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41 dream
A n1 ( while asleep) rêve m ; I had a dream about sth/about doing j'ai rêvé de qch/que je faisais ; to have a dream that rêver que ; ‘sweet ou pleasant dreams!’ ‘fais de beaux rêves!’ ; it was like a bad dream c'était comme un mauvais rêve ;2 ( while awake) rêverie f, rêve m ; to be in a dream être dans les nuages or dans la lune ; to be living in a dream ( because of happiness) vivre dans un rêve ; ( because of shock) vivre dans un autre monde ;3 ( hope) rêve m ; I have a dream that mon rêve, c'est que ; to have dreams of doing rêver de faire ; it was (like) a dream come true c'était comme dans un rêve ; to make sb's dream come true faire que le rêve de qn devienne réalité ; the car/man of your dreams la voiture/l'homme de tes rêves ; to have success beyond one's wildest dreams avoir un succès qui dépasse ses rêves les plus fous ; to be rich beyond one's wildest dreams être plus riche qu'on ne l'aurait jamais espéré ; never in her wildest dreams had she thought… jamais, même dans ses rêves les plus fous, elle n'avait imaginé… ; you couldn't imagine a more vicious person, even in your wildest dreams sa méchanceté dépasse l'imagination ;4 ( wonderful person or thing) the car is a dream to drive c'est un vrai plaisir de conduire cette voiture ; he's a dream il est adorable ; the house/dress is a dream la maison/robe est magnifique ; this cake is a dream ce gâteau est délicieux ; to go like a dream [car, engine] marcher à merveille ; it worked like a dream ça a marché à merveille.1 ( while asleep) rêver (that que) ;2 ( imagine) I never dreamt (that) je n'aurais jamais pensé que ; ( stronger) je n'aurais jamais imaginé un seul instant que.1 ( while asleep) rêver ; he dreamt about ou of sth/doing il a rêvé de qch/qu'il faisait ;2 ( while awake) rêver, être dans les nuages ; pej rêvasser ; to dream about ou of sth rêver à qch ;3 ( hope) rêver ; to dream of sth/of doing rêver de qch/de faire ; you're ou you must be dreaming if you think… tu te fais des illusions si tu crois que… ; dream on! iron l'espoir fait vivre! ;4 ( consider) I/he wouldn't dream of doing il ne me/lui viendrait jamais à l'esprit de faire ; ‘don't tell them!’-‘I wouldn't dream of it!’ ‘ne le leur dis pas!’-‘bien sûr que non!’■ dream away: to dream away the hours/the afternoon passer son temps/l'après-midi à rêvasser.■ dream up:▶ dream up [sth] concevoir, inventer [plan, excuse, idea, theory] ; imaginer [character, plot]. -
42 give
give [gɪv]donner ⇒ 1A (a)-(c), 1B (b)-(d), 1C (a), 1C (d), 1C (e), 1D (a), 1D (c)-(f), 2 (a) offrir ⇒ 1A (a), 1A (c) conférer ⇒ 1B (a) imposer ⇒ 1C (b) reconnaître ⇒ 1C (f) faire ⇒ 1D (a)-(c), 1D (f) s'affaisser ⇒ 2D (b) élasticité ⇒ 3A.∎ I gave him the book, I gave the book to him je lui ai donné le livre;∎ we gave our host a gift nous avons offert un cadeau à notre hôte;∎ the family gave the paintings to the museum la famille a fait don des tableaux au musée;∎ he gave his daughter in marriage il a donné sa fille en mariage;∎ she gave him her hand (to hold) elle lui a donné ou tendu la main; (in marriage) elle lui a accordé sa main;∎ literary to give oneself to sb se donner à qn;∎ I give you the newlyweds! (in toast) je lève mon verre au bonheur des nouveaux mariés!;∎ I gave him my coat to hold je lui ai confié mon manteau;∎ she gave them her trust elle leur a fait confiance, elle leur a donné sa confiance;∎ familiar give it all you've got! mets-y le paquet!;∎ familiar I'll give you something to cry about! je vais te donner une bonne raison de pleurer, moi!;∎ give it to them! allez-y!;∎ familiar I gave him what for! (reprimanded him) je lui ai passé un savon!;∎ familiar caviare on toast? I'll give him caviare on toast! (in annoyance at request) du caviar et des toasts! je vais lui en donner, moi, du caviar et des toasts!(b) (grant → right, permission, importance) donner;∎ give the matter your full attention prêtez une attention toute particulière à cette affaire;∎ he gave your suggestion careful consideration il a considéré votre suggestion avec beaucoup d'attention;∎ Law the court gave her custody of the child la cour lui a accordé la garde de l'enfant;∎ she hasn't given her approval yet elle n'a pas encore donné son consentement(c) (provide with → drink, food) donner, offrir; (→ lessons, classes, advice) donner; (→ help) prêter;∎ give our guests something to eat/drink donnez à manger/à boire à nos invités;∎ we gave them lunch nous les avons invités ou nous leur avons fait à déjeuner;∎ I think I'll give them beef for lunch je crois que je vais leur faire du bœuf au déjeuner;∎ let me give you some advice laissez-moi vous donner un conseil;∎ I gave her the biggest bedroom je lui ai donné la plus grande chambre;∎ they're giving us a pay rise ils nous donnent une augmentation de salaire;∎ an investment that gives 10 percent un placement qui rend ou rapporte 10 pour cent;∎ the children can wash up, it will give them something to do les enfants peuvent faire la vaisselle, ça les occupera;∎ she gave him two lovely daughters elle lui a donné deux adorables filles;∎ to give a child a name donner un nom à un enfant;∎ to give sb/sth one's support soutenir qn/qch;∎ do you give a discount? faites-vous des tarifs préférentiels?;∎ this lamp gives a poor light cette lampe éclaire mal;∎ give me time to think donnez-moi ou laissez-moi le temps de réfléchir;∎ she didn't give him time to say no elle ne lui a pas laissé le temps de dire non;∎ just give me time! sois patient!;∎ we were given a choice on nous a fait choisir;∎ give me a chance! donne-moi une chance!;∎ such talent is not given to us all nous n'avons pas tous un tel talent;∎ familiar give me classical music any day! à mon avis rien ne vaut la musique classique!□B.(a) (confer → award) conférer;∎ they gave her an honorary degree ils lui ont conféré un diplôme honorifique(b) (dedicate) donner, consacrer;∎ she gave all she had to the cause elle s'est entièrement consacrée à cette cause;∎ can you give me a few minutes? pouvez-vous m'accorder ou me consacrer quelques instants?;∎ he gave his life to save the child il est mort ou il a donné sa vie pour sauver l'enfant;∎ I've given you six years of my life je t'ai donné six ans de ma vie;∎ she gave this job the best years of her life elle a consacré à ce travail les plus belles années de sa vie∎ I gave him my sweater in exchange for his gloves je lui ai échangé mon pull contre ses gants;∎ I'll give you a good price for the table je vous donnerai ou payerai un bon prix pour la table;∎ how much will you give me for it? combien m'en donneras-tu?;∎ I would give a lot or a great deal to know… je donnerais beaucoup pour savoir…(d) (transmit) donner, passer;∎ I hope I don't give you my cold j'espère que je ne vais pas te passer mon rhumeC.∎ the walk gave him an appetite la promenade l'a mis en appétit ou lui a ouvert l'appétit;∎ the news gave me a shock la nouvelle m'a fait un choc;∎ to give oneself trouble se donner du mal∎ the teacher gave us three tests this week le professeur nous a donné trois interrogations cette semaine;∎ to give sb a black mark infliger un blâme à qn;∎ Law he was given (a sentence of) fifteen years il a été condamné à quinze ans de prison(c) (announce → verdict, judgment)∎ the court gives its decision today la cour prononce ou rend l'arrêt aujourd'hui;∎ the court gave the case against/for the management la cour a décidé contre/en faveur de la direction;∎ given this third day of March délivré le 3 mars;∎ given under my hand and seal reçu par-devant moi et sous mon sceau;∎ Sport the umpire gave the batsman out l'arbitre a déclaré le joueur hors jeu(d) (communicate → impression, order, signal) donner; (→ address, information) donner, fournir; (→ news, decision) annoncer;∎ to give sb a message communiquer un message à qn;∎ she gave her age as forty-five elle a déclaré avoir quarante-cinq ans;∎ give her my love embrasse-la pour moi;∎ he is to give his decision tomorrow il devra faire connaître ou annoncer sa décision demain;∎ I gave a description of the suspect j'ai donné ou fourni une description du suspect;∎ you gave me to believe he was trustworthy vous m'avez laissé entendre qu'on pouvait lui faire confiance;∎ I was given to understand she was ill on m'a donné à croire qu'elle était malade;∎ she gave no sign of life elle n'a donné aucun signe de vie∎ that's given me an idea ça me donne une idée;∎ don't go giving him ideas! ne va pas lui mettre des idées dans la tête!;∎ give us a clue donne-nous un indice;∎ let me give you an example laissez-moi vous donner un exemple;∎ don't give me any nonsense about missing your train! ne me raconte pas que tu as raté ton train!;∎ familiar don't give me that (nonsense)! ne me raconte pas d'histoires!(f) (admit, concede) reconnaître, accorder;∎ she's certainly intelligent, I'll give you that elle est très intelligente, ça, je te l'accorde;∎ Sport he gave me the game il m'a concédé la partieD.∎ he gave a laugh il a laissé échapper un rire;∎ he gave a loud laugh il a éclaté de rire;∎ give us a song chantez-nous quelque chose(b) (make → action, gesture) faire;∎ she gave them an odd look elle leur a jeté ou lancé un regard curieux;∎ he gave her hand a squeeze il lui a pressé la main;∎ she gave her hair a comb elle s'est donné un coup de peigne;∎ he gave his face a wash il s'est lavé le visage;∎ he gave the table a wipe il a essuyé la table;∎ I gave the boy a push j'ai poussé le garçon;∎ the train gave a lurch le train a cahoté;∎ she gave him a slap elle lui a donné une claque;∎ she gave him a flirtatious smile elle lui a adressé ou fait un sourire séducteur;∎ he gave an embarrassed smile il a eu un sourire gêné∎ that evening she gave the performance of a lifetime ce soir-là elle était au sommet de son art(d) (hold → lunch, party, supper) donner, organiser;∎ they gave a dinner for the professor ils ont donné un dîner en l'honneur du professeur(e) (estimate the duration of) donner, estimer;∎ I give him one week at most je lui donne une semaine (au) maximum;∎ I'd give their marriage about a year if that je donne un an maximum à leur mariage∎ 17 minus 4 gives 13 17 moins 4 font ou égalent 13;∎ that gives a total of 26 ça donne un total de 26∎ to give way (ground) s'affaisser; (bridge, building, ceiling) s'effondrer, s'affaisser; (ladder, rope) céder, (se) casser;∎ the ground gave way beneath or under our feet le terrain s'est affaissé sous nos pieds;∎ her legs gave way (beneath her) ses jambes se sont dérobées sous elle;∎ his health finally gave way sa santé a fini par se détériorer ou se gâter;∎ their strength gave way leurs forces leur ont manqué;∎ it's easier to give way to his demands than to argue il est plus commode de céder à ses exigences que de lui résister;∎ don't give way if he cries ne cède pas s'il pleure;∎ I gave way to tears/to anger je me suis laissé aller à pleurer/emporter par la colère;∎ he gave way to despair il s'est abandonné au désespoir;∎ the fields gave way to factories les champs ont fait place aux usines;∎ his joy gave way to sorrow sa joie a fait place à la peine;∎ natural fibres have given way to synthetics les fibres naturelles ont été remplacées par les synthétiques;∎ give way to vehicles on your right (sign) priorité aux véhicules qui viennent de droite;∎ give way to pedestrians (sign) priorité aux piétons;(a) (contribute) donner;∎ please give generously nous nous en remettons à votre générosité;∎ to give generously of one's time donner beaucoup de son temps;∎ proverb it is better to give than to receive donner vaut mieux que recevoir;∎ in any relationship you have to learn to give and take dans toutes les relations, il faut apprendre à faire des concessions ou il faut que chacun y mette du sien;∎ to give as good as one gets rendre coup pour coup∎ the fence gave beneath or under my weight la barrière a cédé ou s'est affaissée sous mon poids;∎ something's got to give quelque chose va lâcher∎ now give! accouche!, vide ton sac!∎ what gives? qu'est-ce qui se passe?□3 noun(of metal, wood) élasticité f, souplesse f;∎ there's not enough give in this sweater ce pull n'est pas assez ampleà... près;∎ give or take a few days à quelques jours près►► give way sign signal m de priorité∎ it's so cheap they're practically giving it away c'est tellement bon marché, c'est comme s'ils en faisaient cadeau;∎ you couldn't give them away tu n'arriveras pas à t'en débarrasser (même si tu en faisais cadeau)(c) (throw away → chance, opportunity) gâcher, gaspiller∎ he didn't give anything away il n'a rien dit∎ her accent gave her away son accent l'a trahie;∎ no prisoner would give another prisoner away aucun prisonnier n'en trahirait un autre;∎ to give oneself away se trahir(f) Australian (renounce → habit) renoncer à, abandonner; (resign from → job) quitter; (→ position) démissionner de∎ give the book back to her rendez-lui le livre;∎ the store gave him his money back le magasin l'a remboursé➲ give in(relent, yield) céder;∎ to give in to sb/sth céder à qn/qch;∎ the country refused to give in to terrorist threats le pays a refusé de céder aux menaces des terroristes(hand in → book, exam paper) rendre; (→ found object, parcel) remettre; (→ application, name) donner(a) (emit, produce → gas, smell) émettredonner sur➲ give out(a) (hand out) distribuer(c) (make known) annoncer, faire savoir;∎ the hospital gave out information on her condition to them l'hôpital les a renseignés sur son état de santé;∎ it was given out that he was leaving on a dit ou annoncé qu'il partait∎ the old car finally gave out la vieille voiture a fini par rendre l'âme∎ her strength was giving out elle était à bout de forces, elle n'en pouvait plus;∎ his mother's patience gave out sa mère a perdu patience;∎ my luck gave out la chance m'a abandonné∎ he gave out to me because I was late (scolded) il m'a enguirlandé parce que j'étais en retarddonner sur∎ he gave the children over to his mother il a confié les enfants à sa mère∎ the land was given over to agriculture la terre a été consacrée à l'agriculture;∎ she gave herself over to helping the poor elle s'est consacrée à l'aide aux pauvres∎ give over crying! cesse de pleurer!∎ give over! assez!, arrête!➲ give up(a) (renounce → habit) renoncer à, abandonner; (→ friend) abandonner, délaisser; (→ chair, place) céder; (→ activity) cesser;∎ she'll never give him up elle ne renoncera jamais à lui;∎ he's given up smoking il a arrêté de fumer, il a renoncé au tabac;∎ I haven't given up the idea of going to China je n'ai pas renoncé à l'idée d'aller en Chine;∎ he gave up his seat to the old woman il a cédé sa place à la vieille dame;∎ don't give up hope ne perdez pas espoir;∎ he was ready to give up his life for his country il était prêt à mourir pour la patrie;∎ they gave up the game or the struggle ils ont abandonné la partie;∎ we gave her brother up for dead nous avons conclu que son frère était mort;∎ they gave the cause up for lost ils ont considéré que c'était une cause perdue;∎ to give up the throne renoncer au trône;∎ the doctors have given him up les médecins disent qu'il est perdu∎ they gave up the restaurant business ils se sont retirés de la restauration∎ the murderer gave himself up (to the police) le meurtrier s'est rendu ou livré (à la police);∎ he gave his accomplices up to the police il a dénoncé ou livré ses complices à la police∎ give it up for… je vous demande d'applaudir…∎ we can't give up now! on ne va pas laisser tomber maintenant!∎ to give up on sb (stop waiting for) renoncer à attendre qn; (stop expecting something from) ne plus rien attendre de qn;∎ I give up on him, he won't even try j'abandonne, il ne fait pas le moindre effort∎ to give oneself up to sth se livrer à qch;∎ they gave themselves up to a life of pleasure ils se sont livrés à une vie de plaisir;∎ he gave his life up to caring for the elderly il a consacré sa vie à soigner les personnes âgées;∎ his mornings were given up to business ses matinées étaient consacrées aux affaires -
43 some
some [sʌm]du, de la, de, des ⇒ 1 (a) certains ⇒ 1 (b), 2 (b) un certain ⇒ 1 (c) quelques ⇒ 1 (c) quelques-uns ⇒ 2 (a), 2 (b) en ⇒ 2 (a) quelque ⇒ 3 (a) environ ⇒ 3 (a) un peu ⇒ 3 (b)∎ don't forget to buy some cheese/beer/garlic n'oublie pas d'acheter du fromage/de la bière/de l'ail;∎ I ate some fruit j'ai mangé des fruits;∎ let me give you some advice laissez-moi vous donner un conseil;∎ we've invited some friends round nous avons invité des amis à la maison;∎ some red flowers des fleurs fpl rouges;∎ some pretty flowers de ou des jolies fleurs fpl;∎ I met some old friends last night j'ai rencontré de ou des vieux amis hier soir(b) (not all, certain) certains mpl, certaines fpl;∎ some wine/software is very expensive certains vins/logiciels coûtent très cher;∎ some petrol still contains lead il existe encore de l'essence avec plomb;∎ some English people like frogs' legs certains Anglais aiment les cuisses de grenouille;∎ some employees like the new system, others don't certains employés aiment le nouveau système, d'autres pas;∎ some people say… certains disent…, il y en a ou il y a des gens qui disent…;∎ some cars shouldn't be allowed on the road il y a des voitures qu'on ne devrait pas laisser circuler∎ I haven't been abroad for some time ça fait un certain temps que je ne suis pas allé à l'étranger;∎ it happened (quite) some time ago ça s'est passé il y a (bien) longtemps;∎ it will be some time before it's finished ça va prendre un certain temps ou un moment avant que ça soit fini;∎ it's some distance from here c'est assez loin d'ici;∎ the money should go some way towards compensating them l'argent devrait les dédommager dans une certaine mesure;∎ at some length assez longuement;∎ not without some opposition non sans rencontrer une certaine opposition;∎ it happened some years/months ago ça s'est passé il y a quelques années/mois∎ you might have shown some gratitude! tu aurais pu faire preuve d'un peu de gratitude(, quand même)!;∎ I felt some uneasiness je ressentais quelque inquiétude;∎ you must have some idea of how much it will cost vous devez avoir une petite idée de combien ça va coûter;∎ I hope I've been of some help to you j'espère que je vous ai un peu aidé;∎ in some measure, to some degree jusqu'à un certain point, dans une certaine mesure;∎ I'm glad some people understand me! je suis content qu'il y ait quand même des gens qui me comprennent!(e) (unknown, unspecified)∎ we must find some alternative il faut que nous trouvions une autre solution;∎ he's gone to some town in the north il est parti dans une ville quelque part dans le nord;∎ she works for some publishing company elle travaille pour je ne sais quelle maison d'édition;∎ some fool left the door open un imbécile a laissé la porte ouverte;∎ some book or other un livre quelconque;∎ I'll get even with them some day! je me vengerai d'eux un de ces jours ou un jour ou l'autre!;∎ come back some other time revenez un autre jour∎ did you go to the party? - some party! est-ce que tu es allé à la fête? - tu parles d'une fête!;∎ some hope we've got of winning! comme si on avait la moindre chance de gagner!□ ;∎ some people! il y a des gens, je vous assure!∎ that was some party! ça c'était une fête!;∎ (that was) some storm! quelle tempête!□ ;∎ that was some meal! ce que nous avons bien mangé!;∎ she's some girl! c'est une fille formidable!;∎ he's some tennis player! c'est un sacré tennisman!2 pronoun(a) (an unspecified number or amount → as subject) quelques-uns mpl, quelques-unes fpl, certains mpl, certaines fpl; (→ as object) en;∎ some are plain and some are patterned certains sont unis et certains ont des motifs;∎ they went off, some one way, some another ils se sont dispersés, les uns d'un côté, les autres de l'autre;∎ some say it wasn't an accident certains disent ou il y a des gens qui disent que ce n'était pas un accident;∎ I've got too much cake, do you want some? j'ai trop de gâteau, en voulez-vous un peu?;∎ can I have some more? est-ce que je peux en reprendre?;∎ where are the envelopes? - there are some in my drawer où sont les enveloppes? - il y en a dans mon tiroir;∎ he wants the lot and then some il veut tout et puis le reste∎ some of the snow had melted une partie de la neige avait fondu;∎ some of the time une partie du temps;∎ I only believe some of what I read in the papers je ne crois pas tout ce que je lis dans les journaux;∎ some of the most beautiful scenery in the world is in Australia certains des plus beaux paysages du monde se trouvent en Australie;∎ I've seen some of her films j'ai vu quelques-uns ou certains de ses films;∎ if you need pencils, take some of these/mine si vous avez besoin de crayons à papier, prenez quelques-uns de ceux-ci/des miens;∎ do you want some or all of them? en voulez-vous quelques-uns ou les voulez-vous tous?;∎ some of us/them certains d'entre nous/eux;∎ some of my friends certains de mes amis;∎ some of the guests had already left quelques invités étaient déjà partis3 adverb(a) (approximately) quelque, environ;∎ it's some fifty kilometres from London c'est à environ cinquante kilomètres ou c'est à une cinquantaine de kilomètres de Londres;∎ some 500 people quelque 500 personnes;∎ some thirty pounds une trentaine de livres, quelque trente livres;∎ some fifteen minutes un bon quart d'heure;∎ some few minutes ago il y a quelques minutes∎ I need to rest up some j'ai besoin de me reposer un peu;∎ admit it, you like her some! avoue-le, tu l'aimes bien!□ -
44 should
should [ʃʊd](a) (indicating duty, necessity)∎ I should be working, not talking to you je devrais être en train de travailler au lieu de parler avec vous;∎ papers should not exceed ten pages les devoirs ne devront pas dépasser dix pages;∎ you really should call her, you know tu devrais l'appeler, tu sais;∎ they should be severely punished ils devraient être sévèrement punis∎ they should have arrived by now ils devraient être arrivés maintenant;∎ I should have finished the work yesterday j'aurais dû finir ce travail hier;∎ the election results should be out soon on devrait bientôt connaître les résultats des élections(c) (indicating what is acceptable, desirable etc)∎ I should never have married him je n'aurais jamais dû l'épouser;∎ you shouldn't have done that! tu n'aurais pas dû faire ça!;∎ a present?, oh you shouldn't have! un cadeau?, vous n'auriez pas dû! ou il ne fallait pas!;∎ you shouldn't laugh at him vous avez tort de vous moquer de lui;∎ you should have seen the state of the house! si tu avais vu dans quel état était la maison!;∎ you should hear the way he talks! il faut voir comment il s'exprime!;∎ should he tell her? - yes he should est-ce qu'il devrait le lui dire? - oui, sans aucun doute;∎ I'm very sorry - and so you should be! je suis vraiment désolé - il y a de quoi!;∎ why shouldn't I enjoy myself now and then? pourquoi est-ce que je n'aurais pas le droit de m'amuser de temps en temps?;∎ I don't remember - well you should je ne m'en souviens pas - eh bien tu devrais;∎ I didn't want to, but he told me I should je ne voulais pas, mais il m'a dit que je devais le faire;∎ I should perhaps say, at this point, that… à ce stade, je devrais peut-être dire que… + indicative(d) (forming conditional tense) (would) I should like to meet your parents j'aimerais rencontrer vos parents;∎ if I were you I should apologize si j'étais à votre place, je présenterais mes excuses;∎ had you written to me I should have answered you si vous m'aviez écrit, je vous aurais répondu;∎ I shouldn't be surprised if they got married cela ne m'étonnerait pas qu'ils se marient;∎ I should say or think it costs about £50 je dirais que ça coûte dans les 50 livres;∎ I should have thought the answer was obvious j'aurais pensé que la réponse était évidente;∎ should you be interested, I know a good hotel there si cela vous intéresse, je connais un bon hôtel là-bas;∎ how should I know? comment voulez-vous que je le sache?;∎ I should think so/not! j'espère bien/bien que non!(e) (were to → indicating hypothesis, speculation)∎ if I should forget, should I forget si (jamais) j'oublie;∎ I'll be upstairs should you need me je serai en haut si (jamais) vous avez besoin de moi;∎ suppose nobody should come? et si personne ne venait?;∎ should the occasion arise le cas échéant;∎ literary lest it should rain de crainte ou de peur qu'il ne pleuve(f) (after "that" and in expressions of feeling, opinion etc)∎ it's strange (that) she should do that c'est bizarre qu'elle fasse cela;∎ I'm anxious that she should come je tiens à ce qu'elle vienne;∎ we decided we should meet at the station nous avons décidé de nous retrouver à la gare(g) (after "who" or "what") (expressing surprise) and who should I meet but Betty! et sur qui je tombe? Betty!∎ he should worry (about money), he owns half of Manhattan! tu parles qu'il a des soucis d'argent, la moitié de Manhattan lui appartient!;∎ I should worry! ce n'est pas mon affaire! -
45 trust
A n1 ( faith) confiance f ; to betray sb's trust trahir la confiance de qn ; a breach of trust un abus de confiance ; a position of trust un poste de confiance ; to have complete trust in avoir une confiance absolue en ; to put one's trust in se fier à ; to take sth on trust croire qch sur parole ; you'll have to take it on trust il va falloir que tu me croies sur parole ;2 Jur (set up by donor, testator) ( arrangement) fidéicommis m ; ( property involved) propriété f fiduciaire ; to set up a trust for instituer un fidéicommis à l'intention de ; to hold sth in trust for tenir qch par fidéicommis pour ; to leave a sum in trust for laisser une somme en fidéicommis pour ;4 Fin ⇒ investment trust.B vtr2 ( rely on) faire confiance à ; she's not to be trusted on ne peut pas lui faire confiance ; trust me fais-moi confiance ; they trust each other ils se font confiance ; trust her! ( amused or annoyed) tu peux compter sur elle pour ça! ; I wouldn't trust him anywhere near my car dès que il s'agit de ma voiture, je ne lui fais pas confiance ; children cannot be trusted with matches on ne peut pas laisser d'allumettes entre les mains des enfants ; I wouldn't trust him further than I could throw him je n'ai pas la moindre confiance en lui ;3 ( entrust) to trust sb with sth confier qch à qn ; I would trust you with my life je te fais entièrement confiance ;4 ( hope) espérer (that que) ; I trust not/so j'espère bien que non/que oui.C vi to trust in faire confiance à [person] ; croire en [God, fortune] ; to trust to luck se fier au hasard.D trusted pp adj [friend] fidèle ; a trust colleague un collègue en qui on a confiance ; tried and trusted methods des méthodes fiables.E v refl to trust oneself to do être sûr de pouvoir faire ; I couldn't trust myself not to cry je n'étais pas sûr de pouvoir m'empêcher de pleurer ; I couldn't trust myself to speak j'ai préféré me taire. -
46 rincrescere
rincrescere v.intr. (pres.ind. rincrésco, rincrésci; p.rem. rincrébbi; p.p. rincresciùto; aus. essere) 1. regretter (aus. avoir), être désolé: mi rincresce di non poterti aiutare je regrette de ne pas pouvoir t'aider; me ne rincresce je regrette. 2. ( in formule di cortesia) déranger tr. (a qcu. qqn), ennuyer tr. (a qcu. qqn): ti rincresce se leggo il giornale? cela t'ennuie-t-il si je lis le journal?; spero che non ti rincresca j'espère que cela ne te dérange pas. 3. ( infastidire) déplaire: cose che rincrescono a tutti des choses qui déplaisent à tout le monde. -
47 bounce
(b) to bounce an idea off sb soumettre une idée à qn(a) (of cheque) être refusé(e) pour non-provision;∎ I hope this cheque won't bounce j'espère que ce chèque ne sera pas refusé(of Stock Exchange) reprendre, remonter;∎ the pound has bounced back against the dollar la livre a regagné du terrain par rapport au dollar -
48 bounce
bounce [baʊns]1 noun∎ Sport he caught the ball on the bounce il a pris la balle au bond;∎ Sport you get a better bounce on grass cela rebondit mieux sur l'herbe∎ there isn't much bounce in this ball cette balle ne rebondit pas beaucoup;∎ I'd like to put some bounce in my hair je voudrais donner du volume à mes cheveux;∎ figurative he's still full of bounce at seventy à soixante-dix ans il est encore plein d'énergie∎ to give sb the bounce virer qn;∎ he got the bounce il s'est fait virer∎ on the bounce (in succession) à la suite(a) (cause to spring) faire rebondir;∎ she bounced the ball against or off the wall elle fit rebondir la balle sur le mur;∎ he bounced the baby on his knee il a fait sauter l'enfant sur son genou;∎ Telecommunications signals are bounced off a satellite les signaux sont renvoyés ou retransmis par satellite;∎ to bounce an idea off sb soumettre une idée à qn∎ the bank bounced my cheque la banque a refusé mon chèque∎ the ball bounced down the steps la balle a rebondi de marche en marche;∎ the knapsack bounced up and down on his back le sac à dos tressautait sur ses épaules;∎ the bicycle bounced along the bumpy path le vélo faisait des bonds sur le chemin cahoteux;∎ the hailstones were bouncing off the roof les grêlons rebondissaient sur le toit∎ we bounced up and down on the bed nous faisions des bonds sur le lit;∎ she came bouncing into/out of the room elle est entrée dans/sortie de la pièce d'un bond∎ I hope this cheque won't bounce j'espère que ce chèque ne sera pas refusé►► Computing bounce message = message électronique non délivré revenu à l'expéditeur;Sport bounce pass (in basketball) passe m par rebond(ball) rebondir; (person → after illness, disappointment) se remettre rapidement; (Stock Exchange) reprendre, remonter;∎ Finance the pound has bounced back against the dollar la livre a regagné du terrain par rapport au dollar;∎ she bounced right back after her illness elle s'est vite rétablie après sa maladie -
49 hopelijk
♦voorbeelden:1 komen zij ook? hopelijk niet • ils viendront aussi? espérons que non -
50 recare
recare v. ( rèco, rèchi) I. tr. 1. apporter: recare un dono a qcu. apporter un cadeau à qqn; recò la notizia all'amico il apporta la nouvelle à son ami. 2. ( avere su di sé) porter: il documento reca la firma del ministro le document porte la signature du ministre. 3. (arrecare, cagionare) causer, occasionner a volte si traduce col verbo relativo: l'alluvione ha recato gravissimi danni l'inondation a causé de très graves dégâts; spero di non recarvi disturbo j'espère que je ne vous dérange pas; recare dolore causer de la souffrance; recare conforto a qcu. réconforter qqn, apporter du réconfort à qqn. II. prnl. recarsi aller intr., se rendre: domani dovrò recarmi a Roma demain, je dois aller à Rome. -
51 rinnovare
rinnovare v. ( rinnòvo) I. tr. 1. ( rendere nuovo) renouveler, rénover, restaurer: rinnovare la facciata di un palazzo restaurer la façade d'un immeuble. 2. ( fare di nuovo) renouveler, réitérer: rinnovare una promessa réitérer une promesse; rinnovare l'abbonamento a un giornale renouveler l'abonnement à un journal. 3. ( sostituire il vecchio col nuovo) renouveler, changer, remplacer: rinnovare la tappezzeria di una poltrona changer la tapisserie d'un fauteuil. 4. ( fig) (migliorare, riformare) réformer: rinnovare la società réformer la société. 5. ( fig) ( aumentare) raviver: rinnovare il dolore raviver la douleur. II. prnl. rinnovarsi 1. ( diventare nuovo) se renouveler. 2. ( modernizzarsi) se moderniser. 3. ( ripetersi) se renouveler, se répéter, se reproduire: spero che l'inconveniente non si rinnovi j'espère que cet inconvénient ne se renouvellera pas. -
52 perish
perish ['perɪʃ]∎ perish the thought! loin de moi cette pensée!;∎ you're not pregnant, are you? - perish the thought! tu n'es pas enceinte au moins? -- tu veux rire ou j'espère bien que non!;∎ if, perish the thought, he were to die si, Dieu nous en préserve, il venait à mourir;∎ and that, perish the thought, would mean giving up your weekends et pour ça, comble de l'horreur, tu devrais renoncer à tes week-ends(rubber, leather) abîmer, détériorer; (food) gâter -
53 bien
bien [bjɛ̃]━━━━━━━━━1. adverb4. compounds━━━━━━━━━1. <a. ( = de façon satisfaisante) well• comment vas-tu ? -- très bien merci how are you? -- fine, thanksb. ( = selon la morale, la raison) [se conduire, agir] well• vous faites bien de me le dire ! you did well to tell me!• ça commence à bien faire ! (inf) this is getting beyond a joke!c. ( = sans difficulté) [supporter, se rappeler] welle. ( = effectivement) definitely• je trouve bien que c'est un peu cher mais tant pis yes, it is rather expensive but never mind• c'est bien à ton frère que je pensais yes, it was your brother I was thinking of• c'est bien mon manteau ? this is my coat, isn't it?• il s'agit bien de ça ! as if that's the point!• voilà bien les femmes ! that's women for you!f. ( = correctement) écoute-moi bien listen to me carefully• dis-lui bien que... make sure you tell him that...• c'est bien compris ? is that quite clear?• j'espère bien ! I should hope so!• où peut-il bien être ? where on earth can he be?g. ( = malgré tout) il fallait bien que ça se fasse it just had to be done• il pourrait bien venir nous voir de temps en temps ! he could at least come and see us now and then!h. ( = volontiers) (après un verbe au conditionnel) je mangerais bien un morceau I'd like a bite to eat• je voudrais bien t'y voir ! I'd like to see you try!i. ( = au moins) at leastj. (locutions)• je connais bien des gens qui auraient protesté I know a lot of people who would have protested► bien que although• bien sûr qu'il viendra ! of course he'll come!2. <a. ( = satisfaisant) goodc. ( = en bonne forme) well• tu n'es pas bien ? are you feeling OK?• il est bien, ce nouveau canapé the new sofa's nicee. ( = à l'aise) on est bien à l'ombre it's nice in the shade• laisse-le, il est bien où il est ! leave him alone - he's fine where he is!• vous voilà bien ! now you've done it!g. ( = en bons termes) être bien avec qn to get on well with sb3. <a. ( = ce qui est bon) good• c'est pour ton bien ! it's for your own good!4. <* * *bjɛ̃
1.
adjectif invariable1) ( convenable)ça fait bien d'aller à l'opéra — (colloq) it's the done thing to go to the opera
2) ( en bonne santé) wellt'es pas bien! — (colloq) you're out of your mind! (colloq)
3) ( à l'aise)nous voilà bien! — iron we' re in a fine mess!
4) (colloq) ( de qualité)
2.
1) ( correctement) gén well; [fonctionner] properly; [interpréter] correctlybien joué! — fig well done!
aller bien — [personne] to be well; [affaires] to go well
il travaille bien — ( élève) his work is good; ( artisan) he does a good job
il est bien remis — ( malade) he's made a good recovery
2) ( complètement) [arroser, décongeler, laver, mélanger, propre, cuit] thoroughly; [remplir, sécher, sec, fondu] completely; [lire, écouter, regarder] carefully3) ( agréablement) [présenté, situé] well; [s'habiller] well, smartly; [décoré, meublé] tastefully; [logé, installé, vivre] comfortablyaller bien à quelqu'un — [couleur, style] to suit somebody
4) ( hautement) [aimable, triste] very; [apprécier, craindre] very much; [simple, vrai, certain, évident] quitec'est bien joli tout ça, mais — that's all very well, but
bien mieux/moins/pire — much ou far better/less/worse
bien trop laid/tard — much too ugly/late
bien plus riche/cher — much ou far richer/more expensive
bien plus, il la vole! — not only that, he also takes her money
bien entendu or évidemment — naturally
5) ( volontiers)6) ( malgré tout)7) ( pour souligner)ça prouve/montre bien que — it just goes to prove/show that
je sais/crois bien que — I know/think that
on verra bien — well, we'll see
il le fait bien lui, pourquoi pas moi? — if he can do it, why can't I?
8) ( réellement) definitelyc'est bien lui/mon sac — it's definitely him/my bag, it's him/my bag all right (colloq)
il ne s'agit pas d'une erreur, mais bien de fraude — it's not a mistake, it's fraud
c'est bien ici qu'on vend les billets? — this is where you get tickets, isn't it?
c'est bien le moment! — iron great timing!
c'est bien le moment de partir! — iron what a time to leave!
9) ( au moins) at leastelle a bien 40 ans — she's at least 40, she's a good 40 years old
10) ( beaucoup)bien des fois — often, many a time
il s'est donné bien du mal — he's gone to a lot or a great deal of trouble
je te souhaite bien du plaisir! — iron I wish you joy!
3.
nom masculin1) ( avantage) goodgrand bien vous fasse! — iron much good may it do you!
parler en bien de quelqu'un — to speak favourably [BrE] of somebody
2) ( possession) possession
4.
5.
bien que locution conjonctive althoughPhrasal Verbs:••tout est bien qui finit bien — Proverbe all's well that ends well Proverbe
* * *bjɛ̃1. nm1) (= avantage)Ses vacances lui ont fait beaucoup de bien. — His holiday has done him a lot of good.
Jean m'a dit beaucoup de bien de toi. — Jean told me a lot of good things about you., Jean spoke very highly of you to me.
vouloir du bien à qn (= vouloir aider) — to have sb's best interests at heart
2) (= possession) possession, property, (= patrimoine) property3) (moral)2. biens nmpl3. adv1) (= de façon satisfaisante) wellElle travaille bien. — She works well.
aller bien; se porter bien — to be well
croyant bien faire, je... — thinking I was doing the right thing, I...
faire bien de... — to do well to...
Tu ferais bien de faire attention. — You'd do well to pay attention.
2) (concession)vouloir bien; Je veux bien le faire. — I'm quite willing to do it.
Il semble bien que... — It really seems that...
Paul est bien venu, n'est-ce pas? — Paul HAS come, hasn't he?
3) (valeur intensive) quiteJ'espère bien y aller. — I very much hope to go.
bien fait!; C'est bien fait pour toi! — It serves you right!
bien sûr!; bien entendu! — certainly!, of course!
4. exclright!, OK!, fine!5. adj inv1) (= en bonne forme)je me sens bien — I feel fine, I feel well
2) (= à l'aise)On est bien dans ce fauteuil. — This chair is very comfortable.
3) (= à son avantage)Tu es bien dans cette robe. — You look nice in that dress.
4) (= satisfaisant) goodCe restaurant est vraiment bien. — This restaurant is really good.
Elle est bien, cette maison. — It's a nice house.
Elle est bien, cette secrétaire. — She's a good secretary.
Ce n'est pas si bien que ça. — It's not as good as all that., It's not all that great.
5) (moralement)ce n'est pas bien de... — it's not right to...
Ce n'est pas bien de dire du mal des gens. — It's not right to say nasty things about people.
Elle est bien, cette femme. — She's a nice woman.
6) (= en bons termes)* * *A adj inv1 ( convenable) être bien dans un rôle to be good in a part; être bien de sa personne to be good-looking; il n'y a rien de bien ici there's nothing of interest here; voilà qui est bien that's good; ce n'est pas bien de mentir it's not nice to lie; ce serait bien si on pouvait nager it would be nice if we could swim; ça fait bien d'aller à l'opéra○ it's the done thing to go to the opera; les roses font bien sur la terrasse the roses look nice ou good on the terrace; tout est bien qui finit bien all's well that ends well;2 ( en bonne santé) well; ne pas se sentir bien not to feel well; non, mais, t'es pas bien○! you're out of your mind○!;3 ( à l'aise) comfortable; je suis bien dans ces bottes these boots are comfortable; on est bien sur cette chaise! what a comfortable chair!; on est bien au soleil! isn't it nice in the sun!; je me trouve bien ici I like it here; suis mes conseils, tu t'en trouveras bien take my advice, it'll serve you in good stead; nous voilà bien! iron we're in a fine mess!;4 ○( de qualité) un quartier bien a nice district; des gens bien respectable people; un type bien a gentleman; un film bien a good film.B adv1 ( correctement) [équipé, fait, géré, s'exprimer, dormir, choisir, se souvenir, danser] well; [fonctionner] properly; [libeller, diagnostiquer, interpréter] correctly; bien payé well paid; bien joué! lit well played!; fig well done!; aller bien [personne] to be well; [affaires] to go well; ça s'est bien passé it went well; la voiture ne marche pas bien the car isn't running properly ou right; ni bien ni mal so-so; parler (très) bien le chinois to speak (very) good Chinese, to speak Chinese (very) well; il travaille bien ( élève) his work is good; ( artisan) he does a good job; un travail bien fait a good job; il est bien remis ( malade) he's made a good recovery; bien se tenir à table to have good table manners; bien employer son temps to make good use of one's time; j'ai cru bien faire I thought I was doing the right thing; il fait bien de partir he's right to leave; c'est bien fait pour elle! it serves her right!; tu ferais bien d'y aller it would be a good idea for you to go there; pour bien faire, il faudrait acheter une lampe the thing to do would be to buy a lamp; bien m'en a pris de refuser it's a good thing I refused;2 ( complètement) [arroser, décongeler, laver, mélanger, propre, cuit] thoroughly; [remplir, sécher, sec, fondu] completely; [lire, examiner, écouter, regarder] carefully; marche bien à droite keep well over to the right; mets-toi bien dans le coin/devant stand right in the corner/at the front; bien profiter d'une situation to exploit a situation to the full;3 ( agréablement) [présenté, situé] well; [s'habiller] well, smartly; [décoré, meublé] tastefully; [logé, installé, vivre] comfortably; femme bien faite shapely woman; aller bien ensemble to go well together; aller bien à qn [couleur, style] to suit sb; se mettre bien avec qn to get on good terms with sb; bien prendre une remarque to take a remark in good part;4 ( hautement) [aimable, triste] very; [apprécier, craindre] very much; [simple, vrai, certain, évident] quite; il s'est bien mal comporté he behaved very ou really badly; il y a bien longtemps de ça that was a very long time ago; c'est bien loin pour nous it's rather far for us; merci bien thank you very much; tu as bien raison you're quite ou absolutely right; c'est bien dommage it's a great ou real pity; bien rire/s'amuser/se reposer to have a good laugh/time/rest; tu as l'air bien pensif you're looking very pensive; c'est bien promis? is that a promise?; c'est bien compris? is that clear?; bien au contraire on the contrary; c'est bien beau ou joli tout ça, mais that's all very well, but; bien mieux/ moins/pire much ou far better/less/worse; bien trop laid/tard much too ugly/late; bien plus riche/cher much ou far richer/more expensive; bien plus, il la vole! not only that, he also takes her money; bien sûr of course; bien entendu or évidemment naturally; bien souvent quite often;5 ( volontiers) j'irais bien à Bali I wouldn't mind going to Bali; j'en prendrais bien un autre I wouldn't mind another; je veux bien t'aider I don't mind helping you; j'aimerais bien essayer I would love to try; je te dirais bien de rester/venir, mais I would ask you to stay/come but; je verrais bien un arbre sur la pelouse I think a tree would look nice on the lawn; je le vois bien habiter à Paris I can just imagine him living in Paris;6 ( malgré tout) il faut bien le faire/que ça finisse it has to be done/to come to an end; il faudra bien s'y habituer we'll just have to get used to it; elle sera bien obligée de payer she'll just have to pay; tu aurais bien pu me le dire you could at least have told me; il finira bien par se calmer he'll calm down eventually;7 ( pour souligner) ça prouve/montre bien que it just goes to prove/show that; j'espère bien que I do hope that; je vois/comprends bien I do see/understand; je sais/crois bien que I know/think that; insiste bien make sure you insist; dis-le lui bien make sure you tell him/her; on verra bien well, we'll see; sache bien que je n'accepterai jamais let me tell you that I will never accept; crois bien que je n'hésiterais pas! you can be sure ou I can assure you that I would not hesitate!; je m'en doutais bien! I thought as much!; je t'avais bien dit de ne pas le manger! I told you not to eat it!; il le fait bien lui, pourquoi pas moi? if he can do it, why can't I?; veux-tu bien faire ce que je te dis! will you do as I tell you!; tu peux très bien le faire toi-même you can easily do it yourself; il se pourrait bien qu'il pleuve it might well rain; que peut-il bien faire à Paris? what on earth can he be doing in Paris?;8 ( réellement) definitely; c'est bien lui/mon sac it's definitely him/my bag, it's him/my bag all right○; j'ai vérifié: il est bien parti I checked, he's definitely gone ou he's gone all right○; c'est bien ce qu'il a dit/vu that's definitely ou exactly what he said/saw; et c'est bien lui qui conduisait? and it was definitely him driving?; il ne s'agit pas d'une erreur, mais bien de fraude it's not a mistake, it's fraud; c'est bien mardi aujourd'hui? today is Tuesday, isn't it?; c'est bien ici qu'on vend les billets? this is where you get tickets, isn't it?; tu as bien pris les clés? are you sure you've got the keys?; est-ce bien nécessaire? is it really necessary?; s'agit-il bien d'un suicide? was it really suicide?; c'est bien de lui! it's just like him!; voilà bien la politique! that's politics for you!; c'est bien le moment! iron great timing!; c'est bien le moment de partir! iron what a time to leave!;9 ( au moins) at least; elle a bien 40 ans she's at least 40, she's a good 40 years old; ça pèse bien dix kilos it weighs at least ten kilos, it weighs a good ten kilos; ça vaut bien le double it's worth at least twice as much;10 ( beaucoup) c'était il y a bien des années that was a good many years ago; bien des fois often, many a time; bien des gens lots of people; il s'est donné bien du mal he's gone to a lot or a great deal of trouble; il s'en faut bien! far from it!; mon fils me donne bien du souci my son is a great worry to me; avoir bien de la chance to be very lucky; je te souhaite bien du plaisir! iron I wish you joy!C nm1 ( avantage) good; pour le bien du pays for the good of the country; pour le bien de tous for the general good; c'est pour ton bien it's for your own good; ce serait un bien it would be a good thing; sacrifier son propre bien à celui d'autrui to put others first; le bien et le mal good and evil; faire le bien to do good; il a fait beaucoup de bien autour de lui he has done a lot of good; ça fait du bien aux enfants/plantes it's good for the children /plants; ça fait/ça leur fait du bien it does you/them good; mon repos m'a fait le plus grand bien my rest did me a world of good; grand bien vous fasse! iron much good may it do you!; vouloir le bien de qn to have sb's best interests at heart; vouloir du bien à qn to wish sb well; ‘un ami qui vous veut du bien’ ( dans une lettre anonyme) ‘from a well-wisher’, ‘one who has your best interests at heart’; dire du bien de qn to speak well of sb; on dit le plus grand bien du maire/musée people speak very highly of the mayor/museum; on a dit le plus grand bien de toi a lot of nice things were said about you; parler en bien de qn to speak favourablyGB of sb; ⇒ ennemi, honneur;2 ( possession) possession; (maison, terres) property; ( domaine) bien(s) estate; ( ensemble des possessions) bien(s) property ¢; ( patrimoine) bien(s) fortune; ( avoirs) biens assets; perdre tous ses bien s dans un incendie to lose all one's possessions in a fire; ce livre est mon bien le plus précieux this book is my most precious possession; les biens de ce monde material possessions; un petit bien en Corse a small property in Corsica; hériter des biens paternels to inherit one's father's property ou estate; dilapider son bien to squander one's fortune; avoir du bien (maisons, terres) to own property; ( argent) to be wealthy; des biens considérables substantial assets; la santé/liberté est le plus précieux des biens you can't put a price on good health/freedom; ⇒ abondance, acquis.D excl1 ( approbatif) bien! voyons le reste good! let's see the rest;E bien que loc conj although, though; bien qu'il le sache although he knows; bien qu'elle vive maintenant en Floride, je la vois régulièrement although she lives in Florida, I see her regularly; il est venu travailler bien qu'il soit grippé he came in to work, although he had flu; bien que très différentes en apparence, les deux œuvres ont des points communs although very different in appearance, the two works have common features; il joue un rôle important bien que discret he plays an important role, albeit a discreet one; ⇒ aussi, ou, si.biens de consommation consumer goods; biens durables consumer durables; biens d'équipement capital goods; biens d'équipement ménager household goods; biens fonciers land ¢; biens immeubles immovables; biens immeubles par destination fixtures; biens immobiliers real estate ¢; biens mobiliers personal property ¢; biens personnels private property ¢; biens propres separate estate (sg); détenir qch en bien s propres to hold sth as separate estate; biens publics public property ¢; biens sociaux corporate assets.[bjɛ̃] adverbe1. [de façon satisfaisante] wellla vis tient bien the screw is secure ou is in tighta. [à la rambarde] hold on tight!b. [sur la chaise] sit properly!c. [à table] behave yourself!2. [du point de vue de la santé]aller ou se porter bien to feel well ou finebien agir envers quelqu'un to do the proper ou right ou correct thing by somebodytu as bien fait you did the right thing, you did righttu fais bien de me le rappeler thank you for reminding me, it's a good thing you reminded me (of it)pour bien faire, nous devrions partir avant 9 h ideally, we should leave before 95. [avec soin]fais bien ce que l'on te dit do exactly ou just as you're toldc'est bien agréable it's really ou very nicetu es bien sûr? are you quite certain ou sure?bien avant/après well before/afterbien trop tôt far ou much too early7. (suivi d'un verbe) [beaucoup]on a bien ri we had a good laugh, we laughed a lot8. [véritablement]j'ai bien cru que... I really thought that...sans bien se rendre compte de ce qu'il faisait without being fully aware of ou without fully realizing what he was doing9. [pour renforcer, insister]ce n'est pas lui, mais bien son associé que j'ai eu au téléphone it wasn't him, but rather his partner I spoke to on the phonec'est bien ça that's it ou rightc'est bien ce que je disais/pensais that's just what I was saying/thinkingje vais me plaindre — je comprends ou pense bien! I'm going to complain — I should think so too!il ne m'aidera pas, tu penses bien! he won't help me, you can be sure of that!c'est bien de lui, ça! that's typical of him!, that's just like him!10. [volontiers]je te dirais bien quelque chose, mais je suis poli I could say something rude but I won'tje boirais bien quelque chose I could do with ou I wouldn't mind a drink11. [au moins] at least12. [exprimant la supposition, l'éventualité]13. [pourtant]14. [suivi d'un nom]bien de, bien des quite a lot ofelle a bien du courage! isn't she brave!, she's got a great deal of courage!bien des fois... more than once...bien des gens lots of ou quite a lot of ou quite a few people15. [dans la correspondance]————————[bjɛ̃] adjectif invariable1. [qui donne satisfaction] goodc'est bien de s'amuser mais il faut aussi travailler it's all right to have fun but you have to work tooje recule? — non, vous êtes bien là (familier) shall I move back? — no, you're all right ou OK ou fine like thatqu'est-ce qu'il est bien dans son dernier film! (familier) he's great ou really good in his new film!a. [cela te sied] you look very nice in a skirtb. [c'est acceptable pour l'occasion] a skirt is perfectly all rightc'est bien [conduite, action]: ce serait bien de lui envoyer un peu d'argent it'd be a good idea to send her some moneyce n'est pas bien de tirer la langue it's naughty ou it's not nice to stick out your tongue4. [en forme] wellb. [mentalement] are you crazy?me/te/nous voilà bien! NOW I'm/you're/we're in a fine mess!5. [à l'aise]6. [en bons termes]se mettre bien avec quelqu'un to get in with somebody, to get into somebody's good books————————[bjɛ̃] nom masculin1. PHILOSOPHIE & RELIGION2. [ce qui est agréable, avantageux]le bien commun ou général the common goodc'est pour le bien de tous/de l'entreprise it's for the common good/the good of the firmdire/penser du bien de to speak/to think well offaire du bien ou le plus grand bien à quelqu'un [médicament, repos] to do somebody good, to benefit somebodyla séparation leur fera le plus grand bien being apart will do them a lot ou a world of goodcette décision a été un bien pour tout le monde the decision was a good thing for all ou everyone concerned[argent] fortunetous mes biens all my worldly goods, all I'm worth5. DROIT & ÉCONOMIEbiens d'équipement capital equipment ou goodsbiens privés/publics private/public property————————[bjɛ̃] interjection2. [marquant l'approbation]je n'irai pas! — bien, n'en parlons plus! I won't go! — very well ou all right (then), let's drop the subject!bien, bien, on y va all right, all right ou OK, OK, let's gobien entendu locution adverbialebien entendu que locution conjonctive————————bien que locution conjonctivebien que malade, il a tenu à y aller although he was ill, he insisted on going————————bien sûr locution adverbiale————————bien sûr que locution conjonctive -
54 omnino
omninō, adv. [st2]1 [-] au total, en tout, seulement. [st2]2 [-] tout à fait, entièrement, complètement. [st2]3 [-] en général, généralement. - dicere omnino, Cic.: dire formellement. - omnino nemo: absolument personne. - miserrimus omnino, Cic.: tout à fait malheureux. - omnino fortis animus cernitur... Cic.: en général, le courage se reconnaît à. - dies omnino decem, Caes.: dix jours en tout. - pugnas omnino, sed... Cic.: tu combats, il est vrai, mais... - spero omnino; verumtamen... Cic.: certes, j'espère; cependant...* * *omninō, adv. [st2]1 [-] au total, en tout, seulement. [st2]2 [-] tout à fait, entièrement, complètement. [st2]3 [-] en général, généralement. - dicere omnino, Cic.: dire formellement. - omnino nemo: absolument personne. - miserrimus omnino, Cic.: tout à fait malheureux. - omnino fortis animus cernitur... Cic.: en général, le courage se reconnaît à. - dies omnino decem, Caes.: dix jours en tout. - pugnas omnino, sed... Cic.: tu combats, il est vrai, mais... - spero omnino; verumtamen... Cic.: certes, j'espère; cependant...* * *Omnino, pen. prod. Aduerbium. Cic. Totalement, Entierement, Du tout en tout.\Vix, aut omnino non posse fieri. Cic. A grand'peine, ou point du tout.\Nihil omnino. Horat. Rien du tout.\Omnino, in principio sententiae. Cic. Omnino omnium horum vitiorum atque incommodorum vna cautio est, atque vna prouisio, vt ne nimis cito diligere incipiamus. Brief, Pour le faire court.\Is omnino seruus in familia non erat. Cic. Ce serviteur n'estoit nullement en la maison.\Quinque omnino fuerunt, qui illum vestrum innocentem absoluerent. Cic. Il n'y a eu que cinq en tout, Il n'en y a eu que cinq seulement.\Nego illum adolescentem omnino illa die esse mortuum. Cic. En quelque maniere que ce fust.\Mihi perdifficile esse contra tales oratores, non modo tantam causam perorare, sed omnino verbum facere conari. Cic. Mais aussi en quelque maniere que ce fust, de, etc. -
55 pono
pōno, ĕre, pŏsŭi, pŏsĭtum - tr. - - posivi (arch.) = posui. [st1]1 [-] placer, établir, fixer, mettre, poser; disposer, arranger; instituer, établir. - ponere artus in littore, Virg.: [mettre ses membres sur le rivage] = s'étendre sur le rivage. - ponere ante oculos: placer sous les yeux. - ponere gladium ad caput, Sen.: placer un glaive à son chevet. - ponere caput suum periculo, Plaut.: exposer sa vie aux dangers, jouer sa tête. - ponere se toro, Ov.: s'étendre sur un lit. - ponere ova, Col.: pondre. - ubi pedem poneret non habebat, Cic. Fin. 4: (la Sagesse) n'avait pas où s'arrêter. - ponere aliquem principem, Nep.: placer qqn comme chef. - te ipsum frustraberis si non me in eo principem posueris, Nep.: tu te nuiras à toi-même si tu ne me fais pas chef de l'entreprise. - ponere leges: fixer des lois. [st1]2 [-] planter; ériger, dresser, bâtir, construire. - ponere piros, Virg.: planter des poiriers. - ponere semina, Virg.: semer. - positus: bâti, placé, situé. - Roma in montibus posita, Cic. Agr. 2: Rome bâtie sur des montagnes. - Delos in Aegaeo mari posita, Cic.: Délos située dans la mer Egée. - portus ex adverso urbi positus, Liv. 45, 5: port situé en face de la ville (de Rhodes). - ponere statuam alicui, Phaedr.: élever une statue à qqn. [st1]3 [-] mettre au tombeau, enterrer. - ponere terrā: ensevelir. [st1]4 [-] poser comme gage, proposer comme prix; au fig. risquer. - ponere (pignus): faire une gageure, gager. - pono pallium, Plaut.: je gage mon manteau. - ponere vitam pigneri, Plaut.: donner sa vie en gage. [st1]5 [-] dresser (la table), mettre sur la table, servir. - ponere mensam, Hor.: dresser la table. - ita ponito, Cato.: sers ainsi. - invitas ad aprum, ponis mihi porcum, Mart.: tu m'invites à manger du sanglier et tu me sers du porc. - pone ad Trebium, Juv. 5: sers Trébius. [st1]6 [-] déposer, placer (de l'argent). - ponere pecuniam in praedio, Cic.: placer son argent dans les terres. [st1]7 [-] au fig. employer, utiliser, appliquer, consacrer, passer (le temps). - ponere totum diem, Cic.: passer la journée entière. - ponere mensem in reditu, Cic.: mettre un mois à revenir. - ponere omnem curam, Cic.: appliquer tous ses soins. - quo ponam tempora modo? Ov.: comment dois-je employer mes loisirs? [st1]8 [-] mettre dans, mettre au nombre de, compter parmi, faire consister dans, faire dépendre de; au passif: dépendre de, reposer sur. - ponere mortem in malis, Cic.: mettre la mort au nombre des maux. - ponere aliquid in crimine, Cic.: regarder qqch comme un crime. - ponere aliquid in gloriā, Liv.: regarder qqch comme un honneur. - ponere aliquid in beneficii loco, Cic. Fam. 15: considérer qqch comme un bienfait. - ponere in vitiis, Nep.: mettre au nombre des vices. - positum esse in + abl.: consister en, dépendre de. - in te positum est ut: il dépend de toi que. [st1]9 [-] mettre en avant, exposer, représenter; avancer, prétendre, soutenir, affirmer, poser une question, proposer un sujet. - nunc hominem ponere, nunc deum, Hor.: représenter tantôt un homme, tantôt un dieu. - Orphea in medio posuit, Virg.: au milieu, il avait représenté Orphée. - ponere tabulam pictam, Plin.: représenter un tableau. - ponere aliquid in certo: affirmer qqch comme certain - caput periculo ponere, Plaut.: exposer sa vie au danger. [st1]10 [-] supposer, admettre. - ponere vitae brevis signa raros dentes, Plin.: poser en principe que la rareté des dents présage une vie courte. [st1]11 [-] poser, déposer, mettre bas, mettre à l'écart, abandonner, quitter, laisser, laisser de côté, renoncer à. - ponere arma (= deponere arma): déposer les armes. - testamenti tabulas in aerario ponere, Caes.: déposer aux archives le texte d'un testament. - ponere tunicam: quitter la tunique. - vitam propera ponere, Plaut. Curc.: prépare-toi à quitter la vie. - ponere vitia, Cic. de Or. 3: se corriger de ses défauts. - ponere dolorem, Cic. Tusc. 3: laisser la douleur. - ut omnem pro me metum ponas, Plin. Ep. 5, 6: pour te délivrer de toute crainte à mon sujet. - pone moras et studium lucri, Hor. C. 4: ne tarde pas et ne recherche aucun intérêt. [st1]12 [-] absol. - cesser, se reposer; tomber, se calmer (en parl. du vent). - quum fera ponit hiems, Stat.: quand cesse le rude hiver. - zephyri posuere, Virg.: les vents ont cessé de souffler.* * *pōno, ĕre, pŏsŭi, pŏsĭtum - tr. - - posivi (arch.) = posui. [st1]1 [-] placer, établir, fixer, mettre, poser; disposer, arranger; instituer, établir. - ponere artus in littore, Virg.: [mettre ses membres sur le rivage] = s'étendre sur le rivage. - ponere ante oculos: placer sous les yeux. - ponere gladium ad caput, Sen.: placer un glaive à son chevet. - ponere caput suum periculo, Plaut.: exposer sa vie aux dangers, jouer sa tête. - ponere se toro, Ov.: s'étendre sur un lit. - ponere ova, Col.: pondre. - ubi pedem poneret non habebat, Cic. Fin. 4: (la Sagesse) n'avait pas où s'arrêter. - ponere aliquem principem, Nep.: placer qqn comme chef. - te ipsum frustraberis si non me in eo principem posueris, Nep.: tu te nuiras à toi-même si tu ne me fais pas chef de l'entreprise. - ponere leges: fixer des lois. [st1]2 [-] planter; ériger, dresser, bâtir, construire. - ponere piros, Virg.: planter des poiriers. - ponere semina, Virg.: semer. - positus: bâti, placé, situé. - Roma in montibus posita, Cic. Agr. 2: Rome bâtie sur des montagnes. - Delos in Aegaeo mari posita, Cic.: Délos située dans la mer Egée. - portus ex adverso urbi positus, Liv. 45, 5: port situé en face de la ville (de Rhodes). - ponere statuam alicui, Phaedr.: élever une statue à qqn. [st1]3 [-] mettre au tombeau, enterrer. - ponere terrā: ensevelir. [st1]4 [-] poser comme gage, proposer comme prix; au fig. risquer. - ponere (pignus): faire une gageure, gager. - pono pallium, Plaut.: je gage mon manteau. - ponere vitam pigneri, Plaut.: donner sa vie en gage. [st1]5 [-] dresser (la table), mettre sur la table, servir. - ponere mensam, Hor.: dresser la table. - ita ponito, Cato.: sers ainsi. - invitas ad aprum, ponis mihi porcum, Mart.: tu m'invites à manger du sanglier et tu me sers du porc. - pone ad Trebium, Juv. 5: sers Trébius. [st1]6 [-] déposer, placer (de l'argent). - ponere pecuniam in praedio, Cic.: placer son argent dans les terres. [st1]7 [-] au fig. employer, utiliser, appliquer, consacrer, passer (le temps). - ponere totum diem, Cic.: passer la journée entière. - ponere mensem in reditu, Cic.: mettre un mois à revenir. - ponere omnem curam, Cic.: appliquer tous ses soins. - quo ponam tempora modo? Ov.: comment dois-je employer mes loisirs? [st1]8 [-] mettre dans, mettre au nombre de, compter parmi, faire consister dans, faire dépendre de; au passif: dépendre de, reposer sur. - ponere mortem in malis, Cic.: mettre la mort au nombre des maux. - ponere aliquid in crimine, Cic.: regarder qqch comme un crime. - ponere aliquid in gloriā, Liv.: regarder qqch comme un honneur. - ponere aliquid in beneficii loco, Cic. Fam. 15: considérer qqch comme un bienfait. - ponere in vitiis, Nep.: mettre au nombre des vices. - positum esse in + abl.: consister en, dépendre de. - in te positum est ut: il dépend de toi que. [st1]9 [-] mettre en avant, exposer, représenter; avancer, prétendre, soutenir, affirmer, poser une question, proposer un sujet. - nunc hominem ponere, nunc deum, Hor.: représenter tantôt un homme, tantôt un dieu. - Orphea in medio posuit, Virg.: au milieu, il avait représenté Orphée. - ponere tabulam pictam, Plin.: représenter un tableau. - ponere aliquid in certo: affirmer qqch comme certain - caput periculo ponere, Plaut.: exposer sa vie au danger. [st1]10 [-] supposer, admettre. - ponere vitae brevis signa raros dentes, Plin.: poser en principe que la rareté des dents présage une vie courte. [st1]11 [-] poser, déposer, mettre bas, mettre à l'écart, abandonner, quitter, laisser, laisser de côté, renoncer à. - ponere arma (= deponere arma): déposer les armes. - testamenti tabulas in aerario ponere, Caes.: déposer aux archives le texte d'un testament. - ponere tunicam: quitter la tunique. - vitam propera ponere, Plaut. Curc.: prépare-toi à quitter la vie. - ponere vitia, Cic. de Or. 3: se corriger de ses défauts. - ponere dolorem, Cic. Tusc. 3: laisser la douleur. - ut omnem pro me metum ponas, Plin. Ep. 5, 6: pour te délivrer de toute crainte à mon sujet. - pone moras et studium lucri, Hor. C. 4: ne tarde pas et ne recherche aucun intérêt. [st1]12 [-] absol. - cesser, se reposer; tomber, se calmer (en parl. du vent). - quum fera ponit hiems, Stat.: quand cesse le rude hiver. - zephyri posuere, Virg.: les vents ont cessé de souffler.* * *Pono, ponis, posui, positum, pen. corr. ponere. Mettre, Poser.\Accusatorem ponere. Caelius ad Ciceronem. Suborner un accusateur pour deferer aucun.\Ponere ante oculos rem aliquam. Plin. La ramentevoir, La mettre au devant, Reduire à memoire, Mettre devant les yeulx.\Ponere in admirandis. Plinius. Raconter entre les choses merveilleuses.\Ponere aliquid in admiratione. Plin. S'esmerveiller de quelque chose.\Ponere in aequalitate. Cic. Estimer egualement autant l'un que l'autre.\Ponere aliquem in aequo duobus summis. Liuius. L'estimer autant que les deux plus grands.\Positus extra omnem ingenit aleam Cicero. Plin. Qui n'ha point son pareil.\Amplitudo ac dignitas omnis in virtute posita est. Cic. Gist, Consiste en vertu.\Animum, curam, cogitationemque suam in omnium laude vndique colligenda ponere. Cic. Mettre, Employer.\Aras ponere. Virgil. Edifier.\Posita in auribus omnium virtus alicuius. Cic. De laquelle tout le monde a ouy parler.\Beneficium apud aliquem bene ponere. Cic. Faire plaisir à un homme qui le vault, et le recongnoistra, et scaura bien rendre.\Caput ponere. Virgil. Reposer, ou mettre la teste sur le chevet, ou autre chose pour dormir.\Carinas ponere. Curt. Edifier, Bastir.\Castella ponere. Caes. Edifier et bastir.\Castra ponere. Caes. Asseoir le camp.\Velocis iaculi certamina ponit in vlmo. Virgil. Il attache au sommet d'un orme une longue perche, ayant au bout un gay ou papegau de bois, auquel les archiers tirent de fleiches pour gaigner le pris.\Ponere pro certo sum veritus. Liu. Je ne l'ay osé escrire asseureement, et pour certain, ne asseurer.\Ceruicem inflexam ponere. Virg. Cliner la teste pour dormir.\Posita in coniectura. Cic. Choses desquelles on peult faire quelque conjecture.\Consilium in fortuna positum. Cic. Gist au vouloir de fortune, C'est à fortune d'en disposer.\Ponere in contentione rem aliquam. Cic. La mettre en debat.\- vereor, ne isthaec pollicitatio Te in crimen populo ponat, atque infamiam. Plaut. Que cela ne t'engendre un grand blasme et diffame envers le peuple.\In nefario crimine, atque fraude capitali aliquid alicui ponere. Cic. Luy imputer à crime, etc.\In culpa sunt ac suspicione ponendi. Cic. Ils doibvent estre blasmez et souspeconnez.\Extra omnem culpam, causamque se ponere. Cic. Soy exempter de quelque blasme.\Curam in re aliqua ponere. Cic. En avoir cure et soing.\Custodes et limina ponere alicui. Propert. L'enfermer et luy bailler des gardes.\Custos in frumento publico est positus. Cic. On luy a baillé la charge de, etc.\Dies multos ponere in rem aliquam. Cic. Employer beaucoup de temps en quelque chose.\Haud in magno ponam discrimine. Liu. Je ne m'en soulcieray pas beaucoup, si on le croit, ou si on ne le croit pas.\Domos ponere sub terris. Virgil. Faire et bastir.\In dubio ponere. Liuius. Revoquer en doubte, Doubter de quelque chose.\Epulas ponere. Ouid. Mettre viandes sur table.\Exemplum ponere. Cic. Alleguer un exemple, Raconter.\Ponam in extremo, quod sentio. Cic. J'escriray à la fin de ma lettre ce que, etc.\Fidem pignori ponere pro aliquo. Plautus. Obliger sa foy pour aultruy.\Foedera sunt poneda prius. Propert. Il fault faire les alliances.\Formidinem improbis ponere. Cic. Leur bailler crainte.\Maiorem fructum ponere in perpetuitate laudis, quam in celeritate Praeturae. Cic. Estimer estre plus prouffitable.\Fundamenta ponere. Cic. Faire les fondements.\Positi in extremis et vltimis gentibus. Cic. Situez.\Suppliciter posito procubuere genu. Oui. Ils s'agenouillerent.\Ponere in gloria. Plinius. Estimer gloire et louange, Tourner à gloire.\Non equidem in gloria posuerim. Plin. Je n'estime pas cela gloire.\Qui ciuitatis incommodum in gloriam suam ponit. Sallustius. Qui se loue et glorifie d'avoir faict incommodité à la Republique.\Ponere aliquem in gratia, vel gratiam apud alterum. Cic. Mettre en grace.\Posita in oculis gratia. Cicero. Un plaisir faict en presence de touts.\Initia male ponere. Cic. Mal commencer.\Latus saxo ponere. Valer. Flac. Se coucher sur une roche.\Neque ego hoc in tua laude pono: alia sunt tua facta, atque consilia summa laude digna. Cic. Je ne compte pas cela parmi tes louanges.\Ponere in aequa, vel pari laude. Cic. Estimer autant l'un que l'autre. \ Leges ponere. Horat. Faire des loix.\Ponere in legibus. Cato. Escrire parmi les loix.\Ciuis hostis loco ponitur. Cic. Est reputé et tenu pour ennemi.\Ponere loco contumeliae, vel criminis aliquid alteri. Cic. Luy dire quelque chose par reproche, Luy reprocher quelque chose en lieu d'oultrage.\Ponere in beneficii loco. Cic. Estimer et tenir à grand plaisir.\Ponere in manu alicuius. Liu. En sa puissance.\Haec quae in medio posita sunt, commemoro: sunt alia magis occulta furta, quae ille, etc. Cic. Manifestes, et que chascun congnoist.\Merum ponere in gemma. Ouid. Verser du vin en un vaisseau de pierre precieuse.\Ponere aliquid in metu. Cic. Craindre.\Erat tuae virtutis, in minimis tuas res ponere, de Repub. vehementius laborare. Cic. Ne te chaloir pas tant de tes affaires, N'en tenir pas si grand compte, N'en estre point si songneux.\Positum in more et instituto maiorum. Cic. C'est une chose accoustumee de toute ancienneté.\Mortem in malis ponere. Cicero. La compter entre les mauvaises choses.\Quoniam tantum in ea arte ponitis. Cic. Vous vous fiez tant en cest art.\Ponere multum in fortuna. Cic. Estimer beaucoup de fortune, S'y fier fort.\Ponere multum in fide alicuius. Cic. Se fier fort en aucun, Estimer beaucoup de sa fidelité.\Munus bene positum. Liu. Un present et don faict à homme qui en estoit digne, et qui le recongnoistra.\Niues positae. Horat. Tombees sur terre et assises.\Nomina rebus ponere. Cic. Bailler nom, Imposer nom.\De rebus ante oculos positis disputare. Cic. Des choses cleres et manifestes, Où il n'y a nulle doubte.\Quod erat ante oculos positum. Cic. Dont il ne povoit estre aucun doubte, De quoy on ne povoit doubter.\Ante oculos ponere sibi. Ouid. Se mettre quelque chose devant les yeulx, Y penser et la considerer.\Operam ponere. Plaut. Mettre et employer sa peine en quelque chose.\Bene opera posita. Cic. Peine bien employee.\Ponere operam alicui. Cic. Entendre à son affaire.\Opus aliquod ponere. Horat. Faire.\Orationem longam in aliqua re ponere. Cic. Employer.\Ponere in ordinem. Varro. Mettre en ordre.\Otia recte ponere. Horat. Ordonner, Disposer.\Oua ponere dicitur gallina. Colum. Pondre.\Pecuniam in aliquo oppido ponere. Cic. L'amasser et serrer.\Pecuniam ponere. Horat. Bailler à usure et interest.\Gruibus pedicas, et ponere retia ceruis. Virgil. Tendre aux grues, etc.\Si in fundo pedem posuisses. Cic. Si tu eusses mis le pied et entré.\Poni post aliquem. Ouid. Estre postposé à luy, et moins estimé.\Homines eo animo, vt quaecunque dicendi potestas esset data, in honore atque in beneficio ponerent. Cic. Qui estoyent de telle sorte, que quelque cause qu'on leur apportast à plaider, s'en tenoyent bien fiers et bien prisez.\Principem aliquem ponere. Cic. L'estimer le plus grand entre autres.\Ponere in promptu, et Contegere siue abdere, contraria. Cic. Descouvrir, et mettre devant touts.\Retia ponere. Ouid. Tendre des rets.\Rudimenta virtutis ponere sub aliquo. Quintil. Faire son apprentissage, Apprendre soubs aucun à estre vertueux.\Omnem rationem salutis in pecunia ponere. Cic. Mettre tout son salut en l'argent.\Quum se, siquid postea fraudis aut vitii euenisset, extra omnem culpam, causamque posuisset. Cic. Apres s'estre exempté du danger de povoir estre reprins s'il en advenoit par apres aucune faulte.\Se totum in re aliqua ponere. Cic. S'y mettre du tout.\Toro se ponere. Ouid. Se coucher.\Semina ponere humo. Propert. Semer.\Sententiam suam ponere. Quintil. Escrire et mettre son opinion.\In solem ponere. Cato. Mettre au soleil.\Neque spem ponas me bonae frugi fore. Plautus. N'espere point que, etc.\Ponere sibi aliquid in spe optima. Cic. Esperer fort bien de quelque chose, L'interpreter en bonne partie.\Studium suum et officium apud aliquem bene ponere. Cic. Ne perdre pas sa peine à faire plaisir à aucun.\Tantum studium in eo ponendum non arbitrantur. Cic. Qu'on y doyve employer si grande peine, et y tant travailler.\Ponere summum bonum in virtute. Cic. Estimer vertu estre le souverain bien.\Sumptus nusquam melius potest poni. Cic. On ne scauroit mieulx employer son argent qu'en cela.\Templa, statuas ponere alicui. Virgil. Eslever et dresser, Edifier.\Tempus et diem ponere. Ouid. Employer son temps.\Ponere multum temporis in aliquo loco. Cic. Y demourer longuement.\Ponere aliquid in transuersum. Plin. Mettre de travers.\Tyrocinium ponere. Liu. Faire son chef d'oeuvre.\Venenum ponere alicui cum cibo. Liu. L'empoisonner.\Hoc verbum in quo homine ponimus? Cic. A quel personnage donnons nous ce tiltre?\Ponere verba alicuius in re aliqua. Plin. Mettre la teneur de ses parolles, et les transcrire de mot à mot.\Vbicunque posuit vestigia. Cic. Par tout où il est passé.\Vitam ponere in administratione Reip. Cic. Exposer sa vie.\Vitem ponere. Colum. Planter.\Ponere in vitio dictionem aliquam. Cic. L'entendre en maulvaise partie, La tourner en mal.\In vltimis ponere. Plin. Estimer des moindres.\Vrbem ponere. Ouid. Edifier.\In vsu positum. Cic. Dequoy on se sert.\Positus extra vulgarem vsum. Quintil. Dequoy on n'use point communeement.\Ponere iubebam de quo quis audire vellet. Cic. Proposer et mettre en avant.\Quum venti posuere, omnisque repente resedit Flatus. Virgil. Cesserent.\Ponunt ferocia corda. Virgil. Delaissent leur felon courage, ou S'addoulcissent.\Ponere de manibus. Cic. Oster de ses mains et mettre en quelque lieu.\Ambages ponere. Ouid. Venir au poinct.\Feroces animos ponere. Liu. Delaisser son felon courage.\Arma poni iubet, fatentes se victos. Liu. Mettre jus.\Armis positis substitit pars vtraque. Oui. Les armes mises jus.\Barbam ponere. Sueton. Faire couper sa barbe.\Ponere caput. Horat. Baisser, Encliner.\Consilium ponere. Plin. iunior. Delaisser son entreprinse.\Coronam ponere, luctus gratia. Cic. Desmettre, Mettre jus.\Curam ponere. Liu. Mettre hors toute crainte et soulci.\Dolorem ponere. Cic. Delaisser sa douleur et tristesse.\Seras posuit quum vinea frondes. Virgil. Quand les fueilles des vignes son cheutes.\Imperium ponere. Martial. Se desmettre de, etc.\Inuidiam ponere. Cic. Laisser son envie.\Metum ponere. Plin. iunior. Delaisser crainte.\Minas ponit mare. Lucret. La mer s'appaise.\Onus vteri positum est. Ouid. Elle a enfanté.\Quum perfricuit frontem, posuitque pudorem. Martial. S'est eshonté.\Spem ponere. Ouid. Perdre toute esperance.\Tunicam ponere. Cic. Mettre jus.\Virginitas posita. Ouid. Perdue.\Vitam ponere. Propert. Mourir.\Vitia ponere. Cic. Delaisser vices.\Ponis mihi porcum. Martial. Tu me sers de porceau sur table.\Ponere freta. Horat. Appaiser et faire cesser la tormente de mer.\Solers nunc hominem ponere, nunc Deum. Horat. Tu peins maintenant un homme, etc.\Ponere pallium, aut aliquid aliud. Plaut. Mettre en gage.\Pone eum esse victum. Terentius. Prends le cas qu'il soit vaincu, Pose le cas, etc.\Ponunt philosophi. Plin. Ils escrivent que, etc.\Sed primum positum sit, nosmetipsos commendatos esse nobis. Cic. Tenons pour arresté.\Est enim totum positum in te. Cic. Il est en toy que la chose se face, ou non, Tout gist en toy. -
56 potere
I. potere v.tr. (pres.ind. pòsso, puòi, può, possiàmo, potéte, pòssono; impf.ind. potévo; p.rem. potéi/ rar potètti, potésti, poté/ rar potètte, potémmo, potéste, potérono/ rar potèttero; fut. potrò; pres.cong. pòssa, possiàmo, pòssano; impf.cong. potéssi; p.pres. potènte; ger. poténdo; p.p. potùto; quand potere est utilisé comme auxiliaire de mode, il prend généralement l'auxiliaire du verbe avec lequel il est utilisé) 1. (essere in grado, riuscire) pouvoir, être en mesure de, être à même de: possiamo aiutarti nous pouvons t'aider; non potrò fare questo lavoro je ne pourrai pas faire ce travail; credo che tu possa farlo molto bene je pense que tu en es tout à fait capable; non sono potuto andare je n'ai pas pu y aller. 2. ( avere la possibilità) pouvoir: spero che possa venire j'espère qu'elle pourra venir; potrebbero venire domani ils pourraient venir demain; non ho potuto vederlo ieri je n'ai pas pu le voir hier; può averlo semplicemente dimenticato il peut simplement l'avoir oublié. 3. ( essere probabile) pouvoir: potrebbe essere Bruno ça pourrait être Bruno; potete aver ragione vous avez peut-être raison; potrei avere sbagliato numero je peux m'être trompé de numéro, je pourrais m'être trompé de numéro, je me suis peut-être trompé de numéro; poteva avere avuto vent'anni il pouvait avoir dans les vingt ans. 4. (avere il permesso, essere lecito) pouvoir: posso fumare? puis-je fumer?, est-ce que je peux fumer?; possiamo vedere la stanza? pouvons-nous voir la chambre?; i ragazzi non possono fare chiasso a scuola les enfants ne peuvent pas chahuter à l'école; non posso rientrare dopo mezzanotte je ne peux pas rentrer après minuit. 5. ( nelle richieste) pouvoir: puoi chiudere la porta per piacere? peux-tu fermer la porte s'il te plaît?; ( più formale) pourrais-tu fermer la porte s'il te plaît? 6. ( nelle offerte) pouvoir: posso aiutarla? puis-je vous aider?, voulez-vous de l'aide?; posso darti un passaggio, se vuoi je peux te conduire, si tu veux. 7. (nelle proposte, per dare consigli) pouvoir: potresti venire con noi, no? tu pourrais venir avec nous, non?; potresti parlarne coi tuoi genitori tu pourrais en parler avec tes parents. 8. ( avere ragione o motivo) pouvoir: puoi essere contento tu peux être content; non posso lamentarmi je ne peux pas me plaindre. 9. ( dovere) pouvoir: potresti rispondere quando ti parlo! tu pourrais répondre quand je te parle!; non possiamo parlare ad alta voce on ne peut pas parler tout haut; la sentinella non può lasciare il suo posto la sentinelle ne peut pas abandonner son poste. 10. ( nelle frasi augurali) pouvoir: possiate essere felici puissiez-vous être heureux. 11. ( pleonastico) pouvoir: chi può essere? qui est-ce que ça peut bien être?; non posso crederci! je ne peux pas y croire! 12. (assol.) ( avere influenza) être influent: il segretario può molto presso il presidente le secrétaire est très influent auprès du président. 13. (assol.) ( avere possibilità economiche) avoir les moyens: è una famiglia che può molto c'est une famille qui a les moyens, c'est une famille qui peut se le permettre. II. potere s.m. 1. ( potenza) pouvoir: il potere di Dio le pouvoir de Dieu. 2. (influenza, potestà) pouvoir, influence f.: non ho alcun potere su di lui je n'ai aucun pouvoir sur lui. 3. (attitudine, capacità) pouvoir: ha il potere di farmi perdere le staffe il a le pouvoir de me faire sortir de mes gonds; persona dotata di potere magico personne dotée de pouvoirs magiques. 4. (dominio, balia) pouvoir: ridurre il nemico in proprio potere réduire l'ennemi en son pouvoir; è in suo potere elle est en son pouvoir. 5. ( autorità) pouvoir, autorité f.: esercitare un potere exercer un pouvoir; conferire a qcu. il potere di fare qcs. donner à qqn le pouvoir de faire qqch.; eccedere i propri poteri outrepasser ses pouvoirs. 6. ( Pol) ( suprema autorità politica) pouvoir: assumere il potere prendre le pouvoir. 7. (Dir,Fis,Econ) pouvoir. -
57 sperare
sperare v. ( spèro) I. intr. (aus. avere) espérer (in en), croire (in en): sperare in Dio croire en Dieu; sperare nella guarigione di qcu. avoir confiance en la guérison de qqn; sperare in giorni migliori espérer en des jours meilleurs; continuare a sperare continuer à espérer. II. tr. 1. espérer: sperare la promozione espérer une promotion; lo spero je l'espère; spero di rivederti presto j'espère te revoir bientôt; speriamo che tutto vada bene espérons que tout se passe bien; spero di ricevere buone notizie j'espère recevoir de bonnes nouvelles. 2. ( aspettarsi) s'attendre à: non speravo che saresti ritornato je ne m'attendais pas à ce que tu reviennes. 3. (region,Tecn) ( guardare controluce) regarder à contre-jour, mirer: sperare le uova mirer les œufs. -
58 axabarciar
Axabarciar, es tratar, vender, comprar, cambiar, etc. Cuntu you aquindi nisti primeiru llibru qu'un astur fae con ñaturallidá, con honradé, con amore grandie ya ñoble que disdi guaxetín na miou xenciétcha ya ñatural alma se fexu hacia tous lus melgueirus y'embruxantes chugares de la miou mantina tierra d'Asturies, ya de toes les Fidalgues xentes que la poblen, falu you que nagora mesmu tenu ñecexidá de cuntayes un cuintu que nun ye tal couxa, perque cuaxi tóu lu que falu aquindi fóu verdá. Ya cumu encalda mu ben nista pallabra, pos nagua mexor que como exemplu qu'isti casu que per oitre lláu pué xervir tamén d'escola. (Cuento yo aquí en este diccionario primero que hace un astur con documentación, naturalidad y suprema honradez, lleno de un amor grande y noble que desde niño en mi sencilla y natural alma se hizo, hacia todos los dulces y embrujantes lugares de mi amada Tierrina Asturiana, y hacia todas las Hidalgas gentes que la pueblan. Digo que ahora mismo tengo necesidad de contarles un cuento, que no es tal cosa, porque casi todo lo que les voy a contar ha sido una auténtica verdad, y como tal alumbramiento tiene el origen en esta palabra, pues nada mejor que este ejemplo, que por otro lado puede servir también de escuela). (LES XABARCEIRES) L'Aldexuxán (aldea de Susana) yera la miou aldina, fae ya un faticáu d'anus cundu you yera un guaxín, despós de l’achuquinante 'ngarradiétcha, que xemóu de cadarmus toes les teixáes de la miou embruxante Asturies, apaxiétchandu de llutus, mexeries, fames, atristeyáus ya enfernales dollores a toes les xentes, lu mesmu las prietes que yeren las drechistes, que lus roxus que yeren de las esquerdas. (La aldea de Susana era mi aldea, hace ya muchos años cuando yo era un niño después de la asesinante guerra que sembró de cadáveres todas las casas de mi embrujante Asturias, vistiendo de lutos, miserias, hambre e infernales dolores a todas sus nobles gentes, lo mismo a los negros que eran los derechistas, que a los rojos que eran los de las izquierdas). —Por aquel entonces, cuando el hambre, la necesidad y la miseria se enseñoreaban de les teixáes (lares) mejor dicho de los hijos y de las viudas de los perdedores, ya que los pobres, los que no estaban encuandicáus (sepultados) s'atopaben arretrigáus nes cárxeles, (encadenados en las cárceles) ya oitres con más xuerte, xebráranse per miéu 'l hermenu venceor pal extranxeiru. (Y otros con más suerte, se marcharan por miedo al hermano vencedor para el extranjero). —Cuento yo, que por aquellos tristes aconteceres sucedió en mi aldea esta historia que ahora al recordarla tras más de cuarenta años de haber sucedido, trae a mi pensamiento una añoranza triste, nel mesmu lleldar que me fae xonreyire. En el mismo suceder que me hace sonreir, ya que el caso según mi humilde parecer se las trae, porque todos los personajes qu'encaldan (hacen) esta cierta, historia, eran seres que para poder vivir tenían que luchar bravamente todos los amanecidos días, no importa cómo lo hicieran; pero por aquellos tristes tiempos el que no luchaba no comía, no es como hoy, que se tira más comida en un día a la basura, que en los tiempos de esta historia comía toda Asturias en una semana. —Yera mi aldina tan bétcha en allumbrar frutos, que desde los principios del branu (verano), fasta lu fondeiru de la xeronda (hasta lo último del otoño), talmente parecía mi melgueiru chugar (dulce pueblo), el mismo jardín que el Creador debe de tener reservada para las sencillas y buenas gentes que tras la muerte sean huéspedes de su Santificante Reino. Tal exquisita riqueza natural daba lugar, a que casi todos los vecinos tuviesen un pollino que espatuxara llixeiru (andase rápido), y fuese resistente para que no se esmurgazara esventronáu (cayera reventado) en los difíciles y abruptos caminos, con las maniegas (cestas) encima de su albarda amamplenáes (llenas) de sabrosos frutos, antes de llegar a la romería o fiesta donde iba destinado tal manjar, así fueran higos, cerezas, ciruelas, peras, etc., etc., etc. Algunas veces también solían llevar manzanines arroxáes nel fornu (manzanas asadas en el horno) y ablanines turráes nel mesmu cheldar (y avellanas asadas en el mismo lugar), y estas frutas así tratadas, tenían un gusto tan exquisito que uno no se hartaba nunca de comer por ellas. Por estos quehaceres y otros múltiples necesarios en sus caseríos, cada vecino cuidaba a su pollino todo el año, como la mejor de sus prendas, porque era el humilde pollino el único medio de locomoción que tenían para efectuar infinidad de trabajos y muy necesarios traslados. Decía el pedáneo de mi aldea, donde sucedió esta historia que estoy empezando a relatarles, que un pollinín d'arremangu (de valía), le proporcionaba más ganancias al aldeano que una xuntura de les mexores vaques (pareja de sus mejores vacas). Pero endenantes d'afondigoname nel contare lus fechus que fixerun les xabarceires del miou chugar (antes de ahondar en los hechos que dieron lugar las tratantas de mi pueblo), voy a contar así d'esboriaúra (de resbalón), lo que le ha sucedido al razonero alcalde de mi aldeina: Hubiérase casado Graciano cuando era muy joven aun, con Ramona la de Juan de Pacha, que era una mozacona (mozona) de ñidies (finas) mexierches (mejillas), arregañaónes ñalgues (apetecibles nalgas) y un entamu (senos) también empericotáu (prominente, estupendo), que hacían de Ramona una muchacha también formada y deseable, que ni el más exigente sería capaz de deximiya per mu fartu qu'andubiés de clica (nadie la despreciaría por muy harto que estuviese de mujeres). Pero Graciano que por aquel entonces era pobre, aunque dueño de un ameruxamientu d'arganáes, que lu ateixaben nel xeitu del querer escombútchire, (unas crecidas ansias que le resguardaba en el lugar de querer, medrar, enriquecerse, etc.). Mas él pensaba y con buen tino, que jamás sus aspiraciones podría alcanzarlas en la aldea, por tal razón decidió emigrar, y como le acompañaba la suerte de tener un hermano en las Américas, pues un día endubitchóu lus sous fatinus (lió sus ropas), despidióse con lágrimas en sus ojos de su mujer e hijo que por entonces aun no había cumplido un año, y colóu (marchó) para La Habana, donde trabajó como un esclavo durante diez años, sin desperdiciar ni menos gastar ni una perrina (cinco céntimos). Con una buena cuarexá de cuartus (cartera de dinero). Ilegó pasado este tiempo a su aldea, cargado como un abetchún (abejón), de paxiétchus, llásticus, xoyiquines, ya fatáus d'oitres couxiquines, (de trajes, ropas, joyas, y muchas otras preciadas cosas. Hizo su entrada en la aldea en los postreirus (últimos días del mes de Xeneiru), precisamente cuando el día atapecía (oscurecía), por eso, como su teixá (casa) era la primera de la aldea, y hacía un frío y una ventisca que a todo el mundo refugiaba tras de sus lares, con ningún vecino se encontró, que le dijese o le pusiese de aviso contra alguna cosa. Salió su mujer a recibirle a la correlada llena de gozo y de contentura, engavitóuse (enganchose) la Ramona a su cuello loca de alegría, bexucóuyu per tous lus lláus esgalazá (besole por todos los lados con ansias), en el lleldar (hacer) que desfayénduse (deshaciéndose) en chárimes (lágrimas) y xoponcius (mareos, sustos, etc), que le hacían temblar como una vara verde, y después d’allancar (plantar) las rodiétches (rodillas) encima de las llábanas (losas), dijo bajando la cabeza y xofitándula (apoyándola) entre los atavarius (bragueta), de su hombre, en el encaldar (hacer) que s’arretrigaba a sous cadriles (se abrazaba a sus piernas). ¡Achuquíname, achuquíname miou Gracianu, endenantes de que te cunte, lu paraximesquéiramente que me portéi, metantu que tou faíes la Bana nel extranxeiru! (Asesíname, asesíname mi Graciano, antes de que te cuente, que te he hecho de menos con otros hombres, mientras que tu, te hacías rico en el extranjero). ¡Bueno Ramona..., ya tendrás tiempo de decirme todo cuanto de bueno o malo hayas hecho... pero ahora dime ¿dónde está el pequeño? ¡Apuesto a que ya está hecho un mozaquín (adolescente), listo y trabajador como lo que es su padre, que fexu más pesos na Bana (que hizo más duros en La Habana), que de pelos tenedis entrambus ya dos en vuexes motcheres! ¡Bueno los niños, quiero decir Tanín, güéi dexelu nel teixu miou má, pos comu tenu fatáus de couxes qu'escutire coutigu, ya non sei per la primeira que comencipiare, pos ista nuétchi quixe quedáme sola pa faluchar al nuexu encaldare! (Hoy le he dejado en la casa de mi madre, pues como tengo muchas cosas que discutir contigo, y no se por cuál he de comenzar, por éso esta noche he querido quedarme sola para hablar sin que nadie nos enrede). Lo primero que hizo la Ramona fue prepararle la cena a su marido, y al parejo que en esta faena se entretenía, iba preguntándole sucesos que a él le habían acontecido, quedándose siempre muy admirada de cuanto le decía su esposo. Pero después que el Graciano se fartucóu dé xamón, ya güevus con choricinus, arrutióu encomoláu perque l'entelaura inflabai 'l banduyu, plantói fuéu a un pitu, llancói 'n fondigoná 'n par de fumáes, ya sonriyénduse mu felliz dixói a la sou mutcher: (Se hartó de jamón, huevos y chorizos, eructó incomodado por haber abusado de tanta comida que con pesadez le hinchaba la barriga, le pegó fuego a un buen cigarro, le sacudió un par de fumadas, y después sonriéndose muy feliz le dijo a su mujer): ¡Desde que me he marchado a las Américas hasta ahora, no he comido una comida que mejor me supiera que ésta que me has preparado en tan poco tiempo y con tanta arte. Por el mundo adelante mi querida Ramona, no se harta uno nada más que de mollicies (cosas malas). Mucho cacíu pintureiru (cacharros lujosos), mucha cuchara limpia y resplandeciente, mucho sirviente que te trata con tanto mimo como si fueses un banquero, pero los platos son pequeños, y la comida que en ellos vacian (echan), tiene escosáu güétchus de rustíu (que no tiene grasa, que no está sazonada). Más sustancia tiene aquí un potaráu de llabaza de la que chamus a lus bracus (una pota de fregaduras de la que servimos a los cerdos), que todo lo que come en el día un trabajador en las Américas, y si uno trae dineros de aquellas lejanas tierras, es a cuenta de la mucha hambre, calamidades y sufrimientos que uno tiene que aguantar allí. Aquí en las aldeas pensamos cuantos nos vamos para allá, que en cuanto lleguemos, atopamus lus cuartus tremáus pe les caleyes! (encontramos los dineros tirados por las calles). ¡Bueno Ramonina, ahora ya me puedes contar lo que has hecho por aquí, que me parece que abundu enfucheráu (muy sucio) y grave debe de ser, cuando endenantes de entrare na miou teixá, de rodiétches me suplicabes que t'achuquinara! (antes de entrar en mi casa, de rodillas me suplicabas, que te asesinara). ¡Non sei Gracianín perquéi llugar comencipiar, pos tou enllordióxe d’enria mín, comu se ‘l mesmu diañu me l'encalducar! (No sé Gracianín por qué lugar voy a dar comienzo, pues todo se enlodó encima de mí, como si el mismo demonio me lo preparara). Deciale Ramona sentada en el escaño, detrás del aburióxu (ardiente) lar, mirando de frente para su marido y alumbrando a la par un torrente de lágrimas, que resbalaban por sus hermosas y coloreantes mejillas, que resplandecían a la luz del fuego, lo mismo que si estuviesen entafarnáes (untadas) con manteiga (untadas con manteca). Graciano que la propiaba con el mismo arrobo de enamoramiento que por ella siempre había tenido. Le dijo con voz halagosa que ya consigo llevaba el perdón que con tanta argucia su esposa buscaba: ¡Anda Ramonina, déjate de choramicar (llorar), pues con tanta mexareta (meadura) de lágrimas, no vas a encantexar l'esgazaura que fixiste! (arreglar la rotura que has hecho). —Y ahora cuéntame de una vez cuál fue el mal que me has hecho, pues por lo que barrunto, me has hecho castrón fatáus (muchas) veces. ¡No Gracianín, no te he hecho de menos nada más que un par de veces, y te voy a contar sin deximite (ocultarte) nada, el por qué hice de paraxa (puta), pues no me he puesto patas arriba en la añuedaura del cibietchu (haciendo el amor) con nadie, porque mi cuerpo me lo pidiese, sino que ha sido la necesidad la que me ha obligado, pues bien sabes, que cuando tu te has marchado para La Habana, yo me quedé muy sola, con un niño entre mis brazos que nin falaba nin espatuxaba (que ni hablaba, ni andaba) !Ay! Gracianín de mis entretelas, del mi corazón y de los mis sentidos, puedo decirte ahora llena de alegría que te estoy viendo al lado mío, que con las lágrimas que alumbraron mis ojos en todos estos años de soledad que he vivido, navegaría sin hundirse el barco que te trajo de La Habana. ¿Y quién fue el culpable de mi desesperante llanto, de mi inconsolable sufriencia? ¡Sólo tu Gracianín, sólo tu eres el culpable, que me has dejado muy sola, y te marchaste para las Américas hace diez años, siendo yo en aquel tiempo una desventurada criatura que aun no tenía veinte años dígote yo que me has dejado encuandiada (empozada) dentro de la soledad y la pobreza, y en todo este largo tiempo, no me has mandado ni tan sólo una perrona (diez céntimos) con la que comprarle un llastiquín (una camisa, un jersey, etc., etc.) a nuestro hijo, y ahora me vienes tu diciendo que quieres al niño tanto y cuánto! ¡Bueno Ramonina, lo que yo hice o dejé de hacer, abundu bien fechu tá (muy bien hecho está). Hoy ya me encuentro en mi casa dueño de una betchá cuarexa (bien repleta, rica cartera) de dineros, y no quiero perder el tiempo explicándote lo que yo he sufrido y el trabajo que me ha costado atróupar (rejuntar) este capital, pero tu ahora sí que me vas a decir con quién o con quiénes me has traicionado durante el tiempo que he estado fuera de mi casa. Así pues, empieza luego y no pierdas el tiempo barajando pormenores noitres (en otros) caldaretus (ubres) que no sean los que estrincaste (ordeñaste) entre los atavarius (braguetas) de los hombres con los que has hecho el amor, mientras que yo en las Américas fechu 'n castrón, apelucaba cuartus pá betchar la cuarexa que traigu, (hecho un cabrón, recogía dineros para llenar la cartera que traigo). Ramona se levantó del escaño, echó al fuego cuatro astillas porque ya se estaba amorrentandu (apagándose) y después, arremetchandu lus güeyus, miróu 'l Gracianu con mala lleiche, ya díxole sen catar más atayus (abriendo desmesuradamente sus ojos, miró a Graciano y le dijo con enfado sin buscar más atajos). ¡A los dos años de colar (marcharte) tu por el mundo allantri, (adelante) se me puso el niño muy amolaín (enfermo), y no tuve más remedio que llevarle al mélicu (médico), y éste con palabras finas y muy melgueróuxas (dulces) me dijo que yo era una buena moza, que estaba muy guapa y que era muy hermosa, y muchas otras cosas mas que entre todas ellas me hicieron perder la cabeza, el caso fue que el médico me aseguró que el niño estaba realmente muy enfermo, y que sólo se comprometía a sanarle si yo... bueno... el caso fue que yo por curar al mióu fiyín (mi hijo) espurrime y encoyime baxu lus atavarius del mélicu y'añuédei 'l cibietchu cuá 'l un par de veices, (me estiré y me encogí debajo de la bragueta del médico e hice el amor con él un par de veces). Y de resultas de los dos achucáus (acostados) que fexe debaxu 'l allegre mélicu (que hice debajo del alegre médico), me quedé empanzorraona (preñada) y parí otro rapacín (niño) que ahora ya tiene siete años. Así que yo considero que si tú estuvieses en mi lugar, harías lo mismo que yo he hecho, pues por un hijo una madre da todo cuanto tenga y más para con ello! Graciano que era de naturaleza muy tranquilo y a pesar de ser un cornudo era listo y razonero, le dijo sin enfadarse ni levantar más una palabra que otra: ¡Por un hijo una mujer casada debe de entregarlo todo verdad es, todo menos su honra, porque la honra en la mujer casada tiene más valor, que todos los hijos que pueda tener y hasta inclusive más que su propia vida. Porque de ahora en adelante, lus tous nenus namái que serán pá les xentes que fius de paraxona. (Los tus niños nada más que serán para las gentes que hijos de puta). Y tu... una paraxete (putina) mirada en todo momento por los hombres, como pan caliente fácil d'allancái 'l denti (hincarle el diente). Y yo... un cabrón consentido, que ha de ser la guasa y la murga de todos mis vecinos y de cualquier gente que sepa de mi vergüenza! En buena razón acaidonaban (dirigíanse) las palabras del Graciano, pues pronto sus vecinos armados con la socarronera malicia de las gentes de la aldea, empezaron a torearlo, diciéndole entre amistosas risas y halagüeñas palabras, ofensivos insultos, que ponían al pobre Graciano lo mismo que un pingayu (trapo viejo), y como Graciano era simpático y buena persona, aun les daba lugar más xeitu (sitio), para que se apropiaran de mayores confianzas, y ya no sólo eran sus vecinos los que de continuo le provocaban, sino todas las gentes que le conocían, pues un día que estaba segando hierba en un prado que tenía al lado de la carretera, pasó por allí una pareja de los guardias civiles de servicio que eran amigos suyos, y después de torearle un tiempo como todo el mundo hacía, uno de los guardias le preguntó: ¿Qué carrera les vas a dar a tus hijos Graciano? ¡Pues como tienes dineros amamplén (muchos), no estaría mal que los estudiases para xebralus (apartarlos) de estar mayucandu (majando) terrones toda la vida lo mismo que tu haces! Graciano quedose mirando para el guardia sonriéndose como si nada ofensivo le hubiera dicho, y después apurriénduyes (dándoles) la petaca para que enrrodietcharan (liaran) un cigarrillo, cuando los tres estaban aborronandu (fumando) muy tranquilos les dijo: ¡Mucha razón tienes Juaquín, ya que majar terrones no es un oficio descansado ni productivo para nadie, por eso, a mi primer hijo, que es el mío verdadero, le voy a estudiar hasta que se convierta en un buen ingeniero, aunque tenga que vender sino me alcanza cuanto tengo, hasta mi honrado apellido, que por ser tal cosa, en todo el mundo ha tenido siempre buen crédito, y al otro por ser hijo de mi mujer que xebrose (se fue) de la honradez, y se situó entre la hedionda troya (suciedad) donde se enchamuergan (ensucian) las paraxas (putas). En pocas palabras, por ser hijo de puta, le voy a enchufar en el xuzgáu (juzgado), y si no sirve para este menester, entonces le afilio a la guardia civil! Al guardia Juaquín, xelósele (,helósele) d'afechu (del todo) la maliciosa sonrisa que mostraba entre sus labios, y poniéndose muy serio le dijo: ¡Ten cuidado con lo que dices Graciano, porque me parece a mí que no das puntada sin hilo, así que se acabaron las bromas, y de ahora en adelante con nosotros ándate derecho, sino quieres que te enchufemos en la cárcel por tener la lengua demasiado larga y ser tus palabras mal intencionadas! Descubrió Graciano aquel día, que el don de la palabra era un arma muy poderosa, con la que conseguiría manejándola con astucia y solapadamente insultativa, lograr que sus agudosos vecinos se mirasen muy bien antes de lanzarles puchas (sátiras), haciendo de su persona el hazmerreir de todo el concejo. El habíale dicho al guardia Joaquín sin la menor intención de ofensa hacia su persona ni a nadie, que el hijo de su mujer por ser nacido de mala madre, le colocaría en la Guardia Civil, cosa que incomodó grandemente a Joaquín, demostrando con sus inocentes palabras que no es oro todo cuanto reluce, y que todo el mundo tiene algo de suciedad escondida o a la vista, de la que suele avergonzarse. Desde ahora en adelante, escrutaría en la vida y pasado de sus vecinos, y cuando de él se mofasen, les taparía la boca lanzándoles al rostro como arma de defensa y ataque todo cuanto de despreciable y asqueroso, en sus vidas o familias hubiere; y de esta forma, ya se mirarían ellos de volver con sus ya cansadas e insultantes sátiras a molestarle. Y ahora, tras el xemeyu (retrato) que hice del alcalde de mi aldea, escantoyándulu namái que per un cornetchal (rompiéndole nada más que por una esquina) de las muchas que el condenado tenía, voy a hondear ya sin hacer pouxa (parada) ni xebraura (apartamiento) en la historia de las Xabarceiras (tratantas), que entrambas y dos eran de gafas (venenosas) como un perro con la boca negra. «MANOLA Y VENANCIA» Moraban en mi aldeina dos mucherucas (mujerucas), que eran hermanas en apariencia y al decir de ellas también de familia, ya que habían nacido por el mismo furacu (agujero), no eran ya jóvenes cuando yo las conocí, pues paseábanse por la vida con la edad de comenzar a maurecer (madurar), eran las más pobres del lugar (descontándome a mí por supuesto), ya que no les acompañaba más riqueza que una vieja pochina (burra), y por esta pobreza que las acompañaba, allindiaben (cuidaban) a su borrica Facunda, con tanto cariño y esmero, como si en verdad fuese hija de entrambas. Estas mujeres no eran nacidas en mi aldea, y verdaderamente tampoco a ciencia cierta nadie sabía el lugar de su nacencia, lo cierto es que habíanse asentado en mi aldea cuando se terminó la guerra, y vivían en una muy humilde casuca que compraran con algunos dineros que traían, vivían en mi lugar desde aquella época, ganándose su vida con libertad e inteligencia, si se puede denominar así, al apoderarse de lo que muchas veces no les pertenecía. Decian algunos vecinos, y yo no sé si era cierto, que durante toda la guerra habían estado de paraxas (putas) por el frente, haciendo felices a los milicianos primero y después a los vencedores, más sin embargo yo creo que esto no era verdad, porque entrambas y dos físicamente no valían ni para un tiro de escopeta. Nosotros las conocíamos por el apodo de las Xabarceiras, y eran bajas de talla, secas de carne, con rostro de brujas feas y lagañosas, dueñas de un mal genio y peores intenciones que el mismo demonio, y garruxantes nas engarradiétchas (valientes, decididas en las peleas). La de más edad se llamaba Manola, y tal parecía que sus padres la habían fabricado con el puro veneno, y aparte tenía una lengua tan ofensiva y desarrendada, que dejaba en porriques (desnudo) al más pecaminoso de los arrieros. Venancia que era la otra, no algamia (alcanzaba) a su hermana en el ser tan garruxante, pero se aparejaba al lado de ella, en tener los dedos largos y las uñas raguñonas (arañosas) para mal de las tranquilas gentes, donde se engarrapelaban (enredaban) muchas veces los intereses de los vecinos. Las rapiegas Xabarceiras, cuando los campos se cubrían de frutos y los árboles se enseñoreaban con el manto lujoso y natural de los saludables y exquisitos frutos, ellas solían comprar en caña (en el árbol) o escandanaban (recogían) sin ningún permiso, las mejores frutas, y prestas corrían a venderlas por todas las aldeas y mercados de los tres concejos vecinos, y con estas ganancias, ellas prohibían al fantasma del hambre, que no espurriera (estirase) el hocico, agolifandu (oliendo) en su lar, en ningún día del año, por prietu (negro) que éste escombuyere (viniese, naciese). En la casa de las Xabarceiras, a pesar que por aquel entonces los tiempos eran muy difíciles y el hambre se recostaba en todas las esquinas, entre otras cosas en su lar jamás faltaba el cafetacu, y el frasco de marrasquinu (anís, caña, etc.), al que las dos hermanas le hacían halagos con parejo tino, pues érales el café ey el aguardiente tan llambión (goloso), como el tabaco de cuarterón, ya que sonrientes, gozosas y felices, apuxaben (tiraban) por él, con el mismo placer que escosaban (secaban) el pintureru frasco del aguardiente. Muchas veces cuando estaban sentadas con tranquilidad en su casa antroxánduse (festejándose) con las copaxas (copas) y el cigarrillo, decíale la Manola a su hermana entre xorbu ya xorbu (trago y trago) y cigarrillo prendido con la colilla del otro, esta sentencia muy verdadera: ¡Es mucho más fructuoso unos minutos de trato si están bien hechos, que cien horas de trabajo agabuxá (agachada) en las estayas (tajos), haciendo labores para los vecinos, que son más olvidadizos después de hacerles el trabajo, que agradecidos para pagarte en justicia el sudor que en sus tierras has derramado! Pero aquel año las Xabarceiras estaban encuandiadas (empozadas) dentro de un mal estar que mazábayes enoxáes fasta el mesmu fégadu (sacudíales enojadas hasta los mismos hígados), y todo había sido por la causa de no haber sido eficaces en el llindiáu (cuidado) de su pollina Facunda, pues un día que la habían dejado sin vigilancia guareciendu (pastiando) en el pasto comunal, piescóula (cogióla) por su cuenta y riesgo el alegre pollino de Rosendo el goxeiru (cestero), que el condenado tenía unos coyonzones (testículos) que le pingaben (colgaban) hasta el suelo, y se daba muy buena maña en no dejar una pollina manía (sin preñar), por vieja que fuera, y aunque no tuviese gana de que l’añuedaren el cibietchu (que le hicieren el amor). Por esto la Manola que era la que acaidonaba (dirigía) las riendas de su teixu (casa), se abayucaba (se movía) aquel año que corría por los primeros días del mes de Junio, con todos los demonios del infierno haciéndole mil travesuras en su cerebro, y todo era por la causa de la paraxona de sou potchina (de la putona de su pollina), que de resultas del esfoitu (confío) que con ella habían tenido, que fuera bien aprovechado por el alegre pollino del goxeiru (cestero), espatuxaba (andaba) la pobre con una ventroná (barrigada), que trabajo le costaba revolverse. ¡Diañu de bruxa (demonio de bruja), con lo vietcha (vieja) que es, y todavía tuvo la puñetera calentura para que en un momento que la dejamos de la mano, de ir hacer xaceda (camera, sitio) debajo de las patas del condenado burro del maldito goxeiru (cestero). ¡Pues en algo tenemos qu’estenciar (inventar, hacer), para poder llevar la fruta este año, a los mercados y a las aldeas, ya que si no ganamos por el verano los dineros que necesitamos, cuando llegue el invierno, entrará en nuestro hogar de la mano del frío también el hambre. —Está visto que con la Facunda no podemos llegar a ninguna parte pues está la condenada con un baduyáu (barrigada) que apenas puede tartirse (moverse). En buen compromiso nos ha colocado el zaramachón del maldito pollino del goxeiru, que quiera Dios que el demonio le asesine y al amo con él, pues cada vez que veo alguno de entrambos, se me sube la sangre a la cabeza y me pongo en tal trance, que tengo miedo de que un día no pueda contenerme y les parta el alma a entrambos. Todo esto y algunas cosas más, se lo estaba diciendo la Manola que en el lleldar (hacer) ya se encontraba medio tarrasca (borracha), a su hermana Venancia, que intentó consolarla aconsejándole, que lo mejor que hacían, era bajarla el lunes al mercado de la Villa, y con lo que le dieran por ella, y un poco más que pusieran encima, mercarían un burro de arte, que las libraría del complicado problema que las atañía (conducía). En esta conversación se encontraban las afligidas Xabarceiras aquella tarde buscándole encantexu (remedio, remiendo) para su desgracia, cuando hicieron entrada en la aldea una caterva de gitanos, llegaban todos dentro de una alegrosa folixa (juerga, algarabía), que tal parecía que todos eran tan felices como los mismos ángeles moradores del Cielo. Y sin pedirle permiso a nadie, dispusiéronse a pasar la noche debajo de los hórreos que se asentaban en el centro de la aldea, lugar que desde inmemoriales tiempos, siempre solían hacer acomodo sin que ningún vecino los molestara, todos los titiriteros, hojalateros, gitanos y demás transitantes que llegaban con alguna de sus embajadas a la aldea. «PASCUALÓN EL GITANO» Mientras que sus hombres desaparejaban los burros y disponían su ajuar las hábiles y astutas gitanas con el cabás colgado del brazo, y un montón de artesanas cestas encima de la cabeza, se internaban por todas les caleyes (callejas) de la aldea, en el trabajo de equivocar al primer aldeano que se las diera de listo, y de casa en casa, intentando vender su arte, o pedigüeñando cualquier cosa, ya que todo les venía bien, llegaron a la postre a la morada de Manola, que ya tenía ésta pensado desde el momento que endilgóu (que avistó) a los gitanos, el efectuar un saneado trato con ellos a cuenta de la su pollina Facunda. Las gitanas nada más llegar ante su presencia, la saludaron siempre con la sonrisa en los labios y la humildad con ella, cualidades indispensables que el timador maneja, como si propias suyas fueren, y de esta guisa, le dieron las buenas tardes en el momento que una de ellas le preguntó sin perder más tiempo: ¿Oigame señora, no tendrá alguna cosa de comedera por el desván a cambio de una de estas cestinas tan serviciosas? Así le habló una de las dos gitanas que en pareja venían haciéndose la desvalida y la inocente, mientras que su compañera sonriéndose por lo bajo, y sin urniar (hablar palabra), aprestábase en el sacar de su faltriquera un fatu de baraxeta (un trapo de baraja), y nada más que su socia fexu pouxa nel falare (hizo un descanso en su charla) con la Manola, cogió la palabra la gitana de la baraja, y se hondeó en el registro de querer echarles las cartas, decirles la buenaventura, o leerles la suerte, pues asegurábales la sagaz gitana, que ella había nacido con el sobrenatural don, de poder leer en la palma de la mano el destino de las personas, que se halla escrito desde su nacencia en un lenguaje misterioso, que sólo los elegidos pueden leer sin la menor equivocación. La Manola, que yo puedo asegurar que la más espabilada gitana podía ser nada más que su discípula, apropiaba y miraba de soslayo a las gitanas haciéndose la fatona (tonta), mientras que sus vidayas (sienes) moldeaban el negocio que con su Facunda iba hacer encima de los rapiegus xitanus (zorros gitanos), pues ella para sus adentros se decía, que quien equivoca a un manexador (manejador) de enredos, hasta los mismos jueces le ayudarían a xebrase (marcharse) del refregado aunque éste se hendiera, en algo que bien no olíese y sonado fuera. Así pues, que cuando la gitana ya se había creído que la Manola iba a ser un tonto cliente que le pagase sus enredos, en el magín de la Xabarceira ya estaba encaldáu (hecho), el cambiar a su Facunda, por un pollino que ellos trajeran, que no cojeara de ningún lado, y que no fuese muy cargado de años. El caso fue, que cuando la gitana ya le iba a coger su mano para leerle su buena suerte, quedose sorprendida cuando la Manola le dijo: ¡Déjese de pamplinas que conmigo no tiene cabida, yo lo que quiero es cambiar una buena pollina que tengo, que a no tardar mucho se va a convertir en dos porque está preñada, por un burro que ustedes traigan, que tenga llixia (alma, fuerza), y que no tenga amolaúres (males) por ningún lado! La gitanaca dibujó una amplia sonrisa de alegría en la bufarda (ventana) de su boca escosada (falta) de la mitad de sus dientes, y después le dijo a la par que guardaba la baraja en su faltriquera: ¡Eso que usted desea ya lo puede dar por hecho buena mujer, pues mi marido tiene un soberano pollino, que es lo justo a lo que usted me parece anda buscando, así que espere unos momentos, que voy con rapidez a buscarle, para que hagan el trato que me parece a entrambos ha de agradarle! Vino al cachiquín (al rato) en un grande burro escarranquetáu (montado) de alegre presencia, que en el parecer abayucábase (movíase) como el mismo rayo. Llegó el gitano a la casa de la Manola, muy xaraneiru ya xibloutandu (jaranero y silbando), lo mismo que si ya agolifara (oliese) el negocio antes de comenzarlo. Apeose de un áxil blincu (ágil salto) el gitano Pascualón de su xumentu (jumento), y saludó con marcado respeto a la Manola, que ni tan siquiera le contestó, ya que sólo tenía ojos para apropiar al burro, que le pareció muy atongaín (bueno) en sus primeras güeyáes (ojeadas). Empezó el gitano sin demora a tejer en el hacer del trato, con la que él pensaba, que iba a ser una victima sencilla para hacerle un lucrativo timo, ya que entamangaba (hacía) la Manola tal focicu de fatona (hocico de boba), que no era menos de pensar, que aquella mujer tenía los sentidos escosáus (secos) de toda listeza. El gitano que era un útre (águila) en el asunto de hacer de un jumento que sólo valía para ser achuguináu (sacrificado) y convertirlo en chorizos perreros (malos), digo, que él podía hacer de un burro moribundo, un pollino de ojos vivarachos, espurrías uréas (estiradas orejas) y espatuxares de rellámpagu (caminares de relámpago). Así pues con esta maestría que le caracterizaba, comenzó a rexistrar (mirar) a la Facunda desde el principio de su hocico hasta el término de su cola, sin olvidarse de sus molares y patas, y mientras que él hacía tal cosa, Ias Xabarceiras no perdían su tiempo, pues también manxuñaban (tocaban, palpaban) el jumento del gitano por todo el peyeyu (pellejo), con las miras de encontrarle algo que le faltase, o de descubrirle un postizo que le tapase un defecto. Pascualón como que no quería la cosa las propiaba por el rabillo del ojo, y así, allindiaba (cuidaba) a las Xabarceiras que no tenían sentidos nada más que para rexistrar (mirar) el burro del gitano, que no hacía nada más que tascase (moverse) y no estarse ni un instante quieto, demostrándoles con tal nervioso bailar, que era un pollino de arreos, con fuerza según ellas, de llevar un par de manegáus (cestos) encima de su lomo, sin ni siquiera hacer ni un senaldo, hasta el mismo Ricabu, o al lugar de Torrestíu, que son las aldeas más cimeiras de los concejos vecinos. Se veía a las claras, que a entrambas Xabarceiras les encantaba el jumento, por tal razón Pascualón, en el lleldar (hacer) que sacaba una colilla del bolso de su llásticu (chaleco) y le plantaba fuego sin soltar el cayao de su mano, les dijo sonrientemente: ¡No desperdicien el tiempo en buscarle defectos a mi buche, pues no le falta ninguna cosa, ya que tiene hasta los dos coyones (cojones) y está tan entero como yo mismo, que soy padre de una docena de hijos! ¡Pero es igual mujerinas, pues aunque algún defecto tuviese mi jumento, me parece a mí, que no voy a poder hacer trato con ustedes, porque esta pollina que me quieren espetar, está más para ser achorizada en Noreña, que es para lo único que vale, que para hacer galopadas por los caminos! ¡Ahora que si me dan encima de ella ochenta reales, el trato está hecho, y sino, cada cual allindie (cuide) lo que es suyo! Después de mucho tejer y destejer, porfiar, y alegar mil razonamientos de toda índole, la Manola le dijo que sólo le daría sesenta reales, y Pascualón cogiéndole por su palabra, enfardóu (guardó) los dineros en el bolso, y sin demostrar la contentura que le embargaba, dio el trato por hecho. A la mañana siguiente cuando el malvís silbotiaba anunciando el nuevo día, se levantó de su cama la Manola a la misma hora que siempre solía, y antes de hacer ninguna otra labor, fue muy ilusionada y contenta a la cortexaca (cuadra pequeña) donde tenía guardado el pollino, y cuando le puso sus inquisitivos ojos encima, su alegre ilusión fue devorada por una triste sorpresa que le produjo la visión de ver a su pollino achucáu (acostado) en una postura engalbaná (sin fuerza, sin gracia, sospechosa), acercose a él ya buyéndole en sus temperamentales y endemoniados sentidos la apenada sospecha de haber sido engañada por el gitano, y sin el menor miramiento le atizó unos punterazos con las madreñas encima de los cadriles (patas) para que se incorporara y poder mejor repararlo, y fue entonces cuando se le enxenebróu (helósele) la sangre en sus venas, ameruxánduse sous fégadus (llenándose sus hígados) en el atayu (atajo) de un envenenador desespero, al reparar con cuidado a su pollino, por eso sus ojos se le llenaron de lágrimas que alumbraban la rabia y la mala leche que l'esmolecía, (deshacía), cuando ya sin ninguna duda comprobó, que el genio y bizarría que el burro tenía en la hora del trato, no era el mismo que en aquel encaldar (hacer), sino que se había tornado en volverse en estar amurrentáu (enfermizo, moribundo), lo mismo que si del mundo de los vivos se estuviera despidiendo. A fuerza de bardiascazus (palos) y de xurarnentus (juramentos) que sin miatcha (migaja) de compasión la Manola le propinaba, dentro de una amanicomiaura (locura) que le desencaldaba (deshacía) el alma, logró el pobre animal incorporarse, y cuando estuvo en pie el descuaxaringuetáu (deshecho) jumento, con sus urées pingones (orejas lacias, bajas) y los güetchus choramicándoye (los ojos llorándole), como si hubiera despertado de una penosa pesadilla, y por si fuese poco todo esto que la Manola propiaba, todavía la pobre bestia comenzó a temblar con tanta intensidad por todo su cuerpo, que le daba lugar para pensar a la airada y endiablada Xabarceira, que aquel cadabre (cadáver) de burro, estaba viviendo sus postreros momentos. Cuando la Manola percatose ya sin ninguna duda de lo cadarmeru y'esmoleciu (de lo cadavérico y desvanecido), que se encontraba el condenado burro que la había espetado el diablo de Pascualón el gitano, comenzó a alumbrar por su pecaminosa boca, dirigida por su envenenadora lengua, un rosario de juramentos todos en contra de los santos seres del cielo, también maldijo con igual arte a todos los demonios de los infiernos, y no se dejó atrás y ya en este lleldar (suceder) colgándole de las comisuras de su boca unas flemas azuladas cargadas de rabia y de veneno, a todos los gitanos de la tierra, y hasta se recordó ya completamente desarrendada por la amanicomiaura (locura) que la encibiétchaba (retorcía), de manera más denigrante hasta de la propia madre que la había parido. Ante tal escándalo de palabras endemoniantes, saltó de su cama haciendo fuego su hermana Venancia y entre las dos juntas terminaron de hacer la desarrendada y pecaminosa fiesta. «EL PEDÁNEO DE LA ALDEA» Cogió la Manola una foicetuca (hoz) que tenía mangada en un recio y fino palo de ablanu (avellano), y la su hermana una pala de dientes que estaba mocha (falta) de un par de pinchos, y así armadas como si fuesen a la guerra, conducidas por el rey de los demonios que moraba dentro de sus espíritus, preparando un alboroto tan sonado y enloquecido que dudo que nada en la vida otro mayor hiciera, con una prisa que por ser ardiente les amagostada (quemaba) la entraña, fuéronse en busca de los gitanos con el invariable propósito, de deshacer el mal trato que con ellas hicieron, y por las buenas o por las malas, recuperar sus dineros y a su pollina Facunda. Cuando llegaron debajo de los hórreos lugar donde ellas sabían que estaban los gitanos y comprobaron que ya de la aldea a tan tempranera hora los foinus (ladrones) ya se habían xebráu (marchado), entonces la pecaminosa folixa (bronca) qu' enguedétcharun (que enredaron) fue tan escandalosa que pusieron en pie de alarma a toda la aldea, y hasta los perros del lugar, ladraban enfurecidos, sin agolifar (oler) por dónde escarrapietchábase (deshacíase) el peligro, pero presintiendo que se encovarachaba (encuevaba) dentro de los falaxes (hablajes) enfogaratáus (fogosos) que alumbraban las gafuróuxas (venenosas) lenguas de las garruxantes Xabarceiras. Las gentes de mi aldea, al escuchar aquel enxame (emjambre) de airadas voces, que todas ellas endubichaban (envolvían) un rosario de fataus (muchas) maldiciones pecaminosas, a tan hora tan ceda (temprana) de la albiada (de la mañana), descumbutcherun (despertaron, levantáronse) del catre donde aun felices algunos descansaban, y comenzaron a asomarse a las puertas y ventanas, y cuando comprobaron de qué se trataba, dieron rienda suelta a sus risas y gozos que les producía la desgracia que consumía a las ramplonzuelas (ladronas) Xábarceiras, que desde el primer día que habían sentado sus vivencias en la aldea, vivían a cuenta de lo que arrapiegaban (robaban) a los vecinos, sin que jamás s’andecharan (hicieran cuadrilla) en una gavita (ayuda) hacia sus vecinos, aunque éstos se reventasen atosigados por el excesivo trabajo. Por eso, cuando aquel amanecer conoció la aldea el timo que los avispados gitanos hicieran en los pequeños intereses de las atuñáes (avaras) Xabarceiras, al espetarles aquel jumento al cambio de la Facunda, que según las manifestaciones juramentadas que públicamente pregonaba con grandes gritos la Manola, estaba murriéndose estingarraón na cortexa (muriéndose acostado en la cuadra), al xebrársele (marchársele) la alegría y el bizarro genio que le había inyectado la tarrasca (borrachera) de marrasquino que le hicieran coger los gitanos, con el fin de que el alcohol le diera por unos momentos las briosas fuerzas de su juventud que la naturaleza por viejo y deshecho ya le había quitado. Pero no conforme Pascualón con este ardid, también le había introducido para que mejor se dibujase en el lugar de su conveniencia, una fogosa guindilla en el furacu (agujero) por donde alumbraba el federosu cuchu (hediondo estiércol), y por estas razones el pobre animal que en el momento del trato obreiráu (aguijonado) por estos reactivos respondió a las aspiraciones de Pascualón para equivocar a las Xabarceiras, ahora ya aquel pollino falto de tales estímulos, no respondía a las gozosas ilusiones de la Manola v su hermana, por eso entrambas y dos estaban llevadas y traídas por el mismo demonio, y en peor genio se ponían, cuando presenciaban a las gentes de mi aldea todas ellas de buen suceso, entamangándu festa ya murga (haciendo fiesta y güasa) de las hasta entonces avispadas Xabarceiras. Así por ejemplo, la muyer del Goxeiru (mujer del Cestero) que por la causa de que la Facunda apartando el rabo p'un lláu (para un lado) y dejando la clica 'l entestate (la matriz al aire libre) permitiera que su alegre burro le anuedara 'l cibietchu (le hiciera el amor) dejándola preñada, pues por esta causa, engarrapoláronse (peleáronse) con ella las Xabarceiras, en una engarradiétcha (lucha) de campeonato, que si no es porque unos hombres de la aldea las separan, la hubiesen esmueliu a tochazus (muerto a palos), pues esta mujer esfargayánduse (deshaciéndose) de risa díjoles: ¿Qué pensabas Manola, que podías equivocar a los gitanos lo mismo que haces con todos nosotros desde que el demonio te trajo sabe Dios de dónde a vivir a esta aldea? ¡Esos filan (hilan) más fino que nosotros mióu nena, por eso no has sido capaz de detener el truñazu (testerazo) que te atizaron cuando pretendías hacer negocio con ellos, que son los mismos hijos de tu padre el diablo! ¡Me parece a mí que este año, si quieres ir a vender por las romerías la fruta qu’escarpenas (que arrancas) de nuestros árboles, vas a tener que llevar las maniegas (cestas) encima de tu mollera! Xofitóu (apoyó) Manuela de Juan de Pacha, que era muy aguda lanzando putchas (sátiras). ¡Qué quieres hacer Manola, hay que armarse de paciencia mióu nena y nunca olvides que el demonio tiene focicu de gochu (hocico de cerdo), aunque en este lleldar (suceder) a tí se te presentara en la fechura (hechura) de Pascualón el gitano, que mucióte (ordeñote) la cuarexa (cartera) y llancote (te plantó) un pollín, que según el tu falar (hablar) regalado es caro. Díjole Filomena la mujer de Julián el Pertegueiru, que tenía una lengua p’aximielgar (mover) con molestosas intenciones a las gentes. Con más arte, que su marido que era áxil (ágil) como un esquil (ardilla) tenía de coraxe (coraje) para sacudir los arizos de los castañales. Estas y otras parecidas sátiras adornadas con risas y juergas de diferente índole, les decían las gentes de mi aldea aquella mañana a las xabarceiras, con intenciones de zaherirlas, porque ni eran sociables. ni menos tenían nada de buenas personas, sino todo lo contrario, aunque si digo la verdad en aquella época, había en mi pueblo peores personas que las Xabarceiras, ya que moraban un piño de fascistones asesinos, que ellos solos se bastaban para tirar tal partido por tierra. Tanto la Manola como su hermana, esnalaban (volaban) hasta los mismos teyáus (tejados) del aburrióxu (ardiente) infierno, dentro de un envenenamiento que hacía xuenzura con la manicomiaura (yunta con la locura), y con sus lenguas harto desatinadas escarnecían todo cuanto existe del cielo abajo y del infierno arriba, y en todo momento eran acosadas por los perros de la aldea, que les buscaban descuido para hincarles los dientes en cualquier lugar de sus escalixerus cuerpos, y al tenor que con rapidez espatuxaben (corrían) iban poniendo al Hacedor y su Creación como un fedoroxu fatu (hediendo trapo), con sus maldiciones y romances pecaminosos, que muchos de ellos nadie en el lugar jamás había escuchado, y dudo que pocas personas podrían endubitchar (enredar) un rosario de ofensas como el que la Manola preparaba. Pero a pesar de ya ser mucho todo esto que enseñaban, dentro de sus mal intencionadas entrañas, muchas más nefastosas intenciones aun se albergaban, y obreiradas (aguijonadas) por ellas, encamináronse afalucháes (arreadas) por el diablo, hasta la casa del pedáneo, que moraba en la fondeirá (en lo hondo) de la aldeina, y cuando ilegaron a las canciétchas (cancelas) y vieron que estaban piescháes (cerradas), aferronáronse (cogiéronse) a ellas con tal arte, y sacudiéronlas con tal fuerza, que al no llegar el perro a ponerles freno, de seguro que dieran en tierra con ellas. Pero la Manola que era en aquellos momentos conducida por todos los demonios nacidos y por nacer, que la habían corrompináu (llenado) con una airada rabia desgalgada (desmandada), no le puso ningún respeto ni menos miedo aquel perro grande armado de carlangas que hasta los mismos lobos les imponía recelo, sino que le hizo frente con su foiceta (hoz) llantándoye (plantándole) un focetazu (golpe con la hoz) en medio de su enorme cabeza, que le hizo al gafu (fiero) perro atropar (guardar) el rabo entre sus piernas, y marcharse glayucandu (aullando) de dolores del lado de aquella mujer que era peor que la más bravía de las fieras. No hicieron caso las Xabarceiras del matauriáu (descalabrado) can qu'ameruxáu de miéu (que plagado de miedo) se marchara del lado de ellas, sino que entrambas en el mismo lleldar (hacer) ximielgaben (sacudían) las cancelas en el parejo encaldar que llamaban al pedáneo de la siguiente manera: ¡Gracianu, Gracianu...! ¿Dóu tás aponiu faldetacu alcaldi de piteru? (¿Dónde estás ruin alcalde de gallinero?). El bueno de Graciano que se encontraba en la corte (cuadra) muciendu (ordeñando) las vacas, al sentir a su perro glayucar endolloriu (ladrar dolorido) y escuchar aquellas voces preñadas de prisa y betchás (ricas) de ofensivas palabras hacia su persona, salió sin pérdida de tiempo del establo con la caramañola (lechera) en la mano, y cuando comprobó quién le reclamaba, díjoles medio enojado, porque enfadado del todo nunca Graciano lo estaba: ¿Qué es lo que queréis condenadas del infierno, donde sin ninguna duda algún día iréis amagostabus (quemaros) esas asquerosas lenguas que tenéis? ¿qué es lo que queréis que tan cedu (temprano) llegáis a la mi puerta, y no en son de paz como es la debida forma, ya que lo primero que habéis hecho, fue partirle la cabeza al perro que intentó poneros el freno que estáis necesitando desde el mismo día que pusisteis los pies en esta aldea, y no contentas con ésto, aun estáis molestando al amo, enloquecidas por el demonio que lleváis dentro de vuestros cuerpos, que sólo vosotras sabéis dónde le encontrasteis, pero que os hace rellumbrare (relucir) como el mismo rellámpagu? (relámpago) ¡Vengo a ordenarte, —dijo la Manola, saliéndole espumarayus (espumarajos) de rabia por su boca—, vengo a mandarte, que te hagas en el momento en perseguidor de los asquerosos y ladrones gitanos, que me engañaron con un burraco que cambié por la mi Facunda, que ahora está estingarraón (tirado, acostado) en la cuadra, sin llixa (fuerza) de sostenerse encima de su cadriles (patas). Graciano que era como ya sabemos, muy agudo y socarrón, comenzó a reírse por lo bajo, porque abiertamente no se decidía ante el temor de no terminar de alterar aquel par de humanas fieras, que muy capaces las creía de pagar en su persona sus cacíus estrapayáus (sus platos rotos), luego poniendo la cantimpla (lechera) entre las manos de su mujer, que había bajado a la corraleda al escuchar tan grande alboroto, y seguidamente, rascándose su cabeza por debajo de su gorra, les dijo a las Xabarceiras con una socarronería que le alegraba satisfactoriamente: —Podéis ir vosotras mismas a buscarlos, ya que tanto os interesa en encontrarlos, porque yo fuera de la aldea y aun dentro de ella, ninguna autoridad tengo, que me obligue a perseguir a nadie, y creo que para hacia la Villa deben de encontrarse, porque poco antes del amanecer les he oído yo pasar por delante de mi casa, y por cierto que llevaban entemangada una allegroúxa folixa (iban formando una alegre juerga), y ahora escurro (discurro) de dónde procedía tan grande gozo que les acompañaba, que ni más ni menos era, del betcháu (rico) trato que al parecer hicieron con la tu Facunda, por la causa de querer ser tu, todavía más gitana que ellos. ¿Qué es lo que me estás diciendo so castrón (cornudo) de los infiernos? ¡Qué no tienes de hombre nada más que el paxierchu qu’enllastica lus tous enxenebráus güesus, (traje que cubre tus fríos huesos), si en todos los lugares de Asturias tienen como autoridades a ejemplares con el mismo esprapayu (disposición, ánimo), que te tiene encibietcháu a ti, más les valdría a las gentes hacer con ellos, lo mismo que yo debía de hacerte a ti! ¡Vaya un alcalde de cuatcháus (cuajados) que en el lugar tenemos, yo no sé lo que estarían pensando los vecinos el día que te han dado la güichá (vara) de mando, porque la verdad es que no sirves ni para tornar (parar) el agua en un banzaucu (remanso) de poca llixa (fuerza)! Le dijo la Manola lanzándole unas envenenadoras y asesinantes miradas, que intencionaban la firme idea de entamangar (hacer) un engarapoláu con él. Graciano, sin hacer mucho aprecio de lo que le estaba diciendo la bruxa xabarceira, sonrientemente le preguntó: ¿Y qué es lo que te gustaría hacerme a mi Manola? ¡Lo primero que te haría so castrón de los infiernos, sería... llantate la foceta (plantarte la hoz) en medio de tu cabeza, fendiéndotela hasta las mismas caxietches del xixu (partiéndotela hasta las mismas células de los sesos), y después te haría el juicio de por qué fuiste condenado a morrer (morir), que sería por el cobardoso delito, de no saber defender los intereses de la aldea, como es tu obligación de alcalde, y también por consentir, que xentes arrobonas (gentes ladronas), colen del chugar (marchen de la aldea), haciendo festa ya murga (fiesta y güasa), ximielgánduse lus cuartus na cuarexa quei arraguñarun a lus tous vecinus (moviendo los dineros en su cartera, que fueron fruto del robo que hicieron a tus vecinos), por la causa de tener un pedáneo, escasáu de coyones, ya betcháu de plumes de pituca llueza! (seco de cojones, y rico de plumas de gallina clueca). Estas palabras tan poco delicadas y tan grandemente ofensivas, no le sentaron nada bien a Graciano, a pesar de ser él, hombre tranquilo y transigente en gran medida, quizás las hubiese deximíu (olvidado) si su mujer no estaviese presente, pero al no ser así, a Graciano no le cupo otra alternativa, que intentar castigar a aquella desvergonzada que le estaba tratando lo mismo que si él fuese en vez de un hombre y por más primera autoridad de la aldea, no fuese nada más que un enyordiáu pingayu (un sucio pingajo), por esto, destinado Graciano en hondura donde jamás se había presenciado, se arrimó a la Manola con miras d'acoyela (de cogerla), y propinarle un par de ximielgones (sacudidas) y meterle el miedo y la vergüenza en el cuerpo a aquella deslenguada, aunque no fuese nada más, que para demostrarle a su mujer, que un hombre siempre es un hombre, aunque su mujer le pegue, le engañe y le convierta en cabrón por considerarle baldrayu (cobarde). Pero lo que no pudo imaginar Graciano, era que la Manola no se amilanaba ante nada ni nadie, y para demostrárselo, dio un paso hacia atrás para dejar trecho de combate, y enarbolando su focetina (hoz) en el aire, apurrióye (diole) con ella un fuerte y certero golpe en su cabeza, que hizo que el pobre pedáneo se esmurgazara (se cayera) en el santo suelo privado del conocimiento, manando un remexu (un chorro) de sangre, por una mancaúra (herida) que le había nacido repentinamente en el canto una vidatcha (sién). Y así en esta ridícula y dolorosa postura, atendido por su mujer ante la cual el Graciano pretendía convertirse en un héroe, le dejaron las Xabarceiras, que colaron (marcharon) de su casa, perseguidas de cerca por el rencoroso perro de Graciano, que les ladraba enfadado, más por el golpetazo que a él le habían apurriu (dado), que por el que le allantaron (dicran) en el pericote (alto) de la mollera de su amo. Amanicomionáes fasta ‘l más espurrir y'encoyer (enloquecidas hasta el más estirarse y encogerse), Ilegaron las Xabarceiras a su casa guiadas por el mismo espíritu de lucha que en ellas no cejaría hasta que no pudiesen dar con los gitanos, aunque menester fuérales perseguirlos hasta los quintos infiernos, y para sacarlos de este antro, con el fin de conseguir lo que les pertenecía, estaban decididamente dispuestas a partirle los cuernos al propio diablo lo mismo que terminaban de hacer con el pedáneo Graciano. Así pues, sin perder ni tan sólo un minuto de tiempo, sacaron de la cuadra el cadarmoúxu (cadavérico) burro de Pascualón el gitano, y la Venancia tirando del ronzal, con tal xuxeante llixa (crecida fuerza) que si pudiese le llevaría arrastrando, y su hermana Manola apuxada (soplada) por un demonio con peor genio aun, iba detrás del desventurado pollino apurriénduye (atizándole) sin descanso barganazu tras barganazu (palo tras de palo), encima del llombu (lomo) del pobre y descuaxaringuetáu (deshecho) pollino, para que caminase con prisa, y tal hacía la desdichada bestia, y no tanto por huir de los palos a los cuales ya debía de estar bien acostumbrado, sino por intentar aflojar el dogal del que tiraba Venancia, y así de esta forma y siempre en pos de los gitanos, se dirigían a la Villa donde aquel día había mercado. Hicieron entrada en el mercado las Xabarceiras arremexandu (remojadas) en sudor, producido por el cansancio de la larga caminata, y por la desmesurada rabia que a entrambas y dos las atenazaba. Y mismamente al lado de la fragua del ferreiru (herrero) que aquel día tenía endemasía trabajo, agüeyarun (avistaron) a la Facunda, y al lado de ella muy sonriente y gozoso se encontraba el gitano, que tampoco perdía su tiempo, pues ya estaba tratando de venderla o de cambiarla a un paisano que en la sazón la estaba registrando, pero plantándose la Manola delante de Pascualón, le dijo con el hambre retratada en sus ojos de atizarle un par de focetazus: ¿Qué barro me has espetado en el trato so ladrón? ¡Haz el favor de devolverme ahora mismo mi pollina, así como los dineros que me arraguñaste (arañaste), si quieres que este espineroso y mentecato trato que conmigo has hecho, tan sólo se quede en un inolvidable enfado! Pascualón no le hizo mucho caso a las palabras rogativas de la Manola, y así empujándola para un lado con cierto desprecio, a la par que la miraba amenazadoramente le dijo: ¡Quítese delante de mi vista mujeraca de los infiernos, y deje ya de molestarme en mi trabajo, y no olvide nunca, que el que hace un trato con Pascualón, lo tiene hecho para ciento y un años, y ahora lárguese y déjeme tranquilo, que estoy en buenos tratos con este paisano! Nunca peor hiciera el gitano en toda su existencia, pues antes de que se percatase del peligro que le rondaba, la foicina (hoz) de la Manola caía sobre su cabeza con la fuerza de un rayo, escantoyándoila (hiriéndosela) por un par de xeitus (sitios), que hicieron que Pascualón sin gurniar (decir) palabra, se enclicara (se cayera) en el enllordiáu (sucio) suelo, falto de sus sentidos, y alumbrando tanta sangre por sus heridas como un gochu (cerdo) cuando lo están achuquinandu (matando). Nisti telar atopábase (de esta forma se encontraba) Pascualón, con el cerebro escosáu (seco) d'afechu (del todo), por mor de aquel inesperado golpetazo, que le había llegado de manos de quien él menos esperaba, cuando Antonio, un guardia civil del cuartelillo de la Villa, que había presenciado todo el achuquinante xocesu (sangriento suceso), por encontrarse este guardia al lado de la ferrería, enzolánduse fatáus de culetinus de xidre, (bebiendo copiosos vasos de sidra), en amigable compañía con unos paisanos, en el chigrín (bar) de la Faba Prieta (la Haba Negra). Por eso, cuando vio esmurgazarse (caerse) en el suelo por mor del focetazu que le allumara (alumbrara) la Manola al foin del gitano, fue el guardia acochetráu (acelerado, rápido) al lugar del amagüestu (la quema), con el buen fin de encaxinar (encajar) el orden en aquel descalabramiento, nada más que el guardia llegó, afogárunse lus aburióxus (se ahogaron los ardientes) ánimos de otros gitanos, que lleldáus (hechos) dentro de una folixa (bronca) engafuróuxa (envenenada), intentaban acorralar a las dos Xabarceiras, que ya en la sazón se habían aferronáu (cojido) a la Facunda, y dejado libre al jumento del gitano. Mientras tanto, el herido de Pascualón ayudado por el guardia y por otros gitanos, que aun seguían con voces enardecidas maldiciendo y amenazando a las Xabarceiras, como cuento, se puso Pascualón en pie aun medio temblando al volver del desmayo, y con todo su rostro plagado de escandalosa sangre, demostrando que fuera del dolor que pudiera sufrir, el condenado no estaba en trance de mayores males en su cuerpo, no así en sus intereses como veremos seguidamente. «UN XUEZ D’ESQUILONA» (UN JUEZ DE CAMPANILLAS) Era el señor Juan Antonio un falangista digno de ser emulado por el más honrado servidor bien fuese Roxu (Rojo) Prietu (Negro) o Amarietchu (amarillo), era en verdad un hombre Joseantoniano que sin llevar camisa azul con el yugo y las flechas bordados en la pechera, como muchos otros pingayus (pingajos) que yo he conocido, que siempre iban uniformados con su camisa azul y corbata negra, dándoselas en todo momento de buenos falangistas, y no siendo nada más que unos verdaderos mierdas. El señor Juan Antonio era un hombre que llevaba siempre prendido en su espíritu los Nobles y Hermosos Credos de la Falange, con sus Humanidades y Libertades manifiestas, y los sabía cumplir porque los había aprendido en derechura, tal como el Mártir de su Fundador los había creado, para el bien de la Patria y de todos sus hijos. ¡Qué poco sabía José Antonio, que su Maravillosa Doctrina iba a ser manejada por algunos hombres, que cometerían con Ella verdaderos asesinatos y atropellos de toda índole. Pero dejando esto de lo que trataré algún día con mejor cuidado, y acogiéndome al hilo de la historia de la que estoy tratando, diré, que el juez de la Villa era este Caballero, que vivía al lado del mercado, y que era un hombre muy justo, amigo de los razonamientos, inteligente y también un campesino que amorosamente trabajaba sus campos. Cuanto yo, que cuando aquella gresca estaba con su apogeo, salió el juez de su casa para percatarse de aquel ardoroso tiberio (lío que se amagostaba (quemaba) frente a la puerta de su morada, y cuando vio que era un gitano el causante del sangriento escándalo que se enseñaba, díjole al guardia con ardientes deseos de hacer la Justicia en aquel endubiérchu (enredo). ¡Antonio, hágame usted el favor de llevar ahora mismo hasta el Juzgado, a todas las gentes que dieron vida a esa sangrienta engarradiétcha (pelea), para encalducar la xusticia que anda escosá 'n dalgún d'echu (hacer la Justicia que anda seca en alguno de ellos). Así que las Xabarceiras y el escantoyáu (herido) Pascualón hiciéronse presentes en el Juzgado, ante los escrutadores ojos del señor juez, pusiéronse los tres al mismo tiempo a hablar en su defensa, acusándose los unos a los otros dentro de un rosario de palabras injuriosas y amenazantes, que de nuevo los ponía en el atajo de volver a engarrapolarse (pelearse). Pero el señor Juan Antonio fiel repartidor de la Justicia, aporreó con sus nervudas y fuertes manos un mazazo encima de la mesa, que por muy poco la desarma en un montón de astillas, ya que era el juez un bigardón (mozarro) de más de dos metros de estatura, tan fuerte y resistente como una montaña. Y al parejo que tal golpe sacudía, dijo engrifandu (arrugando) su hocico al lar del enfado: ¡Hágamne el favor, y procuren que no tenga que llamarles de nuevo la atención, de hablar tan sólo el que yo le pregunte! Y al decir esto, miró tan condenadoramente al gitano, que éste, que se sabía culpable de muchos engañosos tratos que había efectuado en todo aquel concejo, no pudo menos que ya considerarse culpable, antes de que el juicio comenzara. ¡Vamos a ver Manola, hoy como no tengo mucha prisa ya que el llabor (labor) no me apremia, cuéntame tú la primera con toda clase de pelos y señales, lo que te ha sucedido, para que le escantoyaras (deshicieras) la mollera a este paisano, del que ya tengo oídas que no es la primera rapiega qu'esfuecha (zorra que despelleja) ni tampoco será la última, porque el que fai 'n maniegu fai 'n cientu, dandoi banietches ya tiempu! (el que hace un cesto hace un ciento, si se le da, varas y tiempo). ¡No fue solamente este condenado y útre de xitanu (buitre de gitano) el que salió amatauriáu (con heridas) de este asunto escontramundiáu enrevesado), que prestase usted con tan buen tino a escantexayu (arreglarlo) señor xuez (juez). Pues también al pedáneo de la mi aldeina me vi en la apremiante necesidad d'apurriye (de darle) un par de galgazus (estacazos) en mitad de la cabeza de magüetu (bestia) que tiene, por el no querer acaidonar (dirigir) la justicia en el camino de la razón, como corresponde a su condición y obligación de alcalde del chugar! (lugar). ¡Por la Virxen (Virgen) de los Remedios Manola, no vaigues (vayas) a decirme que por mor de este foín (ladrón) de gitano, tuviste que fendeye (partirle) la cabeza al pobre Graciano!, dijo el juez alegrando su rostro dentro de una llixerina (ligera) risa. ¡Sí señor juez, así ha sucedido! Afirmó la Manola, y seguido le contó todo el suceso desfigurándole y haciéndole más rentable a su favor. El juez casi sin poder detener la risa que le regocijaba su espíritu natural y noble, dijo intentando enmarcar en su rostro la seriedad que no era capaz de hacer: ¡Has hecho muy bien Manola, pues yo entiendo, que el que tiene el delicado oficio d'encaidonar (de dirigir) la justicia, y traiciona tan derecho menester, debe de ser castigado con más entaine (fuerza), que aquellas otras personas, que tienen la obligación de la ley obedecer. Así pues, si en mis manos estuviera te premiaría, por la valentía que has usado al defender la justicia y la libertad de tus intereses! ¡Y ahora... sigue, sigue Manola, y cuéntame todo el suceso en sin mucitche (ordeñarle) ni una migátchina (migaja), que me presta mucho mióu nena (que me agrada mucho mujer). ¡Escúcheme bien señor juez, y júrole por adelantado que cuanto le voy a decir, no se xebra (marcha) de la verdad en nada, y todo ello no es nada bueno ni para mis intereses que han quedado esgazáus d'afechu (rotos del todo), ni tampoco para este gitanu que vé usted aquí tan humildemente con la cabeza gacha, queriendo dar a entender que no ha roto en toda su vida un mal plato, y lleva desde que ha nacido viviendo a cuenta de sus bien urdidos tratos, que tal parece que para industriarlos le ayuda en todo momento la brujería o el mismo diablo! ¡Verá usted señor juez! —Ayer cuando el sol se esfumía (marchaba) por detrás del penón (peña) picutrera (sierra de las águilas), que es la hora d’atapecer (oscurecer) la tarde, llegó este llimiagu (baboso) de gitano a caballo de su adefexu de pollín hasta la misma puerta de mi casa con mires de tentarme la necesidad que me arretrigaba, porque usted bien sabe que nosotras nos dedicamos a correr (vender) la fruta, por todas las romerías y lugares de los tres conceyus y de esta manera nos ganamos nuestra vida muy decente y honradamente, pues como le estoy diciendo, no sé cómo este condenado se enteró que la nuestra pollina estaba próxima a parir, y claro, al encontrarse la probitina en tal estado, no nos podía servir para nuestro trabajo, por eso, tentadas por el embrujo, la engañadora palabra y la buena presencia que en aquel momento se ensenoraba en el pollín de este fartonzón (comedor), enguedeyóume (me enredó) este bruxu (brujo) de gitano, con el endemoniado trato que conmigo hizo, que si tarda mucho tiempo en deshacerse de nuevo, se me va escosar el xuiciu (secar el juicio), y va a dexame Ies caxierches del celebru tan enxenebráes d'entendedeiras, que vóu bazcuchame abondu más cedu de lu qu'usté cunta na mesma amanicomiaúra (dejarme los sesos del cerebro tan fríos de entendimientos, que se me van a vertir mucho más temprano de lo que usted piensa en el mismo manicomio). —El caso fue señor juez, que el burro que traía este foinacu (ladronzuelo) de gitano, estaba en conciencia de él bien preparado, para dejarme a mi despreparada de intereses, pues el pollicaco con un fatáu de caxilonainus (montón de cajilones) de marrasquino que le daban calor y fuerza a su banduévu (panza), hacían de él por el motivo de la alegre tarrasca que lu encibiechaba (borrachera que lo trenzaba), un burrón con buena llixa ya xuxeáu xeniu (fuerza y crecido genio). Y por si fuese poco esto que le cuento, todavía para que el pollino mejor se dibujase, llantárale este achuquinador de gitano, una rabiosa guindilla por debajo de la cola, mismamente dentro del oscuro agujero que alumbra el recimo de los hediondos cagayones, según descubrí yo misma hoy por la mañana justamente cuando ya era demasiado tarde. Y todavía por si estas dos demoníacas trampas no fuesen suficiente este banduerru (indeseable) de gitano, de tal manera me dibujó su jumento que desatinada me trae en este juicio, que me hizo de él un semeyu (retrato) que yo papéilu (creílo) entero, y consideré al pollín como el mejor burro de toda la burrería de gitanacus y aldeanos. Por esto señor juez, le di al cambio de tan falsa y ençañadora presea, la mi pollina Facunda y sesenta pesetas encima, y con estas prendas en nada faisas, xebróuxe (marchose) de mi vera este maldito gitano, tirando del ramal de la mi Facunda, que no quería la probitina del mi lado marcharse, quizás porque presintiera al ser más lista que yo, en la triste desgracia que me dejaba este baldrayu (cobarde) de gitano, que se alejaba de mi casa haciendo que ruxeran (sonaran) los mis dineros en su bolsillo, a la par que se iba riendo de gozo y alegría por la causa del betcháu (rico) negocio que encima de mi pobreza hiciera este desalmado de gitano. Pascualón que ya tenía lleldáu (hecho) en su pensamiento axuquerándose (apoyándose) en las anabayáes güeyáes (acuchillantes miradas) que le dirigía insistentemente el juez que aquel juicio lo tenía bien perdido, cuando escuchó a la Manola decir que le había entregado sesenta pesetas, puso el glayíu (grito) en el cielo jurándole al juez por el Cristo de los gitanos y la Virgen de los cristianos, que la Manola estaba mintiendo, pues tan sólo le había dado sesenta reales. El juez, escuchó por breves momentos a Pascualón en su defensa, y después poniéndose en pie y mirándole acusadoramente desde su montañosa humanidad, a la par que señalándole con su dedo índice que era más grueso que la muñeca del gitano, le dijo con palabras que marcaban el denodado desprecio que sentía hacia estas pobres y desdichadas gentes: ¡Sesenta reales por cuatro lados, que hacen justamente lo que le arraguñaste (arañaste, robaste) a esta desventurada muyerina. No me cave la menor duda que yo os conozco muy bien, ya que siendo yo niño otros gitanos como tu también engañaron a mi padre, por eso puedo juzgarte con propiedad y conocimiento de causa, porque sé que no vivís nada más que de el timo y del engaño y de vuestras cestas, que mientras las tejéis pensáis en la forma de hacer vuestras trapisondas cada día con mejor cuidado! Díjole el juez encabronáu (enfadado) en tal postura que sus mejillas se le pusieron del mismo color de las brasas, en el lleldar que no le quitaba los ojos de encima, mirando tan condenadoramente al esquelético rostro del gitano, que iba ser en parte engañado lo mismo que el señor juez, por la paraximesqueira de la Manola. ¡Pero señor juez, habló enloquecido en su defensa el pobre Pascualón, a la par que a sus ojos vivarachos afloraban unas rebeldes lágrimas que tal vez fuesen fruto de la rabia que le producía el ser tan miserablemente robado por aquella aldeana de los infiernos que él en un principio pensaba que era la mujer más tarangona (tonta, imbécil) que había conocido en su vida de bien urdidos timos y enredosos tratos. ¡Pero señor juez! ¡Sesenta pesetas no las he tenido yo juntas desde que baltiarun (tiraron) la República, donde el pobre podía vivir con más libertad, y con más justicia que usted a mi me está haciendo! ¿No comprende usted señor juez, que con sesenta pesetas hoy día se compra un buen burro y aun sobra dinero? ¡Lo que yo comprendo muy bien es que eres un redomado timador y un despreciable ladrón de cuerpo entero, y como no me puedes demostrar con personas de orden y honradez lo contrario, le has de pagar en media hora los dineros que le has timado a esta pobre mujer, y le devuelves su pollina, que ella con buen contento te hará entrega de tu jumento, y tu harás con esté difunto viviente, lo que ahora como final de sentencia yo te dictaré! ¡Cómo este pollín que nos trae en discordia ya no está para hacer ninguna clase de trabajo, y sabiendo todos los que por ser gentes del campo entendemos de animales, que a un burro; es la leche que se le puede ordeñar, que no es otra que su trabajo, yo como juez de este Juzgado, de la muy noble y astur Villa, te condeno a ti, que te llaman todos Pascualón el gitano, y yo te llamaría Pascualín el de los sucios enredos, a que me traigas ante mi presencia, el pellejo de este jumento, y de esta forma sencilla y eficiente, se atajará de una vez por todas el mal por su comienzo, y no ha de ser jamás este pollino equivocador de nadie más! ¡Y que quede bien entendido, que si te xebras de este concejo, sin traerme antes el pellejo del tu jumento, mandaré a los civiles que te persigan hasta que den contigo, y les ordenaré que bien atado te conduzcan ante mi presencia, y aquí, con estas mis manos que no fueron hechas para manejar una pluma, ni menos para detenerse en ningún papeleo, a los cuales yo considero innecesarios cuando la justicia está tan clara como la luz de este hermoso día, como te digo Pascualín de los enredos, con estas mis manos, que saben muy bien manejar el arado, el guarabeñu (guadaña) y la fexoria (azada), para trabajar dentro de la honradez con muchos sudores y esfuerzos la tierra, con estas mis manos que fueron capaces de empuñar un fusil, y luchar sin rencor ni miedo en defensa de unos derechos humanos a los cuales yo considero justos, dentro de la mermada justicia que los hombres sabemos hacernos, con estas mis manos yo te digo Pascualín de los enredos, que l'arrabucaré (le quitaré) el peyeyu (pellejo) al tu jumento, en el preciso momento que haré lo mismo con el tuyo propio, y de esta sencilla manera, libraré a la sociedad de un pioyón (piojo), que al igual que hay muchos que con libertad campean y viven sin doblar el renaz (espinazo) a cuenta del sudor ajeno! Ante la firme sentencia de aquel juez, que maneja las leyes con la misma fuerza y natural justicia con que empuñabá el llabiegu (arado) para arrancarle a la tierra el justo 'precio de su trabajo quedó Pascualón en lo más bajo de sus sufrimientos y las Xabarceiras en lo más alto de sus alegrías, porque habían conseguido con su lucha desesperante y fiera, una victoria que a fuer de verdad, en una parte no era justicia. Sin embargo Pascualón, tras quedarse unos momentos silencioso y meditabundo, díjole a la postre al juez sin ápice de miedo y con la valentía que le azuzaba, al sentirse timado por aquellas mentecatas dentro de la ley y en el mismo limo que él había pensado que les había hecho: ¡Bien está señor juez, que le devuelva a estas paisanacas su pollina Facunda, también entro en sacrificar a mi burro y traerle su pellejo, no me opongo a pagarles los sesenta reales que en el desastroso trato que con estas hijas de satanás hice, que a cambio de mi jumento ellas me han entregado, pero por lo que sí protesto, es por las cuarenta y cinco pesetas de más que tengo que pagarles, y considero que esto es el timo más vergonzoso que jamás le han dado a ninguno de mi clase. Así que… señor juez supuesto que es usted hombre justicioso, le pido que atienda mis honrosas razones, y haga la Justicia sin que ninguno de ella tengamos que avergonzarnos! ¡Yo no sé Pascualín de los enredos, timador de poca monta y menos clase lo que Dios debe saber en las verdades, yo no sé si tu has cobrado lo que dices, o si ellas han pagado lo que afirman, yo soy hombre y como tal no he de avalarme en errores que se xebran de mi alcance, sólo sé que yo he dictado justicia ateniéndome a los hechos que se nombran, y hecho está que tu eres el culpable, y suerte tienes que estas buenas paisaninas, no te hubieran reclamado ciento veinte veces más crecidos, esos dichosos sesenta reales porque si así fuese, no tendrías más remedio, que sin más protestas abonarles! Todos en mi aldea aquella tarde, esperábamos con marcado disimulo, y satisfactoria alegría, que retornaran de la Villa las despreciables Xabarceiras, por el Humano hecho de reírnos y mofarnos de su desgracia, y creo que todos teníamos creído, que iban a retornar otra vez con aquel moribundo pollino, a no ser, que a fuerza de barganazus (estacazos) le hubiesen achuquináu (asesinado) en el camino. Así pues, los vecinos se repartían haciéndose que trabajaban, por las diferentes huertas colindantes con el camino por donde ellas tendrían que regresar, y algunos chiquillos dentro de las malsanas intenciones de guasearnos de ellas por adelantado, fuimos a su encuentro en un trayecto de más de tres kilómetros, para entrar escoltándolas en la aldea, haciendo verbena a la fiesta que teníamos acordado prepararles. Al fin las vimos retornar, y cuánto desprecio, ansias de sátira y risa sentíamos por ellas, tornose de pronto en respetuosa admiración, pues atónitos pudimos comprobar, que no sólo traían con ellas a su burra Facunda, sino que al lado de ésta traían un estupendo pollino que habían mercado con los dineros que supieron sacarle al avispado gitano, demostrándonos a todos, que el vencedor aunque odiado y despreciado por ser en demasía nefastoso, siempre es admirado y temido, ante el temor de por él, ser humillado y avasallado. Esta es una condición de la cobarde masa Humana, que al vencido aunque éste sea caballeroso y honrado, le solemos despreciar terminando de aniquilarlo, mientras que al vencedor, aunque sea lo más despreciable que imaginarse puede, le cubrimos su camino de rosas y de regalos.————————Axabarciar, entiéndese por vender, tratar, comerciar a pequeña escala, con frutas, huevos, gallinas, etc., etc., etc.Primer Diccionario Enciclopédicu de la Llingua Asturiana > axabarciar
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59 like
like [laɪk]━━━━━━━━━━━━━━━━━1. adjective2. preposition3. adverb4. conjunction5. noun6. plural noun8. compounds━━━━━━━━━━━━━━━━━1. adjective( = similar) semblable2. prepositiona. ( = in comparisons) comme• I never saw anything like it! je n'ai jamais rien vu de pareil !• can't you just accept it like everyone else? tu ne peux pas simplement l'accepter comme tout le monde ?• to be like sb/sth ( = look like) ressembler à qn/qch• that's just like him! c'est bien de lui !• it's not like him to be late ça ne lui ressemble pas d'être en retard(PROV) like father, like son(PROV) tel père, tel fils• that's more like it! (inf) voilà qui est mieux !• it happened like this... ça s'est passé comme ça...• it was like this, I'd just got home... voilà, je venais juste de rentrer chez moi...► something/nothing like• it cost something like £100 cela a coûté dans les 100 livres• that's nothing like it! ça n'est pas du tout ça !b. (asking for descriptions) what's he like? comment est-il ?• what's he like as a teacher? que vaut-il comme professeur ?• what was the film like? comment as-tu trouvé le film ?• what's the weather like in Paris? quel temps fait-il à Paris ?3. adverb• he asked her to do it -- ordered her, more like! (inf) il lui a demandé de le faire -- il le lui a ordonné, plutôt !4. conjunction• it's not like she's poor, or anything ce n'est pas comme si elle était pauvre5. noun( = similar thing) you're not comparing like with like ce sont deux choses (complètement) différentes• oranges, lemons and the like les oranges, les citrons et autres fruits de ce genre• did you ever see the like of it? (inf) a-t-on jamais vu une chose pareille ?6. plural nouna. [+ person] aimer bien• how do you like him? comment le trouvez-vous ?b. [+ object, food, activity] aimer (bien)• which do you like best? lequel préfères-tu ?• how do you like Paris? est-ce que Paris vous plaît ?• how do you like it here? ça vous plaît ici ?c. ( = want, wish) vouloir• I can do it when/where/as much as/how I like je peux le faire quand/où/autant que/comme je veux• he can say what he likes, I won't change my mind il peut dire ce qu'il veut, je ne changerai pas d'avis► would + like (in offers, requests)would you like a drink? voulez-vous boire quelque chose ?• would you like me to go and get it? veux-tu que j'aille le chercher ?• when would you like breakfast? à quelle heure voulez-vous votre petit déjeuner ?• which one would you like? lequel voudriez-vous ?• how do you like your steak? comment voulez-vous votre steak ?━━━━━━━━━━━━━━━━━► When would like has conditional meaning, the conditional of aimer is used.━━━━━━━━━━━━━━━━━• would you like to go to Paris? aimerais-tu aller à Paris ?• how would you like to go to Paris? est-ce que cela te plairait d'aller à Paris ?8. compounds• it was nice to be with like-minded people c'était agréable d'être en compagnie de gens qui ont la même vision des choses* * *I 1. [laɪk]1) ( in the same manner as) commeto act like a professional — agir comme un professionnel or en professionnel
like the liar that she is, she... — en bonne menteuse, elle...
2) (similar to, resembling) commeto be like somebody/something — être comme quelqu'un/quelque chose
so this is what it feels like to be poor — maintenant je sais (or on sait etc) ce que c'est d'être pauvre!
3) ( typical of)it's not like her to be late — ça ne lui ressemble pas or ce n'est pas son genre d'être en retard
4) ( expressing probability)5) ( close to)2.it cost something like £20 — cela a coûté dans les 20 livres or environ 20 livres
adjective sout pareil/-eille, semblable, du même genre3.1) ( in the same way as) commelike I said, I wasn't there — (colloq) comme je vous l'ai déjà dit, je n'étais pas là
2) (colloq) ( as if) comme si4.adverb (akin to, near)it's nothing like as nice as... — c'est loin d'être aussi beau que...
5.‘the figures are 10% more than last year’ - ‘20%, more like!’ — (colloq) ‘les chiffres sont de 10% supérieurs à l'année dernière’ - ‘20%, plutôt!’
fires, floods and the like — des incendies, des inondations et autres catastrophes de ce genre
6.she won't even speak to the likes of us! — (colloq) elle refuse même de parler à des gens comme nous!
- like combining form••like enough —
II [laɪk]like father like son — Prov tel père tel fils Prov
transitive verb1) aimer bien [person]; aimer (bien) [artist, food, music, style]to like A better than B — préférer A à B, aimer mieux A que B
2)what I like about him/this car is... — ce que j'aime (bien) chez lui/dans cette voiture, c'est...
I don't like the look of her, call the doctor — elle a une drôle de mine, appelle le médecin
I like cheese but it doesn't like me — (colloq) j'aime le fromage mais ça ne me réussit pas
I like doing —
3) ( wish) vouloir, aimerI would ou should like a ticket — je voudrais un billet
I would ou should like to do — je voudrais or j'aimerais faire
we'd like her to do — nous voudrions or aimerions qu'elle fasse
say what you like, I think it's a good idea — tu peux dire ce que tu veux, je pense que c'est une bonne idée
4) ( think important) -
60 only
only ['əʊnlɪ]seul, unique;∎ he's/she's an only child il est fils/elle est fille unique;∎ she was the only woman there c'était la seule femme;∎ the only coat I possess le seul manteau que je possède;∎ he's the only one who believes me il est le seul à me croire;∎ we are the only people who know it nous sommes les seuls à le savoir;∎ I'm fed up! - you're not the only one! j'en ai assez! - tu n'es pas le seul!;∎ her only answer was to shrug her shoulders pour toute réponse, elle a haussé les épaules;∎ it's our only chance c'est notre seule chance;∎ the only thing is, I won't be there le seul problème, c'est que je ne serai pas là;∎ the only way I'll go is if it's free je n'irai que si c'est gratuit;∎ her one and only friend son seul et unique ami;∎ the one and only Billy Shears! le seul, l'unique Billy Shears!;∎ Edinburgh is the only place to live Édimbourg est la ville idéale pour vivre2 adverb(a) (exclusively) seulement;∎ only if you agree seulement si tu es d'accord;∎ she has only one brother elle n'a qu'un (seul) frère;∎ there are only two people I trust il n'y a que deux personnes en qui j'aie confiance;∎ only an expert could advise us seul un expert pourrait nous conseiller;∎ you'll only get him to come if you offer him a lift tu ne le feras venir que si tu lui proposes de l'amener;∎ staff only (sign) réservé au personnel(b) (just, merely)∎ he's only a child! ce n'est qu'un enfant!;∎ it's only a scratch c'est seulement une égratignure, ce n'est (rien) qu'une égratignure;∎ after all, it's only money après tout, ce n'est que de l'argent;∎ it's only me! c'est moi!;∎ I only touched it je n'ai fait que le toucher;∎ you've only ruined my best silk shirt(, that's all)! tu n'as fait qu'abîmer ma plus belle chemise en soie(, c'est tout)!;∎ go on, ask him, he can only say no vas-y, demande-lui, ce qui peut t'arriver de pire c'est qu'il refuse;∎ I was only trying to help je cherchais seulement à être utile;∎ it will only make him sad ça ne fera que l'attrister;∎ it's only natural she should want to see him c'est tout naturel qu'elle veuille le voir;∎ I shall be only too pleased to come je ne serai que trop heureux de venir;∎ I only hope we're not too late j'espère seulement que nous n'arrivons pas trop tard;∎ if only they knew!, if they only knew! si (seulement) ils savaient!;∎ he has only to ask for it il n'a qu'à le demander;∎ you only have to look at him to see he's guilty il suffit de le regarder pour voir qu'il est coupable;∎ I will only say that I disagree je me bornerai à dire que je ne suis pas de cet avis;∎ only think what pleasure it gave me imaginez un peu le plaisir que cela m'a fait;∎ be quiet, you stupid dog, it's only the postman! tais-toi donc, le chien, ce n'est que le facteur!;∎ you're only young once il faut profiter de sa jeunesse(c) (to emphasize smallness of amount, number etc) ne… que;∎ it only cost me £5 ça ne m'a coûté que 5 livres;∎ it only took me half an hour je n'ai mis qu'une demi-heure∎ it seems like only yesterday c'est comme si c'était hier;∎ I saw her/used it only yesterday je l'ai vue/m'en suis servi pas plus tard qu'hier;∎ I only found out this morning je n'ai appris ça que ce matin;∎ only last week he appeared to be quite happy la semaine dernière encore, il semblait parfaitement heureux∎ I awoke only to find he was gone à mon réveil, il était parti(a) (but, except) mais□ ;∎ it's like Spain, only cheaper c'est comme l'Espagne, mais en moins cher;∎ go on then, only hurry! vas-y alors, mais dépêche-toi!(b) (were it not for the fact that) mais, seulement;∎ I'd do it, only I don't have the time je le ferais bien, seulement je n'ai pas le temps∎ she's not only bright, she's funny too elle est non seulement intelligente, mais en plus elle est drôle;∎ not only… but also non seulement… mais aussiseulement si;∎ I'll do it, but only if you say sorry first je le ferai, mais seulement si vous vous excusez d'abord;∎ he'll only agree if the money's good enough il n'acceptera que si on lui propose assez d'argent∎ I've only just woken up je viens (tout) juste de me réveiller∎ I only just finished in time je n'ai fini qu'au dernier moment;∎ did she win? - yes, but only just a-t-elle gagné? - oui, mais de justesse;∎ I've only just got enough j'en ai tout juste assez∎ I was only too aware of my own shortcomings je n'étais que trop conscient de mes propres imperfections;∎ I'd be only too delighted to come je ne serai que trop heureux de venir;∎ I remember her only too well je ne risque pas de l'oublier
См. также в других словарях:
non — [ nɔ̃ ] adv. de négation • XIe; lat. non « ne » en position accentuée I ♦ Adv. 1 ♦ (Réponse négative, refus) « Je dois bien t ennuyer, Spark ? Non : pourquoi cela ? » (Musset). Non, rien à faire, n insistez pas. Non, non et non ! Mais non ! Non… … Encyclopédie Universelle
que — 1. (ke) pron. relatif, ou mieux conjonctif 1° Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles. Il ne s emploie que comme régime ; il est des deux genres, et des deux nombres ; l e s élide devant une voyelle ou une h muette. Ces hommes que vous avez vus … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
que — 1. que [ kə ] conj. • Xe; lat. médiév. que, forme affaiblie de qui, simplification de quia, employé en bas lat. au sens de quod « le fait que; que » 1 ♦ Introd. une complétive (à l indic. ou au subj. suivant le v. de la principale, ou la nuance à … Encyclopédie Universelle
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