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accipio%21

  • 1 accipio

    accĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [ad + capio] - tr. -    - voir l'article accipio de Gaffiot.    - chez les comiques accipin = accipisne; accepistin = accepistine --- fut. ant. accepso PAC. Tr. 325 --- inf. accipei = accipi CIL 1, 202 --- accipiundus Cato, Agr. 2,5. [st1]1 [-] recevoir, prendre; éprouver, souffrir, subir.    - accipere rem ab aliquo, Cic.: recevoir une chose de qqn.    - accepi litteras a patre: j'ai reçu une lettre de mon père.    - naves accipiunt imbrem, Virg.: les vaisseaux sont envahis par l'eau.    - accipere decumas, Cic.: percevoir la dîme.    - se negant usquam, nisi acceperint, Cic.: ils refusent de marcher s'ils ne sont pas payés.    - accipere poenas, Luc.: punir.    - accipere injuriam: subir une injustice.    - accipere speciem rei, Plin.: prendre l'aspect de qqch.    - nubes accipit ignem, Virg.: le nuage prend feu.    - accipere voluptatem, Cic.: ressentir de la joie. [st1]2 [-] entendre, entendre dire, apprendre; comprendre, interpréter.    - accipere aliquid oculis, Cic.: percevoir qqch par les yeux.    - hoc accipe dictum, Enn.: écoute ces paroles.    - hoc a majoribus accepimus: nous avons appris cela de nos ancêtres, nous tenons cela de nos ancêtres.    - accipere + prop. inf.: entendre dire que, apprendre de qqn (ab aliquo) que.    - quae tradentur accipiet, Quint.: il comprendra nos leçons.    - id quo facilius accipi possit, Cels.: afin que cette vérité puisse être plus facilement saisie.    - aliquid accipere in bonam (malam) partem: prendre qqch en bonne (en mauvaise) part.    - accipere aliquid ad verbum, Cic.: prendre qqch à la lettre.    - sicuti ego accepi, Sall. C. 6, 1: comme je l'ai appris.    - aliquid accipere aspere, Tac.: prendre mal qqch. (une nouvelle).    - accipere aliquid in plures sententias, Cic.: interpréter qqch de plusieurs manières.    - aliquid accipere aliorsum ou aliter atque... Ter.: interpréter qqch autrement que...    - accipere ad contumeliam, Ter.: considérer comme un outrage.    - accipio omen: j'en accepte l'augure.    - accipere in omen, Liv.: interpréter comme un présage.    - accipere prodigii loco, Tac.: interpréter comme un prodige. [st1]3 [-] accepter, recevoir volontairement, se décharger de, agréer, approuver.    - accipere judicium, Cic.: accepter un débat en justice.    - accipere ad se litem, Plaut.: se charger d'un procès.    - accipere rogationem, Cic.: adhérer à une proposition de loi.    - accipere condicionem pacis: accepter des conditions de paix.    - accipere de plebe consulem, Cic.: admettre la candidature d'un consul plébéien.    - accipio, Hor.: j'accepte; je le veux bien; d'accord. [st1]4 [-] recevoir chez soi, accueillir, traiter.    - accipere convivio, Curt.: recevoir à sa table.    - accipere in amicitiam, Caes.: admettre dans son amitié.    - accipere clementer, Liv.: accueillir avec bienveillance.    - accipere indignis modis, Ter.: traiter indignement.    - ego te miseris jam accipiam modis, Plaut. Aul. 4.4.3: je vais te traiter d'une triste façon.    - accipere aliquem tecto: accueillir qqn sous son toit.    - voir acceptum
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    accĭpĭo, ĕre, cēpi, ceptum [ad + capio] - tr. -    - voir l'article accipio de Gaffiot.    - chez les comiques accipin = accipisne; accepistin = accepistine --- fut. ant. accepso PAC. Tr. 325 --- inf. accipei = accipi CIL 1, 202 --- accipiundus Cato, Agr. 2,5. [st1]1 [-] recevoir, prendre; éprouver, souffrir, subir.    - accipere rem ab aliquo, Cic.: recevoir une chose de qqn.    - accepi litteras a patre: j'ai reçu une lettre de mon père.    - naves accipiunt imbrem, Virg.: les vaisseaux sont envahis par l'eau.    - accipere decumas, Cic.: percevoir la dîme.    - se negant usquam, nisi acceperint, Cic.: ils refusent de marcher s'ils ne sont pas payés.    - accipere poenas, Luc.: punir.    - accipere injuriam: subir une injustice.    - accipere speciem rei, Plin.: prendre l'aspect de qqch.    - nubes accipit ignem, Virg.: le nuage prend feu.    - accipere voluptatem, Cic.: ressentir de la joie. [st1]2 [-] entendre, entendre dire, apprendre; comprendre, interpréter.    - accipere aliquid oculis, Cic.: percevoir qqch par les yeux.    - hoc accipe dictum, Enn.: écoute ces paroles.    - hoc a majoribus accepimus: nous avons appris cela de nos ancêtres, nous tenons cela de nos ancêtres.    - accipere + prop. inf.: entendre dire que, apprendre de qqn (ab aliquo) que.    - quae tradentur accipiet, Quint.: il comprendra nos leçons.    - id quo facilius accipi possit, Cels.: afin que cette vérité puisse être plus facilement saisie.    - aliquid accipere in bonam (malam) partem: prendre qqch en bonne (en mauvaise) part.    - accipere aliquid ad verbum, Cic.: prendre qqch à la lettre.    - sicuti ego accepi, Sall. C. 6, 1: comme je l'ai appris.    - aliquid accipere aspere, Tac.: prendre mal qqch. (une nouvelle).    - accipere aliquid in plures sententias, Cic.: interpréter qqch de plusieurs manières.    - aliquid accipere aliorsum ou aliter atque... Ter.: interpréter qqch autrement que...    - accipere ad contumeliam, Ter.: considérer comme un outrage.    - accipio omen: j'en accepte l'augure.    - accipere in omen, Liv.: interpréter comme un présage.    - accipere prodigii loco, Tac.: interpréter comme un prodige. [st1]3 [-] accepter, recevoir volontairement, se décharger de, agréer, approuver.    - accipere judicium, Cic.: accepter un débat en justice.    - accipere ad se litem, Plaut.: se charger d'un procès.    - accipere rogationem, Cic.: adhérer à une proposition de loi.    - accipere condicionem pacis: accepter des conditions de paix.    - accipere de plebe consulem, Cic.: admettre la candidature d'un consul plébéien.    - accipio, Hor.: j'accepte; je le veux bien; d'accord. [st1]4 [-] recevoir chez soi, accueillir, traiter.    - accipere convivio, Curt.: recevoir à sa table.    - accipere in amicitiam, Caes.: admettre dans son amitié.    - accipere clementer, Liv.: accueillir avec bienveillance.    - accipere indignis modis, Ter.: traiter indignement.    - ego te miseris jam accipiam modis, Plaut. Aul. 4.4.3: je vais te traiter d'une triste façon.    - accipere aliquem tecto: accueillir qqn sous son toit.    - voir acceptum
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        Accipio, accipis, pen. corr. accepi, pen. prod. acceptum, accipere, Ex ad et capio. Prendre.
    \
        Accipere ab aliquo rem aliquam. Terent. Recevoir de quelcun.
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        De loco aliquo accipere, vel de homine. Liu. Cic. Recevoir.
    \
        Accipere ex aliquo. Plaut. Recevoir.
    \
        Aliquid in muneribus accipere. C. Grachus apud Gellium. Prendre en presents.
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        In numero accipi. Plin. Estre comprins au nombre.
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        Accipere aestimationem. Cic. Recevoir bonne estime et reputation, Recevoir honneur.
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        AEtatem. Plin. Prendre semblance d'estre vieil.
    \
        Caelum accipere. Ouid. Esse beatum. Estre heureux.
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        Causam. Cic. Recevoir l'excuse comme bonne.
    \
        Causam accipere dicitur patronus. Cic. Escouter pour entendre les merites d'une cause, Se charger d'une cause et procez.
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        Commeatum. Plin. Obtenir congé de s'en aller.
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        Complexum. Liu. Se laisser embrasser.
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        Conditionem. Cic. Prendre le parti, ou l'offre, L'accepter, Prendre au mot, Accepter la condition.
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        Conditionem ab hoste armato. Caes. Faire selon la volunté de son ennemi, et s'accorder à ses demandes.
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        Conditionem paciscendi. Liu. Accepter un accord selon que la partie adverse l'a basti.
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        Coniecturam accipere, quid senserit legis conditor. Quintil. Conjecturer.
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        Consilium. Liu. Faire ce qu'on nous conseille, S'arrester au conseil d'aucun, Prendre le conseil.
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        Consulem de plebe. Cic. Recevoir.
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        Decumas. Cic. Prendre ou lever decimes, ou dismes.
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        Disciplinam ab aliquo. Caes. Prendre instruction, Apprendre d'aucun.
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        Excusationem. Cic. Recevoir l'excuse comme bonne et suffisante.
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        Exercitum. Caes. Prendre la charge d'une armee.
    \
        Experimento suo accipere, siue natura duce, non alio tradente. Quintil. Scavoir et entendre, ou apprendre par son experience, et non par doctrine d'autruy.
    \
        Foedera noua. Sallust. Prendre nouvelles alliances.
    \
        Foenore: sub. (nummos) aut (pecuniam). Plin. iun. Prendre argent à usure.
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        Fidem. Liu. Prendre la foy et promesse.
    \
        Fidem fabula accepit, pro Fabulae creditum est. Martial. On l'a creu.
    \
        Fiduciam. Cic. Acheter une chose qui tienne lieu d'hypotecque pour asseurance de son argent, à la charge d'en faire la revente en rendant le sort et les usures, ou le sort simplement.
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        Formam accipit vlmus aratri. Virgil. Quand d'un orme on fait une charrue.
    \
        Fraenum. Virgil. Recevoir la bride et domination d'aucun, S'assubjectir à luy.
    \
        Gremio accipere. Virg. Recueillir, Recevoir, Mettre en son giron.
    \
        Honores accipere. Brutus ad Cic. Recevoir et estre pourveu d'estats.
    \
        Humanitatem. Cic. Certe humanitatem iis potissimum tribuere debemus, a quibus accepimus. Il n'y a point de doubte que nous ne devions rendre le plaisir principalement à ceulx desquels nous en avons receu.
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        Ignominiam. Cic. Recevoir honte, ou deshonneur.
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        Imperium. Liu. Obeir au commandement d'autruy, Recevoir et accepter la superiorité et commandement, Obtemperer au commandement.
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        Iniuriam accipere. Cic. Estre injurié et oultragé.
    \
        Iudicium. Cic. Consentir en la forme de la commission qui estoit baillee par le preteur pour congnoistre du different d'aucunes parties, Entrer en defenses, et proposer fins de non valoir, sans s'arrester és fins de non proceder, ou de non recevoir.
    \
        Iugum dicuntur boues accipere. Colum. Quand les beufs ne refusent point le joug.
    \
        Per translationem dicuntur etiam homines iugum accipere. Liu. Se rendre subjects, S'assubjectir, Recevoir la domination d'aucun, et luy obeir.
    \
        Iusiurandum. Caes. Prendre ou recevoir le serment d'autruy, Luy faire faire le serment.
    \
        Legem accipere. Cic. L'accepter et recevoir, L'approuver.
    \
        Leges a victoribus. Liu. S'assubjectir à leurs commandements.
    \
        Libertatem ab aliquo. Sallust. Recevoir liberté.
    \
        Literas aut epistolam ab aliquo. Cic. Recevoir lettres que aucun nous envoye: ou prendre des lettres pour porter ou envoyer à quelcun.
    \
        Literas e Philotimo accepi. Cic. J'ay receu tes lettres par les mains de Philotimus.
    \
        Litem ad se. Plaut. Prendre le debat pour un autre.
    \
        Lumen Solis accipit Luna. Cic. Elle recoit sa clarte du soleil.
    \
        Malum accipere. Plin. iunior. Recevoir du mal.
    \
        Accipere mala ex scholis dicuntur pueri a Quintiliano. Prendre, ou Apprendre du mal aux escoles.
    \
        Mandata. Cic. Prendre quelque charge ou commission.
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        Memoriam de aliquo. Cic. De quibus memoriam accepimus. Desquels nous avons ouy parler.
    \
        Metum accipere. Terent. Avoir paour.
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        Morem a maioribus accepimus. Cic. Nous avons prins une coustume de nos ancestres.
    \
        Accipere aliquid muneri. Tacit. Quasi cunctam regionem muneri accepissent. Comme si on leur eust donné tout le pais.
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        Nomen. Plin. Prendre le nom.
    \
        Nomen. Liu. Recevoir à la monstre.
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        Nuntium. Caes. Recevoir nouvelles.
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        Obsides. Caes. Prendre ostages. \ Omen. Cic. Accepter.
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        Onus. Cic. Recevoir ou porter fardeau.
    \
        Opinionem. Cic. Concevoir bonne ou mauvaise opinion d'un autre.
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        Originem ab aliquo accipere. Quintil. Prendre son origine ou commencement, ou sa naissance.
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        Palmam. Cic. Emporter le pris, ou la victoire.
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        Pecuniam aduersum legem. Plaut. Prendre argent.
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        Poenas. Lucan. Punir.
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        Potestatem. Plin. iunior. Recevoir authorité et puissance, ou congé et permission de faire quelque chose.
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        Praecepta ab aliquo. Cic. Recevoir enseignements.
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        Praedes. Cic. Prendre, ou Recevoir pleiges.
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        In aestimationem praedia. Cic. Prendre en payement pour le pris qu'ils sont estimez valoir.
    \
        Prouinciam. Cic. Prendre la charge de gouverner une province, ou quelque autre chose que ce soit.
    \
        Rationes a colono. Cic. Recevoir les comptes.
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        Rempublicam. Cic. Prendre le gouvernement de la republique.
    \
        Repulsam. Cic. Estre refusé, Quand on n'obtient point ce qu'on demande, Estre esconduict.
    \
        Rogationem. Cic. Recevoir une loy et l'approuver.
    \
        Rudem, proprie dicuntur gladiatores. Cic. Avoir son congé pour desormais se reposer et ne plus travailler.
    \
        Sacramentum. Tacit. Recevoir le serment des gents de guerre.
    \
        Salutem. Plaut. Recevoir ou accepter une salutation.
    \
        Salutem ab aliquo. Cic. Estre saulvé et delivré par aucun.
    \
        Satisfactionem accipere. Cic. Recevoir et accepter l'excuse ou purgation d'aucun, Se contenter de l'excuse.
    \
        Sententiam. Liu. Recevoir l'opinion de quelcun, L'approuver et avoir pour aggreable.
    \
        Seruitutem. Tacit. Recevoir servitude, Se rendre serf et subject.
    \
        Societatem alicuius. Tacit. Prendre accointance, et association, S'associer. \ Solem totius dici. Plin. Recevoir.
    \
        Sordes ab aliquo. Cic. Rapines et corruptions.
    \
        Speciem raporum accipit napus. Colum. Se change et mue en raves, Prend la forme et faconde, etc.
    \
        Stipendium de publico. Liu. Recevoir gage des deniers communs de la ville.
    \
        Sub imperium aliquid accipere. Tacit. Prendre et mettre soubz sa seigneurie et domination.
    \
        Tabellarium. Cic. Trouver messagier, ou porteur.
    \
        Testimonium publicum. Cic. Prendre la charge de venir tesmoigner au nom de la communaulté.
    \
        Tempus debitum. Plin. iunior. avoir du temps à suffisance, et autant qu'il en appartient.
    \
        Accipere aliquem vadem pro alio. Cic. Prendre à caution et pour pleige.
    \
        Veniam pro aliquo. Ouid. Impetrer, Obtenir.
    \
        Accipiunt ventos a tergo naues. Ouid. Recoivent.
    \
        Vires accipere, aut vim. Plin. Prendre force, S'enforcir.
    \
        Voluntatem parem accipere et reddere. Cic. Estre aimé et rendre la pareille en contraimant, Aimer, et estre aimé, Aimer mutuellement et reciproquement.
    \
        Vrbem accipere. Cic. Prendre une ville.
    \
        Vrbem in deditionem accipere. Liu. Prendre à merci une ville qui se rend.
    \
        Accipere beneficium ab aliquo: cuius reciprocum est, Dare beneficium. Cic. Recevoir quelque plaisir ou bien faict.
    \
        Gaudium accipere, aut leatitiam. Plaut. Recevoir joye, S'esjouir.
    \
        Voluptatem accipere ex re aliqua. Cic. Prendre plaisir, Estre resjouy.
    \
        Calamitatem ab aliquo. Caes. Recevoir dommage et perte.
    \
        Cladem. Liu. Estre desconfit.
    \
        Contumeliam et contumelias. Caes. Cic. Estre injurié.
    \
        Detrimentum. Cic. Souffrir dommage.
    \
        Dolorem. Cic. Estre marri et ennuyé.
    \
        Incommodum. Caes. Recevoir dommage et perte.
    \
        Ictum. Lucret. Estre frappé.
    \
        Offensionem. Ci. Mollis animus et ad accipiendam, et ad deponendam offensionem. Aisé à se courroucer et à s'appaiser.
    \
        Accipere offensiunculam in AEdilitate. Cic. Recevoir quelque petite injure.
    \
        Plagam seu vulnus. Varro. Cic. Estre blessé, Recevoir quelque playe.
    \
        Item per metaphoram, Accipere plagam aut vulnus, pro eo quod est Accipere damnum, aut cladem, aut calamitatem. Ci. Endurer et souffrir ou recevoir quelque dommage, tort, ennuy, perte.
    \
        Accipere. Cic. Ouir, Ouir dire.
    \
        Te dicere accipio. Cic. J'enten que tu dis.
    \
        Auribus accipere. Cic. Ouir attentivement et soigneusement.
    \
        AEquis auribus accipere. Liu. Ouir voluntiers et de bon cueur.
    \
        Auribus pronis aliquid accipere. Tacit. Ouir voluntiers, Estre prompt ou enclin, et attentif à ouir.
    \
        Pronis animis accipere. Tacit. Ouir voluntiers et attentivement.
    \
        Auide acceptum. Tacit. Ouy et receu, ou creu chaudement et legierement.
    \
        Aures accipiunt. Cic. Nunc primum hoc aures tuae crimen accipiunt? Est ce de ceste heure seulement que tu ois parler de ce crime?
    \
        Accipe nunc Danaum insidias. Virg. Escoute attentivement.
    \
        Ne tenuissimam quidem auditionem de ea re accepi. Cael. ad Ci. Je n'ay tant soit peu ouy parler de cela, Je n'en ay ouy aucun vent.
    \
        Auditione et fama accipere. Cic. Scavoir par ouy dire, et par le bruit.
    \
        Aliquid aduersis animis accipere. Tacit. Ouir avec mescontentement, Estre mari d'ouir.
    \
        Vt de Hercule et de Libero accepimus. Cic. Comme nous avons ouy dire d'Hercules.
    \
        Eriphylem accepimus in fabulis ea cupiditate. Cic. Nous avons leu és fables que Eriphyle, etc.
    \
        Ego a maioribus memoria sic accepi. Cato apud Gellium. Il me souvient de l'avoir ouy dire ainsi à mes ancestres.
    \
        Preces accipere. Ouid. Ouir ou escouter les prieres.
    \
        Superbius preces alicuius accipere. Tacit. Ouir fierement.
    \
        Si te aequo animo ferre accipiet. Terent. S'il oit dire, ou S'il entend, ou S'il congnoist que, etc.
    \
        Quae gerantur, accipies ex Pollione. Ci. Tu scauras de Pollio.
    \
        Accipere oculis et animo. Cic. Veoir et comprendre en son entendement.
    \
        Animis mea dicta accipite. Virg. Entendez.
    \
        Nostram mentem accipe. Virg. Escoute et enten mon advis et mon conseil.
    \
        Parum accipere locum aliquem, et Minus intelligere, idem significant. Cic. Ne point bien entendre une chose.
    \
        Accipere ad contumeliam vel in contumeliam. Cic. Terent. Prendre à injure.
    \
        Accipere aliquid ad cognitionem rei alicuius. Cic. Prendre une chose pour venir à la congnoissance d'une autre, Par la consideration d'une chose parvenir à la congnoissance d'une autre.
    \
        Ad verbum accipere. Cic. Prendre à la rigueur du mot.
    \
        Ad omnia accipe. Cic. Voici response à toutes les parties de tes lettres.
    \
        Excusatius aliquid sub exemplo accipere. Tacit. L'excuser par ce que autrefois ainsi a esté faict.
    \
        Quo animo accipias, tento te. Cic. Je t'essaye pour veoir comment tu le prendras.
    \
        AEquo animo accipere. Sallust. Prendre en gre, en bien, en bonne part.
    \
        Monitionem patienter accipere, non repugnanter. Cic. Porter patiemment.
    \
        AEgre aliquid accipere. Taci. Le prendre mal, En estre mal content.
    \
        Aliorsum accipere. Terent. Prendre autrement, ou en autre sens une chose qu'on ne l'a dicte.
    \
        Aspere accipere. Cic. Prendre une chose en mal, S'en courroucer.
    \
        Atrocius aliquid accipere. Tacit. Plus aigrement, Plus mal patiemment.
    \
        Durius accipere, aut grauiter. Cic. Plin. Porter mal patiemment, Se mal contenter.
    \
        Fastidiose accipere, vel supine. Seneca. Recevoir quelque don fort negligemment, comme si on n'en faisoit pas grande estime.
    \
        Intemperanter aliquid accipere. Tacit. Immodestement, en sorte qu'on en perde toute contenance.
    \
        In bonam accipere, vel in malam partem. Cic. Prendre en bonne part, ou en mauvaise part, En bien ou en mal.
    \
        Quaeso vt hoc in bonam partem accipias. Cic. Je vous prie qu'il ne vous desplaise, Je vous prie me pardonner ce que je diray. B.
    \
        Id ego in eam partem accepi. Cic. J'ay prins cela en ce sens.
    \
        In eam partem accipioque et volo. Terent. Je le pense ainsi et le desire.
    \
        Accipi aliquid pro magnifico. Tacit. Estre prins et estimé comme chose grande et magnifique.
    \
        In quam partem accipias. Cic. En quelle maniere tu l'entende, En quelle sorte tu le prenne.
    \
        Accipere aliquid in aliam partem ac dictum sit. Ad Heren. Le prendre autrement, et en autre sens qu'on ne l'a dict.
    \
        Verbum in duas pluresve sententias accipere. Ad Heren. Prendre un mot en deux sens ou plusieurs.
    \
        Aliquid in maius accipere. Liu. Faire ou estimer quelque chose plus grande qu'elle n'est, La penser plus grande qu'elle n'est. Vulgo dicitur, Faire le loup plus grand qu'il n'est.
    \
        In matrimonium accipere aliquam. Tacit. Prendre en mariage, Prendre à femme.
    \
        In solutum accipere aliquid. Seneca. Prendre en payement ou pour payement.
    \
        Silentium ipsius in superbiam accipiebatur. Tacit. On le prenoit à fiereté et orgueil.
    \
        Accipe hoc vt a me dicitur. Cic. Pren le comme je le di.
    \
        Vt volet quisque accipiat. Ci. Chascun le prenne comme il vouldra, Qu'on le prenne comme on vouldra.
    \
        Id ita accipio vt mihi factum putem. Cic. Je pren ou estime cela autant que si tu me l'avois faict.
    \
        Accipiatis sine offensione quod dixero. Ci. Ne prenez point mal ce que je diray.
    \
        Numerium libenter accepi in amicitiam. Cic. Je l'ay receu à ami, ou En mon amitie.
    \
        Accipere in societatem regni. Liu. Prendre à compaignon, Pour compaignon, Accompaigner ou associer avec soy.
    \
        In suum numerum accipere. Liu. Recevoir à estre des siens.
    \
        Accipere hospitio. Cic. Loger, Recevoir en son logis.
    \
        In ciuitatem accipere. Cic. Recevoir pour citoyen.
    \
        In vrbem accipere. Liu. Recevoir dedens la ville, Luy ouvrir les portes.
    \
        Accipio quod dat. Cic. Je pren en gré ce qu'il baille.
    \
        Accipere aliquem. Traicter aucun.
    \
        Accipere aliquem in prandio. Plaut. Luy bailler à disner.
    \
        Admirabiliter nos accepit Asia. Cic. Nous a recueilli ou receu et traicté à merveilles, merveilleusement bien.
    \
        Apparatu regio. Cic. Traicter royalement, En roy.
    \
        Accipit hominem nemo melius prorsus. Terent. Il n'y a personne qui recueille mieulx les gents, ou qui traicte mieulx.
    \
        Accipere apparatis epulis. Liu. Faire ung banquet à aucun de viandes bien appareillees.
    \
        Accipere aliquem, pro Tractare et afficere, in malam partem. Plaut. Mal traicter aucun.
    \
        Quo te modo accepissem, nisi iratus essem? Cic. Comment je t'eusse accoustré, etc.
    \
        Accipere cruciatu. Plaut. Tormenter.
    \
        Hominem accipiam quibus dictis meret. Plaut. Je parleray à luy ainsi qu'il merite et dessert.
    \
        Male accepit verbis Rabonium. Cic. Il l'a bien tansé, Il a bien parlé à luy, Il a eu grosses parolles à luy, Il luy a dict grosses injures.
    \
        Indignis modis. Terent. Mal traicté.
    \
        Seuere facinus aliquod. Cic. Punir griefvement et rigoreusement quelque meschancete, Batre.
    \
        Quintum puerum accepi vehementer. Cic. Je l'ay tansé bien aigrement.
    \
        Accipere vocem. Plinius, Turres septem, acceptas voces numerosiore repercussu multiplicant. Recevoir la voix.

    Dictionarium latinogallicum > accipio

  • 2 accipiō

        accipiō cēpī, ceptus, ere    [ad+capio], to take without effort, receive, get, accept. — Of voluntary taking, to take, accept, take into possession, receive: obsides, Cs.: divitias, N.: aliquid a patre, inherit, N.: suspitio acceptae pecuniae ob rem iudicandam (of a bribe): pecuniam per Volcatium, by the hands of: alqm gremio, V.: milites urbe tectisve, L.: sucos ore aut volnere, O. — Fig.: oculis aut pectore noctem, V.—To admit, let in: armatos in arcem, L.: alqm in amicitiam: (parentes) in civitatem, to citizenship, L.— To take under protection: (virginem) accepi, acceptam servabo, T.: taedā accepta iugali, i. e. wedded, O.—To receive as a guest, entertain, welcome: Laurentes nymphae, accipite Aenean, V.: quam Delos orantem accepit, O.: (eum) in vestram fidem, into your confidence.— Ironically, to entertain, deal with, treat: indignis modis, T.: quo te modo accepissem, nisi iratus essem: eum male acceptum... coegit, etc. (of a defeated enemy), N.—In busines, to collect (money): a praetore pecuniam. — acceptus, P., received, collected: accepta pecunia. — Esp. in the phrase, referre acceptum (alqd), to credit, give credit for: amplius sestertium ducentiens acceptum hereditatibus rettuli, entered to the credit of inheritance, i. e. owe to bequests: alcui vitam suam referre acceptam, acknowledge that he owes his life, etc.: salutem imperi uni omnes acceptam relaturos, Cs. — In law: sponsionem acceptam facere, to discharge the bond, acknowledge payment of the sponsio.—Of involuntary taking, to receive, get, be the recipient of, take, submit to, suffer, bear: volnera tergo, V.: graviore volnere accepto, Cs.: cum semel accepit solem (leo), has felt the power of, H.: hunc metum, i. e. take this risk, T.: contumeliam, T. — Esp. of places, to admit, take in, receive, open to: Strophadum me litora primum Accipiunt, V.: nullae eum urbes accipiunt, nulla moenia, L.: illum unda accipit sinu vasto, V. — Fig., of perception and thought: quae accepi auribus, T.: mandata auribus: quem ipse accepi oculis animoque sensum, hunc, etc., the impression I received.—In gen., to take, hear, attend to, perceive, understand, learn: Accipe nunc Danaum insidias, listen to, V.: sicut ego accepi, as I have heard, S.: ut accepi a senibus: accipite... veterem orationem Archytae: quae postea acciderant, Cs.: reliquos ne famā quidem acceperunt, have not heard of them, Cs.: si te aequo animo ferre accipiet, T.: hoc sic fieri solere accepimus: ex parente ita accepi, munditias mulieribus convenire, S.: ut celeriter acciperet quae tradebantur, understood, N.— Absol: non recte accipis, T.: volenti animo de ambobus acceperant, had eagerly welcomed news of both, S.—In partic., of a word or pledge, take: accipe daque fidem, i. e. exchange solemn assurances, V.—Praegn., to take, interpret, explain: ad contumeliam omnia, to regard as an insult, T.: his in maius acceptis, being exaggerated, L.: hoc in bonam partem, take kindly: alqd durius: facinus severe accipere, with displeasure: aliter tuom amorem atque est, T.: aequo animo, S. — Accipere aliquid in omen, to regard a thing as an omen, accept the omen: id a plerisque in omen magni terroris acceptum, L.; but accipere omen, to receive as a ( favorable) omen, L.—With ellips. of omen: Accipio, adgnoscoque deos, I accept ( the omen) and, etc., V.—To accept, be satisfied with, approve: dos, Pamphile, est decem talenta. Pam. Accipio, T.: ‘equi te esse feri similem, dico.’ Ridemus et ipse Messius, ‘accipio,’ I allow it, exactly so, H.: ab hoste armato condicionem, Cs.— To take upon one, undertake, assume, undergo: bellum, quod novus imperator noster accipiat, in which... succeeds to the command: causam: eos (magistratūs): iudicium (of the defendant), stand the trial: iudicium accipere pro Quinctio, i. e. agree for Q. to stand trial.
    * * *
    accipere, accepi, acceptus V TRANS
    take, grasp, receive, accept, undertake; admit, let in, hear, learn; obey

    Latin-English dictionary > accipiō

  • 3 accipio

    accipio accipio, cepi, ceptum, ere принимать

    Латинско-русский словарь > accipio

  • 4 accipio

    accipio accipio, cepi, ceptum, ere получать

    Латинско-русский словарь > accipio

  • 5 accipio

    accipio accipio, cepi, ceptum, ere терпеть, испытывать

    Латинско-русский словарь > accipio

  • 6 accipio

    ac-cĭpĭo, cēpi, ceptum, 3, v. a. ( fut. perf. accepso = accepero, Pac. ap. Non. 74, 31, or Rib. Trag. Rel. 118) [capio], to accept.
    I.
    In gen., to take a person or thing to one's self: leno ad se accipiet hominem et aurum, will take the man and his money to himself (into his house), Plaut. Poen. 1, 1, 51.
    a.
    Of things received by the hand, to take, receive: cette manus vestras measque accipite, Enn. ap. Non. 85, 1 (Trag. v. 320 ed. Vahl.):

    ex tua accepi manu pateram,

    Plaut. Amph. 2, 2, 132; hence, trop. of the word given, the promise, with which a grasping of the hand was usually connected: accipe daque fidem, Enn. ap. Macr. S. 6, 1 (Ann. v. 33 ed. Vahl.; so in the Gr. pista dounai kai labein); cf. Plaut. Trin. 2, 4, 87; so Verg. A. 8, 150;

    in Ter. of a person to be protected: hanc (virginem) accepi, acceptam servabo,

    Ter. And. 1, 5, 62; cf. Cic. Fam. 7, 5, and Sall. C. 6, 5, —
    b.
    Of things received or taken by different parts of the body: accipite hoc onus in vestros collos, Cato ap. Non. 200, 23:

    gremio,

    Verg. A. 1, 685:

    oculis aut pectore noctem (i. e. somnum),

    id. ib. 4, 531.—
    c.
    In gen., very freq.,
    (α).
    as implying action, to take, to take possession of, to accept (Gr. dechesthai);
    (β).
    of something that falls to one's share, to get, to receive, to be the recipient of (Gr. lambanein).—
    (α).
    To take, accept:

    hanc epistulam accipe a me,

    take this letter from me, Plaut. Ps. 2, 2, 52; 4, 2, 26; cf. id. Ep. 3, 4, 26:

    persuasit aliis, ut pecuniam accipere mallent,

    Cic. Off. 2, 23, 82:

    condicionem pacis,

    Caes. B. G. 2, 15:

    armis obsidibusque acceptis Crassus profectus est,

    after he had taken into his possession the arms and hostages, id. ib. 3, 23:

    divitias,

    Nep. Epam. 4, 3:

    aliquid a patre,

    to inherit, id. Timoth. 1, 1; id. Att. 1:

    accipe et haec, manuum tibi quae monumenta mearum sint,

    Verg. A. 3, 486 al. —Hence to receive or entertain as guest:

    haec (tellus) fessos placidissima portu accipit,

    Verg. A. 3, 78:

    Laurentes nymphae, accipite Aenean,

    id. ib. 8, 71; 155; Ov. M. 8, 655 al.—Of admittance to political privileges:

    Nomentani et Pedani in civitatem accepti,

    Liv. 8, 14; cf. Cic. Off. 1, 11, 35:

    magnifice volo summos viros accipere,

    Plaut. Ps. 1, 2, 34:

    in loco festivo sumus festive accepti,

    id. ib. 5, 19; so id. Cist. 1, 1, 12; id. Men. 5, 2, 44; id. Pers. 1, 1, 32, etc.; Ter. Eun. 5, 9, 52; Lucr. 3, 907; Cic. Att. 16, 6; Ov. F. 2, 725 al.—Hence also ironically, to entertain, to treat, deal with:

    ego te miseris jam accipiam modis,

    Plaut. Aul. 4, 4, 3:

    hominem accipiam quibus dictis maeret,

    id. Men. 5, 1, 7:

    indignis acceptus modis,

    Ter. Ad. 2, 1, 12. Perh. also Lucil. ap. Non. 521, 1: adeo male me accipiunt decimae, treat or use me ill, deal harshly with me; and ib. 240, 8: sic, inquam, veteratorem illum vetulum lupum Hannibalem acceptum (Non. explains the latter in a very unusual manner, by deceptum).—
    (β).
    To get, to receive, to be the recipient of, Pac. ap. Non. 74, 31; Lucr. 1, 819, 909; 2, 762, 885, 1009:

    ictus,

    id. 4, 1048 (cf. Verg. A. 3, 243: vulnera accipiunt tergo): aridior nubes accipit ignem, takes or catches fire, Lucr. 6, 150; Caes. B. G. 1, 48:

    humanitatem iis tribuere debemus, a quibus accepimus,

    Cic. Q. Fr. 1, 1, 9:

    pecuniam ob rem judicandam,

    id. Verr. 1, 38:

    luna lumen solis accipit,

    id. de Or. 3, 45; cf. Hor. Ep. 1, 10, 17:

    praeclarum accepimus a majoribus morem,

    Cic. Off. 3, 10, 44: praecepta, Caes. B. G. 2, 6: accepi tuas litteras (in another sense than above), I have received your letter, it has reached me (allatae sunt ad me), Cic. Fam. 1, 9, 14; 2, 1, 1; 10, 1 al.:

    acceptā injuriā ignoscere quam persequi malebant,

    Sall. C. 9, 3; Caes. B. G. 2, 33:

    calamitatem,

    ib. 1, 31:

    detrimenta,

    ib. 5, 22; cf. Cic. Mur. 21, 44 al. So often of dignities and offices:

    provinciam,

    id. Fam. 2, 10, 2:

    consulatum,

    Suet. Aug. 10:

    Galliam,

    id. Caes. 22 al.
    II.
    In partic.
    A.
    To take a thing by hearing, i. e.,
    1.
    To hear, to perceive, to observe, to learn (cf. opp. do = I give in words, i. e. I say): hoc simul accipe dictum, Enn. ap. Cic. Off. 1, 12, 38 (Ann. v. 204): quod ego inaudivi, accipite, Pac. ap. Non. 126, 22 (Rib. Trag. Rel. p. 81): hoc etiam accipe quod dico, Lucil. ap. Non. 240, 1:

    carmen auribus,

    Lucr. 4, 983 (so id. 6, 164); 1, 270; cf. Verg. A. 2, 65:

    voces,

    Lucr. 4, 613 (so 6, 171):

    si te aequo animo ferre accipiet,

    Ter. And. 2, 3, 23:

    quae gerantur, accipies ex Pollione,

    Cic. Fam. 1, 6; 1, 9, 4; Liv. 1, 7. —Hence very freq. in the histt., to get or receive intelligence of any thing, to learn:

    urbem Romam, sicuti ego accepi, condidere atque habuere initio Trojani,

    as I have learned, Sall. C. 6, 1, and so al.—
    2.
    To comprehend or understand any thing communicated:

    haud satis meo corde accepi querelas tuas,

    Plaut. Cas. 2, 2, 18:

    et si quis est, qui haec putet arte accipi posse,

    Cic. de Or. 1, 25, 114:

    ut non solum celeriter acciperet, quae tradebantur, etc.,

    Nep. Att. 1, 3; so Quint. 1, 3, 3; 2, 9, 3 al.—
    3.
    With the accessory idea of judging, to take a thing thus or thus, to interpret or explain, usually constr. with ad or in c. acc.:

    quibus res sunt minus secundae... ad contumeliam omnia accipiunt magis,

    the more unfortunate one is, the more inclined is he to regard every thing as an insult, Ter. Ad. 4, 3, 15:

    in eam partem accipio,

    id. Eun. 5, 2, 37; cf. Cic. Fam. 10, 6; id. Att. 16, 6; Ter. Eun. 1, 2, 2:

    non recte accipis,

    you put a wrong construction upon this, id. And. 2, 2, 30:

    quae sibi quisque facilia factu putat, aequo animo accipit,

    Sall. C. 3, 2.— Hence: accipere aliquid omen, or in omen, to regard a thing as a ( favorable) omen, to accept the omen (cf. dechesthai ton oiônon), Cic. Div. 1, 46, 103; 2, 40, 83; Liv. 1, 7, 11; 21, 63 fin.; Tac. H. 1, 62; id. A. 1, 28; 2, 13; Flor. 4, 12, 14 al.—Hence poet.:

    accipio agnoscoque deos,

    Verg. A. 12, 260; cf. Ov. M. 7, 620.—
    B.
    To take a thing upon one's self, to undertake (syn. suscipio):

    accipito hanc ad te litem,

    Plaut. Most. 5, 2, 23: meā causā causam accipite, Ter. Hec. alt. prol. 47; cf. Cic. Fam. 7, 24; so id. Verr. 2, 3, 22; Quint. 20 al.—Hence also,
    C.
    To bear, endure, suffer any thing disagreeable or troublesome:

    hanccine ego ut contumeliam tam insignem ad me accipiam!

    Ter. Eun. 4, 7, 1:

    nil satis firmi video, quamobrem accipere hunc me expediat metum,

    id. Heaut. 2, 3, 96; 5, 1, 59; id. Eun. 4, 6, 24; id. Ad. 2, 1, 53; id. Ph. 5, 2, 4; Cic. Tusc. 5, 19, 56:

    calamitatem,

    id. Off. 3, 26:

    injuriam,

    id. ib. 1, 11 al.—
    D.
    To accept a thing, to be satisfied with, to approve: dos, Pamphile, est decem talenta; Pam.:

    Accipio,

    Ter. And. 5, 4, 48:

    accepit condicionem, dein quaestum accipit,

    id. ib. 1, 1, 52:

    visa ista... accipio iisque interdum etiam assentior, nec percipio tamen,

    Cic. Ac. 2, 20, 66:

    preces suas acceptas ab dis immortalibus ominati,

    Liv. 42, 30, 8 Drak. Cf. Herz, Caes. B. G. 5, 1: “equi te esse feri similem, dico.” Ridemus et ipse Messius: “accipio.” I allow it, Exactly so, Hor. S. 1, 5, 58.—
    E.
    In mercant. lang., t. t., to receive or collect a sum:

    pro quo (frumento) cum a Varinio praetore pecuniam accepisset,

    Cic. Fl. 45; hence subst.: acceptum, i, n., the receipt, and in account-books the credit side:

    in acceptum referre alicui,

    to carry over to the credit side, to place to one's credit, Cic. Verr. 1, 36, 57; id. Rosc. Com. 2; id. Phil. 2, 16; id. Caec. 6, 17; Hor. Ep. 2, 1, 234 (opp. datum or expensum).—Hence also trop., to owe or be indebted to one, in a good or a bad sense:

    ut esset nemo qui non mihi vitam suam, liberos, remp. referret acceptam,

    Cic. Phil. 2, 5:

    omnia mala, quae postea vidimus, uni accepta referemus Antonio,

    ascribe, id. ib. 22; Caes. B. G. 8, 58; id. B. C, 3, 57: Acceptum [p. 18] refero versibus, esse nocens, Ov. Trist. 2, 10. —
    F.
    In the gram m., to take a word or phrase thus or thus, to explain a word in any manner:

    adversus interdum promiscue accipitur,

    Charis. p. 207 P. al.—(Syn. nanciscor and adipiscor: he to whom something is given, accipit; he who gets by a fortunate occurrence, nanciscitur; he who obtains it by exertion, adipiscitur. Sumimus ipsi: accipimus ab alio,” Vel. Long. p. 2243 P.—“Inter tenere, sumere et accipere hoc interest, quod tenemus quae sunt in nostra potestate: sumimus posita: accipimus data,” Isid. Diff. 1).—Hence, acceptus, a, um, P. a., welcome, agreeable, acceptable (syn. gratus. Acceptus is related to gratus, as the effect to the cause; he who is gratus, i. e. dear, is on that account acceptus, welcome, acceptable;

    hence the usual position: gratus atque acceptus).—First, of persons: essetne apud te is servus acceptissimus?

    Plaut. Cap. 3, 5, 56:

    plebi acceptus erat,

    Caes. B. G. 1, 13;

    acceptus erat in oculis,

    Vulg. 1 Reg. 18, 5.—

    Of things: dis et hominibus est acceptum quod, etc.,

    Varr. R. R. 3, 16, 5:

    quod vero approbaris. id gratum acceptumque habendum,

    Cic. Tusc. 5, 15, 45:

    munus eorum gratum acceptumque esse,

    Nep. Hann. 7, 3:

    quorum mihi dona accepta et grata habeo,

    Plaut. Truc. 2, 7, 56:

    rem populo Romano gratam acceptamque,

    Cic. Phil. 13, 50;

    tempore accepto exaudivi,

    Vulg. 2 Cor. 6, 2.— Comp., Plaut. Pers. 4, 4, 96; Cic. Rep. 6, 13; Tac. A. 6, 45 al.— Sup., see above.— Adv. accepte does not occur.

    Lewis & Short latin dictionary > accipio

  • 7 accipio

    ac-cipio, cēpī, ceptum, ere [ capio ]
    1)
    а) получать (epistulam ab aliquo C; consulatum Eutr)
    oculisve aut pectore noctem non a. V — не знать ночью ни сна, ни душевного покоя
    б) испытывать, терпеть (injuriam ab aliquo C; cladem L, QC; dolorem C)
    a. pecuniam Cпринимать деньги ( иногда взятку)
    aliquid (in) acceptum referre C — записать что-л. на приход
    aliquid alicui acceptum referre C, facere G, PJ и ferre VM — быть кому-л. должным что-либо, перен. быть кому-л. обязанным чём-л.
    2) допускать, впускать ( armatos urbe и in arcem L)
    3) принимать внутрь, т. е. есть или пить (cibum Lampr; herbam in potu Just; medicinam C)
    4) узнавать, слышать (nuntium, clamorem Sl)
    quae gerantur, accipies ex illo C — о том, что делается, ты узнаешь от него
    a. aliquem in amicitiam C — установить дружеские отношения с кем-л.
    a. aliquam in matrimonium Su, aliquam conjugem SenT и a. aliquam Capit — жениться на ком-л.
    a. aliquem leniter clementer que C — принимать кого-л. (обращаться с кем-л.) ласково и милостиво
    6)
    а) воспринимать, выслушивать ( aliquid benignis auribus Pl)
    accipel H — послушай!, тж. V пойми! или обрати внимание!
    б) принимать, одобрять ( orationem alicujus C)
    accipio! Ter, H — согласен!, отлично!
    7) понимать (recte, aliter atque est Ter, aliquid omen QC, in omen и velut omen L); считать ( verisimilia pro veris L)
    urbis appellatio Roma accipitur Q — под словом «город» понимается Рим
    a. aliquid in malam partem Sen — воспринять что-л. в дурную сторону (в дурном смысле)
    8) перенимать, усваивать ( morem a majoribus C)
    a. vitam alicujus V — усвоить чей-л. образ жизни
    elementa prima litterarum a. Eutr — усвоить начатки грамоты. — см. тж. acceptum и acceptus

    Латинско-русский словарь > accipio

  • 8 accipio

    ac-cipio, cēpī, ceptum, ere (ad u. capio), hinnehmen, empfangen (Ggstz. dare, tradere), I) = δέξομαι, zur Annahme Dargebotenes hinnehmen, entgegennehmen, abnehmen, in Empfang nehmen, sich geben-, sich reichen lassen, A) im allg.: a) in die Hand: α) lebl. Objj.: accipin argentum? accipesis (= accipe si vis) argentum impudens; tenesis argentum; etiam tu argentum tenes? Plaut.: accipe, si vis, accipiam (verst. et ego) tabulam, Hor.: ex tua manu accepi pateram, Plaut.: acc. pecuniam, Geld nehmen, sich geben lassen, Cic., im üblen Sinne = sich bestechen lassen, ab alqo, Cic., ab alqo per alqm, Cic.: et dans et accipiens, der Geber u. Empfänger (Nehmer), Liv. – m. dopp. Acc., ut id ab se donum (als G.) acciperet, Liv. 20, 50, 11. – als t.t. der Geschäftsspr., rationes accipere, sich R. ablegen (stellen) lassen, Sen.: u. so rationes accipere ab alqo, Cic. – alqd (alci) acceptum referre (ferre) od. facere, jmdm. eine Summe als an uns eingezahlt ins Rechnungsbuch über Ausgabe u. Einnahme eintragen, etw. in Einnahme stellen, jmdm. etw. gutschreiben (Ggstz. expensum ferre, jmdm. als von uns an ihn ausgezahlt zur Last schreiben), acc. ref. bei Cic., acc. fac. bei Gaius u. Plin. ep., u. bildl. = etw. (Gutes od. Böses) auf jmds. Rechnung schreiben, jmdm. etw. zurechnen, jmdm. etwas verdanken, zu verdanken haben (mit u. ohne alci od. alci rei), acc. ref., Cic., acc. ferre, Val. Max. ( auch accepto ferre, Eccl.), acc. fac., Sen.: sibi alqd acc. ref., sich zueignen, Auct. b. Afr. – ähnlich sponsionem acceptam facere, über die Sp. quittieren, Cic. – u. Partic. subst., acceptum, ī, n., das Empfangene, die Einnahme (Ggstz. expensum, expensa, data), codex accepti et expensi, die Einnahme- und Ausgabeseite, das Soll u. Haben (im Buche), Cic.: dass. accepti tabulae, Cic.: ratio acceptorum et datorum, Cic.: accepta et expensa conferre (vergleichen), Sen.: in acceptum referre, etw. in Einnahme bringen, über etw. (im Buche) quittieren, Cic. – β) leb. Objj.: hanc puellam mi (= mihi) in manum dat; accepi (ich nahm sie), acceptam servabo, Ter.: acc. puerum in manum, Iustin.: accipe hanc, nimm sie hin, Plaut.: cuius abavi manibus esset accepta (Mater Idaea), in Empfang genommen, Cic.: u. so armis obsidibusque acceptis, Caes. – b) an od. auf od. in einen Körper od. Ort nehmen, aufnehmen, wohin legen lassen, eindringen lassen, zulassen, α) lebl. Objj.: onus in collum, Cato fr.: alqd in cervices (bildl.), Liv.: alqm in equum suum, Liv.: onera umeris, capitibus, auf die Sch., auf den K. nehmen = auf od. mit der Sch., auf od. mit dem K. tragen, Mela: aquam ore, Plin.: sucos ore aut vulnere, Ov.: auras follibus, auffangen, Verg. – v. lebl. Subjj.: acc. onus (v. Rücken), Cic.: alvus omne, quod accepit, cogit atque confundit, Cic.: navis aliquantum aquae accipit, läßt ein, Liv.: u. so navis omnibus compagibus accipit aquam, Liv.: acc. fumum (v. einem Raume), Col.: accipit (Peneus) amnem Orcon nec recipit, läßt ihn zu, nimmt ihn aber nicht in sich auf, Plin.: campi accipiunt fluvium, fluvius accipitur mari, Curt.: acc. opus, v. Meere, Curt., opera vix, v. Örtl., Liv., rudus, v. Sümpfen, Tac. (vgl. Mützell zu Curt. 4, 2 [8], 8): acc. austrum, nach Süden gerichtet, gelegen sein, Curt.: favonios, Plin. ep.: ab Apennino auras, Plin. ep. – übtr., etw. wie eine Last auf sich nehmen, eine Sache zur Ausführung, ad se litem, Plaut.: alcis causam, Ter.: decumas, Cic.: ein Ungemach auf sich nehmen u. ertragen, contumeliam in se, Ter.: hunc metum, Ter. – Insbes., αα) eine Speise, ein Getränk zu sich nehmen, genießen, cibum militarem, Lampr.: epulas, Dict.: sistendi ventris gratiā poculum, Capit.: antidotum, Spart: herbam in potu, Iustin.: Partiz. subst., accepta, ōrum, n., das zu sich Genommene, Cael. Aur. acut. 2, 40, 234. – ββ) ein Gewand usw. anziehen, anlegen, vestem humillimam, Spart.: praetextam togam, Lampr.: purpuram, Eutr.: endromidem, Iuven.: loricas minores, Veget. mil. – γγ) zur Hand nehmen, stilum, Plin. ep.: libros Graecos, Vopisc. Vgl. (über no. αα – no. γγ) Paucker de latinit. scriptt. hist. Aug. p. 55 sq. – δδ) in eine Schrift aufnehmen, modica ex his accepi, Gell. praef. § 12. – εε) nehmen, mitnehmen, wegnehmen, duas uxores, Itala bei Augustin.: panes, Vulg.: spolia eorum, Vulg. – ζζ) einen Gottesdienst annehmen, in einen Gottesdienst sich einweihen lassen, acc. sacra, gr. παραλαμβάνειν τὰ μυστήρια, Apul. met. 11, 21. – β) leb. Objj.: alqm gremio, alveo, lacu, Verg.: milites urbe tectisve, Liv.: milites ab arce, von der B. aus einlassen, Liv.: alqm in sinus suos, Ov.: armatos in arcem, Romanos in urbem, Liv. (s. Drak. Liv. 9, 16, 2): hostem in Italiam, Liv. – übtr., in ein Verhältnis aufnehmen, alqm in civitatem, in amicitiam, Cic., in deditionem, Caes.: alqm in matrimonium, Suet.: alqm in matrimonium regnumque (zum Gemahl u. Mitherrscher), Tac.: u. so bl. acc. alqam coniugem (als G.), Sen. Octav. 721: u. bl. acc. alqam, Capit. Ver. 2, 3. Eutr. 9, 22. – v. Örtl., die jmd., der in sie eintritt, gleichs. aufnehmen, tellus fessos portu accipiet, Verg.: pavidos Samnites castra sua accepēre, Liv.: amnis ingens fugientes accepit, Liv.: acceperunt tumuli Romanos victores, Liv. – Insbes.: αα) jmd. als Gast empfangen, aufnehmen, bewirten (s. Fritzsche Hor. sat. 1, 5, 1), alqm apud se, Plaut.: alqm hospitio, Liv., hospitio agresti, Cic.: alqm cenā, Gell.: alqm regio apparatu, Cic.: alqm laute, Hor.: alqm bene, eleganter, Cic.: alqm per triduum hospitaliter, Curt.: accepit homo nemo melius prorsus neque prolixius, Ter. – ββ) jmd. so u. so empfangen = behandeln, freundlich, alqm leniter clementerque, Cic. – übel empfangen = anlaufen lassen, anlassen, schlecht behandeln, zurichten (s. Brix Plaut. Men. 704), ut sum acceptus (angelaufen), Plaut.: alqm vehementer, Cic.: alqm male verbis, Cic.: alqm verberibus sic, ut etc., Cic.: alqm verberibus ad necem, Cic.: u. als milit. t.t., alqm male acc., jmdm. eine Schlappe beibringen, Lentul. in Cic. ep. u. Nep. – γγ) in einer gewissen Reihenfolge jmd. aufnehmen, alter ab undecimo tum me iam acceperat annus, ich war damals eben aus dem elften ins nächste (zwölfte) Jahr getreten, Verg. ecl. 8, 39. – c) sinnlich, durch die Sinne aufnehmen, α) mit den äußern od. innern Sinnen hinnehmen, in sich aufnehmen, auffassen, wahrnehmen, vernehmen, eae res, quae sensu accipiuntur, Cic.: acc. oculis animove sensum, Cic.: acc. alqd animo magis quam vultu, Liv.: accipite animis, Verg. – bes. vernehmen = hören, anhören, sich vortragen lassen, vocem, Curt.: sonitum, gemitum, Verg.: clamorem, Sall.: orationem, Cic.: imperium, Curt.: rationem consilii, Caes.: accipite nunc quid imperarit, Cic.: accipe, quā ratione queas ditescere, Hor.: accipe m. folg. direkter Rede, Hor. sat. 2, 3, 307. – u. mit Angabe der Empfindung, der Gemütsstimmung, mit der man Gehörtes aufnimmt, acc. alqd benignis auribus, Plaut., secundis, adversis auribus, Liv.: pronis auribus accipi, williges Gehör finden, Tac.: acc. alqd aequo animo, durius, severe, Cic.: absol., acc. volenti animo de ambobus, Sall. – m. Ang. wie? durch quo modo, quem ad modum, quam in partem, Cic.: moleste et acerbe, Auct. b. Hisp. – β) mit dem Verstande, Erkenntnisvermögen auffassen, fassen, begreifen, verstehen, quae (pars) quo facilius accipi possit, Cels.: quae parum accepi, Cic.: dah. sich über etw. belehren lassen, acc. causam, Cic. – u. etwas erlernen, lernen, haec arte accipi posse, Cic.: eas (artes) non tum primum, Cic.: acc. celeriter od. non difficulter quae traduntur, Nep. u. Quint. (vgl. no. II, c, γ). – γ) mit dem Urteil etw. so u. so aufnehmen, auffassen, ansehen, nehmen, sich auslegen, erklären, alqd aliter atque est, Ter.: alqd ad od. in contumeliam, Ter. u. Curt.: alqd in bonam partem, Cic., bonas in partes, Phaedr.: verbum in duas pluresve sententias, Cornif. rhet.: alqd in omen, Liv., in prodigium, Tac.: alqd omen (als usw.), Curt.: alqd in maius, Liv.: alqd prodigii loco, Tac.: alqd oraculi vice (wie ein O.), Tac.: ultra mortale gaudium, Tac. – m. dopp. Acc., beneficium contumeliam, Cic.: alqd tamquam suum crimen, Tac.: alqd velut omen belli, Liv.: id omen auguriumque ita acceptum est m. folg. Akk. u. Infin., Liv.: quid accipere debeamus figuram, was wir unter F. verstehen müssen, Quint.: u. so Urbis appellatio, etiam si nomen proprium non adicitur, Roma tamen accipitur, unter der Benennung »Stadt« ist Rom zu verstehen, Rom gemeint, Quint. – m. pro u. Abl., omen pro tristi, Curt.: verisimilia pro veris, Liv.; gurdos, quos pro stolidis accipit vulgus, Quint. – m. quasi, wie fabulas quasi Plautinas, Gell. 3, 3, 10: Mortam quasi nomen, Gell. 3, 16, 11.

    B) prägn., annehmen = nicht zurückweisen (Ggstz. reicere, repudiare), a) eig.: munera, Nep.: usuram iniquam ab alqo, Nep.: est in non accipiendo nonnulla gloria, Cic. – b) übtr., annehmen, nicht von sich weisen = sich gefallen lassen, mit etw. sich zufrieden erklären, etw. gelten lassen, zulassen (Ggstz. abnuere, repudiare, vgl. Seyff. Cic. Lael. 40. p. 284 sq.), frenum (bildl.), Verg.: u. non solum frenos sed etiam iugum (bildl.), Liv.: id libenter, Nep.: satisfactionem, Cic. u. Caes.: vitam, Vell.: condicionem (Ggstz. ferre, stellen, u. repudiare, verschmähend zurückweisen), Cic.: pacem (Ggstz. abnuere), Liv.: orationem, Caes.: omen, Cic., od. id augurium, Liv. (vgl. Müller Liv. 1, 7, 11): nomen, in die Wahlliste eintragen lassen, Liv.: iudicium, sich in ein gerichtliches Verfahren einlassen, Cic.: de plebe consulem non acc., Cic.: acc. rogationem, legem, Cic. (dah. lex accipitur, geht durch, Vell.): u. oft im Dialog, accipio, ich lasse es gelten, ich bins zufrieden, gut, Ter., Hor. u.a.

    II) in weiterer Bedeutung = übh. von andern Gegebenes, Mitgeteiltes, Überliefertes usw. ohne unser Zutun empfangen, bekommen, überkommen, erhalten (Ggstz. dare, tradere, reddere), a) überreicht, übergeben, überliefert usw. bekommen: acc. adulterinos nummos pro bonis, Cic.: pecuniam numeratam ab alqo, Nep.: lucrum, Cic.: librum, litteras ab alqo, Cic.: exercitum ab alqo, Caes.: hoc cultu nitentes vos accepi, Curt.: acc. stipendium de publico, Liv.: hereditatem a patre, Nep.: u. so sestertium vicies a patre, Nep.: solis lumen (v. Monde), Cic. – munitionem, angewiesen bekommen, Sall. – venenum, potionem, (einzunehmen) bekommen, Suet. u. Quint. – nomen, cognomentum, s.d. – morem a maioribus, Cic.: salutem ab alqo, Cic.: originem ab alqa re, Frontin. aqu.: plausum, palmam, Cic.: veniam, pacem, Iustin.: beneficiis ultro datis acceptisque, Cic.: id accipere ab alio vicissimque reddere, Cic. – b) zu verwalten-, zur Verwaltung übertragen bekommen, honorem ab alqo, Cic.: consulatum, Eutr.: provinciam, Cic.: muneris partem, Liv.: imperii Romani administrationem, Eutr.: mare placandum, den Auftrag erhalten, die Ruhe zur See herzustellen, Eutr. – c) sinnlich wahrzunehmen bekommen, α) empfinden, fühlen, erleiden, voluptatem ex alqa re, Cic.; vgl. quam (voluptatem) sensus accipiens, Cic.: acc. vulnus, Cic.: plagam, Varr.: dolorem, Cic.: iniuriam, leiden (Ggstz. facere), Cic.: detrimentum, Caes.: damnum, Hor.: cladem, Liv., cladem apud Chaeroneam, Quint. – β) ver nehmen, hören, erfahren, tertium signum tubā, Curt.: acceptā clade partium, Flor.: multa auribus accepisse, multa vidisse, Cic.: partim quae perspexi his oculis, partim quae accepi auribus, Ter.: cum optatissimum nuntium accepissem m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: postquam acceperunt m. folg. Acc. u. Infinit., Liv.: si te aequo animo ferre accipiet, Ter.: quae gerantur, accipies ex Pollione, Cic. – bes. überkommen durch Hörensagen, durch histor. Überlieferung, m. allg. Acc. neutr., quae neque fieri possunt neque fando umquam accepit quisquam, Plaut.: haec audivimus de clarissimorum virorum consiliis et factis, haec accepimus, haec legimus, Cic. Sest. 139: mit best. Acc., nullum ipsos mare ne famā quidem accepisse, Curt. 9, 9 (34), 6: famā atque auditione accepisse m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: a maioribus memoriā sic accepisse, Cato fr.: accepisse u. a patribus accepisse, u. a maioribus sic accepisse m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: sic a patribus accepimus, Cic.: ut accepi a senibus, Cic.: ut de Hercule accepimus, Cic. – γ) durch Unterricht überkommen, lernen, erlernen, elementa prima litterarum, Eutr.: usum ac disciplinam (Kriegsübung u. Kriegszucht) ab alqo, Caes.: primas artes ab iisdem magistris, Ov. – / accipin = accipisne, accepistin = accepistine, Komik. (s. Müller Nachträge zur Plaut. Prof. S. 101). – Archaist. Fut. exact. accepso, Pacuv. tr. 325. – arch. Infin. accipei = accipi, Corp. inscr. Lat. 1, 202. col. 2, 29: u. parag. Infin. accipier, Nov. com. 97 R. – arch. Partiz. accipiundus Cato r.r. 2, 5.

    lateinisch-deutsches > accipio

  • 9 accipio

    ac-cipio, cēpī, ceptum, ere (ad u. capio), hinnehmen, empfangen (Ggstz. dare, tradere), I) = δέξομαι, zur Annahme Dargebotenes hinnehmen, entgegennehmen, abnehmen, in Empfang nehmen, sich geben-, sich reichen lassen, A) im allg.: a) in die Hand: α) lebl. Objj.: accipin argentum? accipesis (= accipe si vis) argentum impudens; tenesis argentum; etiam tu argentum tenes? Plaut.: accipe, si vis, accipiam (verst. et ego) tabulam, Hor.: ex tua manu accepi pateram, Plaut.: acc. pecuniam, Geld nehmen, sich geben lassen, Cic., im üblen Sinne = sich bestechen lassen, ab alqo, Cic., ab alqo per alqm, Cic.: et dans et accipiens, der Geber u. Empfänger (Nehmer), Liv. – m. dopp. Acc., ut id ab se donum (als G.) acciperet, Liv. 20, 50, 11. – als t.t. der Geschäftsspr., rationes accipere, sich R. ablegen (stellen) lassen, Sen.: u. so rationes accipere ab alqo, Cic. – alqd (alci) acceptum referre (ferre) od. facere, jmdm. eine Summe als an uns eingezahlt ins Rechnungsbuch über Ausgabe u. Einnahme eintragen, etw. in Einnahme stellen, jmdm. etw. gutschreiben (Ggstz. expensum ferre, jmdm. als von uns an ihn ausgezahlt zur Last schreiben), acc. ref. bei Cic., acc. fac. bei Gaius u. Plin. ep., u. bildl. = etw. (Gutes od. Böses) auf jmds. Rechnung schreiben, jmdm. etw. zurechnen, jmdm. etwas verdanken, zu verdanken haben (mit u. ohne
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    alci od. alci rei), acc. ref., Cic., acc. ferre, Val. Max. ( auch accepto ferre, Eccl.), acc. fac., Sen.: sibi alqd acc. ref., sich zueignen, Auct. b. Afr. – ähnlich sponsionem acceptam facere, über die Sp. quittieren, Cic. – u. Partic. subst., acceptum, ī, n., das Empfangene, die Einnahme (Ggstz. expensum, expensa, data), codex accepti et expensi, die Einnahme- und Ausgabeseite, das Soll u. Haben (im Buche), Cic.: dass. accepti tabulae, Cic.: ratio acceptorum et datorum, Cic.: accepta et expensa conferre (vergleichen), Sen.: in acceptum referre, etw. in Einnahme bringen, über etw. (im Buche) quittieren, Cic. – β) leb. Objj.: hanc puellam mi (= mihi) in manum dat; accepi (ich nahm sie), acceptam servabo, Ter.: acc. puerum in manum, Iustin.: accipe hanc, nimm sie hin, Plaut.: cuius abavi manibus esset accepta (Mater Idaea), in Empfang genommen, Cic.: u. so armis obsidibusque acceptis, Caes. – b) an od. auf od. in einen Körper od. Ort nehmen, aufnehmen, wohin legen lassen, eindringen lassen, zulassen, α) lebl. Objj.: onus in collum, Cato fr.: alqd in cervices (bildl.), Liv.: alqm in equum suum, Liv.: onera umeris, capitibus, auf die Sch., auf den K. nehmen = auf od. mit der Sch., auf od. mit dem K. tragen, Mela: aquam ore, Plin.: sucos ore aut vulnere, Ov.: auras follibus, auffangen, Verg. – v. lebl. Subjj.: acc. onus (v. Rücken), Cic.: alvus omne, quod accepit, cogit atque confundit, Cic.:
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    navis aliquantum aquae accipit, läßt ein, Liv.: u. so navis omnibus compagibus accipit aquam, Liv.: acc. fumum (v. einem Raume), Col.: accipit (Peneus) amnem Orcon nec recipit, läßt ihn zu, nimmt ihn aber nicht in sich auf, Plin.: campi accipiunt fluvium, fluvius accipitur mari, Curt.: acc. opus, v. Meere, Curt., opera vix, v. Örtl., Liv., rudus, v. Sümpfen, Tac. (vgl. Mützell zu Curt. 4, 2 [8], 8): acc. austrum, nach Süden gerichtet, gelegen sein, Curt.: favonios, Plin. ep.: ab Apennino auras, Plin. ep. – übtr., etw. wie eine Last auf sich nehmen, eine Sache zur Ausführung, ad se litem, Plaut.: alcis causam, Ter.: decumas, Cic.: ein Ungemach auf sich nehmen u. ertragen, contumeliam in se, Ter.: hunc metum, Ter. – Insbes., αα) eine Speise, ein Getränk zu sich nehmen, genießen, cibum militarem, Lampr.: epulas, Dict.: sistendi ventris gratiā poculum, Capit.: antidotum, Spart: herbam in potu, Iustin.: Partiz. subst., accepta, ōrum, n., das zu sich Genommene, Cael. Aur. acut. 2, 40, 234. – ββ) ein Gewand usw. anziehen, anlegen, vestem humillimam, Spart.: praetextam togam, Lampr.: purpuram, Eutr.: endromidem, Iuven.: loricas minores, Veget. mil. – γγ) zur Hand nehmen, stilum, Plin. ep.: libros Graecos, Vopisc. Vgl. (über no. αα – no. γγ) Paucker de latinit. scriptt. hist. Aug. p. 55 sq. – δδ) in eine Schrift aufnehmen, modica ex his accepi, Gell. praef. § 12. – εε) nehmen, mitnehmen,
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    wegnehmen, duas uxores, Itala bei Augustin.: panes, Vulg.: spolia eorum, Vulg. – ζζ) einen Gottesdienst annehmen, in einen Gottesdienst sich einweihen lassen, acc. sacra, gr. παραλαμβάνειν τὰ μυστήρια, Apul. met. 11, 21. – β) leb. Objj.: alqm gremio, alveo, lacu, Verg.: milites urbe tectisve, Liv.: milites ab arce, von der B. aus einlassen, Liv.: alqm in sinus suos, Ov.: armatos in arcem, Romanos in urbem, Liv. (s. Drak. Liv. 9, 16, 2): hostem in Italiam, Liv. – übtr., in ein Verhältnis aufnehmen, alqm in civitatem, in amicitiam, Cic., in deditionem, Caes.: alqm in matrimonium, Suet.: alqm in matrimonium regnumque (zum Gemahl u. Mitherrscher), Tac.: u. so bl. acc. alqam coniugem (als G.), Sen. Octav. 721: u. bl. acc. alqam, Capit. Ver. 2, 3. Eutr. 9, 22. – v. Örtl., die jmd., der in sie eintritt, gleichs. aufnehmen, tellus fessos portu accipiet, Verg.: pavidos Samnites castra sua accepēre, Liv.: amnis ingens fugientes accepit, Liv.: acceperunt tumuli Romanos victores, Liv. – Insbes.: αα) jmd. als Gast empfangen, aufnehmen, bewirten (s. Fritzsche Hor. sat. 1, 5, 1), alqm apud se, Plaut.: alqm hospitio, Liv., hospitio agresti, Cic.: alqm cenā, Gell.: alqm regio apparatu, Cic.: alqm laute, Hor.: alqm bene, eleganter, Cic.: alqm per triduum hospitaliter, Curt.: accepit homo nemo melius prorsus neque prolixius, Ter. – ββ) jmd. so u. so empfangen = behandeln, freundlich, alqm leniter
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    clementerque, Cic. – übel empfangen = anlaufen lassen, anlassen, schlecht behandeln, zurichten (s. Brix Plaut. Men. 704), ut sum acceptus (angelaufen), Plaut.: alqm vehementer, Cic.: alqm male verbis, Cic.: alqm verberibus sic, ut etc., Cic.: alqm verberibus ad necem, Cic.: u. als milit. t.t., alqm male acc., jmdm. eine Schlappe beibringen, Lentul. in Cic. ep. u. Nep. – γγ) in einer gewissen Reihenfolge jmd. aufnehmen, alter ab undecimo tum me iam acceperat annus, ich war damals eben aus dem elften ins nächste (zwölfte) Jahr getreten, Verg. ecl. 8, 39. – c) sinnlich, durch die Sinne aufnehmen, α) mit den äußern od. innern Sinnen hinnehmen, in sich aufnehmen, auffassen, wahrnehmen, vernehmen, eae res, quae sensu accipiuntur, Cic.: acc. oculis animove sensum, Cic.: acc. alqd animo magis quam vultu, Liv.: accipite animis, Verg. – bes. vernehmen = hören, anhören, sich vortragen lassen, vocem, Curt.: sonitum, gemitum, Verg.: clamorem, Sall.: orationem, Cic.: imperium, Curt.: rationem consilii, Caes.: accipite nunc quid imperarit, Cic.: accipe, quā ratione queas ditescere, Hor.: accipe m. folg. direkter Rede, Hor. sat. 2, 3, 307. – u. mit Angabe der Empfindung, der Gemütsstimmung, mit der man Gehörtes aufnimmt, acc. alqd benignis auribus, Plaut., secundis, adversis auribus, Liv.: pronis auribus accipi, williges Gehör finden, Tac.: acc. alqd aequo animo, durius,
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    severe, Cic.: absol., acc. volenti animo de ambobus, Sall. – m. Ang. wie? durch quo modo, quem ad modum, quam in partem, Cic.: moleste et acerbe, Auct. b. Hisp. – β) mit dem Verstande, Erkenntnisvermögen auffassen, fassen, begreifen, verstehen, quae (pars) quo facilius accipi possit, Cels.: quae parum accepi, Cic.: dah. sich über etw. belehren lassen, acc. causam, Cic. – u. etwas erlernen, lernen, haec arte accipi posse, Cic.: eas (artes) non tum primum, Cic.: acc. celeriter od. non difficulter quae traduntur, Nep. u. Quint. (vgl. no. II, c, γ). – γ) mit dem Urteil etw. so u. so aufnehmen, auffassen, ansehen, nehmen, sich auslegen, erklären, alqd aliter atque est, Ter.: alqd ad od. in contumeliam, Ter. u. Curt.: alqd in bonam partem, Cic., bonas in partes, Phaedr.: verbum in duas pluresve sententias, Cornif. rhet.: alqd in omen, Liv., in prodigium, Tac.: alqd omen (als usw.), Curt.: alqd in maius, Liv.: alqd prodigii loco, Tac.: alqd oraculi vice (wie ein O.), Tac.: ultra mortale gaudium, Tac. – m. dopp. Acc., beneficium contumeliam, Cic.: alqd tamquam suum crimen, Tac.: alqd velut omen belli, Liv.: id omen auguriumque ita acceptum est m. folg. Akk. u. Infin., Liv.: quid accipere debeamus figuram, was wir unter F. verstehen müssen, Quint.: u. so Urbis appellatio, etiam si nomen proprium non adicitur, Roma tamen accipitur, unter der Benennung »Stadt« ist Rom zu verstehen, Rom
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    gemeint, Quint. – m. pro u. Abl., omen pro tristi, Curt.: verisimilia pro veris, Liv.; gurdos, quos pro stolidis accipit vulgus, Quint. – m. quasi, wie fabulas quasi Plautinas, Gell. 3, 3, 10: Mortam quasi nomen, Gell. 3, 16, 11.
    B) prägn., annehmen = nicht zurückweisen (Ggstz. reicere, repudiare), a) eig.: munera, Nep.: usuram iniquam ab alqo, Nep.: est in non accipiendo nonnulla gloria, Cic. – b) übtr., annehmen, nicht von sich weisen = sich gefallen lassen, mit etw. sich zufrieden erklären, etw. gelten lassen, zulassen (Ggstz. abnuere, repudiare, vgl. Seyff. Cic. Lael. 40. p. 284 sq.), frenum (bildl.), Verg.: u. non solum frenos sed etiam iugum (bildl.), Liv.: id libenter, Nep.: satisfactionem, Cic. u. Caes.: vitam, Vell.: condicionem (Ggstz. ferre, stellen, u. repudiare, verschmähend zurückweisen), Cic.: pacem (Ggstz. abnuere), Liv.: orationem, Caes.: omen, Cic., od. id augurium, Liv. (vgl. Müller Liv. 1, 7, 11): nomen, in die Wahlliste eintragen lassen, Liv.: iudicium, sich in ein gerichtliches Verfahren einlassen, Cic.: de plebe consulem non acc., Cic.: acc. rogationem, legem, Cic. (dah. lex accipitur, geht durch, Vell.): u. oft im Dialog, accipio, ich lasse es gelten, ich bins zufrieden, gut, Ter., Hor. u.a.
    II) in weiterer Bedeutung = übh. von andern Gegebenes, Mitgeteiltes, Überliefertes usw. ohne unser
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    Zutun empfangen, bekommen, überkommen, erhalten (Ggstz. dare, tradere, reddere), a) überreicht, übergeben, überliefert usw. bekommen: acc. adulterinos nummos pro bonis, Cic.: pecuniam numeratam ab alqo, Nep.: lucrum, Cic.: librum, litteras ab alqo, Cic.: exercitum ab alqo, Caes.: hoc cultu nitentes vos accepi, Curt.: acc. stipendium de publico, Liv.: hereditatem a patre, Nep.: u. so sestertium vicies a patre, Nep.: solis lumen (v. Monde), Cic. – munitionem, angewiesen bekommen, Sall. – venenum, potionem, (einzunehmen) bekommen, Suet. u. Quint. – nomen, cognomentum, s.d. – morem a maioribus, Cic.: salutem ab alqo, Cic.: originem ab alqa re, Frontin. aqu.: plausum, palmam, Cic.: veniam, pacem, Iustin.: beneficiis ultro datis acceptisque, Cic.: id accipere ab alio vicissimque reddere, Cic. – b) zu verwalten-, zur Verwaltung übertragen bekommen, honorem ab alqo, Cic.: consulatum, Eutr.: provinciam, Cic.: muneris partem, Liv.: imperii Romani administrationem, Eutr.: mare placandum, den Auftrag erhalten, die Ruhe zur See herzustellen, Eutr. – c) sinnlich wahrzunehmen bekommen, α) empfinden, fühlen, erleiden, voluptatem ex alqa re, Cic.; vgl. quam (voluptatem) sensus accipiens, Cic.: acc. vulnus, Cic.: plagam, Varr.: dolorem, Cic.: iniuriam, leiden (Ggstz. facere), Cic.: detrimentum, Caes.: damnum, Hor.: cladem, Liv., cladem apud Chaeroneam, Quint. – β) ver-
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    nehmen, hören, erfahren, tertium signum tubā, Curt.: acceptā clade partium, Flor.: multa auribus accepisse, multa vidisse, Cic.: partim quae perspexi his oculis, partim quae accepi auribus, Ter.: cum optatissimum nuntium accepissem m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: postquam acceperunt m. folg. Acc. u. Infinit., Liv.: si te aequo animo ferre accipiet, Ter.: quae gerantur, accipies ex Pollione, Cic. – bes. überkommen durch Hörensagen, durch histor. Überlieferung, m. allg. Acc. neutr., quae neque fieri possunt neque fando umquam accepit quisquam, Plaut.: haec audivimus de clarissimorum virorum consiliis et factis, haec accepimus, haec legimus, Cic. Sest. 139: mit best. Acc., nullum ipsos mare ne famā quidem accepisse, Curt. 9, 9 (34), 6: famā atque auditione accepisse m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: a maioribus memoriā sic accepisse, Cato fr.: accepisse u. a patribus accepisse, u. a maioribus sic accepisse m. folg. Acc. u. Infinit., Cic.: sic a patribus accepimus, Cic.: ut accepi a senibus, Cic.: ut de Hercule accepimus, Cic. – γ) durch Unterricht überkommen, lernen, erlernen, elementa prima litterarum, Eutr.: usum ac disciplinam (Kriegsübung u. Kriegszucht) ab alqo, Caes.: primas artes ab iisdem magistris, Ov. – accipin = accipisne, accepistin = accepistine, Komik. (s. Müller Nachträge zur Plaut. Prof. S. 101). – Archaist. Fut. exact. accepso, Pacuv. tr. 325. – arch. Infin. accipei = accipi,
    ————
    Corp. inscr. Lat. 1, 202. col. 2, 29: u. parag. Infin. accipier, Nov. com. 97 R. – arch. Partiz. accipiundus Cato r.r. 2, 5.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > accipio

  • 10 accipio

    I.
    cepi, ceptum, receive, accept
    II.
    to consider oneself indebted, receive, learn, take.

    Latin-English dictionary of medieval > accipio

  • 11 accipio

    ,cepi, ceptum,ere
    принимать, получать, воспринимать

    Latin-Russian dictionary > accipio

  • 12 accipio

    , accepi, acceptum, accipere 3
      1) принимать, получать;
      2) испытывать, терпеть (injuriam);
      3) узнавать, слышать;
      4) допускать;
      5) перенимать, усваивать
      ♦ in bonam partem accipere принимать благосклонно

    Dictionary Latin-Russian new > accipio

  • 13 accepte

    ac-cĭpĭo, cēpi, ceptum, 3, v. a. ( fut. perf. accepso = accepero, Pac. ap. Non. 74, 31, or Rib. Trag. Rel. 118) [capio], to accept.
    I.
    In gen., to take a person or thing to one's self: leno ad se accipiet hominem et aurum, will take the man and his money to himself (into his house), Plaut. Poen. 1, 1, 51.
    a.
    Of things received by the hand, to take, receive: cette manus vestras measque accipite, Enn. ap. Non. 85, 1 (Trag. v. 320 ed. Vahl.):

    ex tua accepi manu pateram,

    Plaut. Amph. 2, 2, 132; hence, trop. of the word given, the promise, with which a grasping of the hand was usually connected: accipe daque fidem, Enn. ap. Macr. S. 6, 1 (Ann. v. 33 ed. Vahl.; so in the Gr. pista dounai kai labein); cf. Plaut. Trin. 2, 4, 87; so Verg. A. 8, 150;

    in Ter. of a person to be protected: hanc (virginem) accepi, acceptam servabo,

    Ter. And. 1, 5, 62; cf. Cic. Fam. 7, 5, and Sall. C. 6, 5, —
    b.
    Of things received or taken by different parts of the body: accipite hoc onus in vestros collos, Cato ap. Non. 200, 23:

    gremio,

    Verg. A. 1, 685:

    oculis aut pectore noctem (i. e. somnum),

    id. ib. 4, 531.—
    c.
    In gen., very freq.,
    (α).
    as implying action, to take, to take possession of, to accept (Gr. dechesthai);
    (β).
    of something that falls to one's share, to get, to receive, to be the recipient of (Gr. lambanein).—
    (α).
    To take, accept:

    hanc epistulam accipe a me,

    take this letter from me, Plaut. Ps. 2, 2, 52; 4, 2, 26; cf. id. Ep. 3, 4, 26:

    persuasit aliis, ut pecuniam accipere mallent,

    Cic. Off. 2, 23, 82:

    condicionem pacis,

    Caes. B. G. 2, 15:

    armis obsidibusque acceptis Crassus profectus est,

    after he had taken into his possession the arms and hostages, id. ib. 3, 23:

    divitias,

    Nep. Epam. 4, 3:

    aliquid a patre,

    to inherit, id. Timoth. 1, 1; id. Att. 1:

    accipe et haec, manuum tibi quae monumenta mearum sint,

    Verg. A. 3, 486 al. —Hence to receive or entertain as guest:

    haec (tellus) fessos placidissima portu accipit,

    Verg. A. 3, 78:

    Laurentes nymphae, accipite Aenean,

    id. ib. 8, 71; 155; Ov. M. 8, 655 al.—Of admittance to political privileges:

    Nomentani et Pedani in civitatem accepti,

    Liv. 8, 14; cf. Cic. Off. 1, 11, 35:

    magnifice volo summos viros accipere,

    Plaut. Ps. 1, 2, 34:

    in loco festivo sumus festive accepti,

    id. ib. 5, 19; so id. Cist. 1, 1, 12; id. Men. 5, 2, 44; id. Pers. 1, 1, 32, etc.; Ter. Eun. 5, 9, 52; Lucr. 3, 907; Cic. Att. 16, 6; Ov. F. 2, 725 al.—Hence also ironically, to entertain, to treat, deal with:

    ego te miseris jam accipiam modis,

    Plaut. Aul. 4, 4, 3:

    hominem accipiam quibus dictis maeret,

    id. Men. 5, 1, 7:

    indignis acceptus modis,

    Ter. Ad. 2, 1, 12. Perh. also Lucil. ap. Non. 521, 1: adeo male me accipiunt decimae, treat or use me ill, deal harshly with me; and ib. 240, 8: sic, inquam, veteratorem illum vetulum lupum Hannibalem acceptum (Non. explains the latter in a very unusual manner, by deceptum).—
    (β).
    To get, to receive, to be the recipient of, Pac. ap. Non. 74, 31; Lucr. 1, 819, 909; 2, 762, 885, 1009:

    ictus,

    id. 4, 1048 (cf. Verg. A. 3, 243: vulnera accipiunt tergo): aridior nubes accipit ignem, takes or catches fire, Lucr. 6, 150; Caes. B. G. 1, 48:

    humanitatem iis tribuere debemus, a quibus accepimus,

    Cic. Q. Fr. 1, 1, 9:

    pecuniam ob rem judicandam,

    id. Verr. 1, 38:

    luna lumen solis accipit,

    id. de Or. 3, 45; cf. Hor. Ep. 1, 10, 17:

    praeclarum accepimus a majoribus morem,

    Cic. Off. 3, 10, 44: praecepta, Caes. B. G. 2, 6: accepi tuas litteras (in another sense than above), I have received your letter, it has reached me (allatae sunt ad me), Cic. Fam. 1, 9, 14; 2, 1, 1; 10, 1 al.:

    acceptā injuriā ignoscere quam persequi malebant,

    Sall. C. 9, 3; Caes. B. G. 2, 33:

    calamitatem,

    ib. 1, 31:

    detrimenta,

    ib. 5, 22; cf. Cic. Mur. 21, 44 al. So often of dignities and offices:

    provinciam,

    id. Fam. 2, 10, 2:

    consulatum,

    Suet. Aug. 10:

    Galliam,

    id. Caes. 22 al.
    II.
    In partic.
    A.
    To take a thing by hearing, i. e.,
    1.
    To hear, to perceive, to observe, to learn (cf. opp. do = I give in words, i. e. I say): hoc simul accipe dictum, Enn. ap. Cic. Off. 1, 12, 38 (Ann. v. 204): quod ego inaudivi, accipite, Pac. ap. Non. 126, 22 (Rib. Trag. Rel. p. 81): hoc etiam accipe quod dico, Lucil. ap. Non. 240, 1:

    carmen auribus,

    Lucr. 4, 983 (so id. 6, 164); 1, 270; cf. Verg. A. 2, 65:

    voces,

    Lucr. 4, 613 (so 6, 171):

    si te aequo animo ferre accipiet,

    Ter. And. 2, 3, 23:

    quae gerantur, accipies ex Pollione,

    Cic. Fam. 1, 6; 1, 9, 4; Liv. 1, 7. —Hence very freq. in the histt., to get or receive intelligence of any thing, to learn:

    urbem Romam, sicuti ego accepi, condidere atque habuere initio Trojani,

    as I have learned, Sall. C. 6, 1, and so al.—
    2.
    To comprehend or understand any thing communicated:

    haud satis meo corde accepi querelas tuas,

    Plaut. Cas. 2, 2, 18:

    et si quis est, qui haec putet arte accipi posse,

    Cic. de Or. 1, 25, 114:

    ut non solum celeriter acciperet, quae tradebantur, etc.,

    Nep. Att. 1, 3; so Quint. 1, 3, 3; 2, 9, 3 al.—
    3.
    With the accessory idea of judging, to take a thing thus or thus, to interpret or explain, usually constr. with ad or in c. acc.:

    quibus res sunt minus secundae... ad contumeliam omnia accipiunt magis,

    the more unfortunate one is, the more inclined is he to regard every thing as an insult, Ter. Ad. 4, 3, 15:

    in eam partem accipio,

    id. Eun. 5, 2, 37; cf. Cic. Fam. 10, 6; id. Att. 16, 6; Ter. Eun. 1, 2, 2:

    non recte accipis,

    you put a wrong construction upon this, id. And. 2, 2, 30:

    quae sibi quisque facilia factu putat, aequo animo accipit,

    Sall. C. 3, 2.— Hence: accipere aliquid omen, or in omen, to regard a thing as a ( favorable) omen, to accept the omen (cf. dechesthai ton oiônon), Cic. Div. 1, 46, 103; 2, 40, 83; Liv. 1, 7, 11; 21, 63 fin.; Tac. H. 1, 62; id. A. 1, 28; 2, 13; Flor. 4, 12, 14 al.—Hence poet.:

    accipio agnoscoque deos,

    Verg. A. 12, 260; cf. Ov. M. 7, 620.—
    B.
    To take a thing upon one's self, to undertake (syn. suscipio):

    accipito hanc ad te litem,

    Plaut. Most. 5, 2, 23: meā causā causam accipite, Ter. Hec. alt. prol. 47; cf. Cic. Fam. 7, 24; so id. Verr. 2, 3, 22; Quint. 20 al.—Hence also,
    C.
    To bear, endure, suffer any thing disagreeable or troublesome:

    hanccine ego ut contumeliam tam insignem ad me accipiam!

    Ter. Eun. 4, 7, 1:

    nil satis firmi video, quamobrem accipere hunc me expediat metum,

    id. Heaut. 2, 3, 96; 5, 1, 59; id. Eun. 4, 6, 24; id. Ad. 2, 1, 53; id. Ph. 5, 2, 4; Cic. Tusc. 5, 19, 56:

    calamitatem,

    id. Off. 3, 26:

    injuriam,

    id. ib. 1, 11 al.—
    D.
    To accept a thing, to be satisfied with, to approve: dos, Pamphile, est decem talenta; Pam.:

    Accipio,

    Ter. And. 5, 4, 48:

    accepit condicionem, dein quaestum accipit,

    id. ib. 1, 1, 52:

    visa ista... accipio iisque interdum etiam assentior, nec percipio tamen,

    Cic. Ac. 2, 20, 66:

    preces suas acceptas ab dis immortalibus ominati,

    Liv. 42, 30, 8 Drak. Cf. Herz, Caes. B. G. 5, 1: “equi te esse feri similem, dico.” Ridemus et ipse Messius: “accipio.” I allow it, Exactly so, Hor. S. 1, 5, 58.—
    E.
    In mercant. lang., t. t., to receive or collect a sum:

    pro quo (frumento) cum a Varinio praetore pecuniam accepisset,

    Cic. Fl. 45; hence subst.: acceptum, i, n., the receipt, and in account-books the credit side:

    in acceptum referre alicui,

    to carry over to the credit side, to place to one's credit, Cic. Verr. 1, 36, 57; id. Rosc. Com. 2; id. Phil. 2, 16; id. Caec. 6, 17; Hor. Ep. 2, 1, 234 (opp. datum or expensum).—Hence also trop., to owe or be indebted to one, in a good or a bad sense:

    ut esset nemo qui non mihi vitam suam, liberos, remp. referret acceptam,

    Cic. Phil. 2, 5:

    omnia mala, quae postea vidimus, uni accepta referemus Antonio,

    ascribe, id. ib. 22; Caes. B. G. 8, 58; id. B. C, 3, 57: Acceptum [p. 18] refero versibus, esse nocens, Ov. Trist. 2, 10. —
    F.
    In the gram m., to take a word or phrase thus or thus, to explain a word in any manner:

    adversus interdum promiscue accipitur,

    Charis. p. 207 P. al.—(Syn. nanciscor and adipiscor: he to whom something is given, accipit; he who gets by a fortunate occurrence, nanciscitur; he who obtains it by exertion, adipiscitur. Sumimus ipsi: accipimus ab alio,” Vel. Long. p. 2243 P.—“Inter tenere, sumere et accipere hoc interest, quod tenemus quae sunt in nostra potestate: sumimus posita: accipimus data,” Isid. Diff. 1).—Hence, acceptus, a, um, P. a., welcome, agreeable, acceptable (syn. gratus. Acceptus is related to gratus, as the effect to the cause; he who is gratus, i. e. dear, is on that account acceptus, welcome, acceptable;

    hence the usual position: gratus atque acceptus).—First, of persons: essetne apud te is servus acceptissimus?

    Plaut. Cap. 3, 5, 56:

    plebi acceptus erat,

    Caes. B. G. 1, 13;

    acceptus erat in oculis,

    Vulg. 1 Reg. 18, 5.—

    Of things: dis et hominibus est acceptum quod, etc.,

    Varr. R. R. 3, 16, 5:

    quod vero approbaris. id gratum acceptumque habendum,

    Cic. Tusc. 5, 15, 45:

    munus eorum gratum acceptumque esse,

    Nep. Hann. 7, 3:

    quorum mihi dona accepta et grata habeo,

    Plaut. Truc. 2, 7, 56:

    rem populo Romano gratam acceptamque,

    Cic. Phil. 13, 50;

    tempore accepto exaudivi,

    Vulg. 2 Cor. 6, 2.— Comp., Plaut. Pers. 4, 4, 96; Cic. Rep. 6, 13; Tac. A. 6, 45 al.— Sup., see above.— Adv. accepte does not occur.

    Lewis & Short latin dictionary > accepte

  • 14 acceptio

    acceptĭo, ōnis, f. [accipio] [st1]1 [-] action de recevoir, réception.    - Cic. Top. 37; Sall. J. 29, 4; Don. Andr. 951. [st1]2 [-] admission, approbation d'une proposition (en logique).    - Apul. Plat. 3 p. 271. [st1]3 [-] accueil fait aux personnes, faveur, partialité.    - non est personarum acceptio apud Deum, Vulg. Rom. 2, 11: devant Dieu, il n'y a point d'acception de personnes.
    * * *
    acceptĭo, ōnis, f. [accipio] [st1]1 [-] action de recevoir, réception.    - Cic. Top. 37; Sall. J. 29, 4; Don. Andr. 951. [st1]2 [-] admission, approbation d'une proposition (en logique).    - Apul. Plat. 3 p. 271. [st1]3 [-] accueil fait aux personnes, faveur, partialité.    - non est personarum acceptio apud Deum, Vulg. Rom. 2, 11: devant Dieu, il n'y a point d'acception de personnes.
    * * *
        Acceptio, Verbale, f. g. Actus ipse accipiendi. Cic. Prinse, Reception, Acception ou Acceptation.

    Dictionarium latinogallicum > acceptio

  • 15 acceptor

    acceptŏr, ōris, m. [accipio] [st1]1 [-] celui qui reçoit, qui fait accueil, qui approuve. --- Plaut. Trin. 204. [st1]2 [-] receveur d'impositions, de droits. --- CIL. 14, 2, 6 ; 14, 150, 1. [st1]3 [-] acceptor personarum, Vulg. Act. 10, 34: partial. [st1]4 [-] accipiter, épervier. --- Lucil. 1170 (Charis. 98, 11). [st1]5 [-] oiseleur. --- Gloss.
    * * *
    acceptŏr, ōris, m. [accipio] [st1]1 [-] celui qui reçoit, qui fait accueil, qui approuve. --- Plaut. Trin. 204. [st1]2 [-] receveur d'impositions, de droits. --- CIL. 14, 2, 6 ; 14, 150, 1. [st1]3 [-] acceptor personarum, Vulg. Act. 10, 34: partial. [st1]4 [-] accipiter, épervier. --- Lucil. 1170 (Charis. 98, 11). [st1]5 [-] oiseleur. --- Gloss.
    * * *
        Acceptor, Verbale, masc. g. Plaut. Qui prend, ou recoit.

    Dictionarium latinogallicum > acceptor

  • 16 acceptum

    acceptum, i, n. [accipio] ce qui est entré en caisse, recette.    - acceptum [] expensum, ce qui est sorti.    - ratio accepti atque expensi, Plaut. Most. 304: compte des recettes et des dépenses.    - ratio acceptorum et datorum, Cic. Lael. 58: compte des entrées et des sorties.    - in acceptum referre (ferre) alicui, Cic.: porter au crédit de qqn (dans le chapitre des recettes), porter au compte de la recette.    - tabulae (codex) accepti et expensi, Cic.: livre des recettes et des dépenses.    - opus in acceptum referre, Cic.: tenir compte d'un bienfait.    - accepto ferent dii vestri, quod...Tert.: vos dieux vous sauront gré de ce que...
    * * *
    acceptum, i, n. [accipio] ce qui est entré en caisse, recette.    - acceptum [] expensum, ce qui est sorti.    - ratio accepti atque expensi, Plaut. Most. 304: compte des recettes et des dépenses.    - ratio acceptorum et datorum, Cic. Lael. 58: compte des entrées et des sorties.    - in acceptum referre (ferre) alicui, Cic.: porter au crédit de qqn (dans le chapitre des recettes), porter au compte de la recette.    - tabulae (codex) accepti et expensi, Cic.: livre des recettes et des dépenses.    - opus in acceptum referre, Cic.: tenir compte d'un bienfait.    - accepto ferent dii vestri, quod...Tert.: vos dieux vous sauront gré de ce que...
    * * *
        Acceptum, accepti, absolut. Ce que nous avons receu, La recepte.
    \
        Hic ratio accepti scribitur. Plaut. Le compte de la recepte.
    \
        Accepto ferre. Iurisc. Tenir pour receu, combien qu'on ne l'ait point receu, Quicter, Se tenir pour content.
    \
        Acceptum referre. Cic. Enregistrer ce qu'on a receu, et en tenir compte, Tenir compte au chapitre des receptes, Confesser avoir receu.
    \
        Expensum ferre. Cic. Tenir compte au chapitre des mises ou de la despense.
    \
        In acceptum referre. Cic. Enregistrer au livre ou chapitre des receptes.
    \
        Acceptam refero tibi vitam, per translationem dicimus. Je confesse tenir ma vie de toy, Je ne tien vie que de toy.

    Dictionarium latinogallicum > acceptum

  • 17 acceptus

    [st1]1 [-] acceptus, a, um, part. passé de accipio. - [abcl][b]a - reçu. - [abcl]b - appris, qu'on a entendu dire. - [abcl]c - reçu, accueilli, traité.[/b]    - aliquid acceptum ferre, referre alicui: - [abcl]a - porter sur son registre au nom de qqn qqch comme reçu, porter qqch au crédit de qqn, se considérer quitte envers qqn pour qqch. - [abcl]b - fig. imputer qqch à qqn.    - aliquid acceptum ferre, referre alicui: porter, relater sur son registre au nom de qqn qqch comme reçu = porter qqch à l'avoir, au crédit de qqn.    - quod minus Dolabella Verri acceptum rettulit quam Verres illi expensum tulerit HS quingenta triginta quinque milia, Cic. Verr. 1, 100: attendu que Dolabella a consigné au crédit de Verrès cinq cent trente cinq mille sesterces de moins que Verrès n'en a porté à son débit.    - expensa Chrysogono servo HS sescenta milia accepta pupillo Malleolo rettulit, Cic. Verr. 1, 92: il porta comme débités à l'esclave Chrysogonus six cent mille sesterces qui étaient à l'avoir de son pupille Malléolus.    - fig. omnia mala alicui accepta referre, Cic.: imputer tous ses maux à qqn.    - omnia uni accepta Antonio referre, Cic. Phil. 2, 55: porter tout au compte d'Antoine seul.    - virtutem deo acceptam referre, Cic. Nat. 3, 86: reconnaître qu'on est redevable à Dieu de posséder la vertu.    - cf. Cic. Fam. 10, 24, 6 ; Att. 1, 14, 3 ; 11, 1, 2 ; 15, 19, 1; Caes. BC. 3, 57, 4. [st1]2 [-] acceptus, a, um, adj.: a - bien accueilli, agréable.    - acceptus alicui: agréable à qqn.    - res senatui grata acceptaque, Cic. Phil. 13, 50: chose agréable et bienvenue pour le sénat.    - cf. Fam. 16, 21, 7; Tusc. 5, 45.    - nihil deo acceptius quam, Cic. Rep. 6, 13: rien de plus agréable à Dieu que.    - Rhodia uva dis et mensis accepta secundis, Virg. G. 2, 101: le vin de Rhodes, délices des dieux et de nos desserts. b - bien vu, bienvenu.    - maxime plebi acceptus, Caes. BG. 1, 3, 5: le mieux vu du peuple, le plus dans les bonnes grâces.    - longe ante alios acceptissimus militum animis, Liv. 1, 15, 8: placé bien avant les autres dans l'affection des soldats.    - cf. Sall. J. 12, 3; 108, 1; Liv. 35, 15, 4.    - apud aliquem acceptissimus, Plaut. Cap. 714: le mieux vu de qqn.    - diis est acceptum quod... Varr.: les dieux voient avec plaisir que...
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    [st1]1 [-] acceptus, a, um, part. passé de accipio. - [abcl][b]a - reçu. - [abcl]b - appris, qu'on a entendu dire. - [abcl]c - reçu, accueilli, traité.[/b]    - aliquid acceptum ferre, referre alicui: - [abcl]a - porter sur son registre au nom de qqn qqch comme reçu, porter qqch au crédit de qqn, se considérer quitte envers qqn pour qqch. - [abcl]b - fig. imputer qqch à qqn.    - aliquid acceptum ferre, referre alicui: porter, relater sur son registre au nom de qqn qqch comme reçu = porter qqch à l'avoir, au crédit de qqn.    - quod minus Dolabella Verri acceptum rettulit quam Verres illi expensum tulerit HS quingenta triginta quinque milia, Cic. Verr. 1, 100: attendu que Dolabella a consigné au crédit de Verrès cinq cent trente cinq mille sesterces de moins que Verrès n'en a porté à son débit.    - expensa Chrysogono servo HS sescenta milia accepta pupillo Malleolo rettulit, Cic. Verr. 1, 92: il porta comme débités à l'esclave Chrysogonus six cent mille sesterces qui étaient à l'avoir de son pupille Malléolus.    - fig. omnia mala alicui accepta referre, Cic.: imputer tous ses maux à qqn.    - omnia uni accepta Antonio referre, Cic. Phil. 2, 55: porter tout au compte d'Antoine seul.    - virtutem deo acceptam referre, Cic. Nat. 3, 86: reconnaître qu'on est redevable à Dieu de posséder la vertu.    - cf. Cic. Fam. 10, 24, 6 ; Att. 1, 14, 3 ; 11, 1, 2 ; 15, 19, 1; Caes. BC. 3, 57, 4. [st1]2 [-] acceptus, a, um, adj.: a - bien accueilli, agréable.    - acceptus alicui: agréable à qqn.    - res senatui grata acceptaque, Cic. Phil. 13, 50: chose agréable et bienvenue pour le sénat.    - cf. Fam. 16, 21, 7; Tusc. 5, 45.    - nihil deo acceptius quam, Cic. Rep. 6, 13: rien de plus agréable à Dieu que.    - Rhodia uva dis et mensis accepta secundis, Virg. G. 2, 101: le vin de Rhodes, délices des dieux et de nos desserts. b - bien vu, bienvenu.    - maxime plebi acceptus, Caes. BG. 1, 3, 5: le mieux vu du peuple, le plus dans les bonnes grâces.    - longe ante alios acceptissimus militum animis, Liv. 1, 15, 8: placé bien avant les autres dans l'affection des soldats.    - cf. Sall. J. 12, 3; 108, 1; Liv. 35, 15, 4.    - apud aliquem acceptissimus, Plaut. Cap. 714: le mieux vu de qqn.    - diis est acceptum quod... Varr.: les dieux voient avec plaisir que...
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        Acceptus, Nomen ex participio. Aggreable.
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        Acceptior plebi oratio. Liu. Plus aggreable.
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        Acceptissimus apud te seruus. Plaut. Tresaggreable.
    \
        Acceptum in vulgus. Tacit. Aggreable au vulgaire, au commun peuple.

    Dictionarium latinogallicum > acceptus

  • 18 omen

    [st1]1 [-] ōmĕn, ĭnis, n.: - [abcl][b]a - augure tiré d'un mot, d'une parole. - [abcl]b - signe (de ce qui doit arriver), présage, augure, pronostic. - [abcl]c - voeux, souhaits pour qqn. - [abcl]d - cérémonie solennelle, convention sacrée. - [abcl]e - acte qu'on accomplit après avoir pris les auspices: mariage, hyménée. - [abcl]f - engagement devant les dieux.[/b]    - accipio omen, Cic. Div. 1: j'accepte cet augure (le mot est de bon augure).    - secundo omine, Hor.: sous d'heureux auspices.    - dare omen plebeio consuli, Liv.: faire espérer un consul plébéien.    - nostro omine, Plaut.: à nos souhaits.    - faustis in Germanicum ominibus, Tac.: en faisant des voeux pour Germanicus.    - nostro omine it dies, Plaut.: tout va comme nous le souhaitons.    - accipere regibus omen erat... Virg. En. 7, 174: c'était un usage sacré pour les rois de recevoir...    - ea lege atque omine, ut... Ter. And. 1, 2, 29: en prenant l'engagement formel et solennel de...    - primis ominibus jugare, Virg.: unir par un premier mariage.    - omen facere, Ov. Plin.: faire présager, servir de présage. [st1]2 [-] ōmĕn, ĭnis, n.: Arn. c. omentum.
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    [st1]1 [-] ōmĕn, ĭnis, n.: - [abcl][b]a - augure tiré d'un mot, d'une parole. - [abcl]b - signe (de ce qui doit arriver), présage, augure, pronostic. - [abcl]c - voeux, souhaits pour qqn. - [abcl]d - cérémonie solennelle, convention sacrée. - [abcl]e - acte qu'on accomplit après avoir pris les auspices: mariage, hyménée. - [abcl]f - engagement devant les dieux.[/b]    - accipio omen, Cic. Div. 1: j'accepte cet augure (le mot est de bon augure).    - secundo omine, Hor.: sous d'heureux auspices.    - dare omen plebeio consuli, Liv.: faire espérer un consul plébéien.    - nostro omine, Plaut.: à nos souhaits.    - faustis in Germanicum ominibus, Tac.: en faisant des voeux pour Germanicus.    - nostro omine it dies, Plaut.: tout va comme nous le souhaitons.    - accipere regibus omen erat... Virg. En. 7, 174: c'était un usage sacré pour les rois de recevoir...    - ea lege atque omine, ut... Ter. And. 1, 2, 29: en prenant l'engagement formel et solennel de...    - primis ominibus jugare, Virg.: unir par un premier mariage.    - omen facere, Ov. Plin.: faire présager, servir de présage. [st1]2 [-] ōmĕn, ĭnis, n.: Arn. c. omentum.
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        Omen, ominis, pen. corr. n. g. Cic. Bonne ou mauvaise encontre qu'on prend sur la parolle d'aucun, ou sur le cri de quelque oiseau, Bon ou mauvais augure.
    \
        Dirum omen mortalibus, bubo. Ouid. Qui porte malencontre.
    \
        Optimis ominibus. Cic. A la bonne heure, Dieu nous envoye bonne encontre.
    \
        Proficiscantur legati optimis ominibus. Cic. En bonne heure, De par Dieu.
    \
        Omen praerogatiuum. Cic. Le bon eur que les anciens pensoyent avoir d'estre esleuz par la voix de ceulx de la premiere classe.
    \
        Accipere omen. Cic. Avoir pour aggreable l'encontre, et estimer qu'il nous portera quelque bon eur.
    \
        In omen accipere. Liu. Interpreter en bonne encontre.
    \
        Auertite et detestamini quaeso hoc omen dii immortales. Cic. Gardez nous de ce que ce malencontre nous signifie.
    \
        Coniicere omne in prouinciam. Cic. Retorquer, et interpreter le rencontre du nom d'aucun Magistrat au prejudice de la province de laquelle il ha charge.

    Dictionarium latinogallicum > omen

  • 19 satis

    [st1]1 [-] satis, adv.: assez, assez bien, bien.    - satis habere + inf.: se contenter de, il suffit de.    - vos satis habebatis animam retinere, Sall. J. 31, 20: vous vous contentiez de conserver la vie.    - satis officio meo, satis illorum voluntati qui a me hoc petiverunt, factum esse arbitror, Cic. Verr. 2, 5: je croirai bien remplir mon devoir et bien répondre aux voeux de ceux qui m'ont chargé de leur cause.    - satius: compar. de satis. [st1]2 [-] satis + verbe ou nom:    - satis agito → satagito.    - satis ago →satago.    - satis acceptĭo, onis, f.: Dig. acceptation d'une caution.    - satis accipĭo, ĕre: - tr. - recevoir une caution.    - satis caveo → satiscaveo.    - satis do → satisdo.    - satis exigo, ĕre: exiger caution.    - satis facio → satisfacio.    - satis offero, offerre: offrir caution.    - satis peto, ĕre: demander caution.
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    [st1]1 [-] satis, adv.: assez, assez bien, bien.    - satis habere + inf.: se contenter de, il suffit de.    - vos satis habebatis animam retinere, Sall. J. 31, 20: vous vous contentiez de conserver la vie.    - satis officio meo, satis illorum voluntati qui a me hoc petiverunt, factum esse arbitror, Cic. Verr. 2, 5: je croirai bien remplir mon devoir et bien répondre aux voeux de ceux qui m'ont chargé de leur cause.    - satius: compar. de satis. [st1]2 [-] satis + verbe ou nom:    - satis agito → satagito.    - satis ago →satago.    - satis acceptĭo, onis, f.: Dig. acceptation d'une caution.    - satis accipĭo, ĕre: - tr. - recevoir une caution.    - satis caveo → satiscaveo.    - satis do → satisdo.    - satis exigo, ĕre: exiger caution.    - satis facio → satisfacio.    - satis offero, offerre: offrir caution.    - satis peto, ĕre: demander caution.
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        Satis, Aduerbium, et per apocopen Sat. Plaut. Assez.
    \
        Mihi autem ad vincendum satis est, fuisse procuratorem qui cum experiri posset quales is, etc. Cic. Il me suffit, Ce m'est assez.
    \
        Satis admodum. Liu. Grandement assez.
    \
        Gaudeo. c. satis credo. Terent. Je le croy bien.
    \
        Satis est. Horat. Il suffit, C'est assez.
    \
        Satin'habes, mandata quae sunt, facta si refero? T. satis. Plaut. Te suffit il si, etc.
    \
        - id satis habet sibi, Pro cibo videre, amplecti, osculari. Plaut. Il luy suffit en lieu de viande la veoir, etc.
    \
        - obsecro Satis iam vt habeatis. Plaut. Contentez vous, Vous suffise.
    \
        Satis mihi id habeam supplicii, dum illos vlciscar modo. Terent. Je me contenteray de ceste peine.
    \
        Non est satis, nisi praesens confirmassem, ne id quidem satis est. Cic. Il ne suffit pas.
    \
        Quum agellus eum non satis aleret. Cic. Suffisamment.
    \
        Vt non sit satis aestimare, parens melior homini, an tristior nouerca fuerit. Plin. Tellement qu'on ne pourroit pas aiseement juger.
    \
        Ne satis habeas semel circuire. Cato. Ne te suffise pas, Ne te contente pas de, etc.
    \
        Satis offerre alicui. Vlpian. Luy offrir caution.
    \
        Satis prospicere oculis. Plaut. Veoir assez cler.
    \
        Plus quam satis opus est, doleo. Cic. Trop excessivement.
    \
        - non curabimus Satis praeceptum. Plaut. C'est assez commandé.
    \
        Satis sciebat negaturum Albanum. Liu. Il estoit bien asseuré que, etc.
    \
        Satis putabat se ad comitia tempore venturum. Cic. Qu'il viendroit assez à temps.
    \
        Satis est mihi tuae salutis. Plautus. Je n'ay plus que faire de ton salut.
    \
        Satis iam verborum est. Terent. C'est assez quaqueté.
    \
        Satis superque dictum est. Cic. Assez et plus qu'assez.
    \
        Satin`, pro Satisne. Terentius, Satin'id tibi placet? Cela te plaist il? Es tu content de cela?
    \
        Satin'omnia ex sententia? Terent. Tout va il bien? Bud.
    \
        Satin'sic est? Terent. Sera ce assez ainsi?
    \
        Satin'saluae? Terent. Les affaires ne se portent ils pas bien? Tout se porte il bien?

    Dictionarium latinogallicum > satis

  • 20 sine

    [st1]1 [-] sine + abl., prép.: sans.    - lectionem sine ulla delectatione neglego, Cic. Tusc. 2, 7: je ne m'intéresse pas à une lecture dépourvue de tout plaisir.    - vitiis sine, Hor.: sans défaut.    - cum fratre? an sine? Cic. Att. 8, 3: avec mon frère? ou sans lui? [st1]2 [-] sine: impératif de sino.    - sine (souvent chez Plaute): laisse-moi faire.    - sine sis loqui me, Plaut. Ps. 3.2.50: de grâce, laisse-moi parler.    - sine, priusquam complexum accipio, sciam, ad hostem an ad filium venerim, Liv. 2, 40, 5: permets-moi de savoir, avant d'accepter ton étreinte, si je suis venu auprès d'un ennemi ou auprès d'un fils.
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    [st1]1 [-] sine + abl., prép.: sans.    - lectionem sine ulla delectatione neglego, Cic. Tusc. 2, 7: je ne m'intéresse pas à une lecture dépourvue de tout plaisir.    - vitiis sine, Hor.: sans défaut.    - cum fratre? an sine? Cic. Att. 8, 3: avec mon frère? ou sans lui? [st1]2 [-] sine: impératif de sino.    - sine (souvent chez Plaute): laisse-moi faire.    - sine sis loqui me, Plaut. Ps. 3.2.50: de grâce, laisse-moi parler.    - sine, priusquam complexum accipio, sciam, ad hostem an ad filium venerim, Liv. 2, 40, 5: permets-moi de savoir, avant d'accepter ton étreinte, si je suis venu auprès d'un ennemi ou auprès d'un fils.
    * * *
        Sine, Praepositio semper separatiua, significat Absque. Terentius. Sans.
    \
        Sine die et Consule. Sans date. B.

    Dictionarium latinogallicum > sine

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