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1 non-revolver
"неревольверный", невозобновляемый: 1) кредитная линия, которая может быть использована только один раз (в отличие от револьверной кредитной линии); 2) владелец кредитной карточки, который полностью оплачивает счета в течение льготного периода и не пользуется кредитом; карточка используется просто как замена наличных или чеков (как дебетовая карточка); = convenience cardholder.* * * -
2 non-revolver
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3 revolver
"револьверный", возобновляемый: 1) кредитная линия, которая может быть многократно использована; 2) владелец кредитной карточки, который не оплачивает счета в течение льготного периода и пользуется кредитом; карточка используется для получения кредита; см. non-revolver; = revolving credit. -
4 невозобновляемый кредит
Универсальный русско-английский словарь > невозобновляемый кредит
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5 plastic card
банк., фин. пластиковая карточка [карта\] (общий термин для обозначения различных кредитных, дебетовых, банковских, магазинных и иных карточек, представляющих собой пластинку стандартного размера, изготовленную из устойчивой к механическим и термическим воздействиям пластмассы; обычно для изготовления карточек используется поливинилхлорид)Syn:plastic 1. 2)See:debit card, credit card, electronic funds transfer, electronic funds transfer at point of sale, Electronic Funds Transfer Act, cash dispenser, automated teller machine, ATM card, cash card, cheque card, affinity card, gold card, platinum card, electronic benefits transfer card, personal identification number, bank identification number, verification code, address verification system, embosser 2) б), embossed card, plastic bonds, smart card, magnetic card, MasterCard, Visa, American Express, Barclaycard
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пластиковая карточка: общий термин для обозначения всех видов платежных карточек - кредитных, дебетовых, банковских, магазинных (различаются по внешнему виду и материалу изготовления); см. affinity card;American Express card;Barclay card;check guarantee card;non-revolver 2;warning list. -
6 держатель кредитной карточки, не пользующийся кредитом
Универсальный русско-английский словарь > держатель кредитной карточки, не пользующийся кредитом
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7 coup
coup [ku]━━━━━━━━━━━━━━━━━► Lorsque coup est suivi d'un complément de nom désignant une partie du corps ou un instrument, par exemple coup de pied, coup de téléphone, reportez-vous à l'autre mot.━━━━━━━━━━━━━━━━━masculine nouna. ( = heurt, choc) blow• il a pris un coup sur la tête ( = il s'est cogné) he banged his head ; ( = on l'a frappé) he was hit on the head• en prendre un sacré coup (inf) [carrosserie] to have a nasty bang ; [personne, confiance, moral] to take a (real) knockb. (Sport, Jeux) (Cricket, golf, tennis) stroke ; (Boxing) punch ; (Shooting) shot ; (Chess) move ; (aux dés) throwc. [d'arme à feu] shotd. ( = habileté) avoir le coup to have the knack• attraper or prendre le coup to get the knacke. ( = bruit) knockf. ( = événement) coup du sort blow dealt by fate• coup de chance or de bol (inf) stroke of luck• elle voulait cette maison, mais ils étaient plusieurs sur le coup (inf) she wanted that house but there were several people after it (inf)• c'est un coup à se tuer ! (inf) you could get yourself killed doing that!i. ( = boisson) (inf) aller boire un coup to go and have something to drink ; (au café) to go for a drinkj. ( = partenaire sexuel) (vulg!) être un bon coup to be a good lay (vulg!)• le théâtre ne fonctionne qu'à coups de subventions ( = au moyen de) the theatre can only function thanks to subsidies► à coup sûr definitely• être dans le coup (impliqué) to be in on it (inf) ; (au courant) to know all about it ; (à la page) to be with it (inf)► du premier coup [reconnaître, voir] straight away• il a eu son permis de conduire du premier coup he passed his driving test first time► pour le coup• là, pour le coup, il m'a étonné he really surprised me there► sous le coup de* * *kuNote: Les expressions comme coup de barre, coup de maître, coup de téléphone etc seront normalement dans le dictionnaire sous le deuxième élément donc respectivement sous barre, maître, téléphone etcnom masculin1) ( choc physique) ( neutre) knock; ( brutal) blow, whack (colloq); (dur, par accident) bang; ( qui entaille) stroke; ( d'un mouvement tranchant) chop; ( du plat de la main) smack; ( sec et rapide) rap; ( léger et direct) tap; ( léger et fouettant) flick; ( de la pointe) poke, prod, jabd'un coup de hache — [couper, tuer] with a single blow from an axe GB ou ax US
à coups de hache — [couper, tuer] with an axe GB ou ax US
donner un coup de quelque chose à quelqu'un — gén to hit ou strike somebody with something
donner un coup de poing/pied/couteau à quelqu'un — to punch/kick/stab somebody
prendre un coup — [personne, voiture] to get a knock
en avoir pris un coup — (colloq) fig ( être très abîmé) to have taken (quite) a punishing
rendre coup pour coup — lit to fight back; fig to give tit for tat
en venir aux coups — to come to blows ( pour over)
les trois coups — Théâtre three knocks signalling [BrE] that the curtain is about to rise
2) ( choc moral) gén blow; ( plus modéré) knockporter un coup (sévère) à — to deal [somebody/something] a (severe) blow [personne, organisation]
en cas de coup dur — ( accident) should anything really bad happen; ( difficulté) if things get rough
ça m'a donné un (sacré) coup — (colloq) it gave me an awful shock
sous le coup de la fatigue/peur — out of tiredness/fear
3) ( bruit) gén knock; ( retentissant) bang; ( sourd) thump, thudsur le coup de dix heures — (colloq) around ten
4) ( mouvement rapide)se donner un (petit) coup de brosse/peigne — to give one's hair a (quick) brush/comb GB, to brush/comb one's hair (quickly)
5) Jeux, Sport (au tennis, golf, cricket) gén stroke; ( qu'on juge) shot; (aux échecs, dames) move; ( aux dés) throw; ( à la boxe) blow, punch; ( au karaté) ( du poing) punch; ( du tranchant) chop; ( du pied) kicktous les coups sont permis — lit, fig no holds barred
coup défendu — Jeux, Sport foul
6) ( d'arme à feu) (décharge, détonation) shot; ( munition) roundblesser quelqu'un d'un coup de fusil or pistolet — to shoot and wound somebody
tuer quelqu'un d'un coup de fusil or pistolet — to shoot somebody dead
7) (colloq) ( action organisée) ( opération illégale) job (colloq), racket (colloq); ( vilain tour) trick (colloq); ( manœuvre) movemonter un coup — to plan a job (colloq)
coup monté! — set-up! (colloq)
il a raté son coup — (colloq) he blew it (colloq)
être dans le coup — ( impliqué) to be in on it; ( au courant) to be up to date, to know what's going on
tu n'es plus dans le coup! — fig you're behind the times!
être/rester hors du coup — ( non impliqué) to have/to keep one's nose clean (colloq)
8) (fois, moment)du premier coup — ( immédiatement) straight off; ( à la première tentative) at the first attempt
(encore) un coup pour rien — no go again (colloq)
à chaque coup, à tout coup, à tous les coups — every time
ce coup-ci/-là — this/that time
du coup — (colloq) as a result
du même coup — (colloq) by the same token
pour le coup — (colloq) this time
après coup — afterwards, in restropect
tout d'un coup, tout à coup — suddenly, all of a sudden
d'un coup, d'un seul coup — just like that
en un seul coup — in one go (colloq)
sur le coup — ( à ce moment-là) at the time; ( immédiatement) instantly, on the spot
9) (colloq) ( boisson) drinkdonne-moi encore un petit coup de gin — give me another shot (colloq) of gin
•Phrasal Verbs:- coup bas••tenir le coup — ( résister à l'épreuve) [personne] to make it (colloq); [véhicule, chaussures] to last out; [lien, réparation] to hold; ( ne pas abandonner) [personne] to hold on; [armée] to hold out; ( faire face) to cope
en mettre un coup — (colloq) to give it all one's got (colloq)
être aux cent coups — (colloq) to be worried sick (colloq), to be in a state (colloq)
faire les quatre cents coups — (colloq) to be up to no good
attraper le coup pour faire quelque chose — (colloq) to get the knack of doing something; pierre
* * *ku nm1) (donné par qn ou qch) blow2) [fusil, pistolet, revolver] shottuer qn à coups de fusil — to shoot sb dead (with a rifle)
tué à coups de fusil — shot dead (with a rifle)
tuer qn à coups de revolver — to shoot sb dead (with a handgun)
blessé à coups de revolver — shot and wounded (with a handgun)
3) (= bruit) [horloge]4) (affectif) blow, shock5) (= mouvement) strokedonner un coup de balai — to sweep up, to give the floor a sweep
donner un coup de chiffon — to dust, to do some dusting
6) (= accès) wave8) TENNIS shot9) FOOTBALL kickSee:10) BOXE punch, blow11) (= fois) timedu premier coup — first time, at the first attempt
Il a été reçu au permis du premier coup. — He passed his driving test first time.
Je me trompe de rue à tous les coups. — I get the street wrong every time.
d'un seul coup (= subitement) — suddenly, (= à la fois) at one go
12) ÉCHECS moveêtre dans le coup (= à la page) — to be with it
à coup sûr — definitely, without fail
Après coup j'ai regretté de m'être mis en colère. — Afterwards I was sorry I'd lost my temper.
sur le coup; Il est mort sur le coup. — He died instantly.
Sur le coup je ne l'ai pas reconnu. — I didn't recognize him at first.
sous le coup de; agir sous le coup de la colère — to do sth out of anger
* * *coup nm Les expressions comme coup de barre, coup de maître, coup de téléphone etc seront normalement dans le dictionnaire sous le deuxième élément, donc respectivement sous barre, maître, téléphone etc.1 ( choc physique) ( neutre) knock; ( brutal) blow, whack○; (dur, par accident) bang; ( qui entaille) stroke; ( d'un mouvement tranchant) chop; ( du plat de la main) smack; ( sec et rapide) rap; ( léger et direct) tap; ( léger et fouettant) flick; ( de la pointe) poke, prod, jab; coup sur la tête knock ou blow ou bang on the head; coup à la porte knock at the door; coup de marteau hammer blow; d'un coup de hache [couper, tuer] with a single blow from an axe GB ou ax US; à coups de hache/machette [couper, tuer] with an axe GB ou ax US/a machete; frapper qn à coups de gourdin to club sb, to beat sb with a club; assommer qn à coups de gourdin to knock sb senseless with a club; tuer qn à coups de gourdin to club sb to death; casser qch à coups de gourdin to take a club to sth; casser la porte à (grands) coups de marteau to break down the door with a hammer; à coups de dollars by forking out dollars; à coups de subventions by means of subsidies; fièvre combattue à coups d'antibiotiques fever controlled with antibiotics; disperser des manifestants à coups de gaz lacrymogène to disperse demonstrators by using ou with teargas; sous le coup d'un embargo under an embargo; céder sous les coups de l'ennemi to cave in under enemy pressure; donner or porter un coup à qn/qch gén to hit sb/sth; donner un coup de qch à qn gén to hit ou strike sb with sth; donner un coup de poing/pied/coude/dents/couteau à qn to punch/kick/nudge/bite/stab sb; recevoir un coup [personne] to get hit; recevoir un coup de qch gén to get hit with sth; recevoir un coup de poing/pied/coude/couteau to be punched/kicked/nudged/stabbed; prendre un coup [personne, appareil, voiture] to get a knock; en avoir pris un coup○ ( être très abîmé) to have taken (quite) a punishing; rendre un coup to hit back; rendre coup pour coup lit to fight back; fig to give tit for tat; en venir aux coups to come to blows (pour over); frapper trois coups à la porte to knock on the door three times, to give three knocks on the door; les trois coups Théât three knocks signallingGB that the curtain is about to rise;2 ( choc moral) gén blow; ( plus modéré) knock; porter un coup (sévère) à to deal [sb/sth] a (severe) blow [personne, organisation, théorie]; être un coup terrible to be a terrible ou real blow (pour to); sa fierté en a pris un coup it was a blow to his/her pride; ce fut un coup dur pour eux/pour l'économie it was a great blow for ou to them/for ou to the economy; porter un coup très dur à qn to deal sb a major blow; en cas de coup dur ( accident) should anything really bad happen; ( difficulté) if things get rough; ça m'a donné un (sacré) coup○ it gave me an awful shock; sous le coup de la colère in (a fit of) anger; sous le coup de la fatigue/peur out of tiredness/fear; être sous le coup d'une forte émotion to be in a highly emotional state; tomber sous le coup d'une condamnation to be liable to conviction; être sous le coup d'une condamnation to have a conviction; être sous le coup d'une procédure d'extradition to be facing extradition proceedings; ⇒ mauvais;3 ( bruit) gén knock; ( retentissant) bang; ( sourd) thump, thud; j'ai entendu un coup à la porte I heard a knock at the door; au douzième coup de minuit on the last stroke of midnight; sur le coup de dix heures○ around ten; coup de gong stroke of a gong; coup de sifflet whistle blast; donner un coup de gong to strike the gong; donner un coup de sifflet to blow one's whistle;4 ( mouvement rapide) coup de brosse/peigne brush/comb; se donner un (petit) coup de brosse/peigne to give one's hair a (quick) brush/comb GB, to brush/comb one's hair (quickly); donner un (petit) coup d'aspirateur à une pièce to give a room a (quick) hoover® GB, to vacuum a room (quickly); donner un coup sur la table to dust the table; les volets ont besoin d'un coup de peinture the shutters need a lick of paint; d'un coup d'aile with a flap of its wings;5 Jeux, Sport (au tennis, golf, cricket) gén stroke; ( dont on juge) shot; (aux échecs, dames) move; ( aux dés) throw; ( à la boxe) blow, punch; ( au karaté) ( du poing) punch; ( du tranchant) chop; ( du pied) kick; tous les coups sont permis lit, fig no holds barred; coup défendu Jeux, Sport foul;6 ( d'arme à feu) (décharge, détonation) shot; ( munition) round; chasser qn à coups de fusil to scare sb off with gunshots; blesser qn d'un coup de fusil or pistolet to shoot and wound sb; tuer qn d'un coup de fusil or pistolet to shoot sb dead;7 ○( action organisée) ( opération illégale) job○, racket○; ( vilain tour) trick○; ( manœuvre) move; monter un coup to plan a job○, to set up a racket○; c'est encore un coup des enfants! the children have been up to their tricks again!; c'était un beau coup de vendre tes actions it was a good ou shrewd move to sell your shares; monter un coup contre qn gén to set sb up; ( en vue d'une fausse accusation) to frame sb; c'est un coup monté! it's a set-up○!; monter le coup à qn to pull a fast one on sb○; expliquer le coup à qn to put sb in the picture; mettre qn dans le coup to bring sb in on the job○, to cut sb in on the racket○ ou deal; ils m'ont mis sur or dans le coup they've let me in on it ou on the racket○ ou on the deal○; se mettre dans le coup to get in on the action○; mettre qn sur un coup to put sb in on a job○, to put sb onto a racket○; être sur un gros coup to be onto something big○; préparer un sale or mauvais coup to be up to mischief; manquer or rater○ or foirer◑ son coup to blow it○, not to pull it off; il a raté son coup○ he blew it○; réussir son coup to pull it off; être dans le coup ( impliqué) to be in on it ou on the racket○ ou on the deal○; ( au courant) to be up to date, to know what's going on, to know what's what○; tu n'es plus dans le coup! fig you're behind the times!; être/rester hors du coup ( non impliqué) to have/to keep one's nose clean○; être sur le coup ( opération d'envergure) to be in on it ou on the job○; qui a fait le coup? gén who did it?; ( opération minutieuse) whose work is it, who did the job?; elle m'a fait le coup de la veuve éplorée she did the weeping widow act with me; ce n'est pas la première fois qu'il me fait le coup it's not the first time he's done that to me;8 (fois, moment) essayer un coup/encore un coup to have a shot/another shot; du premier coup ( immédiatement) straight off; ( à la première tentative) at the first attempt; au deuxième/troisième coup at the second/third attempt; (encore) un coup pour rien no go again○; à chaque coup, à tout coup, à tous les coups every time; ce coup-ci/-là this/that time; du coup○ as a result; du même coup○ by the same token; pour le coup○ this time; après coup afterwards, in restropect; au coup par coup as things come; coup sur coup in succession; tout d'un coup, tout à coup suddenly, all of a sudden; d'un coup, d'un seul coup just like that; d'un seul coup d'un seul○ in one fell swoop; en un seul coup in one go○; sur le coup ( à ce moment-là) at the time; [mourir, tuer] instantly, on the spot; rigoler un bon coup to have a good laugh; pleure un bon coup have a good cry; mouche-toi un bon coup give your nose a good blow; respire un grand coup take a deep breath; boire à petits coups to sip; boire à grands coups to swig;9 ○( boisson) drink; viens, je te paye un coup (à boire) come on, I'll buy you a drink; un coup de rouge/blanc a glass of red/white wine; donne-moi encore un petit coup de gin give me another shot○ of gin;coup bas ( en boxe) blow ou punch below the belt; fig blow below the belt; c'était un coup bas fig that was below the belt; coups et blessures Jur assault and battery; coups et blessures volontaires malicious wounding ¢; coup droit ( au tennis) (forehand) drive; faire un coup droit ( au tennis) to drive; coup fourré dirty trick; coup franc ( au football) free kick.tenir le coup ( résister à l'épreuve) [personne] to make it○; [véhicule, appareil, chaussures] to last out; [lien, réparation] to hold; ( ne pas abandonner) [personne] to hold on; [forces, armée] to hold out; ( faire face) to cope; j'ai vu venir le coup I could see it coming; faire coup double to kill two birds with one stone; compter les coups ( rester neutre) to stay ou stand on the sidelines; en mettre un coup○ to give it all one's got○; être aux cent coups○ to be worried sick○, to be in a state○; faire les quatre cents coups○ to be up to no good; les coups sont bons mais rares○! any chance of another drop of wine?; avoir/attraper le coup pour faire qch○ to have/to get the knack of doing sth; tirer un or son coup● to have a screw●.[ku] nom masculinA.[HEURT, DÉFLAGRATION][avec le pied] kickelle a failli mourir sous ses coups he thrashed her to within an inch of her life, he nearly battered her to deathdonner un petit coup à ou sur quelque chose to tap something lightlyil frappait sur la porte à grands coups/à petits coups he banged on the door/he knocked gently at the doordonner un coup sur la table [avec le poing] to bang one's fist (down) on the tableen arriver ou en venir aux coups to come to blowsj'ai pris un coup sur la tête I got a knock ou a bang on the headles grandes surfaces ont porté un (rude) coup au petit commerce (figuré) small traders have been dealt a (severe) blow by large retail chainsa. [émotion] it gave me a shockb. [déception] it was a blowen prendre un coup (familier) : trois échecs d'affilée, son moral en a pris un coup with three successive failures, her morale has taken a bit of a bashingavec le krack boursier, l'économie en a pris un coup the economy has suffered a great deal from the crashtenir le coup: j'ai trop de travail, je ne sais pas si je tiendrai le coup I've got too much work, I don't know if I'll be able to copea. (sens propre) blow ou punch below the beltun coup de revolver a shot, a gunshota. [revolver] the gun went offb. [fusil] the rifle went offtirer un coup de canon to fire ou to blast a cannon[craquement] snapdes coups au carreau knocking ou knocks on the window[heure sonnée] stroke6. (vulgaire) [éjaculation]B.[GESTE, ACTION]1. [mouvement d'une partie du corps]coup de griffe ou patte2. [emploi d'un instrument]donner un (petit) coup de brosse/chiffon à quelque chose to give something a (quick) brush/wipeje vais me donner un coup de peigne I'll just comb my hair ou give my hair a (quick) combje viens pour un coup de peigne [chez le coiffeur] I just want a quick comb throughen deux coups de rame nous pouvons traverser la rivière we can cross the river in a couple of strokes3. [au golf, au billard] stroke4. (familier) [savoir-faire] knackah, tu as le coup pour mettre la pagaille! you really have a gift ou a knack for creating havoc, don't you!une fois que tu auras pris le coup, ça ira tout seul! you'll find it's very easy once you get used to it ou once you've got the knack!5. MÉTÉOROLOGIE6. [effet soudain] wavej'ai eu un coup de fatigue I suddenly felt tired, a wave of tiredness came over me7. (familier) [boisson] drinkj'ai le hoquet — bois un coup I've got (the) hiccups — drink something ou have a drink8. [lancer] throwelle a renversé toutes les boîtes de conserve en un seul coup she knocked down all the cans in one throw[aux dés] throw (of the dice)CARTES goa. [essai] it's a trial runb. [échec] it's a failureC.[ACTE OU SITUATION EXCEPTIONNELS]1. (familier) [mauvais tour] trick(faire) un mauvais ou sale coup (à quelqu'un) (to play) a dirty trick (on somebody)monter un coup contre quelqu'un to set somebody up, to frame somebodyfaire le coup de... à quelqu'un: il a essayé de me faire le coup de la panne he tried to pull the old running-out-of-petrol trick on mene me fais pas le coup de ne pas venir! now don't stand me up, will you!coup monté put-up job, frame-up2. (très familier & argot milieu) [vol, escroquerie] job3. (familier) [affaire]je veux l'acheter mais on est plusieurs sur le coup I want to buy it but there are several people interestedexpliquer le coup à quelqu'un to explain the situation ou set-up to somebodyil a manqué ou raté son coup he didn't pull it offc'est un coup à avoir un accident, ça! that's the sort of thing that causes accidents!combien crois-tu que ça va coûter? — oh, c'est un coup de 3 000 euros how much do you think it will cost? — oh, about 3,000 euros[personne - sexuellement] (vulgaire)4. [action remarquable, risquée] coupfaire un beau ou joli coup to pull a (real) coupquand il s'agit d'un gros coup, elle met la main à la pâte when it's something really important, she lends a handtenter le coup to have a go, to give it a tryc'est un coup à faire ou tenter it's worth trying ou a try5. [circonstance marquante]du premier coup first time, at the first attemptau prochain coup, tu vas y arriver you'll do it next time ou at your next goce coup-ci, on s'en va this time, we're off————————à coups de locution prépositionnellela productivité a été augmentée à coups de primes spéciales productivity was increased through ou by dint of special bonusesà coup sûr locution adverbiale————————après coup locution adverbialeson attitude, après coup, s'expliquait bien it was easy to explain her attitude afterwards ou in retrospectà tous les coups locution adverbiale1. [chaque fois] every time2. [sans aucun doute]à tous les coups, il a oublié he's bound to have forgottenau coup par coup locution adverbialecoup sur coup locution adverbialedans le coup (familier) locution adjectivalea. [complice] she's in on it ou involved in itb. [au courant] she knows all about itc. [à la page] she's hip ou with itmoi, je ne suis plus dans le coupa. [dans l'affaire] count me out ou leave me out of itb. [au courant] I'm a bit out of touch ou out of itdans le coup (familier) locution adverbiale————————du coup locution adverbialeelle ne pouvait pas venir, du coup j'ai reporté le dîner as she couldn't come, I put the dinner off, she couldn't come so I put the dinner off————————d'un (seul) coup locution adverbialeil a tout bu d'un coup he drank the whole lot in one go, he downed it in one2. [soudainement] all of a suddenj'ai eu envie de pleurer/de le gifler, ça m'a pris d'un coup (familier) I got a sudden urge to cry/to slap himpour le coup locution adverbialepour le coup, je ne savais plus quoi faire at that point, I didn't know what to do nextj'ai aussi failli renverser le lait, c'est pour le coup qu'il aurait été en colère! (familier) I nearly spilt the milk as well, he really would have been furious then!sous le coup de locution prépositionnellesous le coup de la colère, on dit des choses qu'on regrette après you often say things in anger which you regret latersur le coup locution adverbiale1. [mourir] instantlyje n'ai pas compris sur le coup I didn't understand immediately ou straightawaysur le coup de locution prépositionnellesur le coup de 6 h/de midi roundabout ou around 6 o'clock/midday————————coup d'aile nom masculincoup de balai nom masculincoup de barre nom masculincoup de chapeau nom masculincoup de cœur nom masculinavoir un ou le coup de cœur pour quelque chose to fall in love with something, to be really taken with somethingcoup de coude nom masculina. [en signe] to nudge somebodyb. [agressivement] to dig one's elbow into somebody————————coup d'éclat nom masculin————————coup d'État nom masculin[putsch] coup (d'état)coup de feu nom masculin1. [tir] shottirer un coup de feu to fire a shot, to shoot2. (figuré)→ link=coupcoup de téléphonecoup de filet nom masculin[suspects] haulcoup de foudre nom masculincoup de fouet nom masculina. (sens propre) to lash ou to whip somebody————————coup fourré nom masculin————————coup franc nom masculincoup de fusil nom masculin1. [acte] shoton entendait des coups de fusil you could hear shooting ou shots being fired2. (figuré)on y mange bien, mais après c'est le coup de fusil! it's a good restaurant, but the bill is a bit of a shock!coup de grâce nom masculin————————coup du lapin nom masculin[coup] rabbit punch[dans un accident de voiture] whiplash (substantif non comptable)coup de main nom masculin1. [raid] smash-and-grab (attack)2. [aide]donner un coup de main à quelqu'un to give ou to lend somebody a hand3. [savoir-faire]avoir le coup de main to have the knack ou the touch————————coup d'œil nom masculinelle s'en rendit compte au premier coup d'œil she noticed straight away ou immediately ou at a glancedonner ou jeter un petit coup d'œil à to have a quick look ou glance atd'un coup d'œil, il embrassa le tableau he took in the situation at a glance2. [panorama] viewcoup de pied nom masculin[d'une personne, d'un cheval] kickdonner un coup de pied à quelqu'un/dans quelque chose to kick somebody/somethingcoup de poing nom masculindonner un coup de poing à quelqu'un to give somebody a punch, to punch somebodyfaire le coup de poing to brawl, to fightcoup de poing adjectif invariable‘opération coup de poing’ ‘prices slashed’coup de poker nom masculinon peut tenter la chose, mais c'est un coup de poker we can try it but it's a bit riskycoup de pompe nom masculincoup de pouce nom masculincoup de sang nom masculincoup de soleil nom masculinsunburn (substantif non comptable)prendre ou attraper un coup de soleil to get sunburnt————————coup du sort nom masculin[favorable] stroke of luck[défavorable] stroke of bad luckcoup de téléphone nom masculindonner ou passer un coup de téléphone to make a callrecevoir un coup de téléphone to receive ou to get a phone callcoup de tête nom masculin1. [dans une bagarre] head buttcoup de théâtre nom masculinet alors, coup de théâtre, on lui demande de démissionner and then, out of the blue, he was asked to resigncoup de torchon nom masculin(familier) [bagarre] fist-fightcoup de vent nom masculin1. [rafale] gust (of wind)2. (locution)en coup de vent in a flash ou a whirlentrer/partir en coup de vent to rush in/off -
8 have
have [hæv]━━━━━━━━━━━━━━━━━2. modal verb4. noun━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━a. avoir━━━━━━━━━━━━━━━━━► avoir is the auxiliary used with most verbs to form past tenses. For important exceptions see below.━━━━━━━━━━━━━━━━━• haven't you grown! comme tu as grandi !━━━━━━━━━━━━━━━━━► Note the agreement of the past participle with the preceding direct object.━━━━━━━━━━━━━━━━━• if I had seen her I would have spoken to her si je l'avais vue, je lui aurais parlé━━━━━━━━━━━━━━━━━► When describing uncompleted states or actions, French generally uses the present and imperfect where English uses the perfect and past perfect.━━━━━━━━━━━━━━━━━• I have lived or have been living here for 10 years/since January j'habite ici depuis 10 ans/depuis janvier• I had lived or had been living there for 10 years j'habitais là depuis 10 ans► to have just... venir de...b. être━━━━━━━━━━━━━━━━━► être is the auxiliary used with all reflexives, and the following verbs when used intransitively: aller, arriver, descendre, devenir, entrer, monter, mourir, naître, partir, passer, rentrer, rester, retourner, revenir, sortir, tomber, venir.━━━━━━━━━━━━━━━━━• you've seen her, haven't you? vous l'avez vue, n'est-ce pas ?• he hasn't told anyone, has he? il n'en a parlé à personne, n'est-ce pas ?d. (in tag responses) he's got a new job -- oh has he? il a un nouveau travail -- ah bon ?• you've dropped your book -- so I have! vous avez laissé tomber votre livre -- en effet !━━━━━━━━━━━━━━━━━► (mais) si or (mais) non are used to contradict.━━━━━━━━━━━━━━━━━• you haven't seen her -- yes I have! vous ne l'avez pas vue -- (mais) si !• you've made a mistake -- no I haven't! vous vous êtes trompé -- mais non !━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━• have you met him? -- yes I have est-ce que tu l'as rencontré ? -- oui• has he arrived? -- no he hasn't est-ce qu'il est arrivé ? -- none. (avoiding repetition of verb) have you ever been there? if you have... y êtes-vous déjà allé ? si oui,...• have you tried it? if you haven't... est-ce que vous avez goûté ça ? si vous ne l'avez pas fait,...2. modal verb━━━━━━━━━━━━━━━━━► falloir is always used in the third person singular, in an impersonal construction. Note that falloir que is always followed by the subjunctive.━━━━━━━━━━━━━━━━━• you're going to have to work hard! tu vas devoir travailler dur ! il va falloir que tu travailles dur !• I'll have to leave now or I'll miss the train il faut que je parte, sinon je vais rater mon train• don't you have to get permission? est-ce qu'on ne doit pas demander la permission ?• do you have to go now? est-ce que vous devez partir tout de suite ?• we've had to work late twice this week nous avons dû rester travailler tard deux fois cette semaine• what kind of equipment would you have to have? quel type de matériel vous faudrait-il ?• it has to be the biggest scandal this year c'est sans aucun doute le plus gros scandale de l'année• do you have to make such a noise? tu ne pourrais pas faire un peu moins de bruit ?► don't/doesn't have to + infinitive━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━• you didn't have to tell her! tu n'avais pas besoin de le lui dire !• I don't have to do it je ne suis pas obligé or forcé de le fairea. avoir• I have or I've got three books j'ai trois livres• have you got a suitcase? avez-vous une valise ?• have you got this jumper in black? est-ce que vous avez ce pull en noir ?b. ( = eat, drink, take) he had an egg for breakfast il a mangé un œuf au petit déjeuner• shall we have a coffee? on prend un café ?► will you have...? (in offers)will you have tea or coffee? vous prendrez du thé ou du café ?c. ( = spend) passer• what sort of day have you had? est-ce que tu as passé une bonne journée ?d. ( = smoke) fumere. ( = catch) tenir• I've got him where I want him! (inf) je le tiens !► to let sb have ( = give) donner à qn• I'll let you have it for $100 je vous le cède pour 100 dollars► must have or have to have• I must have £50 at once il me faut 50 livres immédiatement• I must or have to have them by this afternoon il me les faut pour cet après-midi► won't have ( = refuse to accept)I won't have this nonsense! je ne tolérerai pas ces enfantillages !• I won't have it! je ne tolérerai pas ça !• I won't have him risking his neck on that motorbike je ne veux pas qu'il risque sa vie sur cette moto► would have ( = wish)what would you have me do? que voulez-vous que je fasse ?• he had his worst fears confirmed ses pires craintes se sont réalisées► to have sb do sth faire faire qch à qn• she soon had them all reading and writing elle a réussi très rapidement à leur apprendre à lire et à écrire► had better ( = should)4. nouna. faire venira. [+ clothes] porterb. (British = have planned) I've got so much on this week that... j'ai tant de choses à faire cette semaine que...d. Richard has nothing on him! (inf) Richard ne lui arrive pas à la cheville !• the police have nothing on me (inf) la police n'a pas de preuve contre moi► have out separable transitive verb[+ friends, neighbours] inviter* * *[hæv, həv] 1.transitive verb ( uses not covered in NOTE)1) ( possess) avoir2) ( consume) prendre3) ( want) vouloir, prendrewhat will you have? — qu'est-ce que vous prendrez or voulez?
I wouldn't have him/her any other way — c'est comme ça que je l'aime
4) (receive, get) recevoir [letter, information]5) ( hold) faire [party, celebration]; tenir [meeting]; organiser [competition, ballot, exhibition]; avoir [conversation]; mener [enquiry]6) (exert, exhibit) avoir [effect, influence]; avoir [courage, courtesy] ( to do de faire)7) ( spend) passerto have a nice day/evening — passer une journée/soirée agréable
to have a hard ou bad time — traverser une période difficile
8) ( be provided with) (also have got)I have ou I've got letters to write — j'ai du courrier à faire
9) (undergo, suffer) avoirto have (the) flu/a heart attack — avoir la grippe/une crise cardiaque
to have an interview — avoir or passer un entretien
10) ( cause to be done)they would have us believe that... — ils voudraient nous faire croire que...
I would have you know that... — je voudrais que vous sachiez que...
11) ( cause to become)we'll soon have everything ready/clean — nous aurons bientôt fini de tout préparer/nettoyer
if you're not careful you'll have that glass over — si tu ne fais pas attention tu vas renverser le verre
12) ( allow) tolérer13) ( physically hold) tenirshe had him by the throat/by the arm — elle le tenait à la gorge/par le bras
14) ( give birth to) [woman] avoir [child]; [animal] mettre bas, avoir [young]15) ( as impersonal verb)over here, we have a painting by Picasso — ici vous avez un tableau de Picasso
what we have here is a small group of extremists — ce à quoi nous avons affaire ici, est un petit groupe d'extrémistes
16) ( puzzle)you have ou you've got me there! — là tu me poses une colle! (colloq)
17) ( have at one's mercy) (also have got)2.I've got you/him now! — maintenant je te/le tiens!
modal auxiliary1) ( must)I have (got) to leave now — je dois partir maintenant, il faut que je parte maintenant
2) ( need to)you don't have to ou you haven't got to leave so early — tu n'as pas besoin de or tu n'es pas obligé de partir si tôt
3) ( for emphasis)3.this has (got) to be the most difficult decision I've ever made — c'est sans doute la décision la plus difficile que j'aie jamais eu à prendre
1) gen avoir; ( with movement and reflexive verbs) être2) ( in tag questions etc)you've seen the film, haven't you? — tu as vu le film, n'est-ce pas?
you haven't seen the film, have you? — tu n'as pas vu le film?
you haven't seen my bag, have you? — tu n'as pas vu mon sac, par hasard?
‘he's already left’ - ‘has he indeed!’ — ‘il est déjà parti’ - ‘vraiment!’
4.‘you've never met him’ - ‘yes I have!’ — ‘tu ne l'as jamais rencontré’ - ‘mais si!’
having auxiliary verb1) ( in time clauses)having finished his breakfast, he went out — après avoir fini son petit déjeuner, il est sorti
2) (because, since)•Phrasal Verbs:- have in- have on- have up••this car/TV has had it — (colloq) cette voiture/télé est foutue (colloq)
when your father finds out, you've had it! — (colloq) ( in trouble) quand ton père l'apprendra, ça va être ta fête! (colloq)
I can't do any more, I've had it! — (colloq) ( tired) je n'en peux plus, je suis crevé! (colloq)
I've had it (up to here) with... — (colloq) j'en ai marre de... (colloq)
to have it in for somebody — (colloq) avoir quelqu'un dans le collimateur (colloq)
she has/doesn't have it in her to do — elle est capable/incapable de faire
and the ayes/noes have it — les oui/non l'emportent
...and what have you —...etc
there is no milk/there are no houses to be had — on ne trouve pas de lait/de maisons
-
9 sortir
sortir [sɔʀtiʀ]━━━━━━━━━━━━━━━━━━➭ TABLE 16━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━━1. <a. to go or come out━━━━━━━━━━━━━━━━━► sortir dans le sens de partir se traduit par to go out ou par to come out, suivant que le locuteur se trouve ou non à l'endroit en question.━━━━━━━━━━━━━━━━━• on est en train de faire un bonhomme de neige, tu devrais sortir ! we're making a snowman, come out!• mon père est sorti, puis-je prendre un message ? my father is out, can I take a message?• sortir de chez qn to go or come out of sb's house• sors (d'ici) ! get out (of here)!• je sors à 6 heures (du bureau, du lycée) I finish at 6• sortir de son lit [fleuve] to overflow its banks► d'où sort ?• d'où sort cette revue ? where has this magazine come from?• mais d'où sort-il ? (inf) ( = il est tout sale) where has he been! ; ( = il est mal élevé) where was he brought up? ; ( = il est bête) where did they find him?• Madame, est-ce que je peux sortir ? (en classe) Miss, can I be excused please?• la voiture est sortie de la route the car left or came off the road• c'est confidentiel, ça ne doit pas sortir d'ici it's confidential, it must not leave this roomd. (Theatre) « la servante sort » "exit the maid"• « les 3 gardes sortent » "exeunt the 3 guards"• sortir de terre [plante] to come upi. ( = être fabriqué, publié) to come out ; [disque, film] to be releasedj. (par hasard) [numéro, couleur, sujet d'examen] to come upk. ( = s'écarter) sortir du sujet to get off the subject• sortir (du jeu) [balle, ballon] to go out (of play)• sortir en touche [ballon] to go into touchl. ( = être issu) il sort de l'université de Perpignan he went to the University of Perpignan• pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre ça (inf) you don't need a PhD to understand thatm. ( = résulter) sortir de to come of• que va-t-il sortir de tout cela ? what will come of all this?• il fallait que ça sorte I (or he etc) just had to say it2. <• sortez-le ! get him out of here!• sortir des vêtements d'une armoire/la voiture du garage to take clothes out of a wardrobe/the car out of the garage• il faut le sortir de là (d'un lieu) we must get him out of there ; (d'une situation difficile) we must get him out of itb. ( = mettre en vente) [+ produit] to bring out• il vous sort de ces réflexions ! the things he comes out with! (inf)• qu'est-ce qu'il va encore nous sortir ? what will he come out with next? (inf)d. ( = éliminer) [+ concurrent, adversaire] (inf) to knock out3. <• tu crois qu'il va s'en sortir ? (il est malade) do you think he'll pull through? ; (il est surchargé de travail) do you think he'll ever see the end of it? ; (il est en situation difficile) do you think he'll come through all right?• avec son salaire, il ne peut pas s'en sortir he can't get by on what he earns• va l'aider, il ne s'en sort pas go and help him, he can't cope• bravo, tu t'en es très bien sorti ! you've done really well!* * *
I
1. sɔʀtiʀ1) ( promener) to take [somebody/something] out [personne, chien, cheval]j'y vais moi-même, ça me sortira — I'll go myself, it'll give me a chance to get out
2) (colloq) ( inviter) to take [somebody] out [personne]3) (colloq) ( expulser) to throw [somebody] out, to chuck (colloq) [somebody] out [personne] (de of); to send [somebody] out [élève]4) ( mettre à l'extérieur) to get [somebody/something] out (de of)5) ( délivrer)sortir quelqu'un de sa léthargie — to shake somebody out of his/her lethargy
6) ( commercialiser) to bring out [livre, disque, modèle]; to release [film]; to show [collection]7) ( produire) to turn out [livre, disque, film, produit]8) ( imprimer) to bring [something] out [exemplaire, numéro, journal]9) (colloq) ( dire) to come out with (colloq) [remarques]
2.
verbe intransitif (+ v être)1) ( aller dehors) [personne, animal] to go out; ( venir dehors) [personne, animal] to come out (de of)sortir dans la rue/sur le balcon — to go out into the street/on the balcony
sortir faire un tour — ( à pied) to go out for a walk
sortir discrètement — to slip out (de of)
empêcher de sortir — to keep [somebody/something] in
2) ( passer du temps dehors) to go out3) ( quitter un lieu)sortir du port — [navire] to leave port
sortir du pays — [personne, marchandise] to leave the country
sortez d'ici/de là! — get out of here/of there!
sortir de la route — [véhicule] to leave the road
sortir de la famille — [bijou, tableau] to go out of the family
4) ( venir d'un lieu)5) (quitter un état, une situation)sortir de son mutisme or silence — to break one's silence
6) ( venir de quitter un état)7) ( émerger) to come outelle est sortie de sa dépression très affaiblie — after her depression she was a mere shadow of her former self
8) ( s'échapper) [eau, air, étincelle, fumée] to come out (de of; par through)faire sortir — to squeeze [something] out [pâte, colle, eau, jus] (de of); to eject [cassette] (de from)
sortir en masse — [personnes] to pour out
9) ( pousser) [bourgeon, insecte] to come out; [dent] to come throughsortir de terre — [plante] to come through; [bâtiment] to rise from the ground
10) ( dépasser) to stick out11) ( être commercialisé) [film, disque, livre, nouveau modèle] to come outsortir tous les jours — [journal] to be published daily
12) ( provenir) [personne, produit] to come fromsortir de Berkeley — Université to have graduated from Berkeley
d'où sors-tu à cette heure? — (colloq) where have you been?
d'où il sort celui-là? — (colloq) where's he been living? (colloq)
13) ( être en dehors)sortir du sujet — [personne] to wander off the subject; [remarque] to be beside the point
14) ( être tiré) [numéro, sujet] to come up15) Informatique to exit
3.
se sortir verbe pronominal1) ( échapper)s'en sortir — ( situation difficile) to get out of it; ( maladie) to get over it
2) ( se débrouiller)s'en sortir — gén to pull through; ( financièrement) to cope; (intellectuellement, manuellement, physiquement) to manage
s'en sortir à peine — ( financièrement) to scrape a living
II sɔʀtiʀnom masculin* * *sɔʀtiʀ1. vi1) (= partir) to go outIl est sorti sans rien dire. — He went out without saying a word.
Il est sorti acheter le journal. — He's gone out to buy the newspaper.
2) (= aller au spectacle) to go outJ'aime sortir. — I like going out.
sortir avec qn (relation amoureuse) — to be going out with sb, to be seeing sb
Tu sors avec lui? — Are you going out with him?, Are you seeing him?
3) [produit] to come outCe modèle vient juste de sortir. — This model has just come out.
4) [plante, numéro] to come up5)sortir de (= quitter) — to leave, (en allant) to go out of, (en venant) to come out of, (= jaillir) to come out of, [maladie, mauvaise passe] to get over, [cadre, compétence] to be outside
Elle sort de l'hôpital demain. — She's coming out of hospital tomorrow.
Je l'ai rencontré en sortant de la pharmacie. — I met him coming out of the chemist's.
sortir du système INFORMATIQUE — to log out
2. vt1) (= déplacer) to take outElle a sorti son porte-monnaie de son sac. — She took her purse out of her bag.
Je vais sortir la voiture du garage. — I'll get the car out of the garage.
2) * (= expulser) to throw out3) COMMERCE, [produit] to bring out4) * (= dire) to come out with3. nm* * *sortir verb table: partirA nm au sortir de at the end of; au sortir de l'adolescence/mes études at the end of adolescence/my studies.B vtr1 ( promener) to take [sb/sth] out [personne, chien, cheval]; sortir un malade/son caniche to take a patient/one's poodle out; j'y vais moi-même, ça me sortira I'll go myself, it'll give me a chance to get outside;3 ○( expulser) to throw [sb] out, to chuck○ [sb] out [personne] (de of); to send [sb] out [élève]; se faire sortir en quart de finale to be knocked out in the quarterfinal;4 ( mettre à l'extérieur) to get [sb/sth] out [personne, papiers, parapluie, meubles de jardin, voiture, vêtements] (de of); sortir l'argenterie to get out the silverware; sortir qn du lit to get sb out of bed; sortir une bille de sa poche to take a marble out of one's pocket; sortir sa voiture en marche arrière to reverse one's car out; sortir les mains de ses poches to take one's hands out of one's pockets; sortir un couteau/revolver to pull out a knife/revolver; sortir le drapeau to hang out the flag; sortir les draps pour les aérer to put out the sheets to air; sortir du pus to squeeze out pus; sortir un point noir to squeeze a blackhead; sortir la poubelle/les ordures to put the bin/the rubbish GB ou garbage US out; sortir sa tête/langue to poke one's head/tongue out; sortir une carte to bring out a card;5 ( délivrer) sortir qn de to get sb out of; sortir un ami de prison to get a friend out of jail; sortir un ami de sa dépression to pull a friend out of his depression; sortir une entreprise de ses difficultés to get a company out of difficulties; sortir qn de sa léthargie to shake sb out of his/her lethargy;6 ( commercialiser) to bring out [livre, disque, modèle, nouveau produit, nouveau journal]; to release [film]; to present [collection];7 ( produire) to turn out [livre, disque, film, produit]; sortir mille téléviseurs par jour to turn out one thousand televisions a day;8 Imprim to bring [sth] out [exemplaire, numéro, journal];9 Ordinat [ordinateur] to output [données, résultats];10 ( exporter) ( légalement) to export [marchandises] (de from); ( illégalement) to smuggle [sth] out [marchandises] (de of);11 ○( dire) to come out with○ [paroles]; sortir des énormités/insultes/âneries to come out with rubbish/insults/nonsense; il (nous) sort toujours des excuses he's always coming out ou up with excuses; sortir une blague to crack a joke.C vi (+ v être)1 ( aller dehors) [personne, animal] to go out; ( venir dehors) [personne, animal] to come out (de of); sortir par la fenêtre/la porte de derrière to go out through the window/the back door; sortir dans la rue/sur le balcon to go out in the streets/on the balcony; sortir faire un tour ( à pied) to go out for a walk; (à vélo, cheval) to go out for a ride; ( en voiture) to go out for a drive; sortir faire des courses to go out shopping; sortir déjeuner to go out for lunch; être sorti to be out; sortez les mains en l'air! come out with your hands up!; sortez et ne revenez pas! get out and don't come back!; sortir discrètement to slip out (de of); sortir en vitesse to rush out; sortir en courant to run out; sortir en trombe de sa chambre to burst out of one's room; faire sortir qn to get sb outside; faire sortir son chien to take one's dog out; laisser sortir qn to allow sb out; laisser sortir les élèves ( à la fin de la classe) to dismiss the class; empêcher de sortir to keep [sb/sth] in [personne, animal]; sortir dans l'espace to space walk; sortir de scène to leave the stage; Figaro sort exit Figaro; Figaro et Almaviva sortent exeunt Figaro and Almaviva; ⇒ devant, œil;2 ( passer du temps dehors) to go out; sortir tous les soirs/avec des amis to go out every night/with friends; sortir au restaurant to go out to a restaurant; sortir avec qn to go out with sb; inviter qn à sortir to ask sb out; sortir en ville to go out on the town;3 ( quitter un lieu) sortir de to leave; sortir de chez qn to leave sb's house; sortir d'une réunion to leave a meeting; sortir du port [navire] to leave port; sortir du pays [personne, marchandise] to leave the country; sortir de chez soi to go out; sortir de la pièce to walk out of the room; sortez d'ici/de là! get out of here/of there!; sortir de son lit/son bain [personne] to get out of bed/the bath; sortir de la route [véhicule] to leave the road; sortir de la famille [bijou, tableau] to go out of the family; sortir tout chaud du four to be hot from the oven; ⇒ loup;4 ( venir d'un lieu) sortir de to come out of; sortir de chez le médecin to come out of the doctor's; sortir de sa chambre en chemise de nuit to come out of one's room in one's nightgown;5 (quitter un état, une situation) sortir d'un profond sommeil/d'un rêve to wake up from a deep sleep/from a dream; sortir de son mutisme or silence to break one's silence; sortir de l'adolescence to come out of adolescence; sortir de la récession to pull out of the recession; sortir d'un cercle vicieux to break out of a vicious circle; sortir de soi to lose control of oneself; sortir de l'hiver to reach the end of winter; on n'en sort jamais○ there's no end to it; on n'en sortira jamais! ( problème) we'll never see the end of it!; ( embouteillage) we'll never get out of it!; il refuse d'en sortir○ ( changer d'avis) he won't budge an inch○; il n'y a pas à sortir de là○ there's no two ways about it○;6 ( venir de quitter un état) sortir à peine de l'enfance to be just emerging from childhood; sortir de maladie/d'une dépression to be recovering from an illness/from a bout of depression; sortir d'une crise/guerre to emerge from a crisis/war;7 ( émerger) to come out; sortir différent/désenchanté/déçu to come out different/disenchanted/disappointed; elle est sortie de sa dépression très affaiblie after her depression she was a mere shadow of her former self;8 ( s'échapper) [eau, air, étincelle, fumée] to come out (de of; par through); le bouchon ne sort pas the cork won't come out; l'eau sort du robinet the water comes out of the tap GB ou faucet US; une odeur sort de la pièce there's a smell coming from the room; faire sortir to squeeze [sth] out [pâte, colle, eau, jus] (de of); to eject [cassette] (de from); sortir en masse [personnes] to pour out; ⇒ vérité;9 ( pousser) [plante, insecte] to come out; [dent] to come through; les bourgeons sortent the buds are coming out; sortir de terre [plante] to spring up; [bâtiment] to rise from the ground; il lui est sorti une dent he/she's cut a tooth;10 ( dépasser) to stick out; il y a un clou qui sort there's a nail sticking out; sortir de l'eau à marée basse [roche] to stick out of the water at low tide;11 ( être commercialisé) [film, disque, livre, nouveau modèle, nouveau produit, collection] to come out; Le Monde sort l'après-midi Le Monde goes on sale in the afternoon; sortir tous les jours/toutes les semaines/tous les mois [journal, périodique] to be published daily/weekly/monthly; sortir de la chaîne [produit industriel] to come off the production line; sortir des presses [journal, livre] to come off the press; ça sort tout juste des presses it's hot off the press;12 ( provenir) [personne, produit] to come from; sortir d'un milieu intellectuel/d'une famille de banquiers to come from an intellectual background/from a family of bankers; sortir de Berkeley Univ to have graduated from Berkeley; sortir de chez Hachette to have been with Hachette previously; d'où sors-tu à cette heure○? where have you been?; d'où sors-tu comme ça○? what have you been doing to look like that?; d'où sort-il celui-là○? what planet's he from○?;13 ( être en dehors) sortir du sujet [personne] to wander off the subject; [remarque] to be beside the point; cela sort de ma compétence/de mes fonctions that's not in my brief/within my authority;14 ( être tiré) [numéro, sujet] to come up; c'est le 17 qui est sorti it was (number) 17 that came up;15 Ordinat to exit.D se sortir vpr1 ( échapper) se sortir d'une situation difficile to get out of a predicament; se sortir de la pauvreté to escape from poverty; se sortir d'une dépression to come out of a bout of depression; se sortir d'une épreuve to come through an ordeal; s'en sortir ( situation difficile) to get out of it; ( maladie) to get over it; s'en sortir vivant to escape with one's life;2 ( se débrouiller) s'en sortir gén to pull through; ( financièrement) to cope; (intellectuellement, manuellement, physiquement) to manage; tu t'en sors? can you manage?; s'en sortir tant bien que mal to struggle through; s'en sortir à peine ( financièrement) to scrape a living.sortir par les trous de nez○ to get up one's nose○.I[sɔrtir] nom masculin(littéraire) [fin]dès le sortir de l'enfance, il dut apprendre à se défendre he was barely out of his childhood when he had to learn to fend for himself————————au sortir de locution prépositionnelle1. [dans le temps]2. [dans l'espace]je vis la cabane au sortir du bois as I was coming out of the woods, I saw the hutII[sɔrtir] verbe intransitif (aux être)1. [quitter un lieu - vu de l'intérieur] to go out ; [ - vu de l'extérieur] to come outsortir par la fenêtre to get out ou to leave by the windowMadame, je peux sortir? please Miss, may I leave the room?elle est sortie déjeuner/se promener she's gone (out) for lunch/for a walksi elle se présente, dites-lui que je suis sorti if she calls, tell her I'm out ou I've gone out ou I'm not inje l'ai vu qui sortait de l'hôpital/l'école vers 16 h I saw him coming out of the hospital/school at about 4 pm2. [marquant la fin d'une activité, d'une période]sortir de l'école/du bureau [finir sa journée] to finish school/worksortir de prison to come out of ou to be released from prison3. [pour se distraire]5. [se répandre] to come outc'est pour que la fumée sorte it's to let the smoke out ou for the smoke to escape6. [s'échapper] to get outsortir de: aucun dossier ne doit sortir de l'ambassade no file may be taken out of ou leave the embassyfaire sortir quelqu'un/des marchandises d'un pays to smuggle somebody/goods out of a countryje vais te confier quelque chose, mais cela ne doit pas sortir d'ici I'm going to tell you something, but it mustn't go any further than these four walls7. [être mis en vente - disque, film] to be released, to come out ; [ - livre] to be published, to come outça vient de sortir! it's just (come) out!, it's (brand) new!8. [être révélé au public - sujet d'examen] to come up ; [ - numéro de loterie] to be drawn ; [ - numéro à la roulette] to turn ou to come up ; [ - tarif, barème] to be out9. (familier) [être dit] to come outil fallait que ça sorte! it had to come out ou to be said!10. INFORMATIQUE11. NAUTIQUE & AÉRONAUTIQUEaujourd'hui, les avions/bateaux ne sont pas sortis the planes were grounded/the boats stayed in port todayle ballon est sorti en corner/touche the ball went out for a corner/went into toucha. [pour faute] the player was sent offb. [il est blessé] the player had to go off because of injury13. THÉÂTRE————————[sɔrtir] verbe transitif (aux avoir)1. [mener dehors - pour se promener, se divertir] to take out (separable)viens avec nous au concert, ça te sortira come with us to the concert, that'll get you out (of the house)2. [mettre dehors - vu de l'intérieur] to put out ou outside ; [ - vu de l'extérieur] to bring out ou outside (separable)3. [présenter - crayon, outil] to take out (separable) ; [ - pistolet] to pull out ; [ - papiers d'identité] to produce4. [extraire]sortir quelque chose de to take ou to get something out ofdes mesures ont été prises pour sortir le pays de la crise measures have been taken in order to get the country out of ou to rescue the country from the present crisissortir quelqu'un de to get ou to pull somebody out ofje vais te sortir d'affaire ou d'embarras ou de là I'll get you out of itelle a sorti la Suédoise en trois sets she disposed of ou beat the Swedish player in three setssortir un disque/filma. [auteur] to bring out a record/filmb. [distributeur] to release a record/filmsortir un livre to bring out ou to publish a bookil m'a sorti que j'étais trop vieille! he told me I was too old, just like that!8. [roue, train d'atterrissage] to drop[volet] to raise————————sortir de verbe plus préposition1. [emplacement, position] to come out of, to come offsortir des rails to go off ou to jump the railsa. [voiture] to come off ou to leave the trackb. [skieur] to come off the pisteça m'était complètement sorti de la tête ou de l'esprit it had gone right out of my head ou mindl'incident est sorti de ma mémoire ou m'est sorti de la mémoire I've forgotten the incident2. [venir récemment de] to have (just) come from3. [venir à bout de] to come out ofnous avons eu une période difficile mais heureusement nous en sortons we've had a difficult time but fortunately we're now emerging from it ou we're seeing the end of it now4. [se tirer de, se dégager de]lorsqu'on sort de l'adolescence pour entrer dans l'âge adulte when one leaves adolescence (behind) to become an adult5. [se départir de]il est sorti de sa réserve après quelques verres de vin he opened ou loosened up after a few glasses of wineelle est sortie de son silence pour écrire son second roman she broke her silence to write her second novel6. [s'écarter de]attention à ne pas sortir du sujet! be careful not to get off ou to stray from the subject!il ne veut pas sortir ou il ne sort pas de là he won't budgeil n'y a pas à sortir de là [c'est inévitable] there's no way round it, there's no getting away from it7. [être issu de]sortir d'une bonne famille to come from ou to be of a good familypour ceux qui sortent des grandes écoles for those who have studied at ou are the products of the grandes écolesa. [tu es mal élevé] where did you learn such manners?, where were you brought up?b. [tu ne connais rien] where have you been all this time?8. [être produit par] to come from9. (tournure impersonnelle) [résulter de]————————se sortir de verbe pronominal plus prépositionse sortir d'une situation embarrassante to get (oneself) out of ou (soutenu) to extricate oneself from an embarrassing situations'en sortir (familier) : aide-moi à finir, je ne m'en sortirai jamais seul! give me a hand, I'll never get this finished on my owndonne-lui une fourchette, il ne s'en sort pas avec des baguettes give him a fork, he can't manage with chopsticksa. [il a survécu] he pulled through in the endb. [il a réussi] he won through in the endon ne s'en sort pas avec une seule paie it's impossible to manage on ou to get by on a single wagemalgré les allocations, on ne s'en sort pas in spite of the benefit, we're not making ends meet -
10 carraca
Carraca, esta palabra significa comida, condimentos, conquivus, (cacharros, etc.). Cuando íbamos a llindiar el ganáu disdi ‘l albiar el díe fasta que tapecíe, (cuidar el ganado desde el amanecer hasta el oscurecer) llevábamos la carraca nun cabaxín, zurronacu ou cestacu cualquier, (cabás, zurrón o cualquier otro cesto). Les muyeres baxaben al merquéu ya traíen la carraca pa toa la xemana. (Las mujeres bajaban al mercado y compraban si tenían dinero lo que se necesitase en la casa para toda la semana). Carraca tamén lu ye lu que lus vaqueirus chebaban disdi la teixá pal sou cabanu ou corte de la braña, dunde a lu mexor taben un fatáu de díes xin baxar a l'aldina, per ístu llebaben un carracáu de couxes que ñecexitaben. (Carraca también es lo que los vaqueros llevaban desde casa para sus cabañas del puerto, las morteras o los prados, donde a lo mejor estaban unos días sin bajar a la aldea, por esto subían muchas cosas que necesitaban y no todas eran para comer sino que algunas eran simples cacharros, o humildes mantas. Y carraca hermanos míos, era la que hacía mi madre y todas las vindas de los rojos, cuando todas las semanas iban a visitar a sus maridos a la Cárcel Modelo de Oviedo, como por las demás no puedo hablar, porque yo no sé cómo se arreglaban las pobrecitas, aunque me supongo que muchas hasta pidiendo limosna, sí que lo puedo hacer de mi madre, que todos los martes era el día que tenía de comunicación, y ella nunca sabía si le iba encontrar vivo, porque por aquellos tiempos fechus de llágrimes ya xufriencies, tous lus díes na carxel d'Uviéu achuquinaben cambrionáus enteirus de xóvenes astures y'anxina d’ista maneira tan achuquina, encalducá per prexones xin concencia, nin dinidá nin «Xusticia Humana», fexérun bon amagüestu de toes les xuventúes roxes d'Asturies, ya les pouques que nun achuquinarun llantárunlas nus batallones de trabayadores, dunde munchus morrierun achindi fartus de fames, de llatigazus ya vexaciones, ya lus oitres que xuerti tubieren de golguer pa la sou teixá, fexérunlu mamplenáus d'amollexíes que per mor d'echus tamén fatáus morrieron. Falaba you que carraca yera lu que miou má le chevaba ‘l miou pá tous lus martes a la carxel, que you nun séi lu que yera, perque na nuexa teixá nun había esconxolancia de nagua, peru lu que fora écha llantábalu tou nuna fardelaca, ya colaba na xuntura d'oitres muyeres de l'allina camín d'Uviéu tres ou catru gores endenantes qu’almaneciera, pos teníen qu'espatuxar alrreór de cuarenta quilómetrus andandu ya oitres tantus pa la regolguía, pos entoncenes nun valía faer el auto-stop que güéi se fae, perque tous lus cambriones ya coches cuaxi yeren millitares, y'angunus oitres yeren de lus drechistes, ya lus roxus nun teníamus namái que goxetáus mexeries, ya manegáus de miéu ‘l nuexu hermenu ‘l venceor, perque lus nuexus homes morrieran lluchandu nel frinti, ya lus oitres taben arretrigáus per les cárxeles dunde poucu a poucu lus achuquinaben ou lus esclavizaben nus batallones de trabayaóres, anxina yera que tou Asturies taba xemada de viudes, de vieyus ya de guaxiquinus güerfaninus, que tous nuexóitres, viétchus, muyeres ya nenus de lus roxus, díbamus ser esclavizáus inhumanamente baxu 'n enfernal xugu que nun nus dexaba más llibertá que la que nel xuenu cheldábamus. —Ya n'agora vou xebrame del trabayu d'enfilerar pallabres p'encalducalus cuamigu dientru d’ista hestoria dou tán lus raigones ya l'escola de nuexes costumes ya llingua. TRADUCCIÓN.—Por aquellos tiempos hechos de lágrimas y de grandes sufrimientos, todos los días que el Hacedor alumbraba, en la cárcel de Oviedo asesinaban camiones enteros de jóvenes astures, y así de esta manera tan despiadada y asesina, llevada a cabo por personas sin conciencia, ni dignidad ni ninguna clase de «Justicia Humana», llevaron a término casi el total exterminio de las juventudes rojas de Asturias, y las pocas que no asesinaron, las esclavizaron en los famosos batallones de trabajadores, donde muchos allí murieron hartos de hambre, de vejaciones y latigazos, y los pocos que tuvieron la suerte de volver a sus hogares, lo hicieron llenos de enfermedades que por mor de ellas también murieron bastantes. —Decía yo que carraca también era lo que mi madre le llevaba todos los martes a mi padre a la cárcel, que yo no sé lo que pudiera ser, porque en nuestra casa no había ninguna cosa de nada, pero lo que fuese ella lo metía dentro de una saca y marchaba en unión de otras mujeres de la aldea camino de Oviedo tres o cuatro horas antes que amaneciese, pues tenían que caminar alrededor de cuarenta quilómetros y otros tantos de retorno y todos los hacían andando, pues no servía hacer el auto-stop que hoy se hace, porque todos los camiones y coches casi eran militares, y algunos otros que había eran de los derechistas, pues los izquierdistas no teníamos nada más que grandes cantidades de miseria, así como de miedo a nuestro hermano el vencedor que jamás se portó nada bien con nosotros, porque nuestros hombres habían muerto en el frente, y los otros estaban presos en las cárceles, donde poco a poco les iban asesinando, o los esclavizaban en los campos de concentración o batallones de trabajadores, así era que toda Asturias estaba sembrada de viudas, de viejos y de niños huérfanos, que todos nosotros, viejos, mujeres y niños de las izquierdas, íbamos a ser esclavizados inhumanamente bajo el infernal yugo que no nos dejaba más libertad que la que en el sueño hacíamos. Y ahora me voy alejar del trabajo de poner en orden las palabras en este diccionario, para llevarles conmigo a los lugares donde yo he aprendido la dulce lengua de Asturias, que no es otro lugar que la escuela donde vivían las raíces y costumbres de Nuestro Pueblo, pues no se pueden buscar nuestras falancias en ningún otro lugar ni parte. Por esto les digo ahora, que si yo no hubiese vivido tan simple, sencilla, pobre, miserable, esclavizadora y dentro de la más natural de la «RAIZ ANCESTRAL DE ASTURIAS», ni yo ni nadie podría legarle a mi «AMADA ASTURIAS» ni a sus «HIDALGAS GENTES», la documentación pura, natural y sencilla que pueda tener este diccionario, porque desde estas mis simples líneas y mirándome muy mucho de lo que digo, les afirmo que hay muy poco fiable por no decir nada, escrito de nuestras costumbres y lengua. «DIES D’ENFERNU» (DÍAS DE INFIERNO) —Yera you 'n zaragoletu, 'n guaxiquín, un nenacu, 'n rapacín (un niño de unos ocho años), cundu la ñecexidá más prieta me fexera depriender lu que yera ‘l dollor, la xufriencia, l’inxusticia, lu pior qu'el Home pudiés encaldar d'enría lus sous xemexantes, you yera ún de lus miles d'anxelinus de miou Tierra que diba faer arroxaúra nel vivir d’ enfernu que m’aguardaba. Xin, fatáus de güérfanus lu mesmu que you, que güéi nel díe xuntu con nuexes familias, ente fius, ñetus, ya tou ‘l andecháu de parantela xomus más de la metá de les xentes d'Asturias, peru naquechus tempus d'achuquinus ya inxusticies nun yéramus namái qu'unus guaxiquinus dexamparáus de la man del Faidor ya del Home, ya tous noxóitres tubiemus que catanus el xustentu de fatáus de maneires diferientes, la miou per exemplu fó'ísta. COLOCOUME MIOU Má de cabrieru na teixá d'un amu baldrayu y atuñáu, llabascu y'achuquín tan solu per que me diera de comer ya me vistiera dalgu, peru ‘l condenáu matábame de fame, ya la vestimenta que punxu d'enría ‘l miou llombu conxistía nun calzáu que la metá ‘l tempu espatuxaba con las patas arregañás, apaxiétchau con unus fatucus tous esgacicáus que per tous lus lláus diben les mious carnis al entestate, acaniláes per el callor ya ‘l fríu en tou ‘l tempu. —Tenía yo aproximadamente ocho años de edad cuando me asesinaron a mi padre, y me recuerdo con toda exactitud cómo la ley de aquel tiempo llevó a cabo tan imperdonable, deshumanizante y vandálica felonía. —Nuna nuétche (una noche) llegaron a la casa de unos tíos míos que en mi aldea vivían y donde mis padres y yo nos refugiamos al término de la guerra en Asturias cuatro desalmados, cuatro bandoleros, cuatro inmundicias humanas, que escudados tras de sus armas empuñadas, representaban l'enñordiada Lley (LA SUCIA LEY) que en aquellos tiempos a la Justicia traicionaba, cuento yo, que aquellos cuatro merucus (gusanos), atemorizando e insultando a toda mi familia, detuvieron a mi padre, le amarraron como a la bestia que se lleva al matadero y se lo intentaron llevar de la casa, sin que mis tíos, (y la cosa no era para menos), intentasen pronunciar asustados como se encontraban ni la más mínima palabra de súplica o protesta. Pero mi madre no les secundó, sino que bravamente intentó defender al sou home (a su marido) no sólo con la palabra, que mi madre la tenía d'aguxa lu mesmu qu’un bon obreiru (de afilada lo mismo que un buen aguijón), sino que temerariamente se abalanzó sobre ellos y fuele preciso a uno de aquellos cobardes y desalmados representantes de la deshumanizada ley que corría en aquellos tiempos, de propinarle varios golpes con la pistola, dejándola mal herida y ensangrentada, tirada en el suelo con el conocimiento perdido. Mientras que aquellos bandidos, se llevaban a mi padre sin permitirle que de mi se despidiera, y tan solamente le he podido ver por última vez, tres les rexes de la cárxel d'Uvieu 'n die 'ndenantes que l'achuquinaren. (Detrás de las rejas de la cárcel de Oviedo, un día antes de que le asesinasen). Pronto mi madre y yo, llenos de la más desolante de las tristezas, y vestidos con el traje de las más indigentes miserias y pobrezas, nos marchamos de la casa de mis tíos y nos asentamos en la abandonada, vieja y destartalada casa de mi abuela. Y sin muebles, ni nada, los dos juntos, como grandes e indomables luchadores que hemos sido siempre, dimos comienzo sin desfallecer ni un momento, a la dura lucha por la vida, sin que nadie jamás nos ayudara. Empecé a ganarme la vida como pastor, a la corta edad de que cualquier niño sólo pensaría en jugar, comer cuando tuviese hambre y recibir de continuo montones de caricias y de amor, yo sin embargo, a pesar de no poseer nada de todas estas maravillosas cosas, era en extremo a mi manera feliz. Marchaba todas las mañanas con mi ganado al monte, donde permanecía todo el día, tan sólo con la compañía que me brindaba mi fiel y siempre por mí con cariño recordado Pelayu, que era un perro, de una inteligencia y sentimientos, que más bien que un chuchu (perro), parecía aquel singular animal un ser humano. Luego por las tardes, cuando el sol se escondía por detrás de las altas cumbres, retornaba feliz a la aldea, siempre lleno de contentura, cantando las más de las veces, amenizado por el potente tañir del zumbiétchu (cencerro) que llevaba colgado al cuello el semental del rebaño. Una mañana como tantas otras me encaminé con mi rebaño al monte y seria como a la media tarde cuando a la entrada de una cueva que se asentaba en un lugar casi inaccesible me encontré medio enterrado con las piedras y la escasa tierra que hacían la reducida plataforma de la portada de la caverna, un pequeño aro de oro, yo he tenido por así decirlo desde mi infancia la inmensa suerte de poseer una imaginación tan inmensamente dislocada, que por tal solían decirme mis vecinos, que era yo el rey de las mentiras, así como el más hábil inventor de endemoniados cuentos. El caso era, que aquel misterioso anillo abandonado a tan larga distancia de mi aldea y en lugar tan argutosu (estrecho, alto, inaccesible), hiciéronme presto pensar, que aquella joya no había llegado a tal escondrijo por sí sola, sino que desde luego alguien la había traído. En el momento mi imaginación desbordante de una alegría que no encontraba un fin para frenarla, comenzó a fomentar sin el menor titubeo la fantástica idea de que en el interior de aquella caverna debía de encontrarse un tesoro de preciosas joyas y valorativas monedas, y quién le había ocultado sabe Dios cuando, seguramente habría perdido aquel anillo que por casualidad yo encontrara. Así pues, ya firmemente convencido, adentreme temerariamente sin el menor temor por la angosta cueva con las miras de apoderarme de aquella inmensa riqueza que según mi soñativa imaginación me había hecho comprender que en su interior me estaba aguardando. Pero aquel día no conseguí mi feliz propósito, porque era la caverna más larga de lo que había pensado y la oscuridad que en ella reinaba me hacía ciego de toda luz. Senteme en su entrada muy desilusionado al no poder lograr lo que había soñado, pero pronto mi mente empezó a dibujarme mil dispares tesoros, pues por el rastro que descubriera seguramente que dentro de la gruta se hallaría escondida alguna chalga (tesoro) guardado con toda seguridad por una Xana, Xumiciu, Trasgu o Culiebru (dioses de la Mitología asturiana), pues al decir de el abuelo Nicomedes cuando en las largas veladas de los inviernos y sin jamás interrumpirle con grande contentura le escuchábamos las leyendas, cuentos e historias que él lúcida y socarronamente nos contaba, afirmándonos siempre que eran tan ciertos sus relatos, como que todos habíamos nacido para morir. Y cuando hablaba de las chalgas aseguraba que tal o cual vecino, morador de esta o aquella aldea, se había hecho de la noche a la mañana rico al haber encontrado una chalga. También afirmaba poniéndose muy serio alegando unos razonamientos que convencían, que las montañas que rodeaban nuestra aldea había muchas chalgas escondidas, que fueron sepultadas hacía muchos siglos por los invasores moros, que al ser vencidos por los astures y al no poder huir con tan pesados tesoros, los ocultaban en las montañas con las miras de poder regresar algún día a desenterrarlos. Como cuento, yo en aquellos momentos vivía alborozado, sumergido en una disloca alegría al saberme ya dueño de aquella incontable riqueza, haciendo que mis inocentes ojos sonriesen felices inmersos en la imaginativa dicha de poder muy pronto liberar a mi madre de la pobreza y quitarla del agobiador trabajo que faenaba trabajando en los eros de los vecinos de estrella a estrella por un miserable sueldo andechandu (en cuadrilla) todos los días. Y así pensando todas las dichas que mi infantil mente podía imaginar, rodeado por el sepulcral silencio que envolvía la grandiosidad de las montañas, rasgado de vez en cuando por el potente y agudo graznido que desde los peñascos más inaccesibles, o desde los infinitos espacios donde con majestuosidad planeaban, lanzaban las útres (águilas), que con ojos inquisitivos oteaban con hambrientas intenciones los escabrosos riscos y las empinadas fistietchas (pequeños valles encajonados entre las peñas), con la esperanza achuquinante (asesina) de poder atrapar con la rapidez del rayo, algún recental que se hubiese xebrau (apartado) de su madre. También aquel silencio que invitaba a la meditación era con más continuidad cortado, por el dinámico tañir del zumbiétchu (pequeño cencerro) que colgaba del brioso cuello del macho cabrio, conductor y semental del rebaño. Como cuento, allí permanecía ensimismada mi mente en el soñar despierto, fabricando sin trabas de la misma nada, las más disparatadas y fabulosas dichas, que harían la felicidad de mi madre junto con la mía. Llegó casi sin enterarme el atapecer del día (al oscurecer) y fue entonces cuando desperté con prisa del maravilloso soñar donde vivía, y raudo, con agilidad y destreza que hoy al recordarla me causa dicha, reuní en pocos minutos mi rebaño, ayudado con eficacia por Pelayu, mi fiel, obediente, valiente y amaestrado perro, que no le tenía miedo a nada ni a nadie si exceptuamos al siempre mal intencionado y vigoroso macho semental de la reciétcha que yo allindiaba (ganado menudo que yo cuidaba). Y cuando ya el día agonizaba entre las negras vestimentas de la noche, entré en mi aldea conduciendo orgullosamente mi rebaño. A la entrada del pueblo sentado plácidamente fumándose un cigarro, estaba esperándome mi amo preocupado por mi tardanza y acercándose a mí, con palabras desaforadas e insultantes, a la par que me reprendía con dureza, me preguntaba el por qué me había demorado tanto. No recuerdo lo que le contesté, ni la historia que le largué, lo que si sé, que no se creyó de ella nada, pues todas las gentes que me conocían bien sabían, que yo confundía la verdad con la mentira haciendo con entrambas las más inverosímiles y dislocadas historias. Sin embargo, lo que yo sabía muy bien, era que aquel miserable labriego de mi aldea, que tenía la desgracia de cuidarle sus ganados, por la triste desgracia de una comida infame y peor vestimenta, no le incomodaba en absoluto que yo llegase tarde o que me despeñara desde un serapu (peña) y me escontonara la motchera (rompiera la cabeza), lo único que le preocupaba al condenado, era que llegasen a su teixada (casa) sanos y fartus (hartos) todos sus ganados. Al siguiente día bien de mañana como de continuo hacía, con un poco de sabadiegu (chorizo malo) un cantezu (pedazo) de pan moreno y cuatro manzanas dentro de mi zurrón, salí de mi aldea afaluchandu (arreando) el rebaño, y con aquellas miserables viandas que llevaba en mi morral, tenía que aguantar todo el día en el monte corriendo sin descanso tras aquella veceira (rebaño) de cabras. Lo que no sabía el condenado de mi amo, era que yo siempre que tenía hambre, le ordeñaba sus cabras dentro de una lata que tenía escondida en la montaña, hartándome tanto yo como mi fiel Pelayu de espumosa y fresca leche hasta el golifar (hastiar). Si el bastruya (zafio) de mi amo tan sólo hubiese sospechado que le mucía (ordeñaba) sus cabras todos los días, me hubiera eszarapau (despedazado) mi frágil cuerpo con un mamplén de cibiétchazus (con muchos palos). Espatuxaba (caminaba) yo muy contento aquella mañana, quizás lo hiciera mucho más feliz que nunca, arreaba mi rebaño con desacostumbrada prisa, porque ansias locas tenía de llegar a la montaña, para entrar de nuevo en la misteriosa cueva, pues ahora ya no tendría problemas con la obscuridad que en ella reinaba, ya que conmigo llevaba una caja de cerillas y un pequeño candil que le había arrapiegáu (hurtado, quitado) de la corte (cuadra, establo) a mi amo, y con aquella luz, sería capaz de bajar hasta las mismas entrañas de la tierra, si a tal lugar la caverna se extendiese. Aquella noche había dormido poco y soñado mucho, tanto despierto como dentro del desvelado sueño, y tanto de una manera como de la otra, siempre llegaba a la conclusión, de que dentro de aquella para mi misteriosa gruta se ocultaba una fabulosa chalga de la que iba ser yo su señor y dueño, y cuando tal me sucediese, ya no sería yo más criado de ningún rapiegu (zorro) amo, ni tampoco a mi querida madre se le encallecerían jamás las manos, efectuando esclavizantes trabajos, nunca para el prójimo bien servidos y siempre por él peor pagados, ni se partiría sus costillas refrescándose el cansancio en su propio sudor por las fincas de nuestros vecinos, por donde se arreventaba todos los días del año, por la mezquina soldada de una fuente no muy grande de harina, un cesto de patatas, o cualquier otra vianda que mitigase el enorme fantasma del hambre, que desde el fin de la guerra se había enseñoreado de nuestro indigente char (lar), que nos obligaba despiadadamente a unos ayunos tan sumamente raquíticos, que el día que comíamos algo en traza (algo mas), tal parecía que habíamos cometido un grave pecado. Cuando yo fuese dueño de aquel tesoro, (abanzaba seguido de Pelayu arreando con prisa los ganados camino de la argutosa «abrupta» montaña, a la par que imaginativamente iba pensando), compraremos una casa decente, buenas fincas y mejores ganados, y entonces nuestros vecinos nos mirarán con respeto, y no nos tratarán con el menosprecio y la esclavitud a que ahora nos someten. Llegué al fin hasta el lugar que por costumbre tenía de enveredar el ganado para que a su aire subiesen guareciendu (pastiando) como siempre hacían hasta llegar al final de la tarde que era cuando el rebaño solía alcanzar lo más alto de la montaña. Pero aquel día no seguí yo al redil como siempre hacía, sino que me adelante a él corriendo sin el menor cansancio laderas arriba, hasta que por fin sudoroso y galopante en la alegría llegué a la vecindad de la caverna. Pude comprobar sonriente a la par que cariñosamente acariciaba a Pelayu, cómo éste me miraba contrariado al ver que yo por primera vez había cambiado todos mis cotidianos hábitos. Ya que siempre nada más llegar al monte y dejar a las cabras a su albedrío pastiando, nos sentábamos en el lugar acostumbrado, y zampábamos sin pérdida de tiempo a partes iguales como buenos compañeros, la miserable comida que nos había servido nuestro amo. Después jugábamos incansablemente en mil dispares entretenimientos hasta quedarnos rendidos, y muchas veces tras de nuestros juegos, los dos juntos abrazados nos quedábamos profundamente dormidos y al despertarnos sino avistábamos el rebaño, corríamos alocados por la preocupación, por entre los abruptos riscos, y las espinosas malezas hasta lograr encontrarlo. Después otra vez gozosos retornábamos a nuestros juegos, o yo me quedaba mirando a las montañas ensimismado pensando, mientras que Pelayu se entretenía cazando grillos, u otros insectos, y otras veces con sus blancos y poderosos colmillos recorría con rabia su pelambrudo cuerpo, diezmando la cabanada (rebaño) de pulgas y otros parásitos que con su sangre se alimentaban. Como cuento, aquella mañana mi fiel Pelayu me miraba preocupado, pudiendo yo observar en sus vivarachos, picarescos e inteligentes ojos, una recriminación que me estaba haciendo, por su forma de ponerme sus fuertes patas en mi pecho, a la vez que me lamía entre pequeños y cariñosos ladridos mi rostro. Si con sus ladridos pudiese hablar mi lenguaje, seguramente que me diría. —No seas un iluso soñador, mi más querido y preciado compañero, no llegues con tu fantástico pensamiento hasta el extremo de acariciar ni tan siquiera cuanto te has imaginado. Comámonos con la alegría de que hacemos gala todos los días, esa mezquina comida que nos da nuestro despreciable amo, y juguemos con la inocente felicidad de siempre, ya que éste será el más grande tesoro que jamás podrás superar en tu vida. ¿Dónde podrás hallar una riqueza que se pueda comparar a la natural y sencilla felicidad que hoy gozas, aunque ésta se haga su camino dentro de la gran pobreza que te acompaña? Pero hoy yo sé fijamente, que aunque mi perro pudiese hablar, haciendo que en tal momento me asustase al presenciar tan grande milagro, y me dijese que no entrase en la cueva, porque lo que dentro de ella iba a encontrar sería mi propia muerte, la verdad es, que ni al mismo Faidor (Dios) en aquellos momentos yo no obedecería, y así de resuelto, encendí el candil, y sin el menor asomo de miedo, ya que la ilusión y la alegría que poblaban mi espíritu en aquel encaldar (hacer) eran tan inmensos, que empequeñecían hasta el ignoro cualquier otro sentimiento. Adentreme en la cueva que era iluminada tenuemente con la pobre luz que el candil despedía, siempre acompañado de Pelayu que tras de mí, el muy tuno de mi aventura se reía, no era larga la caverna, pues a treinta metros no alcanzaría, y cuando llegué al final, no encontré ni las Xanas, ni los Trasgus ni Xumicius, ni la chalga, preciado tesoro que yo perseguía, sólo había muchos cascos de avellanas y de nueces, algunas latas de conservas ya vacías, unos trapos manchados de sangre, unas mantas viejas y apoyadas en la rocosa y húmeda pared de la cueva, había varias armas de fuego que pronto me hicieron olvidar la riqueza que en un principio había imaginado que allí me aguardaría. Por primera vez en mi vida iba a tener juguetes, auténticos juguetes de verdad de los que usaban los hombres para asesinarse vilmente al igual que hacen los lobos cuando por su cuenta cogen un apacible rebano de ovejas. Dejé el candil en el suelo y elegí entre todas aquellas armas una brillante escopeta, lleno de contentura me senté encima de aquellas mantas y empecé a maniobrar con aquel peligroso juguete, yo sabía cómo se manejaba supuesto que mi amo tenía una escopeta muy parecida y le había visto limpiarla y cazar con ella algunas veces, durante algún tiempo estuve jugando con ella, de una canana que allí había saqué dos cartuchos que metía y sacaba dentro de su recámara, yo me creía en aquellos mis felices instantes el más grande cazador del universo. Pelayu que ya se había cansado de husmear por todas las partes y no habiendo encontrado nada donde llancái el diente (hincar) se tumbó en el suelo frente a mi mirándome sonriente y burlonamente, (porque aunque ustedes no lo crean, yo sé que los chuchos saben sonreir). Enojeme de Pelayu al ver como tan descaradamente se mofaba de mí, por eso encañonele con la escopeta con ánimo de amenazarle, pero cambió Pelayu de gesto rápidamente, levantose con rapidez del lugar donde estaba achucáu (costado), enseñome los clientes ladrándome muy enfadado y a la velocidad del rayo salió de la cueva, quizás porque el inteligente animal presentía, de que alguna desgracia iba a lleldar (hacer) yo con aquel mortífero artefacto, y no quería ser él quien primeramente la recibiese en su cuerpo. Aun permanecí algún tiempo en la gruta jugando a mi manera con las armas, y solamente cuando el candil por su guiños me hizo comprender que su luz ya se le estaba escosando (terminando), salí de la caverna con la escopeta en una mano, dos cartuchos en su recámara y el candil en la otra. En el exterior Pelayu correteaba detrás de los grillos y las camporinas (mariposas) al parecer ya libre de todo enfado. Ya cansado de jugar dejé la escopeta en el suelo y senteme tranquilamente al lado del zurrón, y en cuanto mi perro vio que ya había abandonado el arma, vino corriendo hacia mí, moviendo la cola y sonriéndome amigablemente. Allá abajo en la mitad del valle pude ver a mi rebaño cómo subía espenandu (comiendo) los pochitcus (enanas encinas), y yo de nuevo me volví a sentir feliz y contento a pesar de no encontrar la chalga que tanto con su riqueza había soñado e ideado. Comimos a hora desacostumbrada mi perro y yo aquella pobreza de comida, y tras de jugar un rato, él se quedó adormilado y yo comencé a pensar de quién serían aquellas armas. No me cabía la menor duda de que aquel arsenal de armas debía de ser de los fugáus (huidos), seguramente que eran de aquellos cuatro rapazones (mozos) que se entregaran a los soldados que estaban destacados en mi aldea. Yo los había visto en el cuartel que los militares tenían que era en la escuela de mi aldea, un amplio edificio que fuera regalado a la parroquia por unos indianos del chugar (lugar) que retornaran de las américas con la corexa betchá de cuartus (con la cartera llena de dineros). Recuerdo que aquel día que yo los vi, un soldado que de seguro sería el barbero, les estaba cortando el abundante pelo que lucían, y uno de los rapazus le dijo sonrientemente al militar. ¡No hace falta que te molestes mucho camarada, pues cuando un día de estos nos trasladeís a la cárcel de Oviedo, allí lo más seguro es que nos rebanen el pescuezo! EL MACHO CABRÍO Güelgu coyer el filu dóu d'endenantes m'enduébitchaba algamiandu na miou motchera alcuerdancies de cundu you yera guaxe, ya comu tóus non se puén cuntar per filera, per ísu xebreme d'aquín, pa dir p'acuchá, perque toes les couxes tienen la sou xaceda, ya non la quixéramus cataye nuexotrus. (Volviendo coger el hilo de los aconteceres que anteriormente en mi cerebro se barajaban dentro de las añoranzas de mi niñez, y como todos estos acaeceres no se pueden relatar en hilera, por eso me marché de éste, para ir al de más allá, que es de donde vengo ahora, porque todas las cosas tienen su propia postura, y no la que quisiéramos darle nosotros). Y aunque parecía que me había perdido por estar tan llargu lonxe (tan largo lejos) la verdad es que yo no pierdo el tiempo adornando los hechos que no deben de ser adornados, nin fiéndume en xebraures que van esfaese 'n probeces, perque 'l que non ye llicenciáu 'n filloxofía e lletres, non pué faer munches froritures con les pallabres nin les lletres, ya per ístu, tien que encaldase 'n aforrador d'istus dellicáus y'artifixusus monumentus, perque si lus mesmus que güéi día que lus manexan y'atreinan, la metá de les veces non xapien lu que falen, ya llanquen el focicu fasta les urées en telares de Pachu 'l Xabadiegu betcháus de poxa y'escosáus del granu que ye pelu que tóus muramus nista engochá vida, ¿qué fairé you que 'deprendí namái que tres meses nuna escola pública? (Ni me hondeo en deserciones que se deshagan en pobrezas, porque quienes no son licenciados en filosofía y letras, no pueden hacer muchas florituras con las palabras y las letras, y por esta razón, tienen que hacerse ahorrativos de estos delicados y artificiosos monumentos, porque si los mismos que hoy en día los manejan y cuidan, la mitad de las veces no saben muy bien ni la mitad de lo que escriben, ni otra pareja parte de lo que hablan, y meten por estos menesteres el hocico hasta las orejas, en cuestiones que los imposibilitan para después resolverlas, y si se aproximan a este nivelamiento, lo hacen sembrando una hierba productora de mermado grano, que es el punto primordial que todos intentamos recoger en esta cerda vida. Como cuento, si estos señores eruditos en estas materias se equivocan ¿qué puedo hacer yo, ¡pobre de mí!, que tan solamente he tenido la suerte de ir al colegio público tan sólo tres meses?). Cuento yo que me hallaba en aquellos mis infantiles pensares intentando saber a qué huidos pertenecían aquellas armas, y así dejé tal perder el mucho tiempo que me sobraba, cuando mis ojos retrataron el gran combate que a baja altura, muy por debajo de donde yo me encontraba, sostenían tres cuervos, que despiadada y valientemente le atacaban a un águila real, y ésta piando quizás por el dolor que le inferían los efectivos picotazos de los cuervos, o tal vez en su lenguaje maldiciéndoles llena de rabia por el no poder repeler el ataque de que era objeto. No podía defenderse de sus tenaces atacantes, porque todo su cuerpo en gran tensión estaba, ya que al volar tan bajo, todas sus enormes energías las precisaba para mover sin el menor descanso sus grandes alas, con el apremiante fin de salir de aquel espacio que al parecer pertenecía a los belicosos cuervos, que con ardorosa valentía y enquina ofensiva, disputaban tal natural privilegio, a las mismas soberanas de los cielos. Había yo presenciado muchas veces batallas entre las águilas y los cuervos, y siempre éstos las perseguían atacándoles por su parte posterior, hasta la altura donde el águila ya no necesitase mover sus alas para sostenerse, cuando esto sucedía, los cuervos precipitadamente abandonaban el combate, porque ellos sabían, que donde el águila pudiese planear, todo animal viviente que se acercara, encontraría entre sus poderosas garras una rápida muerte. Queriendo yo saber como es natural el por qué los cuervos atacaban a las águilas, un día que cuidando sus cabras junto a mí estaba un paisano llamado Máximo, que por apodo se le llamaba el «Puchegu», porque tenía tantas razones en sus hablares como palabras por su boca se alumbraran, a pesar de que el Puchegu no sabía leer ni escribir, sabía de cuentos más que el mismísimo Quevedo, e igual hacía cuando se le necesitaba de veterinario que de médico, atinaba casi siempre cuando iba a llover o hacer buen tiempo, en fin, que era Máximu el Puchegu en todas aquellas aldeas de mis amores, una Enciclopedia que aventajaría en mucho a todas las que en nuestros días nos sirven las grandes editoriales, industriadas por hombres estudiosos de las ciencias. Empezó mi amigo el Puchegu explicándome, que son los cuervos de las abruptosas montañas más bregáus (valientes) que los que moran en las valladas o pequeñas lomas, y todo porque la escasez de alimentos en las rocosas cumbres, es muy inferior a los que existen en los valles o montículos, y así como a los hombres la abundancia los hace temerosos y a veces hasta pusilánimes, y la necesidad o privaciones los vuelve por ley de vida temerarios y osados, en los animales ocurre en igual medida lo mismo, así pues, el cuervo defiende su pitanza no permitiendo que las águilas cacen a menor altura que la que les pertenece, y si desde tal situación descubren una pieza, y bajan con su endemoniado vuelo de alas plegadas la apresan y luego vuelven a elevarse al lugar que les corresponde, los cuervos no osarán ni tan siquiera molestarlas, pero si por el contrario descienden para dedicarse a cazar desde el lugar que no les pertenece, entonces los cuervos las atacan con verdadera saña y valentía y siempre logran hacerlas ascender hasta la posición que ellos consideran justa. Esto es así, porque desde tal altura las águilas sólo pueden divisar en tierra una pieza que ellos no cazan nunca, como puede ser un conejo, una pequeña res, un zorro, y hasta inclusive el mismo perro que con el pastor cuida el rebano, y también se han dado casos en que las águilas hasta han cazado un lobo, y con él entre sus garras han subido hasta sus utreras (nidos) donde le devoraban con la misma satisfacción que pudieran hacer cuando se afestinaban con las tiernas carnes de un inocente corderillo. Si las águilas pudiesen volar más bajo sin ser por los cuervos molestadas, también podrían cazar con gran facilidad, lagartos, culebras, etc., etc., y es ésta precisamente la comida que el cuervo defiende, por eso ataca al águila cuando ésta intenta apoderarse de la que él cree que es su exclusiva pertenencia. Terminó el águila al fin tras el ardoroso acoso a que la sometieron los cuervos de subir hasta la altura que ellos consideraron lícita, y rápidamente éstos plegando sus alas la abandonaron y en vertiginoso vuelo buscaron el abrigo de los arbustos de sus montañas. Terminó para mí aquel día el maravilloso espectáculo que la soberana del cielo y los bravos cuervos me habían ofrecido, y fue entonces cuando me incorporé del lugar donde me hallaba sentado, para mirar a mis cabras que guarecían (pastiaban) por encima de donde yo estaba a la corta distancia de unos cincuenta metros, lo primero que mis ojos retrataron fue el orgulloso y antipático macho cabrío, que empericotáu (subido) en un cuetaron (peñasco) a la par que espenucaba (arrancaba) las fuéas d'un pótchiscu (hojas de una enana encina), mientras que las enguyía, parecíame a mí que me estaba mirando desafiadora y despreciativamente, con sus grandes y retorcidos cuernos, su larga perilla y enorme cencerro, se me representaba como el diablo que sonriéndose ladinamente se guasaba de mi humilde persona, a la par que de mi buen Pelayu, pues a entrambos y dos el condenado nos había hecho correr infinidad de veces, por eso, tanto Pelayu como yo siempre que teníamos ocasión y traicioneramente, él le mordía sañudamente en sus cadríles (patas) y yo le atizaba barganazus (estacazos) y pedradas donde mejor encaldase (terciase). Ocurriósele a mi mente en aquellos momentos el darle un buen susto a aquel demonio con cuernos y cencerro, por eso así la escopeta con determinación, y cargada como se encontraba con dos cartuchos, apunté por debajo de donde él se hallaba con el firme propósito de tan sólo darle un susto que no olvidase en su vida, y ya sonriéndome adelantadamente por el resultado de la idea que sin más pérdida de tiempo iba llevar a la práctica, apreté los gatillos de la escopeta, y una doble y potente explosión originose que dio conmigo en el suelo por la fuerte sacudida que el arma emburrióu (empujó) con dolor en mi cuerpo. Pero escosóseme d'afechu (marchóseme del todo) tal dolor, cuando entre el repilar (ecos) de la montaña por la explosión, sentí al macho cabrío lanzar al viento grandes berridas, que hiciéronme con preocupada prontitud deducir, que aquel demonio odioso no se quejaba por el susto que pudiera recibir, sino por la perdigonada que sin yo proponérmelo le había albergado en su pelambroso y maloliente cuerpo, levanteme sin demora del pedregoso lecho donde la escopeta con su duro empujón me había acostado, y aún tuve tiempo de ver cómo el semental de mi rebano rodaba por entre los cuetus del xerrapeiru (peñas de la sierra) infiriéndose más heridas en su cuerpo que las que yo por equivocación con los dos disparos le había inferido, siendo quizás su muerte no la perdigonada que le había desequilibrado, sino los argutoxus cuetus (agudos peñascos) que cual cuchillos al rodar su pesado cuerpo por entre ellos le apuñalaban mortíferamente, por eso al detenerse en su poleamientu (rodar) detrás de un pótchiscu (encina) que encontró en su paso, dejó de berrar en el instante, que su vigoroso cuerpo perdiera la vida. Fuime yo corriendo acompañado de Pelayu que me ganó la palma en la carrera, hasta el lugar de aquel desgraciado suceso, y cuando llegué donde el chivo estingarráu (tirado, acostado) ya no contaba como enemigo vivo, vi cómo a torrentes se desangraba, a la par que Pelayu con su nutritiva sangre se fartaba (hartaba). Pensé yo con gran temor cómo decirle a mi amo lo que había pasado, él que sentía por su chivo un orgullo y continuo ponderado casi desmedido, pues siempre que la ocasión se le brindaba cuando con sus vecinos dialogaba, soliales afarrucado (faroleándose, chuleándose) decir, que no había en toda la comarca un macho cabrío que ni con mucho en raza y estatura, se le pudiese parecer al suyo. Era ya casi la hora de afalar (retornar arreando el ganado para casa) cuando se me ocurrió la idea de decirle a mi amo que el chivo por si sólo se había despeñado, así que guardé la escopeta en la cueva y apresuradamente yo temeroso y preocupado y Pelayu contento por hallarse harto, reunimos el rebaño y nos encaminamos hacia la aldea, parecía que hasta las mismas cabras que en otras ocasiones se mostraban rebeldes y saltarinas, aquel desdichado día caminaban cabizbajas y avizorantes, observando en todas las direcciones con pronunciosa alteración, buscando aquel macho cabrío que las dirigía y dominaba con su orgullosa presencia, haciéndose notar en todo momento, por el continuo tañir de su zumbiétchu (cencerro), que por primera vez en el rebaño no se sentía el caidonante ruxíu (dirigente sonido). Pienso yo que solo contento caminaba vigilante mi fiel Pelayu, porque ya nadie en el rebaño se atrevía a discutirle sus ladridos o frágiles mordiscos, cuando por orden mía a las cabras con eficiencia les infería. Más sin embargo yo, al igual que a mis cabras, algo me tenía también apresado, algo extraño para mí, por primera vez a mi espíritu esclavizaba, que ni era tristeza ni pena, pero sí era miedo y grande desesperanza. Siempre que retornaba con mi rebaño a la aldea, cuando en las atardecidas la montaña abandonaba, mi corazón ameruxáu d'allegría (rebosante de alegría) a mi garganta un torrente de cante le rogaba, y ésta inocente y falta de todo perjuicio, sintiéndose tan dichosa como los mismos celestiales ángeles, cantaba recias asturianadas, mientras que todo mi ente, afanosamente afalaba (arreaba) las cabras. Quizás cantara yo aquellas horas con más gracia que en todo el día por alegre que fuera y pudiera tener, porque por así decirlo me acercaba al sencillo y noble vivir de las gentes de mi aldea, pues diez o doce horas en la continua soledad que en las montañas me acompañaba, para un rapacín como yo era, eran muchas horas desamparado de la comunidad humana, y sobre manera yo, que con ser mi cuerpo ágil y fuerte hasta casi rayar en el desuso, empequeñecido se quedaba si le comparaba con mi espíritu tan ensoñador e imaginativo, que todas las cosas al engrandecerlas confundía, menos el miserable pan de la maxera (artesa) que mi amo me entregaba, que a pesar de ser tan escaso, jamás supe imaginar nada para engrandecerle. Estaba mi amo a la entrada de la aldea esperándome como siempre hacía para ayudarme a xebrar el rebaño, ya que como eran tantas cabras, no cogían todas en la misma corte (establo), y había que llevar parte de ellas a otra cortexa (cuadra pequeña) que estaba en la parte opuesta de la aldea. Entretenía siempre su espera el condenado de mi amo, hablando con un artesano del lugar, que se dedicaba a la fabricación de yugos y madreñas, que tenía su taller montado debajo de un hórreo, que estaba asentado a la salida de la aldea, mismamente en la desembocadura del pedregoso y empinado sendero que venía de la montaña. Desde tal lugar él sentía con antelación el potente tañir del zumbiérchu (cencerro) que ximielgaba (movía) con fuerza y hasta con orgullo el estupendo semental de su rebaño, entonces él liquidaba por el momento con el madreñeiru la conversación que estuviesen embargando, y dedicaba toda su atención a su rebano, observando con avarienta atención, en el propiar si sus ganados venían fartus óu famientus (hartos o hambrientos), o si alguna de sus cabras venía coxa (coja) por mor de haberle caído una piedra o cualquier otro accidente que hubiera acaecido, como solía ser normal algunas veces. Pero aquel inolvidable para mi atapecer (atardecer) vio antes sus cabras que escuchara el ya inexistente zumbiétchu, por eso con su vozarrón de trueno, y como una centella por mí temido, me preguntó a la distancia de una piedra lanzada cuesta abajo: —¿Qué fói lu que pasóu Xulín...? —¿El chivu perdiu 'l mayuelu...? —Quería decirme, que si el cencerro que llevaba su chivo, había perdido el majuelo, o pequeño péndulo que lleva dentro el cencerro. —Esto también era frecuente que sucediese. Contestele yo desde aquella altura con mucho menos miedo que si me encontrase ante su presencia, diciéndole que el chivo se había despeñado, y arriba en la montaña se encontraba muerto. Estas mis palabras que en el viento camino de la aldea mi voz empujó con fuerza, fueron escuchadas por mi amo que se encaricotóu (encendió) en una rabiosa tristeza, que si pudiese desahogarla, seguro que en mi persona haría él su complacencia. También la desgracia del chivo, que por mí a voces era anunciada, fue oída por algunos otros vecinos a parte del madreñeiru, y como aquel semental de macho cabrío había sido siempre tan aponderado e idolatrado por el babayu (bocazas, charlatán) de mi amo, que con su dichoso cabrón los vecinos de la aldea ya habían pescado la costumbre de decir siempre que alguien ponderaba una cosa, ¡non si paezme a mín, que moren más castrones que Manín na nuesa aldea! Bueno pues como estoy contando, todo el lugar en pocos minutos se había enterado y en parte congregado a la salida del camino que bajaba de la montaña, ya que la muerte de aquel chivo que había ya dejado entre ellos la ya dicha cantinela, les había algunos los más envidiosos y vengatibles alegrado, y a los otros los más sentimentales y nobles les entristecía la muerte de tan comentado castrón. (También se suele llamar castrones a los chivos muy grandes). Al fin entré yo en la aldea quizás con el mayor recibimiento que jamás a nadie le hicieran, y todos atropelladamente me preguntaban lo que con el dichoso castrón me había sucedido, y yo les repetía a la par que intentaba xebrar las cabras para llevarlas a sus respectivas cuadras, que se había despeñado y que todo descuatramindáu (deshecho, desarmado) se quedara en la montaña. Un ratiquín (un tiempo) más tarde, y ya siendo casi la oscurecida, tres vecinos del lugar haciendo cuadrilla con mi amo, caminaban en pos de Pelayu y mía, otra vez camino de la montaña, para enseñarles donde estaba estrapayáu (aplastado) el chivo, con el propósito de bajarle para casa, con el fin de aprovechar su piel y carnes, que serían curadas bajo las barras del xardu (secadero) una estupendísima cecina. Llegamos a la postre ya con la noche tan negra como la boca de el lobo, al xeitu (sitio) donde el chivo fechu 'n chaceiru (hecho un deshecho) ya en el frío de la muerte sin despertarse dormía, tanto Manín que yera mi amo, como los tres vecinos que le hacían compañía, sudorosos y respirando medio ahogados por el tremendo esfuerzo que suponía subir con tanta rapidez hasta tamaña altura, sin perder un momento amarraron el animal por las cuatro patas juntas haciendo cucara (en montón, juntándolas todas) con una cuerda que para tal menester ya traían, y colgándolas de un fuerte y largo palo del que también venían poseídos, echáronselo al hombro entre dos, y con menor rapidez y mayor precaución, relevándose entre ellos conseguimos llegar sin novedad a la aldea. A pesar de ser casi la media noche, aun había algunos vecinos en reunión dentro de al parecer amena charla que quizás tuviese mucho que ver con el castrón, Manín y con mi desventurada persona, esperándonos en el lugar donde el madreñeiru trabajaba. Entramos todos en procesión rumorosa en la corralada de la casa de Manín, detrás del cabrón que colgado del baral sofitado en los hombros de dos vecinos se xiringaba (balanceaba), vigilado siempre con sonrisa ladina por mi fiel Pelayu, que comprendía que al no tardar, iba a saciarse hasta el no poder manducar más, con los rojos hígados de quien en vida, le hubiera hecho correr con cierto temor con el rabo entre sus piernas. Mientras que mi amo y sus serviciales vecinos se disponían a desfoyar (desollar) colgado de unos garfios que había debajo del hórreo al desgraciado chivo, la muyer (mujer) de Manín sin parar de condolerse, y hasta inclusive queriendo a mi endilgarme parte de la culpa, me dio de cenar una escudilla de farines (harina de maíz cocida) con una taza de leche de cabra, porque la leche de las vacas la tomaban ellos y la que sobraba la hacían en manteca, que tampoco yo nunca la probaba. Por primera vez no se hallaba sentado a mi lado sacando la lengua y relamiéndose, mirándome con sus ojos inteligentes en espera que yo le tirase delante de sus narices una cucharada de mi comida a mi fiel Pelayu, pues él sabía que al lado del castrón, tenía una fiesta grande con sobrada pitanza. Comía yo vorazmente aquellas puliendras (farinas), a tan desusada hora de la noche, sin que mi mente de pensar cesara, y antes de terminar mi miserable cena, una luz que me llenó de cierto temor en mi cerebro escendiose, para decirme con su claridad, que no iba a transcurrir mucho tiempo antes de descubrirse mi mentira, porque al esmianaye 'l pelleyu (quitarle el pellejo) al castrón, le encontrarían incrustadas en su cuerpo las postas que le habían matado, y me interrogarían sobre tal suceso, siendo yo al momento un cómplice y encubridor de la muerte del condenado cabrón, que según parecía me iba a dar guerra hasta después de ser muerto. Seguramente querrían saber el por qué les había mentido, haciéndoles creer que se despeñara, cuando a la prueba estaba que fuera abatido por un tremendo pistoletazo. Bajé después de cenar a la corralada donde los hombres andaban a vueltas en la desfoyadura del castrón, a la luz de un par de candiles de carburo y no llevarían un cuarto de hora reparándoles en su circunstancial oficio de carniceros, cuando Antonón el de la Cuandia dijo sorprendido mirando para mi amo que le alumbraba con el candil en la mano para que los otros vieran mejor en la faena que encalducaban (hacían). ¡Ah Manín, isti castrón non morrióu comu diz el tou criadín despeñáu, pos tién ente 'l coración ya lus polmanes un manegáu de postes llancades, asina que si quiés saber quién l'achuquinóu, pregúntaye 'l tou rapazacu, lu que axucedióu! ¿Qué ye lu que me tas diciendu...? ¿Quién diañus diba pegái 'n tiru 'l miou cabrón ? Antonón arrabucandu d'ente les asaures del chivu cuatru ou cincu postes que yeren de grandies comu arbeyinus rancuayus, díxole 'l miou amu metiénduyes per dellantri 'l focicu: ¡Mira Manín, ístu fói lu qu'achuquinóu 'l tou chivu! (Ah Manín, este cabrón no murió despeñado como dice tu criado, pues tiene entre el corazón y los pulmones un cesto de postas plantadas, así que si quieres saber quién le asesinó, pregúntale a tu muchacho lo que sucedió). (¿Qué es lo que me estás diciendo? ¿Quién demonios le iba a pegar un tiro a mi cabrón?). (Antonón arrancando de entre las asaduras del chivo cuatro o cinco postas que eran de grandes como pequeños guisantes, le dijo al mi amo mostrándoselas por delante de su hocico: ¡Mira Manín, esto ha sido lo que asesinó a tu chivo!). Hallábame yo detrás de ellos a media penumbra, por eso no pudieron ver cómo todo mi cuerpo temblaba, y mis mexiétchas (mejillas) se encendían como las mismas brasas cuando el viento las apuxa (atiza). Quizás si fuese a pleno día, me hubiesen sacado la verdad al descubrir yo mismo por mis síntomas externos la mentira, pero la noche, encubridora de toda claridad que profané sus negras vestiduras, me ayudó a ser firme e inamovible de mi primera mentira. Convencido mi amo de que le había engañado, acercose a mí con el candil en una mano, y llena su despreciable alma de ira, y enloquecida venganza, con la otra su mano, atizome un fatáu de morráes (varias galletas, tortas, guantazos) que dieron con mi cuerpo en el suelo, y antes de que yo pudiese huir del peligro que me rodeaba, levantome del suelo con la misma mano que tan vilmente me castigara, y a la par que alumbraba mi rostro donde la abundante sangre que manaba de mi nariz lo embadurnaba, me dijo mirándome con sus ojillos de bracu (cerdo) donde la maligua ira en un brillo salvaje se enseñoreaba: ¡Ahora mismo me vas a decir hijo de perra y de republicano asesino, que el día que asesinaron a tu padre que era lo mismo que tu un embustero y un bandido, te tenían que haber envenenado a ti, para que no pudieses hacer el mismo mal que hizo tu condenado padre, vamos, dime quién fue el que disparó contra mi chivo, dímelo pronto o terminaré contigo! Y al tenor que esto me estaba diciendo, su dura mano caía una y otra vez sobre mi rostro, y fue entonces cuando aquellos hombres de entre sus manos me arrancaron, pues al no hacerlo, quizás aquella bestia humana, que había luchado en defensa de la (PAZ DE ESPAÑA) fácil me hubiera asesinado, como seguramente acostumbrado debía de estarlo, al haber practicado tal demoníaco proceder, con otros indefensos inocentes, de los miles que asesinados fueron en Nuestra Patria, por cobardes, dañinos y miserables hombres, como lo era mi despreciable amo. Fue curado con agua fresca mi amoratado y sangrante rostro por Antonón de la Cuandia, que me aconsejaba cariñosamente, les dijese lo que con el cabrón me había en la montaña sucedido, y que no tuviera ningún miedo de contar la verdad que se buscaba, pues ella misma me protegería de quien me hubiera amedrantado para que no le delatara. Cuéntanos hijo si fueron los huidos quienes al chivo le dispararon, ya que nadie más que ellos pudo hacer tal cosa, y ten presente que si no nos lo dices ahora, mañana vendrán los guardias y ya verás cómo con ellos no puedes seguir negando. Díjele a Antonón el de la Cuandia, que yo estaba dormido, y que me desperté cuando sentí al cabrón bramar desesperado al tenor que bajaba rodando por entre los peñascos, siendo aquello todo cuanto yo había visto y oído. Volvió otra vez ya más sosegado mi amo a insultarme y amenazarme, y a la postre me ordenó que abandonara su casa, pues él no fartaba bribones que lejos de cuidar su rebaño, permitían que personas tan canallas como yo lo era se lo asesinaran. Marcheme de aquella casa de noche, maltrecho mi cuerpo y deshecha de sufrimientos mi infantil alma, sin más pertrechos que los que llevaba a costillas, que eran los únicos que poseía, y que constaban de un mono de caqui hecho de la guerrera de un soldado, con más remiendinos que de plumas tiene una gallina y de todos los colores que imaginarse puede, calzado con unas alpargatas de esparto donde los calcaños se asentaban en el suelo y los dedos lo mismo hacían por no quedar de las alpargatas nada más que la parte del centro. Por primera vez desde hacía varios meses que Pelayu era o mejor dicho había sido compañero inseparable de hambres y fatigas, de juegos y caricias, de largas soledades entre ambos repartidas, por primera vez digo, mi fiel compañero ya no me seguía, me traicionaba el muy ladino por unas piltrafas que de vez en cuando aquellos hombres que carniceraban en el cabrón, le arrojaban en el empolvado suelo de la corralada, para él valía en aquellos momentos más la asquerosa pitanza, que todo el cariño que yo pudiera brindarle, ya no se recordaba el muy desagradecido de que yo repartía con él a partes iguales la escasa comida que para mi sólo me entregaba el llabascón (cerdo grande) de mi amo, en una palabra, Pelayu era un desagradecido y egoísta, propiedad que en mayor o menor cuantía, va fusionada en el instinto de todo ser mamífero de la Tierra. Llegué aquella primera noche de mi vida, que había sido maltratado, insultado, golpeado, pisoteado, arrastrado y ofendido a tan gran profundidad y altura, que dudo que a mis años en todo el mundo, a nadie le hubiera sucedido tan inhumana atrocidad, cuento yo, que hice mi entrada en la casa de mi madre, que en la sazón se encontraba trabajando en una alejada aldea, en el caserío de otra viuda que su marido había sido asesinado en el cementerio de San Salvador de Oviedo la misma noche y en el mismo paredón que fusilaran a mi padre, así pues, hallábame yo sólo en casa y eso enormemente en aquellos momentos me alegraba, pues si mi madre hubiera estado en la casa, le haría sufrir aviñonándome yo de pena, y quizás ocurriesen peores cosas, ya que mi madre era, y aun sigue siendo, y Dios me la conserve muchos años, pues fue lo mejor y lo único que he tenido en mi existencia, mujer de duro carácter, intrépida y valiente hasta no tener el más pequeño temor, de pelearse ella sólo contra todos los moradores de la aldea. ¡Cómo mi madre, nacen en un siglo pocas mujeres! Al día siguiente que era domingo, y por tener en la parroquia a que pertenecía mi aldea, un cura que para demonio había nacido, ya que el muy condenado había conseguido de las autoridades una ley, que no se quién se la había fabricado, pero el caso es que existía, y condenaba a todos los vecinos a oír la Santa Misa, y a no trabajar ni en las tierras, ni en los prados, ni en nada, bajo pena de una multa que la ley considerara justa por ser injusta. Como yo ya no tenía trabajo, pues cuidar los ganados estaba permitido, y aquel gochu de mi antiguo amo desde aquel día tendría que hacer el trabajo que como un miserable esclavo yo le hacía, me levanté tarde del único xergón de fuéa (jergón de hoja) que en la casa había, que lo había industriado de unos sacos, porque todo cuanto poseíamos que era bien poco, al terminar la guerra el honrado vencedor nos lo había robado, y no contentos con esto, todavía fusilaron a mi padre, acusándole de haber robado grandes cantidades de dinero, de haber hecho esto, lo otro, y lo demás allá, y todo porque se le querían cargar cuatro caciques, como se ha hecho en todos los lugares de mi Patria buena. Noté que me dolía el rostro y que le tenía ensangrentado, no pude mirármelo al espejo. porque éste era un lujo que en mi casa no existía, así pues, me fui hasta el río que por detrás de mi casa pasaba, y me lavé como mejor pude, secándome después a las sucias y ásperas mangas de mi mono, y sin desayunar nada, porque en la casa no habla ni la más mínima consolación de comida, me dirigí a oír la misa, ya que yo de pequeñín era muy creyente y religioso. Estando yo enredando (jugando) con algunos otros guaxinus (niños) de mi aldea, en espera que tocase la última campanada para entrar en la iglesia, vi llegar la pareja de la guardia civil y un vuelco de temor revolvió mi ánimo, que casi consiguió ordenarme que saliese corriendo, huyendo pronto de aquel nuevo peligro que me acechaba. Sin embargo no lo hice, porque o no era lo suficientemente valiente, o lo necesariamente cobarde para hacer tal cosa, lo cierto es que cesé de jugar y me quedé mirando para ellos, lleno de temor, de tristeza, de pena. Preguntaron a alguien quién era yo, uno de mis vecinos me señaló, entonces los guardias me llamaron, y yo hacia ellos avancé, cabizbajo, temeroso y desamparado, igual los niños que los vecinos me miraban sin urniar (decir) palabra, muy posible muchos de ellos, tanto fascistas como rojos, vencedores o vencidos, sintiesen una profunda pena al ver aquel niño, desventurado e inocente ruina que dejó la vil venganza de la posguerra, avanzar sin protección ni cariño de nadie hacia los guardias, al fin llegué junto a ellos y me los quedé mirando, no me gustaron sus rostros, que me parecieron dos demonios, entrambos se quedaron mirando unos momentos en silencio mi rostro, en el que se podía leer la despreciable cobardía y nefastosas intenciones, que se enraizaban en el podrido sentimiento de mi amo, pude comprobar que esbozaban una tenue sonrisa, y no pude descifrar, si era que les alegraba observar el sello del martirio anclado en mi cara, o si por todo lo contrario, me dedicaban un consuelo de lastimosa consideración. Qué enano era yo físicamente en aquella lejana y para mi inolvidable, desgraciada y maestrosa mala época, si desde mi distancia también en el momento mi señora prisionera, proyectó mi mente siempre libre, como el misterioso dios que en cada mente humana vive, cuento yo que si me observé ante toda aquella gente, asustados los unos, hartos de maltratos, satisfechos los otros, por formar parte del mando, e indiferentes los restantes por no contar nada en ningún bando, digo que si me vi tan insignificante en mayor cuantía todos cuantos me rodeaban eran, ya que ninguno de ellos optó, en defender a un niño inocente y lleno de temor, que no había cometido más delito que el matar sin querer a un chivo, que era menos cabrón que todos aquellos papalbus humanos. Uno de los guardias con el mosquetón en la mano, me acarició mi corta y jamás peinada cabellera, pues nada más que tenía dos dedos de larga, mi madre me la rapaba al cero para que los abundantes piojos en ella no sembraran la descendencia de sus miserias, y a la par que esto hacía tan despreciable celador de una ley muy poco justiciera, con palabras que pretendían ser cariñosas y amables me dijo: —Ya veo por las caricias que luces en tu rostro, que con todo merecimiento y sin ninguna duda el señor Manín te ha hecho, que eres un niño rebelde, desobediente y malo, que te niegas a decir la verdad, y por lo tanto por todos estos endemoniados pecados irás al infierno, así es, que si ahora mismo no me dices quién fue el que disparó contra el chivo de tu amo, yo también tendré que castigarte. En esto estábamos el guardia y yo rodeados por los vecinos que no decían ni pío, cuando hizo acto de presencia el señor cura, que relevando a la autoridad de su palabra no así de mi persona, me aconsejó apoyando sus frases en la Divinidad de Señor, para que les contase la verdad que me liberaría de todos mis sufrimientos. Díjele al cura lo mismo que al guardia que yo estaba dormido, y que sólo me había despertado al oír al chivo berrar a la par que bajaba por entre los peñascos rodando. La ruda mano de aquel guardia, que seguramente había sido toda su vida un rústico campesino y que la guerra le había liberado de tan honrado lugar para colocarle en el más delicado de los oficios, como es el de servir con dignidad a la Justicia, cuento yo que aquella pesada mano de aquel hombre que pensaba que las personas había que tratarlas como a las bestias con las que él hubiera vivido siempre, dejó de acariciar mi cabeza y sus dedos se aferraron como si fuesen fuertes murgazas (tenazas) a una de mis uréas (orejas), y sonriéndose como si me estuviese el muy hipócrita acariciándome, a la par que me rogaba que le contase la verdad, me apretujaba con tal fuerza, que el dolor que me inyectaba me hacía ver todas las estrellas. Creo que lo que más le molestaba aquel cobarde representante de la ley, no de la Justicia, era que yo, que la vida ya me había forjado en saber llevar el sufrimiento, ni llorara, ni gritara ni menos me quejara de nada, por eso el infame seguía despiadamente con todas sus fuerzas apretándome, aun es hoy el día, que cada vez que me recuerdo de aquel momento mi oreja se pone tan rápidamente colorada, que hasta me molesta el calor que alumbra. Así en este atroz sufrimiento yo me debatía, sin que nadie de los allí reunidos por mí intercediera, dentro del horripilante dolor que me producía aquel estrapayáu d'uréas (retorcimiento, aplastamiento de orejas), cuando llegó mi madre ante la concurrencia, pues como era domingo, bajaba la pobre de aquella aldea donde toda la semana había estado trabajando, trayendo encima de la cabeza una manieguina (cesta) llena de viandas que en el caserío le habían dado a cuenta de su esfuerzo. Cuando mi madre me vio a mí, en tal escarnecimiento, tiró la manieguca al suelo, y llena de una fuerza airada que la multiplicaba, se acercó tan randa como una centella hasta mi verdugo y arrancándole el mosquetón de un fuerte tirón de entre su mano, le pegó con él tamaño golpe encima de sus costillas, que dio con él como si se tratara de un muñeco de trapo en tierra. Antes de seguir con esta cierta historia, voy hacer un inciso, para describir muy someramente cómo era mi madre en aquella época. Era joven, aun no llegaría a los cuarenta años, y a pesar de su juventud, ya había perdido la pobrecita dentro de los mayores sufrimientos que se puedan imaginar, a dos hijos que luchaban en la guerra, a su marido que fuera fusilado y a todo cuanto poseía. Mi madre como perteneciente a la más ancestral raza astur, era rubia, con el pelo del color de la miel, o de la escanda sazonada, tan abundante lo tenía, que cuando lo llevaba suelto y se acuruxaba (agachaba) le tapaba todo su cuerpo como si lo cubriera con una preciosa manta. Sus ojos eran a veces tan azules como el transparente cielo de una mañana de primavera, y en ocasiones eran tan verdes como los mismos campos de nuestra aldea. Era tan pura y recia como la misma madre naturaleza, inamovible en sus decisiones, honrada y justiciera. Era una auténtica astur procedente de la primera raza que pobló las ubérrimas montañas de mi noble tierra, y no una mistificación como somos hoy en día más del noventa por ciento de las gentes asturianas, enraizados con todos los colonizadores de nuestra tierra. Mi madre enojada era una invencible fiera, y tranquila y serena, era tan hermosa y dulce como incomparablemente lo es mi asturiana tierra. Y ya dicho con suficiente claridad como era esta excepcional mujer, vuelvo a centrarme en el desaguisado que mi madre justicieramente preparara, con una valentía y decisión tal, que dejó a todos perplejos y anonadados, pues el guardia que en posición ridícula espanzarrado moraba en el suelo, desde tal lugar miraba con ojos desorbitados a mi madre que con el mosquetón en la mano y a la par que se lo arrojaba con fuerza y mala sangre contra su pecho le decía: ¡Yes un llimiagu, lu mesmu que toes istes xentes que conxentíen, qu'dellantri de la mesma ilexia del Faedor, y'en prexencia d'isti cura escosáu de coyones ya xusticieres razones, lú mesmu que tous vuexotrus que sois una cabaná de baldreyus, que tu que yes un cachiparru, martirizares a isti nenín pequenu, ya s'ístu faedis con miou fíu qu'entavía 'l probitín non sabe dúnde come, ¿qué faeredis con les prexones mayores? (Eres un rastrero baboso, lo mismo que todas estas gentes que te consienten, que delante de la iglesia de Dios y ante la presencia de este cura que no tiene ni cojones, ni justicieras razones, lo mismo que todos vosotros, que no sois nada más que un rebaño de cobardes, que tú que no eres nada más que un parásito martirizaras a este pequeño niño. Y si esto haceís con mi hijo, que todavía el pobrecito no sabe de dónde come, ¿qué hareis con las personas mayores...?). El otro guardia que sin lugar a dudas parecía un hombre con mejores sentimientos que el gusano que me había martirizado, intentaba sujetar a mi madre propinándole palabras que le aconsejaban que no complicara más las cosas, mientras que su repugnante compañero se levantaba del suelo, y ya con el arma entre sus manos, la enarboló por encima de su cabeza en amago de dejarla caer encima de mi madre a la sazón que con una inquina maligna y cobardosa le decía: ¡Si fuese usted un hombre, ahora mismo le partía la cabeza en dos para que al final de su existencia comprendiera usted, que el deber de todo ciudadano es respetar a la ley! A lo que mi madre le respondió de la siguiente manera: —Si you fora un home, a usté había qu'allevantalu dóu tá, p'ancuandiálu debaxu tierra, que ye 'l llugar quéi cuerresponde a la xentuza baldreyante comu ye usté. Ya tocante a la ley que reprexenta, que ye tan betchá de maldáes comu usté mesmu, pásula you ya toes les prexones decentes pente les piernes ya mexamus per echa. ¡Perque isa lley que tantu cacaréa achuquinóu ya t'achuquinandu a fatáus d'iñocentes, sin respetar nin al vietchu que t'encantu la xepoltura, nin al xoven qu'entavía non golióu 'l tafu de papalbus ya rapiegus que tienen tous los comedores que la endubiechan y'esmarachen! (Si yo fuese un hombre, a usted había que levantarle del lugar donde se encuentra para enterrarle bajo tierra, que es el sitio que le corresponde a la gentuza cobarde como lo es usted. Y tocante a la ley que tanto cacarea, que está tan rica de maldades como usted mismo, la paso yo y todas las personas decentes por entre las piernas y meamos por ella). (¡Porque esa ley que usted representa, ha asesinado y está asesinando a muchos inocentes, sin respetar ni al viejo que ya se encuentra al borde de su sepultura, ni tampoco al joven que todavía no se ha olido, el característico mal hedor que emana de los comedores, indeseables y ladrones que la han hecho, así como ustedes que atropelladamente obligan a punta de pistola y látigo a que se cumpla!). Aun puedo ver en los rostros de todas aquellas gentes que nos rodeaban, desde esta asquerosa celda donde viviendo el presente que me aprisiona en esclavo de unas injustas ordenanzas, mi mente desdoblándose en dimensiones pasadas, añora con tristezas y alegrías, las primeras alumbradoras fuentes de toda mi desgracia. Sí, veo los ojos asustados de algunos de mis convecinos, que al escuchar aquellas graves y acusadoras palabras que mi madre airada, enloquecida y por toparse en su justo desquiciada, le decía a aquel guardia que tan cobardemente la amenazaba. Sí, veo como todos ellos con tristeza pensaban, que mi madre no iba a salir de aquel asunto bien librada. Pues en aquellos tiempos por menor delito, al paredón de fusilamiento llevaban a personas más recomendadas. Vi los ojos de aquel guardia ruin y rastrero, vilos cómo se llenaban de una alegría satánica, quizás en otras ocasiones ya por él vivida, cuando a tantos inocentes martirizaba o asesinaba. Vi cómo dejó de amenazar a mi madre, cómo colgó el mosquetón de su hombro, y metiendo la mano sonriendo canallescamente en su macuto, sacó unas relucientes esposas con las que se disponía a encadenar a mi madre en el lleldar (acaecer) que le decía: —La voy a llevar a usted y a su hijo detenidos hasta el cuartelillo, y allí, le enseñaremos a usted a respetar la ley y el orden, ya verá usted cómo cuando nosotros la dejemos, no se le ocurrirá jamás ofender a la ley y al régimen, ni aun en su propio pensamiento. Y en cuanto a su cachorro, que parece ser tiene su misma casta, también le enseñaremos a decir la verdad aunque tengamos que arrancarle la lengua. Fue entonces cuando uno de los dos principales caciques de la aldea, que también ye menester que cuando encarte les diga cómo eran, le dijo al guardia con palabras amenazadoras: ¡Dexe tranquíl ista muyer ya 'l sou fíu, pos güéi mesmu vou cuntaye you 'l sou xefe la clás de guardia que ta fechu. (Deje tranquila a esta mujer y a su hijo, y hoy mismo le voy a contar a su jefe la clase de guardia que está hecho, que se ha dejado desarmar por una mujer cuando cobardemente usted martirizaba a su hijo, poco puedo poder yo si no le hago catar covixu noitre ufixu (oficio), perque nisti de guardia paeme amindi que nun ten llixa (arte, valer, etc.). La fuerza y poder que tenían aquellos desalmados caciques en aquellos tiempos de desalmados vivires, achindi mesmu xuntu lus mious güétchus (allí mismo frente a mis ojos) quedaba bien claro, porque aquel guardia aviñonáu de miéu (lleno de miedo), se justificaba rastrera y servilmente pidiéndole perdón aquel hombre que no había sido en toda su vida nada más que un verdadero canalla, per ístu miou má noxá fasta cuaxí la llocura dista maneira le falóu (por esto mi madre enojada hasta casi la locura de esta manera le habló). —Lu que me faltaba per uyír, que tena que debéi cumplíus a isti baldrayu d'achuquín, que dexóu la nuexa 'ldina xemá de güerfaninus dexamparáus de la mán del Faidor ya de lus homes. (Lo que me faltaba por escuchar, que tenga yo que deberle favores a este cobarde de asesino que dejó la aldea sembrada de huérfanos desamparados de la mano de Dios y de los hombres). ¿Nun foste tóu sou banduerru de lus enfermus el que denuncióu 'l miou home paque me l'achuquinaren na cárxel d'Uviéu? (¿No has sido tu comedor, canalla de los infiernos el que ha denunciado a mi marido para que me lo asesinasen en la cárcel de Oviedo?). ¿Ya con lus fíus de Manolón el Gocheiru...? ¿Qué foi lu que fixiste conechus baldrayán? Que yeren un par de rapazus más bonus qu'el pan d'escanda qu'enxamás fixerun mal a naide, ya cundu taben per aquíndi de millicianus, ya tóu t'encovaxabes fugáu per les branes, tóus xapiemus na cabana que t'empayaretabes, ya tantu nuexóitres perque yeras veicín comu aquechus ñocentinus rapazus qu’achuquinasti deximiémuste xempre pa que nun te prendieren. Que fatiquinus forun lus probetayus rapazus, y'anxín pagarun con las sous vides les sous fatezas, pos se te viexen deñunciáu, nistes gores tabes fechu 'n meruxéiru de merucus, xustamente lu que yes, y'echus taríen vivus al lláu de lus sous pás. (¿Y qué has hecho con los hijos del Cerdero?, que eran un par de mozos más buenos que el pan de escanda, que no han hecho más mal los pobrecitos, que cuando fueron al servicio militar por la quinta; y estuvieron por estos contornos de milicianos, mientras que tu andabas por la braña huido, y sabiendo nosotros en la cabaña donde te refugiabas, no te hemos denunciado porque eras nuestro vecino, aunque tuvieras la idea política que te diera la gana, que no debe de ser ninguna, porque te parió tu madre canalla desde la entraña, pues como te estoy diciendo, tanto aquellos grandes rapazos como nosotros, te olvidábamos siempre para que nunca te cazaran. ¡Qué tontos fueron aquellos pobres y desgraciadinos muchachos, y así pagaron con sus vidas sus tontezas, pues si te hubiesen denunciado, a estas horas, tu estarías hecho una verbena de gusanos, que ni más ni menos es lo que eres, y ellos estarían vivos al lado de sus desesperantes padres!). Todos escuchaban a mi madre silenciosos y asustados, considerando algunos con tristeza, que mi madre se había vuelto turulata (loca) para atraverse a manifestar acusadoramente ante los guardias, el cura y el pueblo, lo que todas las gentes de la aldea sabían que era cierto, pero no se detuvo mi madre en el acuse que le hacía aquel villano de todas sus bellaquerías, pues al no encontrar nadie que la importunara, siguió con su palabra y con igual fuerza mortificándole de esta manera: —E nus tiempus d'endenantes, cundu lus roxus mandaben lu mesmu que vuexotrus facedis nagora, non trañia l'esquilona de l'ilexa p'axuntanus en conceyu p'uyír la misa tres el cura, perque pieschada taba la casa del Faidor, ya con lus curas lus roxus nagua querían, peru a pesar de tar tan lexus del Faidor, a naide s'achuquinóu n'aldea, ya se morrierun un par de rapazus, fói nel frenti, peru nagora que tenemus l’ilexa 'l entestate, y'un cura que coyius de la man quiér chevanus a tóus pel atayu de non sei que Dios, ya non sei que cielu, pos con tou isti telar, entremedáu de cures, ya caciques comu lu yes tóu, de confexones, mises ya xermones, achuquinasteis n'aldea 'n poucus dies, más xentes que de mala manera, enxamás de lus xamases en Asturies murrierun. Se tóu xupiés so lladrón achuquinante, lu mesmu que toes istes xentes que m'acorrelan, lu que you tenu xufriu nes comunicaciones de la muerte que se encaldaben na cárxel d'Uvieu, dúnde 'l miéu ya 'l espavoríu facien fuercia, únde 'l fríu enxenebráu la entraña te queimaba, únde les chárimes esbocáes en el glayíu xapoixaben, atristeyáus ya dollores qu'eszarapicaben, tous lus xentíus de cuantus escuchaban. Non puéu apoixar de mious videtches, lus güeyus enfervecíus de aquechus homes, qu'agoxáes allumbraben engafuráes chárimes, con les manes tembluqueántes per el miéu, acoyendu con desesperación las rexes de fierru, que non lus dexaben en postreira vez, abrazar a la sou muyer ya lus sous fíus, qu'ameruxáus de cariñu, ya betcháus de dollor, choraben ya glayaben, xiringáus per el amore que profexaben naquel home, que yera 'l pá de lus fíus, el mantín desous quereres, y’l caidonal del sou llare. Naide algamía per mor de aqueches rexes de fierru entemedades, falagar cómu postreira despedida, a la muyer nin al home, nin lus pequeninus fíus, que güerfaninus naquecha nueche diben quedaré, perque banduerrus baldreyus lu mesmu que tóu, lus deñunciaben y'acusaben de faer fatáus de couxes, que ni nel xoñéu lus probetayus dacuandu lleldaren. Tóus nun mirabamus atristeyáus per debaxu la borrina qu'acobertoriaba lus güeyus encarnispáus pe les chárimes, ya lexus de falanus tantes couxes, nel tiempu tan escosu que nus daben, esfaíamonus en playíus choramiqueirus llastimeirus e nes fanes más mortales. Enclicáus tous per un dollor que nes entrañes esquiciáu t'esgarduñaba, tabamus fatáus de xocenes muyeres que güéi toes viudes y'esgraciaínes semos, enlloquecides y'engarrinchades a les rexes que a la llibertá ya la xusticia trincotiaben. Nagua podiamus decinus, perque la pallabra afogábase na conguetcha qu’el alma esfaída pe la tristieza sacupaba, sous penares nel gargüélu, a munchus el dollor añuedábayes el celebru con tal prietura, que esmurgazábanse col xentíu perdíu nel enllabanáu xuelu. Alcuérdume comu s’agora mesmu fora, ya xamás de lus xamases tal desxusticiáu, endiañáu, baldreyóuxu ya chuquinamientu de xentes abondes d'eches tan iñocentes comu isti rapacín, que la mesma lley qu'achuquinóu a suo padre, martirizóulu a él, ante 'l cura, que mangonéa la mitá la aldea, y'isti banduerru de cacique dumeña entrambas partes, ya tous voxoutrus qu'empaparáus per el miéu, olvidósebus defender tou lo güenu per lu que lus vuesus homes llucharun ya morrierun ¡Sin alcuerdume d'aqueches canallesques comunicaciones que se lleldaben na cárxel d'Uvieu, ya non esborraránseme de les mious vidatches metantu que la vida me acompañe! (En los tiempos ya pasados, cuando los rojos mandaban lo mismo que vosotros hacéis ahora, no tañía la campana de la iglesia, para llamarnos y rejuntarnos a todos en fraternal comunidad, para escuchar la misa detrás de un cura, porque cerrada estaba la Casa de Dios, y con los curas los rojos no querían saber nada. Pero a pesar según parecía de que se encontraban muy lejos del Hacedor, a nadie asesinaron en la aldea, y si han muerto un par de jóvenes, ha sido luchando en el frente. Sin embargo ahora, que tenemos la iglesia siempre abierta y un cura que asidos de la mano, quiere llevarnos a todos por el camino más corto para alcanzar, no sé a qué dios, ni tampoco a qué cielo, pues con todos estos sucederes que ahora están pasando, entretejidos por los curas, y por caciques como lo eres tú, de confesiones, misas y sermones, habéis asesinado en la aldea en pocos días, más gentes que de mala manera, jamás de los jamases no contando estos tiempos, en todo Asturias han muerto. Si tu supieras so ladrón y asesino, lo mismo que todas estas gentes que nos rodean, lo que yo he sufrido en las famosas comunicaciones de la muerte que se hacían en la cárcel de Oviedo, donde el miedo y el pavor, hacían fuerza, donde el helado frío que el temor producía, al mismo tiempo las entrañas te quemaba, donde las lágrimas deslocadas en gritos lastimeros se posaban, haciendo tristezas y dolores tan inmensos, que despedazaban todos los sentidos de cuantos escuchaban. No puedo apear de mi cerebro los ojos enardecidos de aquellos hombres, que a cestadas alumbraban envenenadoras lágrimas, y con sus manos temblorosas por el miedo, cogían con desesperación las rejas de hierro, que les prohibían por última vez, abrazar a sus mujeres e hijos, que llenos de cariño y ricos de dolor, lloraban y gritaban desesperadamente, movidos por el amor que profesaban a aquel hombre, que era el padre de los hijos que quedarían ya para siempre desamparados, el amante esposo de sus quereres, y el fuerte guía de sus lares. Nadie alcanzaba por la causa de aquellas rejas de hierro fuertemente entretejidas, halagar como última despedida, a la mujer ni al hombre, ni a los amados y pequeños hijos, que huerfanitos aquella noche si iban a quedar, porque indeseables cobardes lo mismo que tu eres, les habían denunciado y acusado, de haber hecho muchas y malas cosas, que ni en el sueño los pobrecitos, jamás ni habían pensado. Todos nos mirábamos entristecidos, por debajo de la niebla que nublaba los ojos enrojecidos por las lágrimas, y lejos de hablar de tantas cosas en el tiempo tan corto que nos daban, nos deshacíamos en lamentos lastimosos, que nos precipitaban en los abismos más mortales. Agachados todos por un dolor que en nuestras entrañas enloquecido sin piedad las arañaba, estábamos en aquella triste ocasión, muchas jóvenes mujeres que hoy todas viudas y desgraciadas somos, enloquecidas y agarradas con desespero a aquellas rejas, que a la Libertad y a la Justicia pisoteaban. Nada podíamos decirnos, porque las palabras ahogábanse en la garganta, que el alma deshecha por la tristeza, vertía en ella sus penares. A muchos el dolor les aprisionaba el cerebro con tal fuerza, que se desvanecían privados del sentido entre las losas que poblaban el suelo. Recuerdo como si ahora mismo estuviese sucediendo, y nunca jamás, tal injusticia, endiablada cobardía, y canallesco asesinamiento de gentes, muchas de ellas tan inocentes como este pequeño, que la misma ley que asesinó a su padre, le está martirizando ahora, precisamente ante la presencia del cura, que es el dueño de la mitad de la aldea, y de este indeseable de cacique, que domina entrambas partes, y de todos vosotros que llenos y dominados por el miedo, os olvidasteis de defender todo lo bueno y hermoso, por lo que vuestros hombres lucharon y murieron). (¡Sí recuerdo aquellas canallescas comunicaciones que se hacían en la cárcel de Oviedo, y que ya nunca podrán borrarse de mis sienes, mientras que la vida me acompañe!). Recuerdo perfectamente cómo todas aquellas gentes escuchaban a mi madre entre asombrados, y compasivos, entre temerosos avergonzados y ofendidos, y quizás hubiesen escuchado muchas más injusticias que habían hecho no los caballeros y valientes soldados, que denodadamente lucharon hasta conseguir la victoria, ni tampoco las juventudes que militaban en el partido triunfador, sino las gentes maduras, caciques que habían conservado la vida en entrambos bandos, que llenas de un odio vengativo y endiablado, habían hecho ellas más muertes criminales en la paz de la posguerra que todos los leales luchadores de enemigos bandos. Digo yo que mi madre con su cordura de mente les hubiese seguido acusando, si el cura, muy oportuno y diplomático, como son todos los religiosos de carrera larga, no se ausentara sin decir palabra, y ordenara al sacristán que tocase la última campanada, para entrar a la iglesia con el fin de escuchar la misa. Y ahora diré, que mal dicho está que yo diga que el sacristán tocase la campana, porque no había tal campana, ni en la iglesia de mi aldea ni en ninguna otra en todo el valle, ya que los rojos, se las habían llevado todas, no sé con qué fin ni propósito, como tampoco puedo comprender porque quemaban los santos que jamás les harían ningún daño, y dejaban con vida a indeseables como los caciques asesinos de mi aldea. Lo cierto es, que como campana de la vieja iglesia de mi aldea, había un trozo de raíl colgado del pórtico con una alambre, donde aporreaba el sacristán, con un martillo medio deshecho de los de cabruñar la guadaña. Nada más que el toque comenzó hacerse sentir, fueron las gentes desfilando tras la llamada de la postrera campanada, sin que nadie se osara replicarle a mi madre ni tan sola una palabra, bien fuese de desagrado o de conformidad con cuanto había enardecidamente manifestado. Todos se adentraron en la casa del Señor donde yo creo, que si el Nazareno pudiese apoixase (apearse) de la Cruz, no dudo que a todos ellos una tocata de barganazus les esfargayara. (Paliza de palos que en ellos prodigara). Dejó mi madre de reñir a voz en grito, pero siguió haciéndolo muy quedadamente, a la par que con gran remango recogía su cesta, que colocándola esta vez debajo el brazo, nos encaminamos para nuestro lar, mientras que aquellas gentes, culpables unas e inocentes las otras, le rogaban a Dios, los unos por sus pecados monstruosos ya cometidos, que en El no habían pensado cuando los ordenaban, los otros, quizás le pidieran paz y prosperidad para ellos, sus cosechas y ganados, pero Dios no escucharía ni menos ayudaría, ni al pecador tal vez arrepentido, ni al inocente libre de pecado, y lo sé por propia experiencia, porque yo, tantas veces le he llamado, suplicado y rogado, siempre a cuestas con el temor, la miseria y el desprecio que el mundo en mi había sembrado, y jamás El se dignó ni tan siquiera escucharme, porque si me hubiese escuchado, y no remediara con prontitud ni nefastoso sufrimiento, yo diría ya sin el menor equívoco, que el Dios que todos tememos y adoramos, no es nada más que un diablo. Y esto sin lugar a dudas es así, porque Nuestro Señor está harto de nosotros hasta la misma coronilla, y por eso pensó ya en inmemoriales tiempos, que o liquidarnos a todos, y olvidarse sin pena y con prontitud del mal invento que había industriado, o dejarnos vivir a nuestro aire, sin preocuparse ya para nada de nuestros haceres, hasta que la muerte nos lleve a su presencia. Caminaba yo detrás de mi madre, sujetándome con la mano mi dolorosa y sangrante oreja, que más doloroso sufrimiento me había reportado, cuando aquel imbécil y canalla de guardia me la había retorcido, que si me hubiesen molido todo mi cuerpo a palos. Llegamos a la postre a nuestra humilde casa, y siempre sin parar de reñir mi madre, de maldecir y de amenazar, estongóu 'l llar (limpió la cocina) de añejas cenizas, y con la rapidez con que ella solía hacer las cosas, tizóu ‘l fuéu (prendió el fuego) y después, puso un cazo lleno de agua con sal y unas hierbas (que ahora no sé cómo se llaman, pero que son muy buenas para las heridas) a hervir, y mientras que hervía, s'encaldóu nel trabayu de pulgar patacas (se hizo en el trabajo de mondar patatas), de las que había traído de la aldea de donde venía. Cuando el agua estuvo en su punto, que fue en el momento que ella terminara de aliñar las patatas ya listas para ser fritas, se dispuso mi madre a curarme, y al tenor que lo estaba haciendo, y viendo yo en su rostro retratado el cariñoso sufrimiento que por mí sentía, ella como siempre intentando disimular toda emoción, me preguntó dando muestras de un enfado cariñoso, ¿que qué era lo que había sucedido, o en qué líos me había yo alojado, para que los guardias me hubiesen puesto el rostro como un Ecce Homo? —Díjele a mi madre que el guardia no me había hecho nada más que estrapayáu l'uréa (deshecho la oreja), y que las otras heridas me las proporcionara el amo Manín, por las causas del condenado cabrón que ustedes ya saben. —Vi cómo las recias manos de mi madre temblaban al tenor que a mis heridas con aquella agua milagrosa me lavaba, sentí cómo su voz enardecida juraba y perjuraba contra aquel Manín de los infiernos, al cual ella decía, le iba a colgar la foiz (hoz) del pescuezo. Dio por terminada mi cura y en instantes me preparó la comida, que consistía en un buen cazo de patatas fritas con grasa de tocino, un gran cantezu (pedazo) de pan de escanda, y un escudiecháu de lleiche con borona (taza de leche con pan de maíz), y ya fartuquín fasta ‘l rutiar (harto hasta el eructo), preguntele que si podía ir a dar una vuelta por la aldea, a lo que ella me respondió afirmativamente, recordándome con amenazas, el que non m'engarricra con lus oitres rapacinus. (Que no me pelease con los otros niños). Cuando me dirigía al lugar donde todos los chicos por costumbre teníamos de reunirnos para enredar (jugar), en una de las callejas de mi aldea, me topé con Pelayu, que seguramente habría abandonado a su amo en el monte, por el extraño de no verme a mi como sucedía siempre. ¿Porque qué animal o persona con sentimientos nobles y cariñosos, podría vivir en la soledad del monte en la compañía de una repugnante bestia, como lo era Manín nuestro amo...? Viome primero Pelayu que yo a él le avistara, y casi estoy por asegurar, que me había olfateado antes de que yo desembocara en la calleja, donde él buscándose la vida por todos los rincones husmeaba. Porque yo jamás había visto a Manín, darle al pobre de Pelayu de comer nada, ya que Manín solía decir dándoselas siempre de razonero eficiente, que el perro no se le podía dar la esllaba óu llabaza de fregar lus cacíus (las aguas sucias residuos de lavar los cacharros de la cocina) porque estaban los bracus na cobil urniándu per llapalas (cerdos en el cubil gruñendo por tomarlas), que al perro lo único que se le podía dar, era aquello que no tuviese aprovechamiento para nada, como les llixes de les vaques cundu betchaban, de las uvées ya les cabras, óu cuallesquier oitra molicie que paque nún fediera menester yera encuandiála (como las libraduras de las vacas, de las ovejas y las cabras cuando parían, o cualquier otra porquería que para que no oliese mal, fuera necesario enterrarla). Vino Pelayu hacia mí envuelta su alma perruna por una gozasa alegría, pero me di cuenta con pena profunda, que no hacía tal acercamiento dentro del desenfado y gracial camaradería que en todas las ocasiones él conmigo usara, pues por primera vez mi buen Pelayu, para acercarse a mí, rastreramente se arrastraba, no era por el miedo de que yo le apaleara, ya que jamás ni de palabra le había ofendido, era sin duda porque se sentía muy avergonzado de haberme abandonado la pasada noche, cuando tan triste y solo me encontraba, y quizás más le necesitara. ¡Pobre Pelayu! ¡Qué alma más humana tenía, y a cuántos humanos, el alma de los rabiosos perros les dirigía! Me agabuxé (agaché) a su lado, envuelto yo por una sana, jovial, y angelical alegría, le besé su rostro varias veces entusiasmado, y acaricié con gozo su fino y sedoso cuerpo, y olvidándonos entrambos él de su cobardía y yo del rencor que pudiera por su gesto guardarle, nos fusionamos en un abrazo risueño y cariñoso, donde él dando pequeños ladridos por los que manifestaba su alegría y pena, me lamía una y mil veces las heridas que adornaban mis mexietchas (mejillas), y quizás se estuviese jurando, que aunque le costase la vida, nunca de mi lado se alejaría. Toda aquella tarde, estuve jugando al «llanque» y a la «palombietcha» con el único amigo de verdad que en la aldea tenía que se llamaba Muel. Pobre amigo mío, murió cuando apenas tenía veintiocho años, reventado por el más duro y esclavizante trabajo, que desde su niñez y en mi compañía, fustigados por el hambre y la necesidad, entrambos y dos a las severas órdenes de su padre, como serradores en casi todos los montes de mi Asturias, habíamos llevado a cabo, al final, su cuerpo ya deshecho, explotado y gastado, fue consumiéndose en la triste soledad del sanatorio del Naranco, donde murió devorado por una tisis galopante. Tenía Muel dos o tres años más que yo, y sin embargo éramos los dos de la misma estatura, y empezamos a serrar madera manualmente los dos en el mismo día, teniendo yo en la sazón, tan sólo trece años, fue nuestro maestro su propio padre, y nos trataba como nadie se puede imaginar, ya que no había día, que no nos untara ‘l focicu (nos azotaba) por lo menos un par de veces. No es que aquel hombre y excepcional trabajador fuese malo, no nada de eso, es que el pobre precisaba por fuerza mayor, para poder desarrollar el duro trabajo del serrador, que nosotros hiciésemos el trabajo de hombres y no éramos nada más que dos niños. Digo yo que aquella tarde, le conté a mi amigo Muel, como había encontrado en la montaña la cueva de las armas, y así hablando de nuestros proyectos, acordamos que al día siguiente subiríamos hasta ella, para jugar hasta cansarnos con aquellos juguetes de verdad. Así es que a la oscurecida retornamos cada uno para su casa, saboreando por adelantado lo felices que al día siguiente habíamos de ser. Caminaba en pos de mí, tan contento y satisfecho como siempre mi buen Pelayu, sin preocuparse para nada de que él, era un esclavo de Manín, y no un ser libre que pudiese hacer lo que más le conviniese, pero al llegar a la esplanada donde asentada estaba la bolera, lugar clave donde se reunían todos los vecinos de la aldea, después que concluían sus trabajos, bien fuese para charlas y cambiar impresiones, o para jugar unas partidas a los bolos, como cuento, allí estaba Manín, en diálogo con unos vecinos, ya de retirada para su casa después de haber encerrado las cabras, cuando vio a su desleal Pelayu, que muy contento y moviendo con gran felicidad su rabo, me acompañaba a mí, como si yo fuese en vez de él su amo, dejó a su contertulio con la palabra en la boca, y cambiando su pacífica charla por la riña loca, embistiome a mi con ofensiva y pecaminosa palabra, al mismo tiempo que con la vara que portaba en su mano, descargó sobre el confiado Pelayu tal varazo, que a quedarse el pobre tan sólo un segundo condoliéndose del acuciante dolor que en su cuerpo se anidaba, seguramente que hubiese llevado sobrada ración de varazos, que fácil la dejarían sin vida in situ. Pero no hizo tal cosa mi buen Pelayu, sino que salió huyendo como alma que se lleva el diablo, lanzando en el aire ladridos, que yo creo que no eran por el profundo sufrir que le proporcionara el castigo, sino que en su lenguaje, seguramente maldeciría aquella bestia con figura humana, que era capaz de azotar despiadadamente a un inocente niño, o de asesinarle a él mismo, que no se encontraba con más culpa, que de despreciar a su amo, por canalla y miserable. Y lo propio que Pelayu hizo, no lo dejé yo para más pensado, y a la vez que me perdía en la carrera, huyendo de aquel reptil repugnante y asqueroso, recuerdo que con rabia enloquecida yo le dije: ¡Fíu de put, baldreyu, llimiagu! (Hijo de puta, cobarde, rastrero, baboso..., etc., etc.). Pero miren ustedes por donde, estaba mi madre allí cerca en casa de una vecina hablando de sus cosas tranquilamente, cuando al sentir al Manín que me ofendía, al perro ladrar por la caricia que había recibido, y a mi insultándole poniéndole como un pingayu (de lo peor), salió mi madre de casa de su vecina, con todos sus muchos ánimos aviesporáus (envenenados, aguijoniantes), y cogiendo un palo que allí a mano había, bien seco y sudado, porque hiciera su servicio sirviéndole de mango a una fexoria (azada), se dirigió con extrema rapidez y silenciosamente al lugar donde Manín estaba, y sin decirle ni una sola palabra, empezó a darle palos con aquel formidable mango, que la suerte a Manín le cupió de que nuestros vecinos la detuvieran, porque sino, creo que le hubiese matado. «LA MULTA O EL REFORMATORIO» Al día siguiente, mi amigo Muel, yo y Pelayu, subíamos alegremente hacia la montaña, con locas ansias de llegar pronto a la cueva, con el infantil y firme deseo, de jugar hasta saciarnos con aquellas armas, recuerdo a mi querido amigo, futuro candidato al igual que yo, a la penosa esclavitud que como serradores nos aguardaba, la veo con su sana sonrisa, pintada en sus pequeños y vivarachos ojillos azules, acariciar una y otra vez, con una alegría inmensa aquellas armas, no existía para nosotros en el mundo, en aquellos felices momentos, nada que pudiésemos apreciar tanto, como aquellos mortíferos juguetes, de los que en la sazón, éramos los únicos señores y dueños, nos hallábamos fuera de la cueva, enredando cada uno con su escopeta, y una canana repleta de cartuchos colgada del hombro a la bandolera, Pelayu, desentendiéndose de nosotros mitigaba su hambre cazando grillos y mariposas, o cualquier otro insecto que plugiérale y fuérale rentable para entretener su enflaquecido estómago. Después de cansarnos de hacer la instrucción marcando el paso con la escopeta al hombro, emulando a los soldados cuando hacían prácticas en nuestra aldea, yo le dije a mi amigo señalándole el lugar, que desde aquel mismo sitio, yo había tumbado de dos certeros disparos al cabrón de mi amo. Muel, sacando dos cartuchos de la canana y metiéndolos dentro de la recámara de su escopeta, me dijo que él también pudiera haberlo hecho, y para asegurármelo de que no marraría el tiro, me señaló una piedra rojiza que había muy cerca de donde muriera el chivo, y a la par que se ponía la escopeta en el hombro para materializar lo que había asegurado, me decía ilusionado: —¡Fíxate Xulín!, ya veras cómu la desfaigu nun fatáu de cachiquinus—. (—¡Fíjate Julín!, ya verás como la deshago en mil pedazos—). El doble disparo retumbó dentro del natural silencio de la montaña, como si se tratase de un ruidoso trueno de las tormentas de los veranos, las águilas y los cuervos, así como todos los pájaros y animales que moraban por aquellos aledaños, moviéronse de sus lugares, graznando las aves al levantar el vuelo, y quizás las alimañas agudizasen al oído para saber el peligro que pudiese traerles aquel espanto. Hasta Pelayu dejó su caza insectívora para ladrar desaforado, como si presintiera que otro cabrón había sido abatido, que le haría de nuevo volver a hartarse, o tal vez nos estuviese reprimiendo, queriendo con su lenguaje decirnos, que aquella xuxeante folixa (crecido ruido, alegría, juerga, etc., etc.) que tan amanicomiadamente entamábamos (enloquecido ruido que hacíamos) no iba a reportarnos buenos resultados. Lo cierto fue que mi querido amigo Muel, no atinó a deshacer aquella rojiza piedra contra la que había disparado, y yo alegrándome por su fracaso, cargué con rapidez mi escopeta, me la puse en el hombro, y disparé contra aquel blanco otros dos disparos, tampoco pude yo hacer puntería, y él mofándose de mí, cargó de nuevo su escopeta con notoria alegría, a la vez que me aseguraba que de aquella no fallaría, volvía a disparar sin importarle para nada el tremendo culatazo que nos solían dar aquellos guerreros artefactos. Y así, una y otra vez, atenazados por un gozo y felicidad que nunca con tanta fuerza a nuestros juveniles espíritus había con entera libertad creado, disparábamos con alegría ilusionada contra aquel aproxetáu cuctu (enrojecida piedra), creyéndonos guerreros invencibles, o cazadores afamados. Muy posible yo me creyera un jefe poderoso, justiciero y honrado, que cada disparo que hacía, l'eszarapaba les vidatches d'uno de lus baldreyus homes, que habíen achuquináu ‘l miou padre. (Le deshacía las sienes de algunos de los cobardes hombres que habían asesinado a mi padre). Lo cierto fue, que tras de quemar veintitantos cartuchos cada uno, la piedra seguía en su sitio, y nosotros un poco desilusionados, hicimos un pequeño descanso, en el que acordamos cambiar de blanco. Disponíamos de nuevo hacer más atinadas prácticas sobre el rugoso y fuerte tronco de una encina, cuando Pelayu salió de junto nosotros y con apremiante prisa ladrando, contra un intruso que nos visitaba, guiado al parecer por el atronador ruido, que con nuestros alegrativos disparos formábamos. Era nuestro mal recibido visitador un rapazacu (mozalbete) que andaba por aquellos montes a la caza de la perdiz, que había endemasía nutridos bandos, que bajaban a veces hasta los sembrados d'arbeyinus y'oitres semáus (de guisante y otros sembrados) más alejados de la aldea, y ni el gran espantapáxaru tenía llixa de xebrayus (espantapájaros tenía fuerza para espantarlos). Jerónimo se llamaba aquel jovenzuelo indeseable, que había heredado de su padre toda la cobardía y males tales, que muchas gentes de mis lugares, le estarían rabiosa y odiativa, despreciable y asquerosamente maldiciendo, hasta que el Hacedor les llevara de este mundo tan poco lleno de humanidades. Era hijo de este sujeto tan maldecido, cacique de mi aldea con vuelos tales, que no del todo satisfecho con enviar para el otro barrio algunos de sus inocentes convecinos, en el acaecer se dedicaba, a que a sus vecinos la ley, que había, muy moldeable para dar por buenas todas las denuncias avaladas por caciques facciosos como él, se ensañara con crecidas multas, que al no tener dinero la gente aldeana para satisfacerlas, tenían que vender parte de sus ganados, y sabedores los tratantes por ser lobos de la misma camada aunque con diferente collor (color), que los campesinos tenían que vender sus reses con abonda priexa (mucha prisa) para satisfacer aquellas multas antes que se enrodietcharen (enredaran) peores males, pues como cuento, aquellas aves de rapiña de tratantes, se unían todos de tal manera, que lograban desbaratar los mercados hasta tal punto, que más que comprar, lo que hacían, era robar dentro de la ley a los aflijidos y siempre maltratados campesinos. Al quedarse los desdichados aldeanos sin sus ganados, por la causa de aquellas multas, que la verdad era nadie sabía que era lo que castigaban, aquellas asesinantes multas que la ley les inxertaba (injertaba), que les hacía dentro del acuciante temor que en aquel lleldar (ácaecer) era aterrante, deshacerse de sus ganados para pagar tan diabólicas y desnaturalizantes sanciones. Y como los campesinos, por lo menos en todas las embrujadoras aldeas de mi melgueira tierrina (dulce tierra), y me supongo que tal sucederá en todas las aldeyuelas del mundo, sin ganados de tiro no pueden trabajar sus erus (tierras), tenían que por fuerza mayor, agenciárselo aunque fuese dentro de las más viles condiciones, y así, el canalla de cacique de mi aldea, daba vacas, yegüas, cabras, y ovejas a la comuña (condición) que tan sólo el agobio de la desesperante necesidad hacíales aceptar, con lo que se condenaban a ser esclavos de un ganado que no era de ellos, siendo en la mayor parte de las ocasiones las ganancias completamente nulas, pues si una res se moría, se despeñaba, la mataban los lobos o la devoraba el oso, no la perdía el dueño, sino el comuñero, y así, de esta miserable forma, este canalla de cacique, explotaba vilmente a muchos campesinos que por imperativa necesidad, eran comuñeros de este indeseable asesino, que no había hecho la guerra en las trincheras, porque su cobardía era tan grande, que le había obligado a pasar toda la contienda escondido en los montes, y ahora que la guerra ya terminara, era cuando él verdaderamente la hacía, en la entristecida y enlutada paz que poseían las gentes de mis aldeas. ¿Cuántos despreciables seres como este nefasto individuo había en mi Patria... ? ¡¡Yo creo que honradamente debemos todos de reconocer, que había un par de ellos en cada aldea, y en las villas y ciudades me supongo que morarían muchos más!! Cuento que llegó el Jerónimo con su escopeta al hombro acompañado de su perro perdiguero ante la nuestra presencia, y ufanándose altaneramente quizás pensando que nos iba a hacer, lo que le diera la gana, nos dijo con apariencia muy enojada, al mismo tiempo que nos ofendía con sus palabras: ¡Haber decirme pronto, ¿dónde habéis robado estas escopetas?, si no queréis que vos falague ‘l llombu con ista bardiaca! (que nos moliera a palos todo el cuerpo con una vara que portába en sus manos). No despegó sus labios en el momento mi amigo Muel, porque el padre de aquel llabasquín (cerdo pequeño) era el dueño de los ganados de su casa, y por aquello de que el amo siempre, sin la razón con la ganancia anda, no le refutó pequeña palabra. Pero yo que ya me había creído que aquel babayu de guaxón (farolero, fantasma de mozalbete) se iba apoderar de mis armas, las que yo creía que eran de mi entera propiedad, le dije sin miedo y desafiantemente, que aquellas escopetas eran mías, y que ni él ni nadie sería capaz de quitármelas. Entonces Jerónimo mirándome acusadoramente me replicó seguidamente con estas palabras que me condenaban: ¡Entonces... tu fuiste el que mató antes de ayer al chivo de Manín? ¡Si yo fui!, le dije envalentonado y poseído de una airada rabia, a la vez que le encañonaba con la escopeta y amenazándole firmemente le aconsejaba: ¡Fáinus el favore de dexanus nel nuexu antroxu, ya colar pel mesmu xeitu per únde sen chamate 'llegasti, se nun quiés que faiga nel tou ventrón, el mesmu buracu quei fexe nus fégadus del cabrón de Manín! (¡Haznos el favor de dejarnos con nuestra alegría, y márchate por el mismo sitio, por donde sin llamarte has llegado, si no quieres que haga en tu barriga, un orificio parecido, al que le hice en los hígados del cabrón de Manín!). —Y fue entonces cuando Muel valientemente apoyándome con su amenazante escopeta y con sus advertientes palabras le dijo: ¡Mira Jerónimo, no tiene nada que ver que mi padre se arrastre frente a vosotros, por el miedo de que le quitéis el ganado, pero yo ahora no soy mi padre, y si no sales en el momento corriendo como una exhalación (centella, rápido), me parece a mí, que te vamos a coser a perdigonazos! Justificándose Jerónimo con el atropello que en el miedo se cosecha, dio media vuelta y casi a las carreras, tomó las de villadiego, a la par que se alejaba murmurando no se qué amenazas. Su perro, quedose unos instantes olisqueándose con Pelayu, al que yo achuché (azuzé), y Pelayu que para engarradiercharse (pelearse) era una ardorosa fiera, saltó como un león, atacando con un furor endemoniado al fino can perdigonero, y si no es por Muel, me parece que allí en el mismo lugar que había muerto el chivo, Pelayu hubiera despachado, aquel hermoso, cariñoso e inocente perro. Quedámonos muy satisfechos y gozosos, a la par que en nuestros espíritus, navegaba el orgullo perfumándose con la vanidad Humana, y todo, por haber acoyanáu ya féchule moscar ameruxáu de miéu (acojonado y haberle hecho huir, lleno de miedo) al hijo de uno de los amos de la aldea, que en un principio se había creído, que le sería sencillo hacer con nosotros cuanto le viniese en gana. Durante algún tiempo, estuvimos llindiándu (vigilando, cuidando) a Jerónimo por ver el camino que se tomaba, pues teníamos el temor que se ocultara para después sorprendernos, pero no fue así, y al final muy contentos ya le vimos corriendo que se las pelaba en compañía de su perro, desembocando en el pedregoso camino que le conducía a la aldea. Sabiéndonos libres del temor del adefesio de Jerónimo, y olvidándonos en el mismo instante de cuanto con él nos había acontecido, volvimos a nuestro peligroso juego, de disparar las escopetas contra diferentes blancos, y así, hablando de nuestras cosas con satisfacción que nos embargaba dentro de una felicidad pasajera, deslizábase el tiempo sin enterarnos, hasta que a la postre, dimos fin a todos los cartuchos que teníamos, y fue entonces, cuando decidimos esconder las armas en la cueva, y con los hombros doloridos por las sacudidas que nos propinaban las escopetas por los disparos, disponíamosnos muy contentos en el regreso para nuestras casas, y para simular que veníamos de la leña, agenciámosnos unos tochacus de pochiscus (leños de encina) y poniéndonoslos al hombro, bajamos corriendo por entre los vericuetos y las serpenteantes sendas, hasta llegar al camino real que nos conduciría a la aldea. El ubérrimo valle de alegría alborazada, que poblaba por entero nuestros espíritus, viose en unos segundos nublado y con rapidez cubierto, por un zozobrante y temeroso manto, nacido del retrato que nuestros ojos hicieran, cuando a la entrada de la aldea, justamente en el mismo lugar donde por costumbre, mi amo solía esperarme para xebrar (apartar) sus cabras, estaban aguardándonos los guardias, en la alegre compañía de Jerónimo, que poseyendo las mismas indeseables zunas (costumbres) que su padre, no había perdido ningún tiempo en ir hasta el cuartelillo para delatarnos. Yo tentado estuve cuando me percaté que eran los mismos guardias que el día anterior me habían cobardosamente martirizado, de tirar los garbetus (leños) que llevaba en el hombro, y salir corriendo para huir de aquel verdugo que sonriéndose ladinamente, quizás estuviese pensando su enrevesada y nefastosamente, el volver a esforgayame (arrancarme, estriparme, deshacerme) la única oreja que me quedaba sana. Sin embargo, logré dominar el miedo, y dejando a Muel que abriera la marcha, llegamos a la postre ante la presencia de ellos, y aquel canalla de guardia, no se dirigió a Muel a pesar que unos metros delante de mí iba, sino que vino sonriendo malignamente hacia mí, con las mismas asesinas intenciones que el hambriento lobo lleva, cuando para satisfacer sus ansias del espíritu y la carne, sin el menor miedo se lanza, sobre el inocente corderillo que no tiene a nadie que le defienda. Antes de dirigirme la palabra, aquel demonio con tricornio, que a fe mía desprestigiaban, porque hermosa para el pueblo es la esclava de la Justicia, cuando todas sus obligaciones y credos justamente da cumplidas. Digo yo, que lo primero que hizo fue cogerme mi oreja sana, apretarme un poco para ponerme en atención, y luego mirándome altanera y sonrientemente me dijo: ¡Ahora ya no me negarás de que no has sido tu quien disparó sobre el cabrón de tu amo, y me supongo que también me dirás, dónde has conseguido las armas, maldito pilluelo, hijo de una bruja y de un rojo republicano, o comunista sin entrañas! Tiré los tochucus (leños secos) al suelo apremiado por el dolor que de rabia me desencaldaba (deshacía), con tan mala fortuna que por mí no había sido pensada, que diéronle en las piernas de aquella fiera uniformada, y gran dolor en él tuvo que lleldarse (hacerse), porque dejó de esfarugarme (deshacerme la oreja), para acariciar con gestos de dolor la caña de una de sus piernas, al mismo tiempo que yo hacía lo propio con mi oreja, que ya colorada como una guinda, me resquemaba como si estuviese ardiendo. Mirome con ojos extraviados por la rabia que le enloquecía, y siendo mayor la fuerza de su cobardosa entraña ya en poder de las iras que lo movilizaban, que el dolor que su cuerpo sentía, soltome de revés dos guantazos, que dieron conmigo en tierra, con el rostro manando abundante sangre. Fácil siguiese abofeteándome, pues ya estaba enclicándose (agachándose) para hacer conmigo vayan ustedes saber qué, cuando intercedió su compañero que asiéndole por un hombro, con desprecio y enfado le dijo: ¡Lo que terminas de hacer con este pequeño es una canallada, y como otra vez intentes tocarle del pelo la ropa, te las vas a entender conmigo! ¡¡Estoy harto de tus abusos, y de tus odios y desprecios por todas las gentes desgraciadas!! Ayudome aquel buen guardia a levantarme, y después con su propio pañuelo limpiábame el rostro de sangre, y al parojo que esto hacía cariñosamente me decía: ¡Te juro que nadie te volverá a martirizar más pequeño, y ahora si tu quieres, y que conste que ni te ordeno ni te obligo a contarnos nada, dinos de una vez dónde están esas malditas armas que tanto doloroso daño te han originado! Dime cuenta pronto que de seguir negando no sacaría en limpio nada, ya que el baldroyán (cobarde) de Jerónimo había descubierto ya todo, y a poco listos que fuesen, nada más que les conduciese al lugar donde nos había sorprendido, darían pronto con la cueva, donde se ocultaban las armas. Así que acompañado de Muel y de Pelayu, y seguido de cerca por los dos guardias y el delator de Jerónimo, guielos a paso rápido por entre las vegetativas y pedregosas sendas que serpenteaban por casi inaccesibles lugares, pronto me alegré al comprobar cómo aquel despreciable guardia que tan sañudamente me había martirizado, abarquinaba (respiraba) con penoso trabajo, al mismo tiempo que se deshacía en copiosos sudores el condenado, lo mismo que la manteca fresca expuesta al sol en el verano. Al observar el penoso esfuerzo que aquel guardia repugnante y gordo, imbécil y malvado, tenía que realizar para seguirnos, apreté más aun el paso, que casi se convirtió en carrera y que sólo Muel y Pelayu pudieron aguantarme alejándanos en cuestión de segundos un largo trecho de nuestros enemigos, que en el lleldar (acontecer), ya se habían detenido para hacer acopio de energías unos momentos. Aproximadamente aun no habíamos caminado ni una décima parte del trayecto que nos separaba de la cueva, y ya el llimiagu (baboso) de aquel guardia, se encontraba casi d'afechu despaxaretáu (deshecho), seguramente que antes de llegar al final, en la mente de aquel fucheiru (estercolero) humano, se dibujaría el ruin pensamiento, de maldecir a la ley que como enyordiáu pioyu (sucio piojo) servía, al cachiparru (parásito) que me había delatado, y a mí, por no haber seguido negando. Muel y yo con satisfacción nos reíamos de aquellas gentes, que en nuestras infantiles y sin cultivar mentes, habíamos retratado como personas que tenían menos llixa (fuerza, arte, valer, etc.) que un mure entre las zarpas de un gato. Estaríamos como a la mitad de la andadura, cuando la distancia que nos separaba ya era enorme, y a pesar que de continuo nos ordenaban que no corriésemos tanto y que procuráramos ir siempre a su lado, la verdad es, que ya les habíamos perdido todo miedo y que no les hacíamos el menor caso. Fue entonces cuando se me ocurrió la idea de decirle a mi amigo Muel, que cuando llegásemos al potchisquéiru (encinal), yo me adelantaría corriendo con todas mis fuerzas, para volver aquel mismo lugar antes que ellos lo hicieran, pero después de haber ya ido a la cueva, para poder esconder para nosotros, dos pistolinas muy atongadetas (bonitas, curiosas), que era una pena que se llevaran los guardias, y que nosotros podíamos esconder en cualquier lado. Y así lo hice, y logré regresar, mucho antes de que ellos, llegaran escadriláus (derrengados), claro que descontando a Jerónimo, porque éste andaba tanto como con la lengua si quisiera andarlo. El caso fue que los guardias aquel día se llevaron las armas, y a los cinco o seis días, regresaron a la aldea preguntando por mi madre y el padre de Muel, para llevarles hasta el cuartelillo, con el fin de no sé qué preguntarles o darles. Cuando mi madre en compañía del padre de Muel regresaron del cuartel, estábamos nosotros xugaretiándu (jugando) debajo del ñoceón (nogal grande) que había a la entrada de la aldea, que tanto como tenía de frondoso y grande, eran de pequeñas, escasas e insípidas sus nueces. De donde viene un adagio asturiano que dice: ¡Mucher grandie ande óu non ande, peru tantu s'espatuxa, comu senún lu fixera, en dalgún lláu fae bona atongadura! (Mujer grande, ande, o no ande, pero tanto si camina, como si no lo hace, por grande en todos los lugares estorba). «Claro que se me olvidó decir, que menos en el catre, para añuedar el cibietchu cundu nun hay oitra, pequenina, atongaina ya melgucira». (Para hacer el amor, cuando no hay otra, pequeñita, bien hecha, y tan dulce como lo que debe ser vivir en la gloria). Digo yo que al ver nuestros padres corrimos hacia ellos, y cuando ante su presencia nos encontramos, casi sin darme cuenta vi a mi amigo rodar por el suelo, por la fuerza vigorosa del tremendo castañazo que su padre le llantó nuna mexietcha (le plantó en una mejilla), pero antes de que yo me percatara del peligro que sobre mí se cernía, vime acochetáu (cojido, sacudido) por mi madre, que me allumbróu (alumbró) un mamplenáu (muchos) pescozones, tan seguidos y atinados, que me parecía que todos me llegaban en ringlera, no teniendo que esperar uno por el otro, para que no se enfadasen ninguno. Y allí mismo por este procedimiento que nuestros progenitores nos hacían, comprendimos que nada bueno los guardias a nuestros padres les habían hecho. Y claro que no era nada respetable ni justo, sino un atropello despiadado, inhumano, mezquino, repugnante y apartado de la Justicia a tanta distancia, como la que existe desde la Tierra hasta el Infinito Cielo. Resulta que la canallesca ley que en aquella para mí inolvidable época existía, nos había condenado a ir a un reformatorio, o a que pagasen nuestros padres una multa de ciento cincuenta pesetas en papel del Estado, en el término de treinta días. Y fue entonces cuando yo empecé a preguntarme, ¿que qué era lo que tenían que reformar en mi...? ¿Acaso entraba en la reforma que aquella ley que estaba por todos los rincones de la Patria haciendo encima de los vencidos y sus descendientes, asesinar a nuestros padres, hermanos, parientes y hasta madres, privarnos de nuestra libertad, y robarnos cuánto teníamos? —¿Aquella ley digo, todavía tenía que reformar algo más en mí, que en un principio ya no hubiese inhumana y endemoniadamente reformado? Yo que era en aquel lleldar un pobre niño de poco más de ocho años, condenado precisamente por la misma ley, a no tener jamás ya el amoroso cariño de mi padre, yo que había sido condenado como todos los jóvenes hijos de los vencidos y encarcelados y asesinados padres, yo que estaba lleno de hambre, de miseria, de sufrimiento y de una soledad inconsolable, yo que si quería comer un trozo de pan duro, tenía que caminar descalzo y medio desnudo, por entre las zarzas y guijarros de las montañas, esclavizando mi cuerpo y mis sentidos, en el cuidado de unos ganados que no eran míos, a mí, a un ser así de natural, puro, desamparado y desgraciado, ¿aún quería aquella entroyada (sucia) ley reformarme por considerarme malo? —Yo nunca he sido político, pienso ahora, ni tampoco con mis palabras harto vulgares y aldeanescas, pretendo fomentar el odio hacia nadie, soy ante todo un liberal disciplinado, que ama a mi Patria, por la que estoy en cualquier momento dispuesto a morir, pero me creo con el suficiente derecho de contar al mundo de cuanto yo he sufrido, que es el retrato de tantos otros huérfanos de guerra que lo mismo que yo tanto sufrieron, aunque más en duda, pongo que lo hubieran hecho, quiero contar todo lo que considero que siendo verdad, no debe ser olvidado, y desearía con toda mi alma, que mis palabras tuviesen repílos (ecos) más clarividentes, que los que en su origen se formaron, para que llegasen a todos los oídos, y en sus mentes gigantesca Humanidad digna y justa edificasen, que diera paso a una libertad liberal y disciplinada, que atrancase (cerrase, peslase) sus puertas a todo cuanto no fuese digno y honrado, de esta sencilla y natural manera, la fraternidad sería por primera vez, el tesoro más puro, luminoso y deseado, que la Humanidad en toda su existencia hubiese conquistado. En este relato, que para muchos críticos comedores, que sólo saben fartase comu gochus (comer como cerdos) e intentar con sus medios deshacer lo que alguien con más capacidad creativa que ellos, más bien o peor ha edificado, digo yo, que muchos críticos fanáticos defensores de normas idealísticas, que con sus leyes en la ocasión asquerosamente convencionales, que lograron deshacer el destino que a mi vida creo que le pertenecía, al igual que a toda la generación de los hijos de los perdedores, no les agradara en absoluto, que un hombre que fue despojado de cuanto poseía, y empujado vengativa y canallescamente al arroyo, cuando él por ser un niño, no podía defenderse, tenga ahora la osadía, con sus pobres medios culturales, d’abayucar la trelda (revolver la porquería), que nadie hasta el presente, tan ajustada y verídicamente pudiera contar jamás. Digo porquerías, pues es eso precisamente lo que suelen dejar las secuelas de una guerra civil, y pobre de aquellos países que la sufran, porque sus hijos quedarán divididos, y los perdedores, tendrán que soportar un yugo, que más flojo, o menos prieto, esclavizándolos los ha de postergar. En este relato retrato yo, al vencedor y al vencido, menos al perdedor de quien soy hijo, ya que he tenido la desgracia de conocerle cuando el desventurado ya era un vencido, pero con el vencedor he vivido siempre, sirviéndole con decencia y honradez, silenciosamente observándole siempre, y no recibiendo de él, nada más que calamidades y ofensas, y sin embargo, nunca le odié, siempre disciplinadamente le serví, y si en el lleldar se siente ofendido por lo que de verdad digo, espero que se comporte conmigo, de la misma manera que con él siempre yo he hecho. Sé que estas narraciones no se han de publicar en mi Patria, porque la censura no permitirá que el hijo más humilde, cuente una verdad que denigra no a mi querida y noble España, sino algunos de sus inamovibles sistemas, pero tengo la firme certeza, que algún querido hermano país, sin el menor odio ni rencor sí ha de hacerlo, y con esta mi voz del pueblo, sencilla y natural, ubérrima y estéril, millones de seres de la Tierra habrán de saber, que hoy todavía, vive en mi Patria, la mitad de una generación, descendiente de los perdedores de la sanguinaria Guerra Civil que empobreció a la más maravillosa nación del mundo como es mi España, apartados de todo acceso a cualquier puesto de responsabilidad, bien en el gobierno, en los sindicatos, o en cualquier otro lugar, de responsabilidad de la Patria. Y desde aquí, invito a todos los españoles para que investiguen esto que he dicho, y ya verán como es una verdad, que no admite discusión posible. Cuánto placer sentiría yo si me pudiese expresar con ustedes en la maravillosa, ancestral y rica Lengua Asturiana, pues para mí, decir las cosas en Castellano es un verdadero fastidio, con tantos puntos y comas, y demás signos ortográficos, que para un hombre sin estudios de ninguna clase como yo, es una verdadera tortura, pues mi imaginación que idea y piensa con la fuerza de un enorme río enloquecido, a la hora de querer contar estas copiosas cosechas, que hasta en los mismos sueños me alumbra, cuando me pongo a escribir todos estos pensamientos y acaeceres, al expresarlos en español, meto la pata hasta los corbétchones, por esto ruego me perdonen, y háganse a la idea, de quién les está hablando, no es nada más que un humilde aldeano, sin más escuela que la siempre dura universidad de la vida. Y con la fortuna o desgracia de haber nacido con el embrujador duende de ser soñador, no por aparentar, por ocio o por estudio, sino con la intima necesidad que me tortura el alma, al mismo tiempo que me embarga dentro de una felicidad, que me hace en ocasiones ser dichoso, sin jamás haber sido feliz, y en otras dimensiones me llena de tal tristeza, que en apariencia sin sucederme nada, me encuentro tan apenado y deprimido, que todo cuanto me rodea y hasta yo mismo, me parece la pestilente porquería, con que se harta sin jamás hastiarse, el nefasto diablo al que entusiasmados y egoístas servimos. Enteponíu colaba you dellantre de miou madre, espatuxandu caleya adiantre, afalau per las engafuráes pallabres de miou má, camín de la nuesa teixá. (Conducido corría yo delante de mi madre, caminando rápido calleja arriba, arreado por las envenenadoras palabras que mi madre me dirigía, a la vez que hacia nuestro hogar nos acercábamos. Yo miraba arisco para ella, pensando que me iba alcanzar presto, para propinarme ante mis vecinos, otra somanta (paliza) como la que de aun mi cuerpo se condolía. Al fin llegamos a nuestra casa, y ya en ella encoyíu (encogido) por el temor, aguardaba resignado que mi madre calmara su furia dándome una nueva cuera, que mereciéndola, no la merecía. Estaba visto que llevaba unos días, que todos los golpes me habían elegido a mí para sus descansos, primero el cobarde de mi amo, que con sus asquerosas manos, me había puesto el rostro, tan descalabrado que no había en él un lugar sano donde coyera una guya (cupiera una aguja), después el canalla del guardia, que me dejara las orejas tan maltratadas, que me parecía que no eran mías, y para finalizar mi madre con aquella argurtóuxa tocata que m'apurriera (alta paliza que me propinara), que según me parecía, no había sido nada más que la parba (desayuno breve) de la que se esperaba Furibunda y desesperada asiome mi madre por mis maltrechos hombros, y al mirarme yo en sus hermosos y enojudos ojos, pude ver en lo más profundo de ellos, el desmesurado amor que la pobre me tenía, y lejos de azotarme como yo pensaba, sólo me preguntó muy apenada y preocupada: ¿De dónde vamos a sacar esas ciento cincuenta pesetas Xulín? ¡En alguna parte hijo, nos las agenciaremos, porque yo no permitiré que esta canallesca ley, hecha por indeseables sin entrañas, te lleven al reformatorio, donde ellos se tenían primero que reformar, para no seguir sembrando entre los desventurados vencidos, tanta vengativa y nefastosa canallada! Al día siguiente al rayar el alba, después de desayunar el rabón, (leche ácida cocida con harina de maíz) del que yo sí que me harté, pero ella la pobre apenas comió unas cucharadas, armada mi madre de un azáu (hacha) que había pedido prestado a un vecino, y yo de una foiceta (hoz) de podar la leña, fuimos al monte comunal a baltiar (cortar) leña, pues un carro de leña de encina, roble y espinero, que pesaba más de tres mil kilos, pagaba el maestro panadero, de la única panadería que había en el concejo, cincuenta pesetas por él, así que teníamos todo un mes por delante, para preparar los nueve mil kilos de leña, que nos proporcionarían las ciento cincuenta pesetas, con las que calmaríamos las iras de aquella inhumana ley, que tan despiadadamente nos había castigado. Parecía que mi madre poseía la fuerza del más intrépido de los hombres, talmente era un gigante que con una fiereza incomparable, chorreando sudor y espelurciada su rubia cabellera al viento, cortaba sin el menor descanso encinas, robles y espineros, mientras que yo imitándola en cuanto podía, podaba aquellos arbustos con el más grande de todos mis entusiasmos. Serían las tres de la tarde y no habíamos hecho aun el más pequeño descanso, cuando mi madre me dijo que buscase caracoles, que se criaban en abundancia por aquellos lugares, tal cosa hice mientras que ella prendía un buen fuego, y allí asamos los caracoles que al ser atacados por el calor, estiraban su cuerpo asándose perfectamente, y fue aquella asquerosa comida la que mitigó nuestra hambre. Y así un día, y quince, y veinte, hasta que logramos preparar sin desfallecer ni descansar, los tres carros de leña, acarreándolos a las costillas, en otras ocasiones poleándolos (haciéndoles rodar) por entre los zarzales y las peñas, hasta poder llegar con tan copiosa cantidad de leña, al estratégico lugar donde el panadero con su carro, pudiera cargar la leña. Estábamos embalagándola (apilándola) mi madre y yo muy ufanos y satisfechos, de la difícil victoria que habíamos en tan escaso tiempo conseguido, porque en duda pongo, que pocas gentes en todo el Universo en las circunstancias que nosotros nos encontrábamos hubieran podido lograrlo. Digo yo que en tal trabajo nos encontrábamos amontonando aquella leña, que todos los tochos (leños) medio descortezados por la cantidad de veces, que fue menester rodarlos por entre los cuetus (piedras) que poblaban aquel xerrapeíru (sierra) daban señales y no por los cortes de las herramientas, de haber sufrido lo indecible por encontrarse despeyexáus (despellejados) hasta casi el total emporricamiento (desnudez) de las arnas (cortezas) que los cubrían. Nuestras físicas humanidades se encontraban tan maltrechas después de tantos días de sobrehumano trabajo y de raquíticos y deplorables alimentos, que tal parecía que éramos cadabres (cadáveres) vivientes, sino supiesen cuantos nos conocían, que éramos dos invencibles barras del más puro acero. Yo descalzo de afechu (del todo) y mi madre con las alpargatas dándoles vueltas alrededor del tobillo, imposibilitadas del menor encatesu (remiendo) todas nuestras escasas vestiduras lucíanse tan acuchilladas, como si fatáus (muchos) puñales anárquicamente las hubieran rasgado. Y nuestras pieles por todos los lados se encontraban arraguñáes (arañadas), pinchadas, magulladas, en definitiva martirizadas por las piedras, por los espinos, por la infinidad de arbustos que en aquella sierra casi inaccesible para las mismas cabras, yo y mi madre como dos guerreros invencibles, cortamos aquellos tres carros de leña, que al decir de mi madre, servirían estupendísimamente bien para amagostar (asar) a la propia ley, y a los sinvergüenzas y deshumanizadores fascistones que la vieran fechu (hubieran hecho). Y en postura tan deplorable se empobrecían nuestros desventurados cuerpos, por todo lo contrario, nuestros espíritus se lucían sanos y fortalecidos, orgullosos y alegres, por haber conseguido aquel trabajoso y casi imposible triunfo. También solía decir mi madre dentro de una rabia y desilusión enfurecida, que si los «roxus» (rojos) hubiesen batallado con el mismo ardor, e indómito entusiasmo que nosotros habíamos puesto, todos los fascistones de Europa serían nada para vencerlos, ni en lo más mínimo. Vuelvo a repetir, que concluíamos mi madre y yo de empericotar (apilar) los cuatro leños que faltaban para dar por terminada aquella proeza, cuando la diosa fortuna nos vino a visitar en la forma de Falu el maderero, que más o menos, esto fue lo que nos hizo, y nos dijo: ¡Buenas tardes Lluza!, que así era como llamaban en asturiano a mi madre, ya que en castellano su gracia es Luzdivina. ¡Se ‘l tou home allevantara la motchera, ya te viera a tí ya ‘l tuo fiyiquín, nel estáu que vus deixó la llamazoúsa ley del venceor, paime amín, qu'el probetayu espavoríu per tan grandie inxusticia, oitra vez se morrería! (Si tu marido volviera al mundo y te viera a ti y a tu pequeño hijo, en la situación que os ha dejado la fangosa ley del vencedor, me parece a mí, que el pobre lleno de un enloquecedor pavor por tan grande injusticia, otra vez se volvería a morir). —Recuerdo yo muy bien, lo mismo que si en este momento de nuevo lo estuviese viviendo, lo que me ha hecho esta canallesca ley que ahora a ti te martiriza, cuando en los frentes de Teruel me cogieron prisionero. Me internaron en un campo de concentración, y me dieron más palos que días me quedan de vida, aunque muerra tan viétchu (muera tan viejo) como Marcelín el de Fresnedo, que le llevó Dios cuando pasaba de los ciento diez años. Como comida nos daban una lata redonda de sardinas o bonito, que los prisioneros le llamábamos «el reloj», ya que así era de pequeña. Cuando te salía podre, que sucedía la mayor parte de las veces, te pasabas el día haciendo vigilia. ¿Cuánto te va a dar el panadero por esta leña Lluza? ¡Hombre yo creo que son tres carros buenos, y como está pagándose a diez duros el carro, pues me dará treinta! ¿Algamate? (alcánzate para la multa). ¡Sí Falu, ye lu xustu! (Es lo justo). Rafael, que así se llamaba Falu, (uno de los hombres más honrados, trabajadores y enteros que yo he conocido), a la vez que del bolsillo interior de su chaqueta sacaba la cartera dijo: ¡Mera compañera, voy a venir con el camión de la compañía maderera y llevar toda esta montaña de leña a Trubia, yo te voy a entregar ahora por ella trescientas pesetas, si después vale más, ya te daré el resto, y si vale menos, considera ese dinero que te di, como regalo de un roxu decente ya honráu comu tú le yes miou neña! (Rojo decente y honrado como tú lo eres mujer). Al día siguiente que era feria semanal en la capital del concejo, pidiole mi madre prestado a una buena vecina amiga suya un paxiechacu (traje, vestido) y unas zapatillas, y así vestida de prestado la pobre, se trasladó bien de mañana a la Villa, pagó la multa a aquellos canallas que servían a una ley tan ultrajante, que a los vencidos y sus inocentes descendientes peor que a apestosos esclavos nos trataba. Luego, después, compró ella un paxietyín (un vestidito), unas zapatillas y unas madreñas, para mí, un buzo, que era la vestimenta que entre los pobres se estilaba, unas alpargatinas y unas fuertes madreñas, y después de mercar algunas cosas necesarias, vino para casa la mar de contenta y satisfecha. Y ahora yo me pregunto a muchos años de distancia, viviendo aquellos por mí vividos pisoteados y vengativos tiempos, ¿a qué asesinas, sucias y cobardosas manos, irían a parar, aquellos nuestros dineros, ganados con el sobrehumano esfuerzo y la más justa honradez, manchados por la sangre de nuestras heridas producidas en el agotador trabajo, y mojados por tantas gotas de sudor, como de estrellas debe de haber en el infinito cielo? ¿No se dan cuenta amigos lectores, que injusticias como ésta, o de otra índole aun mayores, deben de contarse al Mundo, pese a quien pese, para quienes las escuchan forjen en sus sentimientos, de que en toda guerra, y sobre todo las civiles, dejan tras de sí, primeramente el dolor más deshumanizante, después las venganzas más pervertidas, que darán vida con fuerza ilimitada, a la repugnante, sanguinaria y odiosa fiera, que todo ser humano, desde los primitivos tiempos de su nacencia, lleva celosamente escondida, en el apartamiento más oscuro y más brillante de su espíritu, donde se mueve gozoso el sentimiento humano, tras de saber que a su Prójimo bien le ha hecho, y se revuelve envilecido, encanallado y airado por el odio y las iras endiabladas, cuando también comprende que a sus semejantes, en el dolor y el sufrimiento los ha sumergido. Y fue precisamente a estos desatinados sentimientos, manejantes en aquellos tristes momentos, de las inhumanas leyes que regían los destinos de mi Patria, donde fueron a parar mis dineros, mis primeros dineros, ganados con más santidad y honradez, que pueda llevar dentro la propia Hostia Santa, que es tanto como decir, que sólo los mismos demonios faltos de toda conciencia y sin el más mínimo sentimiento de honestidad, podrían sin sentir asco de sus propias personas, apoderarse de los honrados y muy fatigosos trabajos, de una viuda de los roxus (izquierdistas, rojos, por el mismo estilo), y de un huérfano de los mismos. ¡¡Yo creo, que como aún no habían satisfecho sus ansias asesinas, con la muerte de mi padre y de tantos inocentes, precisaban en el momento que preciso les venía, afestinarse en postres con el esfuerzo y sufrimiento de sus deudos!! Durante algunos días viví yo jugueteando por la aldea, mi vida sin ninguna preocupación, muy contento porque iba vestido con aquel mono nuevo, más delgado que un papel de fumar, ya que se me había esgazáu (roto) por más de media docena de lugares, pero aún así, a mí me parecía que llevaba puesto, mejores galas que el mismo vencedor, que poco lucía sobre sus costillas, que se le pudiera denominar verdaderamente honrado. Mi madre mientras tanto, seguía incansablemente trabajando por las tierras de los vecinos, sin jamás cobrarles ni una peseta de sueldo, pues ella tan sólo quería, que al cambio de sus sudores le dieran una cestina de patatas, una fontadina de farina, ou de fabes lu mesmu foran prietes que blanques, d'arbeyinus ou d'oitra cebeira, dalgún terreñaín de lleiche, mazá, tarabazá, ‘n culiestrus ou cabantes de brañar. (Una fuente de harina, o de alubias de cualquier marca o color que fueran, de guisantes o de cualquier otro cereal que fuera, algún jarro de leche, desnatada, cuajada, o la que alumbran las vacas recién paridas, o de la que terminasen de ordeñar a una vaca de leche). Ella llegaba todos los atardeceres a nuestra casa, sudorosa y cansada, pero resplandeciente de alegría, porque en su mandil traía mi comida. Luego, después de que yo me hartaba, nos acostábamos los dos en aquel jergón de sacos, repleto de hojas de maíz y también de pulgas, y abrazada a mí, se quedaba muy pronto profundamente dormida. Yo que desde niño he dormido poco siempre, quizás para hacer bueno el dicho que de camino me invento, que considera al que poco duerme más infeliz, que quienes tienen la dicha de dormir prácticamente, dentro de estos mis desvelos, en la silenciosa tranquilidad de la noche de aquella amplia sala desmueblada, cuyas paredes y techo estaban del sarro que deja el humo, y plagadas de arroxetáus (enrubiecidos) goterones, que ponían al descubierto las primeras pinturas que habían tenido, fendíu (cortado) de continuo este silencio, por el risueño y sórdido murmullo que alumbraba el pequeño río que vertiginosamente se deslizaba a menos de diez metros de nuestra casa, y otras veces también era enruxeráu (alterado) aquel silencio, por los ladridos de los perros de la aldea, o por el cante siempre misterioso y apabullador que hacen las curuxas (buhos) en la noche, cuento yo en que estos desvelos, observaba el placenteroso dormir de mi madre, con su respirar acompasado, fuerte y sano, con todos sus acerosos músculos, con naturalidad relajados, talmente parecía mi madre del todo inofensiva, mas sin embargo, aquel perfecto y vigoroso cuerpo que acoplaba fuerzas en el descanso, de la misma natural manera que agigantadamente dormido descansaba, cuando despierto se hallaba, se transformaba en un invencible e incansable guerrero, condenada ya a luchar en l'engarradiétcha del trabayu (la pelea del trabajo), todos los momentos de su vida, por los mismos endemoniados vencedores, que primeramente le habían achuquináu ‘l sou home ya lus sous fíus. (Asesinado a su marido y a sus hijos). Y ahora que ya todo ha pasado, y lejos de olvidarlo se agiganta cada día más en mi mente, yo me pregunto, que si mi madre no hubiese sido así de luchadora, de brava, de valiente y honrada, qué seria de mí y de ella misma, acosados en todo momento por la ley insana del vencedor, y xunius (uncidos) también para siempre, en el desventuroso carro de la esclavitud bien vigilada, por el látigo y la pistola del triunfador.Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > carraca
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11 ♦ live
♦ live /laɪv/A a. attr.1 vivo; vivente; vitale; energico; ardente; acceso: a live lobster, un'aragosta viva; ( pesca) live bait, esca viva; a live colour, un colore vivo (o acceso); to make the question a live issue, tener viva la questione; live fire, fuoco vivo; live coals, carboni ardenti; a live cigarette, una sigaretta accesa; live air, aria viva ( fresca e pura)2 (mil.) carico; inesploso: a live shell, un proiettile inesploso; a live gun, un fucile (o un revolver) carico4 (elettr.) sotto tensione6 ( radio, TV) in collegamento diretto; in diretta; dal vivo: live TV coverage, servizio in diretta; a live concert, un concerto dal vivo8 (scherz., = real live) vivo e parlante; in carne e ossa; vero e proprio: a real live martian, un marziano in carne e ossa; a real live steam engine, una macchina a vapore vera ( non un giocattolo)9 (fis. nucl.) attivoB avv.( radio, TV) dal vivo; in diretta● (naut., mil.) live ammunition, munizionamento da guerra □ ( radio, TV) live audience, pubblico di una trasmissione in diretta □ (autom., mecc.) live axle, asse motore; motoassale; ponte (posteriore) rigido □ live-born, nato vivo □ a live-born child, un nato vivo □ a live cartridge, una cartuccia piena □ (mecc.) live centre, contropunta girevole ( di tornio, ecc.) □ live food, animali vivi usati come cibo per altri animali ( per serpenti, ecc.) □ live load, (edil.) carico accidentale, carico di traffico; (trasp.) carico utile ( d'un autobus, ecc.) □ (bot.) live oak ( Quercus virginiana), quercia della Virginia □ a live question, un problema di attualità □ (ferr.) live rail, terza rotaia □ (mecc.) live wheels, ruote motrici □ live wire, (elettr.) filo sotto tensione, filo caldo; (fig.) persona attiva (o energica, vigorosa) □ live yoghurt, yoghurt che contiene fermenti vivi.♦ (to) live /lɪv/A v. i.1 vivere; essere in vita; essere vivo; campare; esistere: to live to be a hundred, vivere (o campare) fino a cent'anni; They found him still living, lo hanno trovato ancora in vita; to live in fear, vivere nella paura2 vivere; sopravvivere: The doctors don't think that the patient will live, i dottori non credono che il malato vivrà3 vivere; abitare; stare: to live apart, vivere separati; to live locally, abitare nelle vicinanze; to live at home, vivere con i genitori; to live by oneself (o on one's own) vivere da solo; to live by the sea, abitare vicino al mare; They live in Rome, abitano (o stanno) a Roma; to live in the country, vivere (o abitare) in campagna; They live above the shop, abitano sopra il negozio; DIALOGO → - Accommodation- Where are you living?, dove vivi?4 vivere una vita piena; godersi la vita; divertirsi: It's high time I started living, è ora che io cominci a godermi la vita5 (fig., di un ricordo, ecc.) essere vivido; essere vivo; perdurare: The episode still lives in my memory, l'episodio è ancora vivo nella mia memoria7 (scherz., di un oggetto) essere; stare: Where does the screwdriver live?, dove sta il cacciavite?; dove tieni il cacciavite?B v. t.vivere, fare ( una vita): to live a peaceful life, vivere una vita tranquilla; to live a life of ease, far vita comoda● (fam.) to live and breathe st., vivere solo per qc. □ to live one day at a time, vivere giorno per giorno (o alla giornata) □ to live a double life, avere una doppia vita □ to live a lie, vivere nella menzogna □ to live above (o beyond) one's means, vivere al di sopra dei propri mezzi □ to live for the day when…, non vedere l'ora che… □ to live from day to day, vivere alla giornata ( senza un futuro) □ to live from hand to mouth, vivere miseramente; vivere alla giornata □ to live high, wide and handsome, vivere da gran signore; spendere e spandere □ (fam.) to live in a fool's paradise, vivere in un paradiso artificiale (o nel mondo della luna); chiudere gli occhi alla realtà □ to live in a goldfish bowl, vivere in una casa di vetro (fig.); non avere una vita privata □ to live in hope, continuare a sperare; mantener viva la speranza □ (fam.) to live it up, darsi alla bella vita; divertirsi spendendo e spandendo □ to live like fighting cocks, fare vita da pascià (o da nababbo) □ to live like a lord, vivere da gran signore (o da nababbo, da pascià) □ to live like a saint, vivere santamente □ (antiq. o scherz.) to live in sin, vivere nel peccato; (fam.) convivere; vivere more uxorio □ to live to fight another day, sopravvivere; scamparla □ to live to oneself, vivere per conto proprio; far vita a sé; fare vita ritirata □ to live to tell the tale, uscirne vivo; scamparla; poterla raccontare □ ( nelle fiabe) and they lived happily everafter, e vissero felici e contenti □ (prov.) Live and let live!, vivi e lascia vivere! □ Now we're really living!, questa sì che è vita! □ (fam. USA) I should live so long!, magari!; fosse vero! □ (fam. USA) where one lives, nel punto vitale; nel punto debole □ You live and learn!, non si finisce mai di imparare! -
12 ordonnance
ordonnance [ɔʀdɔnɑ̃s]feminine nouna. [de médicaments] prescriptionb. ( = arrêté) order* * *ɔʀdɔnɑ̃s1) ( document) prescription2) ( agencement) (de salle, meubles) layout; ( de cérémonie) order3) Droit ruling* * *ɔʀdɔnɑ̃s nf1) [éléments d'un ensemble] arrangement, [pièces ou meubles d'un appartement] layout2) MÉDECINE prescription3) DROIT order4) MILITAIRE orderly, batman Grande-Bretagned'ordonnance — regulation modif
* * *B nf1 ( document) prescription; faire une ordonnance à qn to give sb a prescription; délivré uniquement sur ordonnance only available on prescription; on peut l'acheter sans ordonnance you can buy it over the counter; médicament vendu sans ordonnance over-the-counter medicine;3 Jur ruling.[ɔrdɔnɑ̃s] nom féminin‘seulement sur ordonnance’ ‘on prescription only’[de police] (police) regulation ou orderl'ordonnance du dîner avait été décidée un mois auparavant they had decided a month earlier what the order of the meal would be6. FINANCEordonnance de paiement order to pay, authorization of payment7. MILITAIRE————————[ɔrdɔnɑ̃s] nom masculinounom féminin -
13 ♦ six
♦ six /sɪks/a. e n.1 sei: six books, sei libri; the six of hearts, il sei di cuori ( carta da gioco); Six is my lucky number, il sei è il mio numero fortunato; a six-year absence, un'assenza lunga sei anni; There are six of them, sono in sei; Six out of ten students will go to Paris, sei studenti su dieci andranno a Parigi2 sei ( anni d'età): the boy isn't six yet, il bambino non ha ancora sei anni; a six-year-old, un bambino (o una bambina) di sei anni3 le sei ( ora): It's six o'clock, sono le sei; It's six by my watch, il mio orologio fa le sei; half ( past) six, le sei e mezza● (stor.) the Six-Day War, la Guerra dei Sei Giorni □ (fam.) to be six feet under, essere sottoterra; essere (già) morto e sepolto □ (fam.) six-footer, persona alta (o cosa lunga) sei piedi (oltre m 1,80) □ six-gun, revolver a sei colpi □ ( rugby) the Six Nations, le Sei Nazioni ( il torneo) □ (fam. antiq.) six of the best, sei fustigate ( a uno scolaro: per punizione) □ six-pack, confezione da sei bottiglie (o lattine di birra, ecc.), (fam.) muscoli addominali ben sviluppati □ six-shooter, revolver a sei colpi □ ( calcio) six-yard box, area piccola; area di porta □ (fam.) to be at sixes and sevens, essere sottosopra (o in disordine); essere indeciso sul da farsi □ (fig. fam.) six of one and half a dozen of the other, praticamente la stessa cosa. -
14 shoot ****
[ʃuːt] shot vb: pt, pp1. vt1) (hit) colpire, sparare a, (hunt) cacciare, andare a caccia di, (execute) fucilare, (kill) uccidereto shoot o.s. in the foot fig — darsi la zappa sui piedi
3) (direct: look, smile) lanciare4) (Cine: film, scene) girare, (person, object) riprendere5) (pass quickly: rapids) scendere2. vi1)to shoot (at sb/sth) — (with gun) sparare (a qn/qc), (with bow) tirare (su or contro qn/qc)
to shoot at goal Ftbl etc — tirare in porta or a rete
2)to shoot in/out — entrare/uscire come una freccia3. n1) Bot germoglio3) fig famthe whole shoot — tutto, ogni cosa
•- shoot up -
15 Fittja
egennavn1. Fittja, bydel i Botkyrka kommune, syd for Stockholm, med mange indvandrere, bazar og moskéFittja ligger i Botkyrka, där majoriteten av invånarna är utlandsfödda. På Fittjas tunnelbanestation finns Carl Fredrik Reuterswärds skulptur ”Den knutna revolvern”
F. ligger i B., hvor majoriteten af beboerne er født i udlandet. På F's metrostation finder man C. F. R's skulptur ”Den knyttede revolver” (bronceskulpturen Non-Violence til FN i New-York forestiller en stor revolver hvor der er slået knude på løbet) -
16 have
1 ( possess) avoir ; she has a dog elle a un chien ;2 ( consume) prendre ; to have a sandwich manger un sandwich ; to have a whisky boire un whisky ; to have a cigarette fumer une cigarette ; to have breakfast prendre le petit déjeuner ; to have dinner dîner ; to have lunch déjeuner ; he had a sandwich for lunch il a mangé un sandwich au déjeuner ; I had some more cake j'ai repris du gâteau ;3 ( want) vouloir, prendre ; I'll have tea please je voudrais du thé s'il vous plaît ; what will you have? qu'est-ce que vous prendrez or voulez? ; she won't have him back elle ne veut plus de lui ; I offered her £5, but she wouldn't have it je lui ai offert cinq livres sterling, mais elle les a refusées ; I wouldn't have it any other way ça me convient comme ça ; I wouldn't have him/her any other way c'est comme ça que je l'aime ;4 (receive, get) recevoir [letter, parcel, information] ; I've had no news from him je n'ai pas eu de nouvelles de lui ; I must have the information/some money soon il me faut l'information/de l'argent bientôt ; I must have the document by 4 o'clock il faut que j'aie le document avant 4 heures ; to let sb have sth donner qch à qn ;5 ( hold) faire [party, celebration] ; tenir [meeting] ; organiser [competition, ballot, exhibition] ; avoir [conversation] ; célébrer [church service] ; mener [enquiry] ; passer [interview] ;6 (exert, exhibit) avoir [effect, influence] ; avoir [courage, nerve, impudence, courtesy] (to do de faire) ;7 ( spend) passer ; to have a nice day/evening passer une journée/soirée agréable ; to have a good time bien s'amuser ; to have a hard ou bad time avoir des moments difficiles ; to have a good vacation/a day at the beach passer de bonnes vacances/une journée à la plage ;8 ( be provided with) ( also have got) to have sth to do avoir qch à faire ; I have ou I've got some clothes to wash j'ai des vêtements à laver ; I have ou I've got letters to write j'au du courrier à faire ; I have ou I've got a lot of work to do j'ai beaucoup de travail ;9 (undergo, suffer) avoir ; to have (the) flu/measles avoir la grippe/la rougeole ; to have (a) toothache/a headache avoir mal aux dents/mal à la tête ; to have an accident/a heart attack avoir un accident/une crise cardiaque ; to have a shock subir un choc ; he had his car/watch stolen il s'est fait voler sa voiture/montre, on lui a volé sa voiture/montre ; she has had her windows broken on lui a cassé ses fenêtres ; they like having stories read to them ils aiment qu'on leur lise des histoires ; I have ou I've got a student coming in five minutes j'ai un élève qui arrive dans cinq minutes ;10 ( cause to be done) to have sth done faire faire qch ; to have the house painted/the washing-machine installed faire peindre la maison/installer la machine à laver ; to have one's hair cut se faire couper les cheveux ; to have an injection/a dental check-up/a manicure se faire faire une piqûre/un contrôle des dents/une manucure ; to have sb do sth faire faire qch à qn ; she had him close the door/wait in the corridor elle lui a fait fermer la porte/attendre dans le couloir ; they would have us believe that ils voudraient nous faire croire que ; I would have you know/say that je voudrais que vous sachiez/disiez que ; to have sb doing faire faire qn ; he had them laughing/crying il les a fait rire/pleurer ; she had them digging the garden/writing poetry elle leur a fait bêcher le jardin/écrire des poèmes ;11 ( cause to become) he had his revolver/camera ready il avait son revolver/appareil photo prêt ; we'll soon have everything ready/clean nous aurons bientôt fini de tout préparer/nettoyer ; she had the car in pieces in the garage elle avait démonté la voiture dans le garage ; if you're not careful you'll have that table/that glass over si tu ne fais pas attention tu vas renverser la table/le verre ; she had them completely baffled elle les a complètement déroutés ; I had it finished by 5 o'clock je l'avais fini avant 5 heures ;12 ( allow) ( gén au négatif) tolérer ; I won't have this kind of behaviour! je ne tolérerai pas ce comportement! ; I won't have it! ça ne va pas se passer comme ça! ; I won't have this any more! je n'en supporterai pas davantage! ; I won't have them exploit him je ne tolérerai pas qu'ils l'exploitent ; I won't have him hurt je ne laisserai personne le blesser ; we can't have them staying in a hotel on ne peut pas les laisser aller à l'hôtel ;13 ( physically hold) tenir ; she had the glass in her hand elle tenait le verre dans la main ; she had him by the throat/by the arm elle le tenait à la gorge/par le bras ; he had his hands over his eyes il avait les mains sur les yeux ; to have one's back to sb tourner le dos à qn ;14 ( give birth to) [woman] avoir [child] ; [animal] mettre bas, avoir [young] ; has she had it yet? est-ce qu'elle a accouché? ; she's having a baby (in May) elle va avoir un enfant (en mai) ;15 ( as impersonal verb) over here, we have a painting by Picasso ici vous avez un tableau de Picasso ; what we have here is a small group of extremists ce à quoi nous avons affaire ici, est un petit groupe d'extrémistes ; on the one hand you have the victims of crime and on the other… d'un côté il y a les victimes des crimes, et de l'autre… ;17 ( have at one's mercy) ( also have got) I've got you/him now! maintenant je te/le tiens! ; I'll have you! je vais te montrer! ;18 ○ ( have sex with) se faire ◑ [person].1 ( must) I have to leave now je dois partir maintenant, il faut que je parte maintenant ;2 ( need to) you don't have to ou you haven't got to leave so early tu n'as pas besoin de or tu n'es pas obligé de partir si tôt ; why did this have to happen? pourquoi fallait-il que ça arrive? ; did you have to spend so much money? tu avais vraiment besoin de dépenser autant d'argent?, est-ce qu'il fallait vraiment que tu dépenses autant d'argent? ; something had to be done il fallait faire quelque chose ;3 ( for emphasis) this has to be the most difficult decision I've ever made c'est sans doute la décision la plus difficile que j'aie jamais eu à prendre.C aux1 gen avoir ; ( with movement and reflexive verbs) être ; she has lost her bag elle a perdu son sac ; she has already left/arrived elle est déjà partie/arrivée ; she has hurt herself elle s'est blessée ; she has washed her hands elle s'est lavé les mains ; have you seen her? l'as-tu vue?, est-ce que tu l'as vue? ; we haven't lost them nous ne les avons pas perdus ;2 ( in tag questions etc) you've seen the film, haven't you? tu as vu le film, n'est-ce pas? ; you haven't seen the film, have you? tu n'as pas vu le film? ; you haven't seen my bag, have you? tu n'as pas vu mon sac, par hasard? ; ‘he's already left’-‘has he indeed!’ ‘il est déjà parti’-‘vraiment!’ ; ‘you've never met him’-‘yes I have!’ ‘tu ne l'as jamais rencontré’-‘mais si!’1 ( in time clauses) having finished his breakfast, he went out après avoir fini son petit déjeuner, il est sorti ; having said he'd be there early, he arrived late après avoir dit or alors qu'il avait dit qu'il viendrait tôt, il est arrivé en retard ;2 (because, since) having already won twice, he's a great favourite comme il a déjà gagné deux fois, c'est un grand favori ; having lost money before, he was reluctant to invest in a new project ayant déjà perdu de l'argent or comme il avait déjà perdu de l'argent, il hésitait à investir dans un nouveau projet.to have done with sth en finir avec qch ; this car/TV has had it ○ cette voiture/télé est foutue ○ ; when your father finds out, you've had it ○ ! ( in trouble) quand ton père saura, ça va être ta fête ○ ! ; I can't do any more, I've had it ○ ! ( tired) je n'en peux plus, je suis crevé ○ ! ; I've had it (up to here) ○ j'en ai marre ○ ; I've had it (up to here) with him/my job ○ j'en ai marre de ce type/mon travail ○ ; to have it in for sb ○ avoir qn dans le collimateur ○ ; she has/doesn't have it in her to do elle est capable/incapable de faire ; he will have it that il soutient que ; he won't have it that il n'admet pas que ; I've got it! je sais! ; let's be having you! hum à nous deux! ; and the ayes/noes have it les oui/non l'emportent, les voix pour/contre l'emportent ; to have it off ou away with sb ◑ GB s'envoyer en l'air avec qn ◑ ; the haves and the have-nots les riches et les pauvres ; …and what have you …etc ; there is no milk/there are no houses to be had on ne trouve pas de lait/de maisons ; are there any more to be had? est- ce qu'on en trouve encore? ; these are the best spectacles to be had ce sont les meilleures lunettes qu'on puisse trouver.■ have back:▶ have [sth] back, have back [sth] ( have returned) you can have it back tomorrow je te le rendrai demain ; when can I have my car/my money back? quand est-ce que tu me rends ma voiture/mon argent?■ have down:▶ have [sb] down inviter [person] ; to have sb down for the weekend inviter qn à passer le weekend à la maison.■ have in:▶ have [sb] in ( also have got) faire venir [doctor, priest] ; faire entrer [employee, neighbour] ; we've got decorators in at the moment en ce moment nous avons des décorateurs à la maison.■ have on:▶ have [sth] on, have on [sth] ( also have got) ( be wearing) porter [coat, skirt etc] ; to have nothing on ne rien avoir sur soi ;▶ have [sth] on ( be busy doing) avoir [qch] de prévu ; have you got anything on this evening? avez-vous quelque chose de prévu ce soir? ; I've got a lot on next week j'ai beaucoup de choses prévues la semaine prochaine ;▶ have sth on sb ( have evidence about) avoir des preuves contre qn ; the police have got nothing on me la police n'a aucune preuve contre moi.■ have out:▶ have [sth] out se faire enlever or arracher [tooth] ; to have one's appendix out se faire opérer de l'appendicite ; to have it out with sb s'expliquer avec qn.■ have over, have round:▶ have [sb] over inviter [person] ; to have sb over for the evening inviter qn à passer la soirée chez soi.■ have up ○:▶ to be had up être jugé (for pour). -
17 shoot
I [ʃuːt]2) BE (in hunting) (meeting) partita f. di caccia3) cinem. ripresa f.II 1. [ʃuːt]verbo transitivo (pass., p.pass. shot)2) (hit with gun) sparare a [person, animal]; (kill) uccidere [person, animal]to be shot in the back — essere colpito o ferito alla schiena
to shoot sb. for desertion — fucilare qcn. per diserzione
to shoot sb. dead — colpire qcn. a morte
to be shot to pieces — colloq. essere crivellato di colpi; fig. essere fatto a pezzi
to shoot questions at sb. — bombardare qcn. di domande
6) (in canoeing) scendere [ rapids]7) (in golf)8) AE giocare a [pool, craps]9) (in hunting) andare a caccia di [ game]2.verbo intransitivo (pass., p.pass. shot)1) (fire a gun) sparare (at a, contro)to shoot to fame — fig. sfondare
3) cinem. girare5) (in hunting) [ person] andare a caccia3.verbo riflessivo (pass., p.pass. shot)- shoot up••to shoot a line — colloq. spararla grossa
to shoot oneself in the foot — colloq. darsi la zappa sui piedi
* * *[ʃu:t] 1. past tense, past participle - shot; verb1) ((often with at) to send or fire (bullets, arrows etc) from a gun, bow etc: The enemy were shooting at us; He shot an arrow through the air.) sparare; scoccare2) (to hit or kill with a bullet, arrow etc: He went out to shoot pigeons; He was sentenced to be shot at dawn.) sparare, fucilare3) (to direct swiftly and suddenly: She shot them an angry glance.) lanciare4) (to move swiftly: He shot out of the room; The pain shot up his leg; The force of the explosion shot him across the room.) lanciarsi; sbalzare5) (to take (usually moving) photographs (for a film): That film was shot in Spain; We will start shooting next week.) girare6) (to kick or hit at a goal in order to try to score.) tirare7) (to kill (game birds etc) for sport.) cacciare2. noun(a new growth on a plant: The deer were eating the young shoots on the trees.) germoglio, getto- shoot down
- shoot rapids
- shoot up* * *shoot /ʃu:t/n.2 partita di caccia; battuta; riserva di caccia5 getto d'acqua; zampillo8 (ind. min.) filone● ( sport) shoot-off, spareggio ( nel tiro) □ shoot-out, conflitto (o scontro) a fuoco; sparatoria; regolamento di conti ( tra due bande); (spec. calcio) i rigori ( dopo i tempi supplementari finiti in pareggio) □ (bot.) shoot production, germogliazione □ ( slang) shoot-up, buco (pop.); iniezione di droga.♦ (to) shoot /ʃu:t/(pass. e p. p. shot)A v. t.1 sparare; sparare a (o con); tirare; scaricare ( un'arma da fuoco); ( di un fucile, ecc.) to shoot real bullets, sparare proiettili veri ( non a salve); sparare sul serio; to shoot a gun, sparare con la pistola (o con il cannone); to shoot one's rifle, scaricare il fucile; to shoot sb. dead, sparare a q. uccidendolo; He shot a pheasant and killed it, ha sparato (o ha tirato) a un fagiano e lo ha ucciso; Don't shoot this revolver: it's rusty, non sparare con questa rivoltella: è arrugginita2 andare a caccia di, cacciare, abbattere ( col fucile): He's in Kenya shooting buffaloes [big game], è in Kenya a caccia di bufali [a caccia grossa]3 colpire, ferire, uccidere ( con un'arma da fuoco); ( caccia) cacciare, abbattere: He shot a deer, ha ucciso un cervo; The soldier was shot in the leg, il soldato è stato ferito (o colpito) alla gamba; The killer was shot by the police, il killer è stato abbattuto dalla polizia; to be shot dead, essere ucciso da un colpo d'arma da fuoco6 gettare; lanciare; scagliare; sbalzare; proiettare: to shoot dice, gettare i dadi; to shoot the anchor [a net], gettare l'ancora [una rete]; to shoot sb. a glance, lanciare un'occhiata a q.; to shoot a stone from a sling, lanciare una pietra con la fionda; The driver was shot over the fence, il conducente è stato sbalzato al di là della siepe; The elevator shot me to the top of the skyscraper, l'ascensore mi proiettò in cima al grattacielo8 buttare giù lungo uno scivolo; scaricare (fig.); sbattere: to shoot coal into the cellar, scaricare il carbone in cantina; to shoot rubbish, scaricare l'immondizia10 (fotogr., cinem., TV) riprendere; girare; filmare: to shoot a film, girare un film; to shoot a scene, riprendere una scena11 ( sport nautici) superare, scendere rapidamente: to shoot a bridge, superare un ponte ( passandovi sotto in barca); The canoe shot the rapids safely, la canoa ha superato le rapide indenne12 attraversare velocemente; bruciare (fam.): to shoot the lights, bruciare il semaforo; passare con il rosso14 (al passivo) striare; (fig.) intridere: The ocean was a deep blue shot with violet, l'oceano era di un blu cupo con striature viola; The «Canterbury Tales» are shot with humour, i Racconti di Canterbury sono intrisi di umorismo17 (fam.) fulminare18 ( sport: calcio, ecc.) fare, segnare, mettere a segno, realizzare ( una rete, punti, ecc.): to shoot twenty baskets, fare venti canestri; Jones shot the winning goal, Jones ha segnato il gol della vittoriaB v. i.1 sparare; tirare ( con un'arma da fuoco): This gun won't shoot, questo fucile non spara; Don't shoot!, non sparate!; He shoots indifferently, spara così e così; è un mediocre tiratore; to shoot on sight, sparare a vista; to shoot to kill, sparare sul serio; sparare per uccidere; to shoot straight, sparare diritto; tirare bene3 (fig. fam.) sparare; parlare: «I must talk to you» «Shoot!», «Devo parlarti» «Spara!»; Shoot!, fuori!; sputa il rospo!4 (cinem., TV) girare: When will they begin to shoot?, quando cominciano a girare?6 (fam.) andare a rotta di collo; passare velocemente; saettare; sfrecciare; balzare: The rocket shot across the sky, il razzo ha attraversato il cielo a tutta velocità; An ambulance shot past us, un'ambulanza ci sfrecciò accanto; A squirrel shot into the air, uno scoiattolo è balzato in aria9 (volg.) eiaculare● (fam. USA) to shoot the breeze (o the bull), parlare del più e del meno; fare quattro chiacchiere □ to shoot from the hip, ( di un pistolero) sparare dall'anca ( senza mirare); (fig.) agire (o parlare) per impulso; reagire (o rispondere) di scatto □ (fig.) to shoot one's last arrow, sparare l'ultima cartuccia; usare l'ultima risorsa □ to shoot oneself, spararsi: He shot himself in the head, si è sparato alla testa (o un colpo in testa) □ (fig. fam.) to shoot oneself in the foot, darsi la zappa sui piedi (fig.) □ ( di un disco, un album, ecc.) to shoot to the top of the charts, balzare (o schizzare) in testa alla classifica □ ( slang USA) Shoot, accidenti!; caspita!; porca miseria! □ I'll be shot if…, ch'io possa essere impiccato se… □ (fam.) to have shot one's bolt ( USA: one's wad), avere sparato tutte le cartucce (fig.); (volg.) essere venuto □ The sun is shooting its rays on the plain, il sole dardeggia la pianura.* * *I [ʃuːt]2) BE (in hunting) (meeting) partita f. di caccia3) cinem. ripresa f.II 1. [ʃuːt]verbo transitivo (pass., p.pass. shot)2) (hit with gun) sparare a [person, animal]; (kill) uccidere [person, animal]to be shot in the back — essere colpito o ferito alla schiena
to shoot sb. for desertion — fucilare qcn. per diserzione
to shoot sb. dead — colpire qcn. a morte
to be shot to pieces — colloq. essere crivellato di colpi; fig. essere fatto a pezzi
to shoot questions at sb. — bombardare qcn. di domande
6) (in canoeing) scendere [ rapids]7) (in golf)8) AE giocare a [pool, craps]9) (in hunting) andare a caccia di [ game]2.verbo intransitivo (pass., p.pass. shot)1) (fire a gun) sparare (at a, contro)to shoot to fame — fig. sfondare
3) cinem. girare5) (in hunting) [ person] andare a caccia3.verbo riflessivo (pass., p.pass. shot)- shoot up••to shoot a line — colloq. spararla grossa
to shoot oneself in the foot — colloq. darsi la zappa sui piedi
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18 struggle
A n1 (battle, fight) lit, fig lutte f (against contre ; between entre ; for pour ; over au sujet de ; to do pour faire) ; the struggle for democracy/for survival la lutte pour la démocratie/pour survivre ; armed/non-violent struggle lutte f armée/non violente ; class struggle lutte f des classes ; power struggle lutte f pour le pouvoir ; to give up ou abandon the struggle abandonner la lutte or la partie ; to put up a (fierce) struggle se défendre (avec acharnement) ; they gave up without a struggle lit, Mil ils ont abandonné sans opposer de résistance ; fig ils ont abandonné sans lutter ;2 ( scuffle) rixe f, bagarre ○ f ; two people were injured in ou during the struggle deux personnes ont été blessées pendant la rixe or la bagarre ○ ;3 (difficult task, effort) it was a struggle but it was worth it on a eu du mal or cela a été dur mais cela en valait la peine ; learning to read was a great struggle for him apprendre à lire lui a coûté de gros efforts ; he finds everything a real struggle il trouve que tout est très dur ; I find it a real struggle to do ou doing il m'est très difficile de faire ; they had a struggle to do ou doing ils ont eu du mal à faire ; to succeed after years of struggle réussir après des années d'efforts ; after a long struggle he managed to contact her après s'être donné beaucoup de mal il est parvenu à la joindre ; she managed it but not without a struggle elle a réussi mais non sans mal.B vi1 lit ( put up a fight) [person, animal] se débattre (to do pour faire) ; (tussle, scuffle) [people, animals] lutter, se battre ; [armies, forces] se battre ; he struggled with his attacker il s'est débattu pour se dégager de l'emprise de son agresseur ; they struggled with each other ils ont lutté or se sont battus (for pour) ; they struggled for the gun ils se sont battus pour le revolver ; to struggle free se dégager ;2 fig ( try hard) se battre, lutter ; ( stronger) se démener ; a young artist struggling for recognition un jeune artiste qui lutte or se démène pour faire reconnaître son talent ; to struggle to do sth lutter or se battre pour faire ; the firm has had to struggle to survive ( try hard) la société a dû lutter or se battre pour survivre ; to struggle with a problem/one's conscience être aux prises avec un problème/sa conscience ;3 ( have difficulty) (at school, with job, in market) [person, company] éprouver des difficultés ; to struggle to keep up/to survive/with one's homework avoir du mal à suivre/à survivre/à faire ses devoirs ;4 ( move with difficulty) he struggled into/out of his jeans il a enfilé/enlevé péniblement son jean ; to struggle to one's feet se lever avec peine ; we struggled up the steep path nous avons monté péniblement la côte raide.■ struggle back revenir à grand-peine or avec peine.▶ struggle through s'en sortir tant bien que mal ;▶ struggle through [sth] se frayer péniblement un chemin dans [snow, jungle, crowd] ; se débattre avec [book, task] ; the bill struggled through Parliament le projet de loi a été adopté non sans peine par le Parlement. -
19 cannon
1. nounKanone, die2. intransitive verb(Brit.)cannon into somebody/something — mit etwas/jemandem zusammenprallen
* * *['kænən] 1. plurals - cannons, cannon; noun(a type of large gun used formerly, mounted on a carriage.) die Kanone2. verb((with into) to hit or collide with: He came rushing round the corner and cannoned into me.) prallen- academic.ru/10589/cannonball">cannonball* * *can·non[ˈkænən]I. n3.▶ a loose \cannon ein unberechenbarer Faktorhe's a loose \cannon er ist unberechenbarIII. vi1. (collide)▪ to \cannon into sb/sth mit jdm/etw zusammenprallen* * *['knən]1. n2) (Brit BILLIARDS) Karambolage f2. vi (Brit BILLIARDS)karambolieren* * *cannon [ˈkænən]A pl -nons, -non s1. pl meist -non MIL (FLUG Bord)Kanone f, (-)Geschütz n2. TECHa) Henkel m, Krone f (einer Glocke)3. Gebiss n (des Pferdegeschirrs)4. ZOOL Kanonenbein n (Mittelfußknochen)6. US sl Kanone f (Revolver)B v/i* * *1. nounKanone, die2. intransitive verb(Brit.)cannon into somebody/something — mit etwas/jemandem zusammenprallen
* * *n.Kanone -n f. -
20 freddare
freddare v.tr.1 to cool; to chill: freddare il brodo, to cool the broth (o the soup)2 (fig.) to cool, to damp, to dampen: nulla poteva freddare il suo entusiasmo, nothing could dampen his enthusiasm // non lasciar freddare una cosa, to do sthg. at once; non lasciar freddare l'occasione, to strike while the iron is hot (o to seize a good opportunity)3 ( ammazzare) to kill: lo freddò con una revolverata, with his revolver he shot him dead // le sue battute mi freddarono all'istante, (fig.) his cracks (o quips) silenced me on the spot.◘ freddarsi v.intr.pron. to become* cold; to cool down (anche fig.): vieni a mangiare prima che si freddi, come and eat before it gets cold; il suo fervore si è freddato, (fig.) his ardour (o enthusiasm) has cooled // non lasciare che la cosa si freddi, strike while the iron is hot.* * *[fred'dare]1. vt2. vip (freddarsi)to cool, become cold* * *[fred'dare] 1.verbo transitivo1) (raffreddare) to chill, to cool down2) (ammazzare) to kill, to gun down2.* * *freddare/fred'dare/ [1]1 (raffreddare) to chill, to cool down2 (ammazzare) to kill, to gun downII freddarsi verbo pronominaleto get* cold.
- 1
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