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abfore

  • 1 abfore

    abfore, abforem, abfuat, s. ab-sum a.E.

    lateinisch-deutsches > abfore

  • 2 abfore

    abfore, abforem, abfuat, s. absum a.E.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > abfore

  • 3 abfore

    abfŏre and abfŏrem, v. absum.

    Lewis & Short latin dictionary > abfore

  • 4 abfore

        Nihil abfore credunt quin. Vir. Qu'il ne s'en fauldra rien que, etc.

    Dictionarium latinogallicum > abfore

  • 5 abfore

    (= abfuturum esse) inf. fut. к absum

    Латинско-русский словарь > abfore

  • 6 abfore, abforem

       abfore, abforem    see absum.

    Latin-English dictionary > abfore, abforem

  • 7 abforem

    abfŏre and abfŏrem, v. absum.

    Lewis & Short latin dictionary > abforem

  • 8 absum

    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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    absum, ăbesse, āfŭi (abfŭi), āfŭtūrus, intr.    - voir l'article absum de Gaffiot.    - inf. fut. abfŏre (āfŏre).    - abfŏrem... (āfŏrem...) = abessem...    - les formes abfui, abforem, abfore, abfuturus ont moins d’autorité --- subj. prés. absiet Cato Agr. 19, 1 ; abfuat = absit Front p. 184, 4 --- formes apsum, apsens, dans quelques mss de Plaut. et Cic. [st1]1 [-] être absent, être hors de.    - abesse ab domo: être hors de chez soi.    - ab (ex) Urbe abesse, Cic.: être absent de Rome.    - abesse (ab) aliquo: n'être pas auprès de qqn.    - abesse in loco, Ov.: être ailleurs.    - in propinqua oppida aberat, Suet.: il s'absentait pour se rendre dans les villes voisines. [st1]2 [-] se tenir éloigné de, manquer à, faire défaut à; ne pas assister (qqn), ne pas secourir (qqn).    - quaerere quod abest, Ter.: chercher ce qui manque.    - unum a praetura tua abest, Plaut.: une seule chose manque à ta préture.    - abest historia litteris nostris (dat.), Cic.: l'histoire manque à notre littérature.    - neque animus neque corpus a vobis aberit, Sall.: ni mon coeur ni mon bras ne vous feront défaut.    - abesse alicui: ne pas assister qqn, ne pas secourir qqn.    - qui Antonio afuerim, Cic. Sull. 5: moi qui n'ai pas défendu Antonius.    - qui Autronio non afuerim, Cic.: moi qui n'ai pas manqué d'assister Autronius.    - absentibus nobis, Cic. Ac. 2: sans notre aide. [st1]3 [-] être éloigné de, être distant de.    - abesse ab Urbe millia passuum ducenta, Cic.: être à deux cent milles de Rome.    - quoniam propius abes, Cic.: puisque tu es plus près.    - ille longissime abest ut credat, Cic.: il est bien éloigné de croire.    - multum (longe) abest ut: il s'en faut de beaucoup que.    - non multum (non longe, paulum) abest quin: il ne s'en faut pas de beaucoup que.    - haud multum afuit quin interficeretur: il s'en fallut de peu qu'il ne fût tué (il a bien failli être tué).    - nos si pellant, nihil afore credunt, quin omnem Hesperiam sua sub juga mittant, Virg. En. 8: s'ils nous repoussaient, rien ne les empêcherait, croient-ils, de soumettre à leur joug l'Hespérie tout entière.    - tantum abest ut... Cic.: tant s'en faut que...    - tantum a poenitentia afuit ut... Val.-Max.: il fut fut si loin de se repentir que...    - id tantum abest ab officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic.: cela est tellement différent du devoir que rien ne peut lui être plus contraire.    - tantum abest ut... ut etiam...: tant s'en faut que... que, au contraire...    - tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de Gallicanis intercepta thesauris, Amm. 15: loin de louer les marques de son zèle actif, il signalait même, dans ses lettres, certains détournements effectués au préjudice du trésor public des Gaules.    - tantum abest ut gratiam quaesisse videar ut multas susceperim simultates, Cic.: bien loin de paraître chercher à me rendre populaire, je me suis fait beaucoup d'ennemis.    - quid abest quin pareamus? Liv.: pourquoi hésiter à obéir ([à quoi tient-il que nous obéissions])?    - scimus musicen nostris moribus abesse a principis personâ, Nep. Ep. 1, 2: nous savons que, d'après nos moeurs, la musique [est éloignée d'un personnage de premier plan] = ne convient pas à un personnage de premier plan.    - quae absunt ab forensi contentione, Cic.: qui ne conviennet pas à un débat public. [st1]4 [-] se tenir loin de, s'abstenir, être exempt de.    - abesse a bello (abesse bello), Caes.: ne pas prendre part à la guerre.    - afuit a societate sceleris, Nep.: il n'a pas pris part au crime.    - abesse a reprehensione, Cic.: être à l'abri d'un reproche.    - abesse a culpa: [être éloigné d'une faute] = être exempt de reproche, n'avoir rien à se reprocher, être innocent, être irréprochable. [st1]5 [-] avoir de l'éloignement pour, répugner, être contraire à.    - a consilio fugiendi absum, Cic.: je répugne à l'idée de fuir.    - quod abest a tua fide, Brut. ap. Cic.: ce qui est contraire à ta franchise. absim...: subj. prés. de absum (il s'emploie souvent comme formule de déprécation).    - pauperies immunda procul absit, Hor.: loin de moi la hideuse pauvreté.    - vos procul absitis, qui... Tib.: arrière, vous qui...    - absit invidia verbo, Liv.: soit dit sans offenser personne.    - quod absit! Apul.: ce qu'aux dieux ne plaise!    - absit te quaerere, S. Sev.: garde-toi de chercher.    - absit ut... Tert.: loin de moi la pensée de... [st1]6 [-] différer, être supérieur ou être inférieur.    - longe a te abfuit, Cic.: il t'a distancé de beaucoup (dans une élection).
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        Absum, abes, priore breui, abfui, abesse. Estre absent.
    \
        Te abfuisse tandiu a nobis doleo. Cic. Que tu as esté si long temps arriere de nous, Hors d'avec nous.
    \
        Abesse a signis, etc. Plin. iun. S'esloigner du camp, de l'enseigne.
    \
        Non aberit longius. Terent. Il ne s'esloignera pas loing.
    \
        A periculo abesse. Plin. Estre hors des dangers, Estre loing du danger.
    \
        In altercationibus abesse. Cic. Ne se trouver point au debat.
    \
        Menses tres abest. Terent. Il y a trois mois qu'il est dehors.
    \
        Bidui spatio abest ab eo. Plancus Ciceroni. Il est à deux journees loing de luy.
    \
        Abesse bidui a castris. Cic. Estre à deux journees loing du camp.
    \
        Cuius hyberna aberant ab eo millia passuum XXV. Caes. Sa garnison estoit loing de luy XXV mille pas, ou le lieu de sa garnison.
    \
        Abest non longe a me. Cic. Il n'est pas fort loing de moy, ou de ma maison.
    \
        Non cogitas hinc longius abesse? Terent. Ne penses tu pas qu'il y ait bien loing d'ici?
    \
        Tu propius abes. Cic. Tu n'es pas fort loing.
    \
        Abesse propius a morte. Ci. Estre plus prochain, ou pres de la mort.
    \
        Multum abest ab iis. Cic. Il est beaucoup moindre que ceuls là, Il n'est point si excellent à beaucoup pres, Il n'en approche point, Il est bien loing de ceuls là.
    \
        Ab eo plurimum absum. Cic. Je n'ay garde de faire cela, J'en suis bien loing. \ Vnde longe absum. Cic. Dont je suis bien loing.
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        Abesse, pro Deesse. Plaut. Vnum a Praetura tua abest. Il s'en fault une chose, Il te default une chose.
    \
        Nummus abesse hinc non potest. Plaut. Il ne fault point qu'il s'en faille un tournois.
    \
        Quid ab his tot maleficiis sceleris abesse videtur? Cic. Quelle meschanceté s'en fault il qu'il n'ait faict?
    \
        Mihi animus etiam nunc abest. Plaut. Le courage ne m'est point encore revenu.
    \
        Quid abest huic homini, quod, etc. Cic. Qu'est ce qu'il default à cest homme, etc.
    \
        Vetustate dentes absunt. Varro. Defaillent, sont cheuts.
    \
        Id abest. Plaut. Il s'en fault cela.
    \
        Aliud nihil abest. Plaut. Il ne s'en fault que cela.
    \
        Vnus abest. Virgil. Il s'en fault un.
    \
        Ab omni contentione abesse. Cic. S'esloigner de toutes noises et debats.
    \
        Abesse a consilio fugiendi. Cic. N'estre point d'advis ou d'opinion de fuir.
    \
        Abesse a bello. Cic. Se tenir loing de la guerre, N'estre point à la guerre.
    \
        Abesse a bello, per translationem. Cic. N'estre point d'opinion de faire la guerre.
    \
        Abesse a crimine. Cic. N'estre point coulpable de quelque crime.
    \
        A culpa. Cic. Estre innocent de quelque chose.
    \
        A sententia alicuius. Cic. Estre contraire et loing de l'opinion de quelqu'un.
    \
        A qua suspicione ille aberat plurimum. Cic. Lequel ne povoit aucunement estre souspeconné de cela, Contre lequel on n'avoit matiere d'avoir tel souspecon.
    \
        Longissime a vero. Cic. Estre bien loing de la verité.
    \
        A vitiis. Cic. N'estre point entaché de vices.
    \
        Mea culpa abest. Cic. Ce n'est point ma faulte, On ne m'en peult donner le blasme.
    \
        Auaritiae absit suspicio. Cic. Qu'il n'y ait aucun souspecon d'avarice.
    \
        Procul a nobis absint ista. Plin. Soyent mis arriere.
    \
        Abesse longe a spe Consulatus. Cic. Estre loing d'esperance de povoir parvenir à estre Consul.
    \
        A cogitatione absit res ista. Cic. Qu'on n'y pense point.
    \
        Nunquam ab oculis meis abfuerunt. Cic. Je ne les ay jamais perdu de veue.
    \
        Abfuit virtus ab oculis fori et curiae. Cic. Ils n'ont point eu d'esgard à vertu, Ils n'ont point eu vertu devant les yeuls.
    \
        Longe aberit, vt argumentis credat philosophorum. Cic. Il n'est pas pres de croire, Il n'a garde de croire, Il est bien loing de croire, etc.
    \
        Nec multum abfuit, quin, etc. Liu. Il ne s'en fallut gueres que, etc.
    \
        Abesse non potest quin. Cic. Il ne peult estre que, etc. Il ne se peult faire que, etc.
    \
        Non aberit quin rideatur. Gell. Il ne s'en fauldra rien, qu'il ne soit mocqué.
    \
        Abesse alicui. Cic. Faillir de secours à aucun, Le laisser à son besoing sans le secourir.
    \
        Absit verbo inuidia. Liu. Que nul ne me scache mauvais gré de ce que je dis.
    \
        Tantum abest, vt meae rei familiaris, etc. Brutus Ciceroni. Tant s'en fault.

    Dictionarium latinogallicum > absum

  • 9 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.

    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-, getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zuletzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art. poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – / statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).

    / Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.: rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    lateinisch-deutsches > absum

  • 10 āfŏre

    āfŏre, āfŏrem = abfŏre, abfŏrem → absum.

    Dictionarium latinogallicum > āfŏre

  • 11 absum

    ab-sum, āfuī, āfutūrus, abesse (ἄπειμι), weg-, fortsein (Ggstz. adesse), I) infolge einer Bewegung (Abwesenheit); dah. 1) im allg., weg-, nicht dasein, entfernt-, abwesend sein, ab domo, Plaut. u. Liv.: ab domo, ab re familiari paulo diutius, Liv.: ab urbe u. ex urbe, Cic.: ab alqo, Cic. – domo et foro, Cic.: nuptā lentus abesse tuā, Ov. – abesse longe, Cic.: longe gentium, Cic.: non longe hinc, Plaut.: propius, Cic.: procul, Cic.: tres menses, Ter. – dah. quare me, qui nullā lege abessem (abwesend [= in der Verbannung] sei), non restitui lege, sed revocari senatus auctoritate oportere, Cic. Sest. 73. – 2) insbes.: a) von der Teilnahme an etw. entfernt sein od. bleiben, wegbleiben, nicht teilnehmen, einer Sache nicht beiwohnen, einer Sache fern stehen, mit etw. nichts zu schaffen haben (Ggstz. adesse), ab hoc concilio, Caes.: a periculis, sich fern halten, Sall.: ab his studiis, Cic. – m. Abl., toto bello, Caes.: publicis consiliis, Liv. – afuisse in altercationibus, Cic. – b) alci od. ab alqo, mit seinem Beistande nicht dasein, fehlen, jmdm. nicht beistehen (versch. von deesse, jmd. im Stiche lassen), bes. als Verteidiger vor Gericht (Ggstz. alci adesse, alqm defendere, s. Halm zu Cic. Sull. 7 ed. mai.), qui Autronio non afuerim, Cic.: ne longe tibi Iuppiter absit, Ov.: nec dextrae erranti deus afuit, Verg.: et quo plus intererat, eo plus aberas a
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    me, je mehr ich deines Beistandes bedurfte, desto mehr verließest du mich, Cic.: longe iis fraternum nomen P.R. afuturum, werde ihnen nirgends etwas helfen, Caes. – absol., nusquam abero, Verg.: nobis absentibus, ohne unser Dazutun, Cic. – c) geistig abwesend sein, cum milite isto praesens absens ut sies, Ter. Eun. 192. – d) nicht dasein, fern sein, verbannt sein, dah. auch abgehen, u. in diesem Sinne = fehlen (versch. von deesse, mangeln, vermißt werden; vgl. Sorof Cic. de or. 1, 48), hoc unum illi, si nihil utilitatis habebat, afuit (war nicht da), si opus erat, defuit (fehlte, wurde vermißt), Cic.: studium semper adsit, cunctatio absit, Cic.: denique isto bono utare dum adsit; cum absit, ne requiras, Cic.: semper aves quod abest, Lucr.: praeter idoneum ducem nihil abest ad subvortendum imperium, Sall. fr. – m. ab u. Abl., unum a praetura tua abest, Plaut.: neque corpus neque animus a vobis aberit, Sall. – m. Dat., quid enim abest huic homini, quod si adesset, iure haec ei tribui et concedi putaremus, Cic.: si cui dentes vetustate absunt, Varr.: abest luctamen remo, man rudert ohne Anstrengung, Verg.: abest enim historia litteris nostris, Cic.: fraudem et sermoni et rei abesse, Liv.: cum partem abesse numero sensisset, Liv.: ratus pluribus curam, omnibus afuisse fortunam, Curt.
    II) infolge der Lage (Abstand); dah. 1) eig., von einem Punkte (räumlich od. zeitlich) weg-, entfernt-,
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    getrennt sein, abstehen, m. ab od. m. bl. Abl. u. absol., sowie mit u. ohne Bezeichnung des (räumlichen od. zeitlichen) Abstandes, paulum ab eius villa, Cic.: ab urbe milia passuum ducenta, Cic.: plus mille passibus a mari (v. einer Villa), Liv. fr.: quinque dierum iter ab Carthagine (v. einer Stadt), Liv.: bidui (v. Lager), Cic.: quatridui iter Laodiceā, Cic.: quatridui ab Autronio, Cic.: aequo spatio, Caes.: bidui spatio ab eo, Cic.: septem milium intervallo, Caes.: milibus passuum quattuor, Caes.: haud longe abesse potest, es muß nicht weit von hier sein, Plaut.: quoniam propius abes, weil du dort näher bist, Cic. – 2) übtr.: a) übh., von etw. entfernt sein, fern stehen, id enim vero hinc nunc abest, das liegt jetzt im weiten Felde, daran ist gegenwärtig nicht zu denken, Ter.: quod abest longissime, Cic.: u. so ab. longissime a vero, Cic.: longe a spe, Cic.: procul seditione, Liv.: paulum a capienda urbe, die Stadt beinahe einnehmen, Iustin.: cum ego ab ista laude non absim, mir dieser Ruhm nicht abgesprochen werden kann, Cic. – ille longe aberit, ut credat, wird weit entfernt sein zu glauben, Cic.: tantum aberat a bello, ut etc., Cic.: tantum afuit ab insolentia gloriae, ut etc., Nep.: tantum a paenitentia afuit, ut etc., Val. Max.: a quibus longe absunt, ut perseverent, Augustin. de civ. dei 9, 16, 1: sperare videor tantum afuturam esse orationem meam a minima suspicione offensionis tuae, te ut potius
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    obiurgem, quam ut ego etc., Cic.; u. so die unpers. haud multum od. haud (non, nec) procul abest od. non longe abest od. paulum (paululum) abest, quin etc., es ist nicht weit entfernt od. nahe dabei, es fehlt nicht viel, daß usw., beinahe möchte usw. (s. Zumpt § 540), Cic., Caes. u.a.; so auch non multum abest ab eo, quin etc., Caes. b.G. 5, 2, 2: neque longius abesse, quin etc., es fehle gar nicht viel, daß er usw., er sei darauf u. daran, zu usw., Caes. b.G. 3, 18, 4: minimum abest, quin etc., Suet. Aug. 14: paulo afuit, quin, Ammian.: nihil afore credunt, quin etc., es könne nicht fehlen, Verg. Aen. 8, 147: quid abest, quin etc., Liv. 8, 4, 2. Val. Max. 5, 3. ext. 3: abesse non potest, quin etc., Gracch. b. Cic. or. 233 u. Gell. 11, 13, 3: spätlat., parum abest, quin etc., Donat. vit. Verg. c. 8: u. persönl., haud multum afuere, quin opera perrumperent, Liv. fr. 36 (bei Prisc. 6, 22): nec ita multum omnes afuisse, quin accusatorem potius dementiae accusarent, Apul. apol. 37: adeo vehementer talum inverti, ut minimum afuerim, quin articulum etiam a crure defregerim, Apul. flor. 16. – Dah. die Redensart tantum abest, ut... ut, weit entfernt, daß... ist usw., deren Entstehung durch folgende drei Stellen deutlich wird: id tantum abest officio, ut nihil magis officio possit esse contrarium, Cic. de off. 1, 43: tantum abest ab eo, ut malum mors sit, ut verear, ne etc., Cic. Tusc. 1, 76 (vgl. Liv. 25, 6, II): u. so zu-
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    letzt: ego vero istos tantum abest ut ornem, ut effici non possit, quin eos oderim, d.i. weit entfernt, daß... vielmehr usw., Cic. Phil. 11, 36. – persönl. gebr., hoc detrimento milites nostri tantum afuerunt ut perturbarentur, ut incensi atque incitati magnas accessiones fecerint in operibus hostium expugnandis, Auct. b. Alex. 22, 1. – Spätlat., tantum aberat quominus aliquid nuntiaretur, ut etiam quae gesta non fuerant adicerentur, Heges. 3, 21, 1. – Zuw. tritt der zweite Satz, wie im Deutschen, auch selbständig auf, tantum afuit, ut inflammares nostros animos; somnum isto loco vix tenebamus, Cic. Brut. 278 (u. so Cic. de fin. 5, 57; ad Att. 13, 21, 5); od. es bildet das einfache tantum abest ut einen bloßen Nachsatz, wie Cic. ad Att. 6, 2, 1. – auch steht im zweiten Satz ut etiam, ut quoque, wie Cic. ep. 12, 15, 4. Suet. Tib. 50, 1; seltener ut contra, wie Liv. 6, 31, 4. – Spätlat. statt des ersten ut der Infinit., tantum abfuit laudare industrie gesta, ut etiam quaedam scriberet de etc., Amm. 15, 5, 36. – b) von etw. Unangenehmem entfernt-, also davon befreit-, frei sein, a culpa, Cic.: nihil a me abesse longius crudelitate, Caes. in Cic. ep.: a cupiditate pecuniae, Nep.: a reprehensione temeritatis absum, der Vorwurf bei Unbesonnenheit trifft mich nicht, Planc. in Cic. ep.: afuimus dolori, vergaßen den Schmerz, Ov. – c) v. ungehörigen, unangenehmen, lästigen Personen od. Dingen selbst, fern sein
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    od. bleiben, si vis afuisset, Liv. fr. 49 (50) bei Sen. suas. 6, 22. – bes. in der Wunschformel absit = fern sei od. bleibe, m. ab u. Abl., carnifex vero et obductio capitis et nomen ipsum crucis absit non modo a corpore civium Romanorum, sed etiam a cogitatione, oculis, auribus, Cic.: absint et picti squalentia terga lacerti pinguibus a stabulis, Verg.: u. absol., vos quoque abesse iubeo, Tibull.: procul absit gloria vulgi, Tibull.: absit periculum, Sall. fr.: dolus malus abesto! Not. Tir.: u. bes. absit invidia verbo od. absit verbo invidia, fern sei Vermessenheit der Rede, Liv.: u. so bl. absit invidia, Curt. – Dah. im Spätlat. die Formel absit m. folg. ut od. Infinit. = es sei ferne, Gott wolle verhüten, daß usw., Apul. u. Sulpic. Sev.: u. procul absit, Stat., od. quod absit, Apul., das sei ferne, das wolle Gott verhüten! – d) mit Willen, aus innerem Trieb u. dgl. von etw. entfernt, also ihm abgeneigt sein, a consilio fugiendi, Cic.: a periculis, sich von den Gefahren entfernt halten, Cic. – e) mit Rücksicht auf die Beschaffenheit od. Eigenschaft einer Sache od. Pers. fern sein, fern stehen, von etw. abweichen, quod certe abest a tua virtute et fide, Brut. in Cic. ep.: istae κολακειαι non longe absunt a scelere, Cic. – bei Vergleichen höher stehen, im Vorteil sein, nullā re magis absumus a natura ferarum, Cic.: qui longissime a te afuit, Cic. – u. tiefer stehen, weit nachstehen, multum ab iis, Cic.; u. so Hor. de art.
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    poët. 370. – f) von etw. noch fern sein, etw. nicht erreichen, a nitore Ciceronis, Quint.: a virtute alcis, Hor. – g) sich für etw. nicht eignen, sich nicht schicken, zu etw. nicht passen, ab forensi condicione, Cic.: a principis persona, Nep. – statt abfui, abforem, abfore u. abfuturus haben die besten Handschriften u. auch die Ausgaben afui, aforem, afore, afuturus, s. Halm zu Cic. Sull. 7. p. 60 ed. mai. Osann zu Cic. de rep. 2, 69. p. 243. Heindorf zu Hor. sat. 1, 4, 104. Vgl. Neue-Wagener Formenl.3 2, 836 f. – arch. Konj. Präs. absiet, Cato r.r. 19, 1. – Form abfuat = absit, zweifelh. bei Fronto ep. ad am. 1, 14. p. 184 N. (viell. mit Eckstein abludat zu lesen).
    Partic., absēns, tis, abwesend, a) v. Menschen (Ggstz. praesens, coram), α) räumlich: me absente, in meiner Abwesenheit, Cic.: te praesente absente, du magst da sein od. nicht, Ter.: absente nobis, Ter. eun. 649. – Dah. v. Verbannten, absens mecum in gratiam rediit, Cic. – v. Verstorbenen, absentes (poëtae) sunt pro praesentibus, Plaut. Cas. prol. 20; u. so Vitr. 7. pr. § 8. – u. von solchen, die, obgleich in Rom, bei öffentlichen Bewerbungen nicht als Mitbewerber erscheinen, Cic. de rep. 6, 11 (u. dazu Moser). Liv. 4, 42, 1 (u. dazu Drak.). – u. von solchen, die sich nicht vor Gericht stellen, de absente iudicare, Cic.; vgl. Halm zu Cic. Verr. 4, 40. – b) von Orten u. Dingen, entfernt, Rhodos, urbs, Hor.:
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    rogus, Mart.: comae, nicht wirklich vorhandene, falsche, Mart. – versus absentes dicere, auswendig hersagen, Gell. 20, 10, 4. – c) geistig nicht bei der Sache, abwesend, mente ac sensu absentissimus, Augustin. confess. 4, 4.

    Ausführliches Lateinisch-deutsches Handwörterbuch > absum

  • 12 afore

    āfŏre and āfŏrem, for abfore and abforem, v. absum.

    Lewis & Short latin dictionary > afore

  • 13 aforem

    āfŏre and āfŏrem, for abfore and abforem, v. absum.

    Lewis & Short latin dictionary > aforem

См. также в других словарях:

  • falloir — Falloir, Il falloit user de plus longs exemples, Decuit grandioribus exemplis vti. Il le falloit faire, Faciundum fuit. Il falloit qu il cogneust, Debuit nosse. Il falloit {{o=failloit}} que le souper fust desja cuict, Coenam iam esse coctam… …   Thresor de la langue françoyse

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