Перевод: с французского на французский

с французского на французский

courante

  • 1 courant

    adj., ordinaire, banal ; qui coure: koran (Chambéry.025, Saxel.002) / -ê (Albanais.001) / -in (Annecy, Arvillaz.228, Reyvroz.218), -TA, -E.
    Fra. Eau courante: éga courant koranta / korêta (025 / 001).
    Fra. Avoir l'eau courante devant la maison ou sur l'évier: avai l'éga korêta dvan la mayzon u bin su l'évyé (001).
    A1) courant, de tous les jours, (dépenses, vêtements, travaux...): de to lou zheu (228), d(è) to lô zhò (001)
    B1) n., courant (électrique, de l'eau, d'une rivière, du jour, de l'année, des nouvelles, d'un métier, d'un travail, des choses à savoir...): koran nm. (002, Billième) / -ê (001, Montagny-Bozel.026) / -in (218,228).
    Fra. Se tenir au courant: se tnyi u korê (001).
    B2) courant d'air: koran / korin courant d'êê nm. (001 / 228), kouran d'êre (026) ; sezanta nf. (228).
    B3) courant (d'une rivière): korsa < course> nf. (228).

    Dictionnaire Français-Savoyard > courant

  • 2 adjectif

    an. ADJÈKTIFO, -îva, -e (Albanais).
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------
    1) Les adjectifs savoyards comportent la plupart du temps trois formes: le masculin (qui a souvent la même forme au singulier et au pluriel), le féminin singulier et le féminin pluriel. Ces trois formes sont indiquées de la façon suivante: brâvo, -a, -e < beau>, qu'il faut lire: brâvo ms. et mpl., brâva fs., brâve fpl. (Albanais.001, Annecy.003, Thônes.004). - Le -o et le -a finales atones sont souvent prononcées comme des e muets français (Arvillard.228, Saxel.002). Bien que certains écrivains savoyards ne mentionnent qu'une seule forme pour certains adjectifs, parce que les finales atones o et a sont souvent amuïes, nous avons quand même mentionné les trois formes pour tenir compte de la tradition. Ainsi "militaire" a été écrit militéro, -a, -e (001,002,003,004). 2) Au sujet des finales (terminaisons introduites par un tiret) nous avons appliqué les conventions suivantes pour les adjectifs, les participes présents et passés, les noms qui ont un féminin et aussi pour des séries de mots qui n'ont que la finale qui change: - Si la finale (terminaison) commence par une voyelle (le y, le h et le w étant considérés comme faisant partie de la voyelle), le tiret indique que cette finale doit être rattachée à la dernière consonne mentionnée (le y, le h et le w étant alors considérés comme faisant partie de la consonne, à condition que la finale ne commence pas par ces mêmes lettres). Ainsi golatu, -wà, -wè < troué> doit se lire golatu ms. et mpl., golatwà fs., golatwè fpl. (001) ; fini, -yà, -yè pp. gv.3 < fini> doit se lire fini ms. et mpl., finyà fs., finyè fpl. (001) ; travalyà, -à, -è pp. gv.2 < travaillé> doit se lire travalyà ms., mpl. et fs., travalyè fpl. (001). Le g reste toujours dur même quand il est suivi d'un -é, d'un -e ou d'un -i. Ainsi fatigâ, -â, -é < fatigué> doit se lire fatigâ ms., mpl. et fs., fatigué fpl. (001). - Si la finale (terminaison) commence par une consonne, le tiret indique que cette finale doit être rattachée à la dernière voyelle mentionnée (les nasales an, in, on, un étant considérés comme des voyelles ; le y, le h et le w étant considérés comme faisant partie de la voyelle, à condition que la finale ne commence pas par ces mêmes lettres). Ainsi ingrà, -ta, -e < ingrat> doit se lire ingrà ms. et mpl., ingrata fs., ingrate fpl. (001) ; promi, -re, -e < premier> doit se lire promi ms. et mpl., promire fs. et fpl. (001) ; maw, -ra, -e < mûr> doit se lire maw ms. et mpl., mawra fs., mawre fpl. (Alex) ; mweu, -ra, -e < mûr> doit se lire mweu ms. et mpl., mweura fs., mweure fpl. (Giettaz.215) (au fém. la voyelle tonique est légèrement plus longue qu'au masculin) ; blyagâ, -â, -é < blagué> doit se lire blyagâ ms., mpl. et fs., blyagué fpl. (001) ; blyan, -she, -e < blanc> doit se lire blyan ms. et mpl., blyanshe fs. et fpl. (001) ; nai, -ra, -e doit se lire nai ms. et mpl., naira fs., naire fpl. (001) ; uvê(r) (001,003,218,228c | 017,025,026,228b), -rta, -e < ouvert> doit se lire uvê (001,3,218,228c) / uvêr (017,025,026,228b) au ms. et mpl., uvêrta au fs., uvêrte au fpl.. Le e du fs. promîre est un a amuï, certains ont conservé ce a, d'autres le conteste sous prétexte qu'à certains endroits il est devenu i. COD. hésite parfois entre les deux. Les mots accompagnés des mentions " n., an., pp., ppr., av., fam. " doivent être lus comme les adj.. Psc., on écrit parfois les formes en entier. Certains adjectifs dce. peuvent rester invariables (ils ont alors la forme du ms.) quand ils sont placés devant le nom. Voir: Fin, Grand, Gros, Sel, Vrai. Quand les adj. ont quatre formes (à Macôt, par exemple), nous l'indiquons respectivement en début de paragraphe par l'expression (ms., mpl., fs., fpl.). Bien que notre graphie ne l'indique pas toujours, il faut légèrement allonger la voyelle tonique précédant les finales féminines -za, -ze, -ro, -ra, -re, -na, -ne. 3) Les finales des adjectifs savoyards sont très variées. Nous présentons ci-après les principales formes régulières: 31) -o, -a, -e (forme courante / av. issu du pp.) (001,003,004, Tignes), (prononcé respectivement -e, -a, -e à Saxel). Ainsi: brâvo, -a, -e < beau> adj., korbo, -a, -e < courbe> av. (001,002), atrapo, -a, -e <surpris, confus> av. issu du pp. (001). 32) -éro, -a, -e. Bien que beaucoup écrivent -ére dans les trois cas, nous avons quand-même maintenu l'orthographe plus traditionnelle. Ainsi: michnéro, -a, -e < missionnaire>, mortu-éro, -a, -e < mortuaire> (001). 33) -â, -â, -é (pp. des verbes du gv.1 en -â) (001,003,004) || â, -âye, -é (002, Balme- S.020, Bogève, Juvigny.008, Taninges). - E.: Participe. 34) -À, -À, -È / -eu (001,003,004 / 002,215, Annemasse, Bogève, Cordon, Magland.145, Samoëns) (pp. des verbes du gv.2 en -î / -é). - E.: Participe. 35) -ê, -ta, -e av. issu du ppr. (001.PPA.), -an, -ta, -e (002), -in, -ta, -e (001,004, Aix.017, Vaulx). Ainsi: ézitê, -ta, -e < hésitant> (001), ézitan, -ta, -e (002) ; adjwin, -ta, -e < adjoint> (001,017). 36) -î, -re / -ra, -e (001,002,003,004), -yé, -yére / -yéra, -e (228, Albertville, Chambéry.025...). Ainsi: promî, -re / -ra, -e < premier> (001), premî, -re, -e (002) ; monî, -re, -e < meunier> (001), mounî, -re, -e (002). 37) -u, -wà, -wè (adj. et certains pp. du gv.4) (001,003,004,025,228, Charvonnex, Douvaine, Sallanches, Villards-Thônes,...), -u, -wà, -weu (Cordon, Morzine.081), -u, -ouha, -ouhe (002b,008b, Samoëns.010b), -u, -ouwa, -ouwe (002a), -u, -uha, -uhe (008a, Annemasse).
    Fra. Mauvais, piètre: mal(a)tru, -wà, -wè (001,020, Nonglard | 003,004,145b, Genève), malatru, -ouha, -ouhe (010a,145a). Voir aussi: Bosselé, Bossu, Dru. 38) -ai / -ê, -aita / -êta, -e (001b,003,004 / 001a). Ainsi: ADRAI, -TA, -E < adroit> (001,003,004). 39) -in, -in-na, -e (001,002,003,004).
    Fra. MALIN, -NA, -E < malin> (001,003,004). 3a) -eû, -eûza, -e (001,002,215, Montendry.219), -aa, -aaza, -e (Montagny-Bozel), -aô, -aôza, -e (081). Ainsi: krinkèlyeû, -za, -e < sourcilleux> (219) ; korajeû (001) / korazeû (215) / korazhyeû (002), -ZA, -E < courageux>. 3b) -ò, -oza, -e || -u, -uza, -e (228), -ò, -oyza, -e || -eu, -euza, -e (001).
    Fra. Heureux: érò, -za, -e < heureux> (228).
    Fra. Connaissance, visiteur, compagnon, collègue: konyâtu, -za, -e (228).
    Fra. Peureux: pwérò / pwéreu, -oyza / -euza, -e (001). 4) À St-Martin-Porte, l'adj. masc. est indiqué par la finale -ô atone quand elle existe, le fém. par la finale -i atone après sh, zh, ch, j, gr, ly, ny, tch, dj et parfois z, et par -o (= -ò atone) dans les autres cas. Après un -zhô issu d'un -rô intervocalique, on peut trouver au fém. sing. les finales atones -zhi ou -zho (-o = -ò atone). Après une consonne, on ajoute au fs. les finales atones -i ou -o (-o = -ò atone). Au fém., si la voyelle finale fs. est atone. la finale fpl. est toujours -ê atone ; si la voyelle finale fs. est tonique -ò, la finale est -é tonique ; au pp. la finale fs. tonique - â (v. en -are) ou -ò (v. en -yare) devient -é tonique. Au masc., si la voyelle finale ms. est atone ou inexistante, pas de changement au pl. ; si la voyelle finale ms. est la voyelle tonique -ò, la finale pl. est -é tonique ; toutes les autres voyelles finales ms., ne changent pas au pl., que ce soient les adj. en -à, -i ou -u ou les pp. -â (v. -are) ou -i (v. en -ire).
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    Dictionnaire Français-Savoyard > adjectif

  • 3 balustrade

    nf., rampe d'escalier, barrière, garde-fou, garde-corps, rambarde ; balustrade de balcon (en bois, ciment, pierre ou fer): BARANYE (Aix, Albanais, Annecy, Thônes.004), bâranye (St-Jean-Arvey) ; balandri (004, Genève, Villards- Thônes) ; borantla < râtelier> nf. (Saxel.002) ; balustrâda (Arvillard). - E.: Balcon, Balustre, Barrière, Parapet, Perche.
    A1) petite balustrade placée au bord du lit pour retenir les couvertures et empêcher le dormeur de tomber: revir-fou < retourne-fou> nm. (002).
    A2) main courante, barre d'une rampe d'escalier ou partie d'un balcon sur laquelle la main peut s'appuyer: man koranta nf. (002), bâra (dè dsu) < barre (de dessus)> (Albanais.001).
    A3) tablette // table balustrade d'une balustrade formant appui (elle est soutenue par des balustres): TÂBLYA nf. (001).
    Fra. La table de communion (formant barrière entre le choeur et la nef et devant laquelle les fidèles viennent s'agenouiller pour communier): la tâblya d'komnyon (001).

    Dictionnaire Français-Savoyard > balustrade

  • 4 boueux

    adj., fangeux (pro.), plein // rempli boueux de boue (de terre), (ep. d'un chemin, d'un jardin, d'une cour, d'un sol, d'un terrain où l'on salit ses chaussures et ses vêtements, d'une eau courante qui charrie de la boue): anpakotâ, -âye, -é pp. (Saxel.002), pakotu, -wà / -ouha, -wè / -ouhe adj. (Taninges / 002) || ê- (Albanais.001) / inpatyokâ (Vaulx) / patyokâ, -â, -é (Arvillard.228), R.2 => Boue (pakò) ; plyin, -na, -e boueux d'pèté < plein de boue> (001) ; de mêrda < de merde> ladj. inv. (228).
    A1) boueux, couvert // crotté // éclaboussé // maculé // sali // souillé // taché boueux de boue terreuse // de terre humide, boueux, (ep. de vêtements, de chaussures...): plyin, -na, -e boueux d'têra // d'pèté <plein // rempli boueux de terre boueuse // de boue> (001) ; gandrolyà, -à, -è pp. (001) ; antêrolâ, -âye, -é (002, Juvigny).
    B1) v., rendre boueux, mettre de la boue sur (ou dans): ê- (001) / inpatyokâ (228), C. al êpatyôke < il rend boueux> (001) || inpakotâ (Vaulx), R.2.

    Dictionnaire Français-Savoyard > boueux

  • 5 cache-cache

    nm., cligne-musette, (jeu d'enfants): BUFLO nm. (Albanais.001, Annecy.003, Genève.022, Thônes.004, COD.) ; ékwé nmpl. (001, Alberville.021, FON.) ; ilé nm. (022, Massongy) ; kashe nf. (Leschaux.006), kashe-glyènê nm. (Gruffy.014), kash(e)-kashe nm. (001,004, Villards-Thônes, PPA.), kache-kache (Montagny-Bozel) ; klikli mouchèta nf. (022) ; klyure nf. (Annecy-le-V.092) ; pèlyô nmpl. (Balme-Si.020) ; sinti-kaye (Cordon) ; tèlô nf. (092) ; dôche nf. (004, Clefs.089, Manigod.98), dôsse (Reignier.041), tô (kashinta) (003), toshe < touche> (Saxel.002), totche (Valais), tôche (nfpl. à Genève et à Gex) ; totu (004), R. => Nigaud ; tronpa nf. (089) ; yè-yè, you-you (004).
    Fra. Jouer à cache-cache: zhoyî cache-cache à buflo // à totu (004), à (la) klyure, à la tèlô (092), à kash-kashe (001), éz ékwé (001), à la kashe (006), à kashe-glyènê (014), à lô pèlyô (020), à la tô (003), à ilé (022, Massongy), à klikli mouchèta (022) ; douèyî à la toshe (002), à la dôsse (041), à dôche (004), à totchea (Valais), à tôche (Gex) ; à tronpa (089).
    A1) meneur de jeu, celui qui doit compter et chercher: konyò / -eu, -za, -e < cogneur> nm. (001).
    A2) but, lieu d'où part celui qui doit découvrir les autres et que le premier joueur découvert doit toucher pour ne pas être pénaliser: dôcha nf. (004,098).
    A3) autre jeu: tô korinta < touche courante> nf. (001). - N.: Dans ce jeu, on ne se cache plus et on ne compte plus. Le meneur de jeu doit essayer de toucher un joueur avant que celui-ci touche le but. Le joueur touché devient à son tour meneur de jeu. Ce jeu demande beaucoup de ruse et de rapidité.
    B1) v., mener le jeu, compter: konyî <cogner = taper> vi. (001), boûshi <boucher = taper> vi. (002), kontâ < compter> (001).
    B2) crier buflo ou vyû de la part du cogneur qui a découvert qq. de caché: buflâ (001,003,004,005,022).
    C1) intj., cri poussé par le dernier joueur caché pour donner au cogneur le signal de la recherche: âyêê (001), é kwé <c'est cuit = les jeux sont faits> (001,021).
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------
    Au jeu de cache-cache, le meneur se met dans un coin ou s'appuie contre un mur ou un arbre, le but, les yeux fermés, la tête sur l'avant-bras, pendant que les autres joueurs cherchent des cachettes. Pour déclencher le signal de la recherche, soit le meneur de jeu compte jusqu'à 50, soit le dernier joueur caché crie â-yê. Le meneur doit chercher à découvrir les cachettes des autres ; le premier joueur découvert avant d'avoir réussi à toucher le but, devient à son tour le meneur.
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------

    Dictionnaire Français-Savoyard > cache-cache

  • 6 colique

    nf. KOLIKA (Albanais.001, Annecy.003, Beaufort).
    A1) colique, douleur d'entrailles ; péritonite, occlusion intestinale: mâ d'vêtro nm. (001).
    A2) colique néphrétique: mâ lé rin nm., (nf., si la crise est aiguë) (001).
    A3) colique hépatique: mâ d'fèzho nm., mâ u fèzho nm., (nf., si la crise est aiguë).
    Fra. Il a mal au foie: al mâ u fèzho // al a on mâ d'fèzho (001).
    Fra. Il a un de ces maux de foie: al a na mâ u fèzho < il a une de ces mal au foie> (001).
    A4) colique de plomb (causée par le saturnisme): kolika d'plyon nf. (001).
    A5) diarrhée, colique avec selles liquide fréquentes: RAFA nf. (001,003, Cordon.083, Genève, Morzine.081, Saxel.002, Thônes.004, Vaud, Venthon, Villards-Thônes.028), R.3 => Boue ; fwêra nf. (002), fwira (Albertville.021), R. / fr. foire < l. foria ; kôr du vantre nm. (002), R. => Averse ; koranta < courante> nf. (002), korêta (001), korinta (004,028) ; bdala nf. (003), gdala nf. (002), kdêla (Albiez), mdala nf. (001, BEA., FON.) || rèda nf. (021), rida (Tignes), R.2 => Fuir ; kakèta nf. (001), kaka-vito (Épagny). - E.: Embarrasser.
    A6) diarrhée des animaux: réra < éclaircie> nf. (002), D. => Éclaircir.
    A7) diarrhée passagère: korsa < course> (001).
    A8) diarrhée // colique colique verte des bébés: malè < malet> nm. (002,083).
    A9) dysenterie, diarrhée colique sanglante / sanguinolente, flux de ventre: fleur de san nf. (Albertville).
    B1) v., donner la diarrhée: fére kore < faire courir> vi., fotre la rafa fa. (001).
    B2) avoir la diarrhée: avai colique la rafa // na korsa (001) ; RAFÂ (001,081, Genève, Vaud), R.3.
    C1) adj., qui a la diarrhée: inrafâ, -â, -é (001), R.3 ; rèdan, -na, -e (021), rèdaré, -la, -e (021), R.2. - E.: Marigny-Saint-Marcel.
    D1) expr., va au diable: te kourè le vantro < que ça te cure le ventre> (002) !

    Dictionnaire Français-Savoyard > colique

  • 7 eau

    nf. ; flot ; vague ; marée: édya / -e (Annemasse, Choisy, Clermont, Cordon.083b, Juvigny, Magland, Ollières, Reyvroz, Sallenôves, Saxel.002, Thorens-Glières), édza / -e (083a), ÉGA nf. (Aillon-V., Aix, Albanais.001, Albertville.021, Alby-Chéran, Annecy.003, Arêches, Arvillard.228, Attignat-Oncin, Balme-Si.020, Bellecombe- Bauges, Billième, Bozel, Chambéry.025, Clefs, Conflans, Doucy-Bauges, Giettaz, Gruffy, Jarrier, Leschaux, Marthod, Maxilly-Léman, Montagny-Bozel.026b, Montendry, Montricher.015b, Notre-Dame-Be., Pringy, Quintal, St-Jean-Arvey, St- Jorioz, St-Nicolas-Cha., St-Pancrace, St-Pierre-Alb., Sevrier, Table, Thônes.004, Villards-Thônes), éva (015a, Abondance.031b, Aussois, Chamonix, Montroc, Peisey, Ste-Foy, Termignon), éwa (031a, Bellevaux, Morzine.081b), éwè (081a), èyva (Tignes) || ègo nf. (St-Martin-Porte.) || yâka (026a), R. l aqua, D. => Humide. -E.: Bénit, Échouer, Lessive, Prise, Souffler, Suer.
    A1) eau eau stagnante // morte ; personne sournoise: édye meûrta nf. (002).
    A2) eau stagnante // mare // marais, de couleur jaunâtre ou verdâtre: sonbyéra nf. (021).
    A3) eau trouble ; eau vaseuse: laveura < lavure> nf. (001).
    A4) eau qui bout: barbo nm., kwà nf. (001).
    Fra. Des pommes de terre eau cuites en robe des champs // bouillies avec la peau: d'tartiflye u barbo (001).
    Fra. Des raves simplement cuites à l'eau: d'râve à la kwà < des raves à la queux> (001).
    A5) eau bouillante: éga bolyêta nf. (001).
    A6) petite ruisseau: égtà < petite eau> nf. (Taninges).
    B1) v., remuer une eau malpropre, s'amuser avec de l'eau: gabolyî vi. (001). - E.: Brouillard, Laver.
    B2) mettre de l'eau courante sur un terrain, irriguer ; doubler l'eau pour le pain de seconde qualité: égâ vt. (021).
    B3) répandre de l'eau: éwâ (003, St-Paul-Cha., Samoëns), évâ (Alex).
    B4) mettre à flot: ptâ à l'éga vt. (001).
    B5) être à flot: étre à l'éga vi. (001). - E.: Flotter.

    Dictionnaire Français-Savoyard > eau

  • 8 jouet

    nm., joujou: jou-è (Albanais 001b), jouè (001a, Villards-Thônes) ; enf., joujou (001), bibi (Chambéry, Genève). - E.: Boisson, Jeu.
    A) différents jouets: Bille, Canonnière, Clifoire, Fronde, Toupie.
    A1) espèce de yo-yo horizontal fait avec une noisette et une pomme, ou un noyau d'abricot et une pomme de terre, (pour la description, voir COD 349a4): rdé nm. (Thônes 004), R. COD. rdâ < fuir avec épouvante la queue levée> ; virè (001, 004, Annecy 003, St-Germain-Talloires 007) ; brègo < rouet> (Beaufort).
    A2) petit moulin ou moulinet d'enfant qui tourne dans une eau courante: virolè nm. (003, 004, 007) ; molin (001).
    A3) toton, petite toupie: virolè nm. (COD), virè (003), tonton (003).

    Dictionnaire Français-Savoyard > jouet

  • 9 main

    nf. MAN (Aillon-Vieux, Aix 017, Albanais 001, Annecy 003, Albertville 021, Arvillard, Balme-Sillingy 020, Bauges, Billième, Bogève, Chambéry 025, Cohennoz, Combe-Sillingy 018, Compôte-Bauges, Doucy-Bauges, Gets, Giettaz, Gruffy 014, Jarrier, Macôt-Plagne, Leschaux 006, Marthod, Montagny-Bozel 026, Montendry, Morzine, Notre-Dame-Bellecombe, Reyvroz, St-Jean-Arvey, St-Martin-Porte 203b fs., St-Pierre-Faucigny, St-Nicolas-Chapelle, Ste-Reine, Saxel 002, Table, Thoiry, Thônes 004, Thonon, Tignes 141, Villards-Thônes 028), mân (203a fpl.), mon (St- Jeoire-Faucigny) ; enf., nina nf. (001, 004), ninina (001). - E.: Aider, Côté, Empan, Linge, Mariage, Orchis, Poignée, Prendre, Presser, Revers, Toucher.
    A1) main courante = Balustrade.
    A2) main chaude => Jeu.
    A3) tour de main => Façon.
    B1) adj., qui a de grosses mains: patu, -wà, -wè (017, 018).
    C1) v., serrer la main (pour dire bonjour): toshî la man < toucher la main> (001).
    C2) tendre la main (pour se dire bonjour, pour se réconcilier) ; aider: balyé (025) / -î (001, 028, 141) main la man < donner la main>.
    C3) joindre les mains: fére Jézu (026).
    D1) ladv., à pleine main, en tenant dans la main: à la pounyà < à la poignée> (002).
    E1) expr., ne pas y aller de main morte, agir avec vigueur: ne pâ main y alâ /// balyî /// étre main de man blèshe <ne pas main y aller /// donner /// être main de main blette> (002), ne pâ y alâ d'la man gôshe < ne pas y aller de la main gauche> (004), pâ y alâ awé lè dsu d'la klyé < ne pas y aller avec le dos de la cuillère> (001).
    E2) pour mettre la dernière main: pè fini l'darî kou < pour finir la dernière fois> (001 AMA), pè ptâ la darîre man (001).

    Dictionnaire Français-Savoyard > main

  • 10 manger

    vt., consommer ; grailler, bouffer, boulotter ; paître, brouter, (ep. des animaux) ; (en plus à Morzine) boire: bdj(y)î (Albanais 001fC, Vaulx 082 | 001eB, Ansigny 093b, Moye 094b), bdyî (001dA, 093a, 094a), mdjé (Albertville 021b VAU, Doucy-Bauges 114, Drumettaz 190, Montagny-Bozel 026), m(eu)djê (CôteFrançais - Savoyard 1045 Aime 188b, Peisey 187b | 187a), m(eu)hhyé (Jarrier 262), mdj(y)î (001cC FON, Chautagne | 001bB), MDYÎ (001aA, Alby-Chéran, Annecy 003, Balme-Sillingy 020, Chapelle-St-Maurice 009, Combe-Sillingy 018, Leschaux 006, Sevrier 023), m(e)dyé (Thoiry 225 | Aix 017, Chambéry 025c), mdzè (188a), mejé (021a), mendjiye (Faeto), m(e)zhé, m(eu)zhé (025b, Arvillard 228b | 025a, 228a, Compôte- Bauges 271b, St-Pierre-Albigny 060, Table 290), m(e)zhî, m(eu)zhî (Bellevaux 136, Clefs 132, Cordon 083b, Magland, Mésigny, Morzine 081, Reyvroz 218a, Saxel 002b, Thônes 004, Villards-Thônes 028 | 002a, 083a, 218b, 271a, Douvaine 033, Frangy 039, Monnetier-Mornex, Morzine 081, Lully 137, Valleiry 105), mezdî (Praz-Arly), mezhyé (Attignat-Oncin), mezhyézh (St-Martin-Porte), m(e)zyé (Notre-Dame-Bellecombe 214, Giettaz 215b | 215a, St-Nicolas-Chapelle 125), midjî (Tignes 141), mi-ndjér (Lanslevillard 286), mzhiye (Billième 173), C. 1 ; pekâ (003, COD 347a-8) ; kassâ < casser> fa. (001) ; krossi < craquer> gv.3 (025). - E.: Aliment, Boire, Détruire, Dilapider, Disputer (se), Dévorer, Faillite, Foin, Gonflé, Mangeur, Médire, Quereller (Se), Remanger, Ronger, Ruiner (Se), Terre, Téter.
    Fra. Mange un morceau avec nous (invitation courante et familière): bdyè / meuzhe manger on bokon awé no (001, 093 / 002).
    A1) manger vite: déblotâ < dépouiller de ses feuilles> fa. (002), êfornâ < enfourner> (001).
    A2) chipoter, pignocher, mangeotter, manger du bout des manger lèvres // dents, lentement, sans appétit, avec nonchalance, par petits morceaux, en triant les meilleurs morceaux ; manger mal en épluchant tous les mets et en laissant une partie dans son assiette: mâmwin-nâ vi. (001), mzhotâ (002), mwashî su (kâkran) (002), pilyossî < épouiller> (002), pinyoshî (001, 082), bèkatâ < becqueter> (028).
    A3) manger par petits morceaux, grignoter, manger un petit gâteau ou une petite tranche de pain ; prendre avec ses doigts de petits morceaux (de pain, de tomme): égronyatâ (002) ; boknâ (021), R. bokon < morceau>. - E.: Mordiller, Ronger.
    A4) pignocher, manger du bout des manger lèvres // dents, manger manger des broutilles /// brin à brin, (ep. des herbivores, des chèvres): pèlotâ vi., C. é pèlôte < il pignoche> (001), R. Peler ; bustelyé (021), R. Bûche. - E.: Tatillonner.
    A5) manger lentement en choisissant les meilleurs manger morceaux /// herbes (ep. des animaux domestiques): pèloshî vi. (001, Sallanches), C. é pèlôshe < il mange lentement> (001), R. Peler ; pyournâ (083).
    A6) manger // avaler manger en glouton // gloutonnement // avidemment, bâfrer, s'empiffrer, se goinfrer, bouffer, engloutir (la nourriture), dévorer: BÂFRÂ vt. /vi. (003, 004), bofrâ (Albertville 021) ; bofâ (003, 004, 021, 028), boufâ (Moûtiers) ; êbofâ (020) ; êgofâ, ingofâ (021) ; êfornâ < enfourner> (001) ; koti (Samoëns 010). - E.: Brelan, Guilledou.
    A7) manger gloutonnement en faisant claquer les lèvres d'une manière désagréable: flokâ vt. (021), R. onom.. - E.: Flasque.
    A8) manger outre mesure, trop manger, se charger l'estomac de trop de nourriture: shardî bèkè < charger luge> vi. (002), prêdre na parâ (021). - E.: Repas.
    A9) manger ce qui reste au fond manger d'un plat // d'une assiette // d'une marmite, finir // racler // gratter // enlever manger ce qui reste au fond d'un plat (avec une cuillère, un croûton de pain ou les doigts) pour le manger, essuyer // nettoyer manger son assiette (avec un morceau de pain qu'on mange ensuite) ; lécher un plat (ep. d'un animal): amassâ vt. (001, 002), râklyâ (001).
    A10) manger son pain avec autre chose (fromage, chocolat, confiture, fruits...) de manière à finir les deux choses en même temps: s'ap(e)danfî vp. (002 | Douvaine, COD 20b10), s'apidansî (006).
    A11) faire manger beaucoup de pain (ep. d'un fromage fort ou d'une tomme très salée): apdanfî vi. (002).
    Sav. Y apdanfe ran < ça ne fait pas manger beaucoup de pain> (002).
    A12) manger un morceau de pain avec du fromage après la soupe ou à la fin d'un repas, pour finir de se rassasier: boushî < boucher> vi. (001, 002).
    A13) manger qc. (bout de pain, amuses-gueules, biscuits, gâteaux...) pour atténuer les effets capiteux d'un vin blanc ou d'un alcool: boushî < boucher> vt., kopâ <couper (le vin, l'alcool)> (001).
    A14) manger en gourmand, se régaler en mangeant: se bdyî < se manger> vpt. (001).
    A15) manger, casser la graine: kassâ la grolye (025). - E.: Dilapider.
    A16) se passer de manger, sauter un repas: bdyî su lô shvô d'bwè < manger sur les chevaux de bois> (001) ; seûtâ la lota < sauter la hotte> (002).
    A17) n'avoir rien à manger manger // se mettre sous la dent: avai ryin à s' kilâ dzeu la din (228).
    A18) donner à // faire manger manger: vyandâ vt. (St-François-Bauges), balyî à mzhî (083). - E.: Foin, Viande.
    A19) manger // croquer manger des croûtons de pain: krotsnâ (026).
    A20) expr., manger: sè btâ pè l'grwê < se mettre par la bouche> (Aillon-Vieux).
    A21) manger manger un morceau // un bout, faire une collation, casse-croûter, se restaurer: bdyî (001) / mdjé (190) manger on bokon (001, 190) / on bè (001).
    B1) n., personne qui mange de bonnes choses en cachette: gouta-solè < dîne-seul> nm. (002).
    B2) personne qui fait la moue devant tous les plats qu'on lui présente: potringa < drogue> nf. chf. (020). - E.: Délicat.
    B3) enfant qui réclame toujours à manger: brâma-fan < affamé> nm. (001).
    B4) bête qui mange de tout ce qu'on lui présente: bona gourza < bon gosier> nf. (021).
    B5) bête reniflant sur la nourriture, mauvaise mangeuse: môvéza gourza < mauvais gosier> nf. (021).
    C1) expr., ne pas manger à sa faim, ne pas pouvoir se rassasier: mzhî à midan (002) ; pâ bdyî à sa fan < ne pas manger à sa faim>, rèstâ su sa fan <rester sur sa faim ; ne pas connaître manger la fin // le dénouement manger d'une histoire> (001).
    --C.1-------------------------------------------------------------------------------------------------
    - Ind. prés.: (je) bdjo (001c, 082), bdyo (001b, 093, 094), maicho (Aussois 287), mdyo (001a, 003), mèdyo (003, 017), mèdzeu (026), mèzo (021), mindzô (286), mzho (004), mzhè (081) ; - (tu, il) bdju (001d, 082), bdyè (001c, 093), bdyu (001b, 094), mache (287), mdyè (001, 006), mdyu (001a, 003, 009, 020, 023, Boussy, Chapelle-St-Maurice), médye (025), mèdze (026), meje (021), mèze (125), meuzhe (002, 083, 173, 203, 218), mzhè (010, 081), mzhi (004) ; - (nous) mdyin (001b, 003), bdyin (001a, 093, 094), mzhin (004) ; - (vous) mdyî (001b, 003, 020), bdyî (001a, 093, 094), mzhî (004) ; - (ils) mdyon (001b, 003, 020), bdyon (001a, 093, 094), mzhan (004), mejon (021), mèdyon (017), meuzhan (002, 083), mèzan (125, 215), mzan (Marthod). - Ind. imp.: (je) bdyivou (001), mzhivo (004), mdyivo (003) ; (tu) bdyivâ (001) ; (il) bdyive (001), m(e)djéve (026 | Aussois), mèdyéve (017), mezdive (Megève), m(e)zhéve (228), mzhive (081) ; (vous) bdyivâ (001) ; (ils) bdyivô (001), mdjévon (026), mdzévon (188), m(e)dyévon (025), m(e)zhivan (136 | Chamonix), mezyévan (214), midjiva-n (141), mzhévan (228). - Ind. fut.: (je) bdyèrai (001) / mzhèrai (004, 028) / mdyèrai (003) ; te manger bdyèré (001) / mezheré (002) | t'mèdzèré (026) ; é manger bdyèrà (001) / mzhrà (002) | a mèdyèrà (017). - Cond. prés.: de manger bdyèri / bdyèrou (001), é bdyèrè (001) // a mèdyèrè (017) // â mejére (021). - Subj. prés.: (que je) bdyézo (001) ; (que tu) bdyéze (001), mzhêze (028) ; (qu'il) mezai (125) ; (qu'ils) mdzissan (026). - Subj. imp.: k'de bdyissou (001). - Ip.: bdyè (001, 093), bdyu (001, 094), mdyu (020), mezhe (002), mèdz (026) ; bdyin (001) ; bdyî (001), myé (262). - Ppr.: bdyêê (001), meuzhêê (271), mzhan (083), medyin (025), mdzêê / -in (026). - Pp.: bdj(y)à (001d, 114 | 001c) / bdyà (001b PPA) / mdjà (Aillon-Vieux) / MDYÀ (001a, 003, 006, 018, 020, 023, 225) / medyà (017b) / mèdyà (017a, 025) / m(e)jà (004b | 021) / m(eu)zhà (004a, 060b, 136, 228 | 060a, 290) / mèzhyà (033, 137) / mzyà (Marthod), -À, -È / -eu (060) || mzhyà, -à, -eu (002, 083, Bogève, Gets), mèzhiha, -iha, -ihe (039, 105) || machan nm. (287), mdjà (026, 188), mzhi (081), m(e)zhyà (132 | 218), mezyà (215). - Av.: bdyu, -wà, -wè (001).
    -------------------------------------------------------------------------------------------------------
    nm., graille, bouffe ; les repas: mzhî nm. (Saxel, Morzine), mdyî (Annecy).

    Dictionnaire Français-Savoyard > manger

  • 11 moulinet

    nm. MOLINÈ (Albanais, Chambéry, Villards-Thônes), R. Moulin.
    A1) petit moulinet accroché dans un arbre ou au bout d'une perche, tournant au vent et frappant sur une ardoise pour faire peur aux oiseaux qui mangent les cerises ou autres fruits ; sorte de petit moulin muni d'un petit marteau qui frappe sur une faux ou sur une plaque de fer et qui sert d'épouvantail: tapè nm. (Albertville 021, Saxel). - E.: Bavard.
    A2) moulinet d'enfant qui tourne dans une eau courante: vèrè nm. (021).
    A3) moulinet (geste): vira-vira nf. (Arvillard).

    Dictionnaire Français-Savoyard > moulinet

  • 12 rincer

    vt. ranché (Giettaz), ranfî (Saxel 002), rêché (Albertville), rinché (Chambéry), rinfî (Albanais 001b, Moye), rinsî (001a, Ansigny).
    A1) rincer, agiter le linge dans l'eau pour le rincer: bafounyî vt. (002) ; afanfî (Villards-Thônes), R. => Rajouter.
    A2) se rincer le gosier, boire à satiété: s'rinsî l'kornyolon vp. (001), se bonâ < se combuger> (002).
    A3) faire // mettre rincer tremper le linge lavé dans l'eau courante pour le rincer: fâre // mètre rincer ékori le linzho (002).

    Dictionnaire Français-Savoyard > rincer

См. также в других словарях:

  • courante — [ kurɑ̃t ] n. f. • XIVe; de courir 1 ♦ Pop. Diarrhée. 2 ♦ (1515) Mus. Danse française sur un air à trois temps. La courante ouvrait le bal à la cour de Louis XIV. ♢ Cet air, en vogue au XVIIe s. et utilisé dans la suite instrumentale au XVIII …   Encyclopédie Universelle

  • courante — 1. (kou ran t ) s. f. 1°   Ancienne danse très grave, qui se dansait sur un air à trois temps. Elle commençait par des révérences, après quoi le danseur et la danseuse décrivaient en pas de courante une figure réglée qui formait une sorte d… …   Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré

  • courante — COURANTE. sub. fém. Espèce de danse grave. Courante simple. Courante figurée. Danser une courante. Mener une courante. f♛/b] Il signifie aussi Le chant sur lequel on mesure les pas d une courante. Faire une courante. Composer une courante. Jouer… …   Dictionnaire de l'Académie Française 1798

  • courante — Courante. s. f. Est une espece de danse. Courante simple. courante figurée. danser une courante. mener une courante. Il signifie aussi, Le chant sur lequel on mesure les pas d une courante. Faire une courante. composer une courante. jouer une… …   Dictionnaire de l'Académie française

  • Courante — Saltar a navegación, búsqueda La courante, también llamada corrente , coranto o corant es el nombre dado a un familia de danzas ternarias de finales del Renacimiento y principios del período Barroco. Actualmente se suelen usar estos distintos… …   Wikipedia Español

  • Courante — (franz., spr. kurāngt , ital. Corrente, auch Coranto), eine ältere, schon im 16. Jahrh. beliebte Tanzform im Tripeltakt, von lebhafter Bewegung ursprünglich mit Bevorzugung des Rhythmus und breiten Schlüssen später (zu B …   Meyers Großes Konversations-Lexikon

  • courante — (izg. kurȃnt) m DEFINICIJA glazb. pov. francuski društveni ples brzog tempa (od 16. st.), stiliziran ulazi u umjetničku glazbu ETIMOLOGIJA fr.: trčeći ← courir: trčati …   Hrvatski jezični portal

  • courante — [ko͞oränt′ko͞o ränt′] n. [Fr < courant, prp. of courir, to run, glide < L currere, to run: see CURRENT] 1. an old, lively French dance with running steps, or the music for this 2. a stylized dance of this type used as a movement in a… …   English World dictionary

  • Courante — Corrente redirects here. For the surname, see Corrente (surname). The courante, corrente, coranto and corant are some of the names given to a family of triple metre dances from the late Renaissance and the Baroque era. Courante rhythm …   Wikipedia

  • Courante — En musique, la courante est une danse, morceau de coupe binaire avec reprises, à 3 temps, précédés d une levée, et de tempo assez vif (moins rapide toutefois que ce que suggère son nom). En poésie, c est un poème formé de deux strophes en vers… …   Wikipédia en Français

  • COURANTE — s. f. Espèce de danse grave. Courante simple. Courante figurée. Mener une courante. On ne danse plus la courante.   Il signifie aussi, L air sur lequel on dansait une courante. Composer une courante. Jouer une courante sur le violon …   Dictionnaire de l'Academie Francaise, 7eme edition (1835)

Поделиться ссылкой на выделенное

Прямая ссылка:
Нажмите правой клавишей мыши и выберите «Копировать ссылку»