Перевод: со всех языков на все языки

со всех языков на все языки

non+réclamé

  • 41 cry

    cry [kraɪ]
    1. noun
       a. ( = loud shout) cri m
       b. ( = watchword) slogan m
       a. ( = shout out) crier
    "here I am", he cried « me voici » cria-t-il
       b. to cry o.s. to sleep s'endormir en pleurant
       a. ( = weep) pleurer (about, over sur)
       b. ( = call out) pousser un cri (or des cris)
    * * *
    [kraɪ] 1.
    1) (of person, bird) cri m

    a cry for helpfig un appel à l'aide

    there were cries of ‘shame!’ — les gens criaient au scandale

    2) ( of hounds)

    to be in full cry[pack] donner de la voix

    the press were in full cryfig la presse était sur la brèche

    2.
    1) ( shout)

    ‘no!’ he cried — ‘non!’ cria-t-il

    2) verser [larmes]
    3.
    1) ( weep) pleurer ( about à cause de; with de)
    Phrasal Verbs:
    ••

    to cry one's eyes ou heart out — pleurer à chaudes larmes

    English-French dictionary > cry

  • 42 ideëel

    [denkbeeldig] ideal
    [gericht op de verwezenlijking van een idee] idealistic
    voorbeelden:
    2   ideële reclame non-commercial advertising

    Van Dale Handwoordenboek Nederlands-Engels > ideëel

  • 43 call

    call [kɔ:l]
    appeler1 (a), 1 (b), 1 (f), 2 (a), 2 (b), 2 (d), 2 (g) pousser un cri1 (c) passer1 (d) s'arrêter1 (e) réveiller2 (c) appel3 (a)-(c) visite3 (d)
    if you need me, just call si tu as besoin de moi, tu n'as qu'à (m') appeler;
    she called to her son in the crowd elle appela son fils dans la foule;
    to call for help appeler à l'aide ou au secours
    where are you calling from? d'où appelles-tu?;
    it's Alison calling c'est Alison à l'appareil;
    who's calling? qui est à l'appareil?, c'est de la part de qui?;
    may I ask who's calling? qui est à l'appareil, je vous prie?
    (c) (animal, bird) pousser un cri
    (d) British (visit) passer;
    did the postman call? est-ce que le facteur est passé?;
    I'll call at the butcher's on the way home je passerai chez le boucher en revenant à la maison;
    do call again n'hésitez pas à revenir;
    I was out when they called je n'étais pas là quand ils sont passés
    (e) British (stop) s'arrêter;
    to call at (train) s'arrêter à; (ship) faire escale à
    (f) Cards (in bridge) appeler (l'atout); (in poker) forcer l'adversaire à déclarer son jeu
    to call sb's name appeler qn;
    can you call the children to the table? pouvez-vous appeler les enfants pour qu'ils viennent à table?;
    "be careful!", he called "attention!", cria-t-il;
    School to call the roll faire l'appel
    (b) (telephone) appeler;
    who's calling? qui est à l'appareil?;
    call me tonight appelle-moi ce soir;
    don't call me at work ne m'appelle pas au bureau;
    we called his house nous avons appelé chez lui;
    to call the police/fire brigade appeler la police/les pompiers;
    humorous euphemism don't call us, we'll call you on vous écrira
    (c) (wake up) réveiller;
    can you call me at nine? pouvez-vous me réveiller à 9 heures?
    he has a cat called Felix il a un chat qui s'appelle Félix;
    she was called "Ratty" as a child on l'appelait "Ratty" quand elle était enfant;
    British he was called Charles after his grandfather on l'a appelé Charles comme son grand-père;
    to call oneself a colonel s'attribuer le titre de colonel;
    what's this called? comment est-ce qu'on appelle ça?, comment est-ce que ça s'appelle?;
    she called him a crook elle l'a traité d'escroc;
    are you calling me a thief? me traitez-vous de voleur?;
    to call sb names injurier qn, invectiver qn;
    they called him all sorts of names or every name in the book ils l'ont traité de tous les noms
    Denver is where I call home c'est à Denver que je me sens chez moi;
    he had no home to call his own il n'avait pas de chez lui;
    she had no time to call her own elle n'avait pas de temps à elle;
    (and you) call yourself a Christian! et tu te dis chrétien!;
    I don't call that clean ce n'est pas ce que j'appelle propre;
    British let's call it £10, shall we? disons ou mettons 10 livres, d'accord?;
    let's call it a day si on s'arrêtait là pour aujourd'hui?
    to call an election annoncer des élections;
    to call a meeting convoquer une assemblée;
    to call a strike appeler à la grève
    (g) (send for, summon) appeler, convoquer;
    he was called to the phone on l'a demandé au téléphone;
    to call the doctor faire venir le médecin, appeler le médecin;
    she was suddenly called home elle a été rappelée soudainement chez elle;
    to be called away on an emergency être appelé en urgence;
    he's been called away, his mother is ill il a dû s'absenter parce que sa mère est malade;
    he was called to his regiment il a été rappelé à son régiment;
    she was called as a witness elle a été citée comme témoin;
    he called me over il m'a appelé;
    to call sth into being former qch
    to call a loan exiger le remboursement d'un prêt
    (i) Sport (declare, judge) juger;
    he called it out il a jugé qu'elle était dehors
    (j) Cards (in bridge) annoncer; (in poker) demander
    (k) to call heads/tails choisir face/pile
    to call sth to mind rappeler qch;
    the scenery calls to mind certain parts of Brittany le paysage rappelle un peu certaines parties de la Bretagne;
    to call sth into play faire jouer qch;
    market forces will soon be called into play on fera bientôt jouer les lois du marché;
    to call sth into question remettre qch en question;
    she called into question his competence as a doctor elle a mis ses compétences de médecin en doute;
    familiar to call the shots or British tune faire la loi
    3 noun
    (a) (cry, shout) appel m; (of animal, bird) cri m; (of bugle, drum) appel m;
    figurative the call of the sea l'appel du large;
    he showed dedication (above and) beyond the call of duty il a fait preuve d'un dévouement bien au-delà de ce qu'on était en droit d'attendre de lui;
    a call for help un appel à l'aide ou au secours;
    to give sb a call (waken) réveiller qn
    (b) (on telephone) appel m;
    can I make a call? puis-je téléphoner?;
    to put a call through passer une communication;
    to make a call passer un coup de téléphone;
    there's a call for you on vous demande au téléphone;
    to take a call prendre un appel;
    I'll give you a call tomorrow je t'appelle demain;
    how much does a call to Italy cost? combien est-ce que ça coûte d'appeler en Italie ou l'Italie?;
    he's on a call il est en ligne;
    to return sb's call rappeler qn
    (c) (summons) appel m;
    to come at/answer sb's call venir/répondre à l'appel de qn;
    to be within call être à portée de voix;
    this is the last call for passengers for Bordeaux ceci est le dernier appel pour les passagers à destination de Bordeaux;
    call for tenders appel m d'offres;
    euphemism to obey or answer a call of nature satisfaire un besoin naturel
    (d) (visit) visite f;
    British to make or pay a call on sb rendre visite à qn;
    British she had several calls to make in the neighbourhood elle devait rendre quelques visites dans le voisinage;
    the doctor doesn't make house calls le médecin ne fait pas de visites à domicile
    the ship made a call at Genoa le navire a fait escale à Gênes
    (f) (demand, need)
    there have been renewed calls for a return to capital punishment il y a des gens qui demandent à nouveau le rétablissement de la peine de mort;
    there is little call for unskilled labour il n'y a qu'une faible demande de travailleurs non spécialisés;
    there's no call to shout il n'y a aucune raison de crier;
    there's no call for rudeness! pas besoin ou ce n'est pas la peine d'être impoli!;
    you have first call on my time je m'occuperai de vous en premier lieu
    (g) Stock Exchange option f d'achat, call m;
    call of more option f du double
    (h) Finance (for repayment) demande f (d'argent);
    call for capital appel m de fonds;
    payable at call payable sur demande ou à présentation ou à vue
    (i) Sport (decision) jugement m
    (j) Cards (in bridge) annonce f; (in solo, whist) demande f
    (k) Religion vocation f;
    he felt a call (to the ministry) il se sentait une vocation religieuse
    your call pile ou face?;
    it's your call! c'est à toi de décider
    (doctor, nurse) de garde; (police, troops) en éveil; (car) disponible; Finance (loan) remboursable sur demande
    ►► call alarm alarme f (pour personne âgée ou handicapée);
    Telecommunications call barring interdiction f d'appels;
    Telecommunications British call box (telephone box) cabine f téléphonique; American (on roadside) borne f d'appel d'urgence;
    call button bouton d'appel;
    Commerce call centre centre m d'appels;
    Telecommunications call connection établissement m d'appel;
    Telecommunications call diversion transfert m d'appel;
    Stock Exchange call feature = clause de remboursement anticipé au gré de l'émetteur;
    Telecommunications call forwarding redirection f d'appel;
    Telecommunications call forwarding device dispositif m de redirection d'appel;
    call girl (prostitute) call-girl f;
    Telecommunications call holding mise f en attente d'appels;
    Telecommunications call key touche f d'appel;
    call letter avis m d'appel de fonds;
    American Radio call letters indicatif m d'appel (d'une station de radio);
    Finance call loan prêt m à vue, prêt m remboursable sur demande;
    Finance call money argent m au jour le jour;
    American call number (on library book) cote f;
    Stock Exchange call option option f d'achat, call m;
    Stock Exchange call price cours m du dont;
    Telecommunications call screening filtrage m d'appels;
    Computing call sequence séquence f d'appel;
    Radio call sign indicatif m d'appel (d'une station de radio);
    Telecommunications call waiting signal m d'appel;
    Telecommunications call waiting service signal m d'appel;
    call warrant warrant m à l'achat
    prendre à part
    she was called away from the office on l'a appelée et elle a dû quitter le bureau;
    she's often called away on business elle doit souvent partir en déplacement ou s'absenter pour affaires
    (a) (on telephone) rappeler;
    I'll call you back later je te rappelle plus tard
    (b) (ask to return) rappeler;
    I was already at the door when she called me back j'étais déjà près de la porte lorsqu'elle m'a rappelé
    (a) (on telephone) rappeler;
    can you call back after five? pourriez-vous rappeler après cinq heures?
    (b) (visit again) revenir, repasser;
    I'll call back tomorrow je reviendrai ou repasserai demain
    he called down the wrath of God on the killers il appela la colère de Dieu sur la tête des tueurs
    he called for her at her parents' house il est passé la chercher chez ses parents;
    whose is this parcel? - someone's calling for it later à qui est ce paquet? - quelqu'un passera le prendre plus tard
    (b) (put forward as demand) appeler, demander; (of agreement, treaty) prévoir;
    the opposition called for an official statement l'opposition a exigé ou demandé une déclaration officielle;
    the police are calling for tougher penalties la police réclame des sanctions plus fermes
    (c) (require) exiger;
    the situation called for quick thinking la situation demandait ou exigeait qu'on réfléchisse vite;
    this calls for a celebration/a drink! il faut fêter/arroser ça!;
    that sort of behaviour isn't called for on se passe bien de ce genre de comportement
    formal provoquer, susciter;
    the article called forth vigorous denials l'article suscita ou occasionna des démentis énergiques
    call in
    (a) (send for) faire venir;
    call Miss Smith in, please faites entrer Mlle Smith, s'il vous plaît;
    an accountant was called in to look at the books on a fait venir un comptable pour examiner les livres de comptes;
    she called the children in (back into the house) elle a fait rentrer les enfants;
    the army was called in to assist with the evacuation on a fait appel à l'armée pour aider à l'évacuation
    (b) (recall → defective goods) rappeler; (→ banknotes) retirer de la circulation; (→ library books) faire rentrer
    (c) Finance (debt) rappeler;
    to call in one's money faire rentrer ses fonds;
    to call in a loan (of bank) demander le remboursement d'un prêt
    she called in at her sister's to say goodbye elle est passée chez sa sœur pour dire au revoir
    (b) (telephone) appeler, téléphoner;
    to call in sick téléphoner pour prévenir qu'on est malade
    (c) Finance (currency) retirer de la circulation
    (a) (appointment, meeting, match, holidays) annuler; (deal) annuler, résilier;
    to call off a strike (before it takes place) annuler un ordre de grève; (when it has begun) mettre fin à une grève;
    to call off one's engagement rompre ses fiançailles;
    the police called off their search la police a arrêté ses recherches
    (b) (dog, attacker) rappeler
    (a) (summon) faire appel à;
    to call on the experts/sb's services faire appel aux ou avoir recours aux experts/services de qn
    (b) (urge, invite)
    to call on sb to do sth demander à qn de faire qch;
    she called on the government to take action elle a demandé au gouvernement d'agir;
    I now call on Mr Stewart (to speak) je laisse la parole à M. Stewart
    (c) (visit) rendre visite à;
    I'll call on her this evening je lui rendrai visite ou je passerai chez elle ce soir
    to call on God invoquer le nom de Dieu
    "over here!" he called out "par ici!" appela-t-il;
    she called out the winning number elle a annoncé le numéro gagnant
    (b) (summon) appeler, faire appel à;
    the army was called out to help on a fait appel à l'armée pour aider;
    the union called out its members for 24 hours le syndicat appela ses adhérents à une grève de 24 heures
    (shout) appeler;
    she called out to a policeman elle appela un agent de police;
    to call out in anger/pain crier de colère/douleur
    exiger
    can I call round this evening? puis-je passer ce soir?;
    your mother called round for the parcel votre mère est passée prendre le paquet
    convoquer
    call up
    (a) (telephone) appeler
    (c) (evoke) évoquer, faire venir à l'esprit
    (d) (summon) appeler, convoquer;
    she was called up for jury service elle a été appelée ou convoquée pour faire partie d'un jury
    (e) Computing (help screen, menu) rappeler
    appeler
    formal (request, summon) faire appel à;
    she may be called upon to give evidence il est possible qu'elle soit citée comme témoin;
    I called upon him for assistance j'ai fait appel à son aide
    ✾ Book 'The Call of the Wild' London 'L'Appel de la forêt'

    Un panorama unique de l'anglais et du français > call

  • 44 güelguia

    Güelguia ou huelga, significa hacer huelga en el trabajo con el fin de conseguir alguna cosa justa y honrada. —You fexe ‘n toa miou vida dous güelguies, ya vou cuntayes nagora qu’encalda nel xeitu ‘l frutu qu’afuxinéi d’eches. La primeira veiz que me punxe ‘n güelguia foi cundu les famóuxes “Campanes d’Aviles”, trabayaba you per aquel lleldar comu xefe d’equipu nunu d’aquechus inxenius dou xugábamus con la Cadarma namái qu’entrábamus per aquechus camaretus d’aire comprimíu, dou mamplenáus de veices nus explotaba lus uíus de dollor, fayéndunus sangrar como curíus achuquináus per la ñariz ya les urées de ya dandunus campaneirus mái floxacus fasta se les xebraba ‘l coñocimentu, ya tou ísti aparti del trabayu que yera pelligróuxu ya m’esforciáu, lu faíamus per un xueldu de diecisiete pesetes aparti d’una primaxa que nus apurríen cundu les paicía, pos el díe que nun llancábamus nagua ‘l manullitu de cementu ya fierru, que lu mesmu pexaba cen toneláes, ya teñíamus que llantalu fasta catar el firme per debaxu del nivel del mare, anxina yera que cundu ‘l aire se xebraba perque tou ‘l material qu’uxaben pa lleldalu namí que yera un estrampanu de comprenxores ya fierrus, cuntu que cundu ‘l aire se colaba ‘l agua entraba lluéu dientru la campaña, ya tóus noxoitres con la priexa d’un centétchu teñíamus que subir per unes escaleraxes de fierru dou nun coyía namái qu’ún, anxina yera que con la fumareda qu’encaldaba ‘l vapore del aire que nun dexa güétchar nagua, ya ‘l ruxir del agua que per tous lus lláus fondeirus del manullitu a regueiráes nus aniegaba, faíanus a tóus coyer bones esquirpiaés de miéu, pos nadie iñoraba qu’el manullitu padíe ‘sfrundixe ya dexanus a tóus estrapacháus debaxu d’él lu mesmu que se fóramus figus d’agostu. Per istu ‘l tiberiu que s’encaldaba debaxu d’aquel esguiladeiru de fierru, yera ‘l de galamiar con priexa ya esciplina pa fuyír d’aquel enfernal pelligru qu’angunus compañeirus nuexus d’oitres campanes mái esgraciaínes que les que you acaidonéi les veixe arrabucáu la vida. —Despós cundu denuéu ‘l aire golguié teñíamus que’achicar l’agua, ya lu mesmu tardabamus varius díes en llograyu, ya metantu tou ísti tempu nun cabrabanus nagua de prima, foi per ista inxusticia per la que faléi con lus dez homes que trabayaben cuaúmigu, ya llogréi ‘l miou paicer conveceyus, paque non achicáramus mái agua mentantu nun nus apurrieren la prima lu mesmu que cundu trabayábamus picachonandu la tierra. Foi ‘l casu que comu a la gora de tar paráus al lláu de la campana murandu ‘l conseguir lus nuexus honréus drechus, vienu la brigadilla de lu criminal d’avilés, ya col llátigu na mán díxunus que xinun entrábamus a trabayar nel escapi nus esfoyaben a llatigazus achindi mesmu, ya tóus conel mesmu miéu que viesen apaparáu cundu nus xebraramus de dientru, golguierun oitra veiz al trabayu xin faer gurgutu, colarun tóus foriáus de miéu d’aquecha pollicía d’achunquinus, quáchuquinar un home a llatigazus yera p’echus pequenina parva, Tan solu quedarun al lláu migu dous rapazus que viesen síu llexonarius, ya lus tres xuntus les diximus que nouxóitres nun trabayabamus metantu nun nus aprurieren la prima, e achindi mesmu lus mamfrorinacus ya fíus de paraxeta d’aquetchus megreirus de pollicies, nus fexerun conel llátigu ‘n pequenu falagáu de chombu, ya despós nus chevarun pal sou cuartel e achindi nus apurrerun durante tou ‘l tiempu de tres díes galgazáus ya inxultus de tous lus collores, xin danus lus mu chimiagus nin gateira d’agua, pos échus queríen que nuexoitres firmaramus nun séi quéi que viéxemus fechu, peru dangunu firmamus nagua, ya entóus nus arretrigarun na cárxel, ya lus poucus díes el xuez puénxunus en llibertá, peru a la mesma porta de la cárxel golguirun a prindanus lus ñegreirus pollicíes, ya chevárannus denuéu pal sou cuartel, e achindi duranti oitres tres díes nus apurrierun tocata ya tunda, ya despós de ben fartus d’inxultus ya llatigazus punxérunnus en llibertá, ya lus tres fomus denuéu a curar nuexes ferides a la “Hermaná Llexonaria” de nuexus Tercius. TRADUCCIÓN.—Yo hice en toda mi existencia dos huelgas, y les voy a contar ahora que encarta en la palabra, el fruto que he sacado de las huelgas. La primera vez que me puse en huelga, fue cuando las famosas campanas de aire comprimido con las que se hacían los cimientos de Ensidesa de Avilés. Trabajaba yo en aquel suceder como jefe de equipo de uno de aquellos ingenios donde jugábamos con la muerte nada más que entrábamos por aquellas camaretas de aire comprimido, donde muchas veces nos reventaban los oídos de dolor, haciéndonos sangrar como patos degollados por la nariz y las orejeas, y algunos otros compañeros más flojos hasta perdían el conocimiento de dolor, y todo este sufrimiento, a parte del trabajo que era de lo más peligroso y esforzado, lo hacíamos por el miserable sueldo de diecisiete pesetas por jornada de trabajo, aparte de una insignificante prima que nos deban cuando les parecía, pues el día que no plantábamos nada el enorme bloque de cemento y hierro que lo mismo pesaba cien toneladas o más, y teníamos que plantarlo escavando la tierra, arena, piedra, etc., por dentro de él, hasta encontrar el firme que estaba por debajo del nivel del mar, así era que cuando el aire comprimido se marchaba, cosa que sucedía con mucha frecuencia, ya que el material que usaban para hacerlo era un conjunto de chatarra compuesto por compresores y tuberías, digo que cuando el aire se iba, el agua entraba dentro de la campana con mucha rapidez, y todos nosotros con la prisa de una centella teníamos que subir por una escalera de hierro pegada al bloque de cemento donde tan sólo cabía uno de cada vez, así era que con la humerada que producía el vapor del aire, que no dejaba ver nada, y el ruido del agua que por todos los lados fonderos del manolito de cemento a torrentes nos ahogaba, hacíamos a todos coger grandes cantidades de miedo, pues nadie ignoraba que aquel maldito bloque podía en cualquier momento falto del sostén del aire hundirse y dejarnos a todos reventados lo mismo que los higos de agosto, cuando maduros se desprenden de la higuera y se aplastan encima de las losas del suelo. Por todo esto, la lucha que se desarrollaba debajo de aquella escalera de hierro, era la de correr con grande prisa y disciplina, para poder huir con tiempo de aquel infernal peligro, que algunos compañeros nuestros de otras campanas más desgraciadas que la que yo dirigía, les había arrancado la vida. Después cuando de nuevo el aire volvía, teníamos que achicar el agua, y lo mismo tardábamos varios días en lograrlo, y durante todo este tiempo no cobrábamos ninguna prima. Fue precisamente por esta injusticia, por la que hablé con los diez hombres que trabajaban conmigo, y logré según mi parecer convencerles, para que no achicáramos más agua mientras que no nos pagasen la prima lo mismo que cuando trabajábamos picando y sacando la tierra. Sucedió que como a la hora de estar parados al lado de nuestra campana esperando el conseguir nuestros honrados derechos vino la brigadilla de lo criminal de Avilés, y con el látigo en la mano nos dijo desafiadoramente que sino entrábamos a trabajar con rapidez, nos despellejarían a latigazos allí mismo. Y todos con el mimo miedo que hubieran cogido cuando dentro de la campana huyéramos de su peligro, volvieron otra vez al trabajo sin decir palabra se marcharon todos cagados de miedo a aquella policía asesina, que matar a un hombre a latigazos era para ellos un feliz entretenimiento. Tan sólo se quedaron a mi lado dos jóvenes de mi edad aproximada que habían sido legionarios, y los tres juntos les dijimos que nosotros no trabajaríamos hasta que no nos pagasen la prima que reclamábamos. Allí mismo, los mariconazos e hijos de puta de aquellos cobardes y asesinos policías, nos empozaron a castigar con sus látigos, y seguidamente nos llevaron para su cuartel, y allí nos martirizaron salvajemente durante el tiempo de tres días con latigazos, patadas, puñetazos, insultos y demás, teniéndonos siempre amarrados a unas prietas esposas, y sin darnos los muy babosos ni tan sólo una gota de agua, pues ellos querían por todos los medios que nosotros firmásemos no se que hubiésemos hecho. Pero ninguno de nosotros firmamos nada, y entonces nos metieron a la cárcel, pero a los pocos días el juez nos puso en libertad. Y otra vez a la misma puerta de la cárcel volvieron a detenernos los negreros y asesinos policías de nuevo llevándonos a su cuartel y durante otros tres días nos estuvieron dando paliza tras paliza, y después de bien hartos de insultos y latigazos, nos pusieron en libertad, y los tres nos marchamos de nuevo a la "Hermandad Legionaria, de Nuestros Queridos Tercios” con el triste fin de curarnos las heridas que la Cobarde y Cerda Sociedad nos había tan injustamente hecho. —Algunos años más tarde me volví a ponerme en huelga en el Pozo Minero de LLáscaras, sucedió de la siguiente manera. Entre a trabajar en aquella mina como ramplero, durante un mes trabajé a las órdenes de un picador con el ardor y la fuerza que en mi desde niño ha sido junto con la honradez, las únicas virtudes que he tenido. El picador que trabajaba a destajo por metros de carbón picado, era un astur de grande fortaleza y como unos cuarenta años de edad, sabía su oficio como grande maestro que era, la rampla era cómoda pues tendría casi dos metros de ancha, y el carbón difícil de picar pues s'eboronaba (deshacía) nada más que metía en martillo en sus negras y relucientes vetas, durante toda la jornada envuelto en un río de sudor y sin detenerme nada, me era casi imposible dar a basto el retirar el carbón que aquella máquina humana picaba, no nos cruzábamos en todo el tiempo de trabajo ni una sola palabra, el picaba como un verdadero demonio, tal parecía un coloso que se quería comer la rica veta en un sólo relevo, de vez en cuando hacía un respiro para echarse un trago de vino de la bota que tenía colgado de una mamposta, desde luego ahora que le recuerdo y le estudio con detenimiento, tengo que reconocer que era el atuñáu más grande que yo había conocido, pues jamás me brindó a que limpiara mi garganta con un paparáu de vino, después cuando postiaba también hacía este trabajo con una rapidez y precisión que impresionaba, y aquí si me decía alguna orden, pues eso eran sus palabras, ten aquí, traí pacá, pon aquí, etc. El picaba diariamente el trabajo estipulado para tres o cuatro jornadas a sueldo, el cobraba esos sueldos que destajaba en un sólo jornal, mientras que yo tenía que hacer todo ese trabajo de más por tan sólo un sueldo, el miserable xornaletu de un rampleru. Pronto empece a pensar que me estaban despiadadamente robando mi sudor, bien el picador o la empresa, yo trabajaba tres veces más no cobrando nada mis que un rancuayin xueldu. ¿Por qué me preguntaba proporcionalmente no puedo cobrar yo todo este esfuerzo de más que hago? —Algunos picadores les suelen dar a sus ayudantes si se lo merecen el día de cobro una prima de su propio bolsillo, esto era la única recompensa que le correspondía a un rampleru. Pero mi picador no me convidó ni a un triste vaso de vino. —Al día siguiente del de paga, que por cierto yo apenas ganó aquel mes ni para pagarle a mi patrona, ya estábamos trabajando los dos juntos en el tajo, él trabajaba con el mismo afán de siempre, yo paleaba el carbón con el ardor acostumbrado, pero cuando comprendí que ya había picado el carbón que correspondía a lo estipulado en una jornada normal de trabajo, yo dejé de paliar carbón y me senté tranquilamente encima de la pala, el casi inmediatamente dejó de picar y con voz bronca me dijo: ¡Venga rapaz quita este carbón que me estorba! —Yo le contesté que no rampliaba más carbón, que mi trabajo ya había terminado, que yo no estaba a destajo. —El dejó el martillo vino hacia mí con intenciones amenazadoras y me dijo que sino paleaba carbón me rompía los focicus. —Y tal cosa haría aquel animal de mi paisano, pues yo vi en su gesto endemoniado la firme idea de vapulearme a su gusto. —No me detuve en hacerle comprender nada pues yo sabía que a él no le importaban mis razones, así que me levante, así la pala con rabiosa tranquilidad y le hice comprender que estaba dispuesto a obedecerle pero de repente y con gran rapidez le ataqué con fiereza sorprendiéndole, y le aticé tres o cuatro golpetazos certeros con la pala de plano, que dieron con su grande y fuerte humanidad en el suelo, y cuando le vi vencido y sin ánimo de atacarme le dije, que yo defendía mis derechos, y que él lejos de convertirse en mi negrero, debía de comprender que lo que yo decía era justo. —Nada me respondió el muy magüetu, se levanto quejándose por los gestos que hacía, no por las palabras que no dijo ninguna, y se fue rampla abajo, al poco tiempo vino acompañado del vigilante de rampla, que se llamaba Anxelín y era sin dudarlo un astur de buena calaña, que más que reñirme tal parecía que le haba gustado lo que hubiera hecho, y después de explicarme las obligaciones que tenía un rampleru, que eran todas sin que le asistiese ningún derecho, me rogó me incorporara otra vez al trabajo, y que me dejase de aspirar a unas pretensiones que no existían. —Yo le contesté que en esas condiciones no trabajaría más y que hablaría con los demás ramplerus para que me secundaran, entonces él sin decirme más palabras me dio papeleta para la jaula y me echó de la mina. —Nada pude yo poner en claro con los demás ramplerus cuando salieron de la mina muchos de ellos hasta mirándome con desprecio de mi idea se reían. —Al día siguiente ya conforme con la mala suerte de no poder conseguir nada, ya estaba dispuesto a seguir trabajando de aquella esclavizante y dehumanizadora manera, fui a recoger mi lámpara a la lampistería para entrar a la mina, cuando le di mi número de lámpara al lampistero, este se fue a un cuarto contiguo y salió acompañado de dos guardias civiles que me detuvieron en el momento, me esposaron lo mismo que si fuese un delincuente, y en presencia de muchas mineros que ninguno les dijo nada, me llevaron para el cuartelillo que tenían en la Felguera. —Mucha suerte tuve yo aquel día, pues cuando me entraron en la oficina del cabo primero de aquel destacamento, que tenía la profesión de ser un verdadero asesino, y que fácil muy alegremente me hubiese dado más palos que los que imaginar pudiera, allí dentro estaba un oficial de la guardia civil, que había servido como alférez de milicias en mi tercio, precisamente en mi compañía que era la de deportes, nada más que me vio, rápidamente ordenó que me quitasen las esposas, y manda todos los guardias que saliesen de la oficina, después me saludó fraternal y noblemente como buen legionario, me mandó que me sentara y le explicara el delito que me traía. —Cuando le conté lo que había hecho, él metiendo la mano en su bolsillo me dio doscientas pesetas y me dijo: —Toma coge esto y vuelve ahora mismo con toda la rapidez que puedas a tu Tercio legionario sino quieres terminar de una paliza destrozado, o morirte de hambre en un presidio. —No busques en la vida civil ni libertad, ni justicia, pues estas dos preciadas joyas hace tiempo que a la Patria la han abandonado y en su lugar ha nacido una ley que sostenida por la pistola y el látigo no permite que nadie reclame sus derechos, porque todos tienen el deber de ser sumisos ciudadanos que no tienen voz ni voto porque el miedo les ha convertido en un rebaño de sumisos esclavos. —Aquel mismo día otra vez volví a viajar sin maleta ni equipaje como siempre había rodado, camino del refugio que me brindaba mi querida y noble legión, donde moraban muchos jóvenes que al igual que yo habían sido por la ley apaleados, humillados.

    Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > güelguia

  • 45 agitar l'aria

    сотрясать воздух; говорить, высказываться:

    — Le avete fatta una bella réclame — concluse il Cresti, che sentiva arrivata l'ora di agitar l'aria e di far coraggio anche a Massimo. (E.De Marchi, «Col fuoco non si scherza»)

    — Хорошую рекламу вы сделали этой вилле, — заметил Крести, почувствовав, что пора нарушить молчание и подбодрить Массимо.

    Frasario italiano-russo > agitar l'aria

  • 46 -S494

    è scritto (in cielo или nei fati, nel libro del destino)

    такова судьба, так уж на роду написано:

    Duca... — Adelaide è una bella donna. A Roma è celebre quasi quanto una principessa. Tu farai della réclame. Ma ora lascia la libreria: e sia finita!

    Giuliano. — Si... dirò come il fatalista: Era scritto!. (S. Benelli, «Tignola»)
    Герцог... — Аделаида прелестная женщина. В Риме она пользуется такой же известностью, как какая-нибудь княгиня. Эта связь создает тебе рекламу. Брось сейчас же свою книжную лавку — и дело с концом.
    Джулиано. — Да... я скажу, как фаталист: такова судьба.

    Era scritto che io dovessi bere fino all'ultima goccia il dolce veleno dell'illusione. (E. De Marchi, «Redivivo»)

    Мне было на роду написано испить до последней капли сладкую чашу иллюзий.

    Era scritto che non ci saremmo incontrati più su questa terra?... (M. Savini, «Fantasmi»)

    Разве нам не суждено больше встретиться в этом мире?

    Frasario italiano-russo > -S494

См. также в других словарях:

  • Réclame Ta Rue — est un évènement festif ayant lieu à chaque année dans la ville de Québec depuis 2003. Historique S inspirant du mouvement Londonien Reclaim the streets issu de la scène rave, Réclame ta rue a débuté en septembre 2003. L événement concorde… …   Wikipédia en Français

  • Réclame ta rue — est un évènement festif ayant lieu à chaque année dans la ville de Québec depuis 2003. Historique S inspirant du mouvement Londonien Reclaim the streets issu de la scène rave, Réclame ta rue a débuté en septembre 2003. L événement concorde… …   Wikipédia en Français

  • non-violent — non violent, ente [ nɔ̃vjɔlɑ̃, ɑ̃t ] adj. et n. • 1924; de non violence 1 ♦ Qui procède par la non violence. Manifestations non violentes. 2 ♦ N. Partisan de la non violence; personne qui manifeste dans cet esprit. Non violents portés par la… …   Encyclopédie Universelle

  • réclame — 1. réclame [ reklam ] n. m. • 1560; reclam, reclaim en a. fr.; de réclamer ♦ Fauconn. Cri ou signal pour rappeler l oiseau, le faire revenir au leurre ou sur le poing. réclame 2. réclame [ reklam ] n. f. • 1609; de réclamer I ♦ Techn. 1 ♦ Typogr …   Encyclopédie Universelle

  • Non religieux — Religion Une religion est un ensemble de rites, croyances généralement théistes[Note 1], composé de règles (éthiques ou pratiques), de récits, de symboles ou de dogmes adoptés comme conviction par une société, un groupe ou une personne. Par… …   Wikipédia en Français

  • Non-inscrit — Sans étiquette Pour les articles homonymes, voir SE. Sans étiquette (abrégé en SE) est une mention accolée, généralement par la presse, au nom d une personnalité politique qui ne se réclame d aucun parti politique existant et qui, se basant sur… …   Wikipédia en Français

  • Non-inscrits — Sans étiquette Pour les articles homonymes, voir SE. Sans étiquette (abrégé en SE) est une mention accolée, généralement par la presse, au nom d une personnalité politique qui ne se réclame d aucun parti politique existant et qui, se basant sur… …   Wikipédia en Français

  • États non reconnus internationalement —      États reconnus par aucun autre État      États reconnus uniquement par des États non membres de l ONU …   Wikipédia en Français

  • Lon Non — (1930 1975) était un homme politique cambodgien. Frère du Maréchal Lon Nol, même si sa fonction officielle était limité au rôle de responsable de la police du pays il était néanmoins un rouage important de la République khmère de 1970 à 1975. En… …   Wikipédia en Français

  • AFFICHE — Doublement éphémère, par le caractère transitoire de l’événement ou de l’objet qu’elle est chargée d’évoquer et par la brièveté de son exposition, l’affiche reflète un aspect important mais fuyant de la réalité économique, sociale et culturelle.… …   Encyclopédie Universelle

  • Déshérence — La déshérence est la situation dans laquelle se trouve un bien ou un patrimoine lorsque son propriétaire est décédé sans laisser d héritier connu. Sommaire 1 Historique 2 En droit français 2.1 La déshérence et les contrats d assurance vie, décès… …   Wikipédia en Français

Поделиться ссылкой на выделенное

Прямая ссылка:
Нажмите правой клавишей мыши и выберите «Копировать ссылку»