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se+le+fue+la+lengua

  • 81 irse


    ■irse verbo reflexivo
    1 (marcharse) to go away, leave: me voy, I'm off
    ¡vámonos!, let's go!
    ¡vete!, go away!
    vete a casa, go home ➣ Ver nota en leave
    2 (líquido, gas) (escaparse) to leak
    3 (direcciones) ¿por dónde se va a...?, which is the way to...?
    4 (gastar) to go, be spent: no sé en qué se me fue el dinero, I don't know where the money went Ten cuidado con este verbo. La traducción más común es to go, pero sólo cuando expresa la idea de alejarse de quien habla o del oyente. Si, por el contrario, implica un acercamiento al hablante o al oyente, entonces es mejor usar el verbo to come: ¡Voy! Coming! Esta regla también se aplica a los verbos compuestos como go o come out (salir), go o come in (entrar), go o come up (subir), go o come down (bajar), etc. ' irse' also found in these entries: Spanish: abandonar - cama - estar - garete - hora - lengua - marcharse - optar - partir - pique - rama - salirse - tangente - acostar - andar - camping - capaz - cuerno - disparado - ir - jalar - jarra - jolgorio - largar - mierda - parranda - picar - pinta - retirar - salir - vacaciones English: abroad - adrift - away - before - bolt - broke - depart - die away - dim - dog - drain - drive off - get along - get away - get off - go - last - laugh - leave - may - mill about - mill around - move - move away - move off - must - night - pan - quit - ride away - run along - rush off - sink away - spout - tangent - toy with - trot away - trot off - tube - wall - bee - binge - boil - dash - die - disappear - fade - fall - fling - fly

    English-spanish dictionary > irse

  • 82 ILHUICATL

    ilhuicatl:
    1.\ILHUICATL ciel.
    Launey Introd 123.
    Esp., cielo. Molina II 37v.
    Comporte 12 divisions selon les Toltèques.
    Launey II 220 = Sah10,169.
    " tlapachiuh in ilhuicatl ", le ciel s'est effondré. W.Lehmann 1938,61.
    " huel înepantlah in ilhuicatl huel îyôllo in ahcitihcac ilhuicatl ", il a atteint et s'est tenu au beau milieu du ciel, en son coeur - to the very midst of the sky, to the very heart of the heavens it stood reaching. Présages de l'arrivée des Espagnols. Sah12,1.
    " iuhquin ilhuicatl quizotihcac ", comme s'il perçait le ciel - as if it stood piercing the heavens. Présages de l'arrivée des Espagnols. Sah12,1.
    " ômpa onnêciya in ilhuicatl in cîcitlâltin in mamalhuâztli ", là apparaissait le ciel, les étoiles et le bâton à feu (la constellation) - there appeared the heavens, the stars - the Fire Drill (constellation). Dans un miroir prodigieux. Sah12,3.
    " in quên yâuh in ilhuicatl, in quênin momalacachoa ", comment marche le ciel, comment il tourne. Launey II 220 = Sah10,168.
    Le ciel, objet d'une devinette. Sah6,237 (ilvicatl).
    " in ilhuicatl ihtic ". Cf ilhuicatlihtic.
    On trouve le pluriel 'ilhuicameh' dans Sah 1949,113 pour désigner les Cieux chrétiens. Cf également Arte de la lengua mexicana: que fue usual entre los indios del obispado de Guadalajara y de parte de los de Durango y Michoacan. de Fray Juan Guerra p. 45.
    2.\ILHUICATL désigne aussi la tête.
    Sah10,99.
    Sah11,115 donne deux autres significations:
    1. syn. de elcuauhyôtl - binding wall beams.
    2. syn. de calîxcuâtl - facade.
    3.\ILHUICATL nom pers.

    Dictionnaire de la langue nahuatl classique > ILHUICATL

  • 83 TLAYOHUA

    tlayohua > tlayohua-.
    *\TLAYOHUA v.impers., être déjà nuit, faire obscur.
    " ôtlayohuac ", la nuit est tombée - darkness is fallen. Sah6,3 (otlaiooac).
    " achitôn tlayohua ", il fait presque obscur, quelque peu sombre.
    " in ahzo mêtztôna ahnôzo tlayohua ", ou bien la lune luit ou bien il fait nuit - when, perhaps, the moon shone or it was dark.
    Sah5,179.
    " in yohualtzinco zan oc tlayohua ", quand au petit matin il fait encore nuit. Sah2,96.
    " îpan mochîuh in tônatiuh cualoc, nepantlah tônatiuh: ahzo mâcuilli horas in tlayohuatimanca ", il arriva en ce temps là que le soleil soit éclipsé à midi, pendant environs cinq heures tout était obscur - and it came to pass in his time that the sun was eclipsed, at midday. For about five hours the darkness was overspread. Sous le règne d'Ahuitzotl. Sah8,2.
    " pôctica tlayohua ", tout s'obscucit à cause de la fumée. Sah12,40.
    * redupl. tlahtlayohua, it became dark. Sah1,9.
    Note l'Arte de la lengua mexicana: que fue usual entre los indios del obispado de Guadalajara y de parte de los de Durango y Michoacan. de Fray Juan Guerra donne taioa, la noche.
    Form: sur yohua.

    Dictionnaire de la langue nahuatl classique > TLAYOHUA

  • 84 TLAYOHUAYAN

    tlayohuayân, locatif sur tlayohua.
    Lieu obscur, dans l'obscurité, les ténèbres.
    " tlayohuayân nicalaqui ", je me cache. je me mets dans un lieu obscur, ténébreux.
    " zan tlayohuayân ", dans l'obscurité - in the dark. Sah9,63.
    Note l'Arte de la lengua mexicana: que fue usual entre los indios del obispado de Guadalajara y de parte de los de Durango y Michoacan. de Fray Juan Guerra donne tayoaia, la obscuridad de la noche et le Diccionario náhuatl de Mecayapan y Tatahuicapan de Juárez, Veracruz donne tayóhuaya, adj. ser tarde, ser ya de noche.

    Dictionnaire de la langue nahuatl classique > TLAYOHUAYAN

  • 85 TONALLI

    tônalli:
    1.\TONALLI ardeur, chaleur du soleil.
    Litt. 'chaleur du soleil' d'où 'force de vie' mais aussi 'jour' (du calendrier divinatoire), 'signe astrologique'. Launey II 222 n.57.
    Angl., heat of the sun; dry season. R. Andrews Introd 474.
    2.\TONALLI la saison sèche, l'été.
    Angl., dry season. R. Andrews Introd 474.
    En ce sens on utilise le locatif, tônalco.
    3.\TONALLI jour du calendrier caractérisé par son signe.
    Angl., day; day sign. R. Andrews Introd 474.
    Allem., Kalendertag, 'Zeichen' in allgemein-augurischem Sinn als Schicksalmacht des mit Ziffer und Bild (Zeichen im engerm Sinn) benannten Tages, Kalender-Zeitabschnitt, Teil, Zuteilung. SIS 1950,385.
    " iuh mihtoâya: ca in chiucnâhuitihuaya îpan tônalli niman ahmo cualcân ", car, comme on disait, les signes du calendrier occupant la neuvième place n'étaient absolument pas de bons moments - for, as it was said, the day signs taking ninth place were in no way a time of good. Sah4,50.
    " quipehpena in tônalli, quitta in îamox, in îtlahcuilôl: quitta in iquin cualli tonâlli, in yeccân, in cualcân: mihtoa: quitônalpehpenia ", il choisit le jour, il consulte ses livres, ses écrits, il voit quand c'est le bon jour, le moment favorable, le bon moment, on dit il choisi le bon jour - he chose the day. He consulted his sacred almanac, he noted the good day, the good time, the favorable time. It is said that he chose the day. Il s'agit du tlapôuhqui qui fixe rendez vous pour une confession. Sah1,24.
    " quitta in tlein tônalli îpan ôtlâcat piltôntli quitta in tlein oncân tlahtoa in tlein îtlatquicâyo ", il regarde ce qu'est le signe du jour où l'enfant est né, ce qu'est celui qui gouverne alors, ce que sont ceux en relation avec lui - [he] looked at the day sign on which the baby was born, studied which were those related to it which governed there. Est dit du devin, tônalpôuhqui. Sah6,198.
    " intlâcamo cualli tônalli intlâ têcuântônalli îpan ôtlâcat ", s'il n'est pas né sous un bon jour mais sous un jour dévoreur d'hommes. Sah6,198.
    4.\TONALLI destin déterminé par un signe du calendrier et d'une façon générale tout ce qui, pour une personne, est déterminé par sa naissance (privilèges, biens ou compétences qui lui appartiennent en propre).
    Esp., destino, hado de cada uno. En dial. mod. dia. Garibay Llave 268.
    Angl., birthright. R. Andrews Introd 474.
    Cette signification se présente essentiellement à la forme possédée.
    * plur., " cualtin tônaltin ", de bons jours i.e. des signes du calendrier de bon augure. Sah4,39.
    Schultze-Iena 1950,385 signale aussi la forme 'tônalmeh'.
    *\TONALLI à la forme possédée.
    1.\TONALLI le signe du calendrier sous lequel quelqu'un est né et qui détermine son destin.
    " zan no quitlahuêliâya in îtônal ", il haïssait le signe de sa naissance - er haβte gar sein Tageszeichen. Sah 1950,120 = Sah4,25.
    " ômpa huîtz in totônal ", de là vient notre signe. Launey II 222 = Sah10,169 - thence came our souls.
    " in ihcuâc motlâlia, in ihcuâc chipini piltzintli, ômpa huâllauh in întônal, îmihtic calaqui, quihuâlihua in ôme têuctli ", quand un enfant est conçu, est engendré, c'est de là que vient son signe qu'il entre en lui, envoyé par Ome Teuctli. Launey II 222.
    " intlacahmo tlamahcêhua, intlacahmo huel monôtza, intlacahmo huellahuapâhualli, huellazcaltîlli mochîhua, zan no quitlahuêliâya in îtônal ", si elle ne fait pas pénitence, si elle ne réfléchit pas bien, si elle ne devient pas bien élevée, bien éduquée, elle gâte le signe de sa naissance - if she did not do penances, if she took: not good heed, if her upbringing and training were not good, she herself harmed her day sign. Est dit de celle qui est née sous le signe ce xôchitl. Sah4,25.
    " in cualli întônal ", ceux qui sont nés sous un bon signe.
    Est dit des enfants destinés au sacrifice. Sah2,42.
    2. \TONALLI la spécialité, le privilège, le lot propre à quelqu'un ou à quelque chose.
    " in întlaquên catca, huel îtônal catca in xiuhtlalpilli ", de leur vêtements la partie essentielle était une draperie de couleur turquoise. Launey II 222.
    " in huel îxcoyân îâxcâ in huel îneîxcahuîl in huel îtônal ", ses biens propres, ses biens personnels, ce qu'il possède en propre. Sah12,49.
    " in tlein tilmahtli, tlaquemitl têtônal, mochi quicuih ", les manteaux ou les vêtements que d'autres ont en propre, ils les prennent tous. Launey II 242.
    " in têtônal, in întlaxcal cemmolicpitl oatca in ic yahualtic ", la spécialité était leurs tortillas, qui avaient un coude ('cemmolicptitl') de circonférence. Launey II 254.
    " têtônal têcpilâtl tlahtohcââtl ", le privilège, la boisson des seigneurs, la boisson des princes -the privilège, the drink of nobles, of rulers. Est dit du cacao. Sah10,93.
    " tlatôltêcachîhualli, têtônal ", construit avec art, le privilège (des seigneurs) - fashioned with skill, one's lot. Est dit d'un temple. Sah11,270.
    " têtônal ", privilège (des seigneurs) - they are what one merits - es la suerte de la gente.
    Est dit de la variété neucxôchitl de la fleur cacalôxôchitl.
    Cod Flor XI 191r = ECN 11,92 = Acad Hist MS 220r = Sah11,205.
    " têtônal ", le lot de quelqu'un - racion de alguno... Molina. W.Lehmann 1938,156.
    " întônal, îmâxcâ, înneixcahuil in tlahtohqueh ", c'est le privilège, la propriété, le propre des princes - es la suerte, la propriedad, la pertenencia de los reyes.
    Est dit de l'or. Cod Flor XI 213v = ECN11,104 = Acad Hist MS 317v.
    " têtônal întônal in tlahtohqueh in huêhueintin ", c'est un privilège, le privilège des princes, de ceux qui sont âgés - it is one's lot, the lot of the rules, of the old ones.
    Est dit de la pierre précieuse, quetzalitztli. Sah11,222.
    " tlahtohcâohtli îtônal ", son privilège est d'être un chemin pour seigneur - a road which is the privilege of the rulers. Est dit d'un chemin bien entretenu, ohquetzalli. Sah11,283.
    " mihtoâyah îtônal ", ils disaient que c'était son destin - they said it was his fortune, le texte espagnol correspondant dit: 'dezian que era su suerte'. Sah9,37 et note 5.
    " îtônal ", son destin - deren Bestimmung es ist. Sah 1952,158:11.
    " quinâmaca in iyetl, îtônal tlamâtoctli ", il vend des tubes à tabac destinés à être pris en main - he sells the tobacco (tubes) destined for fondling in the hand. Sah10,88.
    " in cocoxqueh in întôcâ chimouhqueh huel înnemac in tziccuahcualiztli îmâxcâ iuhquinma întônal ", mâcher de la gomme est vraiment le propre des transsexuels, de ceux qui sont efféminés, c'est leur privilège, comme si c'était un droit de naissance - the chewing of chicle (is) the real privilege of the addicts termed 'effeminates' (it is) as if it were their privilege, their birthright. Sah10,89.
    " zan huel îneixcahuîl huel îtônal ", elles étaient vraiment son bien personnel, son privilège - they were his alone, his prerogative. Est dit de capes. Sah12,5.
    " mihtoâya îtônal ", on disait que c'était ce qui lui appartenait en propre - they said it was his fortune. (Texte esp. correspondant: dezian que era su suerte). Sah9,37 = Sah 1952,178:25-26.
    3.\TONALLI dans certains contextes " têtônal ", peut être traduit par l'âme de quelqu'un.
    Esp., anima o alma (M I 10v. - tetonal et totonal).
    " ca quil nôzo înnacayo mânôce întônal in châlchihuitl ", car on dit aussi que les jades sont leur corps ou leur âme - for it is said also that precious green stones were their bodies or their spirits. Est dit des Tlaloqueh. Sah11,69.
    * dans certains dialectes modernes.
    'tônalli' désigne le soleil ou le 'jour' en général. Cf. Launey Introd 359.
    Note l'Arte de la lengua mexicana: que fue usual entre los indios del obispado de Guadalajara y de parte de los de Durango y Michoacan. de Fray Juan Guerra donne tonalli, el sol.
    Form: nom d'objet sur tôna.

    Dictionnaire de la langue nahuatl classique > TONALLI

  • 86 TONAYAN

    tônayân, locatif.
    Les terres chaudes, sous les tropiques, à l'Est.
    " tônayân tlâcah ", les gens des terres chaudes. Launey II 254. R.Siméon dit 'du côté du levant' et Sah11,119 traduit également 'in the east'.
    " tônayân, tlatotoniyân îchân ", son habitat ce sont les terres chaudes, les contrées chaudes - la tierra caliente, el lugar caliente es su hogar - its habitat is in the east, in hot lands.
    Il s'agit de l'atzapotl. Cod Flor XI 121v = ECN11,68 = Sah11,117.
    " in tônayân nemi ", il vit dans les terres chaudes - vive en los lugares calientes.
    Cod Flor XI 83r = ECN11,60 = Acad Hist MS 290r.
    " oc cencah ômpa nemi in tônayân ", elle vit tout particulièrement dans les terres chaudes. Est dit de l'abeille mimiyahuatl. Sah11,94.
    " tônayân totoncâtlâlpan mochîhua ", elle croît dans les terres chaudes, en pays totonaque - it grows in the east, in Totonac country. Sah11,119.
    " in ye îxquich tônayan mochîhua cintlaôlli ", tous les épis de maïs qui poussent dans les terres chaudes - all ears of maize produced in the tropics. Sah10,66.
    " tônayân mochîhua ", il pousse à l'Est - it grows in the east.
    Est dit du teôpochotl. Sah11,215.
    de l'atzapotl. Sah11,117.
    " tônayân îmochîuhyân ", le lieu où il pousse, ce sont les terres chaudes.
    Est dit de la variété de chia, chientzotzol. Sah11,286.
    Note l'Arte de la lengua mexicana: que fue usual entre los indios del obispado de Guadalajara y de parte de los de Durango y Michoacan. de Fray Juan Guerra donne tonaian, el sol et le Diccionario náhuatl de Mecayapan y Tatahuicapan de Juárez, Veracruz donne tônayân, adv. al sol.

    Dictionnaire de la langue nahuatl classique > TONAYAN

  • 87 Qhapaq Simi

    s. Lengua imperial clásica que fue hablada por los Inkas y la nobleza gobernante; llamada también Inka Simi. En la actualidad se le conoce como Quechua.

    Diccionario Quechua-Espanol > Qhapaq Simi

  • 88 Warpa

    s. Etnohist. Cultura de agricultores su rgida en Ayacucho, Perú, a orillas del río del mismo nombre, en época anterior a nuestra era. Quedan andenes, canales de irrigación y tumbas. Es posible que la lengua de los warpas fue el aru. (J.A. del B.D.)

    Diccionario Quechua-Espanol > Warpa

  • 89 in vino véritas

       en el vino está la verdad; un borracho no miente; el vino desata la lengua; el hombre es expansivo cuando ha bebido
       ◘ Se suele citar como autor de esta sentencia al científico, naturalista y militar romano Gayo Plinio Segundo o Plinio el Viejo (23-79 d.C.) en su Historia naturalis 14, 141. Pero la idea ya aparece en el poeta griego Alceo de Mitilene (Ἀλκαῖος, Alkaĩos), latinizado com Alcaeus (630-580 a.C.): "En oinō alētheia" (Ἐν οἴνῳ αλήθεια). El sentenia de Plinio en latín fue popularizada por el filósofo humanista, filólogo y teólogo Erasmo de Rótterdam (1466-1536), autor de importantes obras en latín.

    Locuciones latinas > in vino véritas

  • 90 tu quoque, fili mi!

       ¿tú también me traicionas?; de tí no esperaba esto
       ◘ Se emplea como queja por la ingratitud que alguien muestra ante los beneficios recibidos.
       ◘ ¡Tú también, hijo mío!, dijo Gaius Iulius Caesar, 100-44 a.C.), Julio César, al descubrir que entre los conspiradores estaba también Bruto empuñando el puñal para asesinarlo (15 de marzo del 44 a.C.). Bruto era su protegido, según otros era su hijo adoptivo o incluso podía ser su hijo ilegítimo.
       ◘ Pero César no pronunció estas palabras en latín, sino en griego, que era entonces la lengua que usaba la clase alta en la conversación. Nos lo refiere Suetonio:
       ◘ "De esa manera fue herido con 23 puñaladas y sólo dio un gemido al primer golpe, pero sin decir una sola palabra. Aunque fueron muchos los que le traicionaron, se dirigió a Bruto que venía hacia él con estas palabras griegas: καὶ σὺ τέκνον [kai su téknon], que quiere decir: "¿Tú también, hijo mío?" ( Vida de César, 82, 3).

    Locuciones latinas > tu quoque, fili mi!

  • 91 andecha

    Andecha, para empezar diré, que cualquier cuadrilla es sin lugar a dudas una andecha. En la Enciclopedia Asturiana, obra plagada de fatales e imperdonables equivocaciones, en lo que se refiere, digo yo, porque es lo mío, a la Llingüa y demás costumbres ancestrales de mi Tierrina. Estos intrusos infantilizados y ridículos, hambrientos de las resonancias y del pretender aparentar, «lográndolo», por el apoyo de otros intrusos que ya lograron alcanzar los puestos de más relevante poder, que yo no dudo que sean personas inteligentísimas en otras materias, que no sean los fidalgos ancestros de mi querida Asturias, porque yo entiendo, que para estar documentado en una cosa (sea cual fuere), sin lugar a dudas antes hay que íntimamente vivirla. (Ya nun conel banduétchu abazcuchandu de fartu, les manes ñidies. apaxiétchau con bunus fatus y'adeprendiendu les lletres en bunus collexus. (Y no con el estómago rebosante de harto, las manos finas, vistiendo traje de buenas ropas, y aprendiendo las letras en buenos colegios). ¡No... hay que vivirlas al desnudo, con sus sufrimientos y trabajos, con todo cuanto emana de los seres simples, sencillos y naturales, que derramando sudores sobre la Má Ñatura, viven para Ella, y a cuenta de Ella hasta que se mueren. Digo que en la Enciclopedia Asturiana, esos intrusos profesores de la «troya», dicen que l'andecha es una ayuda que se presta gratuitamente, y yo en este humilde libro, les digo rotunda y llanamente que «mienten más que se forian, si es que por no foriáxe no comen. La definición exacta de l'andecha es esta que yo les relato a ustedes muy simple y naturalmente.
    ————————
    conjunto o cuadrilla de personas que van a una misma faena. Ejemplo: Los niños van en andecha a la escuela. Los mozos con las mozas van en andecha a la fiesta, etc., etc. Yo he ido a muchas andechas, y en todas ellas he cobrado mi sueldo, y mi madre que desde siempre fue la más pobre de mis aldeas, porque no teníamos ni una cuarta de tierra que fuese nuestra, sallú arrendiú ya coyu pan en andecha por el miserable sueldo de seis reales que se pagaban entonces, en casi todas las tierras de cuatro concejos. Han escrito muchos intrusos de la andecha fatáus de couxes (muchas cosas), y casi todas ellas sin el menor fundamento, lo que me demuestra que existen en mi Tierrina muchos «enteráus de Cartama» que hacen su andecha tan gratuitamente como ellos la pintan. Pero quienes conozcan las costumbres asturianas, quienes las vivieran dentro de duros trabajos, privaciones, sufrimientos y también sanas y simples alegrías, comprenderán lo mismo que yo entiendo. Que pa faluchar de fame (que para hablar de hambre), creo que antes uno tuvo que haberla pasado, no sirve copiar por lo que de ella dice el vecino, que a lo mejor también te está equivocando. L'andecha no es un trabajo gratuito, yo he trabajado en muchas andechas, tanto segando la hierba, comu coyendu 'l pan (recogiendo las espigas), axin comu faer borronáes (así como hacer de un prado o zarzal tierra labrantía), comu 'pelucar nus carrapiétchus nus ablanus (arrancar de los avellanos sus frutos), en fin, todas las faenas del campo, que por regla general se hacían en andechas y se pagaba un sueldo por tal trabajo. No hay que confundir la andecha con la gavita (ayuda). Porque la «Gavita», sí que en verdad es un trabajo que se hace con ayuda desinteresada en principio, pero que ha de ser pagada en igual o parecida forma, a no ser que a quienes se les brinde esta ayuda, se encuentren incapacitados para devolver la «Gavita». Antes, más de la mitad de las gentes de mis aldeas, como sus labranzas eran pequeñas y a veces hasta muy pobres, tenían que andar a xornalinus (jornales), para aquellos que pudiesen pagarles, bien fuese en dineros o en frutos de la tierra, así por ejemplo, cuando había que segar un prado grande, pues su dueño llamaba a diez o doce segadores, a los cuales les pagaban el sueldo que rigiere, y en andecha segaban el prado. Así pues, creo que queda suficientemente aclarado que las andechas no son gratuitas, y que las gavitas son empréstamos, o pagaduras de favor, porque en las aldeas, por lo menos en mis tiempos, era tan sumamente dura la existencia que no había gratis nada más que el agua. —Nun gulgu más a l'andecha / de la teixá d'Anxelón, / pos más que paga bon xueldu / 'n fame ruculu you. (No vuelvo más a la andecha / de la casa de Angelón, / pues aunque paga buen sueldo, / en hambres gástolo yo). Cundu se chamaben xentes a xornal, non yera casu de dayes mal de comer, (dixu nagua), pos había qu’atreinar un bon pote de lu mexor que s’atopara per la teixá, ya fartucar a lus que trabayaben comu yera debíu, perque naide diba de bona gana a trabayar p'un amu famión, más qu’apurriera 'n bon xornal. (Cuando se llamaban a las gentes para trabajar, no era el caso de darles mala comida y escasa, (de eso nada), había que hacer un buen puchero, con las mejores viandas que hubiese en casa, para que se hartasen las gentes como era debido. Porque nadie iba de buena gana a trabajar, para un amo que no diese bien de comer aunque pagase un buen sueldo. Sabiendo todas estas cosas, por haberlas vivido muchos años, yo me sonrío con pena muchas veces, de las infantileces descabelladas que escriben y hablan por televisión y radio, muchos intrusos en la Llingüa y ancestrales costumbres de mi Tierrina, que no saben de mis gentes ni de mis aldeas nada, porque sólo han estado en ellas como quien dice de mera visita, y sin embargo se atreven a cambiar y equivocar las ancestrales costumbres, namái qu'espiétchan el bocairun dou s’axiringa sou llingüa (nada más que abren la boca donde se mueve su lengua). Esta muy claro para mi,asi como para mamplenáu de melgueires ya bones xentes d´Asturies,que lus andecheirus del Conceyu Bable,fuinacus ya rapiegacus,que mistifiquen el Idioma Asturián Disdi ´l comincipiu que comprendierun sus entolenus de musquitus que pudíen espoyetar nisti terren, arrapiegandu ´l honréu trabayar de lus demai, escamiándulu ya mistificandulu p´apurrixelu ´l poblu conel xétchu d´étchus contandu que les xentes yeren fatones, ya les melgueires ya embruxadores xentes de la Tierrina, tenen sous fidalgus Ancestrus m´apeguñáus a sous xentires ya mantines querenxes, ya nun querendu istus fuinus de l´Academie de la Llingua comprendielu perquéi enxindi nun son namai que unus tarantones ou frixolones fatus,el melgueiru poblu ya les arrespondú xin falales pallabra que nun creyen nin queren ixus mamplenáus d´amarfuétchus qu´entamanguen xin dalguna querenxa istes xentes de rancuayinus entendimentu adeprendíus en escoles xebráes de lus xeitus ya chugares dou guarexen lus verdadeirus Ancestrus.qu´enxindi non son lus andechus de la Academia de la Llingua, dundi se dediquen lus mu mayueleirus nel ufixu d´esfaer lu ben fechu p´étchus denuéu enduvítchar sous escagaretus de fediente merda. —You coñozcu mu ben a tou ista xentuza,que mamen del caldaretu l´uvéa,perquei nun tenen íxe braven honréu ya llegal, d´algamír nin tan xiquiés nel estricar el caldar de la vaca que enxindi ye ´l gubernu d´Asturies quei de veiz en cuandu,les apurre ´n fargaxetu de cuartus perquei enxindi xenti llastima ya pena d´iste caterbu d´espurres ya encueyes de caga la perra.

    Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > andecha

  • 92 bollu

    Bollu ou bótchu, simplemente es un panecillo. Pero en Nuexa Tierrina ‘l bollu ou bótchu preñéu xempre foi mu queriu per toes les xentes. Nus tempus d'endenantes faiense unus bótchus preñéus que güéi nun s'agüétchen per dalgún cháu. Aquechus bollus qu'allegraben el palladar ya poñien al estómadu de festa, taben encaldáus con bona farina ya bon churizu fechu na teixá, tou yera ñatural ya puru. Nes romeríes ya festes que per tous lus lláus de Nuexa Tierrina se faíen, xamás faltaben lus bótchus preñéus, qu'un lus mercaba a les bolleiras ou nes mesmus chigres, tou ‘l mundiu que diba a la romería senún enzulaba un bótchu preñéu yera que taba m'amolexáu ou nun teñía cuartus. Güéi nel díe tan d’afechu escosaes nuexes costumes, les costumes ya la falancia d'un pueblu, qu'en tou ‘l mundiu, naide lu puéi algamir nin en ñobleza, nin fidalguía, d'un pueblu vallentri ya honréu que fó ‘l trubiétchu de la Patria España, ya ista endespós escubrióu 'n Mundiu nuéu dexandu a tous lus paixes del globu axombráus dellantri de tan bétcha maraviétcha, pa despós emblizcase tous na tema de chegar aqueches Tierres vírxenes, p'arrapiegar y'achuquinar, pa faer desprecius a lus prietus ya lus cobrizus, pa relaxayus n'esclavitú yal dispreciu, couxa nun fecha per dalguna xente de la Nuexa Patria España, ya qu'ainde ta ‘l xemeyu felliz fidalgu, hermenáu ya ñoble, de toes les melgueires Ñaciones Hermenes nuexas que poblan les Amériques, dou xamás l'escirminación agüañóu en dalguna d'echas. TRADUCCIÓN.—(En nuestra Tierrina, el panecillo preñado siempre ha sido muy apetecido y querido por todas las gentes. En tiempos pasados se hacían unos bollos preñados que hoy ya no se hacen, que hoy ya no se ven por ninguna parte. Aquellos bollos que alegraban el paladar y ponían al estómago de fiesta, estaban industriados con buena harina y buen chorizo de casa, todo natural y puro. En las romerías y en las fiestas que por todos los lugares de nuestra Tierrina se hacían, jamás faltaban los bollos preñéus, que uno los compraba a las mujeres que lus vendíen per manegáes (cestas) o en las tabiernas que feches de gamayus ya baralades qu'axeitaben nel ilugar dou les festes se cheldaben que tamén lus vendien per goxáes. (Las cantinas que fabricadas con ramajes, maderamen y champlones (tablones) se hacían provisional en los lugares donde las romerías o fiestas s'encaldaban. (Se originaban, que también los vendían por cestas). Todo el mundo que iba a la fiesta y no se comía un bollo preñado, sin lugar a dudas era porque estaba enfermo o no tenía dinero. —Hoy en día están Nuestras Costumbres del todo olvidadas. Nuestras Costumbres y la dulce Lengua de un Pueblo, que en todo el mundo nadie le puede alcanzar en Hidalguía y Nobleza, de un pueblo Valiente y Honrado, que fue la Cuna de la Patria España, y ésta a su vez, descubrió un Mundo Nuevo, dejando con tal proeza a todos los países de la Tierra asombrados al presenciar tan grande maravilla, para luego después desear todos con satánica envidia llegar con apremio a aquellas Tierras Vírgenes, para robar y asesinar, para hacer desprecios a las gentes de color, relegándolos y esclavizándolos con el más taimado desprecio, cosa jamás hecha por las gentes de la Patria España, ya que ahí se encuentra el retrato feliz e hidalgo, hermanado y noble de todas las encantadoras Naciones Hermanas Nuestras, que pueblan el continente Americano, donde jamás la discriminación asomó en ninguna de ellas).

    Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > bollu

  • 93 nomáu

    Nomáu, llamado, nombrado, etc. —Nus tempus dendenantes yeren mu nomáus lus Xantus ya les Xantines de toes les mious aldines, xendu you ‘n guaxin nus anus despós d’afogá d'afechu l’achuquinanti engarradiétcha que dexóula la miou Melgueira Asturies escosá de cuaxi toes les xuventúes de lus roxus, pos xamás se pué olvidar qu'en toes les teixáes d'Asturies había per lu menus un home que viexe morríu comu vallentri lluchandu nel frenti na defenxa de la lliberta ya la xusticia de la República, ou había un home que viexe síu per el nuexu hermenu 'l venceor baldrayentemente achuquinu nes cárxeles ou había oitre home que taba arretrigáu nus nomáus batallones de trabayadores, cuntu you que naquechus tempus de diañus coronáus per les xufriencies ya les mixeries dou la cadarma se fartaba tous lus díes fasta 'lrutiar, con les vides de mamplenáus de xóvenes inocentes, que dexarun a la miou Tierrina cuaxi d’afechu escosá d'astures, per ístu les costumes ya les tradiciones que disdi xempre teñíen xuníu 'l Pueblu Astur anxín comu la sou Melgueira Falancia xebrárunse cuaxi d'afechu de tous lus teixus, perque taba cuaxi castigáu falar la chingua d'Asturies, per oitre lláu falaben que yera d'iñurantes ya de prexones mal educáes falar n'asturianu, toes les xentes qu' acaidonaben dalgu, que yeren tous de les dreches nus repriendíen cuaxi con amenaces cundu falábamus el astur. Falaba you endenantes que lus Xantus ya les Xantines de la miou Tierrina yeren mu nomáes perque tous lus astures cantábamus nus sous mesterióuxus poderes remedius pa les nuexes ñecesidáes tantu del curpu comu de la mesma alma, lu mesmu lus venceores quiciavis y'arrepentíus de lus mamplenáus d'achuquinamientus ya rapiegáes comu viexen cheldáu, comu lus vencíus que ca díe almañecíu le rogábamus a lus Xantus ou las Xantines de lus nuexus chugares, remedius pa les nuexes xufriencies que yeren de tous lus colores, disdi tar ameruxáes per el miéu fasta tar amamplenáes de mixeries ya de fames. TRADUCCIÓN.—En los tiempos pasados eran muy nombrados los Santos y las Santinas de todas mis queridas aldeas, recuerdo que cuando yo era un niño, en los años siguientes de terminada la sangrienta y asesinante guerra civil, que dejó mi Dulce Asturias casi exterminada de todos sus hijos más queridos, como eran en particular las sanas juventudes de los Rojos, pues jamás ni nadie puede olvidar, que en todos los hogares de Asturias había por lo menos un hombre que había muerto como un valiente luchando en el frente, defendiendo la Libertad y la Justicia de que gozaba la República, como también había otro hombre, que por regla general era el padre del primero, que fue asesinado vilmente en las cárceles, o había otro hombre prisionero en los llamados "Campos de Concentración" o Batallones de trabajadores, cuento yo que en aquellos tenebrosos tiempos de demonios coronados por la miseria y el sufrimiento, donde la muerte se hartaba todos los días con las vidas de incontables inocentes, que dejaron a mi Tierrina sin sus mejores hijos, por esto las costumbres y las tradiciones que desde siempre tenían amorosamente unido al Pueblu Astur, así como su dulce y encantadora lengua, se fueron olvidando casi del todo en todos los hogares, porque estaba hasta castigado hablar el asturiano, por otro lado se decía que era de ignorantes y de personas mal educadas hablar el asturiano, esto lo decían todas las gentes que mandaban algo, que eran sin poner ni la más pequeña duda todos de las derechas, que de continuo nos estaban reprendiendo y casi con amenazas ofensivas prohibiendo que hablásemos nuestro “Ancestral Idioma”. Decía anteriormente que en aquellos tiempos infernales para el rojo vencido, que los Santos y las Santinas de toda mi querida Tierrina eran muy renombrados, porque todos los astures buscábamos con desespero en sus misteriosos poderes el remedio para nuestras desesperantes necesidades, tanto del cuerpo como de la misma alma, lo mismo los vencedores quizás muy arrepentidos de los incontables asesinatos y robos que hubieran hecho, como los propios vencidos, que cada día amanecido le rogábamos con verdadero fervor a nuestros Santos o Santinas que moraban en las capillas de nuestras aldeas, remedios para nuestros sufrimientos, que eran de todos los colores y clases desde estar plagados por el continuo miedo que le tentamos a nuestro hermano el vencedor, hasta el estar llenos de miserias, calamidades y hambres.

    Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > nomáu

  • 94 Cualnezcaltepec

    Villahermosa ( Lugar en la ciudad hermosa), topónimo castellano, que fue traducido a la lengua náhuatl.

    Diccionario náhuatl-español > Cualnezcaltepec

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