moymesme.
    \
        Si graderere tantum, quantum loquere, iam isses ad forum. Plaut. Si tu cheminois autant, que tu parles, tu, etc.
    \
        Tantum sat habes? Terent. Te suffit il de cela?
    \
        Tantum abest vt amicitiae propter indigentiam colantur, vt ii qui opibus, etc. Cic. Tant s'en fault que, etc.

    Dictionarium latinogallicum > tantum

  • 10 fehlen

    fehlen, I) nicht treffen: non ferire. – ictus vanus intercĭdit. ictus alci deerrat (der Schuß fehlt). – telum frustra accĭdit (das Geschoß fehlt). – ohne zu s., sine frustratione. – dah. uneig., a) weit gefehlt! d. i. du irrst, keineswegs, falsus es! minime gentium!: [876] weit gefehlt, daß etc.,... vielmehr, tantum abest, ut... ut, z.B. weit gefehlt, daß er mich lieben sollte, haßt er mich vielmehr, tantum abest, ut me amet, ut me oderit. – b) fehlschlagen: ad (in) irritum cadere; ad irritum redigi. – das soll mir nicht s., non fallar. – es kann (wird) nicht f., certum est (es ist zuverlässig); certe fiet od. eveniet (es wird gewiß geschehen). – II) einen Fehler begehen: errare (irren, einen Irrtum begehen). – labi (unvorsätzlich vom Wege des Rechten abkommen, z.B. per errorem, propter imprudentiam: u. imprudentiā, imperitiā: u. consilio [absichtlich], Ggstz. casu). – peccare. peccatum admittere (nicht recht handeln; peccare auch v. Sprachfehlern). – delinquere (vom Wege des Rechten abweichen [z.B. wissentlich, scientem]; auch v. Sprachfehlern). – culpam committere, auch bl. committere (eine Schuld, etwas Strafbares begehen, z.B. gegen das Gesetz s., comm. contra legem). – culpam in se admittere (eine Schuld auf sich laden). – in etw. s., peccare in alqa re; offendere in alqa re (einen Anstoß mit etwas geben, es in etwas versehen): gegen jmd. s., peccare in alqm; offendere apud alqm. – III) von der Zahl abgehen, mangeln, a) in eng. Bed.: deesse (fehlen, von dem, was dasein sollte, vermißt werden). – abesse (abwesend-, nicht dasein, ohne gerade vermißt zu werden). – deficere (ausgehen, aufhören, nicht mehr vorhanden sein). – desiderari (ungern vermißt werden). – restare (noch im Rückstande sein). – es sehlt mir an etw., non habeo alqd. careo alqā re (ich habe es nicht); egeo alqā re (ich hätte es gern); deficit mihi alqd (es geht mir etwas aus) od. deficit me alqd (es verläßt mich etwas, geht mir ab, gebricht mir); alqd non suppetit (es ist nicht hinlänglich vorhanden, reicht nicht aus): es fehlt mir an nichts mehr, nihil ultra flagito. – es an nichts s. lassen, nihil deesse pati (nichts vermissen lassen); nihil omittere. nihil reliqui od. reliquum facere (übh. nichts unterlassen); sumptibus non parcere (keine Kosten scheuen, bei einer feierlichen Gelegenheit etc.): es an Fleiß s. lassen (in seinen Stu dien), non insistere studiis: es nicht an der Sorgfalt s. lassen, nihil de diligentia relinquere: an mir soll es nicht s., non deero (ich werde meinen Beistand nicht entziehen); in me non erit mora (ich werde keinen Verzug machen): es fehlt nicht an Leuten, die sagen etc., non desunt, qui dicant. – das sehlt noch, daß, illud deest, ut etc. od. illud restat, ut etc. – es fehlt viel, multum abest: es fehlt wenig, nicht viel, daß etc., paulum, haud mul tum, non longe abest, non pro cul abest, quin etc.; non multum abest ab eo, quin etc.: prope factum est, ut etc.: es fehlte sehr wenig daran, daß etc., propius nihil est factum, quam ut etc. – b) in weit. Bed., was fehlt dir? quid tristis es? (vom Traurigen); *quo morbo laboras? (von einem Kranken).

    deutsch-lateinisches > fehlen

  • 11 unverschuldet

    unverschuldet, I) ohne Geldschulden: liber (ohne Schulden). – aere alieno liberatus (von Schulden befreit). – II) ohne Verschulden: qui, quae, quod a culpa abest. a quo (a qua) culpa abest (frei von Schuld, z.B. Geschick, fortuna, quae a culpa abest, od. fortuna, a qua culpa abest: was mich unv. treffen mag, quicquid accĭderit, a quo mea culpa absit). – immeritus (unverdient, z.B. querelae). – indignus, ganz, indignissimus (unwürdig u. dah. unverdient, z.B. filii egestas). Adv. nullā meā (tuā, eius) culpā (ohne meine, deine, seine Schuld). – immerito, ganz, immeritissimo (unverdienterweise).

    deutsch-lateinisches > unverschuldet

  • 12 longe

    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
    * * *
    longē, adv. [st1]1 [-] en long, en longueur; loin, au loin.    - vim suam longe lateque diffidunt, Cic. Div. 1, 79: (les dieux) répandent en long et en large leur puissance.    - omnibus longe lateque aedificiis incensis, Caes. BG. 4: après avoir incendié toutes les maisons sur une vaste étendue.    - longe gradi, Virg. En. 10, 572: faire de grands pas.    - longe abesse, Cic. Fam. 2, 7, 1: être éloigné.    - longe procedere, Cic. Verr. 2, 65: s'avancer loin.    - quam longe videmus? Cic. Ac. 2, 80: à quelle distance porte notre vue?    - domi aut non longe a domo esse, Cic. Phil. 12, 23: être chez soi ou non loin de chez soi.    - locum castris deligit ab Avarico longe milia passuum sedecim, Caes. BG. 7, 16, 1: il choisit un emplacement pour son camp à une distance de seize mille pas d'Avaricum.    - tria milia passuum longe a castris considere, Caes. BG. 5, 47, 5: prendre position à trois mille pas du camp.    - non longe ex eo loco abesse, Caes. BG. 5, 21, 2: n'être pas fort éloigné de ce lieu.    - longe gentium abesse, Cic. Att. 6, 3, 1: être à l'autre bout du monde.    - non longe a Syracusis, Cic.: non loin de Syracuse.    - longe esse alicui, Virg. (longe esse ab aliquo, Caes.): n'être d'aucun secours à qqn.    - compar. sans infl. sur la constr., c. amplius: non longius milia passuum octo abesse, Caes. BG. 5, 53, 7: n'être pas à plus de huit mille pas de distance. [st1]2 [-] au fig. longuement ; loin, au loin.    - aliquid longius dicere, Cic. Or. 162, exposer qqch plus longuement.    - labi longius, Cic. Leg. 1, 52: se laisser aller trop loin de son sujet.    - verbum longius ductum, Cic. Br. 274: mot tiré de trop loin, recherché.    - longe aliquid repetere, Cic. Leg. 1, 28: aller chercher qqch bien loin en arrière.    - longe prospicere casus futuros rei publicae, Cic. Lael. 40: voir au loin dans l'avenir les dangers qui menacent la république.    - quoad longissime potest mens mea respicere, Cic. Arch. 1: aussi loin que mon esprit peut revoir en arrière.    - alicujus vitam longius producere, Cic. Br. 60: faire vivre qqn plus longtemps, lui attribuer une vie plus longue.    - longius anno, Caes. BG. 4, 1, 7: plus d'un an.    - longius triduo, Caes. BG. 7, 9, 2: plus de trois jours.    - paullo longius, Caes. BG. 7, 71, 4: un peu plus longtemps. [st1]3 [-] grandement, beaucoup.    - mais avec des adj., adv. ou verbes marquant éloignement, différence, préférence: longe abhorrere, dissentire, praestare, excellere, antecellere, anteponere, longe alius, dissimilis, aliter, secus, etc.    - a vulgo longe longeque remoti, Hor. S. 1, 6, 18: écartés loin, loin de la foule.    - longe aliter est, Cic. Amer. 138: il en est tout autrement.    - ea res longe aliter ac ratus erat evenit, Sall. J. 7: l'issue fut tout autre qu'il n'avait pensé. [st1]4 [-] devant les superl.: de beaucoup, sans contredit.    - longe plurimum ingenio valere, Cic. Br. 55: avoir une très haute supériorité intellectuelle.    - longe eloquentissimus, Cic. Caec. 53: de beaucoup le plus éloquent.    - longe omnium princeps, Cic. Or. 62: de beaucoup le premier de tous.    - longe longeque plurimum tribuere honestati, Cic. Fin. 2, 68: faire la part de beaucoup la plus large à l'honnête.    - longe nobilissimus fuit et ditissimus, Caes. BG. 1, 2: de beaucoup le plus noble et le plus riche.    - devant les compar.: longe melior, Virg. En. 9, 556: bien supérieur.    - cf. Sall. H. 3, 48, 9 ; Liv. 24, 28, 5 ; Curt. 10, 3, 10; Tac. An. 4, 40; Quint. 10, 1, 7, etc.
    * * *
        Longe, Aduerbium. Loing.
    \
        Non longe ab aedibus. Cic. Il n'est pas fort loing de la maison.
    \
        Longe iam abieram. Terent. J'estoye ja allé assez loing.
    \
        Ne longe abeam per translationem. Cic. Sans que j'aille plus loing pour trouver exemple. Vide ABEO.
    \
        Longe hinc abest, vnde vectae Sumus. Plaut. Il y a loing d'ici d'où, etc.
    \
        Longe gentium abest. Cic. Il est fort loing.
    \
        Longe a me abest. Plaut. Il est loing de moy.
    \
        Ista stimulum longe habet. Plaut. Dont elle atteint de bien loing.
    \
        Illic longe vsque in campis vltimis habitat. Plaut. Il demeure là loing és champs.
    \
        Longe prospicere futuros casus. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe est mihi. Martial. Il est loing de moy.
    \
        Pedibus longe melior Lycus. Virg. Il va beaucoup mieulx du pied.
    \
        Longe audacissimum habuimus. Cic. Beaucoup plus temeraire.
    \
        Longe, longeque plurimum tribuere honestati. Cic. Beaucoup, Beaucoup plus.
    \
        Longe caeteris artibus antecedit illud studium. Cic. Il est beaucoup plus excellent.
    \
        Longe aliter, atque a me dicta erant, detulerunt. Cic. Bien autrement.
    \
        Res aliter longe euenit. Liu. Est bien advenue autrement.
    \
        Longe ante videre. Cic. Preveoir de loing.
    \
        Longe secus est. Cic. Il va bien autrement.
    \
        Orationem longe aliam praebes nunc, atque olim quum dabam. Plaut. Tu parles bien autrement que, etc.
    \
        Longe princeps. Cic. Le plus excellent, ou plus grand.
    \
        Longe principes habentur Hedui. Caesar. Sont les plus estimez et honorez.
    \
        Longe primus ciuitatis est Epicrates. Cic. Il est le plus estimé de la cité, et le plus excellent.
    \
        Haec ciuitas longe plurimum totius Galliae equitatu valet. Caesar. Beaucoup plus sans comparaison.
    \
        Longe plurimos captiuos ante currum duxit. Liu. Bien fort grand nombre.
    \
        Longe anteire. Plaut. Passer de beaucoup.
    \
        Cuius ego iudicium longe antepono tuo. Cic. J'estime beaucoup plus son jugement que le tien.
    \
        - errat longe, Qui imperium credat grauius esse aut stabilius, Vi quod fit, quam illud quod amicitia adiungitur. Terent. Il erre grandement, Il s'abuse beaucoup.
    \
        Longe remotus ab ambitione. Plin. iunior. Qui est bien loing d'ambition.
    \
        Longius, Comparatiuum, Plus loing. Plautus, Auecta est, peregre hinc habitatum longius. Assez loing.
    \
        Non aberit longius. Terent. Il ne demeurera plus gueres qu'il ne vienne.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y a loing d'ici?
    \
        Longius abire. Terent. S'esloigner.
    \
        Longius currere. Cic. Bien avant.
    \
        Longius in amicitia prouecti. Cic. Lesquels il y a ja long temps qu'ils s'entr'aiment.
    \
        Longissime, Superlatiuus. Liu. Tresloing.
    \
        Longissime abest a vero. Cic. Il est tresloing de la verité.
    \
        Quid longissime meministi? Plaut. Dequoy te souvient il du plus loing?
    \
        - quam dudum in portum huc venis? P. Longissime. Plaut. Il y a fort long temps.

    Dictionarium latinogallicum > longe

  • 13 geschweige denn

    geschweige denn od. (denn) daß, non dicam (vor einem Nomen, z.B. an huius ille legis mentionem facere ausus esset vivo Milone, non dicam consule). – nedum, auch m. folg. ut u. Konj. (vor einem Verbalsatz, z.B. satrapes numquam eius sumptus efficere queat, nedum [ut] tu possis). multo minus (um so weniger, vor einem Nomen, z.B. nulli ami. co, multo minus alicui inimico alqd donare). – Für das deutsche »nicht... geschweige denn« kann man im Latein. auch mit Umstellung der Sätze non modo non oder (wenn beide Sätze ein gemeinschaftliches Verbum haben) auch bl. non modo (nicht nur nicht)... sed ne quidem (sondern auch nicht einmal) gebrauchen, z.B. einsolcher Mann wird etwas Unrechtes nichtzu denken, g. denn zu tun wagen (d. i. nicht nur nicht tun, sondern auch nicht einmal denken), talis vir non modo facere, sed ne cogitare quidem quicquam audebit, quod non honestum sit. – od. umgekehrt nullus... non modo (s. Cic. ep. 1, 9, 21). – od. ne quidem... non modo (s. Cic. de div. 2, 113). – Endlich kann auch die Wendung mit tantum abest, ut (weit entfernt, daß) angewendet werden, und zwar so, daß entweder der mit »geschweige denn« gebildete Satz im Latein. mit tantum abest, ut vorausgeht und der Gegensatz mit einem zweiten ut (daß vielmehr) nachfolgt, z.B. selbst Demosthenes genügt mir nicht einmal, g. daß ich meine Schriften bewundern sollte, tantum abest, ut nostra miremur, ut nobis non satisfaciat Demosthenes; – oder daß der Vordersatz im Latein. als ein eigener Satz nachfolgt, z.B. kaum konntenwirden Schlaf überwinden, g. daß du uns begeistert hättest, tantum abfuit, ut inflammares nostros animos: somnum vix tenebamus.zu geschweigen des, der, des etc., ut omittam m. Akk. – zu geschweigen, daß etc., ut taceam, quod etc.; ut nihil dicam, quod etc.; mitto, quod etc.

    deutsch-lateinisches > geschweige denn

  • 14 gratia

    grātĭa, ae, f. [gratus]    - Lebaigue P. 551 et P. 552. [st1]1 [-] agrément, charme, grâce, beauté (poet. et post-class.).    - gratia verborum, Quint.: la grâce des expressions.    - gratia villae, Plin.: l'agrément d'une villa.    - neque abest facundis gratia dictis, Ov. M. 13: la grâce ne masque pas son éloquence.    - magnae veteribus curae fuit gratiam dicendi, Quint. 9: les anciens mettaient beaucoup de soin à agrémenter leurs discours.    - gratia corporis, Suet. Vit. 3: agréments physiques.    - gratia in vultu, Quint. 6, pr. 7: grâce dans le visage.    - sincera sermonis Attici gratia, Quint. 10, 1, 65: la pure grâce du parler attique.    - vinis gratiam affert fumus, Plin. 14, 16: la fumée donne un goût agréable aux vins. [st1]2 [-] faveur, complaisance, obligeance, grâce.    - aliquid in beneficii et gratiae causa petere, Cic. Verr. 3, 189: demander qqch comme un bienfait et une grâce. --- cf. Verr. 3, 115.    - gratiae causā, Cic. Fam. 5, 12, 7: par faveur.    - alicui gratiam dare, Ter. Hec. 390: accorder une faveur à qqn.    - alicui gratiam dicendi facere, Liv. 3, 41, 4: accorder à qqn la faveur de parler. --- cf. Suet. Aug. 38.    - in gratiam alicujus, Liv. 28, 21, 4: pour complaire à qqn. --- cf. Liv. 28, 39, 12 ; 39, 26, 12.    - abl. gratiā: pour l'amour de, à cause de [placé après son régime].    - hominum gratiā, Cic. Nat. 2, 158, pour les hommes.    - Bruti conservandi gratiā, Cic. Ph. 14, 4: pour sauver Brutus.    - si exempli gratiā vir bonus... Cic. Off. 3, 50: si, pour prendre un exemple, un honnête homme...    - propter aliam quampiam rem, verbi gratiā propter voluptatem, Cic. 5, 30: en vue de n'importe quelle autre chose, par exemple, en vue du plaisir.    - ea gratia, quod... Sall. J. 54, 4 ; 80, 4: pour ce motif que....    - meā gratiā, Plaut. Bac. 97: à cause de moi.    - petivit in beneficii loco et gratiae ut... Verr. 2, 3: on demanda, comme une faveur et une grâce, la permission de...    - alicui gratiam dare, Ter. (alicui gratiam facere, Plaut.): accorder une faveur à qqn.    - facta Valerio dicendi gratia quae vellet, Liv. 3: on donna à Valérius l'autorisation de dire ce qu'il voulait. [st1]3 [-] remise accordée par complaisance.    - alicui jurisjurandi gratiam facere, Plaut. Rud. 1415: faire à qqn remise de son serment, l'en délier. --- cf. Suet. Tib. 35.    - gratiam, fecit conjurandi Bononiensibus, Suet. Aug. 17: il dispensa les habitants de Bologne de faire cause commune avec lui. --- cf. Suet. Dom. 14.    - de cena facio gratiam, Plaut. Most. 1130: quant au souper, je t'en fais grâce (= non, merci). [st1]4 [-] faveur d'autrui, bonnes grâces, bonne entente, relations amicales, amitié, accord, concorde; indulgence, pardon, grâce.    - inire gratiam ab aliquo: gagner l’amitié (la sympathie) de qqn, se concilier les bonnes grâces de qqn.    - magnam inire gratiam, Cic. Fin. 4. 31: se mettre en grande faveur (en grand crédit).    - gratiam inire ab aliquo, Cic. Verr. 4, 143: se mettre dans les bonnes grâces de qqn.    - gratiam inire ad aliquem, Liv. 33, 46, 7 ; apud aliquem, Liv. 36, 5, 3: auprès de qqn.    - ab aliquo gratiam inisse quod... Cic.: avoir mérité la faveur de qqn en...    - ab aliquo summam gratiam inire, Cic. Att. 7, 9, 3: gagner au plus haut point la faveur de qqn.    - in gratiam alicujus venire: trouver grâce auprès de qqn.    - gratiam alicujus sequi: rechercher les bonnes grâces de qqn.    - componere aliquid cum bona gratia, Ter.: régler une affaire à l'amiable.    - alicui delicti gratiam facere, Sall. J. 104, 5: pardonner à qqn une faute.    - gratiam alicujus sibi conciliare, Cic. Pomp. 70: se concilier la faveur de qqn.    - aliquam bonam gratiam sibi quaerere, Cic. Pomp. 71: rechercher pour soi quelques bonnes grâces avantageuses.    - aliquem apud aliquem in maxima gratia ponere, Cic. Att. 5, 11, 6: mettre qqn dans les meilleures grâces de qqn.    - plures ineuntur gratiae si... Cic. Br. 209: on se gagne plus souvent la faveur si (on se fait plus d'amis, si...). --- cf. Cic. Mur. 24 ; Agr. 2, 7.    - multas bonas gratias cum optima existimatione provincia afferre, Cic. Mur. 42: rapporter de sa province avec la meilleure réputation une quantité de bonnes sympathies.    - si suam gratiam Romani velint,... Caes. BG. 4, 7, 4: [ils disent] que si les Romains veulent leur amitié.    - in gratiam cum aliquo redire, Cic. Att. 1, 14, 7 ; Prov. 20, etc.: renouer des relations d'amitié avec qqn, se réconcilier avec qqn.    - restituere aliquem in gratiam cum aliquo, Cic. Prov 23: remettre qqn en amitié avec qqn. --- [reducere Cic. R. P. 19].    - Sallustium restituere in ejus veterem gratiam non potui, Cic. Att. 1, 3, 3: je n'ai pu ramener Sallustius à ses vieilles relations avec lui.    - cum aliquo in gratia esse, Fam. 1, 9, 4: être en bons termes avec qqn.    - mihi cum illo magna gratia erat, Cic. Fam. 1, 9, 20: j'étais en fort bons termes avec lui.    - cum bona gratia, cum mala, Ter. Ph. 621: en bonne, en mauvaise intelligence.    - istuc quod postulo inpetro cum gratia, Ter. And. 422: ce que je demande, je l'obtiens de bon gré.    - per gratiam, Plaut. Mil. 979: de bonne grâce. [st1]5 [-] crédit, pouvoir, influence, popularité.    - gratiā plurimum posse, Caes. BG. 1, 9, 3: avoir le plus grand pouvoir par son crédit (être très influent).    - cf. Caes. BG. 1, 20, 2 ; 7, 63, 2 ; BC. 2, 44, 1, etc.    - Iccius Remus, summa nobilitate et gratia inter suos, Caes. BG. 2 6, 4: le Rémois Iccius, qui tenait parmi les siens le plus haut rang par sa noblesse et son crédit.    - res contra nos faciunt, summa gratia et eloquentia, Cic. Quinct. 1: nous avons comme adversaires le crédit et l'éloquence au plus haut degré.    - cf. Cic. Cael. 19 ; Off. 2, 64.    - summā gratiā inter suos, Caes.: d'une très grande influence dans son pays.    - auctior est gratiā, Caes.: il grandit en influence.    - quem triumphum magis gratiae quam rerum gestarum magnitudini datum constabat, Liv. 40: ce triomphe, de toute évidence, il le devait plus à son influence qu'à l'importance de ses exploits.    - summa apud populum gratia, Cic. Rep 2, 60: la plus grande popularité.    - gratia alicujus, Cic Amer. 28: le crédit, l'influence de qqn.    - per gratiam contendere, ut... Cic. Verr. pr. 48: faire appel aux influences pour obtenir que... [st1]6 [-] reconnaissance, gratitude, actions de grâces, gré.    - gratiae, ārum: marques de reconnaissance, remerciement.    - gratias agere alicui, Cic. Phil. 1, 3: adresser des remerciements à qqn.    - gratiarum actio, Cic. Fam. 10, 19, 1: adresse (expression) de remerciements.    - maximas vobis gratias omnes et agere et habere debemus, Cic. Phil. 3, 25: nous devons tous et vous remercier vivement et éprouver pour vous la plus vive reconnaissance.    - gratias habere, Liv. 24, 37, 7: remercier.    - alicui gratias agere de re (pro re): rendre grâces à qqn au sujet de qqch, remercier qqn au sujet de qqch.    - gratiam habere alicui: savoir gré à qqn, avoir de la reconnaissance pour qqn.    - gratiam alicui referre, Cic. Br. 217 ; de Or. 3, 14: témoigner à qqn sa reconnaissance en retour.    - praeclaram gratiam alicui referre, Cic. Cat. 1, 28: montrer une belle reconnaissance à qqn.    - habere gratiam, Cic. Off. 2, 69: avoir de la reconnaissance.    - mais habebo apud posteros gratiam, Sen. Ep. 21, 5: j'aurai la faveur de la postérité.    - alicui gratias referre Cic. Planc. 101: donner à qqn des marques (preuves) de reconnaissance. --- cf. Cic. Phil. 3, 39.    - gratiam dis persolvere, Cic. Planc. 80: s'acquitter envers les dieux d'une dette de reconnaissance.    - alicui pro aliqua re gratias agere, Cic. Att. 16, 16, 16: remercier qqn pour [de] qqch.    - alicui in aliqua re gratias agere, Cic. Att. 2. 24. 2:    - alicui ob aliquam rem gratias agere: remercier qqn de qqch. --- Liv. 34, 50, 4; Plin. Ep. 9, 31, 2.    - est dis gratia, cum... Ter. Ad. 138: il y a à remercier les dieux, du moment que...    - dis gratia ! Ter. Ad. 121, dieu merci ! grâce aux dieux !    - gratiast, Plaut. Men. 387: bien obligé ! merci bien ! [st1]7 [-] grātĭā + gén.: à cause de, pour faire plaisir, en faveur de, pour l'amour de, à titre de.    - grātĭā + gérond. ou adj. verbal au gén.: en vue de, pour.    - verbi gratiā (exempli gratiā): par exemple, à titre d'exemple.    - patris gratiā: pour l'amour de la patrie.    - meā (tuā, nostrā) gratiā: pour moi (pour toi, pour nous).    - surrexit respondendi gratiā: il se leva pour répondre.    - pugnat servandae patriae gratiā: il combat pour sauver sa patrie.    - consolandi tui gratiā dicent: ils diront pour te consoler.    - legatos ad Caesarem sui purgandi gratia mittunt, Caes. BG. 7: ils envoient des députés auprès de César pour se disculper. [st1]8 [-] grātĭīs ou grātīs: sans rétribution, gratuitement, gratis.    - si non pretio, at gratiis, Ter. Ad.: sinon contre argent sonnant, du moins gratis.    - cave ne gratis hic tibi constet amor ! Ov.: prends garde que cet amour ne te rapporte rien!    - is repente, ut Romam venit, gratiis praetor factus est, Cic. Verr. 2, 1: cet homme, à peine arrivé de Rome, le voilà, tout à coup, devenu gratuitement préteur. [st1]9 [-] grâce (de Dieu); charisme.    - gratiae tuae deputo et misericordiae tuae, quod peccata mea tamquam glaciem solvisti, Aug. Conf. 2: à votre grâce, à votre miséricorde je rapporte d’avoir fondu la glace de mes péchés.    - prophetarum gratia, Ambr. de Off. 1, 1, 2: le charisme des prophètes. [st1]10 [-] grātiae, ārum, f.: les (trois) Grâces (Aglaé, Thalie, Euphrosyne).    - [gr]gr. Χάριτες.    - Sen. Ben. 1, 3, 3 ; Serv. En. 1, 720 ; Hor. O. 1, 30, 6, etc ; Quint. 10, 1, 82.    - sing. collect. Grātia, ae, Ov. M. 6, 429: les Grâces. - voir hors site les Charites / les Grâces.
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    grātĭa, ae, f. [gratus]    - Lebaigue P. 551 et P. 552. [st1]1 [-] agrément, charme, grâce, beauté (poet. et post-class.).    - gratia verborum, Quint.: la grâce des expressions.    - gratia villae, Plin.: l'agrément d'une villa.    - neque abest facundis gratia dictis, Ov. M. 13: la grâce ne masque pas son éloquence.    - magnae veteribus curae fuit gratiam dicendi, Quint. 9: les anciens mettaient beaucoup de soin à agrémenter leurs discours.    - gratia corporis, Suet. Vit. 3: agréments physiques.    - gratia in vultu, Quint. 6, pr. 7: grâce dans le visage.    - sincera sermonis Attici gratia, Quint. 10, 1, 65: la pure grâce du parler attique.    - vinis gratiam affert fumus, Plin. 14, 16: la fumée donne un goût agréable aux vins. [st1]2 [-] faveur, complaisance, obligeance, grâce.    - aliquid in beneficii et gratiae causa petere, Cic. Verr. 3, 189: demander qqch comme un bienfait et une grâce. --- cf. Verr. 3, 115.    - gratiae causā, Cic. Fam. 5, 12, 7: par faveur.    - alicui gratiam dare, Ter. Hec. 390: accorder une faveur à qqn.    - alicui gratiam dicendi facere, Liv. 3, 41, 4: accorder à qqn la faveur de parler. --- cf. Suet. Aug. 38.    - in gratiam alicujus, Liv. 28, 21, 4: pour complaire à qqn. --- cf. Liv. 28, 39, 12 ; 39, 26, 12.    - abl. gratiā: pour l'amour de, à cause de [placé après son régime].    - hominum gratiā, Cic. Nat. 2, 158, pour les hommes.    - Bruti conservandi gratiā, Cic. Ph. 14, 4: pour sauver Brutus.    - si exempli gratiā vir bonus... Cic. Off. 3, 50: si, pour prendre un exemple, un honnête homme...    - propter aliam quampiam rem, verbi gratiā propter voluptatem, Cic. 5, 30: en vue de n'importe quelle autre chose, par exemple, en vue du plaisir.    - ea gratia, quod... Sall. J. 54, 4 ; 80, 4: pour ce motif que....    - meā gratiā, Plaut. Bac. 97: à cause de moi.    - petivit in beneficii loco et gratiae ut... Verr. 2, 3: on demanda, comme une faveur et une grâce, la permission de...    - alicui gratiam dare, Ter. (alicui gratiam facere, Plaut.): accorder une faveur à qqn.    - facta Valerio dicendi gratia quae vellet, Liv. 3: on donna à Valérius l'autorisation de dire ce qu'il voulait. [st1]3 [-] remise accordée par complaisance.    - alicui jurisjurandi gratiam facere, Plaut. Rud. 1415: faire à qqn remise de son serment, l'en délier. --- cf. Suet. Tib. 35.    - gratiam, fecit conjurandi Bononiensibus, Suet. Aug. 17: il dispensa les habitants de Bologne de faire cause commune avec lui. --- cf. Suet. Dom. 14.    - de cena facio gratiam, Plaut. Most. 1130: quant au souper, je t'en fais grâce (= non, merci). [st1]4 [-] faveur d'autrui, bonnes grâces, bonne entente, relations amicales, amitié, accord, concorde; indulgence, pardon, grâce.    - inire gratiam ab aliquo: gagner l’amitié (la sympathie) de qqn, se concilier les bonnes grâces de qqn.    - magnam inire gratiam, Cic. Fin. 4. 31: se mettre en grande faveur (en grand crédit).    - gratiam inire ab aliquo, Cic. Verr. 4, 143: se mettre dans les bonnes grâces de qqn.    - gratiam inire ad aliquem, Liv. 33, 46, 7 ; apud aliquem, Liv. 36, 5, 3: auprès de qqn.    - ab aliquo gratiam inisse quod... Cic.: avoir mérité la faveur de qqn en...    - ab aliquo summam gratiam inire, Cic. Att. 7, 9, 3: gagner au plus haut point la faveur de qqn.    - in gratiam alicujus venire: trouver grâce auprès de qqn.    - gratiam alicujus sequi: rechercher les bonnes grâces de qqn.    - componere aliquid cum bona gratia, Ter.: régler une affaire à l'amiable.    - alicui delicti gratiam facere, Sall. J. 104, 5: pardonner à qqn une faute.    - gratiam alicujus sibi conciliare, Cic. Pomp. 70: se concilier la faveur de qqn.    - aliquam bonam gratiam sibi quaerere, Cic. Pomp. 71: rechercher pour soi quelques bonnes grâces avantageuses.    - aliquem apud aliquem in maxima gratia ponere, Cic. Att. 5, 11, 6: mettre qqn dans les meilleures grâces de qqn.    - plures ineuntur gratiae si... Cic. Br. 209: on se gagne plus souvent la faveur si (on se fait plus d'amis, si...). --- cf. Cic. Mur. 24 ; Agr. 2, 7.    - multas bonas gratias cum optima existimatione provincia afferre, Cic. Mur. 42: rapporter de sa province avec la meilleure réputation une quantité de bonnes sympathies.    - si suam gratiam Romani velint,... Caes. BG. 4, 7, 4: [ils disent] que si les Romains veulent leur amitié.    - in gratiam cum aliquo redire, Cic. Att. 1, 14, 7 ; Prov. 20, etc.: renouer des relations d'amitié avec qqn, se réconcilier avec qqn.    - restituere aliquem in gratiam cum aliquo, Cic. Prov 23: remettre qqn en amitié avec qqn. --- [reducere Cic. R. P. 19].    - Sallustium restituere in ejus veterem gratiam non potui, Cic. Att. 1, 3, 3: je n'ai pu ramener Sallustius à ses vieilles relations avec lui.    - cum aliquo in gratia esse, Fam. 1, 9, 4: être en bons termes avec qqn.    - mihi cum illo magna gratia erat, Cic. Fam. 1, 9, 20: j'étais en fort bons termes avec lui.    - cum bona gratia, cum mala, Ter. Ph. 621: en bonne, en mauvaise intelligence.    - istuc quod postulo inpetro cum gratia, Ter. And. 422: ce que je demande, je l'obtiens de bon gré.    - per gratiam, Plaut. Mil. 979: de bonne grâce. [st1]5 [-] crédit, pouvoir, influence, popularité.    - gratiā plurimum posse, Caes. BG. 1, 9, 3: avoir le plus grand pouvoir par son crédit (être très influent).    - cf. Caes. BG. 1, 20, 2 ; 7, 63, 2 ; BC. 2, 44, 1, etc.    - Iccius Remus, summa nobilitate et gratia inter suos, Caes. BG. 2 6, 4: le Rémois Iccius, qui tenait parmi les siens le plus haut rang par sa noblesse et son crédit.    - res contra nos faciunt, summa gratia et eloquentia, Cic. Quinct. 1: nous avons comme adversaires le crédit et l'éloquence au plus haut degré.    - cf. Cic. Cael. 19 ; Off. 2, 64.    - summā gratiā inter suos, Caes.: d'une très grande influence dans son pays.    - auctior est gratiā, Caes.: il grandit en influence.    - quem triumphum magis gratiae quam rerum gestarum magnitudini datum constabat, Liv. 40: ce triomphe, de toute évidence, il le devait plus à son influence qu'à l'importance de ses exploits.    - summa apud populum gratia, Cic. Rep 2, 60: la plus grande popularité.    - gratia alicujus, Cic Amer. 28: le crédit, l'influence de qqn.    - per gratiam contendere, ut... Cic. Verr. pr. 48: faire appel aux influences pour obtenir que... [st1]6 [-] reconnaissance, gratitude, actions de grâces, gré.    - gratiae, ārum: marques de reconnaissance, remerciement.    - gratias agere alicui, Cic. Phil. 1, 3: adresser des remerciements à qqn.    - gratiarum actio, Cic. Fam. 10, 19, 1: adresse (expression) de remerciements.    - maximas vobis gratias omnes et agere et habere debemus, Cic. Phil. 3, 25: nous devons tous et vous remercier vivement et éprouver pour vous la plus vive reconnaissance.    - gratias habere, Liv. 24, 37, 7: remercier.    - alicui gratias agere de re (pro re): rendre grâces à qqn au sujet de qqch, remercier qqn au sujet de qqch.    - gratiam habere alicui: savoir gré à qqn, avoir de la reconnaissance pour qqn.    - gratiam alicui referre, Cic. Br. 217 ; de Or. 3, 14: témoigner à qqn sa reconnaissance en retour.    - praeclaram gratiam alicui referre, Cic. Cat. 1, 28: montrer une belle reconnaissance à qqn.    - habere gratiam, Cic. Off. 2, 69: avoir de la reconnaissance.    - mais habebo apud posteros gratiam, Sen. Ep. 21, 5: j'aurai la faveur de la postérité.    - alicui gratias referre Cic. Planc. 101: donner à qqn des marques (preuves) de reconnaissance. --- cf. Cic. Phil. 3, 39.    - gratiam dis persolvere, Cic. Planc. 80: s'acquitter envers les dieux d'une dette de reconnaissance.    - alicui pro aliqua re gratias agere, Cic. Att. 16, 16, 16: remercier qqn pour [de] qqch.    - alicui in aliqua re gratias agere, Cic. Att. 2. 24. 2:    - alicui ob aliquam rem gratias agere: remercier qqn de qqch. --- Liv. 34, 50, 4; Plin. Ep. 9, 31, 2.    - est dis gratia, cum... Ter. Ad. 138: il y a à remercier les dieux, du moment que...    - dis gratia ! Ter. Ad. 121, dieu merci ! grâce aux dieux !    - gratiast, Plaut. Men. 387: bien obligé ! merci bien ! [st1]7 [-] grātĭā + gén.: à cause de, pour faire plaisir, en faveur de, pour l'amour de, à titre de.    - grātĭā + gérond. ou adj. verbal au gén.: en vue de, pour.    - verbi gratiā (exempli gratiā): par exemple, à titre d'exemple.    - patris gratiā: pour l'amour de la patrie.    - meā (tuā, nostrā) gratiā: pour moi (pour toi, pour nous).    - surrexit respondendi gratiā: il se leva pour répondre.    - pugnat servandae patriae gratiā: il combat pour sauver sa patrie.    - consolandi tui gratiā dicent: ils diront pour te consoler.    - legatos ad Caesarem sui purgandi gratia mittunt, Caes. BG. 7: ils envoient des députés auprès de César pour se disculper. [st1]8 [-] grātĭīs ou grātīs: sans rétribution, gratuitement, gratis.    - si non pretio, at gratiis, Ter. Ad.: sinon contre argent sonnant, du moins gratis.    - cave ne gratis hic tibi constet amor ! Ov.: prends garde que cet amour ne te rapporte rien!    - is repente, ut Romam venit, gratiis praetor factus est, Cic. Verr. 2, 1: cet homme, à peine arrivé de Rome, le voilà, tout à coup, devenu gratuitement préteur. [st1]9 [-] grâce (de Dieu); charisme.    - gratiae tuae deputo et misericordiae tuae, quod peccata mea tamquam glaciem solvisti, Aug. Conf. 2: à votre grâce, à votre miséricorde je rapporte d’avoir fondu la glace de mes péchés.    - prophetarum gratia, Ambr. de Off. 1, 1, 2: le charisme des prophètes. [st1]10 [-] grātiae, ārum, f.: les (trois) Grâces (Aglaé, Thalie, Euphrosyne).    - [gr]gr. Χάριτες.    - Sen. Ben. 1, 3, 3 ; Serv. En. 1, 720 ; Hor. O. 1, 30, 6, etc ; Quint. 10, 1, 82.    - sing. collect. Grātia, ae, Ov. M. 6, 429: les Grâces. - voir hors site les Charites / les Grâces.
    * * *
        Gratia, gratiae: pen. corr. Cic. Grace, Bien et plaisir qu'on fait à aucun qui ne l'a pas merité et desservi.
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        Postulare gratiam apponi sibi. Terent. Demander qu'on luy scache bon gré.
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        Aduersus animus gratiae. Quintil. Contraire et ennemi de faveur, Qui hait jugements et toutes autres choses faictes par faveur, Qui ne se laisse corrompre par faveur.
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        Obnoxius animus gratiae. Quintil. Subject et enclin à favoriser les grands, à complaire et porter faveur aux grands.
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        Gratia dis. Ouid. Graces à Dieu, Dieu merci.
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        Nullam ingenii sperantes gratiam. Quintil. Louange.
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        Improba. Iuuen. Faveur meschante, Quand un juge par faveur absould un meschant.
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        Iuuenilis. Stat. Grace et beaulté de jeunesse.
    \
        Siquid benefacias, leuior pluma est gratia. Plaut. Ils n'en scavent ne gré ne grace, ou bien peu.
    \
        Gratia magna Ioui. Tibull. Grand merci à Dieu.
    \
        Nulla mala gratia Senatus aliquid facere. Cic. Sans qu'on en scache mauvais gré au Senat.
    \
        Debita sit facto gratia nulla meo. Ouid. Qu'on ne me scache point de gré de ce que j'ay faict, et qu'on ne m'en donne aucune retribution.
    \
        Fratrum rara gratia. Ouid. Peu de freres s'entr'aiment et s'accordent.
    \
        Viuax gratia. Horat. Perpetuelle.
    \
        Abest gratia officio. Ouid. Quand le plaisir qu'on fait, n'est point aggreable, et qu'on n'en scait point de gré.
    \
        Capere gratiam, dicitur animus. Cic. Quand il entend bien la grandeur du plaisir qu'il luy a esté faict.
    \
        Colligere gratiam ex priuatorum negotiis. Cic. Acquerir credit et bon gré, et l'amitié de beaucoup de gens.
    \
        Commemorare gratiam. Cic. Raconter un bienfaict ou plaisir que nous avons receu d'aucun.
    \
        Cum bona gratia aliquid componere. Terent. Accorder et appoincter quelque different par amitié et amour, Amiablement, Gratieusement.
    \
        Componere gratiam inter aliquos. Terent. Faire l'appoinctement entre aucuns.
    \
        Cupio gratiam tuam. Plaut. Je desire d'estre en ta grace.
    \
        Debere gratiam. Cic. Estre tenu et obligé de scavoir bon gré à aucun, pour quelque bienfaict ou plaisir que nous avons receu de luy.
    \
        Cum bona gratia dimittere aliquem. Cic. Sans le courroucer ou fascher.
    \
        Dissiluit gratia fratrum. Horat. L'amitié a esté separee et rompue.
    \
        Exornare aliquid gratia et venere. Quintil. De grace et beaulté de langage.
    \
        Facere gratiam iusiurandi. Plaut. Tenir aucun quicte de son serment tout ainsi que s'il avoit juré, Ne le faire point jurer.
    \
        Facere gratiam delicti. Liu. Pardonner, N'en demander rien à aucun.
    \
        Per gratiam legem alicui ferre. Cic. Par faveur.
    \
        Habere gratiam senectuti. Plaut. En scavoir bon gré à vieillesse.
    \
        Habere gratiam. Terent. Se tenir obligé envers aucun de quelque plaisir, et luy en scavoir bon gré, et ne luy avoir pas encore rendu le plaisir.
    \
        Incessere. Quintil. Impugner la faveur.
    \
        Inire gratiam ab aliquo. Cic. Acquerir la bonne grace d'aucun pour luy avoir faict quelque plaisir.
    \
        Languet mihi gratia. Silius. Je ne suis plus en telle grace que je souloye, Mon credit se diminue.
    \
        Negligere gratiam alicuius. Plaut. Ne tenir compte de l'amitié d'aucun, Ne la priser rien.
    \
        Parare gratiam. Quintil. Acquerir.
    \
        Petere gratiam a patre. Plaut. Demander grace et pardon.
    \
        Ponere aliquem in gratiam apud alterum. Cic. Le mettre en grace.
    \
        Apud Lentulum ponam te in gratiam. Cic. Je feray l'appoinctement entre vous deux.
    \
        Non praecipiam gratiam publici beneficii. Liu. Je ne prendray point devant, Je ne preoccuperay ou anticiperay point.
    \
        Quaerere gratiam. Cic. Demander qu'on nous scache bon gré, et qu'on recongnoisse le plaisir qu'avons faict.
    \
        Recipere in gratiam. Cic. Aimer aucun et le recevoir en sa bonne grace.
    \
        Reddere gratiam. Cic. Rendre le plaisir ou desplaisir qu'on nous a faict, Rendre la pareille.
    \
        Redire in gratiam cum aliquo. Cic. Retourner en grace, Se reconcilier.
    \
        Redigere aliquos in gratiam. Terent. Les remettre d'accord, Remettre en amitié.
    \
        Referre gratiam. Terent. Rendre le plaisir ou desplaisir qu'on nous a faict, Rendre la pareille.
    \
        Restituere in gratiam. Cic. Remettre en grace.
    \
        Retinere alicuius gratiam. Cic. Entretenir son amitié.
    \
        Scribere gratias. Gell. Remercier par lettres.
    \
        Erat in Syria nostrum nomen in gratia. Cic. Ceulx de Syrie nous aimoyent, Nous estions en leur grace.
    \
        Esse in gratia cum aliquo. Cic. Estre aimé de luy, et avoir credit envers luy, Estre en sa grace.
    \
        Cum illo magna est mihi gratia. Cic. J'ay grande amitié avec luy.
    \
        Cum illo nulla est mihi gratia. Propert. Je n'ay nulle amitié avec luy.
    \
        Est gratia. Plaut. Je t'en remercie, Je t'en scay bon gré.
    \
        Neque veteranorum, neque possessorum gratiam tenuit. Suet. Il n'a obtenu, Il n'a acquis, Il n'a eu la grace, etc.
    \
        Trahere sibi gratiam recte factorum. Tacit. Tirer à soy, S'attribuer.
    \
        Tribuere gratiam alicuius rei inuentori. Cic. Attribuer honneur et louange.
    \
        Hic nunc credit ea me hic restitisse gratia. Terent. Pour ceste cause, Pour l'amour de cela.
    \
        Mitte hunc mea gratia. Plaut. Pour l'amour de moy.
    \
        Actio gratiarum. Cic. Remerciement, Regratiement.
    \
        Agere gratias et grates. Plaut. Cic. Liu. Remercier, Regratier, Rendre graces, Dire grand merci.
    \
        Bibulus Pompeium fecerat certiorem, vt caueret insidias. In quo ei Pompeius gratias egerat. Cic. Dequoy Pompee l'avoit remercié.

    Dictionarium latinogallicum > gratia

  • 15 Далёкий

    - distans; remotus (locus, sedes; aliqua re, ab aliqua re); submotus (terrae; locus); longinquus (loci, gentes); longus (exsilium); secretus; sejunctus;

    • далёкий от цели - longe distans a fine;

    • он далёк от истины - longe abest a vero;

    • я весьма далёк и от того и от другого - utrumque a me longe abest;

    • быть далёким от мысли о бегстве - abesse a consilio fugiendi;

    • я настолько далёк от того, чтобы их восхвалять, что (напротив) не в состоянии их не ненавидеть - istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim;

    • надежда на нечто далёкое - longinqua spes;

    Большой русско-латинский словарь Поляшева > Далёкий

  • 16 Конец

    - extremitas; extremum; ultimum; finis,is,f; terminus (vitae; contentionum); apex; summitas; calx (sermonis; epistulae); conclusio; meta; limen; casus; exitus,us; exitium; gades, -ium f; mucro, -onis m;

    • положить конец как надеждам, так и страхам - abrumpere pariter spes ac metus;

    • конец - делу венец - finis coronat opus;

    • конец соответствует началу - convenit priori posterius;

    • конец не соответствует началу - finis principio non respondet; abludit a principio exitus; res exitum habet a principio dissimilem;

    • положить конец чему-л. - finem alicui rei addere;

    • положить конец войне - bellum finire / conficere / sedare;

    • армии пришел бы конец, если бы не...actum de exercitu foret, ni...

    • в конце года - extremo anno; exeunte anno;

    • в конце зимы - extrema / senescente hieme; sub hiemis exitum;

    • в конце осени - extremo jam autumno; autumno praecipitante / exeunte / prope exacto / circumacto; cum in exitu jam autumnus esset; autumno jam senescente; inclinante jam autumno;

    • дойти от конца до начала - a fine ad principium adire; a calce ad carceres revocari; a meta ad carceres revocari;

    • конец уже близко - parum abest a fine; parum abest, ut quin ad exitum res perveniat; res ab exitu non longe abest; in exitu res est;

    • кончики больших пальцев - extremi pollices;

    • подходить к концу - sub finem adventare;

    • конец речи - epilogus,i,m;

    Большой русско-латинский словарь Поляшева > Конец

  • 17 culpa

    culpa (altlat. colpa), ae, f., das Verschulden, die Verschuldung, die Schuld, I) eig. u. meton.: 1) eig.: a) übh. (Ggstz. laus): c. belli, Liv.: c. delicti, Cic.: c. neglegentiae, Q. Cic. – correctio huius culpae, Cic.: liberatio culpae, Cic.: satisfactio culpae, Quint. – nulla conscientia de culpa, Sall. Cat. 35, 2. – affinis culpae, Cic.: sibi nullius conscius culpae, Plin. ep.; vgl. istius nescius culpae, Verg.: expers culpae, Suet.: a culpa vacuus, Sall.: culpae reus, Cic. – c. aliena, Cic.: magna, maxima, Cic.: minor, Cic.: turpis, Cic. – Abl. culpā, durch (eigenes) V., zB. nihil mihi mali casus attulit; omnia culpā contracta sunt, Cic.: nusquam culpā male rem gessit, Nep.: culpā amittere alqd, Liv.: ebenso meā culpā, tuā culpā, suā culpā u. dgl., zB. non meā culpā saepe ad vos oratum mitto, es ist nicht meine Sch., daß ich usw., Sall.: magis adeo id facilitate, quam aliā ullā culpā meā contigit, Cic.: nemo, nisi suā culpā, diu dolet, Quint.: summā meā culpā, Cic. – culpā alcis, zB. accusatorum culpā, Val. Max.: nullā ducis culpā, Tac.: bes. oft accĭdit alqd culpā alcis, operā et culpā alcis, culpā senectutis, Cic.: ea molestissime ferre homines debent, quae ipsorum culpā contracta sunt, Cic. – abesse a culpa, sowohl v. Pers., zB. innocens est quispiam, verum tamen, quamquam abest a culpa, suspicione tamen non caret, Cic.; als v. Lebl., ferre fortunam praesertim quae absit a culpa, Cic. – abest culpa ab alqo od. ab alqa re, zB. a filio, Quint.: quicquid accĭderit, a quo mea culpa absit, animo forti feram, Cic. – non abhorrere a tali culpa (v. Pers.), Cic.: absolvere alqm culpā niveis lapillis (Ggstz. damnare nigris), Ov. – accusare populi culpam, non accusatoris, Cic. – admittere in se culpam, Ter.: enixe amovere ab se culpam, Liv.: arguere alqm culpae (Ggstz. liberare culpae), Liv.: ea culpa, quam arguo, Liv.: assignare culpae alcis imprudentiaeque, quod (daß) etc., Cic.: assignare culpae fortunam (zur persönl. Sch. anrechnen) Auct. b. Afr.: uni culpam attribuere, Cic.: augere culpam, culpam alcis rei, Cic., culpam suam, Plin. ep.: avertere omnem culpam in fraudem Carthaginiensium, Liv. – carere culpā, Plaut., Cic. u.a.: coarguere suam culpam, Cic.: commereri culpam, Plaut.: commerere culpam, Ter., culpam in se, Plaut.: committere culpam, Cic.: communicare culpam suam cum altero, Cic. – conferre culpam suam in senectutem, Cic., culpam omnem in Domitium, Cic., in me omnem illorum temporum culpam, Cic., huius circumsessionis tuae causam et culpam in alios, Cic.: ut in eo ipso, in quo reprehendatur, culpam in adversarium conferat, Cic. – in quo non modo culpa nulla, sed ne suspicio quidem potuit consistere (Platz greifen), Cic.: cum in homine nulla culpa inveniretur, Cic. – culpā contaminare personam (seinen Charakter), Cornif. rhet.: contrahere culpam (v. Pers.), Cic.: fortunam in culpam convertere, jmdm. sein Schicksal als Schuld beimessen, Cic.: corrigere virtute culpam suam, Liv. – dare alci summam laudem vitio et culpae, Cic.: dare veniam culpae, Ov.: demovere culpam ab aliis, Cic.: derivare culpam suam in alqm, Cic. – non potes effugere huius culpae poenam, Cic. – est culpa mea, tua etc., est culpa alcis, zB. sed haec mea culpa est, Cic.: tua summa culpa est, si etc., du bist am meisten schuld, Cic.: tua tamen non nulla culpa est, Cic.: nostra nulla culpa est, Cic.: de reliquo iam nostra culpa erit, si etc., Cic.: multorum est enim et varia culpa, Cic.: hominum esse istam culpam, non deorum, Cic. – est culpa in alqo od. in alqa re, zB. ego culpam non in nauarchis, sed in te fuisse demonstro, Cic.: illa modo in ducibus culpa, quod ut odio essent civibus fecerant, alia omnis penes milites noxia erat, Liv.: in hominum vitiis ais esse culpam, Cic.: dav. verschieden scit culpam in facto, non scelus esse meo, Ov. trist. 4, 1, 24. – est culpa penes alqm, zB. ego etiam illorum esse hanc culpam credidi, quae te est penes, Ter.: ne penes ipsos culpa esset cladis forte Gallico bello acceptae, Liv.: si vicarii dati, penes eos culpa est, qui etc., Traian. in Plin. ep. – esse in culpa, v. Pers.u. Lebl., zB. nos in culpa sumus, Cic.: simili sunt in culpa, qui etc., Cic.: medicus magna est in culpa, si etc., Cic.: malo Tironis verecundiam in culpa esse, quam illiberalitatem Curii, Cic.: Ggstz. extra culpam esse, zB. dico aut omnes extra culpam fuisse, aut, si uni culpa attribuenda sit, in eo maximam fuisse, qui summum imperium obtineret, aut, si omnes in culpa fuerint, oportuisse etc., Cic.: extra culpam belli esse, Liv. – excludere culpam, unmöglich machen, zB. eam dedisses hominibus rationem, quae vitia culpamque excluderet, Cic. – fateri culpam suam, Quint. – haeret omnis culpa sola in alqo, Ter.: haeret in alqo culpa crimenque, Cic. – ignoscere culpae minori, Petron.: incĭdere in hoc culpae genus non fraude, Cic.: inclinare omnem culpam in collegam, Liv.: invenire alqm in culpa, Ter. – liberare alqm culpā, Cic.: liberare alqm culpae (Ggstz. arguere alqm culpae), Liv.: luere culpam maiorum (von den Nachkommen), Curt.: sanguine liberûm suorum culpam defectionis luere, Liv.-merere culpam in alqa re, Ter., od. alqā re, zB. prave quid imperando, Mela: videndum est an minui culpa possit, Quint. – piare miserorum morte culpam hanc, Verg.: plectere culpam, Cic.: ponere se extra omnem culpam causamque, Cic.: non omnes, qui Oppianicum condemnarunt, in culpa sunt ac suspicione ponendi, als Schuld habend u. verdächtig anzusehen, Cic.: praestare culpam, für die Sch. Bürgschaft leisten, Cic.: purgare (rechtfertigen) culpam, Liv. – redimere praeteritam culpam, ausgleichen, gut machen, Planc. in Cic. ep. (vgl. redimere nullam congiario culpam, nullam alimentis crudelitatem, Plin. pan.): regerere communem culpam in alqm, Plin. ep.: remittere culpam, Val. Flacc.: a se removere culpam, Liv.: remotum esse a culpa (v. Pers.), Cic.: reprehendere alcis culpam, Cic.: residet culpa alcis rei in alqo, Cic. – subest nulla culpa, Cic. fr.: suscipere culpam, culpam alcis rei, aliquid culpae recusando, Cic.: in se suscipere istius culpam crimenque, Cic.: sustinere culpam alcis rei, die Sch. von etw. tragen, v. Pers., Cic.; u. v. Lebl., zB. horum malorum omnium culpam fortuna sustinet, Cic.; u. (v. Pers.) m. folg. quod (daß usw.), ut iam ne istius quidem rei culpam sustineam, quod minus diu fuerim in provincia, quam fortasse fuerit utile, Cic. – teneri aliquā culpā erroris humani, Cic.: transferre culpam (omnem culpam) in alios od. in se, Cic.: transferre suam culpam ad negotia, Sall.: tribuere alqd culpae alcis, Cornif. rhet., Caes. u.a. – vacare culpā, omni culpā (v. Pers.), Cic.: vacare culpā in alqa re (v. Pers.), Cic.: versari in simili culpa (v. Pers.), Cic.: vertere culpam alcis rei in gloriam alqā re, Plin. ep.: vitare culpam, Hor. – im Plur., ut hoc iam ante confirmem, in hoc uno genere omnes inesse culpas istius maximas avaritiae, maiestatis, dementiae, libidinis, crudelitatis, Cic. Verr., 5, 42: seraque fata, quae manent culpas etiam sub Orco, Hor. carm. 3, 22, 29: u. so Plur. noch Hor. carm. 4, 4, 36; 4, 15, 11. Vitr. 3, 1, 4. Apul. de dogm. Plat. 2, 27. Arnob. 1, 27 u.a. Auson. lud. sept. sap. praef. 14 u.a. – b) insbes.: α) die Schuld der Unkeuschheit, der Fall, culpa inter viros ac feminas vulgata, Tac.: celare culpam falsa sub imagine, Ov. – β) die Schuld der Nachlässigkeit, die Nachlässigkeit, die man verschuldet, si neque maiorem feci ratione malā rem, nec sum facturus vitio culpāve (durch Verschwendung oder N.) minorem, Hor. sat. 2, 6, 6 sq.: u. so Gaius dig. 17, 2, 72. Ulp. dig. 42, 5, 8. § 3. – 2) meton., die Schuld = der schuldige Gegenstand, continuo culpam (die Ursache der Seuche, das kranke Schaf) ferro compesce, Verg. georg. 3, 468. – II) übtr., das Gebrechen einer Sache (Ggstz. laus, Vollkommenheit), operum et laudes et culpae, Vitr. 3, 1, 4.

    lateinisch-deutsches > culpa

  • 18 procul

    procul, Adv. ( aus proculus, einer Ableitung von pro), I) in die Ferne, aus der Ferne u. in der Ferne, fern, weit, von weitem, weit weg, non procul, sed hic, Cic.: haud procul inde, Liv.: procul inde, Mela: procul tela conicere, Caes.: procul attendere, Cic.: procul este, entfernt euch, Verg.: serta procul iacebant, u. procul ramis dependet galea, in einiger Entfernung, Verg.: procul exstructa canistra, in einiger Entfernung, Hor.: auch m. ab u. Abl., procul ab domo, Liv.: procul a castris, Caes.: procul a conspectu, Cic.: patriā procul, Enn. fr.: procul mari, Liv.: procul amne, Curt.: procul urbe, Curt.: haud procul Uticā, Liv.: haud procul muris, Curt.: haud procul Romanis praesidiis, Liv.: procul coetu hominum, Liv. – II) übtr., gleichs. weit weg, weit ab von etw., fern, weit von usw., A) im allg.: homines procul errant, irren sehr, Sall.: quorum causas procul habeo, wozu der Anlaß mir fern liegt, Tac.: istud quidem procul abest, das ist zwar keineswegs der Fall (daran ist zwar kein Gedanke), Curt. – m. Abl., procul dubio, ohne Zweifel, Liv.: dubio procul, Gell.: procul periculo, Liv.: procul ambitione, Hor.: procul ambitione et foro, Liv.: procul vero est, liegt fern von der Wahrheit, Colum.: procul voluptatibus habiti, da sie V. entbehren mußten, Tac.: iamque haud procul seditione res erat, Liv.: animus tanto facinore procul abhorrens, von einer solchen Untat weit entfernt, Curt. – m. ab u. Abl., quis tam procul a litteris, quin sic incipiat, Quint. 7, 1, 46. – haud procul est mit folg. quin u. Konj., es ist (war) nahe daran, daß usw., Liv. 1, 5, 6 u. 5, 12, 7: ebenso haud (nec) procul abest m. folg. quin u. Konj., Liv. 5, 4, 14; 9, 2, 3; 25, 1, 10. – B) insbes.: a) v. Werte, aes procul a Corinthio, ist weit schlechter als usw., Plin. 34, 8. – b) v. der Zeit, durabisne procul? lange, Stat. Theb. 12, 810. – m. Abl., haud procul occasu solis, nicht lange vor U. der S., Liv. 37, 21, 2.

    lateinisch-deutsches > procul

  • 19 quin [1]

    1. quīn, Coni. (aus quine, d.i. quî u. ne, dem Stamme der Negation non), I) in Hauptsätzen, A) zur Angabe einer Aufforderung, Aufmunterung, warum nicht, quin conscendimus equos, warum besteigen wir nicht sogleich die Pferde, Liv.: quin, quom opus est beneficium rursum ei experimur reddere? Ter.: quin age istud, na, dann tue dies sofort, Plaut.: quin ego maneo, na, dann bleibe ich, Plaut.: zuw. mit dem Ausdruck des Unwillens, der Ungeduld, quin uno verbo dic, ei, so sag' es kurz, Ter.: quin omitte me, ei, so laß mich gehen, Ter.: quin continetis vocem, ei, so haltet doch den Mund, Cic.: quin age, quin agite, auf! auf denn! Verg. – B) zur Angabe einer Bekrästigung und Steigerung, fürwahr, wirklich, sogar, vielmehr, ja vielmehr, neque id iniuria: quin mini molestum est, Ter.: hercle quin recte dicis: et tibi assentior ego, Plaut.: nihil ea res animum militaris viri imminuit; quin contra si in re navali, cuius esset ignarus, offendisset, eo plus in (für das) ea, quorum usu calleret, spei nactus, breve id tyranno gaudium se effecturum affirmabat, Liv.: verstärkt, quin etiam, quin immo, ja sogar, Cic. u.a.: so auch quin et, Hor. carm. 1, 10, 13 u.a. (aber Cic. de amic. 68 jetzt bl. quin ipso equo): quin potius, ja vielmehr, Liv. u.a. (s. Bünem. Lact. 3, 17, 33). – II) in abhängigen Nebensätzen, nach einem negativ ausgedrückten Hauptsatze m. Coniuctiv, A) in Konsekutivsätzen (entst. aus dem relat. quî u. ne = quo non), daß nicht, so daß nicht, ohne daß, nihil tam difficile est, quin quaerendo investigari possit, Ter.: triduo servire numquam te, quin liber sis, sinam, Plaut.: numquam tam male est Siculis, quin aliquid facete et commode dicant, Cic.: mit einem auf das Nomen im Hauptsatze hindeutenden is verbunden, Cleanthes negat ullum esse cibum tam gravem, quin is die et nocte concoquatur, Cic. – So quin bes. nach nemo est, nihil est, quis est, quid est u.a., nemo fuit, quin illud viderit, nemo, quin audierit, Cic.: nihil est, quin male narrando possit depravari, Cic.: quis est, quin cernat, quanta vis sit in sensibus, Cic. – auch non quin, nicht als ob nicht, non quin ipse dissentiam, nicht als wenn ich nicht anders dächte, Cic. – B) in Finalsätzen (entst. aus dem fragenden quî u. ne = quo non), eig. auf welche Weise nicht, wie nicht, meist durch zu mit dem Infinitiv oder durch daß ohne Negation zu übersetzen, a) nach den Verben »unterlassen, verhindern, verweigern, sich mäßigen, sich enthalten, zögern, entfernt sein«, nullum adhuc intermisi diem, quin aliquid ad te litterarum darem, Cic.: milites aegre sunt retenti, quin oppidum irrumperent, Caes.: teneri non potui, quin declararem, Cic.: nihil abest, quin sim miserrimus, Cic.: Dioni negare non potuit, quin Platonem arcesseret, Nep.: facere non possum, quin cotidie ad te mittam litteras, Cic.: non od. numquam faciam, quin etc., Plaut. (vgl. facio no. I, B, 6, c. Bd. 1. S. 2664). – b) nach den Verben und Ausdrücken »des Zweifelns und der Ungewißheit«, non dubitari debet, quin fuerint ante Homerum poëtae, Cic.: nemini dubium esse debet, quin eādem mente sim futurus, Nep.: non ambigitur, quin Brutus pessimo publico id facturus fuerit, Liv.: quis ignorat, quin tria Graecorum genera sint, Cic.: non abest suspicio, quin Orgetorix ipse sibi mortem consciverit, Caes.: auch quin non, wenn der abhängige Satz negativ ist, non dubito, quin offensionem neglegentiae vitare atque effugere non possim, Cic.

    lateinisch-deutsches > quin [1]

  • 20 entfernt

    entfernt, I) Adj.amotus. – disiunctus (getrennt, nicht in Verbindung stehend mit etc., z.B. procul a barbaris gentibus). – remotus (fern liegend, abgeschieden; diese beiden auch bildl., z.B. disiunctus od. remotus a cupiditatibus: u. remotus a culpa). longe positus (weithin gelegen, z.B. longe posita [das Entfernte] mirari). – longinquus. longius situs (in weiter Ferne befindlich, entlegen, auch übtr., z.B. similitudo).extremus. ultimus (am äußersten Ende liegend, wohnend, u. zwar extr. als das objektiv vom Anfang oder Mittelpunkt aus Äußerste, ult. als das subjektiv vom Standpunkte des Betrachters aus Jenseitigste, z.B. extremae terrae partes: u. ultimae terrae od. orae: u. verb. ultimae atque extremae gentes). – diversus (nach der entgegengesetzten Richtung hin liegend, z.B. diversissima Galliae pars: u. loca inter se maxime diversa).entfernt sein, entfernt liegen, distare, abesse ab etc. (mit dem Untersch., daß dist. [auseinandersein] den Zwischenraum denken läßt, der zwei Gegenstände voneinader scheidet, ab. [wegsein, fortsein] hingegen voraussetzt, daß [747] entweder der entfernte Gegenstand von einem andern weggegangen od. daß die Entfernung von diesem her gemessen sei; beide stehen von Pers. u. lebl. Ggstdn. u. räumlich mit Akk. der Strecke, der Weite, der Entfernung). – alienum esse, abhorrere ab etc. (bildl., einer Sache fremd sein, sienicht haben[abh. mit dem Nbbegr. des Widersprechenden, Zuwiderlaufenden], z.B. Neigung, Tugend, Ähnlichkeit etc.). – dissentire, dissidere, discrepare ab alqo (von jmds. Meinung e. sein, nicht mit ihm übereinstimmen). – weit e. sein von etwas od. jmd., longe distare u. longo intervallo od. procul disiunctum esse ab etc.: nicht weit, parvo spatio oder modico intervallo distare ab etc.: ziemlich weit, satis magno intervallo remotum esse ab alqo loco. – er ist weit e., zu glauben, longe abest, ut credat: weit e., daß..., vielmehr, tantum abest, ut... ut (ja nicht ut potius). entfernt halten, jmd. von etwas, alqm removere ab alqa re (z.B. ab hoc sermone). – etwas e. halten, alqd removere (z.B. terrores). – sich von jmd. e. halten, alcisaditum sermonemque defugere. – sich von etwas e. halten, se removere ab alqa re (z.B. ab amicitia alcis: u. ab omni eiusmodi negotio: u. a re publica od. a negotiis publicis). – II) Adv.longe; procul. – nicht im entferntesten, ne minime quidem; ne minima quidem ex parte.

    deutsch-lateinisches > entfernt

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