vereri

опасаться (1. 8 § 3 D. 4, 2); сомневаться, быть в недоумении (1. 11 § 1 D. 20, 4).

- vereri; haesitare; dubitare;

- vereri; verecundari (in publicum prodire);

vĕrĕor, ēri, ĭtus sum - tr. - [st1]1 [-] avoir une crainte respectueuse pour, révérer, respecter, honorer.    - vereri et diligere aliquem, Cic. Off. 1, 136: respecter et estimer qqn.    - metuebant eum servi, verebantur liberi, Cic. CM 37: il était craint de ses esclaves, révéré de ses enfants.    - cf. Cic. Phil. 12, 29; Liv. 39, 37, 17. [st1]2 [-] appréhender, craindre; avoir de l'appréhension, de la crainte.    - non se hostem vereri, sed angustias itineris... timere dicebant, Caes. BG. 1, 39, 6: ils disaient qu'ils n'avaient pas l'appréhension de l'ennemi, mais qu'ils craignaient l'étroitesse des défilés.    - cf. Caes. BG. 5, 48 ; BC. 3, 21; Cic. Or. 1; Nat. 2, 59.    - de aliqua re vereri, Cic. CM 18: craindre à propos de qqch.    - vereri alicui, alicui rei: craindre pour qqn, pour qqch.    - eo minus veritus navibus, quod in litore molli atque aperto deligatas ad ancoram relinquebat, Caes. BG. 5: craignant d'autant moins pour les vaisseaux qu'il les laissait à l'ancre sur un rivage uni et découvert.    - avec gén. de relation ne tui quidem testimonii veritus, Cic. Att. 8, 4, 1: sans être même en souci de ton témoignage.    - cf. Ter. Phorm. 971 ; Afran. Acc. d. NON. 496, 29 ; 497, 2.    - impers. nihilne te populi veretur? Atta.com. 7: n'as-tu aucun souci du peuple. --- cf. pudet. [st1]3 [-] appréhender de, craindre de.    - avec inf. Cic. Leg. 1, 37 ; Fam. 6, 6, 6 ; 13, 18, 2 ; Caes. BG. 5, 6.    - impers. aliquem non veritum est avec inf. Cic. Fin. 2, 39, qqn n'a pas craint de.    - vereri + prop. inf.: appréhender que.    - cf. Plaut. Mil. 1285 ; Acc. Tr. 157.    - vereri + inter. indir.: se demander avec inquiétude, avec appréhension. --- Ter. And. 176.    - vereri ecquodnam curriculum sit habitura tua industria, Cic. Br. 22: se demander avec inquiétude quelle carrière aura ton activité. --- cf. Att. 7, 7, 3.    - vereri ne + subj.: craindre que, craindre de.    - vereor ne veniat: je crains qu'il ne vienne.    - nonne verendum est ne philosophiam falsa gloria exornes? Cic. Tusc. 2: n'y a-t-il pas lieu de craindre que tu ne combles la philosophie de fausses louanges?    - ne Diviciaci animum offenderet verebatur, Caes. BG. 1: il craignait de fâcher Diviciacos.    - cf. Cic. Rep. 1, 70 ; 3, 70 ; de Or. 1, 231, etc. ; Caes. BG. 1, 19 ; 1, 42, etc.    - verens, ne... Cic. de Or. 2, 14 ; 3, 33 ; Nat. 1, 18 ; Top. 4 ; Fam. 13, 19, e; Att. 10, 8, 5 ; 15, 21, 1.    - vereor ne barbarorum rex fuerit ( Romulus), Cic. Rep. 1, 58: je crains bien que Romulus ait régné sur des barbares = il est probable que, il faut croire que.    - vereor ne... non...: craindre que ne... pas.    - d'ordinaire non vereor ne... non. --- Cic. Verr. 2, 118 ; 4, 82 ; Fam. 2, 1, 1; 2, 5, 2 ; Mil. 95 ; de Or. 1, 250, etc.    - quid est cur verear, ne... non ? Cic. Fin. 1, 34: pourquoi craindrais-je de ne pas ?    - vereri ut (= vereri... ne... non...): se demander avec crainte comment, craindre que... ne... pas...    - veremur, ut hoc, quod a tam multis et quod tot locis perferatur, natura patiatur, Cic. Tusc. 2, 46: nous craignons que cette douleur, qui est supportée jusqu'au bout par tant de gens et dans tant de lieux, la nature ne puisse pas l'endurer.    - veritus ut hostium impetum sustinere posset, Caes. B. G. 5, 47: se demandant avec crainte comment il pourrait soutenir le choc des ennemis (craignant de ne pas pouvoir soutenir le choc des ennemis).    - cf. Cic. Tusc. 2, 46 ; de Or. 1, 35 ; Agr. 2, 58 ; Fam. 14, 14, 1; Att. 6, 4, 2; 11, 22, 1; Caes. BG. 5, 47. [st1]4 [-] remarques.    - le participe passé veritus a parfois le sens du présent.    - veritus, a, um: - [abcl]a - qui a craint; craignant. - [abcl]b - qui a hésité.    - hic vereri perdidit, Plaut. Bacch. 1, 2, 50: il a perdu toute honte (il a toute honte bue).    - sens passif malunt metui se quam vereri, Gell.: ils aiment mieux être craints que respectés. vĕrĕor, ēri, ĭtus sum - tr. - [st1]1 [-] avoir une crainte respectueuse pour, révérer, respecter, honorer.    - vereri et diligere aliquem, Cic. Off. 1, 136: respecter et estimer qqn.    - metuebant eum servi, verebantur liberi, Cic. CM 37: il était craint de ses esclaves, révéré de ses enfants.    - cf. Cic. Phil. 12, 29; Liv. 39, 37, 17. [st1]2 [-] appréhender, craindre; avoir de l'appréhension, de la crainte.    - non se hostem vereri, sed angustias itineris... timere dicebant, Caes. BG. 1, 39, 6: ils disaient qu'ils n'avaient pas l'appréhension de l'ennemi, mais qu'ils craignaient l'étroitesse des défilés.    - cf. Caes. BG. 5, 48 ; BC. 3, 21; Cic. Or. 1; Nat. 2, 59.    - de aliqua re vereri, Cic. CM 18: craindre à propos de qqch.    - vereri alicui, alicui rei: craindre pour qqn, pour qqch.    - eo minus veritus navibus, quod in litore molli atque aperto deligatas ad ancoram relinquebat, Caes. BG. 5: craignant d'autant moins pour les vaisseaux qu'il les laissait à l'ancre sur un rivage uni et découvert.    - avec gén. de relation ne tui quidem testimonii veritus, Cic. Att. 8, 4, 1: sans être même en souci de ton témoignage.    - cf. Ter. Phorm. 971 ; Afran. Acc. d. NON. 496, 29 ; 497, 2.    - impers. nihilne te populi veretur? Atta.com. 7: n'as-tu aucun souci du peuple. --- cf. pudet. [st1]3 [-] appréhender de, craindre de.    - avec inf. Cic. Leg. 1, 37 ; Fam. 6, 6, 6 ; 13, 18, 2 ; Caes. BG. 5, 6.    - impers. aliquem non veritum est avec inf. Cic. Fin. 2, 39, qqn n'a pas craint de.    - vereri + prop. inf.: appréhender que.    - cf. Plaut. Mil. 1285 ; Acc. Tr. 157.    - vereri + inter. indir.: se demander avec inquiétude, avec appréhension. --- Ter. And. 176.    - vereri ecquodnam curriculum sit habitura tua industria, Cic. Br. 22: se demander avec inquiétude quelle carrière aura ton activité. --- cf. Att. 7, 7, 3.    - vereri ne + subj.: craindre que, craindre de.    - vereor ne veniat: je crains qu'il ne vienne.    - nonne verendum est ne philosophiam falsa gloria exornes? Cic. Tusc. 2: n'y a-t-il pas lieu de craindre que tu ne combles la philosophie de fausses louanges?    - ne Diviciaci animum offenderet verebatur, Caes. BG. 1: il craignait de fâcher Diviciacos.    - cf. Cic. Rep. 1, 70 ; 3, 70 ; de Or. 1, 231, etc. ; Caes. BG. 1, 19 ; 1, 42, etc.    - verens, ne... Cic. de Or. 2, 14 ; 3, 33 ; Nat. 1, 18 ; Top. 4 ; Fam. 13, 19, e; Att. 10, 8, 5 ; 15, 21, 1.    - vereor ne barbarorum rex fuerit ( Romulus), Cic. Rep. 1, 58: je crains bien que Romulus ait régné sur des barbares = il est probable que, il faut croire que.    - vereor ne... non...: craindre que ne... pas.    - d'ordinaire non vereor ne... non. --- Cic. Verr. 2, 118 ; 4, 82 ; Fam. 2, 1, 1; 2, 5, 2 ; Mil. 95 ; de Or. 1, 250, etc.    - quid est cur verear, ne... non ? Cic. Fin. 1, 34: pourquoi craindrais-je de ne pas ?    - vereri ut (= vereri... ne... non...): se demander avec crainte comment, craindre que... ne... pas...    - veremur, ut hoc, quod a tam multis et quod tot locis perferatur, natura patiatur, Cic. Tusc. 2, 46: nous craignons que cette douleur, qui est supportée jusqu'au bout par tant de gens et dans tant de lieux, la nature ne puisse pas l'endurer.    - veritus ut hostium impetum sustinere posset, Caes. B. G. 5, 47: se demandant avec crainte comment il pourrait soutenir le choc des ennemis (craignant de ne pas pouvoir soutenir le choc des ennemis).    - cf. Cic. Tusc. 2, 46 ; de Or. 1, 35 ; Agr. 2, 58 ; Fam. 14, 14, 1; Att. 6, 4, 2; 11, 22, 1; Caes. BG. 5, 47. [st1]4 [-] remarques.    - le participe passé veritus a parfois le sens du présent.    - veritus, a, um: - [abcl]a - qui a craint; craignant. - [abcl]b - qui a hésité.    - hic vereri perdidit, Plaut. Bacch. 1, 2, 50: il a perdu toute honte (il a toute honte bue).    - sens passif malunt metui se quam vereri, Gell.: ils aiment mieux être craints que respectés.

(α). (β). (γ). (δ). (ε). (ζ). (η). (θ). (ι). (κ). A. B. 1. 2. ► In a pass.

(α). (β). (γ). (δ). (ε). (ζ). (η). (θ). (ι). (κ). A. B. 1. 2. ► In a pass.

vereor, ritus sum, ērī (griech. επὶ ορονται, sie beaufsichtigen, οὖρος, Wächter, ὁράω, sehe, gotisch war, behutsam, ahd. war, giwar, vorsichtig), scheuen, I) Scheu haben vor etw., a) aus Furcht übh., etw. scheuen, fürchten = vor etw. od. etw. zu tun sich scheuen, sich fürchten, α) m. Acc.: conspectum patris, Ter.: hostem, Caes.: bella Gallica, Cic. – β) Partiz. verēns m. Genet.: sunt verentes plagarum, Colum.: nec verentes sumptuum, Auson. – γ) mit folg. Infin. u. (selten) Acc. u. Infin.: ut verear eloqui, porcet pudor, Pacuv. fr.: vereor dicere, Ter.: vereor committere, ut etc., Cic.: quos interficere vereretur, Caes.: quod mihi accĭdisse vereor, Sidon.: vereare insanus haberi, Hor. – vereor magis me amoris causā hoc ornatu incedere, Plaut. mil. 1285. – impers., Cyrenaici, quos non est veritum in voluptate summum bonum ponere, Cic. de fin. 2, 39. – b) aus Furcht vor Verletzung der Heiligkeit u. Würde, jmd. od. etw. scheuen = vor jmd. od. etwas eine heilige Scheu-, Ehrfurcht-, Achtung haben, auf jmd. od. etw. Rücksicht nehmen, gegen jmd. Zurückhaltung beobachten, α) m. Acc.: metuebant eum servi, verebantur liberi, Cic.: quem et amabat ut fratrem et ut maiorem fratrem verebatur, Cic. – Passiv, malunt metui quam vereri se ab suis, Afran. com. 34. – β) m. Genet.: viri, Afran. fr.: huius feminae primariae, Ter.: ne tui quidem testimonii veritus, Cic. ad Att. 8, 4, 1. – impers., nihilne te populi veretur? Atta com. 7. – c) aus Furcht vor Verletzung des Schicklichen, Scheu und Scham haben, hic vereri perdidit, hat Scheu u. Scham verloren, Plaut. Bacch. 158. – II) etw. fürchten = zu befürchten haben, wegen etw. besorgt sein, sein Bedenken haben, α) m. Acc.: periculum, Caes.: supplicium ab alqo, Cornif. rhet.: multi famam, conscientiam pauci verentur, Plin. ep. – β) m. Dat., eo minus veritus navibus, quod etc., für die Schiffe etwas (eine Gefahr) befürchtend, besorgt, Caes. b.G. 5, 9, 1. – γ) m. de u. Abl., de (in betreff) qua (Carthagine) vereri non ante desinam, quam illam excisam esse cognovero, Cic. de sen. 18. – δ) m. Acc. u. Infin.: vereor plus quam fas est captivam hiscere, Acc. tr. 157: iudex verebar non omnes causam vincere posse suam, Ov. her. 16, 75 sq. (doch unecht): quippe celebratam Macedonum fortitudinem ad ludibrium recĭdisse verebatur, Curt. 9, 7 (29), 23. – ε) m. ne (daß) od. ut od. ne non (daß nicht), also vereor ne m. Konj., ich fürchte, es möchte = leicht od. am Ende möchte ich, non vereor ne oder vereor ut mit Konj., ich fürchte, es möchte nicht = schwerlich möchte, und non vereor ne non mit Konj., ich fürchte nicht, daß nicht = ich möchte nicht leicht, schwerlich möchte ich (er, es), vereor, ne sit turpe timere, Cic.: vereor, ne haec quoque laetitia vana evadat, Liv.: litteris tuis intellexi te vereri, ne superiores mihi redditae non essent, Cic.: illa duo vereor, ut tibi possim concedere, Cic.: non verendum quidem est, ut tenere se possit, Cic.: et tamen veremur, ut hoc natura patiatur? Cic.: non vereor, ne hoc iudicium meum P. Servilio iudici non probem, Cic.: non vereor, ne non scribendo te expleam, Cic.: quid est cur verear, ne ad eam sententiam non possim accommodare Torquatos nostros? Cic. – ζ) mit folg. Fragesatz: Pomptinum quod scribis in urbem introisse, vereor, quid sit, Cic.: hoc quomodo acciperent homines, vereor etiam nunc, Cael. b. Cic.: eri semper lenitas verebar quorsum evaderet, Ter.: vereor, num hic aliud sit dicendum, Gaius dig.

fürchten, a) etwas, sich vor etwas, metuere, timere alqd (ersteres unser »etw. befürchten«, letzteres »Furcht vor etwas haben«; beide im Ggstz. zu contemnere; vgl. die Substst. unter »Furcht«); verb. metuere ac timere. – in metu ponere, habere alqd (= metuere). – extimescere, pertimescere alqd (stärker als timere). – vereri alqm od. de alqa re (steht dem metuere am nächsten und bezeichnet das Befürchten aus einer gewissen Scheu vor der Wichtigkeit, Größe etc. des Gegenstandes, den man fürchtet). – pavere alqd oder ad alqd (bangen und zagen vor etw.). – horrere alqd (vor etw. schaudern, Schauder empfinden, z.B. vor der Macht der Götter, numen divinum); verb. metuere atque horrere (= in hohem Grade s., z.B. supplicia). – formidare, reformidare alqd (vor etwas ein Grausen empfinden, z.B. mortem). – exspectare (zu gewärtigen, zu befürchten haben, z.B. excidium urbis). – wir fürchten nichts, sine timore sumus: alles von jmd. s., omnia ab od. ex alqo timere: du hast nichts von mir zu s., nihil tibi est a me periculi: man hat nichts von ihm zu s., periculum ab eo nullum est: jmd. od. sich vor jmd. s., timere alqm (übh.); timere [972] alcis occursum (das Begegnen jmds. auf der Straße etc. fürchten): sich vor jmd. od. etwas nicht s., satis animi habere adversus alqd (genug Mut haben einem Übel gegenüber, bei einem Übel, z.B. ad solida mala, nedum ad umbras malorum); contemnere alqm oder alqd (jmdm. od. einer Sache trotzig die Stirn bieten, z.B. iudicia poenamque): jmds. Zorn od. sich vor jmds. Zorn nicht f., alqm iratum non vereri: sich vor dem Tode s., mortis appropinquatione angi: mortis metu perterritum esse; mortem reformidare: sich vor dem Tode nicht s., contemnere mortem: so wenig sich vor dem Tode fürchtend, daß er etc., ita non timidus ad mortem, ut etc.: ich fürchte mich vor nichts so sehr als vor dem Leben, nihil timeo nisi vivere: sich ohne allen Grund vor etw. s., alqd frustra timere. – jmd. fürchten machen, s. »Furcht einjagen« unter »Furcht«: er machte sich so gefürchtet, daß etc., tantum sui timorem iniecit, ut etc.: was ich nicht fürchte (d. i. nicht hoffe, daß es geschehen werde), id quod non spero (als Parenthese). – b) ich fürchte (d. i. ich befürchte, besorge) wegen etw. od. für jmd., metuo, timeo alci (rei) u. de alqo (de alqa re); extimesco, pertimesco de alqa re; vereor alci rei; ich fürchte sehr, magno timore sum (Ggstz. bene spero): anfangen zu s., ad timorem se convertere. – ich fürchte (befürchte, besorge), daß etc., metuo, timeo, vereor, extimesco, pertimesco, auch horreo, ne etc., od. daß nicht etc., ne non od. ut etc.: ich fürchte im stillen, daß etc., subtimeo, ne etc.; subvereor, ne etc.: sie fangen an zu s., daß etc., in timorem perveniunt, ne etc.: es ist od. steht zu s. (zu besorgen), timendum est, verendum, periculum est, ne etc.: nichts s., numquam extimescere (niemals in Furcht geraten); securum esse (sich sicher dünken, ohne es gerade zu sein, sorglos sein): nichts zu s. haben, tutum esse, von jmd. od. etwas, ab alqo od. ab alqa re (wirklich sicher sein, auch da, wo man fürchtet): fürchte (befürchte) nichts! noli timere od. laborare! omitte timorem! timere desine! – c) Gott fürchten, deum vereri; deum vereri et colere. – d) sich fürchten (absol.), metuere; timere; in metu od. in timore esse (in Furcht sein). – sich ohne Not s., umbras timere: sich nicht mehr s., timere desinere od. desisse.

    vereor itus, ērī, dep.    [1 VEL-], to reverence, revere, respect, stand in awe: quem (patrem) ut deum: gratia et eloquentia; quarum alteram vereor, alteram metuo: veremur vos... etiam timemus, L.—To fear, be afraid, dread, apprehend, shrink: hostem, Cs.: patris adventum, T.: reprehensionem doctorum: pauperiem, H.: maius, something serious, H.: invidiam, N.: Vereor dicere, hesitate, T.: vereor committere, ut, etc.: Insanos qui inter vereare insanus haberi, H.: quos non est veritum in voluptate summum bonum ponere, who did not shrink from, etc.: huius feminae, T.: tui testimoni: eo minus veritus navibus, quod, etc., with the less anxiety for the ships, Cs.— With ne, lest, that: sed vereor, ne videatur oratio mea, etc.: ne Divitiaci animum offenderet verebatur, Cs.: vereor ne cui plus credas, etc., H.: si... vereor ne barbarorum rex fuerit (Romulus), I suspect that.—With ne... non: intellexi te vereri ne superiores (litterae) mihi redditae non essent. —After a negat. expressed or implied (instead of ut): non vereor ne hoc officium meum P. Servilio non probem: non vereor, ne non scribendo te expleam.—With ut, that not: vereris ut possis contendere?: qui vereri videntur ut habeam satis praesidi.—Poet.: ut ferulā caedas meritum maiora subire Verbera non vereor (i. e. ne caedas), H.—To await with fear, fear, dread: heri semper lenitas Verebar quorsum evaderet, T.: Pomptinum quod scribis in urbem introisse, vereor, quid sit, am apprehensive what it may mean: de quā (Carthagine) vereri.

achten, I) seine Sinne u. Gedanken auf etwas richten: animum advertere, attendere ad alqd. animum intendere ad od. in alqd. – curare alqd (sich um etwas bekümmern). – servare, observare alqd (beobachten). – auf jmd. achten, audire alqm (auf jmd. hören, ihm gehorchen); aspicere, intueri alqm (auf jmd. achten, als auf einen, auf den man sein ganzes Zutrauen gesetzt hat): auf jmd. od. [60] etw. nicht achten, non audire alqm (nicht hören); nihil morari (keine Notiz nehmen): neglegere (nicht berücksichtigen), alqm od. alqd: keine Schwierigkeit achtend, omnium difficultatum immemor. – II) dafür halten; z. B. der Senat hat für gut geachtet, senatus decrevit. – III) einer Pers. od. Sache einen Wert beilegen, ohne und mit dem Zusatze des Werts od. Unwerts: a) mit Zusatz etc.: hoch achten, alqm od. alqd magni facere, habere, putare, ducere, aestimare, pendĕre: gering a., parvi facere, aestimare, ducere; haud magni pendĕre: für nichts a., pro nihilo ducere, putare; nihili facere: gleich achten, iuxta aestimare: den einen so hoch achten wie den andern, in pari laude utrumque ponere: einen höher achten als den andern. unum alteri praeponere, anteponere od. (umgekehrt) postponere, posthabere: ich achte nichts höher. nihil antiquius iudico od. habeo od. mihi est: etwas höher achten als etc., alqd sanctius ducere quam etc. – b) prägn., ohne Zusatz, α) Dinge = sparen, gew. »nicht achten«, s. »nicht ansehen« unter »ansehen no. II, 2, b«. – β) Pers. = hochachten: colere (gleichs. hegen u. pflegen, jmdm. durch Gesälligkeiten und Dienstleistungen seine Achtung zu erkennen geben). – observare. observantiā colere (durch Aufmerksamkeiten aller Art seine Ehrerbietung an den Tag legen); verb. observare et colere, colere et observare. – vereri revereri (mit achtungsvoller Scheu verehren); verb. vereri et colere. – diligere (aus Pflichtgefühl achten, mit Achtung lieben);verb. (= achten u. lieben) colere ac diligere; observare ac diligere: vereri et diligere. – suspicere (mit dem Gefühl des eigenen Minderwerts an. jmd. hinausblicken). – alci od. alci rei honorem habere (die schuldige Ehre erweisen, z. B. studiis). – geachtet werden, s. »in Achtung stehen« unter »Achtung«.

besorgt, metuens. timens (fürchtend, s. »fürchten« die Synon.). – sollicitus. anxius (bekümmert, ängstlich); verb. anxius ac sollicitus. – b. sein um etw., timere, vereri, laborare, sollicitum, anxium esse de alqa re: für etwas b. sein, vereri alci rei od. mit folg. ne u. Konj.: für jmd., metuere, praemetuere, timere, praetimere alci: für. sich b. sein, suis rebus oder sibi suisque rebus timere: für jmd. b. werden, [440] alci metuere oder timere coepisse: es macht mich etwas b. u. unruhig, alqd anxium me et inquietum habet.

ehren, honorare. ornare. decorare. prosequi (durch Verleihung äußerer Auszeichnungen, durch etwas, alqā re, z.B. durch Ehrensäulen, Triumphe, Gastmähler etc.). – observare. observantiā colere, auch bl. co lere. colere et observare. officiis prosequi (durch äußerliche Beweise von Achtung übh., z.B. durch Entgegengehen, Begleiten, Aufwartungmachen etc.). – magni facere. admirari. suspicere (hochschätzen; adm. mit Bewunderung; susp. mit dem Gefühl unseres eigenen Minderwerts). – vereri. venerari. veneratione prosequi (im Herzen u. mit Ehrfurcht); verb. vereri et colere. – es wird jmd. od. etwas geehrt, alqs od. alqd in honore est; honos est od. tribuitur alci rei: mit Recht, iustam venerationem habet alqs od. alqd: ich werde von jmd. geehrt, in honore sum apud alqm: jmd. vorzüglich e., alqm praecipuo honore habere: jmd. auch im Tode sehr e., alci etiam mortuo honores maximos tribuere. – geehrt, honoratus; honestus: hoch geehrt, honoratissimus; honestissimus; honore florentissimus.

Scheu, pavor (ängstliche Furcht, z.B. vor dem Wasser, aquae). – metus (die besorgte Furcht). – verecundia (die Scheu, etw. Anstößiges zu tun, z.B. negandi; od. jmdm. od. einer Sache zu nahe zu treten). – reverentia (die Scheu aus Hochachtung). – pudor, vor jmd., alcis (das Scham gefühl aus Respekt). – Sch. vor der [2022] Schande, verecundia turpitudinis: Sch. vor der Arbeit, fuga laboris: Sch. vor dem Gesetze, metus oder verecundia legum: Sch. vor den Göttern, metus od. verecundia deorum; religio: Sch. vor den Richtern, reverentia iudicum; metus iudiciorum (Furcht vor den Gerichten): Sch. vor der öffentlichen Meinung, existimationis pudor. – Sch. haben vor etw., pavere od. expavescere od. timere oder extimescere od. metuere alqd (vor etwas beben, sich vor etwas fürchten); vereri od. revereri alqd (eig. etw. befürchten, bedenklich finden; dann aus Achtung u. Ehrfurcht scheuen); verecundiam habere alcis rei (den gehörigen Respekt haben). – Sch. haben vor jmd., alqm vereri (im allg.); verecundiam habere alcis (aus Zartgefühl od. aus Achtung vor seiner Würde); alqm revereri. reverentiam adversus alqm adhibere (aus Hochachtung): die Sch. ablegen, reverentiam exuere. – ich trage Sch., zu etc., s. scheuen no. a. – ohne Sch., impavide. audacter (ohne Zittern und Zagen, kühm); oblitus pudoris et verecundiae (ohne Scheu und Scham); exhausto rubore (ohne noch schamrot zu werden): ohne Sch. vor et. was, non metuens alcis rei: alle Sch. und Scham verloren haben, pudorem posuisse; praemortui iam esse pudoris; omnem verecundiam effudisse.

scheuen, a) etwas od. sich vor etwas: metuere (fürchten, w. vgl.). – vereri (sich fürchten, etwas zu tun wegen der Folgen). – verecundari (blöde tun; dann = Bedenken, Scheu tragen mit folg. Infin., z.B. in publicum prodire). – stupere alqd (vor etw. betroffen, betreten sein, z.B. Hirschen). – consternari alqā re (vor etwas scheu werden, v. Tieren). – fugere. defugere (zu vermeiden suchen, z.B. fug. laborem: und def. proelium). – recusare (sich weigern, etw. zu übernehmen, z.B. nullum periculum). – parcere alci rei (etwas schonen, z.B. nec impensae nec labori nec periculo). – den Tod nicht sch., mori non recusare. – ich scheue mich nicht (trage keine Scheu), etwas zu tun, non vereor oder non mihi verecundiae est oder non me pudet alqd facere. – man scheute sich (trug religiöse Sch.), die Komitien zu halten, religio incessit comitia haberi. – b) jmd. scheuen: vereri alqm (z.B. deos).

dēsino, ĕre, sii (qqf. sivi), situm - tr. et intr. - [st2]1 [-] abandonner, cesser, laisser, renoncer. [st2]2 [-] se terminer, cesser, finir, mettre fin, mourir. [st2]3 [-] avoir une désinence.    - desisse, desissem... = desiisse, desiissem...    - respondeam Himilconi non desisse paenitere me belli, Liv. 23: je répondrai à Himilcon que je n'ai pas cessé de déplorer cette guerre.    - (dicebam illis) simul ac timere desisses, similem te futurum tui, Cic. Phil. 2: (je leur disais) qu'aussitôt que tu aurais cessé de craindre, tu redeviendrais semblable à toi-même.    - artem desinere, Cic. Fam. 7, 1, 4: renoncer à son métier.    - desine plura, Virg. B. 5, 19: n’en dis pas davantage.    - desine querelas, Ov.: cesse de te plaindre.    - avec gén. - desine querelarum, Hor. Od. 2, 9, 17: cesse de te plaindre.    - non desinit irae, Stat.: il ne met pas fin à sa colère.    - desierant imbres, Ov.: les pluies avaient cessé.    - desii + inf. prés. actif et déponent: je cessai de.    - discede... ut tandem timere desinam, Cic. Cat. 1: pars... pour qu'enfin je cesse de craindre.    - lamentabile Athenae pendere desierant tributum, Ov. M. 8: Athènes avait cessé de payer le lamentable tribut.    - desinite ergo de compositione loqui, Caes. BG. 3, 19: cessez donc de parler de pacte.    - illud mirari desino, Cic. de Or. 2, 14, 59: je cesse d’admirer cela.    - desinant insidiari domi suae consuli, Cic. Cat. 1: qu'ils cessent de tendre un guet-apens au consul dans sa propre maison!    - de qua vereri non ante desinam quam illam excisam esse cognovero, Cic. Sen.: je ne cesserai de la (= Carthage) craindre que lorsque j'aurai appris sa destruction radicale.    - desitus est + inf. prés. passif (régulièrement): il cessa de.    - qui primus Papisius est vocari desitus, Cic. Fam. 9: qui cessa le premier de s'appeler Papisius.    - desitum est pugnari: on cessa de combattre.    - desitum est disputare, Cic.: on a cessé de discuter.    - veteres orationes a plerisque legi sunt desitae, Cic. Brut. 32, 123: les discours anciens cessèrent d'être lus par le plus grand nombre.    - desii + inf. prés. passif (qqf.): je cessai de.    - desierunt moveri, Cic. Rep. 6, 25: ils ont cessé de s'agiter.    - desine (dans la conversation) Plaut. Ter.: arrête (tais-toi, reste tranquille, assez!).    - desinitur, Hor.: on cesse.    - Pyrenaeus desinens, Flor. 4, 12, 46: l'extrémité des Pyrénées.    - desinere in piscem, Hor.: finir en forme de poisson.    - desinere in violam, Plin.: tirer sur le violet.    - quae similiter desinunt, Cic. Quint.: (les mots) qui ont la même désinence. dēsino, ĕre, sii (qqf. sivi), situm - tr. et intr. - [st2]1 [-] abandonner, cesser, laisser, renoncer. [st2]2 [-] se terminer, cesser, finir, mettre fin, mourir. [st2]3 [-] avoir une désinence.    - desisse, desissem... = desiisse, desiissem...    - respondeam Himilconi non desisse paenitere me belli, Liv. 23: je répondrai à Himilcon que je n'ai pas cessé de déplorer cette guerre.    - (dicebam illis) simul ac timere desisses, similem te futurum tui, Cic. Phil. 2: (je leur disais) qu'aussitôt que tu aurais cessé de craindre, tu redeviendrais semblable à toi-même.    - artem desinere, Cic. Fam. 7, 1, 4: renoncer à son métier.    - desine plura, Virg. B. 5, 19: n’en dis pas davantage.    - desine querelas, Ov.: cesse de te plaindre.    - avec gén. - desine querelarum, Hor. Od. 2, 9, 17: cesse de te plaindre.    - non desinit irae, Stat.: il ne met pas fin à sa colère.    - desierant imbres, Ov.: les pluies avaient cessé.    - desii + inf. prés. actif et déponent: je cessai de.    - discede... ut tandem timere desinam, Cic. Cat. 1: pars... pour qu'enfin je cesse de craindre.    - lamentabile Athenae pendere desierant tributum, Ov. M. 8: Athènes avait cessé de payer le lamentable tribut.    - desinite ergo de compositione loqui, Caes. BG. 3, 19: cessez donc de parler de pacte.    - illud mirari desino, Cic. de Or. 2, 14, 59: je cesse d’admirer cela.    - desinant insidiari domi suae consuli, Cic. Cat. 1: qu'ils cessent de tendre un guet-apens au consul dans sa propre maison!    - de qua vereri non ante desinam quam illam excisam esse cognovero, Cic. Sen.: je ne cesserai de la (= Carthage) craindre que lorsque j'aurai appris sa destruction radicale.    - desitus est + inf. prés. passif (régulièrement): il cessa de.    - qui primus Papisius est vocari desitus, Cic. Fam. 9: qui cessa le premier de s'appeler Papisius.    - desitum est pugnari: on cessa de combattre.    - desitum est disputare, Cic.: on a cessé de discuter.    - veteres orationes a plerisque legi sunt desitae, Cic. Brut. 32, 123: les discours anciens cessèrent d'être lus par le plus grand nombre.    - desii + inf. prés. passif (qqf.): je cessai de.    - desierunt moveri, Cic. Rep. 6, 25: ils ont cessé de s'agiter.    - desine (dans la conversation) Plaut. Ter.: arrête (tais-toi, reste tranquille, assez!).    - desinitur, Hor.: on cesse.    - Pyrenaeus desinens, Flor. 4, 12, 46: l'extrémité des Pyrénées.    - desinere in piscem, Hor.: finir en forme de poisson.    - desinere in violam, Plin.: tirer sur le violet.    - quae similiter desinunt, Cic. Quint.: (les mots) qui ont la même désinence.

- facere (maximi; pluris; parvi; minimi; nihili); vereri (deos, parentes); revereri; diligere; suspicere; colere; observare;