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1 mettre la sourdine à qch
(mettre la [или une] sourdine à qch)Ne vous étonnez donc pas si je vous demande de mettre désormais une sourdine à votre gaieté. (M. Aymé, Le Chemin des écoliers.) — Не удивляйтесь поэтому, если я вас попрошу теперь умерить вашу радость.
3) смягчить, затушевать- Vous avez raison, murmura-t-il, mettons une sourdine, d'autant plus qu'il faut voir venir les événements... (É. Zola, L'Argent.) — - Вы правы, - прошептал он, - пока помолчим, тем более, что следует подождать, как будут дальше происходить события...
Dictionnaire français-russe des idiomes > mettre la sourdine à qch
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2 tenir en échec
оказывать сопротивление; противодействовать; сдерживать; сковыватьNe vous étonnez pas s'il ne raisonne pas bien à présent, une mouche bourdonne à ses oreilles... Si vous voulez qu'il puisse trouver la vérité, chassez cet animal qui tient sa raison en échec. (B. Pascal, Pensées.) — Не удивляйтесь, если человек сейчас еще не умеет рассуждать, посторонние мысли одолевают его подобно мухе, жужжащей в ушах... Если вы хотите, чтобы он нашел истину, прогоните это насекомое, которое сковывает его разум.
En pratique, le pouvoir, loin d'être absolu, était tenu en échec par le Parlement dont l'opposition aux réformes financières paralysait le gouvernement et lui rendait impossible l'administration du royaume. (J. Bainville, Histoire de France.) — Фактически [в XVIII столетии] власть короля не только не была абсолютной, но постоянно упиралась в противодействие парламентов, сопротивление которых финансовым реформам парализовало управление королевством.
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3 le plus récent
сущ.
См. также в других словарях:
étonner — [ etɔne ] v. tr. <conjug. : 1> • estoner XIe; du lat. pop. °extonare, class. attonare « frapper du tonnerre » I ♦ (sens étym.; XVe) Vx Ébranler, faire trembler par une violente commotion. ♢ (XIX … Encyclopédie Universelle
venir — (ve nir), je viens, tu viens, il vient, nous venons, vous venez, ils viennent ; je venais ; je vins, nous vînmes ; je viendrai ; je viendrais ; viens, qu il vienne, venons, venez ; que je vienne, que nous venions, que vous veniez ; que je vinsse … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
un — un, une [ œ̃, yn ] adj. numér. et qualificatif, n., art. et pron. indéf. • Xe; lat. unus REM. On ne fait généralt pas l élision devant un adj. numér. non suivi de décimales : une pièce de un franc, mais un homme d un mètre quatre vingt cinq. I ♦… … Encyclopédie Universelle
en — 1. (an ; suivi d une voyelle ou d une h muette se prononce comme le substantif an ; mais, ce qui n a pas lieu pour le substantif an, l n s appuie sur la voyelle qui suit : en avant, dites : an na van) prép. Préposition qui signifie à l… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
queue — 1. queue [ kø ] n. f. • v. 1220; coe, cue 1080; lat. coda, var. de cauda I ♦ A ♦ (Animaux) 1 ♦ Appendice plus ou moins long et poilu qui prolonge la colonne vertébrale de nombreux mammifères. « L écureuil Guerriot [...] la queue en traîne… … Encyclopédie Universelle
redresser — (re drè sé) v. a. 1° Rendre droit ce qui est courbé, penché, abaissé. Ce poteau penche, on le redressera. Le jardinier a redressé l allée. Redresser la taille d un enfant, à l aide d un corps de baleine. • Il [Jésus] avait éclairé les… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
ORDINAIRE — adj. des deux genres Qui est dans l ordre commun, qui a coutume de se faire, qui arrive communément, dont on se sert communément. L état ordinaire des choses. Le cours ordinaire de la nature. Le train ordinaire de la vie, des choses. L effet… … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 7eme edition (1835)
soeur — (seur) s. f. 1° Fille née du même père et de la même mère qu une autre personne, ou née de l un des deux seulement. • Les habitants de ce pays là lui demandant [à Isaac] qui était Rébecca, il leur répondit : c est ma soeur, SACI Bible, Genèse … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
ORDINAIRE — adj. des deux genres Qui est dans l’ordre commun, habituel. Le cours ordinaire de la nature. Le train ordinaire de la vie. Il est assez ordinaire de se fâcher quand on a tort. Un événement ordinaire. Il signifie aussi Qui est habituel à quelqu’un … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 8eme edition (1935)
entendeur — [ ɑ̃tɑ̃dɶr ] n. m. • XIIIe; de entendre ♦ Vx Personne qui entend, comprend (bien ou mal). « Les bons entendeurs pourront profiter à cette lecture » (Voltaire). Prov. (mod.) À bon entendeur, salut : que la personne qui comprend bien en fasse son… … Encyclopédie Universelle
étonner — (é to né) v. a. 1° Causer un ébranlement. Le coup lui a étonné la tête. Terme de vétérinaire. Se dit du sabot d un cheval qui se heurte violemment à quelque obstacle. Ce cheval s est étonné le pied. Terme de mineur. Étonner la roche,… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré