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101 διχο-τόμημα
διχο-τόμημα, τό, das Halbirte, das Abgeschnittene, Stück; Nicom. arith. 1, 7; LXX., K. S.
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102 δια-τείνω
δια-τείνω (s. τείνω), 1) ausspannen, ausstrecken; τὰς χεῖρας ἐπὶ τὰ λεκάνια Xen. Cyr. 1, 3, 4; τινὰ ὑπὲρ λεχέων Sosip. 2 (V, 55); gew. intrauf,: a) sich (durch etwas ganz) hin erstrecken; διατείνει ταῦτα διὰ παντὸς τοῦ βίου Arist. Nicom 10, 1; ἐπὶ πολύ 4, 1; καϑ' ἅπαν σῶμα H. A. 2, 11; τὰ ὄρη διατείνει ἀπὸ τῆς ϑαλάττης εἰς τὴν κ. τ. λ. Pol. 3, 37, 9, u. öfter; Plat. Soph. 253 d so pass., μία ἰδέα πάντη διατεταμένη; dah. πρός τι, sich worauf beziehen, angehen, Pol. 8, 31, 6; πρὸς οὐδὲν ἔτι διατείνει, ist nichts mehr nütze, 30, 12, 2, u. so Sp.; auch εἴς τι, Plut. adv. St. 21; διέτεινε πρὸς τὸν Σκιπίωνα, er reichte bis zum Scipio, lebte noch zur Zeit des Sc., Plut. Cat. mai. 15. – b) so daß man ὁδόν ergänzen kann, hingelangen, ankommen; πρός od. εἴς τι, Pol. 5, 86, 4; D. Sic. 12. 70 u. öfter. – 2) Im guten Atticismus nur med., sich anspannen, anstrengen; ποιεῖν Arist. Nic. 9, 8; πρός τι, Xen. Mem. 3, 7, 9; σφοδρῶς Dem. 18, 142, d. i. nachdrücklich behaupten, VLL. διαβεβαιοῦσϑαι; mit folgdm acc. c. inf., Antiph. 5, 46, Harpocr. διὰ συντόνου σπουδῆς ἀπηρνήσαντο. Bes, perf. pass., διατεταμένος, aus Leibeskräften, Plat. Rep. V, 474 a VI, 501 c; δεῖ διατειναμένους φεύγειν Xen. Mem. 4, 2, 23. – Her. vrbdt 9, 18 διετείνοντο τὰ βέλεα, sie hielten die Geschosse gespannt; dah. διατεινάμενον στῆναι, schußfertig stehen, Xen. Cyr. 1, 4, 23, τὰ παλτά, τὰ τόξα, u. so Sp. τὰς μάστιγας, die Geißeln aufheben, Pol. 15, 28.
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103 δι-ιστάνω
δι-ιστάνω, = folgdm, nur Sp., wie D. Sic. 19, 46 Nicom. ar. 2, 29.
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104 δι-κόλουρος
δι-κόλουρος, doppelt abgestumpft; πυραμίς Nicom. arith. 2, 14.
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105 δι-οξεῖα
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106 νητο-ειδής
νητο-ειδής, ές, der νήτη ähnlich, Nicom. music. 20. S, das Folgde.
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107 βηχίας
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108 μονό-χειρ
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109 μοναδιστί
μοναδιστί, in Einheiten, Nicom. ar. 2, 8.
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110 μονάζω
μονάζω, einzeln sein, allein bleiben, Rufin. 33 (V, 66) u. a. Sp.; – ἡ μονὰς ἑαυτὴν μονάσασα, die mit sich selbst multiplicirte Eins, Iambl. in Nicom. 85 a.
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111 λεπτο-λογέω
λεπτο-λογέω, sein, genau reden, untersuchen, spitzfindig reden, mit verächtlicher Nebenbdtg, Ar. Nubb. 320 u. nach ihm Luc. Prometh. 6; pass., D. Cass. 55, 28; Nicom. arithm. 2, 28 u. a. Sp.
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112 λειπο-τονέω
λειπο-τονέω, von der Spannung oder Kraft nachlassen, Nicom. Harm. 9.
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113 αὐξητικός
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114 ἀ-παρά-θραυστος
ἀ-παρά-θραυστος, nicht abgebrochen, Eustrat. zu Nicom. 1, 5 a.
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115 ἀ-παρ-έγ-κλιτος
ἀ-παρ-έγ-κλιτος, unbiegsam, unveränderlich, Suid.; Nicom. arithm. 1, 23.
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116 ἀπο-κορυφόω
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117 ἀπο-μει-ουρίζω
ἀπο-μει-ουρίζω, abstumpfen, Nicom. arithm.
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118 ἀπο-μάσσω
ἀπο-μάσσω, att. ἀπομάττω, 1) abwischen, reinigen, καϑαίρων τοὺς τελουμένους καὶ τῷ πηλῷ καὶ τοῖς πιτύροις ἀπομ. Dem. 18, 259; τὰ δάκρυα τῇ χλαμύδι Pol. 15, 26; auch med. ἀπομάξασϑαι, sich den Mund wischen, Ath. I, 2 a; Ἀχιλλείων ἀπομάττει Ar. Equ. 816, wisch'st dir die Hände an Achillesbrot, Schol. τῆς ἐν πρυτανείῳ σιτήσεως μετέχεις; vgl. τὰς χεῖρας χειρομάκτρῳ ἀπεμάττοντο Ath. IX, 410 b. – 2) mit dem Streichholz abstreichen, χοίνικα Luc. Navig. 25; κενεὰν ἀπομάξαι, den leeren Scheffel abstreichen, wie: leeres Stroh dreschen, d. i. vergeblich sich bemühen, Theocr. 15, 95. – 3) abdrücken, ἐν μαλακοῖς σχήματα Plat. Tim. 50 e; φρὴν ἀπομαξαμένη πολλὰς ἀρετὰς ἐποίησε, sich einprägen, nachahmen, Ar. Ran. 1038; παρ' ἀλλήλων Arist. Nicom. 9, 12, 3; ἄχνην ὕδατος ἀπομάσσεται, setzt ab, Callim. Del. 14; αἰσχύνην, sich Schande zuziehen, öfter bei Sp.
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119 ἀπο-νέμω
ἀπο-νέμω (s. νέμω), ab-, zutheilen, ἕκαστα ἑκάστοις Plat. Theaet. 195 a; τὸ πρέπον ἑκατέροις Legg. VI, 757 c; τῷ ϑεῷ γέρας Prot. 341 e; Γαΐῳ τοὺς ἡμίσεις τῶν στρατιωτῶν Pol. 14, 4; συγγνώμην τινί Luc. Nigr. 14; ἑκάστῳ τὸ κατ' ἀξίαν Hdn. 2, 4, 5. So πλέον τῇ συγγνώμῃ ἢ τῷ δικαίῳ, mehr darauf geben, Din. 1, 55. – Auch absondern, pass., Plat. Polit. 276 d 280 d. – Med., für sich abnehmen, sich zutheilen, τῶν πατρῴων Plat. Rep. IX, 574 a; dah. sich zu Nutze machen, τί Ar. Av. 1289. Bei Pind. I. 2, 48 erkl. Schol. ἀπόνειμον (überbringe das Lied) schwerlich richtig durch ἀνάγνωϑι, u. führt aus Soph. frg. 150 γραμμάτων πτύχας ἔχων ἀπ. in der Bdtg vorlesen an; ἀπονεμητέον Arist. Nicom. 9, 2, 7.
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120 ἀπο-θανετέον
ἀπο-θανετέον, man muß sterben, Arist. Nicom. 3, 1, 8, v. l. - ϑανητέον u. - ϑνητέον.
См. также в других словарях:
NICOM — Nicomedes, Nicomedia … Abbreviations in Latin Inscriptions
bien — 1. (biin ; l n ne se lie jamais : ce bien est à moi, dites : ce biin est à moi, en donnant à biin la nasalité qui est dans in digne, et non ce biin n est à moi) s. m. 1° Ce qui est juste, honnête. Le bien et le beau. Le bien et la justice… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
faire — 1. (fê r) Au XVIe Siècle, d après Bèze, les Parisiens prononçaient à tort fesant au lieu de faisant ; c est cette prononciation des Parisiens, condamnée alors, qui a prévalu ; on prononce aujourd hui fe zan, fe zon, fe zê, fe zié), je fais, tu… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
coup — (kou ; le p ne se prononce pas et ne se lie pas : un kou audacieux ; coup se comporte comme loup, où le p ne se lie jamais ; au pluriel, l s se lie : des kou z audacieux ; Bèze, au XVIe siècle, remarque que le p se prononce au singulier et non au … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
fort — fort, orte (for, for t ; le t ne se lie pas : un homme for et hardi ; au pluriel, l s ne se lie pas : des hommes for et hardis ; cependant quelques uns lient cette s : des hommes for z et hardis ; quand fort est employé pour le superlatif absolu … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
jeter — (jeté. Le t se double quand la syllabe qui suit est muette : je jette, je jetterai) v. a. 1° Communiquer un mouvement avec la main. 2° Mettre avec quelque promptitude un manteau, un châle, etc. 3° Jeter un pont. 4° En termes de marine,… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
beau — ou bel, belle (bô ou bèl, bè l ; au pluriel l x se lie : de beaux hommes, dites : de bô z hommes ; bel se dit devant un mot commençant par une voyelle, mais non pas indifféremment ; c est seulement devant le substantif auquel il est joint : un… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
bel — beau ou bel, belle (bô ou bèl, bè l ; au pluriel l x se lie : de beaux hommes, dites : de bô z hommes ; bel se dit devant un mot commençant par une voyelle, mais non pas indifféremment ; c est seulement devant le substantif auquel il est joint :… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
belle — beau ou bel, belle (bô ou bèl, bè l ; au pluriel l x se lie : de beaux hommes, dites : de bô z hommes ; bel se dit devant un mot commençant par une voyelle, mais non pas indifféremment ; c est seulement devant le substantif auquel il est joint :… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
besoin — (be zoin) s. m. 1° Manque de, avec désir ou nécessité d avoir. Le besoin de secours était pressant. Le besoin d argent où il se trouvait. Ce que le besoin demande. Pour ou suivant le besoin. Les besoins publics. On apportait le blé à mesure des … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
effet — (è fè ; le t ne se lie pas, du moins dans la conversation, ailleurs on le lie quelquefois ; au pluriel, l s se lie … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré