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Telephus

  • 1 Telephus

    Tēlephus, ī m.
    1) сын Геркулеса и Авги, царь Мисии, неумышленно раненный Ахиллом и им же исцеленный H, PM

    Латинско-русский словарь > Telephus

  • 2 Telephus

    Tēlephus, ī, m. (Τήλεφος), I) Sohn des Herkules, König in Mysien, von dem Wurfspieße des Achilles auf dem Zuge nach Troja verwundet, aber durch den Rost dieses Wurfspießes wieder geheilt, Hor. epod. 17, 8. Ov. met. 12, 122 u. (Akk. Telephon) 13, 171. – II) Zeitgenosse u. Freund des Horaz, Hor. carm. 1, 13, 1 u.a.

    lateinisch-deutsches > Telephus

  • 3 Telephus

    Tēlephus, ī, m. (Τήλεφος), I) Sohn des Herkules, König in Mysien, von dem Wurfspieße des Achilles auf dem Zuge nach Troja verwundet, aber durch den Rost dieses Wurfspießes wieder geheilt, Hor. epod. 17, 8. Ov. met. 12, 122 u. (Akk. Telephon) 13, 171. – II) Zeitgenosse u. Freund des Horaz, Hor. carm. 1, 13, 1 u.a.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > Telephus

  • 4 Telephus

    Tēlĕphus ( - os), i, m., = Têlephos.
    I.
    A king of Mysia, son of Hercules and the nymph Auge. He was wounded before Troy by the spear of Achilles, but was afterwards oured by its rust, Ov. M. 12, 112; 13, 171; id. Tr. 5, 2, 15; Hor. A. P. 96; 140; id. Epod. 17, 8; Hyg. Fab. 101; Plin. 34, 15, 45, § 152; 25, 5, 19, § 42.—
    II.
    A contemporary and friend of Horace, Hor. C. 3, 19, 26; 1, 13, 1; 4, 11, 21.

    Lewis & Short latin dictionary > Telephus

  • 5 Telephos

    Tēlĕphus ( - os), i, m., = Têlephos.
    I.
    A king of Mysia, son of Hercules and the nymph Auge. He was wounded before Troy by the spear of Achilles, but was afterwards oured by its rust, Ov. M. 12, 112; 13, 171; id. Tr. 5, 2, 15; Hor. A. P. 96; 140; id. Epod. 17, 8; Hyg. Fab. 101; Plin. 34, 15, 45, § 152; 25, 5, 19, § 42.—
    II.
    A contemporary and friend of Horace, Hor. C. 3, 19, 26; 1, 13, 1; 4, 11, 21.

    Lewis & Short latin dictionary > Telephos

  • 6 opus

    [st1]1 [-] ŏpus, indécl. n.: chose nécessaire, ce dont on a besoin, besoin.    - opus est = il faut, on a besoin [] necesse est: il faut, c'est une nécessité.    - opus est (qqf.), Cic.: il est bon, il est utile.    - alicui opus est aliquo: qqn a besoin de qqn.    - mihi opus est amico: [besoin est à moi d’un ami] = j’ai besoin d’un ami.    - nihil opus est nobis simulatione: nous n’avons nul besoin de dissimuler.    - mihi nihil opus est verbis: je n'ai pas besoin de paroles.    - stulto (dat.) nulla re opus est: le sot n’éprouve le besoin de rien.    - mihi opus est dux viae: j'ai besoin d'un guide.    - mihi opus est laborare: j'ai besoin de travailler.    - opus est + prop. inf. (opus est ut + subj.): il faut que, il est nécessaire que.    - opus est te laborare: tu as besoin de travailler.    - quid opus est plura (s.-ent. dicere)? Cic.: à quoi bon en dire plus?    - nunc opus est te animo valere: maintenant il faut que tu sois moralement fort.    - dux nobis et auctor opus est, Cic. Fam. 2, 6, 1: il nous faut un chef et un guide.    - mature facto opus est (facto: part. n. au lieu de l’inf.): il faut agir à temps.    - facto magis quam consulto opus est: on a plus besoin d'agir que de consulter.    - opus est properato (abl. n. sing. du part. passé): il faut se presser.    - opus quod facto est, Cic.: ce qu'il faut faire.    - opus est scito, Ter.: il faut le savoir.    - opus consulto est, Sall.: il faut consulter.    - avec abl. du supin - opus est dictu, Ter.: il faut dire.    - quod scitu opus est, Cic. Inv. 1, 20, 28: ce qu'il faut savoir.    - quanti argenti opus fuit, Liv. 23, 31: ce qu'il fallait d'argent.    - quae (nom. n. plur.) opus erant, Nep.: ce qu'il fallait.    - opus sunt milites, Plaut.: il faut des soldats.    - puero opus est cibum (acc.), Plaut. Truc.: il faut de la nourriture à l'enfant.    - sic opus est, Ov. M. 1: voilà ce qu'il faut. [st1]2 [-] ŏpus, ĕris, n.: a - travail, occupation, besogne, tâche, affaire; ouvrage, œuvre, exploit, acte, rôle, fonction.    - in opus publicum damnatus, Dig.: condamné aux travaux forcés.    - lex operi faciundo, Cic.: cahier des charges.    - menses octo continuos his opus non defuit, Cic. Verr. 2, 4: durant huit mois de suite, le travail ne leur a pas manqué.    - opera magna, Curt.: de grandes actions.    - (bona) opera, um: Eccl. les bonnes oeuvres, les oeuvres de charité.    - opus hoc censorium est, Cic.: cela est du ressort du censeur. b - effort, soin, peine, fatigue.    - magno opere = magnopere: avec beaucoup d’effort, avec beaucoup de soin, avec beaucoup de peine; beaucoup, grandement.    - Thais maxumo te orabat opere ut cras redires, Ter.: Thaïs voulait te demander avec la plus grande insistance de venir demain.    - ratio magno opere est laudanda, Nep.: l'idée doit être vivement louée.    - summo opere celare, Lucr. 4: mettre le plus grand soin à cacher.    - nimio opere, Cic.: trop difficilement. c - travail des champs, agriculture; exploitation (des mines); travail (des abeilles), miel.    - apes foris pascuntur, intus opus faciunt, Varr.: les abeilles butinent à l'extérieur et font du miel à l'intérieur (dans la ruche).    - opus faciam, ut defetiger usque ingratiis ut dormiam, Ter.: je travaillerai (la terre) pour me fatiguer jusqu'à dormir malgré moi.    - in opus metallicum dari, Plin.: être condamné aux mines. d - édifice, bâtiment.    - curator operum, Inscr.: intendant des bâtiments.    - publica opera: bâtiments publics. e - ouvrage militaire, ouvrage d'art, digue, jetée; au plur. travaux de fortification, travaux de retranchement, travaux pour le siège.    - opus castrorum: édification d'un camp.    - opus hibernorum, Caes.: retranchements du camp d'hiver.    - urbem operibus claudere, Nep.: enfermer la ville dans des lignes d'attaque.    - operibus Toletum cepit, Liv. 35: il prit la ville de Tolède au moyen de travaux d'approche.    - operibus flumen obstruere, Caes.: barrer le fleuve au moyen de digues.    - locum reperit natura atque opere munitum, Caes.: il trouve une position protégée par la nature et par la main de l'homme.    - absolutis operibus pro vallo legiones instructas collocat, Caes. BG. 8: les travaux terminés, il range les légions devant le retranchement.    - urbem operibus saepire, Cic.: entourer la ville d'ouvrages de siège. f - œuvre d'art, travail d'esprit, livre, écrit, poème.    - Corinthia opera, Cic.: les oeuvres de Corinthe (les bronzes de Corinthe).    - hydria Boethi manu facta praeclaro opere, Cic.: une aiguière, faite de la main de Boëthus, un chef-d'oeuvre. g - travail, main-d'oeuvre, art, façon. h - effet, action (d'une chose).    - opus efficere, Cic.: produire de l'effet.    - opus meae bis sensit Telephus hastae, Ov. M. 12: Télèphe a senti deux fois l'effet de ma lance. [st1]3 [-] Ŏpūs, untis, f. (acc. -untem ou -unta): Oponte (ville de Locride).    - [gr]gr. Ὀποῦς, οῦντος.    - Ŏpuntĭus, a, um: d'Oponte.    - [gr]gr. Ὀπούντιος.    - Opuntii, ōrum, m.: les habitants d'Oponte (en Locride).
    * * *
    [st1]1 [-] ŏpus, indécl. n.: chose nécessaire, ce dont on a besoin, besoin.    - opus est = il faut, on a besoin [] necesse est: il faut, c'est une nécessité.    - opus est (qqf.), Cic.: il est bon, il est utile.    - alicui opus est aliquo: qqn a besoin de qqn.    - mihi opus est amico: [besoin est à moi d’un ami] = j’ai besoin d’un ami.    - nihil opus est nobis simulatione: nous n’avons nul besoin de dissimuler.    - mihi nihil opus est verbis: je n'ai pas besoin de paroles.    - stulto (dat.) nulla re opus est: le sot n’éprouve le besoin de rien.    - mihi opus est dux viae: j'ai besoin d'un guide.    - mihi opus est laborare: j'ai besoin de travailler.    - opus est + prop. inf. (opus est ut + subj.): il faut que, il est nécessaire que.    - opus est te laborare: tu as besoin de travailler.    - quid opus est plura (s.-ent. dicere)? Cic.: à quoi bon en dire plus?    - nunc opus est te animo valere: maintenant il faut que tu sois moralement fort.    - dux nobis et auctor opus est, Cic. Fam. 2, 6, 1: il nous faut un chef et un guide.    - mature facto opus est (facto: part. n. au lieu de l’inf.): il faut agir à temps.    - facto magis quam consulto opus est: on a plus besoin d'agir que de consulter.    - opus est properato (abl. n. sing. du part. passé): il faut se presser.    - opus quod facto est, Cic.: ce qu'il faut faire.    - opus est scito, Ter.: il faut le savoir.    - opus consulto est, Sall.: il faut consulter.    - avec abl. du supin - opus est dictu, Ter.: il faut dire.    - quod scitu opus est, Cic. Inv. 1, 20, 28: ce qu'il faut savoir.    - quanti argenti opus fuit, Liv. 23, 31: ce qu'il fallait d'argent.    - quae (nom. n. plur.) opus erant, Nep.: ce qu'il fallait.    - opus sunt milites, Plaut.: il faut des soldats.    - puero opus est cibum (acc.), Plaut. Truc.: il faut de la nourriture à l'enfant.    - sic opus est, Ov. M. 1: voilà ce qu'il faut. [st1]2 [-] ŏpus, ĕris, n.: a - travail, occupation, besogne, tâche, affaire; ouvrage, œuvre, exploit, acte, rôle, fonction.    - in opus publicum damnatus, Dig.: condamné aux travaux forcés.    - lex operi faciundo, Cic.: cahier des charges.    - menses octo continuos his opus non defuit, Cic. Verr. 2, 4: durant huit mois de suite, le travail ne leur a pas manqué.    - opera magna, Curt.: de grandes actions.    - (bona) opera, um: Eccl. les bonnes oeuvres, les oeuvres de charité.    - opus hoc censorium est, Cic.: cela est du ressort du censeur. b - effort, soin, peine, fatigue.    - magno opere = magnopere: avec beaucoup d’effort, avec beaucoup de soin, avec beaucoup de peine; beaucoup, grandement.    - Thais maxumo te orabat opere ut cras redires, Ter.: Thaïs voulait te demander avec la plus grande insistance de venir demain.    - ratio magno opere est laudanda, Nep.: l'idée doit être vivement louée.    - summo opere celare, Lucr. 4: mettre le plus grand soin à cacher.    - nimio opere, Cic.: trop difficilement. c - travail des champs, agriculture; exploitation (des mines); travail (des abeilles), miel.    - apes foris pascuntur, intus opus faciunt, Varr.: les abeilles butinent à l'extérieur et font du miel à l'intérieur (dans la ruche).    - opus faciam, ut defetiger usque ingratiis ut dormiam, Ter.: je travaillerai (la terre) pour me fatiguer jusqu'à dormir malgré moi.    - in opus metallicum dari, Plin.: être condamné aux mines. d - édifice, bâtiment.    - curator operum, Inscr.: intendant des bâtiments.    - publica opera: bâtiments publics. e - ouvrage militaire, ouvrage d'art, digue, jetée; au plur. travaux de fortification, travaux de retranchement, travaux pour le siège.    - opus castrorum: édification d'un camp.    - opus hibernorum, Caes.: retranchements du camp d'hiver.    - urbem operibus claudere, Nep.: enfermer la ville dans des lignes d'attaque.    - operibus Toletum cepit, Liv. 35: il prit la ville de Tolède au moyen de travaux d'approche.    - operibus flumen obstruere, Caes.: barrer le fleuve au moyen de digues.    - locum reperit natura atque opere munitum, Caes.: il trouve une position protégée par la nature et par la main de l'homme.    - absolutis operibus pro vallo legiones instructas collocat, Caes. BG. 8: les travaux terminés, il range les légions devant le retranchement.    - urbem operibus saepire, Cic.: entourer la ville d'ouvrages de siège. f - œuvre d'art, travail d'esprit, livre, écrit, poème.    - Corinthia opera, Cic.: les oeuvres de Corinthe (les bronzes de Corinthe).    - hydria Boethi manu facta praeclaro opere, Cic.: une aiguière, faite de la main de Boëthus, un chef-d'oeuvre. g - travail, main-d'oeuvre, art, façon. h - effet, action (d'une chose).    - opus efficere, Cic.: produire de l'effet.    - opus meae bis sensit Telephus hastae, Ov. M. 12: Télèphe a senti deux fois l'effet de ma lance. [st1]3 [-] Ŏpūs, untis, f. (acc. -untem ou -unta): Oponte (ville de Locride).    - [gr]gr. Ὀποῦς, οῦντος.    - Ŏpuntĭus, a, um: d'Oponte.    - [gr]gr. Ὀπούντιος.    - Opuntii, ōrum, m.: les habitants d'Oponte (en Locride).
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        Opus, operis, pen. corr. neut. gen. Ouvrage, Besongne, OEuvre.
    \
        Graue Martis opus. Virg. Le labeur et travail de la guerre.
    \
        - famam extendere factis, Hoc virtutis opus. Virgil. C'est à faire à vertu.
    \
        Caeterorum casus, conatusque in contextu operis dicemus. Tacit. En la suite de nostre livre, En poursuivant nostre histoire.
    \
        Opus otii. Cic. OEuvre faict quand on estoit de loisir.
    \
        Acutum opus. Claud. Ingenieux.
    \
        Numerosius. Quintil. Chose de grand devis, longue à descrire. B.
    \
        Adest opus. Plaut. Il y a besongne taillee, preste et appareillee.
    \
        Omni opere anniti. Plin. S'efforcer de tout son povoir.
    \
        Exigere. Ouid. Parfaire et achever.
    \
        Opus facere. Columel. Faire sa besongne. Besongner.
    \
        Opus faciam vt defatiger vsque. Terent. Je besongneray.
    \
        Propositum repetemus opus. Ouid. Nous recommencerons, etc.
    \
        Operibus et munitionibus vrbem aliquam sepire. Cic. Environner de rempars.
    \
        Sistere opus. Ouid. Laisser.
    \
        Noctes vigiles transmittere operi. Stat. Besongner toute nuict, Passer les nuicts à besongner.
    \
        Opus, Artifice. Cicero, Loricas caelatas opere Corinthio, hydriasque grandes eadem arte perfectas.
    \
        Opere antiquo et summa arte perfectae. Cicero. D'ouvrage à l'antique.
    \
        Mineruae operum haud ignara. Virgil. Qui est scavante en laine faicture.
    \
        Opus, Indeclinabile adiectiuum, etiam pro Necesse, siue Necessario accipitur: vt Opus est fessum quiescere. Il est besoing que celuy qui est las, se repose.
    \
        Vt cautus est, vbi nihil opus est! Terent. Où il n'est nul besoing.
    \
        Dux nobis et author opus est. Cic. Nous est necessaire, Nous fait besoing.
    \
        Opus est lectionis. Quintil. Il est besoing de lire. Castigatiores codices habent LECTIONE.
    \
        Celeriter mihi hoc homine conuento est opus. Plaut. Il est besoing que hastivement je parle à cest homme ci.
    \
        Opus est maturato. Liu. Il est besoing de se haster.
    \
        Is omnia pollicitus est, quae tibi essent opus: facturum puto. Cic. Il a promis de faire tout ce qui te sera besoing: et croy qu'il le fera.
    \
        Vt graminibus, ita frugibus roburneis opus habent. Columel. Ils ont besoing de, etc.
    \
        Opere magno orare. Plaut. Prier fort.
    \
        Tabulae pictae Graecos homines nimio opere delectant. Cic. Trop.
    \
        Opere tanto, pro Tantopere. Plaut. Tant.

    Dictionarium latinogallicum > opus

  • 7 Herculeus

    Латинско-русский словарь > Herculeus

  • 8 Achilles

    Achillēs, is, m. (Ἀχιλλεύς, dah. auch Achilleus, Corp. inscr. Lat. 6, 11554, u. bei Dicht. auch Genet. Achillei od. Achilli: Akk. Achillea: Vok. Achille: Abl. Achilli), Achilles, der durch Kraft und Schönheit ausgezeichnete griech. Held vor Troja, Sohn des Peleus, Königs von Thessalien, u. der Nerëide Thetis, Vater des Pyrrhus od. Neoptolemus, Verg. Aen. 1, 468 sqq. Ov. met. 12 extr. u. 13 in. Hyg. fab. 107. Cic. Tusc. 1, 105. Sall. hist. fr. 3, 40 (32). – dah. appellat., ein Achilles = ein schöner u. kräftiger Held od. Jüngling übh., Plaut. mil. 1054. Verg. Aen. 6, 89. Gell. 2, 11, 1. Val. Max. 3, 2, 21. – Dav. abgeleitet: 1) Achillēis, idos, f. die Achillëide, ein unvollendetes Heldengedicht des Statius. – 2) Achillēus, a, um (Ἀχίλλειος), zu Achilles gehörig, achillëisch, des Achilles, stirps, Verg.: statuae, Statuen, die eine Lanze hielten, Plin.: cothurnus, der hohe tragische Stil des Epos, dessen Gegenstand häufig Achilles war, Prop. – Subst., a) in der Geogr.: α) Achillēa (insula) od. Achillis insula, ae, f. (auch Leuce, Λευκή gen.), an der Mündung des Borysthenes gelegene Insel, mit einem fabelhaften Heiligtum des Achilles, Mela u. Plin. – β) Achillēa, ae, f., eine Insel bei Samos im Ägäischen Meere, Plin. – γ) Achilleus cursus (Ἀχίλλειος δρόμος), Achilles-Rennbahn, eine jetzt durch Anschwemmung sehr veränderte Halbinsel an der Mündung des Borysthenes, wo Achilles ein Wettrennen gehalten haben soll, Plin. u. Mela (griech.). – δ) Achillēum, I, n. (Ἀχίλλειον), fester Ort beim Vorgebirge Sigeum in Troas, von den Mytilenäern erbaut, mit dem Grabhügel des Achilles, Plin. – b) in der Botanik: α) Achillēa, ae, f. (sc. herba) u. Achillēos, ī, f. (ἡ Ἀχίλλειος sc. βοτάνη), eine nach der Sage von Achilles zur Heilung des Telephus aufgefundene Pflanze, die Schafgarbe, Plin. – β) Achillēum, ī, n., eine Gattung zarten Schwammes, Plin. – 3) Achilliacus, a, um = Achilleus, Ven. Fort. carm. 7, 8, 63. – 4) Achillīdēs, ae, m. (Ἀχιλλείδης), ein Nachkomme des Achilles, ein Achillide, Ov. epist. 8, 3; Ibis 301.

    lateinisch-deutsches > Achilles

  • 9 Auge

    Augē, ēs, f. (Αὔγη), I) eine der Horen, Hygin. fab. 183. – II) Tochter des Aleus u. der Neära aus Tegea in Arkadien, gebar von Herkules den Telephus, Hyg. fab. 99 u. 101. Ov. her. 9, 49. Sen. Herc. Oet. 370 (368); vgl. Serv. Verg. ecl. 6, 72.

    lateinisch-deutsches > Auge

  • 10 Hercules

    Herculēs, is, m. (Ἡρακλης), ein griechischer Nationalheld, Sohn Jupiters von der Alkmena, Gemahl der Deïanira (dah. Herculis uxor, Ov. trist. 2, 405), als Gott Gemahl der Hebe (dah. Herculis uxor, Ov. fast. 6, 65 u. 78), der sich durch Ausrottung von wilden Tieren u. Räubern um seine Zeitgenossen verdient machte. Die Mythe läßt ihn von der Juno unaufhörlich verfolgt werden, und Eurystheus legte ihm zwölf schwere Arbeiten (Herculis athla, s. āthlon) auf, die er alle glücklich verrichtete. Man betrachtete den Herkules als den Geber des Reichtums (πλουτοδότης), weshalb man ihm auch den Zehnten des gewonnenen Reichtums opferte, s. Lorenz Plaut. most. 972. Heindorf Hor. sat. 2, 6, 12; auch als den Begleiter und Führer der Musen (μουσαγέτης), Hercules Musarum, Suet. Aug. 29, 5. – Die Parabel von Herkules am Scheidewege (Cic. de off. 1, 118; ep. 5, 12, 3) ist eine Dichtung des Prodikus, von dem sie Xenophon (memorab. 2, 1. § 21 sqq.) entlehnt hat. – / Genet. auch Herculi bei Plaut. Pers. 2 u. rud. 822. Cic. Acad. 2, 108. Tac. ann. 12, 13. Symm. ep. 6, 44; vgl. Varro LL. 8, 26 u. Charis. 132, 17. – Dat. Sing. auch Herculei, Corp. inscr. Lat. 1, 1113 u.a., Hercolei, ibid. 1, 1145 u.a., Hercule, ibid. 1, 1134: Plur. Hercules, Varro bei Serv. Verg. Aen. 8, 564. Verr. Flacc. bei Serv. Verg. Aen. 8, 203. Arnob. 4, 15. Augustin. de civ. dei 18, 12. p. 270, 32 D.2, Genet. Herculum, Tert. de spect. 11, Dat. od. Abl. Herculibus, Varro LL. 10, 49. – Nbf. Ercules, Erculis, Erculi, Erculem, Ercule, s. Varro LL. 8, 16. – Hercules od. Hercule u. in der Umgangssprache Hercle als Beteuerungsformel der Römer = beim Herkules! Cic. u.a.: dafür mehercules od. mehercule, Cic., od. mehercle, Ter.: hercle mit andern Versicherungswörtern, hercle certe, Ter.: hercle sane od. sane hercle, Komik., Cornif. rhet. u. Cic.: licet Hereules m. folg. Konj., Cic. Rosc. Am. 31; Verr. 3, 145. Vgl. (über die Formen) Benecke Cic. de imp. Pomp. 54. Zumpt Cic. Verr. 3, 144. p. 565 u. 4, 14, 32. p. 682. Haase Praef. ad Sen. opp. vol. III. p. XIV. Neue-Wagener Formenl.3 2, 988 ff. u. Georges Lexik. d. lat. Wortf. S. 317. – Dav.: A) Herculānus, a, um, herkulisch, pes, lang, groß. Gell. 1, 1, 3. – B) Herculāneus (u. - ius), a, um, herkulisch, pars, der zehnte Teil (decima), den man dem Herkules zu opfern pflegte, Plaut.: formicae, die größten, Plin.: ebenso urtica, Plin.: machaera (macera), gewaltiges, Capit.: mater = nymphaea, Ps. Apul. herb. 67: unus tibi nodus, sed Herculaneus restat, noch ist ein Knoten, aber ein herkulischer (= sehr schwieriger) zu lösen übrig, Sen. ep. 87, 38. – subst., Herculānia, ae, f., eine Pflanze = sideritis, Ps. Apul. herb. 72. – C) Herculeus, a, um, herkulisch, des Herkules, Herkules-, labor, Hor.: hospes, d.i. Kroton, der den Herkules aufnahm, u. dah. urbs hospitis Herculei, die Stadt Kroton, Ov.: Trachin, von Herkules erbaut, Ov.: hostis, Telephus, des Herkules Sohn, Ov.: sacra, Herkulesdienst, Aur. Vict.: litora, bei Herkulaneum, Prop.: gens, das fabische, Ov.: urbs, Herkulaneum, Ov.: arbor, der (dem Herkules heilige) Pappelbaum (Populus alba, L.), Verg.: astrum, das Sternbild des Löwen, Mart.: metae, die Säulen des Herkules, Sil. – D) Herculīnus, a, um, herkulisch, Prisc. 2, 58. – E) Herculius, a, um, Beiname des Kaisers Maximianus; vgl. Spanh. de usu numm. 12, 495. – u. dav. Herculiānī, ōrum, m., die Ehrenlegion des Max., die Herkulianer, Amm. 22, 3, 2; 25, 6, 2.

    lateinisch-deutsches > Hercules

  • 11 Mysi

    Mȳsī, ōrum, m. (Μυσοί), die Bewohner Mysiens in Kleinasien, die Mysier, ursprünglich ein thrazischer Stamm in Europa, nach dem die in Europa Zurückgebliebenen nachher Moesi (Mösier) genannt wurden, Plin. 5, 125: tüchtige Bogenschützen, Liv. 37, 40, 8: bei den Griechen wegen ihrer geistigen Beschränktheit wie die Phryger verachtet, Cic. Flacc. 65: so auch Sing. Mysus aut Phryx, Cic. or. 27. Cic. ad Q. fr. 1, 1, 6. § 19. – Dav.: A) Mȳsius, a, um (Μύσιος), mysisch, scammonium, Plin. 26, 60. – subst. Mȳsia, ae, f. (Μυσία), eine Landschaft in Kleinasien, eingeteilt in Kleinmysien am Hellespont u. Großmysien am Ägäischen Meere, j. ein Teil des Ejalet Anadoli, u. zwar die Prov. Karasi u. der westl. Teil von Khodawendkiar, Cic. or. 25. Plin. 5, 125. – B) Mȳsus, a, um (Μυσός), mysisch, iuvenis, Prop., Telephus, König von Mysien, Prop. 2, 1, 63: ders. dux, Ov. ex Pont. 2, 2, 26: gentes, die Mösier (s. oben), Ov. ex Pont. 4, 9, 77.

    lateinisch-deutsches > Mysi

  • 12 opus [1]

    1. opus, eris, n. ( altindisch äpaḥ, das Werk), das Werk, I) im engeren Sinne, das Werk = die materielle Arbeit, die Beschäftigung, A) eig.: 1) im allg.: a) leb. Wesen: α) der Menschen, opus ingens, Liv.: opus rusticum, Komik. u. Colum.: opus servile, Liv.: opus militare, Arb. der Soldaten, Suet.: opera fabrilia, Handarbeiten, ICt., bes. Schmiedearbeiten, -geschäfte, Verg.: opus manuum, Ov.: opera nostrarum artium, Cic.: admonitor operum, Ov.: immunes operum, Ov.: famuli operum soluti (von der Arbeit entbundene), Hor.: in opus se collocare (sich verdingen), Plaut.: milites ad opus privatum mittere, ICt.: omnia opera mature conficere, Cato: opus facere, arbeiten, Ter.: opus rusticum od. opus ruri facere, Feldarbeit verrichten, Ter.: differre opus, Ov.: exigere (prüfen) opus, Ov.: favere operi, fleißig arbeiten, Ov.: u. so instare operi, Verg.: istaec opera perficere, Plaut.: in totum diem velut opus ordinare, gleichs. das Tagewerk verteilen, Quint.: opus quaerere (suchen), Cic. u. Liv.: pauper, cui in opere vita erat, der von der A. lebte, Ter.: menses octo continuos his opus non defuit, Cic.: magni operis videbatur m. folg. Infin., es schien ein großes Stück Arbeit zu sein, Curt: in od. ad opus publicum (öffentl. Strafarbeit) damnari od. dari, ICt. – β) der Tiere (vgl. Cic. de off. 2, 11): si mures aliquid corroserint, quorum est opus hoc unum, Cic.: bes. v. der Arbeit der Bienen, opus facere, Varro: pro me opus facere, Ps. Quint. decl.: fervet opus, Verg.: iustis operum peractis, Colum.: omnibus (apibus) una quies operum, labor omnibus unus, Verg. – b) lebl. Subjj., die Wirkung, der Effekt, opus meae bis sensit Telephus hastae, Ov. met. 12, 112: e sagittifera prompsit duo tela pharetra diversorum operum, Ov. met. 1, 469: v. Abstr., suum quasi opus efficere, sozusagen ihre W. hervorbringen, Cic. top. 62.

    2) prägn.: a) die Arbeit des Landmannes u. der Pflugstiere, die Feldarbeit (vollst. opus rusticum, s. oben), arma operis sui, Ov.: intentus operi diurno, Curt.: opus facere, Ter. (u. so bovem commodare, ut opus faceret, ICt.): facere patrio rure opus, Ov.: opere se exercere, Sen.: alqm in ipso opere deprehendere, Flor. – b) die Praxis des Arztes, opus facere, seine Praxis betreiben, Alfen. dig. 38, 1, 26: manere (erwarten) medicum, dum se ex opere recipiat, bis er von seiner Praxis zurückkommt, Plaut. Men. 883. – c) das Weidwerk des Jägers, Romanis sollemne viris opus, Hor. ep. 1, 18, 49. – d) die Arbeit des Bauhandwerkers od. -meisters, das Bauen, der Bau, muri od. fossa ingentis operis, Curt.: moles novi operis, die neu zu erbauenden Dämme, Curt.: lex operi faciundo, Baukontrakt, Cic.: publicorum operum exactio, Cic.: opus pupillo redimere (für den Mündel erstehen), Cic.: interim omnes servi atque liberi opus facerent, sollten beim Bau Hand anlegen, Nep. – e) die Bergwerksarbeit, der Bergbau, in opus metalli od. metallicum damnari od. dari, ICt.: u. so bl. in opus damnari, Plin. ep.: in opus salinarum dari, ICt. – f) als milit. t. t., die Schanzarbeit, labor operis, Caes.: opus castrorum, Lagerarbeit, Lagerbefestigung, Sall.: fessus od. fatigatus operibus proeliisque, Liv.: in opere occupatum esse, Caes.: dies noctesque in opere versari, Caes.: opus facere, schanzen, Caes.: milites opere prohibere, Caes.: milites ab opere deducere, revocare, Caes.: in operibus, in agminibus multus adesse, Sall. – g) die Kriegsarbeit = Kampfesmühe, Kampf, militia et grave Martis opus, Verg. Aen. 8, 516: opus belli, Prop. 3, 11, 70: opera bellica (Kriegshandwerk, Ggstz. civiles artes,) Vell. 2, 97, 2. – h) die Arbeit im Ggstz. zur Natur, natürlichen Lage, die Händearbeit, Menschenhand, Kunst, mons naturā velut opere praeceps, Sall.: locus egregie naturā et opere munitus, Caes.: oppidum magis opere quam naturā munitum, Sall.: nihil est opere aut manu factum, quod non aliquando consumat vetustas, Cic. – i) die Art der Bearbeitung eines Kunstwerkes, die Arbeit, hydria praeclaro opere, Cic.: haec omnia antiquo opere et summo artificio facta, Cic.: quarum (bullarum) iste non opere delectabatur, sed pondere, Cic.: erit exstructa moles opere magnifico, in großartigem Stile, Cic.: fabricavit Argus opere Palladio ratem, nach Art der Arbeit der Pallas (= künstlich), Phaedr. – k) dezent, das Werk = der Beischlaf, et pudor obscenum diffiteatur opus, Ov. am. 3, 14, 28: cum fit amoris opus, Ps. Ov. her. 15, 46: opere faciundo lassus, Plaut. asin. 873: accedere ad opus, Mart. 7, 18, 5. B) meton.: 1) der Stoff für eine Arbeit, digitis subigebat opus, Ov. met. 6, 20. – 2) das gefertigte Werk, opera magnifica atque praeclara, Cic. ut enim pictores et ii, qui signa fabricantur, et vero etiam poëtae suum quisque opus a vulgo considerari vult, Cic.: gerebat auribus cum maxime singulare et vere unicum naturae opus, Plin.: mirabilia Orientis opera, Wunderwerke, Curt.: u. so septem opera esse in orbe terrae miranda, Gell. – So nun prägn., a) das Werk = das Bauwerk, der Bau, das Gebäude, Plur. die Bauten, curator operum, ICt.: opus publicum, ICt.: opera publica, Liv. u. ICt.: urbana, Liv.: opus balinei, ein Badehaus, Plin. ep.: opus exornare tuā statuā, Plin. ep.: reficere exstruereque opera, Suet. – b) als milit. t. t., militaria opera, milit. Werke (Bauten), Curt. 9, 8 (32), 14; insbes. α) das Schanzwerk, das Befestigungswerk, Verteidigungswerk, opus castrorum, Lagerbefestigung, Caes.: opus hibernorum, Winterlagerbefestigung, Caes.: emporium opere magno munitum, Liv.: fundas libriles sudesque in opere disponere, Caes. – Plur., Werke = Schanzwerke, Befestigungswerke, Schanzen, Befestigungslinie, magnitudo operum, Hirt. b. G.: castra magnis operibus communita, Sall. fr.: castra od. tumulum magnis operibus munire, Caes. – β) Belagerungswerk, opera munitionesque, Cic. u. Liv.: magnitudo operis, Caes.: urbem operibus circumdare, claudere, Vell. u. Nep.: Mutinam operibus munitionibusque saepire, Cic.: urbem ingentibus operibus saepire, Liv. – γ) Belagerungswerkzeug, -maschine, urbem vineis aliisque operibus oppugnare, Liv.: operibus urbem expugnare, Liv. – δ) das Werk = der Damm, summi operis fastigium, Curt.: opus accipere (in den Boden aufnehmen), Curt.: opus iacĕre (aufwerfen), Curt.: flumen operibus obstruere, Caes. – c) ein Werk der Kunst (Bildhauerei, Malerei, Weberei usw.), ein Kunstwerk, Silanionis opus tam perfectum, tam elegans, v. einer Statue, Cic. (u. so singularis talium operum auctor, Vell.): opus admirabile, Cic.: opus caelatum, Auct. b. Hisp.: pocula faginea, caelatum divini opus Alcimedontis, Verg.: totum Numidae sculptile dentis opus, Ov.: op. marmoreum, Marmorbild, Ov.: op. Mentoreum, ein von Mentor verfertigter metallener Becher mit Reliefs, Prop.: opus plumarium, Vulg.: ut reconcinnetur (palla) atque ut opera (Stickereien) addantur quae volo, Plaut.: hanc vestem, quā indutus sum, sororum non donum solum, sed etiam opus vides, Curt.: materiam superabat opus, Ov. – d) ein Werk der Architektur, opus albarium, tectorium, musivum, s. albāriususw. – e) ein Werk der Backkunst, opus pistorium, Backwerk, Cels. u. Plin. – u. ein Werk der Kochkunst, ein Gericht, opus spumeum, Anthim. 34 u. 40: fit etiam de hordeo opus bonum, Anthim. 64. – f) ein Werk, Erzeugnis der Biene, cerea opera sua, Colum. 9, 7, 3: ceris opus (= den Honig) infundite, Phaedr. 3, 13, 9. – g) eine Arbeit, ein Werk der Literatur, tantum opus, Liv.: caelatum novem Musis opus, Hor.: in utriusque operis sui ingressu, Quint.: opus habeo in manibus, Cic.: pangis aliquid Sophocleum? fac opus appareat (daß man etwas von dem W. zu sehen bekommt), Cic.: nullum opus otii exstat, Cic.: sane texebatur opus luculente, so war das Werk gewiß recht schön angelegt, Cic.: id quoque adiungere operi, Quint.: opere ipso (Geschichtswerk) coniungere alqd, Curt.: opus exigere, das W. (die Dichtung) zu Ende führen, Ov. – dah. ein Hand- u. Lehrbuch, opus geographicum, der Geographie, Mart. Cap. 6. § 609. – h) die Gattung, das Fach der Darstellung in Kunst u. Literatur; in der Kunst, Vell. 1, 16, 2; 1, 17, 4; in der Literatur, Hor. sat. 2, 1, 2. Quint. 10, 1, 31; 10, 1, 67 u. 69.

    II) im weiteren Sinne, a) die Arbeit = Aufgabe, Obliegenheit, Leistung, Verrichtung, Handlung, der Dienst, viri docti, Plaut.: oratorium, Aufgabe, Verrichtung des Redners (zB. reden, Zeugen abfragen usw.), Cic.: censorium, Geschäft des Zensors (Erteilen einer Rüge), Cic.: opus πολιτικόν, eine Handlung, ein Dienst zum Besten des Staates, Cic.: periculosae plenum opus aleae, Hor.: operum hoc tuorum est, das wäre eine von deinen Aufgaben (ein Stück Arbeit für dich), Hor.: Amynander quod sui maxime operis erat, impigre agebat, was ihm vornehmlich oblag, Liv.: u. so sui maxime operis esse credens m. folg. Acc. u. Infin., Liv.: sunt quibus unum opus est (die es sich zur einzigen Aufgabe gemacht haben) m. folg. Infin., Hor.: aggredi ad pacis maximum opus, Liv.: certatim ad hoc opus (dem Mord des Tyrannen) curretur, Cic.: nobis nostrum intueri opus sat est, unsere Aufgabe im Auge zu behalten, Quint. – b) das Werk = das Unternehmen, die Tat, opus egregium, Curt.: mirabile, Curt.: virtutis opus, Verg. u. Curt.: magnum opus conari, Caes. fr.: gloria plus habet nominis quam operis, beruht mehr auf dem N. als auf Taten, Curt.: neve operis famam posset delere vetustas, Ov. – Plur., opera magna, Curt., maiora, Ov.: bellica, Curt.: alqm operibus anteire, Caes.: his immortalibus editis operibus, Liv.: Aeneae etiam ultimum mortalium operum fuit, Liv. – im christl. Sinne, Plur. opera = die guten Werke (καλὰ εργα), Cypr. epist. 18, 2. Ambros. de off. 1, 31, 163. Lact. 3, 9, 15. Vulg. Matth. 5, 16. – c) Plur. opera, polit. Werke = Schöpfungen, Einrichtungen, commendans illi sua atque ipsius opera, Vell. 2, 123, 2: primum principalium eius operum erat ordinatio comitiorum, Vell. 2, 124, 3. – d) die wissenschaftl. Materie, Wissenschaft, is libros de iure civili plurimos et qui omnem partem operis fundarent (vollständig behandelten) reliquit, Pompon. dig. 1, 2, 2. § 44: Tubero doctissimus quidem habitus est iuris publici et privati et complures utriusque operis libros reliquit, ibid. § 46. – e) die Mühe, Bemühung, magno opere, maximo opere, s. māgnopere: maiore opere, Cato fr.: non minimo opere, Licin. fr.: summo opere, Lucr. (vgl. summopere): quanto opere, s. quantopere: quantillo opere, wie leicht, Plaut.: tanto opere, s. tantopere: ebenso opere tanto, Plaut.: nimio opere, gar sehr, Cic. (s. Haupt opusc. 2, 457).

    lateinisch-deutsches > opus [1]

  • 13 Achilles

    Achillēs, is, m. (Ἀχιλλεύς, dah. auch Achilleus, Corp. inscr. Lat. 6, 11554, u. bei Dicht. auch Genet. Achillei od. Achilli: Akk. Achillea: Vok. Achille: Abl. Achilli), Achilles, der durch Kraft und Schönheit ausgezeichnete griech. Held vor Troja, Sohn des Peleus, Königs von Thessalien, u. der Nerëide Thetis, Vater des Pyrrhus od. Neoptolemus, Verg. Aen. 1, 468 sqq. Ov. met. 12 extr. u. 13 in. Hyg. fab. 107. Cic. Tusc. 1, 105. Sall. hist. fr. 3, 40 (32). – dah. appellat., ein Achilles = ein schöner u. kräftiger Held od. Jüngling übh., Plaut. mil. 1054. Verg. Aen. 6, 89. Gell. 2, 11, 1. Val. Max. 3, 2, 21. – Dav. abgeleitet: 1) Achillēis, idos, f. die Achillëide, ein unvollendetes Heldengedicht des Statius. – 2) Achillēus, a, um (Ἀχίλλειος), zu Achilles gehörig, achillëisch, des Achilles, stirps, Verg.: statuae, Statuen, die eine Lanze hielten, Plin.: cothurnus, der hohe tragische Stil des Epos, dessen Gegenstand häufig Achilles war, Prop. – Subst., a) in der Geogr.: α) Achillēa (insula) od. Achillis insula, ae, f. (auch Leuce, Λευκή gen.), an der Mündung des Borysthenes gelegene Insel, mit einem fabelhaften Heiligtum des Achilles, Mela u. Plin. – β) Achillēa, ae, f., eine Insel bei Samos im Ägäischen Meere, Plin. – γ) Achilleus cursus (Ἀχίλλειος δρόμος), Achilles- Rennbahn, eine jetzt durch Anschwemmung sehr
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    veränderte Halbinsel an der Mündung des Borysthenes, wo Achilles ein Wettrennen gehalten haben soll, Plin. u. Mela (griech.). – δ) Achillēum, I, n. (Ἀχίλλειον), fester Ort beim Vorgebirge Sigeum in Troas, von den Mytilenäern erbaut, mit dem Grabhügel des Achilles, Plin. – b) in der Botanik: α) Achillēa, ae, f. (sc. herba) u. Achillēos, ī, f. (ἡ Ἀχίλλειος sc. βοτάνη), eine nach der Sage von Achilles zur Heilung des Telephus aufgefundene Pflanze, die Schafgarbe, Plin. – β) Achillēum, ī, n., eine Gattung zarten Schwammes, Plin. – 3) Achilliacus, a, um = Achilleus, Ven. Fort. carm. 7, 8, 63. – 4) Achillīdēs, ae, m. (Ἀχιλλείδης), ein Nachkomme des Achilles, ein Achillide, Ov. epist. 8, 3; Ibis 301.

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  • 14 Auge

    Augē, ēs, f. (Αὔγη), I) eine der Horen, Hygin. fab. 183. – II) Tochter des Aleus u. der Neära aus Tegea in Arkadien, gebar von Herkules den Telephus, Hyg. fab. 99 u. 101. Ov. her. 9, 49. Sen. Herc. Oet. 370 (368); vgl. Serv. Verg. ecl. 6, 72.

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  • 15 Hercules

    Herculēs, is, m. (Ἡρακλης), ein griechischer Nationalheld, Sohn Jupiters von der Alkmena, Gemahl der Deïanira (dah. Herculis uxor, Ov. trist. 2, 405), als Gott Gemahl der Hebe (dah. Herculis uxor, Ov. fast. 6, 65 u. 78), der sich durch Ausrottung von wilden Tieren u. Räubern um seine Zeitgenossen verdient machte. Die Mythe läßt ihn von der Juno unaufhörlich verfolgt werden, und Eurystheus legte ihm zwölf schwere Arbeiten (Herculis athla, s. athlon) auf, die er alle glücklich verrichtete. Man betrachtete den Herkules als den Geber des Reichtums (πλουτοδότης), weshalb man ihm auch den Zehnten des gewonnenen Reichtums opferte, s. Lorenz Plaut. most. 972. Heindorf Hor. sat. 2, 6, 12; auch als den Begleiter und Führer der Musen (μουσαγέτης), Hercules Musarum, Suet. Aug. 29, 5. – Die Parabel von Herkules am Scheidewege (Cic. de off. 1, 118; ep. 5, 12, 3) ist eine Dichtung des Prodikus, von dem sie Xenophon (memorab. 2, 1. § 21 sqq.) entlehnt hat. – Genet. auch Herculi bei Plaut. Pers. 2 u. rud. 822. Cic. Acad. 2, 108. Tac. ann. 12, 13. Symm. ep. 6, 44; vgl. Varro LL. 8, 26 u. Charis. 132, 17. – Dat. Sing. auch Herculei, Corp. inscr. Lat. 1, 1113 u.a., Hercolei, ibid. 1, 1145 u.a., Hercule, ibid. 1, 1134: Plur. Hercules, Varro bei Serv. Verg. Aen. 8, 564. Verr. Flacc. bei Serv. Verg. Aen. 8, 203. Arnob. 4, 15. Au-
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    gustin. de civ. dei 18, 12. p. 270, 32 D.2, Genet. Herculum, Tert. de spect. 11, Dat. od. Abl. Herculibus, Varro LL. 10, 49. – Nbf. Ercules, Erculis, Erculi, Erculem, Ercule, s. Varro LL. 8, 16. – Hercules od. Hercule u. in der Umgangssprache Hercle als Beteuerungsformel der Römer = beim Herkules! Cic. u.a.: dafür mehercules od. mehercule, Cic., od. mehercle, Ter.: hercle mit andern Versicherungswörtern, hercle certe, Ter.: hercle sane od. sane hercle, Komik., Cornif. rhet. u. Cic.: licet Hereules m. folg. Konj., Cic. Rosc. Am. 31; Verr. 3, 145. Vgl. (über die Formen) Benecke Cic. de imp. Pomp. 54. Zumpt Cic. Verr. 3, 144. p. 565 u. 4, 14, 32. p. 682. Haase Praef. ad Sen. opp. vol. III. p. XIV. Neue-Wagener Formenl.3 2, 988 ff. u. Georges Lexik. d. lat. Wortf. S. 317. – Dav.: A) Herculānus, a, um, herkulisch, pes, lang, groß. Gell. 1, 1, 3. – B) Herculāneus (u. - ius), a, um, herkulisch, pars, der zehnte Teil (decima), den man dem Herkules zu opfern pflegte, Plaut.: formicae, die größten, Plin.: ebenso urtica, Plin.: machaera (macera), gewaltiges, Capit.: mater = nymphaea, Ps. Apul. herb. 67: unus tibi nodus, sed Herculaneus restat, noch ist ein Knoten, aber ein herkulischer (= sehr schwieriger) zu lösen übrig, Sen. ep. 87, 38. – subst., Herculānia, ae, f., eine Pflanze = sideritis, Ps. Apul. herb. 72. – C) Herculeus, a, um, herkulisch, des Herkules, Herkules-,
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    labor, Hor.: hospes, d.i. Kroton, der den Herkules aufnahm, u. dah. urbs hospitis Herculei, die Stadt Kroton, Ov.: Trachin, von Herkules erbaut, Ov.: hostis, Telephus, des Herkules Sohn, Ov.: sacra, Herkulesdienst, Aur. Vict.: litora, bei Herkulaneum, Prop.: gens, das fabische, Ov.: urbs, Herkulaneum, Ov.: arbor, der (dem Herkules heilige) Pappelbaum (Populus alba, L.), Verg.: astrum, das Sternbild des Löwen, Mart.: metae, die Säulen des Herkules, Sil. – D) Herculīnus, a, um, herkulisch, Prisc. 2, 58. – E) Herculius, a, um, Beiname des Kaisers Maximianus; vgl. Spanh. de usu numm. 12, 495. – u. dav. Herculiānī, ōrum, m., die Ehrenlegion des Max., die Herkulianer, Amm. 22, 3, 2; 25, 6, 2.

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  • 16 Mysi

    Mȳsī, ōrum, m. (Μυσοί), die Bewohner Mysiens in Kleinasien, die Mysier, ursprünglich ein thrazischer Stamm in Europa, nach dem die in Europa Zurückgebliebenen nachher Moesi (Mösier) genannt wurden, Plin. 5, 125: tüchtige Bogenschützen, Liv. 37, 40, 8: bei den Griechen wegen ihrer geistigen Beschränktheit wie die Phryger verachtet, Cic. Flacc. 65: so auch Sing. Mysus aut Phryx, Cic. or. 27. Cic. ad Q. fr. 1, 1, 6. § 19. – Dav.: A) Mȳsius, a, um (Μύσιος), mysisch, scammonium, Plin. 26, 60. – subst. Mȳsia, ae, f. (Μυσία), eine Landschaft in Kleinasien, eingeteilt in Kleinmysien am Hellespont u. Großmysien am Ägäischen Meere, j. ein Teil des Ejalet Anadoli, u. zwar die Prov. Karasi u. der westl. Teil von Khodawendkiar, Cic. or. 25. Plin. 5, 125. – B) Mȳsus, a, um (Μυσός), mysisch, iuvenis, Prop., Telephus, König von Mysien, Prop. 2, 1, 63: ders. dux, Ov. ex Pont. 2, 2, 26: gentes, die Mösier (s. oben), Ov. ex Pont. 4, 9, 77.

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  • 17 opus

    1. opus, eris, n. ( altindisch äpaḥ, das Werk), das Werk, I) im engeren Sinne, das Werk = die materielle Arbeit, die Beschäftigung, A) eig.: 1) im allg.: a) leb. Wesen: α) der Menschen, opus ingens, Liv.: opus rusticum, Komik. u. Colum.: opus servile, Liv.: opus militare, Arb. der Soldaten, Suet.: opera fabrilia, Handarbeiten, ICt., bes. Schmiedearbeiten, -geschäfte, Verg.: opus manuum, Ov.: opera nostrarum artium, Cic.: admonitor operum, Ov.: immunes operum, Ov.: famuli operum soluti (von der Arbeit entbundene), Hor.: in opus se collocare (sich verdingen), Plaut.: milites ad opus privatum mittere, ICt.: omnia opera mature conficere, Cato: opus facere, arbeiten, Ter.: opus rusticum od. opus ruri facere, Feldarbeit verrichten, Ter.: differre opus, Ov.: exigere (prüfen) opus, Ov.: favere operi, fleißig arbeiten, Ov.: u. so instare operi, Verg.: istaec opera perficere, Plaut.: in totum diem velut opus ordinare, gleichs. das Tagewerk verteilen, Quint.: opus quaerere (suchen), Cic. u. Liv.: pauper, cui in opere vita erat, der von der A. lebte, Ter.: menses octo continuos his opus non defuit, Cic.: magni operis videbatur m. folg. Infin., es schien ein großes Stück Arbeit zu sein, Curt: in od. ad opus publicum (öffentl. Strafarbeit) damnari od. dari, ICt. – β) der Tiere (vgl. Cic. de off. 2, 11): si mures aliquid corroserint, quorum est opus
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    hoc unum, Cic.: bes. v. der Arbeit der Bienen, opus facere, Varro: pro me opus facere, Ps. Quint. decl.: fervet opus, Verg.: iustis operum peractis, Colum.: omnibus (apibus) una quies operum, labor omnibus unus, Verg. – b) lebl. Subjj., die Wirkung, der Effekt, opus meae bis sensit Telephus hastae, Ov. met. 12, 112: e sagittifera prompsit duo tela pharetra diversorum operum, Ov. met. 1, 469: v. Abstr., suum quasi opus efficere, sozusagen ihre W. hervorbringen, Cic. top. 62.
    2) prägn.: a) die Arbeit des Landmannes u. der Pflugstiere, die Feldarbeit (vollst. opus rusticum, s. oben), arma operis sui, Ov.: intentus operi diurno, Curt.: opus facere, Ter. (u. so bovem commodare, ut opus faceret, ICt.): facere patrio rure opus, Ov.: opere se exercere, Sen.: alqm in ipso opere deprehendere, Flor. – b) die Praxis des Arztes, opus facere, seine Praxis betreiben, Alfen. dig. 38, 1, 26: manere (erwarten) medicum, dum se ex opere recipiat, bis er von seiner Praxis zurückkommt, Plaut. Men. 883. – c) das Weidwerk des Jägers, Romanis sollemne viris opus, Hor. ep. 1, 18, 49. – d) die Arbeit des Bauhandwerkers od. -meisters, das Bauen, der Bau, muri od. fossa ingentis operis, Curt.: moles novi operis, die neu zu erbauenden Dämme, Curt.: lex operi faciundo, Baukontrakt, Cic.: publicorum operum exactio, Cic.: opus pupillo redimere (für den Mündel
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    erstehen), Cic.: interim omnes servi atque liberi opus facerent, sollten beim Bau Hand anlegen, Nep. – e) die Bergwerksarbeit, der Bergbau, in opus metalli od. metallicum damnari od. dari, ICt.: u. so bl. in opus damnari, Plin. ep.: in opus salinarum dari, ICt. – f) als milit. t. t., die Schanzarbeit, labor operis, Caes.: opus castrorum, Lagerarbeit, Lagerbefestigung, Sall.: fessus od. fatigatus operibus proeliisque, Liv.: in opere occupatum esse, Caes.: dies noctesque in opere versari, Caes.: opus facere, schanzen, Caes.: milites opere prohibere, Caes.: milites ab opere deducere, revocare, Caes.: in operibus, in agminibus multus adesse, Sall. – g) die Kriegsarbeit = Kampfesmühe, Kampf, militia et grave Martis opus, Verg. Aen. 8, 516: opus belli, Prop. 3, 11, 70: opera bellica (Kriegshandwerk, Ggstz. civiles artes,) Vell. 2, 97, 2. – h) die Arbeit im Ggstz. zur Natur, natürlichen Lage, die Händearbeit, Menschenhand, Kunst, mons naturā velut opere praeceps, Sall.: locus egregie naturā et opere munitus, Caes.: oppidum magis opere quam naturā munitum, Sall.: nihil est opere aut manu factum, quod non aliquando consumat vetustas, Cic. – i) die Art der Bearbeitung eines Kunstwerkes, die Arbeit, hydria praeclaro opere, Cic.: haec omnia antiquo opere et summo artificio facta, Cic.: quarum (bullarum) iste non opere delectabatur, sed pondere, Cic.: erit exstructa moles opere magnifico, in großar-
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    tigem Stile, Cic.: fabricavit Argus opere Palladio ratem, nach Art der Arbeit der Pallas (= künstlich), Phaedr. – k) dezent, das Werk = der Beischlaf, et pudor obscenum diffiteatur opus, Ov. am. 3, 14, 28: cum fit amoris opus, Ps. Ov. her. 15, 46: opere faciundo lassus, Plaut. asin. 873: accedere ad opus, Mart. 7, 18, 5. B) meton.: 1) der Stoff für eine Arbeit, digitis subigebat opus, Ov. met. 6, 20. – 2) das gefertigte Werk, opera magnifica atque praeclara, Cic. ut enim pictores et ii, qui signa fabricantur, et vero etiam poëtae suum quisque opus a vulgo considerari vult, Cic.: gerebat auribus cum maxime singulare et vere unicum naturae opus, Plin.: mirabilia Orientis opera, Wunderwerke, Curt.: u. so septem opera esse in orbe terrae miranda, Gell. – So nun prägn., a) das Werk = das Bauwerk, der Bau, das Gebäude, Plur. die Bauten, curator operum, ICt.: opus publicum, ICt.: opera publica, Liv. u. ICt.: urbana, Liv.: opus balinei, ein Badehaus, Plin. ep.: opus exornare tuā statuā, Plin. ep.: reficere exstruereque opera, Suet. – b) als milit. t. t., militaria opera, milit. Werke (Bauten), Curt. 9, 8 (32), 14; insbes. α) das Schanzwerk, das Befestigungswerk, Verteidigungswerk, opus castrorum, Lagerbefestigung, Caes.: opus hibernorum, Winterlagerbefestigung, Caes.: emporium opere magno munitum, Liv.: fundas libriles sudesque in opere disponere, Caes. – Plur., Werke =
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    Schanzwerke, Befestigungswerke, Schanzen, Befestigungslinie, magnitudo operum, Hirt. b. G.: castra magnis operibus communita, Sall. fr.: castra od. tumulum magnis operibus munire, Caes. – β) Belagerungswerk, opera munitionesque, Cic. u. Liv.: magnitudo operis, Caes.: urbem operibus circumdare, claudere, Vell. u. Nep.: Mutinam operibus munitionibusque saepire, Cic.: urbem ingentibus operibus saepire, Liv. – γ) Belagerungswerkzeug, -maschine, urbem vineis aliisque operibus oppugnare, Liv.: operibus urbem expugnare, Liv. – δ) das Werk = der Damm, summi operis fastigium, Curt.: opus accipere (in den Boden aufnehmen), Curt.: opus iacĕre (aufwerfen), Curt.: flumen operibus obstruere, Caes. – c) ein Werk der Kunst (Bildhauerei, Malerei, Weberei usw.), ein Kunstwerk, Silanionis opus tam perfectum, tam elegans, v. einer Statue, Cic. (u. so singularis talium operum auctor, Vell.): opus admirabile, Cic.: opus caelatum, Auct. b. Hisp.: pocula faginea, caelatum divini opus Alcimedontis, Verg.: totum Numidae sculptile dentis opus, Ov.: op. marmoreum, Marmorbild, Ov.: op. Mentoreum, ein von Mentor verfertigter metallener Becher mit Reliefs, Prop.: opus plumarium, Vulg.: ut reconcinnetur (palla) atque ut opera (Stickereien) addantur quae volo, Plaut.: hanc vestem, quā indutus sum, sororum non donum solum, sed etiam opus vides, Curt.: materiam supera-
    ————
    bat opus, Ov. – d) ein Werk der Architektur, opus albarium, tectorium, musivum, s. albarius usw. – e) ein Werk der Backkunst, opus pistorium, Backwerk, Cels. u. Plin. – u. ein Werk der Kochkunst, ein Gericht, opus spumeum, Anthim. 34 u. 40: fit etiam de hordeo opus bonum, Anthim. 64. – f) ein Werk, Erzeugnis der Biene, cerea opera sua, Colum. 9, 7, 3: ceris opus (= den Honig) infundite, Phaedr. 3, 13, 9. – g) eine Arbeit, ein Werk der Literatur, tantum opus, Liv.: caelatum novem Musis opus, Hor.: in utriusque operis sui ingressu, Quint.: opus habeo in manibus, Cic.: pangis aliquid Sophocleum? fac opus appareat (daß man etwas von dem W. zu sehen bekommt), Cic.: nullum opus otii exstat, Cic.: sane texebatur opus luculente, so war das Werk gewiß recht schön angelegt, Cic.: id quoque adiungere operi, Quint.: opere ipso (Geschichtswerk) coniungere alqd, Curt.: opus exigere, das W. (die Dichtung) zu Ende führen, Ov. – dah. ein Hand- u. Lehrbuch, opus geographicum, der Geographie, Mart. Cap. 6. § 609. – h) die Gattung, das Fach der Darstellung in Kunst u. Literatur; in der Kunst, Vell. 1, 16, 2; 1, 17, 4; in der Literatur, Hor. sat. 2, 1, 2. Quint. 10, 1, 31; 10, 1, 67 u. 69.
    II) im weiteren Sinne, a) die Arbeit = Aufgabe, Obliegenheit, Leistung, Verrichtung, Handlung, der Dienst, viri docti, Plaut.: oratorium, Aufgabe,
    ————
    Verrichtung des Redners (zB. reden, Zeugen abfragen usw.), Cic.: censorium, Geschäft des Zensors (Erteilen einer Rüge), Cic.: opus πολιτικόν, eine Handlung, ein Dienst zum Besten des Staates, Cic.: periculosae plenum opus aleae, Hor.: operum hoc tuorum est, das wäre eine von deinen Aufgaben (ein Stück Arbeit für dich), Hor.: Amynander quod sui maxime operis erat, impigre agebat, was ihm vornehmlich oblag, Liv.: u. so sui maxime operis esse credens m. folg. Acc. u. Infin., Liv.: sunt quibus unum opus est (die es sich zur einzigen Aufgabe gemacht haben) m. folg. Infin., Hor.: aggredi ad pacis maximum opus, Liv.: certatim ad hoc opus (dem Mord des Tyrannen) curretur, Cic.: nobis nostrum intueri opus sat est, unsere Aufgabe im Auge zu behalten, Quint. – b) das Werk = das Unternehmen, die Tat, opus egregium, Curt.: mirabile, Curt.: virtutis opus, Verg. u. Curt.: magnum opus conari, Caes. fr.: gloria plus habet nominis quam operis, beruht mehr auf dem N. als auf Taten, Curt.: neve operis famam posset delere vetustas, Ov. – Plur., opera magna, Curt., maiora, Ov.: bellica, Curt.: alqm operibus anteire, Caes.: his immortalibus editis operibus, Liv.: Aeneae etiam ultimum mortalium operum fuit, Liv. – im christl. Sinne, Plur. opera = die guten Werke (καλὰ εργα), Cypr. epist. 18, 2. Ambros. de off. 1, 31, 163. Lact. 3, 9, 15. Vulg. Matth. 5, 16. – c) Plur.
    ————
    opera, polit. Werke = Schöpfungen, Einrichtungen, commendans illi sua atque ipsius opera, Vell. 2, 123, 2: primum principalium eius operum erat ordinatio comitiorum, Vell. 2, 124, 3. – d) die wissenschaftl. Materie, Wissenschaft, is libros de iure civili plurimos et qui omnem partem operis fundarent (vollständig behandelten) reliquit, Pompon. dig. 1, 2, 2. § 44: Tubero doctissimus quidem habitus est iuris publici et privati et complures utriusque operis libros reliquit, ibid. § 46. – e) die Mühe, Bemühung, magno opere, maximo opere, s. magnopere: maiore opere, Cato fr.: non minimo opere, Licin. fr.: summo opere, Lucr. (vgl. summopere): quanto opere, s. quantopere: quantillo opere, wie leicht, Plaut.: tanto opere, s. tantopere: ebenso opere tanto, Plaut.: nimio opere, gar sehr, Cic. (s. Haupt opusc. 2, 457).
    ————————
    2. opus, n. indecl., das Werk = die nötige Sache, das Bedürfnis, nur in den Verbindungen: I) opus est = es ist nötig, -notwendig, -vonnöten, mit Dat. pers., mit Angabe der nötigen Sache, α) im Nom.: dux nobis et auctor opus est, Cic.: opus sunt boves, Varro: nobis exempla opus sunt, Cic.: sponsae aurum, vestem, ancillas opus esse, Ter.: deciens nummos mihi opus esse, Cic.: si quid ipsi Caesare opus esset, wenn er etwas von C. bedürfte, Caes.: in eam rem fidem suam, si quid opus esse putaret (nötigenfalls), interponeret, Cic.: illud te rogo, sumptu ne parcas ulla in re, quod ad valetudinem opus sit, Cic.: quaecumque ad proximi diei oppugnationem opus sunt, noctu comparantur, Caes.: quorsum est opus? Hor.: quae curando vulneri opus sunt, Liv. – β) im Abl.: sive forte opus sit cuneo aut globo, Cato fr.: silentio opus est, Afran. fr.: auctoritate tuā nobis opus est, Cic.: expedito homine opus est, Cic.: tacito cum opus est, clamas, Cornif. rhet.: quid verbis opus est? was bedarf es noch der Worte? (bei Abbrechung einer weiteren Erörterung), Plaut.: in cuius laudes exsequendas Cicerone laudatore opus fuerit, Liv. epit. – u. so immer mit Abl. des Partic. Perf. Pass.: non opus est recitato, Cato fr.: rescripto nihil opus est, Antwort ist nicht nötig, Fronto: quid opus sit facto? Nep.: facto, non consulto in tali periculo opus
    ————
    esse, Sall.: cur properato opus esset, Cic.: opus est puellā servatā, Ov.: sibi opus esse domino eius convento, Liv. – γ) selten im Genet.: quanti argenti opus fuit, Liv.: ad consilium pensandum temporis opus esse, Liv.: magni nunc erit oris opus, Prop.: sive illi laterum seu fuit artis opus, Priap. – δ) im Acc.: puero opus est cibum, Plaut.: opus est calcis modium unum, Cato. Vgl. über no. α bis δ Diom. 316, 27 sqq. – ε) im 2. Supin.: sed ita dictu opus est, Ter.: quod scitu opus est, Cic. – ζ) im Infin. od. Acc. u. Infin.: quid tibi opus vixisse, Plaut.: quid opus est affirmare? Cic.: opus sit nihil deesse amicis, Cic.: quid opus est caveri lege ne puniatur infans, si pulsaverit patrem? Sen. rhet.: non opus est nunc intro te ire, Plaut.: m. Nom. u. Infin., tu, quae istic opus erunt administrari, prospicies, Brut. in Cic. ep. 11, 11, 2. – η) m. ut od. ne u. Konj.: mihi opus est, ut lavem, Plaut.: tibi opus est, aegram ut te assimules, Plaut.: ad hoc efficiendum intellegebant opus esse, non ut etc.... nec ut etc.... sed ut etc., Tac. dial. 31 in.: reus, cui opus esset ne reus videretur, Plin. ep. 7, 6, 3. – θ) m. bl. Coniunctiv: seu sit opus quadratum acies consistat in agmen, Tibull. 4, 1, 101: quamquam non est opus affingas aliquid aut adstruas, Plin. ep. 9, 33, 11: quam (avaritiam tuam) refrenes aliquantulum opus est, Augustin. ep. 12: opus est multum vestiariis, quia frigus pati non potes, Augustin. serm. 38, 25. – ι) absol.: sic opus
    ————
    est, Ov. met. 1, 279. – II) opus habere alqā re, etwas nötig haben, Colum. 9, 1, 5. Itala 1. Thess. 5, 1 (bei Ambros. de fid. 5, 17, 213) u.a. Eccl.: vgl. jedoch Diom. 316, 33 nos non dicimus ›opus habeo, opus habebam‹, sed ›opus est mihi, opus erat mihi‹.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > opus

  • 18 opus

        opus eris, n    [2 AP-], work, labor, toil: Quod in opere faciundo operae consumis tuae, in doing your work, T.: grave Martis, military service, V.: (Graeci) opus quaerunt, seek (literary) employment: Sunt quibus unum opus est urbem celebrare, H.: magnum: dies Longa videtur opus debentibus, H.: naturā et opere munitus, art, Cs.—A product of labor, work, structure, public building, fortification: opere castrorum perfecto, Cs.: opus fieri (of a wall), N.: Mutinam operibus munitionibusque saepsit: Regis opus (of a harbor), H.—A work, book, composition, essay: habeo opus magnum in manibus: Fac opus appareat: ultra Legem tendere opus, H.—Artistic work, workmanship, art: quarum iste non opere delectabatur, sed pondere: haec omnia antiquo opere.—A deed, action, achievement: Hoc virtutis opus, V.—Abl. in adverb. phrases, māgnō opere, tantō opere, quantō opere, see māgnōpere, tantōpere, quantōpere.—Rarely with nimio: haec opera Graecos homines nimio opere delectant, excessively.—A working, effect: opus meae bis sensit Telephus hastae, O.—The subject of work, stuff, material: Seu digitis subigebat opus, O.—Fig., in nom. and acc. in phrases with the verb sum, work, business, need, want, necessity: longius, quam quoad opus est, procedetur, than the occasion requires: Sic opus est, O.: quae bello opus erant, S.: dux nobis et auctor opus est, we need a leader: omnia, quae tibi essent opus: quod ipsi opus esse videretur, censere, expedient: quorsum est opus? what for? H.: quae curando volneri opus sunt, L.: magistratibus opus est, there is need of: Cognati, quīs te salvo est opus, to whom your safety is important, H.: haud mihi vitā Est opus hac, I have no business with, etc., H.: Plus scis quid facto opus est, what must be done, T.: tantum modo incepto opus est, to make a beginning, S.: maturato opus est, haste is necessary, L.: ita dictu opus est, I must say, T.: quanti argenti opus fuit, L.: quid opus est de Dionysio adfirmare?: dixit id consilium sciri non opus esse, inexpedient: nil opus est te Circumagi, H.
    * * *
    need; work; fortifications (pl.), works

    opus est -- is useful, beneficial

    Latin-English dictionary > opus

  • 19 Auge

    Augē, ēs, f., = Augê.
    I.
    Daughter of Aleus and Neœra of Tegea, in Arcadia, and mother of Telephus by Hercules, Ov. H. 9, 49; Sen. Herc. Oet. 367; Serv. ad Verg. E. 6, 72; Hyg. Fab. 101.—
    II.
    One of the Horœ, Hyg. Fab. 183.

    Lewis & Short latin dictionary > Auge

  • 20 Hercules

    Hercŭles, is and i (the latter in Cic. Ac. 2, 34, 108 Goer.; cf. Plin. ap. Charis. p. 107 P.:

    Herculei,

    Cat. 55, 13), m., = Hêraklês, Etrusc. HERCLE (whence, by the insertion of a connecting vowel, the Latin form arose; cf. Alcumena for Alkmênê; v. also under B. the voc. hercle), son of Jupiter and Alcmena, husband of Dejanira, and, after his deification, of Hebe, the god of strength, and the guardian of riches, to whom, therefore, tithes were offered; he was also the guide of the Muses (Musagetes); the poplar was sacred to him, Cic. N. D. 3, 16, 42; Varr. ap. Serv. Verg. A. 8, 564; Varr. L. L. 6, § 54 Müll.; Plaut. Stich. 1, 3, 80; 2, 2, 62; Ov. M. 8, 364; 9, 13 sq.; Hor. C. 3, 14, 1; 4, 5, 36; Suet. Aug. 29; cf. with Ov. F. 6, 797 sq.:

    neque Herculi quisquam decumam vovit umquam, si sapiens factus esset,

    Cic. N. D. 3, 36, 88:

    superavit aerumnis suis aerumnas Herculis,

    Plaut. Pers. 1, 1, 2: Herculis Columnae, the Pillars of Hercules, i. e. the promontories between which is the Strait of Gibraltar, Plin. 2, 67, 67, § 167; Curt. 10, 1, 8 et saep.—In gen. plur.:

    et Herculum et Mercuriorum disciplinae,

    Tert. Spect. 11 fin. —Prov.: Herculi quaestum conterere, i. e. to squander everything (even the tithes of Hercules), Plaut. Most. 4, 2, 68:

    personam Herculis et cothurnos aptare infantibus,

    Quint. 6, 1, 36.—
    B.
    Transf., analog. with the Greek Hêrakleis and Hêrakles, in voc. hercŭles, and more freq. hercŭle or hercle; also with a prefixed me: mĕ-hercŭles, mehercŭle (also separately: me hercule), and mĕhercle, as an oath or asseveration, by Hercules!
    (α).
    Hercules and mehercules:

    et, hercules, hae quidem exstant,

    Cic. Brut. 16, 61; cf. Cael. ap. Cic. Fam. 8, 4, 1; Poll. ib. 10, 33, 7:

    licet, hercules, undique omnes in me terrores impendeant,

    Cic. Rosc. Am. 11, 31; Vell. 2, 52, 2:

    neque, mehercules, hoc indigne fero,

    Cic. Rosc. Am. 48, 141:

    cui, mehercules, hic multum tribuit,

    id. Fam. 6, 5, 3; Planc. ap. Cic. Fam. 10, 18, 3:

    at, mehercules, narrabit quod quis voluerit,

    Phaedr. 3, 17, 8.—
    (β).
    Hercule and mehercule, by Hercules! (in class. prose most freq.; cf.

    also: impetratum est a consuetudine, ut peccare suavitatis causa liceret: et pomeridianas quadrigas quam postmeridianas libentius dixerim, et mehercule quam mehercules,

    Cic. Or. 47, 157):

    et hercule ita fecit,

    id. Lael. 11, 37:

    et hercule,

    id. Fam. 2, 18, 2; Quint. 2, 5, 4; 2, 16, 12; 10, 2, 3;

    12, 6, 4 al.: ac me quidem, ut hercule etiam te ipsum, Laeli, cognitio ipsa rerum delectat,

    Cic. Rep. 1, 13:

    non hercule, Scipio, dubito quin, etc.,

    id. ib. 1, 23; id. Quint. 3, 13; id. Att. 2, 7, 3:

    sed hercule facile patior datum tempus, in quo, etc.,

    id. ib. 16, 16, C, 10; Quint. 1, 4, 7; 12, 1, 7:

    atqui nactus es, sed me hercule otiosiorem opera quam animo,

    Cic. Rep. 1, 9:

    dicam me hercule,

    id. ib. 1, 19:

    non me hercule, inquit,

    id. ib. 1, 38:

    non mehercule,

    Quint. 6, 1, 43; 6, 3, 74:

    cognoscere me hercule, inquit, etc.,

    Cic. Rep. 1, 48 Mai. N. cr.:

    ita mehercule attendi, nec satis intellexi, etc.,

    id. Leg. 3, 14, 33 Mos. N. cr.; id. Verr. 2, 3, 62, § 144:

    vere mehercule hoc dicam,

    id. Planc. 26, 64: et mehercule ego antea mirari solebam, etc., id. Verr. 2, 4, 14, § 33; id. Att. 5, 16, 3:

    mihi mehercule magnae curae est aedilitas tua,

    id. Fam. 2, 11, 2:

    servi mehercule mei, si me isto pacto metuerent, etc.,

    id. Cat. 1, 7, 17.—
    (γ).
    Hercle and mehercle (the former esp. freq. in Plaut. and Ter.; the latter very rare): malo hercle magno suo convivat, Enn. ap. Non. 474, 22 (Sat. v. 1 Vahl.):

    obsecro hercle, quantus et quam validus est,

    Plaut. Am. 1, 1, 143; id. ib. 173:

    tanto hercle melior,

    id. Bacch. 2, 2, 33:

    mihi quidem hercle non fit verisimile,

    Ter. And. 1, 3, 20:

    nescio hercle,

    id. Eun. 2, 3, 13; id. Phorm. 1, 2, 87:

    perii hercle,

    id. Eun. 5, 2, 66; 5, 6, 14; id. Heaut. 4, 4, 14:

    non hercle,

    id. Phorm. 5, 7, 76:

    per hercle rem mirandam (i. e. permirandam) Aristoteles dicit,

    Gell. 3, 6, 1.—With intensive particles:

    heu hercle,

    Plaut. Rud. 3, 5, 41:

    scite hercle sane,

    id. Trin. 3, 3, 53; cf.:

    sane quidem hercle,

    Cic. Leg. 2, 4, 8:

    minime, minime hercle vero!

    Plaut. Trin. 3, 3, 23; cf.:

    minime hercle,

    Cic. Lael. 9, 30:

    haudquaquam hercle, Crasse, mirandum est, etc.,

    id. de Or. 3, 22, 82:

    pulchre mehercle dictum et sapienter,

    Ter. Eun. 3, 1, 26; 1, 1, 22.
    II.
    Derivv.
    A.
    Hercŭlĕus, a, um, adj., of or belonging to Hercules, Herculean:

    domiti Herculea manu Telluris juvenes,

    Hor. C. 2, 12, 6:

    labor,

    id. ib. 1, 3, 36:

    coronae arbos,

    i. e. the poplar, Verg. G. 2, 66; cf.:

    umbra populi,

    id. A. 8, 276:

    leo,

    the lion's skin worn by Hercules, Val. Fl. 1, 263:

    Oete,

    on which Hercules burned himself, Luc. 3, 178:

    hospes,

    i. e. Croto, by whom Hercules was hospitably entertained, Ov. M. 15, 8:

    ternox,

    in which Hercules was begotten, Stat. Th. 12, 301:

    hostis,

    i. e. Telephus, son of Hercules, Ov. R. Am. 47:

    gens,

    i. e. the family of the Fabians sprung from Hercules, id. F. 2, 237; so,

    penates,

    Sil. 7, 44:

    sacrum,

    instituted by Evander in honor of Hercules, Verg. A. 8, 270:

    Trachin,

    built by Hercules, Ov. M. 11, 627:

    urbs,

    the city of Herculaneum, built by Hercules, id. ib. 15, 711.—Hence also:

    litora,

    near Herculaneum, Prop. 1, 11, 2:

    Tibur,

    i. e. where Hercules was worshipped, Mart. 1, 13, 1; 4, 62:

    astrum,

    i. e. the constellation of the Lion, id. 8, 55, 15: fretum, i. e. the Pillars of Hercules, (Strait of Gibraltar), Sil. 1, 199;

    also: metae,

    Luc. 3, 278.—
    B.
    Hercŭlā-nĕus, a, um, adj., the same: pars, i. e. the tithes (dedicated to Hercules), the tenth part, Plaut. Truc. 2, 7, 11.—Also to denote things large of their kind:

    formicae,

    Plin. 30. 4, 10, §

    29: urtica,

    id. 21, 15, 55, § 92:

    nodus,

    Sen. Ep. 87, 33:

    nymphaea,

    App. Herb. 67:

    sideritis,

    id. ib. 72:

    machaera,

    Capitol. Pertin. 8.—
    C.
    Hercŭlānus, a, um, adj., the same: pes, i. e. long, large (cf. in the preced.), Gell. 1, 1, 3.—
    D.
    Acc. to the Gr. form Hēraclēus or Hēra-clĭus, a, um, adj., = Hêrakleios or Hêraklios, the same:

    fabulae,

    Juv. 1, 52 (al. acc. to the MSS. Herculeias).—
    E.
    Hēraclī-des, ae, m., = Hêrakleidês, a male descendant of Hercules, Heraclid:

    exclusi ab Heraclīdis Orestis liberi,

    Vell. 1, 2 fin.
    F.
    Hercŭlĭus, i, m., a surname of the emperor Maximinianus, and hence, Her-cŭlĭāni, ōrum, m., his guards, Amm. 22, 3, 2; 25, 6, 2.

    Lewis & Short latin dictionary > Hercules

См. также в других словарях:

  • Telephus — This article is about Telephus the son of Heracles. The name also refers to the father of Cyparissus. A Greek mythological figure, Telephus or Telephos (Greek: Τήλεφος, far shining [His names was also rendered Telephanes (Kerenyi 1959:337).… …   Wikipedia

  • TELEPHUS — I. TELEPHUS Grammaticus Pergamenus, scripsit fere omnia, quae ad Grammaticam pertinent; inter alia collationes epithetorum eidem rei congruentium, ad copiam parandam elocutionis, Suidas. Item historiam Pergami, vitas Poetarum, etc. Floruit sub… …   Hofmann J. Lexicon universale

  • Telephus spurge — vilkpupinė karpažolė statusas T sritis vardynas apibrėžtis Karpažolinių šeimos augalas (Euphorbia telephioides), paplitęs Floridoje. atitikmenys: lot. Euphorbia telephioides angl. Telephus spurge šaltinis Valstybinės lietuvių kalbos komisijos… …   Lithuanian dictionary (lietuvių žodynas)

  • 5264 Telephus — Telephus is an asteroid. It is a Jupiter trojan in the Greek Camp. Orbital data*Major Semiaxis: 5.2008664 AU *Eccentricity: 0.11219118 *Inclination of orbit: 33.57925 degree (equinox 2000.0) *Perihelion length: 357.74164 degree (equinox 2000.0)… …   Wikipedia

  • (5264) Telephus — Asteroid (5264) Telephus Eigenschaften des Orbits (Animation) Orbittyp Jupiter Trojaner (L4) Große Halbachse 5,2053 AE …   Deutsch Wikipedia

  • ТЕЛЕФ —    • Telephus,          Τήλεφος, аркадец, сын Геракла и Авги, дочери царя тегейского Алея, которая тотчас после рождения бросила своего ребенка и сама бежала к царю Тевфру (Τεύθρας) в Мисию. Т. был вскормлен сукой и найден пастухами царя Корифа,… …   Реальный словарь классических древностей

  • Telephvs — TELĔPHVS, i, Gr. Τήλεφος, ου, (⇒ Tab. XVII.) 1 §. Namen. Dieser ist von θηλάσαι, säugen, und ἔλαφος, Hindinn, zusammen gesetzet, und wurde ihm von den Hirten gegeben, welche fanden, daß ihn eine Hindinn säugete. Hygin. Fab. 99. & Apollod. l. III …   Gründliches mythologisches Lexikon

  • Trojan War — In Greek mythology, the Trojan War was waged against the city of Troy by the Achaeans after Paris of Troy stole Helen from her husband Menelaus, the king of Sparta. The war is among the most important events in Greek mythology, and was narrated… …   Wikipedia

  • Laodice — In Greek mythology, the name Laodice referred to different people but most importantly the wife of Telephus and the Queen of Mysia.*An alternate name for Electra *Mother of NiobeLaodiceMythThe Murder of Helicaon*Laodice was the fairest daughter… …   Wikipedia

  • Achilles — Achilleus redirects here. For the emperor with this name, see Achilleus (emperor). For other uses, see Achilles (disambiguation). In Greek mythology, Achilles (also Akhilleus or Achilleus; Ancient Greek: polytonic|Ἀχιλλεύς) was a Greek hero of… …   Wikipedia

  • Avge — AVGE, es, Gr. Ἄυγη, ης, (⇒ Tab. XIX.) des Aleus und der Neära Tochter, wurde von dem Herkules zu Falle gebracht, ohne daß sie ihn kannte, und legte das Kind, welches sie gebahr, in den Hayn der Minerva, deren Priesterinn sie war. Als darum aber… …   Gründliches mythologisches Lexikon

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