[971]

admīranter. Adv. (admiror), wunderbar, Greg. M. Expos, in 1. reg. 3, 2, 5.

- aris s m sg 3

шепелявый, лепетливый (1. 10 § 5 D. 21, 1).

    āmissum ī, n    [amitto], a loss: amissa reciperare. Cs.

(союз) также

I. II.

[st1]1 [-] mŏra, ae, f.: a - délai, retard, retardement; obstacle, empêchement.    - alicui (alicui rei) moram inferre: retarder qqn (qqch).    - moram afferre bello: retarder la guerre.    - nullā interpositā morā, Caes. BC. 3, 75, 1: sans retard.    - sine mora, Cic. Ep. Br. 1, 18, 1: sans retard.    - sine ulla mora: sans retard.    - esse in mora alicui: faire attendre qqn.    - esse in mora nuptiis: retarder le mariage.    - ne morae meis nuptiis egomet sim, Ter. Ad. 716: il ne faut pas que je retarde moi-même mon mariage.    - pelle moram: vinces, Ov. M. 10, 659: ne tarde pas: tu vas remporter la victoire.    - ut aliquid esset morae, Cic. Verr. 4, 142: pour gagner du temps.    - moram supplicio quaerere, Cic. Verr. 5, 165: chercher à retarder le supplice.    - supplicii aliam parvam moram adferre, Cic. Verr. 5, 165: apporter un tant soit peu de retard au supplice.    - inferre nullam moram ad insequendum, Caes. BC. 3, 75, 2: ne mettre aucun retard à la poursuite.    - alicui moram facere, Cic. Sull. 58: donner un délai à un créancier.    - inter moras, Plin. Ep. 9, 13, 20: sur ces entrefaites, pendant ce temps-là.    - per hunc nullast mora, Ter. And. 693: il n'apporte aucun retardement (de son côté, pas d'obstacle).    - saltus... nequaquan tanta in mora est quanta... Cic. Fam. 10, 31. 1: le défilé ne cause pas autant de retard que..    - in mora esse alicui, Ter. And. 468: faire attendre qqn.    - mora, dum proficiscantur legati, Cic. Phil. 5, 31: attente du départ des ambassadeurs.    - nullam moram interponere, quin... Cic. Phil 10, 1; Ac. 1, 1: ne mettre aucun retard à...    - nulla mora est quin eam uxorem ducam, Ter. And. 971: je vais l'épouser à l'instant même.    - si tantulum morae fuisset, quominus ei pecunia illa numeraretur, Cic. Verr. 2, 93: (il aurait vendu les biens) si l'on eût apporté le moindre retard à lui compter cette somme.    - Caesar nihil in mora habuit, quominus... Vell. 2, 51, 2: César ne fut en rien empêché de...    - mora est + inf. Ov. M, 3, 225: ce serait long de.    - longa mora est enumerare, Ov. M. 1, 124: ce serait trop long d'énumérer.    - quae memini, mora mera est monerier, Plaut. Cap. 396: ce que j'ai bien en mémoire, c'est pure perte de temps que de me le rappeler. b - pauses dans le débit oratoire.    - Cic. Or. 53. c - retardement, obstacle.    - esse in mora quominus: empêcher que.    - restituendae Romanis Capuae mora atque impedimentum es, Liv. 23, 9, 11: tu es un obstacle et un empêchement à la reddition de Capoue aux Romains.    - clipei mora, Virg. En. 12, 541: l'obstacle du bouclier.    - cf. Virg. En. 9, 143; 10, 485. d - espace de temps, temps, intervalle.    - mora temporis, Ov. M. 9, 134: espace de temps.    - dolor finitus est morā, Ov.: la douleur prit fin avec le temps.    - an tibi notitiam mora temporis eripit horum? Ov. P. 2, 10, 5: le temps détruirait-il en toi ces souvenirs?    - quippe qui moram temporis quaererent dum Hannibal in Africam trajiceret, Liv. 30, 16, 14: car ils cherchaient à laisser à Hannibal le temps d'arriver en Afrique.    - temporaria mora, Plin. 36, 15, 24, § 114: longueur du temps. [st1]2 [-] mŏra, ae, f.: Nep. more (corps de troupes lacédémoniennes, troupe d'élite).    - [gr]gr. μόρα. [st1]1 [-] mŏra, ae, f.: a - délai, retard, retardement; obstacle, empêchement.    - alicui (alicui rei) moram inferre: retarder qqn (qqch).    - moram afferre bello: retarder la guerre.    - nullā interpositā morā, Caes. BC. 3, 75, 1: sans retard.    - sine mora, Cic. Ep. Br. 1, 18, 1: sans retard.    - sine ulla mora: sans retard.    - esse in mora alicui: faire attendre qqn.    - esse in mora nuptiis: retarder le mariage.    - ne morae meis nuptiis egomet sim, Ter. Ad. 716: il ne faut pas que je retarde moi-même mon mariage.    - pelle moram: vinces, Ov. M. 10, 659: ne tarde pas: tu vas remporter la victoire.    - ut aliquid esset morae, Cic. Verr. 4, 142: pour gagner du temps.    - moram supplicio quaerere, Cic. Verr. 5, 165: chercher à retarder le supplice.    - supplicii aliam parvam moram adferre, Cic. Verr. 5, 165: apporter un tant soit peu de retard au supplice.    - inferre nullam moram ad insequendum, Caes. BC. 3, 75, 2: ne mettre aucun retard à la poursuite.    - alicui moram facere, Cic. Sull. 58: donner un délai à un créancier.    - inter moras, Plin. Ep. 9, 13, 20: sur ces entrefaites, pendant ce temps-là.    - per hunc nullast mora, Ter. And. 693: il n'apporte aucun retardement (de son côté, pas d'obstacle).    - saltus... nequaquan tanta in mora est quanta... Cic. Fam. 10, 31. 1: le défilé ne cause pas autant de retard que..    - in mora esse alicui, Ter. And. 468: faire attendre qqn.    - mora, dum proficiscantur legati, Cic. Phil. 5, 31: attente du départ des ambassadeurs.    - nullam moram interponere, quin... Cic. Phil 10, 1; Ac. 1, 1: ne mettre aucun retard à...    - nulla mora est quin eam uxorem ducam, Ter. And. 971: je vais l'épouser à l'instant même.    - si tantulum morae fuisset, quominus ei pecunia illa numeraretur, Cic. Verr. 2, 93: (il aurait vendu les biens) si l'on eût apporté le moindre retard à lui compter cette somme.    - Caesar nihil in mora habuit, quominus... Vell. 2, 51, 2: César ne fut en rien empêché de...    - mora est + inf. Ov. M, 3, 225: ce serait long de.    - longa mora est enumerare, Ov. M. 1, 124: ce serait trop long d'énumérer.    - quae memini, mora mera est monerier, Plaut. Cap. 396: ce que j'ai bien en mémoire, c'est pure perte de temps que de me le rappeler. b - pauses dans le débit oratoire.    - Cic. Or. 53. c - retardement, obstacle.    - esse in mora quominus: empêcher que.    - restituendae Romanis Capuae mora atque impedimentum es, Liv. 23, 9, 11: tu es un obstacle et un empêchement à la reddition de Capoue aux Romains.    - clipei mora, Virg. En. 12, 541: l'obstacle du bouclier.    - cf. Virg. En. 9, 143; 10, 485. d - espace de temps, temps, intervalle.    - mora temporis, Ov. M. 9, 134: espace de temps.    - dolor finitus est morā, Ov.: la douleur prit fin avec le temps.    - an tibi notitiam mora temporis eripit horum? Ov. P. 2, 10, 5: le temps détruirait-il en toi ces souvenirs?    - quippe qui moram temporis quaererent dum Hannibal in Africam trajiceret, Liv. 30, 16, 14: car ils cherchaient à laisser à Hannibal le temps d'arriver en Afrique.    - temporaria mora, Plin. 36, 15, 24, § 114: longueur du temps. [st1]2 [-] mŏra, ae, f.: Nep. more (corps de troupes lacédémoniennes, troupe d'élite).    - [gr]gr. μόρα.

vĕrĕor, ēri, ĭtus sum - tr. - [st1]1 [-] avoir une crainte respectueuse pour, révérer, respecter, honorer.    - vereri et diligere aliquem, Cic. Off. 1, 136: respecter et estimer qqn.    - metuebant eum servi, verebantur liberi, Cic. CM 37: il était craint de ses esclaves, révéré de ses enfants.    - cf. Cic. Phil. 12, 29; Liv. 39, 37, 17. [st1]2 [-] appréhender, craindre; avoir de l'appréhension, de la crainte.    - non se hostem vereri, sed angustias itineris... timere dicebant, Caes. BG. 1, 39, 6: ils disaient qu'ils n'avaient pas l'appréhension de l'ennemi, mais qu'ils craignaient l'étroitesse des défilés.    - cf. Caes. BG. 5, 48 ; BC. 3, 21; Cic. Or. 1; Nat. 2, 59.    - de aliqua re vereri, Cic. CM 18: craindre à propos de qqch.    - vereri alicui, alicui rei: craindre pour qqn, pour qqch.    - eo minus veritus navibus, quod in litore molli atque aperto deligatas ad ancoram relinquebat, Caes. BG. 5: craignant d'autant moins pour les vaisseaux qu'il les laissait à l'ancre sur un rivage uni et découvert.    - avec gén. de relation ne tui quidem testimonii veritus, Cic. Att. 8, 4, 1: sans être même en souci de ton témoignage.    - cf. Ter. Phorm. 971 ; Afran. Acc. d. NON. 496, 29 ; 497, 2.    - impers. nihilne te populi veretur? Atta.com. 7: n'as-tu aucun souci du peuple. --- cf. pudet. [st1]3 [-] appréhender de, craindre de.    - avec inf. Cic. Leg. 1, 37 ; Fam. 6, 6, 6 ; 13, 18, 2 ; Caes. BG. 5, 6.    - impers. aliquem non veritum est avec inf. Cic. Fin. 2, 39, qqn n'a pas craint de.    - vereri + prop. inf.: appréhender que.    - cf. Plaut. Mil. 1285 ; Acc. Tr. 157.    - vereri + inter. indir.: se demander avec inquiétude, avec appréhension. --- Ter. And. 176.    - vereri ecquodnam curriculum sit habitura tua industria, Cic. Br. 22: se demander avec inquiétude quelle carrière aura ton activité. --- cf. Att. 7, 7, 3.    - vereri ne + subj.: craindre que, craindre de.    - vereor ne veniat: je crains qu'il ne vienne.    - nonne verendum est ne philosophiam falsa gloria exornes? Cic. Tusc. 2: n'y a-t-il pas lieu de craindre que tu ne combles la philosophie de fausses louanges?    - ne Diviciaci animum offenderet verebatur, Caes. BG. 1: il craignait de fâcher Diviciacos.    - cf. Cic. Rep. 1, 70 ; 3, 70 ; de Or. 1, 231, etc. ; Caes. BG. 1, 19 ; 1, 42, etc.    - verens, ne... Cic. de Or. 2, 14 ; 3, 33 ; Nat. 1, 18 ; Top. 4 ; Fam. 13, 19, e; Att. 10, 8, 5 ; 15, 21, 1.    - vereor ne barbarorum rex fuerit ( Romulus), Cic. Rep. 1, 58: je crains bien que Romulus ait régné sur des barbares = il est probable que, il faut croire que.    - vereor ne... non...: craindre que ne... pas.    - d'ordinaire non vereor ne... non. --- Cic. Verr. 2, 118 ; 4, 82 ; Fam. 2, 1, 1; 2, 5, 2 ; Mil. 95 ; de Or. 1, 250, etc.    - quid est cur verear, ne... non ? Cic. Fin. 1, 34: pourquoi craindrais-je de ne pas ?    - vereri ut (= vereri... ne... non...): se demander avec crainte comment, craindre que... ne... pas...    - veremur, ut hoc, quod a tam multis et quod tot locis perferatur, natura patiatur, Cic. Tusc. 2, 46: nous craignons que cette douleur, qui est supportée jusqu'au bout par tant de gens et dans tant de lieux, la nature ne puisse pas l'endurer.    - veritus ut hostium impetum sustinere posset, Caes. B. G. 5, 47: se demandant avec crainte comment il pourrait soutenir le choc des ennemis (craignant de ne pas pouvoir soutenir le choc des ennemis).    - cf. Cic. Tusc. 2, 46 ; de Or. 1, 35 ; Agr. 2, 58 ; Fam. 14, 14, 1; Att. 6, 4, 2; 11, 22, 1; Caes. BG. 5, 47. [st1]4 [-] remarques.    - le participe passé veritus a parfois le sens du présent.    - veritus, a, um: - [abcl]a - qui a craint; craignant. - [abcl]b - qui a hésité.    - hic vereri perdidit, Plaut. Bacch. 1, 2, 50: il a perdu toute honte (il a toute honte bue).    - sens passif malunt metui se quam vereri, Gell.: ils aiment mieux être craints que respectés. vĕrĕor, ēri, ĭtus sum - tr. - [st1]1 [-] avoir une crainte respectueuse pour, révérer, respecter, honorer.    - vereri et diligere aliquem, Cic. Off. 1, 136: respecter et estimer qqn.    - metuebant eum servi, verebantur liberi, Cic. CM 37: il était craint de ses esclaves, révéré de ses enfants.    - cf. Cic. Phil. 12, 29; Liv. 39, 37, 17. [st1]2 [-] appréhender, craindre; avoir de l'appréhension, de la crainte.    - non se hostem vereri, sed angustias itineris... timere dicebant, Caes. BG. 1, 39, 6: ils disaient qu'ils n'avaient pas l'appréhension de l'ennemi, mais qu'ils craignaient l'étroitesse des défilés.    - cf. Caes. BG. 5, 48 ; BC. 3, 21; Cic. Or. 1; Nat. 2, 59.    - de aliqua re vereri, Cic. CM 18: craindre à propos de qqch.    - vereri alicui, alicui rei: craindre pour qqn, pour qqch.    - eo minus veritus navibus, quod in litore molli atque aperto deligatas ad ancoram relinquebat, Caes. BG. 5: craignant d'autant moins pour les vaisseaux qu'il les laissait à l'ancre sur un rivage uni et découvert.    - avec gén. de relation ne tui quidem testimonii veritus, Cic. Att. 8, 4, 1: sans être même en souci de ton témoignage.    - cf. Ter. Phorm. 971 ; Afran. Acc. d. NON. 496, 29 ; 497, 2.    - impers. nihilne te populi veretur? Atta.com. 7: n'as-tu aucun souci du peuple. --- cf. pudet. [st1]3 [-] appréhender de, craindre de.    - avec inf. Cic. Leg. 1, 37 ; Fam. 6, 6, 6 ; 13, 18, 2 ; Caes. BG. 5, 6.    - impers. aliquem non veritum est avec inf. Cic. Fin. 2, 39, qqn n'a pas craint de.    - vereri + prop. inf.: appréhender que.    - cf. Plaut. Mil. 1285 ; Acc. Tr. 157.    - vereri + inter. indir.: se demander avec inquiétude, avec appréhension. --- Ter. And. 176.    - vereri ecquodnam curriculum sit habitura tua industria, Cic. Br. 22: se demander avec inquiétude quelle carrière aura ton activité. --- cf. Att. 7, 7, 3.    - vereri ne + subj.: craindre que, craindre de.    - vereor ne veniat: je crains qu'il ne vienne.    - nonne verendum est ne philosophiam falsa gloria exornes? Cic. Tusc. 2: n'y a-t-il pas lieu de craindre que tu ne combles la philosophie de fausses louanges?    - ne Diviciaci animum offenderet verebatur, Caes. BG. 1: il craignait de fâcher Diviciacos.    - cf. Cic. Rep. 1, 70 ; 3, 70 ; de Or. 1, 231, etc. ; Caes. BG. 1, 19 ; 1, 42, etc.    - verens, ne... Cic. de Or. 2, 14 ; 3, 33 ; Nat. 1, 18 ; Top. 4 ; Fam. 13, 19, e; Att. 10, 8, 5 ; 15, 21, 1.    - vereor ne barbarorum rex fuerit ( Romulus), Cic. Rep. 1, 58: je crains bien que Romulus ait régné sur des barbares = il est probable que, il faut croire que.    - vereor ne... non...: craindre que ne... pas.    - d'ordinaire non vereor ne... non. --- Cic. Verr. 2, 118 ; 4, 82 ; Fam. 2, 1, 1; 2, 5, 2 ; Mil. 95 ; de Or. 1, 250, etc.    - quid est cur verear, ne... non ? Cic. Fin. 1, 34: pourquoi craindrais-je de ne pas ?    - vereri ut (= vereri... ne... non...): se demander avec crainte comment, craindre que... ne... pas...    - veremur, ut hoc, quod a tam multis et quod tot locis perferatur, natura patiatur, Cic. Tusc. 2, 46: nous craignons que cette douleur, qui est supportée jusqu'au bout par tant de gens et dans tant de lieux, la nature ne puisse pas l'endurer.    - veritus ut hostium impetum sustinere posset, Caes. B. G. 5, 47: se demandant avec crainte comment il pourrait soutenir le choc des ennemis (craignant de ne pas pouvoir soutenir le choc des ennemis).    - cf. Cic. Tusc. 2, 46 ; de Or. 1, 35 ; Agr. 2, 58 ; Fam. 14, 14, 1; Att. 6, 4, 2; 11, 22, 1; Caes. BG. 5, 47. [st1]4 [-] remarques.    - le participe passé veritus a parfois le sens du présent.    - veritus, a, um: - [abcl]a - qui a craint; craignant. - [abcl]b - qui a hésité.    - hic vereri perdidit, Plaut. Bacch. 1, 2, 50: il a perdu toute honte (il a toute honte bue).    - sens passif malunt metui se quam vereri, Gell.: ils aiment mieux être craints que respectés.

grātia, ae, f. (gratus), die Annehmlichkeit, Wohlgefälligkeit, I) subjektiv: A) eig. = das angenehme, wohlgefällige Wesen, das Wohlgefällige, in vultu, Quint.: verborum, Quint.: gratia non deest verbis, Lieblichkeit, Prop.: in bildenden Künsten (Malerei usw.), das Gefällige, Quint.: von einer Örtlichkeit, villae, die Reize, Plin. ep.: v. Wein, vinis gratiam affert fumus, Plin.: v. Pers., der Liebling, ut unus quolibet in casu gratia nostra fores, Ov. ex Pont. 2, 3, 82. – dah. personif.: Grātiae ( wie Χάριτες), die Grazien, Huldgöttinnen, Töchter des Zeus u. der Eurynome, gew. drei: Euphrosyne (festliche Freude), Aglaia (festlicher Glanz), Thalia (blühendes Glück), die die Anmut des durch Sitte u. Schönheitssinn geregelten, durch Schmuck und Freude gehobenen Beisammenseins versinnbildlichten, Hor. carm. 1, 4, 6; 3, 21, 22. Quint. 10, 1, 82: nach späterer Deutung auch Sinnbilder der Dankbarkeit, Wohltätigkeit, Sen. de ben. 1, 3, 2 sq.

B) übtr.: 1) die Gunst, die man erweist, Gefälligkeit, Willfahrung, der angenehme Dienst, die Gunstbezeigung, der Gefallen, die Gnade, a) übh.: nullam esse gratiam, quam non capere animus meus posset, Cic.: petivit in beneficii loco et gratiae, Cic.: alci gratiam dare, Ter., od. facere, Plaut., jmdm. willfahren: gratiam dicendi facere, zu reden gestatten, Liv.: u. so gratiam facere reddendi equi, Suet. – dah. α) in gratiam alcis, jmdm. zu Gefallen, zugunsten, wegen, Liv.: in gratiam iudicii, weil das Volk ihn losgesprochen, Liv. – β) Abl. gratiā wegen (eig. aus Gunst, Gefälligkeit), hominum gratiā, Cic.: eā gratiā, deswegen, Ter.: huius accusandi gratiā, Nep.: ineundae fugae gratiā, Val. Max.: laxandi levandique animi gratiā, Gell.: cibi aut potionis gratiā, Liv.: honoris gratiā (s. honor), Cic.: exempli gratiā, zum Beispiel, Cic. u.a. (vgl. exemplum no, III); vollst. pauca tamen exempli gratiā ponam, Quint.: verbi gratiā propter voluptatem, Cic.: dem Genet. vorangestellt, gratiā patris, Lamprid. Heliog. 31, 3. – b) insbes., das Erlassen einer Sache aus Gefälligkeit, die Nachsicht bei usw., iurisiurandi, ICt.: criminum, Suet.: omnium tibi gratiam facio, Liv.: delicti gratiam facere, Nachsicht schenken, nachsehen, Sall.: de cena facio gratiam, bedanke mich, kann nicht kommen, Plaut. – 2) die Erkenntlichkeit, der Dank, gratiam ferre alcis rei, den Dank für etw. davontragen, Liv. (s. Fabri Liv. 22, 26, 4): ab utrisque parem gratiam trahere, Iustin.: gratiam persolvere dis, Cic.: gratias dicere, Apul. (ut pro eo honore vobis multas gratias dicerem, Apul. flor. 16 = 22, 15 Kr.): gratias agere, Dank abstatten, sagen, Cic.: agere gratias magnas od. ingentes, Ter., od. mirificas, Cic.: tibi gratias ago atque habebo summas, Plaut.: agere Romanis gratias, Eutr.: tantae erga me benevolentiae tuae tamque sincerae gratias ago debeoque plurimas, Augustin.: furtive agere gratias et in angulo et ad aurem, Sen.: in quo ei Pompeius gratias egerat, Cic. ep.: etiam in malis gratias agere, Lact.: alci gratias agere de matre, Cic.: senatui pro alqo gratias agere, Cic.: alci pro suo summo beneficio gratias agere, Cic.: agere ei maximas gratias pro beneficiis in matrem, coniugem liberosque impensis, Curt.: timerem ne arrogans esset ob ea laudare, ob quae gratias agerem, Plin. ep. 9, 31, 2: gratias se inter cetera etiam ob hoc agere, quod (weil) etc., Liv. 34, 50, 4 (u. so m. ob u. Akk. auch Treb. Poll. trig. tyr. 10, 9. Apul. flor. 16 in.): agere gratias incipit, quod (daß er) perfidi hominis insidias prudenter cauteque vitasset, Curt.: ago confusioni meae gratias, quod nihil in illo cubiculo vidi praeter matrem et patrem, Sen. rhet.: gratiarum actio, Danksagung, Cic.: ellipt., tamen, genio illius gratias (Dank dem G. jenes!), enatavi, Petron. 57, 10. – gratiam habere alci, Dank wissen, Cic.: u. so gratiam habere magnam od. maximam, Cic. u. Ter.: gratiam habere m. folg. quod (daß usw.), Cic., od. qui u. Konj. (daß er), Cic.: auch gratias habere (von zweien u. mehreren), Liv. 24, 37, 7: u. alci summas gratias habere (v. einem), Plaut. trin. 659: verb. (v. einem) alci maximas infinitasque agere atque habere gratias, quod (daß) etc., Vitr. 6. praef. 4: alci laudes gratiasque habere magnas, Plaut. asin. 545: gratiam referre, den Dank abtragen, in der Tat danken, Cic.; u. ironisch, vergelten, es einem wieder entgelten lassen (= sich rächen), Ter. n. Cic.: gratiam referre pro meritis, pro beneficiis, Caes.: gratiam referre bonam od. praeclaram, Cic.: od. meritam debitamque, Cic., od. iustam ac debitam, Cic.: gratiam referre parem, Gleiches mit Gleichem vergelten, Cic.: auch gratias referre, Cic. Planc. 101; Phil. 3, 39: ago tibi gratias, imperator auguste; si possem, etiam referrem, Auson. grat. act. 1. § 1: gratiam rependĕre, Ov., od. reddere, Sall.: v. Lebl., referre gratiam, v. Acker, wenn er Früchte trägt, Col.; u. gratiam reddere, v. Weinstocke, Col. – nullum est neque sincerius neque acceptius genus gratiarum, quam quod etc., Plin. pan. – dah. a) gratia est, ich danke, Ter.: gratia est (sc. tibi), ich bedanke mich = ich muß es abschlagen, Plaut.: dis gratia, cum ita ut volo est, ich danke Gott, wenn usw., Ter.: dis gratia u. gratia dis (verst. est), Gott sei Dank! Ter. u. Ov.: gratia magna Iovi, Tibull. – b) Abl. Plur. grātiīs u. zsgzg. grātis, ohne Entgelt (Vergeltung), ohne Bezahlung, umsonst (Ggstz. pretio, mercede), quae (psaltria) quantum potest aliquo abicienda est, si non pretio, at gratiis, Ter.: gratiis exaedificari atque effici navem, Cic.: tibi gratiis stare navem, nichts koste, Cic.: gratis habitare, Cic.: cave, ne tibi gratis hic constet amor, Ov.: reges Parthos non potest quisquam salutare sine munere; tibi valedicere non licet gratis, Sen. – / Bei den szenischen Dichtern (z.B. Plaut. asin. 194; Epid. 474 G. Ter. adelph. 744. Pompon. com. 110) überall nach den besten Hdschrn. gratiis; Cic. Verr. Halm gratiis, C. F. W. Müller gratis.

II) objektiv, A) eig. = die Gunst, die man bei andern genießt, das Beliebtsein, der Kredit ( während favor die »Beifallsbezeigung«, die »Gunst« die man andern erweist, insbes. die Volksgunst, Begünstigung), gratiam alcis sibi conciliare, Cic.: gratiam (magnam, summam) inire, Cic., ab alqo, Cic., od. apud alqm od. ad alqm, Liv., od. alcis, Curt., bei jmd. sich in Gunst setzen, Gunst erwerben, sich beliebt machen: ut aliquam mihi bonam gratiam quaesisse videar, Cic.: summam ab alqo gratiam inire, Caes.: ab alqo gratiam inisse, quod (weil, daß) etc., Cic.: quia plures ineuntur gratiae, Gunst bei mehreren, Cic.: in gratia esse, in Gunst stehen, beliebt sein, Cic.: L. Murenae provincia multas bonas gratias cum optima existimatione attulit, Cic. – Ggstz., quod apud alios gratiam, apud alios offensionem habet, Plin. 19, 9.

B) übtr.: 1) das gute Vernehmen (Verhältnis), in dem man mit jmd. steht, das gute Einverständnis, das freundschaftliche Verhältnis, die Freundschaft, in gratiam redire cum alqo, sich mit jmd. wieder aussöhnen, Cic. (dah. reditus in gratiam, Aussöhnung, Cic.): ebenso in gratiam reverti cum alqo, Liv. u. Petron., cum fato, Sen.: alqm apud alqm ponere in gratia u. in gratia maxima, in Gunst, in große Gunst setzen, Cic.: esse in gratia cum alqo, Cic.: dehinc spero aeternam inter nos gratiam fore, Ter.: in gratiam reducere od. restituere od. redigere, versöhnen, Ter.: porrigere mutuas in gratiam manus, Sen. rhet.: so auch componere gratiam inter eas, Ter.: per gratiam, in Güte, gutwillig, Plaut.: so auch per bonam gratiam, Plaut. (vgl. Brix Plaut. mil. 979): u. so per gratiam od. cum gratia, in Güte, gutwillig, Ter. u. Liv.; Ggstz. sine gratia, nicht in Güte, nicht gutwillig, Sen. rhet. (vgl. Lorenz Plaut. mil. 971): componere alqd cum bona gratia, in aller Güte, Ter.: u. so cum bona gratia alqm dimittere, Cic.: cum mala gratia, in Haß, Ter.: cum gratia imperatoris, zur Zufriedenheit des F., Liv. 29, 1, 9. – 2) die (durch Gunst, guten Kredit erlangte) Macht, das Ansehen, der Einfluß, Cic. u.a.