mōrātus

    morātus adj.    [P. of moror], belated, delayed, lingering.—Plur. as subst: ad sexcentos moratorum cepit, L.: duo milia moratorum, loiterers, L.

    mōrātus adj.    [mos], mannered, of morals, constituted, conditioned, circumstanced: (mulier) quibus morata moribus! T.: genus hominum optime: in tam bene moratā civitate, L.: male venter, insatiable, O.—Of style, expressive of character: poëma: recte morata Fabula, with accurate characterization, H.

[st1]1 [-] mŏrātus, a, um: part. passé de moror. [st1]2 [-] mōrātus, a, um [mores]: - [abcl][b]a - qui a telles ou telles moeurs. - [abcl]b - où le caractère est bien rendu.[/b]    - mulier male morata, Plaut.: femme qui a de mauvaises moeurs.    - civitas bene morata: cité bien policée.    - moratum poema, Cic.: poème où les sentiments sont bien rendus.    - fabula recte morata, Hor.: pièce de théâtre où les caractères sont bien observés. [st1]1 [-] mŏrātus, a, um: part. passé de moror. [st1]2 [-] mōrātus, a, um [mores]: - [abcl][b]a - qui a telles ou telles moeurs. - [abcl]b - où le caractère est bien rendu.[/b]    - mulier male morata, Plaut.: femme qui a de mauvaises moeurs.    - civitas bene morata: cité bien policée.    - moratum poema, Cic.: poème où les sentiments sont bien rendus.    - fabula recte morata, Hor.: pièce de théâtre où les caractères sont bien observés.

1. 2. I. II.

2. mōrātus, a, um (v. mores), I) irgendwie gesittet, -geartet, -beschaffen, a) übh.: bene, melius, optime m., Cic.: mulier male m., Plaut.: ita moratus (dessen Charakter so beschaffen ist), ut etc., Cic. (s. Meißner Cic. Tusc. 1, 11. p. 97, b): istoc more morata, so geartet, Plaut.: condigne pater est eius moratus moribus, so geartet wie er, Plaut.: quid mulieris uxorem habes aut quibus moratam moribus? wie geartet? Ter. – v. Lebl., ita haec morata est ianua, Plaut.: venter male m., Ov.: disciplina bene m., Colum. – b) prägn. = gut geartet, homines morati, Firm. math. 8, 24. – II) nach den Sitten-, nach dem Charakter der Menschen eingerichtet, poëma, charaktervolles, Cic.: fabula recte morata, mit richtiger Zeichnung der Charaktere, Hor.

I morātus, a, um part. pf. к moror I II mōrātus, a, um [ mos ]

1. morātus, a, um, s. 1. moror.

[st1]1 [-] mŏror, āri, ātus sum: a - intr. - s'attarder, agir avec lenteur, tarder à; s’arrêter, séjourner, demeurer, rester.    - eamus ergo ad cenam: quid stas? Thr. ubi vis: non moror, Ter. Eun. 3, 2, 6: eh bien, allons dîner: qu'attends-tu? Thr. quand tu voudras; je ne te retiens pas.    - quid multis moror? Ter. And. 1, 1, 87: pourquoi tarder à parler davantage? (= abrégeons).    - ne multis morer, Cic. Verr. 2, 4: bref!    - Brundisii moratus es, Cic. Fam. 15: tu as fait une halte à Brindes.    - haud multa moratus, Virg. En. 3: sans tarder, aussitôt.    - nec plura moratus, Virg. En. 5: sans tarder, aussitôt.    - rosa quo locorum Sera moretur, Hor.: où se trouve encore la rose tardive.    - Corycia semper qui puppe moraris, Juv. 14: toi qui restes toujours sur un navire corycien.    - ab omnibus sciscitor qui ex ista regione veniunt quid agas, ubi et cum quibus moreris, Sen. Ep. 32: à tous ceux qui viennent de ta région, je demande ce que tu fais, où et avec qui tu demeures.    - nec morati sunt quin decurrerent ad castra, Liv. 40, 31, 8: et ils ne tardèrent pas à fondre sur le camp.    - morati, ōrum, m. Liv.: les soldats laissés en arrière.    - ad sexcentos moratorum in citeriore ripā cepit, Liv.: il fit prisonniers environ six cents hommes, qui étaient restés sur l'autre bord.    - ad duo milia aut moratorum aut palantium per agros, Liv. 24: environ deux mille hommes, restés en arrière ou qui erraient dans les campagnes. b - tr. - retarder, retenir, empêcher, différer, s'opposer à.    - praemittit equites, qui primum impetum sustineant ac morentur, Caes. B. C. 2, 26: il envoya au-devant la cavalerie pour soutenir le premier choc et ralentir (l'attaque).    - morari ab itinere hostem, Liv. 23, 28, 9: retarder l'ennemi dans sa marche.    - argentum non morabor quin feras, Plaut. As.: je ne t'empêche pas d'emmener tout de suite l'argent.    - tribunos appellavit et, nullo morante arreptus a viatore, Liv. 3: il en appela aux tribuns et, personne n'intervenant, il fut arrêté par l'huissier.    - nihil morari aliquem: ne pas retenir qqn, le laisser partir.    - nihil amplius vos moramur, Capitol.: nous ne vous retenons plus (formule par laquelle le président congédiait l'assemblée).    - C. Sempronium nihil moror, Liv. 4: je ne retiens plus C. Sempronius ( = je retire mon accusation contre C. Sempronius). c - tr. - avec une négation ne pas s'opposer (à une chose), pas être attaché (à une chose), ne pas y tenir, ne pas s'en soucier (non moror, nihil moror...).    - aliquid nihil morari (aliquid non morari): ne pas être attaché à qqch, ne pas se soucier de qqch, ne pas faire cas de qqch.    - vina nihil moror illius orae, Hor. Ep. 1, 15, 16: je n'estime pas les vins de ce canton.    - nec dona moror, Virg. En. 5: et je n'attends pas de récompenses.    - nil ego istos moror faeceos mores, Plaut. Trin. 2: je n'ai aucun goût pour ces moeurs ignobles.    - nihil moror barbarico ritu esse, Plaut.: je ne me soucie pas de la nourriture des barbares.    - nihil moror mihi istius modi clientes, Plaut.: je ne me soucie pas des clients de cette espèce.    - i quo properabas, nihil moror, Plaut.: va où tu courais, je m'y oppose pas (= cela m'est égal).    - nihil moror eos salvos esse, Cic. Phil. 13: il m'est bien égal qu'ils aient la vie sauve.    - nil moror eum tibi esse amicum, Plaut. Trin. 2: il m'est bien égal que tu l'aies pour ami.    - nihil ego moror quominus decemviratu abeam, Liv. 3: ce n'est pas moi qui mettrai du retard à quitter le décemvirat. d - tr. - retenir l'attention de, intéresser, captiver, charmer.    - morari populum, Hor.: intéresser le peuple.    - morari oculos auresque, Hor.: charmer les yeux et les oreilles. [st1]2 [-] mōror, āri: Plaut. Suet. être fou, extravaguer, déraisonner.    - cf. grec. μωρός: sot, fou, insensé. [st1]1 [-] mŏror, āri, ātus sum: a - intr. - s'attarder, agir avec lenteur, tarder à; s’arrêter, séjourner, demeurer, rester.    - eamus ergo ad cenam: quid stas? Thr. ubi vis: non moror, Ter. Eun. 3, 2, 6: eh bien, allons dîner: qu'attends-tu? Thr. quand tu voudras; je ne te retiens pas.    - quid multis moror? Ter. And. 1, 1, 87: pourquoi tarder à parler davantage? (= abrégeons).    - ne multis morer, Cic. Verr. 2, 4: bref!    - Brundisii moratus es, Cic. Fam. 15: tu as fait une halte à Brindes.    - haud multa moratus, Virg. En. 3: sans tarder, aussitôt.    - nec plura moratus, Virg. En. 5: sans tarder, aussitôt.    - rosa quo locorum Sera moretur, Hor.: où se trouve encore la rose tardive.    - Corycia semper qui puppe moraris, Juv. 14: toi qui restes toujours sur un navire corycien.    - ab omnibus sciscitor qui ex ista regione veniunt quid agas, ubi et cum quibus moreris, Sen. Ep. 32: à tous ceux qui viennent de ta région, je demande ce que tu fais, où et avec qui tu demeures.    - nec morati sunt quin decurrerent ad castra, Liv. 40, 31, 8: et ils ne tardèrent pas à fondre sur le camp.    - morati, ōrum, m. Liv.: les soldats laissés en arrière.    - ad sexcentos moratorum in citeriore ripā cepit, Liv.: il fit prisonniers environ six cents hommes, qui étaient restés sur l'autre bord.    - ad duo milia aut moratorum aut palantium per agros, Liv. 24: environ deux mille hommes, restés en arrière ou qui erraient dans les campagnes. b - tr. - retarder, retenir, empêcher, différer, s'opposer à.    - praemittit equites, qui primum impetum sustineant ac morentur, Caes. B. C. 2, 26: il envoya au-devant la cavalerie pour soutenir le premier choc et ralentir (l'attaque).    - morari ab itinere hostem, Liv. 23, 28, 9: retarder l'ennemi dans sa marche.    - argentum non morabor quin feras, Plaut. As.: je ne t'empêche pas d'emmener tout de suite l'argent.    - tribunos appellavit et, nullo morante arreptus a viatore, Liv. 3: il en appela aux tribuns et, personne n'intervenant, il fut arrêté par l'huissier.    - nihil morari aliquem: ne pas retenir qqn, le laisser partir.    - nihil amplius vos moramur, Capitol.: nous ne vous retenons plus (formule par laquelle le président congédiait l'assemblée).    - C. Sempronium nihil moror, Liv. 4: je ne retiens plus C. Sempronius ( = je retire mon accusation contre C. Sempronius). c - tr. - avec une négation ne pas s'opposer (à une chose), pas être attaché (à une chose), ne pas y tenir, ne pas s'en soucier (non moror, nihil moror...).    - aliquid nihil morari (aliquid non morari): ne pas être attaché à qqch, ne pas se soucier de qqch, ne pas faire cas de qqch.    - vina nihil moror illius orae, Hor. Ep. 1, 15, 16: je n'estime pas les vins de ce canton.    - nec dona moror, Virg. En. 5: et je n'attends pas de récompenses.    - nil ego istos moror faeceos mores, Plaut. Trin. 2: je n'ai aucun goût pour ces moeurs ignobles.    - nihil moror barbarico ritu esse, Plaut.: je ne me soucie pas de la nourriture des barbares.    - nihil moror mihi istius modi clientes, Plaut.: je ne me soucie pas des clients de cette espèce.    - i quo properabas, nihil moror, Plaut.: va où tu courais, je m'y oppose pas (= cela m'est égal).    - nihil moror eos salvos esse, Cic. Phil. 13: il m'est bien égal qu'ils aient la vie sauve.    - nil moror eum tibi esse amicum, Plaut. Trin. 2: il m'est bien égal que tu l'aies pour ami.    - nihil ego moror quominus decemviratu abeam, Liv. 3: ce n'est pas moi qui mettrai du retard à quitter le décemvirat. d - tr. - retenir l'attention de, intéresser, captiver, charmer.    - morari populum, Hor.: intéresser le peuple.    - morari oculos auresque, Hor.: charmer les yeux et les oreilles. [st1]2 [-] mōror, āri: Plaut. Suet. être fou, extravaguer, déraisonner.    - cf. grec. μωρός: sot, fou, insensé.

1. moror, ātus sum, ārī (1. mora), Verzug machen, u. zwar: I) sich selbst = verziehen, verweilen, sich aufhalten, A) im Sinne des Zögerns, zögern, säumen, zurück- od. ausbleiben, a) absol.: eamus ergo ad cenam: quid stas? Thr. Ubi vis: non moror, ich bin bereit, Ter.: narravit, Brutum valde morari, Cic.: auxilia morantur, bleiben aus, Caes.: cum morarentur iumenta, Cic.: pars morans (zurückbleibend), pars festinans, Tac.: utcumque progressi morative (zu weit Vorgegangene oder Zurückgebliebene) aliquam occasionem fecissent, Liv. – m. longum, Lucr.: haud multa moratus, ohne lange zu säumen, Verg.: u. so nec plura moratus, Verg. – Partiz. subst., morātī, ōrum, m., Leute, die sich verspätet haben, Nachzügler, Marodeure, Liv. 21, 47, 3 u. 48, 6; 24, 41, 4. – b) m. folg. Infin., Anstand nehmen, zögern, säumen, alci bellum inferre, Cic.: toto oppido munitiones circumdare, Hirt. b. G.: secundā ratem occupare quid moramur alite? Hor. – c) moror mit folg. quin u. Konj., ich stehe an, nehme Anstand, zu usw., morari Caesarem, quin naves conscendere iuberet, Auct. b. Alex. 7, 1. – u. nihil moror m. folg. quo minus u. Konj., ich stehe nicht an, will sogleich, nihil ne ego quidem moror, quo minus decemviratu abeam, Liv. 3, 54, 4 (versch. unten no. II, B, c).

B) im Sinne des Verweilens, des längeren oder kürzeren Aufenthalts, weilen, verweilen, verbleiben, sich aufhalten, sich befinden, 1) eig.: ibi, Liv.: Brundisii, Cic.: in provincia, Cic.: apud oppidum, Caes.: circa flumen, Liv.: inter aras, Phaedr.: inter homines, Suet. (vgl. 2. moror): paucos ibi dies, Liv.: paucos dies, dum (bis) etc., Liv.: tantum (nur so lange) ibi, dum (bis) etc., Liv.: diutius, ibi diutius, Cic. u. Nep. – m. cum alqo, mit jmd. umgehen, leben, Sen.: u. so secum, bei sich verweilen, sich nicht zerstreuen, Sen. – poët. übtr., v. Lebl., a) weilen = noch blühen, rosa quo locorum sera moretur, Hor. carm. 1, 38, 3 sq. – b) irgendwo weilen = haften, vincula collo morantia, Ov.: oculi od. vultus tellure morati, Ov. – 2) übtr., dum moror in externis, verweile bei usw., mich beschäftige mit usw., Vell.: morandi in imperiis cupiditas, in hohen Stellen (so lange als möglich) zu verbleiben, Vell.

II) einem anderen Verzug machen, A) indem man selbst ausbleibt, säumt = jmd. warten lassen, egomet convivas moror, Ter. heaut. 172.

B) indem man den anderen verweilen macht = jmd. od. etw. aufhalten, zurückhalten, verzögern, behindern, hindern, 1) im allg., a) m. Acc.: primum impetum sustinere atque m., Caes.: ipsum morando sustinuit, Verg. – alqm lite iniquā, behindern, belästigen, Hor.: longo sermone tua tempora, dir deine Zeit (die du den wichtigen Geschäften des Staates widmest) rauben, Hor.: nec moratus est imperium, vollzog sogleich den Befehl, Petron. – übtr. v. Lebl., si aliqua res eum impediet atque morabitur, Cic.: si me navigatio non morabitur, Cic.: ne haec quidem res Curionem ad spem morabatur, erschütterte K. in seiner Hoffnung, Caes. – Thracane vos... an pingues Asiae campi morantur, Hor.: non mare illud euntes nos moratur, Curt.: lora morantia artus, Ov.: mensa nullius convivae oculos voluptate moratur, fesselt Sen.: si dura morabitur alvus (sc. te), beschwert, Hor.: u. so potibus aut duris restricta morabitur alvus, Ser. Samm.: i, mea, dixit, avis, ne quid pia sacra moretur, Ov.: u. so ne res aliqua sacrificium moraretur, Petron. – b) m. ab u. Abl.: alqm ab itinere, Liv., a fuga, Liv. – c) non (nec) moror m. folg. quin u. Konj.: ne adfinem morer, quin ubi arcessat meam extemplo filiam ducat domum, Plaut. aul. 612 sq.: nec diu moratur dolorem suum, quin eos interfici iubeat, Auct. b. Alex. 55, 2. – u. non (nec) moror m. folg. quo minus u. Konj., non moror, quo minus in civitatem redeant, Liv. 9, 11, 10: cum Philippus nihil morari diceret, quo minus reciperent (Pharsalum), Liv. 33, 13, 6: moratus sit nemo, quo minus, ubi visum fuerit, abeant, Liv. 9, 11, 13. – d) absol.: morari (den Feind aufhalten) atque impedire iter, Caes.: obsistere ac morari, Liv.: nullo morante (als keiner einschritt) arreptus a viatore, Liv. – 2) insbes.: a) alqm nihil moror, als Entlassungsformel, und zwar sowohl des Konsuls im Senate, nihil vos moramur, patres conscripti, ich halte euch nicht weiter auf, ihr seid entlassen, Capit. Anton, phil. 10, 9. – als des freilassenden Richters, C. Sempronium nihil moror, ich halte S. nicht weiter, ich habe weiter nichts gegen S., Liv.: absoluto Claudio tribunus plebis negavit se Gracchum morari, Liv. – b) als Formel beim Abbrechen der Rede, ne te morer, um dich nicht aufzuhalten, um es kurz zu machen, Hor.; u. so ne te longis ambagibus morer, Hor.: ne multis vos morer, Petron.: u. absol., ne multis morer, Cic.: quid multis moror? Ter. – c) als Formel des gemeinen Lebens, nihil moror m. Acc. u. dgl. α) mit Verachtung abweisenb, der u. der, das u. das kann mir gehen, es hat gute Weile mit usw., kann mir wegbleiben, -vom Halse bleiben, ich mag es nicht, ich kehre mich nicht an usw., ich mag nichts wissen von usw., ich mache mir nichts aus usw., ich achte es nicht (s. Lorenz Plaut. most. 732. Brix Plaut. trin. 297), nil moror mihi istiusmodi clientes, Plaut.: purpuram nihil m., Plaut.: nec dona moror, Verg. – m. folg. Infin., nil m. ductarier, ich mag nicht angeführt sein, Plaut. most. 845: alio uti nil moror, Plaut. capt. prol. 16. – absol., remove pernam, nihil m., Plaut.: Th. Profecto non plus biduum, aut – Ph. Aut? Nihil moror, Ter. – β) zustimmend, ich habe nichts dagegen, meinetwegen mag (mögen) usw., mir ist's gleich, m. folg. Acc. u. Infin., nihil moror eos salvos esse, Anton. b. Cic. Phil. 13, 35: pertinacem (dici me) nil moror, Acc. tr. 9. – absol., i iam nunc, quo properabas, nihil m., Plaut.: per me sint omnia protinus alba; nihil m., Pers. – 3) emphat. = jmd. mit Aufmerksamkeit bei etwas od. sich verweilen machen, jmd. fesseln, m. populum, m. oculos auresque alcis (v. Gedichten), Hor.: sunt quos Pacuviusque et verrucosa moretur Antiopa, Pers.: novitate morandus spectator, Hor. – / Parag. Infin. morarier, Plaut. Cas. 553 u. 603.