būbus

    būbus    dat. and abl plur. of bōs.

bōs, bŏvis, m. f. [st2]1 [-] boeuf, vache. [st2]2 [-] un poisson inconnu (comparable au turbot).    - [gr]gr. βοῦς, βοός -- dor. βῶς. --- radical βοϜ    - au plur.: boves, boum, bobus ou bubus.    - bovi clitellas imponere, Cic. Att. 5, 15, 3: poser un bât à un boeuf (= confier à quelqu'un une fonction qui ne lui convient pas). bōs, bŏvis, m. f. [st2]1 [-] boeuf, vache. [st2]2 [-] un poisson inconnu (comparable au turbot).    - [gr]gr. βοῦς, βοός -- dor. βῶς. --- radical βοϜ    - au plur.: boves, boum, bobus ou bubus.    - bovi clitellas imponere, Cic. Att. 5, 15, 3: poser un bât à un boeuf (= confier à quelqu'un une fonction qui ne lui convient pas).

I. II.

bōs, bovis, c. (βούς, Genet. βοός, dor. βῶς), I) das Rind, als m. = Ochse, Cyprius, Enn. fr.: opimus, Cic.: indomitus, Varr.: boves domiti indomitique, Liv.: boves perferi, Varr.: boves vetuli, novelli, Varr.: bos iratus, Petr.: Apis ille, sanctus Aegyptiorum bos, Cic.: bos arator, s. arātor: bos Luca, s. Lūcānī unter Lucani: bos auratus, Liv.: bovem caedere, Cato fr.: mugit bovis (= bos), Varr. fr. – als f. = Kuh, bos femina, Liv.: eximia, Liv.: torva, Ov.: formosa, Ov.: bos mirā specie, Liv.: boves meae, Verg.: boves incustoditae, Ov.: boves praegnantes, Varr. LL.: inde cum actae boves mugissent, Liv. – Sprichw., bos lassus fortius figit pedem (tritt schärfer auf), Hier. ep. 102, 2. Augustin, ep. 68, 2: clitellae bovi sunt impositae, s. clītellae. – Scherzh. für die aus Rindsleder geschnittene Peitsche, Plaut. asin. 34. – II) (nach dem Griech.) übtr., eine Art Seefische aus dem Geschlecht der Plattfische, Ov. u. Plin. – / Nom. bovis, Varr. sat. Men. 3. Petr. 62, 13; vgl. Varr. LL. 8, 74: Genet. Plur. gew. boum, in Handschrn. u. Ausgg. auch bovum (z B. Cic. de rep. 2, 16 M. Hier. ep. 52, 1 extr.; vgl. Wagner Orthogr. Verg. p. 419); bovom, Verg. georg. 3, 211 R.; bubum, Ulp. dig. 32, 1, 55 § 6 M.; altlat. boverum (zB. Cato r.r. 62; vgl. Varr. LL. 8, 74): Dat. u. Abl. Plur. gew. būbus, in sehr guten Hdschrn. auch bōbus (zB. Hor. carm. 3, 6, 43 Firm. Mat. de err. 5, 2 Halm). – bŭbus gemessen, Auson. app. ad epigr. XXVIII, 2. p. 260 Schenkl, wogegen Serv. Verg. ecl. 8, 86.

rĕcĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [re + capio] - tr. -    - voir receptus. [st1]1 [-] reprendre, recouvrer, retrouver, prendre possession de, occuper.    - anhelitum (spiritum, animam) recipere: reprendre son souffle, sa respiration, reprendre haleine.    - libertatem recipere, Cic.: recouvrer la liberté.    - animum (mentem) recipere: reprendre courage.    - Calenus Delphos, Thebas et Orchomenum voluntate ipsarum civitatium recepit, Caes.: Calénus prit possession de Delphes, de Thèbes et d'Orchomène avec l'assentiment des cités elles-mêmes.    - a tanto pavore recipere animos, Liv. 21, 5, 16: se remettre d'une si grande frayeur.    - recipere vires corporis: retrouver ses forces. [st1]2 [-] prendre de son côté, prendre par représaille, s'emparer de; tirer de, retirer de.    - ad recipiendas Asiae civitates, Just.: pour s'emparer des villes d'Asie.    - recipere quaestus, Cic.: s'enrichir.    - recipere pecuniam ex melle, Varr.: retirer un revenu de son miel.    - poenas ab aliquo recipere, Virg.: tirer vengeance de qqn, se venger de qqn. [st1]3 [-] retirer, tirer à soi, reprendre, ramener, faire revenir.    - recipere sagittam, Cels.: extraire une flèche.    - recipere ensem, Virg.: retirer l'épée (du corps).    - (ensem) multa morte recepit (= retraxit), Virg.: il retira (l'épée) quand il fut bien mort.    - recipere aliquem ex hoste, Virg.: soustraire qqn à l'ennemi. [st1]4 [-] recevoir (qqn), accueillir; accepter, admettre, approuver; recevoir, subir (qqch); recevoir (dans le corps), enfoncer.    - recipere domum ad se hospitio, Caes. B. C. 2, 20: recevoir chez soi à titre d'hôte.    - recepto sospite filio, victoriae tantae gaudium consul sensit, Liv. 45: après avoir reçu son fils sain et sauf, le consul ressentit la joie d'une si grande victoire.    - aliquem ad epulas recipere: recevoir qqn à table.    - aliquem mensā recipere, Cic.: admettre qqn à sa table.    - recipere in custodiam, Plaut.: prendre sous sa protection.    - recipere aliquam in matrimonium: épouser une femme.    - recipere in deditionem: recevoir la capitulation.    - recipere in civitatem: recevoir parmi les citoyens.    - in societatem eum recepit: il le reçut comme allié.    - non Caesaris quemquam alium dorso recipiebat equus, Caes.: le cheval de César ne se laissait monter par personne d'autre (que lui).    - recipe ferrum, Cic.: reçois le fer, laisse-toi égorger (en parl. d'un gladiateur vaincu dans l'arène).    - recipere fabulas, Cic.: admettre des fables, ajouter foi à des fables.    - dolia quae recipiant oleas, Col.: des tonneaux pour recevoir les olives (pour contenir les olives).    - timor misericordiam non recipit, Caes. B. G. 7, 26: la crainte n'admet pas la pitié.    - potio quae recipit... Col.: [breuvage qui reçoit...] = breuvage composé de...    - recipit haec... Scrib.: voici ce que contient (le médicament), voici la recette (du médicament).    - recipere assentationem, Cic.: admettre la flatterie, être accessible à la flatterie.    - recipere emendationem, Quint.: admettre la correction, être susceptible de correction.    - nec deprecor jam, si nefaria scripta Sesti recepso (= recepero), quin gravedinem et tussim non mihi, sed ipsi Sestio ferat frigus, Cat.: et je consens désormais, si j'accueille les écrits néfastes de Sestius, que leur froideur donne le rhume et la toux, non pas à moi, mais à Sestius en personne. [st1]5 [-] se recipere.    - se recipere: - [abcl]a - rentrer, revenir, se retirer, battre en retraite, se replier. - [abcl]b - avec ex + abl. - se remettre de, se ressaisir, se reprendre.    - se recipere ex eo loco, Plaut. Aul. 4, 8, 10: se retirer de cet endroit, se sauver de cet endroit.    - Caesar persequendum sibi Pompeium existimavit, quascumque in partes se ex fuga recepisset, Caes. BC. 3, 102: César jugea bon de devoir poursuivre Pompée quelque fût l'endroit où il se serait retiré après sa fuite.    - hostes proelio superati, simul atque se ex fuga receperunt, statim ad Caesarem legatos de pace miserunt, Caes. BG. 4, 27: les ennemis vaincus, dès qu'ils se furent ressaisis après leur fuite, envoyèrent aussitôt des légats pour négocier la paix auprès de César.    - se recipere e Siciliâ, Cic. Brut. 92, 318: revenir de Sicile.    - se recipere ad suos, Caes. BG. 1, 46: revenir auprès des siens.    - se recipere ad oppidum llerdam, Caes. BC. 1, 45: se replier vers la place forte d'Ilerda.    - sui recipiendi facultas, Caes. BG. 3, 4: la possibilité de battre en retraite.    - se recipere ad signa, Caes. BG. 5, 34: se rallier autour des enseignes.    - se recipere ad aliquem: se réfugier près de qqn, chercher asile près de qqn.    - se recipere ab undis, Virg.: se sauver du naufrage.    - priusquam se hostes ex terrore ac fuga reciperent, Caes. BG. 2: avant de voir les ennemis se remettre de leur terreur et de leur fuite.    - ut me recepi, Cic.: dès que j'eus repris mes esprits.    - qqf. recipere = se recipere.    - rursum in portum recipimus, Plaut. Bacch. 2, 3, 60: nous rentrons dans le port.    - signo recipiendi dato consistere, Caes.: s'arrêter au signal de la retraite.    - neque sepulcrum, quo recipiat, habeat portum corporis, Enn. ap. Cic. Tusc. 1, 44, 107: qu'il n'ait pas de tombeau, abri du corps, où il puisse se remettre de ses malheurs. [st1]6 [-] garder, retenir, réserver pour soi (dans un contrat, une vente).    - posticulum hoc recepit, quom aedis vendidit, Plaut. Trin. 1, 2, 157: il s'est gardé cette petite pièce de derrière quand il a vendu la maison.    - recipere rem in venditionibus, Cic.: se réserver une chose dans une vente.    - aqua domini usioni recipitur, Cato.: le maître se réserve l'eau pour son usage.    - bubus binis domino pascere recipitur, Cato.: le maître garde le droit de pacage pour une paire de boeufs. [st1]7 [-] prendre sur soi, entreprendre, admettre, se charger de, s'engager à, répondre (d'une chose), garantir, promettre.    - ad me recipio, faciet, Ter.: j'en réponds, il le fera.    - recipere nomen: recevoir le nom d'une personne (en parl. du préteur), recevoir une accusation, déclarer une accusation recevable. [] deferre nomen: rejeter une accusation.    - recipere aliquem reum (aliquem inter reos): recevoir une accusation contre qqn.    - recipere nomen absentis, Cic.: déclarer recevable une plainte contre un absent.    - recipere causam, Cic.: se charger d'une cause.    - recipere domum custodiendam, Liv.: se charger de la garde d'une maison.    - recipere alicui + prop. inf.: promettre à qqn de, promettre à qqn que. rĕcĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [re + capio] - tr. -    - voir receptus. [st1]1 [-] reprendre, recouvrer, retrouver, prendre possession de, occuper.    - anhelitum (spiritum, animam) recipere: reprendre son souffle, sa respiration, reprendre haleine.    - libertatem recipere, Cic.: recouvrer la liberté.    - animum (mentem) recipere: reprendre courage.    - Calenus Delphos, Thebas et Orchomenum voluntate ipsarum civitatium recepit, Caes.: Calénus prit possession de Delphes, de Thèbes et d'Orchomène avec l'assentiment des cités elles-mêmes.    - a tanto pavore recipere animos, Liv. 21, 5, 16: se remettre d'une si grande frayeur.    - recipere vires corporis: retrouver ses forces. [st1]2 [-] prendre de son côté, prendre par représaille, s'emparer de; tirer de, retirer de.    - ad recipiendas Asiae civitates, Just.: pour s'emparer des villes d'Asie.    - recipere quaestus, Cic.: s'enrichir.    - recipere pecuniam ex melle, Varr.: retirer un revenu de son miel.    - poenas ab aliquo recipere, Virg.: tirer vengeance de qqn, se venger de qqn. [st1]3 [-] retirer, tirer à soi, reprendre, ramener, faire revenir.    - recipere sagittam, Cels.: extraire une flèche.    - recipere ensem, Virg.: retirer l'épée (du corps).    - (ensem) multa morte recepit (= retraxit), Virg.: il retira (l'épée) quand il fut bien mort.    - recipere aliquem ex hoste, Virg.: soustraire qqn à l'ennemi. [st1]4 [-] recevoir (qqn), accueillir; accepter, admettre, approuver; recevoir, subir (qqch); recevoir (dans le corps), enfoncer.    - recipere domum ad se hospitio, Caes. B. C. 2, 20: recevoir chez soi à titre d'hôte.    - recepto sospite filio, victoriae tantae gaudium consul sensit, Liv. 45: après avoir reçu son fils sain et sauf, le consul ressentit la joie d'une si grande victoire.    - aliquem ad epulas recipere: recevoir qqn à table.    - aliquem mensā recipere, Cic.: admettre qqn à sa table.    - recipere in custodiam, Plaut.: prendre sous sa protection.    - recipere aliquam in matrimonium: épouser une femme.    - recipere in deditionem: recevoir la capitulation.    - recipere in civitatem: recevoir parmi les citoyens.    - in societatem eum recepit: il le reçut comme allié.    - non Caesaris quemquam alium dorso recipiebat equus, Caes.: le cheval de César ne se laissait monter par personne d'autre (que lui).    - recipe ferrum, Cic.: reçois le fer, laisse-toi égorger (en parl. d'un gladiateur vaincu dans l'arène).    - recipere fabulas, Cic.: admettre des fables, ajouter foi à des fables.    - dolia quae recipiant oleas, Col.: des tonneaux pour recevoir les olives (pour contenir les olives).    - timor misericordiam non recipit, Caes. B. G. 7, 26: la crainte n'admet pas la pitié.    - potio quae recipit... Col.: [breuvage qui reçoit...] = breuvage composé de...    - recipit haec... Scrib.: voici ce que contient (le médicament), voici la recette (du médicament).    - recipere assentationem, Cic.: admettre la flatterie, être accessible à la flatterie.    - recipere emendationem, Quint.: admettre la correction, être susceptible de correction.    - nec deprecor jam, si nefaria scripta Sesti recepso (= recepero), quin gravedinem et tussim non mihi, sed ipsi Sestio ferat frigus, Cat.: et je consens désormais, si j'accueille les écrits néfastes de Sestius, que leur froideur donne le rhume et la toux, non pas à moi, mais à Sestius en personne. [st1]5 [-] se recipere.    - se recipere: - [abcl]a - rentrer, revenir, se retirer, battre en retraite, se replier. - [abcl]b - avec ex + abl. - se remettre de, se ressaisir, se reprendre.    - se recipere ex eo loco, Plaut. Aul. 4, 8, 10: se retirer de cet endroit, se sauver de cet endroit.    - Caesar persequendum sibi Pompeium existimavit, quascumque in partes se ex fuga recepisset, Caes. BC. 3, 102: César jugea bon de devoir poursuivre Pompée quelque fût l'endroit où il se serait retiré après sa fuite.    - hostes proelio superati, simul atque se ex fuga receperunt, statim ad Caesarem legatos de pace miserunt, Caes. BG. 4, 27: les ennemis vaincus, dès qu'ils se furent ressaisis après leur fuite, envoyèrent aussitôt des légats pour négocier la paix auprès de César.    - se recipere e Siciliâ, Cic. Brut. 92, 318: revenir de Sicile.    - se recipere ad suos, Caes. BG. 1, 46: revenir auprès des siens.    - se recipere ad oppidum llerdam, Caes. BC. 1, 45: se replier vers la place forte d'Ilerda.    - sui recipiendi facultas, Caes. BG. 3, 4: la possibilité de battre en retraite.    - se recipere ad signa, Caes. BG. 5, 34: se rallier autour des enseignes.    - se recipere ad aliquem: se réfugier près de qqn, chercher asile près de qqn.    - se recipere ab undis, Virg.: se sauver du naufrage.    - priusquam se hostes ex terrore ac fuga reciperent, Caes. BG. 2: avant de voir les ennemis se remettre de leur terreur et de leur fuite.    - ut me recepi, Cic.: dès que j'eus repris mes esprits.    - qqf. recipere = se recipere.    - rursum in portum recipimus, Plaut. Bacch. 2, 3, 60: nous rentrons dans le port.    - signo recipiendi dato consistere, Caes.: s'arrêter au signal de la retraite.    - neque sepulcrum, quo recipiat, habeat portum corporis, Enn. ap. Cic. Tusc. 1, 44, 107: qu'il n'ait pas de tombeau, abri du corps, où il puisse se remettre de ses malheurs. [st1]6 [-] garder, retenir, réserver pour soi (dans un contrat, une vente).    - posticulum hoc recepit, quom aedis vendidit, Plaut. Trin. 1, 2, 157: il s'est gardé cette petite pièce de derrière quand il a vendu la maison.    - recipere rem in venditionibus, Cic.: se réserver une chose dans une vente.    - aqua domini usioni recipitur, Cato.: le maître se réserve l'eau pour son usage.    - bubus binis domino pascere recipitur, Cato.: le maître garde le droit de pacage pour une paire de boeufs. [st1]7 [-] prendre sur soi, entreprendre, admettre, se charger de, s'engager à, répondre (d'une chose), garantir, promettre.    - ad me recipio, faciet, Ter.: j'en réponds, il le fera.    - recipere nomen: recevoir le nom d'une personne (en parl. du préteur), recevoir une accusation, déclarer une accusation recevable. [] deferre nomen: rejeter une accusation.    - recipere aliquem reum (aliquem inter reos): recevoir une accusation contre qqn.    - recipere nomen absentis, Cic.: déclarer recevable une plainte contre un absent.    - recipere causam, Cic.: se charger d'une cause.    - recipere domum custodiendam, Liv.: se charger de la garde d'une maison.    - recipere alicui + prop. inf.: promettre à qqn de, promettre à qqn que.

I a-spergo, spersī, spersum, ere [ ad + spargo ] II aspergo, inis f.

ad-mūgio, īvī, īre, zu-, anbrüllen, m. Dat., tauro (v. der Kuh), Ov. art. am. 1, 279: transeuntibus (bubus, v. Kühen), Aur. Vict. de or. gent 7, 3: omnibus (v. der Ceres), Claud. rapt. Pros. 3, 443: absol., admugit Apis, Claud. IV. cons. Hon. 576.

aro, āvi, ātum, āre (ἀρόω), pflügen, ackern, I) eig.: a) vom Ackersmann und Ackervieh, m. Acc., ar. terram aut serere arbores, Varr.: ar. terram et sulcum altius imprimere, Cic.: ager non semel aratus, sed novatus et iteratus, Cic.: ager qui arari aut coli possit, non qui aratus aut cultus sit, Cic.: bildl. v. Beschreiben mit dem Schreibgriffel, gleichs. beackern, osse campum cereum, Titin. com. 160: gleichs. ackernd ziehen, cerā sulcos, Prud. perist. 9, 52: u. v. Reden, incipit alloquiis fera pectora cultor arare (zu bearbeiten), Ven. Fort. vit. S. Mart. 3, 161. – absol., arare mavelim, quam sic amare, Plaut.: numquam domum revortor, quin te in fundo conspicer fodere aut arare aut aliquid ferre denique, Ter.: nudus ara, sere nudus, Verg.: arare tauris, Hyg.: bildl. v. Schreiben mit dem Schreibgriffel, vertamus vomerem, in cera mucrone aeque aremus osseo, Atta com. 12 sq. (p. 162 R²). – Sprichw., non profecturis litora bubus aras, wendest vergebliche Mühe an, Ov. her. 5, 116; vgl. trist. 5, 4, 48: alienum fundum arat, incultum familiarem deserit, er pflügt auf fremdem Acker, läßt den eigenen unbebaut = kümmert sich um fremde Dinge, vernachlässigt die eigenen Angelegenheiten, Plaut. asin. 874. – b) v. Ländereibesitzer, bes. v. Staatsdomänenpächter, m. Acc. = beackern-, bestellen lassen, bebauen, non opinor quemquam minus esse professum, quam quantum arasset, Cic.: Falerni mille fundi iugera, Hor.: u. allg., quae homines arant, navigant, aedificant, virtuti omnia parent, alles Pflügen, Schiffen, Bauen der Menschen hängt von ihrer Tüchtigkeit ab, Sall. Cat. 2, 7.: quidquid arat impiger Apulus, erpflügt, d.i. durch Ackerbau gewinnt, Hor. carm. 3, 16, 26. – u. absol., Ackerbau treiben, vom Ackerbau leben, cives Romani, qui arant in Sicilia, d.i. die Domänenpächter (s. arātor no. I, B), Cic. Verr. 3, 11: araret, navigaret, Vopisc. Prob. 23, 3. – II) poet. übtr.: a) durchfurchen = runzelig machen, venient rugae, quae tibi corpus arent, Ov. art. am. 2, 118: aratā rugis fronte, Hier. ep. 14, 13 u. 52, 1. – b) das Meer usw. durchfurchen = durchsegeln, vastum maris aequor, Verg. Aen. 2, 780; 3, 495: latum aequor, Ov. trist. 1, 2, 76: vicinas aquas, Ov. trist. 3, 12, 36. – c) obszön, den After jmds. durchfurchen, pueros, Plaut. truc. 150.

1. a-spergo (ad-spergo), spersī, spersum, ere (ad-spargo), I) hinspritzen od. -streuen, a) hinspritzen, aquam, (eig. mit frischem Wasser besprengen =) erquicken, Plaut.: aquam Latinis, Enn. fr.: purgamenta capiti, Dict.: liquorem oculis, Plin.: guttam bulbo, (mit Anspielung auf die Namen Gutta u. Bulbus) hinzufügen, Cic.: sales orationi (bildl.), Cic.: pigmenta in tabula, Cic.: virus pecori, vergiften, Verg. – übtr., labeculam alci, einen Schandfleck anhängen, Cic.: notam alci, ICt. – b) hinstreuen, glandem bubus, Plin.: sapores huc, Verg.: übtr., hinzufügen, bes. etw. Weniges, alci sextulam, den 72sten Teil vermachen, Cic.: alci molestiam, zufügen, verursachen, Cic. – bes. schriftl., nebenbei hinzufügen, hoc aspersi (bemerke ich nebenbei), ut scires etc., Cic. ep. 2, 16, 7: ea his commentariis aspersi, ut etc., Gell. 9, 4, 5: ut noctes istae quadamtenus his quoque historiae flosculis leviter interiectis aspergerentur, Gell. 17, 21, 1. – II) bespritzen, bestreuen, a) bespritzen, aram sanguine, Cic.: vestimenta leviter aquā, Sen.: vaccam semine, Liv.: vino vel infusus (begossen) vel aspersus (angegossen), Macr. – m. allg. Acc. = mit, sed paululum pluviae aspersi sumus, M. Caes. in Front. ep. ad M. Caes. 4, 4. p. 66, 22 N. – übtr., beschmutzen, beschimpfen, splendorem vitae maculis, Cic.: aspergi infamiā, suspicione, Cic.: alqm linguā, begeifern = beschimpfen, Cornif. rhet. – b) bestreuen, olivam sale, Plin.: panis sale aspersus, gesalzenes (Ggstz. panis sine sale od. indigens salis), Macr.: corpus nitro, sulphure, Cael. Aur. – übtr., mons parvis urbibus aspersus, hier und da bedeckt, Mela: u. so canis (mit grauen Haaren) aspergitur aetas, Ov. – alqd mendaciunculis, mit kleinen Unwahrheiten verbrämen, Cic.: auditiunculā quādam de Catonis familia aspergi, einige Kunde (Kenntnis) erhalten, Gell.: edito gemitu regias aures, durch einen Schmerzenslaut unangenehm berühren, Val. Max. – / Form aspargo, Ampel. 8, 16. Marc. Emp. 36. Apic. 3, 63; 4, 131 u. 133: asparso pipere, Apic. 4, 154; vgl. 2. aspergo /.

daps, dapis, f. (vgl. δάπτω, δαπάνη, δαψιλής, ahd. zebar, Opfertier, nhd. Ungeziefer, eigentl. »unreines, nicht zum Opfern geeignetes Tier«), die Speise als Mahl, der Schmaus, a) als t. t. der Religionsspr., der Festschmaus zu religiösem Zwecke, der Opferschmaus, α) Sing.: dapem pro bubus piro florente facito, Cato: sacrum Herculi adhibitis ad ministerium dapemque Potitiis ac Pinariis factum, Liv.: ergo obligatam redde lovi dapem, Hor. – β) Plur.: Saliaribus (prächtigen) ornare pulvinar deorum dapibus, Hor.: dapes et tristia dona libare cineri (Hectoris), Verg. – b) übtr., übh. die Speise als Gegenstand des Schmauses, der Schmaus, das Mahl, α) Sing.: amor dapis, Hor.: ad usum nefariae dapis, Val. Max.: humanā dape (mit Menschenfleisch) pascere equas, Ov.: v. tierischer Nahrung, sed tacitus pasci si posset corvus, haberet plus dapis et rixae multo minus invidiaeque, Hor. ep. 1, 17, 50 sq. – β) Plur.: dapes inemptae (ein ungekauftes = selbsterzeugtes), Hor.: dapes largae, Val. Max.: dapes opimae, Verg.: exstructae dapibus mensae, Ov.: onerare mensas dapibus, Verg.: dapibus epulari opimis, Verg.: humanorum corporum dapibus uti (Menschenfleisch essen), Val. Max.: ictae (fulmine) dapes mensaque disiecta est, Tac. – v. einem ärmlichen Mahle, veniam dapibus orant, Ov. met. 6, 684. – meton., dapes humanae, Menschenkot, Plin. 17, 51. – / Nbf. dapis, is, f., Iuvenc. beim Auct. de gener. nomin. p. 78, 3 ed. Haupt. – Nom. daps ist veraltet (s. Paul. ex Fest. 68, 3); Dat. Sing. dapi steht Cato r. r. 132, 1; aber Genet. Plur. dapum ohne Beleg im Frgm. Bob. de nom. 562, 10.

dīves, itis, Compar. dīvitior, -ius, Genet. iōris, Superl. dīvitissimus, reich, I) eig. (Ggstz. pauper, egens, mendicus): a) v. Pers.: dives Crassus, Varro: quem intellegimus divitem, Cic.: ex pauperrimo dives factus est, Cic.: quis divitiorem quemquam putet quam eum, cui etc., Cic.: eum divitissimum fore praedictum est, Cic. (vgl. übh. über den bei Eicero nur üblichen Kompar. u. Superl. divitior, divitissimus [nie ditior, ditissimus] Otto Cic. de rep. 1, 28. p. 67 ed. Osann). – m. Abl, agris, Hor.: bubus, Ov. – m. Genet., artium, Verg.: pecoris, Verg.: armenti, Ov.: odorum divites Arabes (Ggstz. frugum pauperes Ituraei), Apul. flor. 6. p. 5, 16 Kr. – m. ab u. Abl., ab omni armento, Val. Flacc. – m. in u. Akk., tu dives in (für) omnes invocantes te, Augustin. conf. 11, 2. – subst., der Reiche (Ggstz. pauper), Plaut., Sen. rhet u.a.: novicius dives, ein reicher Emporkömmling, Sen. – b) v. Lebl.: gaza, Curt.: regio, Curt.: ager, fruchtbarer, Val. Flacc.: terra dives amomo, Ov.: Hispania dives equis, Claud.: Amphitrite dives aquis, reich an Wasser, Val. Flacc.; u. so absol., ille fluens dives septena per ostia Nilus, Ov. – II) übtr., reich = 1) viel enthaltend, epistula, ein viel versprechender, Ov.: so auch spes, Hor.: lingua, beredte Zunge, Hor.: vena, reiche, glückliche Ader, Hor.: inde ille lentior et divitior fluxit dithyrambus, Cic. – m. Abl., nulla umquam res publica nec maior nec sanctior nec bonis exemplis ditior fuit, Liv. praef. § 11. – 2) kostbar, prächtig, von hohem Werte, ramus, Verg.: cultus, prächtige Kleider, Ov.: opus, Plin. – / Abl. Sing. gew. divite; selten diviti, wie Plin. 7, 108. Commod. instr. 2, 31, 4. – Genet. Plur. immer divitum (s. Neue-Wagener Formenl.³ Bd. 2. S. 131 u. Georges Lexik. d. lat. Wortf. S. 223).

glāns, glandis, f.(griech. βάλανος), I) jede Kernfrucht, als Dattel, Kastanie, Walnuß usw., bes. die Eichel, Ecker (auch als Nahrungsmittel des Viehs, bes. der Schweine, in alter Zeit auch der Menschen), fagea od. fagi, Buchecker, Plin.: gl. quernea et ilignea, Col.: querna, Tibull., iligna, Hor.: cassa, Plaut.: bubus glandem prandio depromere, Plaut.: glandibus vesci, Serv.: sic odium coepit glandis, Lucr. – II) übtr.: A) eine Kugel aus Blei od. Ton, wie sie die Schleuderer auf die Feinde warfen, plumbea glans, Cels.: glandes fundere (gießen), Auct. b. Afr.: eminus glande aut lapidibus pugnare, Sall.: glandes fundis in casas iacĕre, Caes.: faces et glandes in obsessos iaculari, Tac.: ne fluxā habenā volutetur in iactu glans, sed librata cum sederit, velut nervo missa excutiatur, Liv. – B) die Eichel am männlichen Gliede, Cels. 7, 25, 1 sq.

im-molo, āvī, ātum, āre (in u. mola), mit Opfermehl, Opferschrot (mola salsa) bestreuen, I) im allg.: boves immolati, Cato origg. 2. fr. 27. Vgl. Serv. Verg. Aen. 4, 57. – II) prägn., opfern, A) eig.: hostias, Cic.: hostias maiores ad praeconem et ad tibicinem, Cic.: hostias omnibus locis, Hirt. b. G.: animalia capta, Caes.: bovem, scrofam, suem, Aur. Vict.: homines, Cic.: luctuosum immolatae Iphigeniae sacrificium, Val. Max.: mit Dat. u. Acc., bovem Dianae, Liv.: Musis bovem, Cic.: Dianae vitulum, Cic.: m. bl. Dat., Aeanti ut deo, Val. Max.: unpers., cum pluribus dis immolatur, Cic.: m. Abl. des Opfers, maioribus hostiis, Liv.: Iovi singulis bubus (v. den beiden Konsuln), Liv.: unpers., quibus hostiis immolandum cuique deo, Cic.: Iovi tauro, verre, ariete immolari non licet, Macr. – absol., ille anguis, qui Sullae apparuit immolanti, Cic.: in agro Nolano ante praetorium, Cic.: in Capitolio, Liv.: ante altaria, Val. Max.: seu Romae seu Praeneste immolare vellet, Liv.: cum de alia re immolaret, Cic.: unpers., interisse cor cum immolaretur, Cic. Vgl. Mencken Obss. p. 459 sqq. – B) übtr., a) opfern, hinopfern = töten, alqm, Verg. Aen. 12, 949. Phaedr. 4, 6, 9: quattuor iuvenes inferias umbris, Verg. Aen. 10, 519. – b) opfern = darbringen, humilitatem animae suae deo, Tert. de cult. fem. 2, 9: paenitentiam deo, Tert. de pudic. 10: cui curia, cui populus suffragiis immolat (huldigt), Tert. de anim. 33. – / parag. Infin. immolarier, Prud. perist. 10, 345.

iugum, ī, n. (zu iungo; altind. yugám, griech. ζυγόν, gotisch juk, ahd. juh), I) das Joch der Ochsen, das Kummet der Pferde usw., A) eig. u. meton.: 1) eig.: iug. asinarium, Cato.: iuga imponere bestiis (i.e. bubus), Cic.: demere iuga equis, Ov.: frena ferre iugo, v. Pferden, Verg.: leones iugo subdere, Plin. – 2) meton.: a) ein Gespann, i. boum, Plin.: absol., multa iuga, Cic. – u. dav. meton. = so viel Land, wie ein Gespann Ochsen in einem Tage pflügen kann, ein Juchert, Morgen Landes, Varro r. r. 1, 10, 1. – später insbes. = die Steuerhufe, Cod. Theod. 11, 20, 6 u.a.; vgl. J. Marquardt Röm. Staatsverw.² 2, 225 u. Seeck in Pauly-Wissowa Realenz. 3, 1517 f. – b) ein Gespann Pferde, Verg. Aen. 5, 147; 10, 594. – u. dav. meton. = der Wagen, Sil. 7, 683. – c) übtr., ein Paar, aquilarum, Plin.: impiorum (v. Antonius u. Dolabella), Cic. – B) bildl.: 1) im allg.: par iugum caritatis, gleiche Bande der Zärtlichkeit, Val. Max.: pari iugo niti, mit gleicher Anstrengung arbeiten, Plin. ep.: ferre iugum pariter, auch im Unglück dem Freunde mit gleicher Liebe anhangen, Hor.: subtrahis effracto tu quoque colla iugo, Ov.: tu bene conveniens non sinis ire iugum, lässest uns nicht einträchtig leben, Prop.: egregium opus pari iugo ducet, an gleichem Joche wird er das herrliche Werk vollziehen, Sen. ep. 109, 16. – 2) insbes.: a) das Ehe standsjoch, alci iugum imponere, Ov.: iugum ferre, Plaut. u. Hor.: paulatim sub iuga colla dare, Tibull.: eripere turpi colla iugo, Hor. – b) das Joch als Sklavenjoch, iugum accipere (sich gefallen lassen), Liv.: u. iugum excipere, Curt.: Samnitium iugum subire, Tac.: recipere imperii iugum, Vell.: praesentis fortunae iugum pati, Curt.: alcis ferre iugum, Hor.: iugum exuere, Liv.: iugo se exuere, Liv.: iugum excutere, Plin. pan. u. Tac.: servitiis grave iugum demere, Liv.: cuius (rei publicae) cervicibus iugum servile deiecerunt, Cic.: depulit a civibus suis iniustum illud durae servitutis iugum, Cic.: poet., aliena arva iugo premere, unterjochen, Verg. Aen. 10, 78. – II) jedes Querholz, das zwei andere Dinge verbindet, 1) die Querlatte, der Querbalken, zwischen den senkrecht stehenden Latten od. Pfählen, um den Wein daran zu binden, das Joch, der Holm, a) eig., Varro u. Colum. – b) übtr., das Joch, unter das bei den Alten besiegte Feinde zur Demütigung geschickt wurden (s. Liv. 3, 28, 10), mittere sub iugum, Cic. u. Liv.: sub iugo mittere, unter dem Joche hervor od. weg entlassen, Gell.: u. so sub iugum abire, Liv. 3, 28, 10: im Bilde, calamitates terroresque mortalium sub iugum mittere, überwältigen, sich gleichs. untertänig machen, Sen. de prov. 4, 1. – 2) das Querholz an der Wage; dah. meton.: a) die Wage, ein Gestirn, Cic. de div. 2, 98. Sen. Troad. 448. – b) die Wage an der Deichsel, Varro LL. 5, 135. Liv. 37, 41, 6 sq. Curt. 3, 1 (2), 15: iugum plaustri, Iustin. 11, 7, 15. Vgl. Paul. ex Fest. 39, 4. – 3) der Webebaum, Ov. met. 6, 55; vgl. jedoch H. Blümner Gewerbe u. Künste² 1, 141. – 4) iuga (wie ζυγά), die Querbalken im Schiffe, die die beiden Borde verbinden, die Ruderbänke, Verg. Aen. 6, 411. – 5) das Joch zum Tragen von Lasten, bestehend aus einer in der Mitte leicht gekrümmten u. an jedem Ende mit einem Riemen, an dem die Last hing, versehenen Stange, die über der einen Schulter von hinten nach vorn getragen wurde, Varro r. r. 2, 2, 10. – 6) der zwischen zwei u. mehreren Bergspitzen fortlaufende Gebirgskamm u. der durch einen Kamm verbundene Gebirgszug, die Gebirgskette, summum iugum montis, Caes.: iugum Alpium, Liv.: omnes eius iugi colles, Caes.: Vesaevum iugum = Vesaevius mons, Verg.: iuga Tauri, Liv.: Pyrenaei iuga, Sall. fr.: continentia iuga, Liv.: nive perenni (ewigem) obruta iuga, Curt.: dorsum esse eius iugi aequum, Caes.: iugo circummissus in verticem collis evasit, Liv.: bacchata iugis (auf den Bergen) Naxos, Verg. – / Nbf. iugus, ī, m., Rossi inscr. Chr. I, 77.