abstractum

Порой и старца строгий вид,

Рубцы чела, власы седые

В воображенье красоты

Влагают страстные мечты.

τραπεζότης, ἡ, das Abstractum von τράπεζα, gleichsam die Tischheit, D. L. 6, 53.

γόνος, ὁ, Nebenform von γονή, Wurzel ΓΕΝ, von Hom. an in mehreren Abstufungen der Bedeutung, vgl. Apollon. Lex. Homer. p. 55, 16: 1) Geburt, Abstammung, Odyss. 1, 216. 11, 234. 19, 166; Stamm, Her. 7, 2; ἄῤῥην 6, 135. – 2) das Erzeugte, Nachkommenschaft; ein Kind, Iliad. 6, 191. 5, 635. 13, 449 Odyss. 2, 274; mehrere Kinder, Iliad. 20, 409 οὕνεκά οἱ μετὰ παισὶ (v. l. πᾶσι) νεώτατος ἔσκε γόνοιο, wo sich aber γόνοιο auch als Homerischer genit. fassen läßt, νεώτατος γόνοιο = der Jüngste in Bezug auf die Geburt, das Lebensalter; Her. 7, 2 πρεσβύτατος παντὸς τοῦ γόνου; ἄπαις ἔρσενος γόνου 1, 109; vgl. Hes. Th. 919; Aesch. Ch. 252, u. sonst bei Tragg., auch Pind.; ἡ γόνος Eur. I. A. 894. – Auch = Junge, von Thieren; Od. 12, 130 ἑπτὰ βοῶν ἀγέλαι, τόσα δ' οἰῶν πώεα καλά, πεντήκοντα δ' ἕκαστα. γόνος δ' οὐ γίγνεται αὐτῶν, οὐδέ ποτε φϑινύϑουσι, wo sich aber γόνος auch als Abstractum auffassen läßt, = Zeugung, Geburt; wie denn überhaupt die Abschattungen der Bedeutung bei Hom. wenigstens gewiß nicht strenge geschieden sind. Oefter von Thieren bei Arist. H. A.; von Fischen, Archestr. Ath. VII, 285 b; ἀμπέλου Anacr. – 3) Erzeugung, Aesch. Suppl. 163; Tim. Locr. 100 a; γόνῳ πατὴρ ὤν Is. 2, 18; ὁ γόνῳ γεγονώς, leiblicher Sohn, als Erkl. von γνήσιος, Dem. 44, 49. – 4) der männliche Saame, Arist.; Hippocr., der es auch für Zeugungsglied braucht. Vgl. auch γουνός.

abstrăho, ĕre, traxi, tractum [ abs + traho] - tr. - tirer, traîner loin de, séparer de, détacher de, éloigner de [au pr. et fig.].    - inf. parf. sync. abstraxe, Lucr. 3, 650.    - abstrahere aliquem ab aliquo: séparer qqn d'un autre.    - abstrahere a rebus gerendis, Cic. CM 15: détourner de l'activité politique. --- cf. Sull. 11 ; Arch. 12, Phil. 3, 31.    - abstrahere a sollicitudine, Cic. Dej. 38: arracher, soustraire à l'inquiétude.    - se abstrahere a similitudine Graecae locutionis, Cic. Br. 259: se détourner d'une imitation du parler grec.    - a corpore animus abstractus, Cic. Div. 1, 66: l'âme détachée du corps.    - navem remulco abstraxit, Caes. BC. 2, 23: il tira le bateau avec un câble (il remorqua le bateau).    - mors abstrahit a malis, Cic.: la mort nous arrache aux misères.    - abstrahere milites a duce, Cic.: détacher les soldats de leur chef.    - magnitudine pecuniae a bono honestoque in pravum abstractus est, Sall. J. 29, 2: à cause d'une grosse somme d'argent, il fut détourné du bien et de l'honneur pour suivre la voie du mal.    - de matris amplexu aliquem abstrahere, Cic. Font. 46: arracher qqn des bras de sa mère. --- cf. Ov. H. 15, 154.    - abstrahere e sine gremioque patriae, Cic. Cæl. 59: arracher du sein, du giron de la patrie.    - abstrahere ex oculis hominum, Liv. 39, 49, 12: soustraire aux regards des hommes.    - cf. Cic. Sull. 9 ; Liv. 37, 27, 6 ; 38, 49, 8.    - frumento ac commeatu abstractus, Cæs. BC. 3, 78, 3: entraîné loin du ravitaillement et des approvisionnements.    - abl. ou dat. Ov. M. 13, 658 ; Sen. Med. 144 ; Tac. An. 2, 5 ; Luc. 6, 80.    - abstrahit (me) sermonis egestas, Lucr.: la pauvreté de la langue m'arrête (= m'empêche d'expliquer).    - parto decori abstrahi, Tac. An. 2, 26: être arraché à une gloire acquise. ---- cf. Amm. 20, 4, 18 ; 30, 7, 2.    - ad bellicas laudes abstrahere, Cic. Br. 239: entraîner vers les exploits guerriers.    - cf. Sen. Ep. 88, 19 ; Const. 2, 3 ; Tac. An. 4, 13.    - vix me hinc abstraxi, Ter.: j'ai eu de la peine à m'en tirer. abstrăho, ĕre, traxi, tractum [ abs + traho] - tr. - tirer, traîner loin de, séparer de, détacher de, éloigner de [au pr. et fig.].    - inf. parf. sync. abstraxe, Lucr. 3, 650.    - abstrahere aliquem ab aliquo: séparer qqn d'un autre.    - abstrahere a rebus gerendis, Cic. CM 15: détourner de l'activité politique. --- cf. Sull. 11 ; Arch. 12, Phil. 3, 31.    - abstrahere a sollicitudine, Cic. Dej. 38: arracher, soustraire à l'inquiétude.    - se abstrahere a similitudine Graecae locutionis, Cic. Br. 259: se détourner d'une imitation du parler grec.    - a corpore animus abstractus, Cic. Div. 1, 66: l'âme détachée du corps.    - navem remulco abstraxit, Caes. BC. 2, 23: il tira le bateau avec un câble (il remorqua le bateau).    - mors abstrahit a malis, Cic.: la mort nous arrache aux misères.    - abstrahere milites a duce, Cic.: détacher les soldats de leur chef.    - magnitudine pecuniae a bono honestoque in pravum abstractus est, Sall. J. 29, 2: à cause d'une grosse somme d'argent, il fut détourné du bien et de l'honneur pour suivre la voie du mal.    - de matris amplexu aliquem abstrahere, Cic. Font. 46: arracher qqn des bras de sa mère. --- cf. Ov. H. 15, 154.    - abstrahere e sine gremioque patriae, Cic. Cæl. 59: arracher du sein, du giron de la patrie.    - abstrahere ex oculis hominum, Liv. 39, 49, 12: soustraire aux regards des hommes.    - cf. Cic. Sull. 9 ; Liv. 37, 27, 6 ; 38, 49, 8.    - frumento ac commeatu abstractus, Cæs. BC. 3, 78, 3: entraîné loin du ravitaillement et des approvisionnements.    - abl. ou dat. Ov. M. 13, 658 ; Sen. Med. 144 ; Tac. An. 2, 5 ; Luc. 6, 80.    - abstrahit (me) sermonis egestas, Lucr.: la pauvreté de la langue m'arrête (= m'empêche d'expliquer).    - parto decori abstrahi, Tac. An. 2, 26: être arraché à une gloire acquise. ---- cf. Amm. 20, 4, 18 ; 30, 7, 2.    - ad bellicas laudes abstrahere, Cic. Br. 239: entraîner vers les exploits guerriers.    - cf. Sen. Ep. 88, 19 ; Const. 2, 3 ; Tac. An. 4, 13.    - vix me hinc abstraxi, Ter.: j'ai eu de la peine à m'en tirer.

    abstractus    P. of abstraho.